Vous en avez certainement rêvé, nous avons fait - histoire érotique

Qui n’a jamais rêvé de cela ?

Nous formions un couple illégitime depuis quelques années et cette situation nous convenait totalement. Rencontrés à l’étranger alors que nous avions une relation employeur employé. J’étais l’employé. Nous sommes tombés dans les bras l’un de l’autre. Tout était clair quant à nos situations respectives. Elle et moi en couples de notre côté, il ne devait s’agir que d’une simple histoire de sexe.
Puis les rencontres aidant, nous avons été plus loin au point de former ce couple illégitime pas mal branchés sexe. Nous sommes allés passer des congés ensemble à Marseille, j’avais choisi sur recommandations un petit hôtel sympathique, bien à tous les niveaux, proche du vieux port, chambre très cocooning, sauna, proche des restaurants et du Faro.
Nous décidons un jour d’aller visiter l’île située face ou presque au port et d’y passer un moment agréable. Le trajet en bateau rapide réalisé, nous voici libres de nos mouvements car nous détestons les visites de groupe et car je connais assez bien cette île, son histoire et ses sentiers. Moi vêtu d’un pantalon en lin et d’une chemise de flanelle, elle avec une robe que je nommais son filet de pêche. Un vêtement moulant dos nu, juste au-dessus des genoux, en maille claire. Un genre de jupon pour dissimuler ses dessous. J’adorais cette robe qui la rendais sexy et provoquante. On voyait ses tétons qui essayaient de percer le tissu. Elle a de petits seins durs et ses tétons font toujours saillie comme si elle n’avait qu’une envie, celle de se faire sucer les bouts. Bref, nous décidons de prendre un sentier pour faire le tour de cette île seuls sans que l’on entende les gosses et les touristes crier ou brâmer durant notre balade. Nous partons à contre sens man dans la main. Le paysage est magnifique on peut voir Marseille un bout des calanques et la mer durant tout le parcours. Bien sûr je ne peux m’empêcher de la toucher tout comme elle adore me faire des bisous coquins pour me provoquer. Je n’ai rien à dire je ne peux qu’accepter car je sais qu’elle ne sait pas rester de glace. Parfois nous stoppons notre parcours pour nous dévorer nous palper et nous provoquer bien sûr. Là je découvre qu’elle ne porte pas de dessous ma main ayant décidé d’aller sous sa robe je remonte jusqu’à son abricot doux comme il se doit, sans poli ni duvet. Je la fixe dans les yeux elle retire ma main en disant non mais toi alors. Nous nous sourions et je sens sa main glisser vers mon entre jambe et me masser le service 3 pièce.
« Salop tu es dans un de ces état. Tu n’en a jamais assez toi mon amant. » Je replonge ma main sous sa robe aucun refus et arrive vers les lèvres humides de son coquillage mouillé.
« Et toi non plus coquine » lui dis-je.
Nous éclatons de rire je lui annonce qu’à notre retour sur la terre ferme elle allait subir mes assauts car j’aurais trop mal aux bourses tant elle m’excitait. Sa réponse est directe :
« Nous verrons combien de temps tu tiendras ».
Sur ces mots nous reprenons notre balade j’aurais aimé me baigner même nu mais pas trop le temps nous arrivons par le côté ouest face à Marseille et je lui décris ce que l’on peut distinguer, et l’histoire de cette île qui fut occupée par les allemands. Elle se pose devant moi pour suivre mon bras qui indique les fortification, l’autre île etc. Et je sens qu’elle me taquine en remuant ses fesses contre mon bassin pour m’allumer. Elle n’écoute presque plus ce que je raconte puis passe une main entre nous pour relever sa robe et me découvrir sa croupe. Au passage elle saisit ma queue tendue pour en découvrir mon état d’excitation.
« Baise-moi là maintenant j’en ai envie et je sens bien que tu bandes comme un cerf. »
Je baisse alors mon pantalon et mon boxer, elle regarde par-dessus son épaule pour me voir faire, se penche en avant et s’appuie sur le muret. Vas y profond ça m’excite. Je guide ma queue entre ses lèvres et rentre dans son étui chaud. Après quelques vas et viens je la cramponne avec mes mains et la besogne, elle gémit puis pour plaisanter je lui explique que devant nous au niveau du sémaphore, il y a une personne qui nous matte avec des jumelles.
Cela lui d’éclanche un orgasme fort et des gémissements, suivis de mots crus.
« Et bien qu’il en profite »
Et elle se dandine pour qu’à mon tour je la remplisse de ma semence, ce qu’elle adore plus que tout.
« Hop hop hop, on va rater le départ me dit-elle en me chassant d’un coup de reins. Elle baisse sa robe, remonte mon boxer et mon pantalon et me fait remarquer l’auréole qui orne mon pantalon. Elle recouvre cela avec le pan de ma chemise, me prends la main et nous rejoignons le bateau.
Entre temps nous stoppons et elle se plaque dos aux rochers.
« Tu as le temps, encore 10 minutes. Nettoie-moi avec ta langue tu m’en a mis partout répare les dégâts, ça dégouline je n’arrive pas à retenir ».
Je me suis mis à genoux face à elle, elle a remonté sa jupe et écarté ses jambes superbes. Effectivement un filet de ma semence et de sa cyprine coulait de son abricote d’amour. J’adore cela de plus, je me suis alors appliqué et suis venu sucer délicatement son bouton en prenant soin d’écarter ses lèvres.
Une fois cette besogne accomplie, je me relevais et plaquais ma bouche sur la sienne, assurément satisfaite de mon initiative, elle me Lechat goulument. Nous sommes alors repartis et arrivé à destination pour embarquer et revenir sur Marseille. Il devait être 12.30 nous sommes allés prendre une collation, et comme programmé sommes ensuite allé faire un tour vers Bandol en moto. Nous avions pris grand soin de prendre des maillots pour profiter de l’eau des criques magnifiques. Collés l’un à l’autre nous avons passé une fin de journée à rêvasser de nos prochaines coquineries qui n’ont pas manquées de se produire rapidement.