voyage au cap d'Agde - récit N°1 - histoire érotique

Je vais vous raconter cette histoire se passant lors de mes vacances au cap d’Agde en Juillet 2006.

Je fais 1m65 pour 49kg, je suis blonde avec un bon 80C. J’avais 22ans à l’époque. Généralement les mecs qui me croise dans la rue se retourne pour me mater et j’ai toujours eu pas mal de succès autant vers les hommes que les femmes dont je suis également très friande pour une petite partie de jambes en l’air.

Venant de rompre avec mon copain, j’ai décidé de partir seule en vacances pour me rafraîchir l’esprit et connaître un autre endroit que ceux que je voyais tous les jours. Je pris donc la décision d’aller au cap d’Agde, l’endroit étant connu pour son esprit festif et chaud.

Je ne vous mentirais pas à ce moment de l’histoire que j’y allais également pour rencontrer d’autres mecs et me changer les idées avec eux après ma relation rompue. Je ne vous mentirai pas non plus en vous disant que j’avais envie de voir de nouveaux sexes masculins après avoir vu celui de mon ex pendant plus de 5ans.

J’avais décidés avant de partir d’aller en camping. Les chaleurs étant estivales en plein mois de Juillet je choisissais avec soin ma garde-robe, je pris avec moi de nombreuses minijupes, des tops à décolletés plongeant, pour que les mecs ne perdent rien de ma belle poitrine, et également deux robes de soirée, l’une rouge et l’autre noir, avec décolleté plongeant. Je trouvais ces deux robes magnifiques car fendillées sur le côté en remontant jusqu’au haut de mes cuisses.

Je partais donc avec le train pour le cap d’Agde en m’habillant d’une minijupe blanche qui laissait transparaître mon string noir que j’avais en dessous et d’un top également blanc avec aucun soutien-gorge en dessous. (Je préfère avoir ma poitrine libre.) je m’étais également des chaussure à talons et prenait bien garde de bien me maquillé.

En montant dans le train je ne pus ne pas sentir les regards salaces des mecs sur mes fesses et également quand je posais ma valise dans le compartiment à bagage. Étant donné qu’il n’y avait plus de places aux étages supérieurs pour ma valise j’ai été obligé de me baisser pour la ranger en faisant bien attention de bien me cambrer pour que les hommes derrière moi ne puisse louper aucun angle de ma croupe offerte à leurs yeux. J’entendais des sifflements à ce moment-là ce qui ne me gênait point.

J’allais ensuite m’asseoir dans le compartiment à côté d’un bel homme qui semblait dormir. Je m’aperçus en fait qu’il avait les yeux qu’à demi-ouverts et qu’il me matait on ne peut plus intensément. Il y avait quelque chose chez lui qui m’excitait mais je ne savais quoi.

Je m’assis donc et mon charmant voisin fit semblant de se réveiller. Il me regarda avec un grand sourire tout en me reluquant de la tête aux pieds. Il me lança alors : « vous si êtes si charmante qu’aucun homme ne pourrait être insensible à votre charme mademoiselle. », je bafouillais un merci en lui répondant qu’il n’était pas mal non plus.

À ce moment le train partit de gare et je pris un magazine dans mon sac pour le lire. En faisant un petit coup d’œil à côté de moi je remarquais que mon voisin ne me quittait pas des yeux et que surtout il avait son regard fixé sur ma poitrine. Je m’amusais un peu de ceci. En feignant remettre mon top un peu droit je découvris encore un peu plus ma poitrine à la limite de mes tétons qui commençaient à durcir. Je remarquais également qui mon string commençait à être humide.

En me levant pour aller aux toilettes je sentis son regard (en celui de beaucoup d’autres) sur mes fesses que je m’amusais à dandiner comme une salope en traversant le wagon. Après avoir terminé aux toilettes en me remettant un peu de maquillage, en refaisant un peu ma coiffure, j’ouvris la porte, et qu’elle ne fut pas ma surprise de découvrir mon voisin juste devant la porte. Je sortis tout de même dans le couloir pour bavarder un peu avec lui. Il me dit qu’il avait une grande envie de moi et qu’il n’arrivait pas à ôter mon image de son esprit. Il me complimentait sur mes seins, mes fesses, et moi je faisais ma petite fille timide et pas facile, alors que je n’avais qu’une envie, c’est qu’il vienne me baiser dans les toilettes.

Au bout d’un moment n’y tenant plus je l’embrassais fougueusement et l’emmena nous enfermer dans les toilettes. Une fois à l’intérieur il mit ses mains sur mes fesses pendant que je l’embrassais à pleine bouche et que nos langues tournoyaient. Mes mains étant libres je lui dégrafait son pantalon et le lui descendit ainsi que son caleçon. Je découvris alors un membre d’une taille respectable, bien raide et prêt à m’enfourner.

J’enlevais également son t-shirt et commença à descendre lentement le long de son corps avec ma langue. Je passais à côté de son membre turgescent en descendant sur ses cuisses. Je remontais alors très lentement le long de ses cuisses jusqu’à ses testicules qui j’excitais en faisant des petits coups de langues dessus. Il commença alors à gémir. Je remontais ensuite tout lentement depuis ses testicules le long de son chibre bandé alors comme un âne, jusqu’à arriver à son gland que je titillais avec ma langue.

N’y pouvant plus je pris alors son sexe en bouche en allant jusqu’à pouvoir lécher ses testicules avec ma langue. Je restais quelque secondes comme ceci lui déclanchant un râle de plaisir que tous les couloir du train devait avoir entendu. Je fis ensuite des va-et-vient avec ma bouche le long de son sexe. Il m’arrêta à un moment car il était au bord de la jouissance. Il me releva et me tourna dos contre lui contre l’évier et entrepris de m’insérer deux de ses doigts à l’intérieur de ma chatte détrempée. Il commença un va-et-vient de plus en plus fort jusqu’à ce que j’atteigne une jouissance hors du commun.

À ce moment là il me pénétra d’un coup de son membre jusqu’au plus profond de mon sexe, je poussais un petit cri de plaisir. Il commença à me besogner en me tenant par les hanches. Je prenais un pied de folie. Pendant qu’il me pénétrait je faisais rouler mon clitoris entre deux doigts ce qui me fit partir vers un nouvel orgasme. Il me prit alors un sein entre l’une de ses mains tout en me baisant de plus en plus fort et de plus en plus vite. Au moment où j’atteignais un nouvel orgasme il se déchargea en moi. Je sentis son foutre chaud envahir mon ventre. Il se retira et commença à se rhabiller, me laissant comme une loque sur le lavabo, son sperme commençant à me couler le long des cuisses. Il ouvrit la porte et sortit me laissant pantelante dans les toilettes de ce train. Je refermais la porte vivement en ayant peur que quelqu’un ne rentre à ce moment.

J’attendis quelques instant, essuyait son sperme qui coulait entre mes cuisses, me rhabilla et sortit des toilettes. Je sentis les regards accusateurs des personnes se trouvant à proximité mais je n’en avais que faire ayant eu la meilleure baise depuis de longues années…

Je reviens donc à ma place, il n’était plus là, un autre homme ayant pris sa place, mignon lui également. Je m’endormais sur mon siège…

à bientôt pour la suite...