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Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-08-2016 dans la catégorie A dormir debout
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J'ai trouvé dans ma boîte aux lettres, un billet plié en quatre, avec un message laconique, "Joli cul".
Qui peut bien m'avoir envoyé ce message ? Déjà, quelqu'un ayant accès à ma boîte. Le facteur ?
Je l'ai rencontré plusieurs fois, il n'a pas manifesté de comportement suspect. Ni regard en douce, jamais de sourire, rien quoi. Des voisins ? Parmi tous ceux qui habitent mon immeuble, beaucoup de personnes âgées et des enfants. Un visiteur de passage ? Comment connaîtrait-il mon nom, ou, il m'aurait surpris en train d'ouvrir la boîte. Tellement de possibilités. J'ai laissé tomber.
Quelques jours plus tard, nouveau billet. Le message disait: "Déshabille-toi plus lentement". Une seule explication possible : les fenêtres. Il y avaient tellement de possibilités. J'ai commencé par passer des minutes puis des heures à regarder dehors. Rien, ni personne. Alors, j'ai pris des jumelles, mais je sais que c'est interdit. On pourrait porter plainte contre moi. Donc, j'ai arrêté.
J'avais encore une solution, boucher toutes les vitres de mon appartement. Sauf que je n'aurais plus de lumière, et autre obstacle de taille, mon amour pour l'exhibition. En fin de compte, je recherchais l'auteur du billet, non pas pour m'en débarrasser, mais pour lui en montrer plus, et peut-être pour lui offrir plus que du spectacle.
J'ai reçu un autre message." J'ai mal au bras à force de me branler en regardant ton joli cul". Ca y est, c'est un homme ! Pourquoi ?, une femme peut se branler aussi ? Non ! Une femme se sert plus de ses doigts plutôt que de son bras. Comment, homme ou femme, lui faire savoir que je suis disponible.
Le message suivant me demandait de me retourner. Encore un autre pour me demander de me branler.Un autre encore, pour montrer mon trou, puis un autre encore, pour m'enfoncer dans le cul, ce que je trouverai dans ma boîte.
C'était un gros pilon en grès, dont on se sert pour écraser les légumes ou les graines. Je me le suis enfoncé dans le rectum, et me suis retourné, le dos vers la fenêtre.
Encore un message pour me dire de me rendre à son adresse. Qu'il brûle de caresser mes fesses, de les lécher. De fourrer sa bite dans ma bouche, puis dans mon cul.
Le lendemain, un nouveau message pour me dire qu'il ou elle, s'est branlé(e) de longues heures en regardant le massif objet, enfoncé dans mon cul. Peut-être qu'un jour, il y mettra un doigt, voire sa bite.
Je me suis précipité à la fenêtre, et j'ai scruté de longues heures pour surprendre quelqu'un, regarder chez moi, ou utiliser des jumelles. Personne...ça commençait à m'énerver.
J'ai commencé à faire des strip-teases devant la fenêtre. J'ai commencé par enlever mon t-shirt. Puis, en caleçon, je me suis tortillé, faisant descendre, le plus lentement possible, le sous-vêtement. D'abord de mes reins, en suivant la courbure de mes fesses, puis, le long de mes cuisses, pour qu'il puisse admirer le galbe de mon cul.
Le lendemain, nouveau message."J'aimerai bien voir aussi, l'envers du décor...". La moutarde commençait à me monter au nez. K'ai remis mon caleçon, après m'être un peu branlé. J'ai commencé à descendre mon caleçon à nouveau, avec autant de lenteur que la veille, jusqu'à ce que ma pine, bien raide, bondisse hors de sa cache.
Le message suivant a dit : N'as-tu pas un compagnon pour te bourrer le cul ?
Le jour d'après, je me suis présenté à la fenêtre, de profil. J'avais un drôle d'attirail entre mes pieds. J'avais lu sa description dans "Roy", de Roger Peyrefitte. Il s'agit d'une sorte d'entrave, comme celles qu'on utilise pour empêcher les chevaux de marcher, et qui se noue autour des chevilles. Au milieu de l'entrave, se trouve un gode, qu'on s'enfonce dans le cul et qu'on fait glisser entre les fesses, en ondulant des reins.
Le message suivant disait : Je savais bien que tu avais quelqu'un !
Quelques jours plus tard, en vérifiant mes comptes, j'ai trouvé des facturettes d'achat pour des miroirs, un bloc de post it, et un article de sex shop.
Je suis retourné dans la salle de bains. Dans la douche, il y a une glace, dont je me sers pour me raser. On y voit la fenêtre de ma chambre, et juste à côté, le grand miroir devant lequel je m'habille. Soudain, un doute m'habite, mon goût pour les fantasmes, me jouerait-il des tours, deviendrais-je somnambule ? Serait-ce moi qui déposait les messages dans la boîte aux lettres ? Le pilon en grès, je me souviens que ma femme en a un....
Je devrais peut-être consulter un psy ! Moi qui ai toujours rêvé de raconter des histoires de sexe ! Heureusement, il y a HDS.
Qui peut bien m'avoir envoyé ce message ? Déjà, quelqu'un ayant accès à ma boîte. Le facteur ?
Je l'ai rencontré plusieurs fois, il n'a pas manifesté de comportement suspect. Ni regard en douce, jamais de sourire, rien quoi. Des voisins ? Parmi tous ceux qui habitent mon immeuble, beaucoup de personnes âgées et des enfants. Un visiteur de passage ? Comment connaîtrait-il mon nom, ou, il m'aurait surpris en train d'ouvrir la boîte. Tellement de possibilités. J'ai laissé tomber.
Quelques jours plus tard, nouveau billet. Le message disait: "Déshabille-toi plus lentement". Une seule explication possible : les fenêtres. Il y avaient tellement de possibilités. J'ai commencé par passer des minutes puis des heures à regarder dehors. Rien, ni personne. Alors, j'ai pris des jumelles, mais je sais que c'est interdit. On pourrait porter plainte contre moi. Donc, j'ai arrêté.
J'avais encore une solution, boucher toutes les vitres de mon appartement. Sauf que je n'aurais plus de lumière, et autre obstacle de taille, mon amour pour l'exhibition. En fin de compte, je recherchais l'auteur du billet, non pas pour m'en débarrasser, mais pour lui en montrer plus, et peut-être pour lui offrir plus que du spectacle.
J'ai reçu un autre message." J'ai mal au bras à force de me branler en regardant ton joli cul". Ca y est, c'est un homme ! Pourquoi ?, une femme peut se branler aussi ? Non ! Une femme se sert plus de ses doigts plutôt que de son bras. Comment, homme ou femme, lui faire savoir que je suis disponible.
Le message suivant me demandait de me retourner. Encore un autre pour me demander de me branler.Un autre encore, pour montrer mon trou, puis un autre encore, pour m'enfoncer dans le cul, ce que je trouverai dans ma boîte.
C'était un gros pilon en grès, dont on se sert pour écraser les légumes ou les graines. Je me le suis enfoncé dans le rectum, et me suis retourné, le dos vers la fenêtre.
Encore un message pour me dire de me rendre à son adresse. Qu'il brûle de caresser mes fesses, de les lécher. De fourrer sa bite dans ma bouche, puis dans mon cul.
Le lendemain, un nouveau message pour me dire qu'il ou elle, s'est branlé(e) de longues heures en regardant le massif objet, enfoncé dans mon cul. Peut-être qu'un jour, il y mettra un doigt, voire sa bite.
Je me suis précipité à la fenêtre, et j'ai scruté de longues heures pour surprendre quelqu'un, regarder chez moi, ou utiliser des jumelles. Personne...ça commençait à m'énerver.
J'ai commencé à faire des strip-teases devant la fenêtre. J'ai commencé par enlever mon t-shirt. Puis, en caleçon, je me suis tortillé, faisant descendre, le plus lentement possible, le sous-vêtement. D'abord de mes reins, en suivant la courbure de mes fesses, puis, le long de mes cuisses, pour qu'il puisse admirer le galbe de mon cul.
Le lendemain, nouveau message."J'aimerai bien voir aussi, l'envers du décor...". La moutarde commençait à me monter au nez. K'ai remis mon caleçon, après m'être un peu branlé. J'ai commencé à descendre mon caleçon à nouveau, avec autant de lenteur que la veille, jusqu'à ce que ma pine, bien raide, bondisse hors de sa cache.
Le message suivant a dit : N'as-tu pas un compagnon pour te bourrer le cul ?
Le jour d'après, je me suis présenté à la fenêtre, de profil. J'avais un drôle d'attirail entre mes pieds. J'avais lu sa description dans "Roy", de Roger Peyrefitte. Il s'agit d'une sorte d'entrave, comme celles qu'on utilise pour empêcher les chevaux de marcher, et qui se noue autour des chevilles. Au milieu de l'entrave, se trouve un gode, qu'on s'enfonce dans le cul et qu'on fait glisser entre les fesses, en ondulant des reins.
Le message suivant disait : Je savais bien que tu avais quelqu'un !
Quelques jours plus tard, en vérifiant mes comptes, j'ai trouvé des facturettes d'achat pour des miroirs, un bloc de post it, et un article de sex shop.
Je suis retourné dans la salle de bains. Dans la douche, il y a une glace, dont je me sers pour me raser. On y voit la fenêtre de ma chambre, et juste à côté, le grand miroir devant lequel je m'habille. Soudain, un doute m'habite, mon goût pour les fantasmes, me jouerait-il des tours, deviendrais-je somnambule ? Serait-ce moi qui déposait les messages dans la boîte aux lettres ? Le pilon en grès, je me souviens que ma femme en a un....
Je devrais peut-être consulter un psy ! Moi qui ai toujours rêvé de raconter des histoires de sexe ! Heureusement, il y a HDS.
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