Voyage à Bruxelles
Récit érotique écrit par San [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2003 dans la catégorie Plus on est
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Voyage à Bruxelles
Je vais vous raconter l'histoire que j'ai vécu ce samedi 30 novembre.
Ma fiancée (que j'appellerais Sophie) et moi-même (Benoît) avions eu l'idée de passer une journée à nous balader et faire du shopping à Bruxelles.
J'avais demandé à cette occasion à Sophie qu'elle porte une minijupe avec des bas jarretières par-dessous mais, elle n'a pas voulu car elle avait peur d'avoir froid et qu'elle n'avait pas de bas. A ma grande déception, elle enfila un pantalon noir classique, en dessous, un ensemble soutien-gorge balconnet et string aubade noir. Malgré tout, elle était très belle. Il faut dire qu'elle est très grande : 1m78, 60kg, 95D de tour de poitrine, brune cheveux mi-longs.
Nous avons donc pris le train au matin à Charleroi. Il y avait énormément de monde ce qui m'empêcha dans le train d'avoir les mains baladeuses (surtout qu'avec un pantalon, c'est déjà plus dur). Nous avons passé la journée à nous balader et à faire du shopping. Je lui ai acheté une paire de bottes en cuir noir et un manteau long noir avec un col de fourrure gris. J'en ai profité également pour lui acheter plusieurs paires de bas autofixants. Le ciel n'était pas trop moche et nous avions quand même fort chaud. De ce fait, je n'ai pas arrêté de lui casser les pieds avec son refus de mettre une jupe, qu'elle aurait eu moins chaud. Nous avons été manger au restaurant et là, j'ai quand même pu commencé à tripoter ma femme. Je lui caressais l'entrecuisse, remontais lentement vers son sexe, lui frôlais les seins, je la sentais très excitée et je pouvais voir que ses tétons pointaient déjà très fort sous son chemisier.
Elle, ne se gênait pas pour me caresser sans vergogne mon sexe tendu au maximum par l'envie que j'avais à lui sauter dessus. Le reste de la journée continua ainsi avec des attouchements qui devenaient de plus en plus voyant aux yeux des autres. On rencontrait parfois des gens qui nous regardaient d'un mauvais oeil mais on s'en foutait. Nous avons décidé de reprendre le train de 22h41 à la gare centrale. C'est là que tout s'est déclenché. Nous étions sur le quai et, à cette heure, il n'y avait presque personne et faisait déjà noir. Sophie me dit alors :
"Que dirais-tu si j'allais aux toilettes et que je revenais avec uniquement mes bas, mes bottes et mon manteau au-dessus?"
Je lui ai dit : "Chiche!"
Elle m'a prit les sacs et s'est dirigée aux toilettes. Un quart d'heure plus tard, je la vois revenir vêtue comme elle me l'avait dit, elle s'était remaquillée (le rouge sur ses lèvres la rendait vraiment désirable), elle était superbe. Elle s'est collée à moi et je n'ai pu résister à la tentation de passer mes mains sous son manteau. J'ai passé ma main sur sa cuisse droite et suis remonté vers le haut de ces bas. Au premier contact de sa peau, elle poussa un petit gémissement de plaisir dans le creux de mon oreille. Je la sentais prête à faire n'importe quoi pour assouvir son désir de sexe. Moi, j'étais dans un état lamentable avec une énorme bosse au niveau du slip, ce qui ne faisait que l'exciter encore plus fort. Le train arriva en gare et je dus la lâcher pour monter dans le train. Comme je l'ai dit, il n'y avait personne dans le wagon dans lequel nous étions. Elle s'est assise du côté de la vitre et moi à ses côtés. Je n'ai pas pu résister plus longtemps, j'ai déboutonné complètement son manteau et l'ai ouvert entièrement. Le spectacle était de toute beauté.
Elle était là, avec uniquement ses bas noirs, ses bottes et rien d'autre. Ses tétons pointant violemment. Instinctivement, elle écarta les cuisses. Je pus voir alors que sur la doublure du manteau, il y avait des traces humides. J'ai donc immédiatement glissé ma main sur son sexe rasé pour constater son degré d'excitation. J'ai pu directement y entrer trois doigts. Elle poussa un petit cri de plaisir sous cette brusque intrusion dans son intimité. J'approchai mes lèvres des siennes et on commençait à s'embrasser fougueusement sans que jamais je ne retire mes doigts de son sexe si juteux. Elle sous l'effet de l'excitation déboutonna mon jeans ainsi que mon boxer noir pour y laisser sortir mon sexe dans toute la splendeur de son érection.
Elle commença un doux va et vient et moi aussi, je commençais à mouiller terriblement. A ce moment là, un bruit nous surpris et c'était le contrôleur qui venait d'entrer dans notre wagon. On se rajusta en vitesse. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je vis que le contrôleur était un vieil ami à moi que j'avais perdu de vue depuis peu. Lui, ne fut pas dupe et avait déjà compris notre petit manège et me dit en nous saluant que ça ne le dérangeait pas si on continuait. D'habitude, ma Sophie est plutôt timide et réservée, mais, là, dans son excitation, mon ami avait à peine fini sa phrase qu'elle avait déjà rouvert son manteau et écarté les jambes. J'en fus agréablement surpris. Ma main reprit position dans son sexe et elle fit de même sur le mien.
Mon ami avait déjà une belle bosse qui s'était formée et que l'on ne pouvait pas rater vu la déformation du pantalon et ma femme l'avait déjà remarqué. Elle commença à me masturber de plus en plus vite et comme je ne voulais pas jouir tout de suite, je me suis jeté à genoux entre ses jambes et j'ai commencé à lui lécher son minou détrempé par la liqueur qui coulait littéralement d'entre ses lèvres. Je me délectais. Pendant ce temps là, mon ami avait ouvert son pantalon et avait sorti son sexe. Il était un peu moins grand que le mien mais, ça n'en déplu pas du tout à ma Sophie. Elle l'attira vers elle et commença à le sucer très fort en avalant entièrement son sexe. J'étais quand même un peu jaloux et accélérai le mouvement sur son clito.
Elle ne pouvait se retenir de lâcher des râles de plaisir de plus en plus fort et mon ami, étant si excité, ne put pas se retenir plus longtemps et jouit dans la bouche de ma douce. Il se déchargea complètement, ma femme ne voulant pas boire le sperme d'un autre, s'en recouvrit le visage ainsi que ses seins. On aurait dit une véritable source tellement il en avait. Moi, de voir cette vision, j'étais surexcité. Je me suis introduit d'un seul coup dans sa chatte détrempée et là, elle jouit quasi immédiatement. Moi, je ne voulais pas en rester là et continuais jusqu'à ce qu'elle attrape un orgasme très violent, elle se secouait dans tous les sens.
Moi, n'en pouvant plus, je remontais pour qu'elle me suce et là; ce fut véritablement le pied, elle me suça comme une gourmande et avala tout le contenu jusqu'à la dernière goutte et pendant ce temps là, mon ami s'était réinstallé à ma place et continuait à lui lécher sa chatte. Elle eut alors comme une sorte d'éjaculation, mon ami en eu le visage complètement recouvert, ce qui le remit en forme et introduisit son sexe dans ma femme. Elle me suçait encore plus fort et me remis en forme en même pas deux minutes. Elle retira mon sexe de sa bouche dans un bruit de succion et dit :
"Je suis une chienne, je veux que vous me baisiez à fond tous les deux!"
Elle se leva, ordonna à mon ami qu'il se couche sur le dos. Il s'exécuta et elle s'empala le cul dessus. Elle cria de plaisir et me montra ensuite le chemin de sa chatte. Elle était devenue comme je ne l'avais jamais vu. Une véritable salope prête à tous les vices pour se combler. Elle jouissait tellement fort que j'ai cru que les gens des autres wagons allaient venir voir ce qui se passait. Il n'en fut rien. On se déchargea en elle en même temps. Là, enfin, elle fut rassasiée.
Elle se releva encore droguée par tout ce plaisir et remit son manteau. Elle embrassa mon ami qui se rhabillait également et il partit poursuivre son triste contrôle de billets. Moi, j'étais vraiment heureux de ce qui venait de se passer. Sophie s'assoupit dans mes bras pour le reste du voyage qui ne dura pas plus de 10 minutes.
Cette expérience était vraiment super et j'espère que ça nous a ouvert de nouvelles voies à tous les deux.
Si vous avez apprécié mon histoire, ou que vous avez des commentaires ou qu'il vous est arrivé plus ou moins la même chose, vous pouvez me le raconter sur mon mail : sangoku107@hotmail.com
Ma fiancée (que j'appellerais Sophie) et moi-même (Benoît) avions eu l'idée de passer une journée à nous balader et faire du shopping à Bruxelles.
J'avais demandé à cette occasion à Sophie qu'elle porte une minijupe avec des bas jarretières par-dessous mais, elle n'a pas voulu car elle avait peur d'avoir froid et qu'elle n'avait pas de bas. A ma grande déception, elle enfila un pantalon noir classique, en dessous, un ensemble soutien-gorge balconnet et string aubade noir. Malgré tout, elle était très belle. Il faut dire qu'elle est très grande : 1m78, 60kg, 95D de tour de poitrine, brune cheveux mi-longs.
Nous avons donc pris le train au matin à Charleroi. Il y avait énormément de monde ce qui m'empêcha dans le train d'avoir les mains baladeuses (surtout qu'avec un pantalon, c'est déjà plus dur). Nous avons passé la journée à nous balader et à faire du shopping. Je lui ai acheté une paire de bottes en cuir noir et un manteau long noir avec un col de fourrure gris. J'en ai profité également pour lui acheter plusieurs paires de bas autofixants. Le ciel n'était pas trop moche et nous avions quand même fort chaud. De ce fait, je n'ai pas arrêté de lui casser les pieds avec son refus de mettre une jupe, qu'elle aurait eu moins chaud. Nous avons été manger au restaurant et là, j'ai quand même pu commencé à tripoter ma femme. Je lui caressais l'entrecuisse, remontais lentement vers son sexe, lui frôlais les seins, je la sentais très excitée et je pouvais voir que ses tétons pointaient déjà très fort sous son chemisier.
Elle, ne se gênait pas pour me caresser sans vergogne mon sexe tendu au maximum par l'envie que j'avais à lui sauter dessus. Le reste de la journée continua ainsi avec des attouchements qui devenaient de plus en plus voyant aux yeux des autres. On rencontrait parfois des gens qui nous regardaient d'un mauvais oeil mais on s'en foutait. Nous avons décidé de reprendre le train de 22h41 à la gare centrale. C'est là que tout s'est déclenché. Nous étions sur le quai et, à cette heure, il n'y avait presque personne et faisait déjà noir. Sophie me dit alors :
"Que dirais-tu si j'allais aux toilettes et que je revenais avec uniquement mes bas, mes bottes et mon manteau au-dessus?"
Je lui ai dit : "Chiche!"
Elle m'a prit les sacs et s'est dirigée aux toilettes. Un quart d'heure plus tard, je la vois revenir vêtue comme elle me l'avait dit, elle s'était remaquillée (le rouge sur ses lèvres la rendait vraiment désirable), elle était superbe. Elle s'est collée à moi et je n'ai pu résister à la tentation de passer mes mains sous son manteau. J'ai passé ma main sur sa cuisse droite et suis remonté vers le haut de ces bas. Au premier contact de sa peau, elle poussa un petit gémissement de plaisir dans le creux de mon oreille. Je la sentais prête à faire n'importe quoi pour assouvir son désir de sexe. Moi, j'étais dans un état lamentable avec une énorme bosse au niveau du slip, ce qui ne faisait que l'exciter encore plus fort. Le train arriva en gare et je dus la lâcher pour monter dans le train. Comme je l'ai dit, il n'y avait personne dans le wagon dans lequel nous étions. Elle s'est assise du côté de la vitre et moi à ses côtés. Je n'ai pas pu résister plus longtemps, j'ai déboutonné complètement son manteau et l'ai ouvert entièrement. Le spectacle était de toute beauté.
Elle était là, avec uniquement ses bas noirs, ses bottes et rien d'autre. Ses tétons pointant violemment. Instinctivement, elle écarta les cuisses. Je pus voir alors que sur la doublure du manteau, il y avait des traces humides. J'ai donc immédiatement glissé ma main sur son sexe rasé pour constater son degré d'excitation. J'ai pu directement y entrer trois doigts. Elle poussa un petit cri de plaisir sous cette brusque intrusion dans son intimité. J'approchai mes lèvres des siennes et on commençait à s'embrasser fougueusement sans que jamais je ne retire mes doigts de son sexe si juteux. Elle sous l'effet de l'excitation déboutonna mon jeans ainsi que mon boxer noir pour y laisser sortir mon sexe dans toute la splendeur de son érection.
Elle commença un doux va et vient et moi aussi, je commençais à mouiller terriblement. A ce moment là, un bruit nous surpris et c'était le contrôleur qui venait d'entrer dans notre wagon. On se rajusta en vitesse. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je vis que le contrôleur était un vieil ami à moi que j'avais perdu de vue depuis peu. Lui, ne fut pas dupe et avait déjà compris notre petit manège et me dit en nous saluant que ça ne le dérangeait pas si on continuait. D'habitude, ma Sophie est plutôt timide et réservée, mais, là, dans son excitation, mon ami avait à peine fini sa phrase qu'elle avait déjà rouvert son manteau et écarté les jambes. J'en fus agréablement surpris. Ma main reprit position dans son sexe et elle fit de même sur le mien.
Mon ami avait déjà une belle bosse qui s'était formée et que l'on ne pouvait pas rater vu la déformation du pantalon et ma femme l'avait déjà remarqué. Elle commença à me masturber de plus en plus vite et comme je ne voulais pas jouir tout de suite, je me suis jeté à genoux entre ses jambes et j'ai commencé à lui lécher son minou détrempé par la liqueur qui coulait littéralement d'entre ses lèvres. Je me délectais. Pendant ce temps là, mon ami avait ouvert son pantalon et avait sorti son sexe. Il était un peu moins grand que le mien mais, ça n'en déplu pas du tout à ma Sophie. Elle l'attira vers elle et commença à le sucer très fort en avalant entièrement son sexe. J'étais quand même un peu jaloux et accélérai le mouvement sur son clito.
Elle ne pouvait se retenir de lâcher des râles de plaisir de plus en plus fort et mon ami, étant si excité, ne put pas se retenir plus longtemps et jouit dans la bouche de ma douce. Il se déchargea complètement, ma femme ne voulant pas boire le sperme d'un autre, s'en recouvrit le visage ainsi que ses seins. On aurait dit une véritable source tellement il en avait. Moi, de voir cette vision, j'étais surexcité. Je me suis introduit d'un seul coup dans sa chatte détrempée et là, elle jouit quasi immédiatement. Moi, je ne voulais pas en rester là et continuais jusqu'à ce qu'elle attrape un orgasme très violent, elle se secouait dans tous les sens.
Moi, n'en pouvant plus, je remontais pour qu'elle me suce et là; ce fut véritablement le pied, elle me suça comme une gourmande et avala tout le contenu jusqu'à la dernière goutte et pendant ce temps là, mon ami s'était réinstallé à ma place et continuait à lui lécher sa chatte. Elle eut alors comme une sorte d'éjaculation, mon ami en eu le visage complètement recouvert, ce qui le remit en forme et introduisit son sexe dans ma femme. Elle me suçait encore plus fort et me remis en forme en même pas deux minutes. Elle retira mon sexe de sa bouche dans un bruit de succion et dit :
"Je suis une chienne, je veux que vous me baisiez à fond tous les deux!"
Elle se leva, ordonna à mon ami qu'il se couche sur le dos. Il s'exécuta et elle s'empala le cul dessus. Elle cria de plaisir et me montra ensuite le chemin de sa chatte. Elle était devenue comme je ne l'avais jamais vu. Une véritable salope prête à tous les vices pour se combler. Elle jouissait tellement fort que j'ai cru que les gens des autres wagons allaient venir voir ce qui se passait. Il n'en fut rien. On se déchargea en elle en même temps. Là, enfin, elle fut rassasiée.
Elle se releva encore droguée par tout ce plaisir et remit son manteau. Elle embrassa mon ami qui se rhabillait également et il partit poursuivre son triste contrôle de billets. Moi, j'étais vraiment heureux de ce qui venait de se passer. Sophie s'assoupit dans mes bras pour le reste du voyage qui ne dura pas plus de 10 minutes.
Cette expérience était vraiment super et j'espère que ça nous a ouvert de nouvelles voies à tous les deux.
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