VOYAGE AU NIGERIA
Récit érotique écrit par Zizou8401 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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VOYAGE AU NIGERIA
Depuis notre expérience, où ma tendre belle sœur Myrice était tombée dans les pommes,
il s’est écoulé pas mal de temps. Mais nous nous voyons de temps en temps lorsqu’elle
est de passage à Douala. Car son activité de commerce l’emmène tantôt au Nigeria tout
comme en Guinée équatoriale et bien d’autres destinations encore.
Donc, la voilà pour deux jours à la maison avant de reprendre la route pour Lagos. Et
en discutant tranquillement autour d’un petit verre de vin rosé de France, elle me
dit.
Tu sais, depuis le temps que je vais là-bas toute seule, je trouve la route un peu
longue. Est-ce que ça te dirait de m’accompagner, si ma sœur bien sûr est d’accord ?
Mais pourquoi pas. D’autant que ça me sortirait un peu de Douala. Oui, c’est une très
bonne idée.
Charlie, qu’est ce que tu en penses. Est ce que Régis peut m’accompagner pour ce
voyage ?
Mais oui, il n’y a pas de problème. Je sais qu’avec toi, il ne risquera rien.
Merci ma chérie. Je vais voyager un peu. Et avec Mimi se sera un plaisir. Au fait,
nous partons combien de jours ?
Une bonne semaine. Le temps de voir mes fournisseurs et de faire mes achats.
Nous partons quand… demain ?
Oui de bonne heure.
De bonne heure, au Cameroun, ce n’est pas avant dix heures du matin. Donc, le
lendemain matin, après avoir fait ma valise et chargé la voiture, nous prenons la
route en direction de Limbé et de la frontière entre le Cameroun et le Nigeria. Après
trois cents bornes, ce qui est peu, mais avec l’état des routes en Afrique, ça
représente plus de six heures de conduite et pas mal de fatigue, nous faisons une
halte pour la nuit dans un petit hôtel au confort moyen. Mais cela n’avait pas
beaucoup d’importance. Car le principal, pour nous, était de pouvoir nous retrouver
ensemble dans un endroit tranquille. Et là, je peux vous dire que c’était plus que
calme.
Après un dîner aux saveurs locales, bien assaisonné, nous retrouvons notre chambre
vers vingt et une heure trente. Je donne un tour de clef à la porte, sécurité oblige,
et là, Myrice me dit.
Je vais prendre une bonne douche. La route a été pénible et il a fait vraiment chaud
aujourd’hui.
Tu crois… Je vais y aller aussi.
Quelques instants après, j’entends.
Tu viens me frotter le dos ?
Mais bien sûr. Je me déshabille et je viens.
Je jette sans trop regarder mon pantalon, ma chemise et mon caleçon, et me voilà à
poil dans la salle de bains où ma tendre belle sœur m’attendait à moitié recouverte de
savon. Je prends de ses mains, le gant de toilette et me voilà en train de lui
savonner le dos. Mais, insensiblement et délicatement ma main va chercher toujours un
peu plus loin. Je lui repasse le gant savonneux sur ses magnifiques seins, puis petit
son ventre rond, ses magnifiques fesses, ses très belles cuisses. En gros, je la
recouvre entièrement de mousse même si ce n’était pas nécessaire. Mais bon ça fait
parti du jeu. Et, pour finir, après avoir jeté le gant et le savon, mes mains
remontent lentement ses superbes jambes jusqu’à sa divine fente que je commence à
caresser.
Là, ma belle sœur me dit d’un air un peu charmeur.
Je croyais t’avoir demandé de me savonner juste le dos.
Oui, d’accord. Mais je n’ai pas pu m’empêcher de faire le reste. C’est tellement bon.
Tu ne peux pas dire le contraire… !
Oui, tu as raison. Bon maintenant puisque tu m’as ouvert l’appétit, je vais m’occuper
de toi.
OK, y a pas de problème. Mais attention, tu sais que je suis sensible. Je ne réponds
pas de mes actes si tu vas trop loin.
Myrice me lança un regard et se met à rire.
Voilà qu’elle ramasse le gant qui se trouvait dans le bac à douche, et armée du savon,
elle me recouvre de mousse de la tête aux pieds. Une fois fait, elle jette, tout comme
moi quelques minutes auparavant le gant et le savon, et remonte vers mon pénis, le
prend au creux de sa main pour le caresser avec douceur. Dans l’instant qui suivit ma
bestiole se redressa pour prendre la forme d’une grosse banane Plantain. Il n’y avait
rien d’étonnant. Car cette belle coquine est très adroite en la matière. Malgré ses
vingt six ans, elle sait ce qu’il faut faire pour donner du plaisir à un homme.
Pour moi, c’était clair comme de l’eau de roche. J’avais déjà compris ce qu’elle
voulait dès l’instant où elle m’avait demandé de venir lui frotter le dos. Après nous
être rincé, elle se met à genoux et commence une longue et douce fellation comme je
les adore.
Plusieurs minutes après, elle lâcha sa grosse banane et vient s’appuyer face au lavabo
les jambes largement ouvertes m’offrant sa croupe toute entière.
Et là, elle me dit.
Viens, lèche-moi le minou. J’ai envi de ta langue sur mon bouton d’amour.
Alors, c'est avec beaucoup de soin que je lui lèche son bouton et sa fente brûlante
déjà passablement mouillée. Ma belle sœur était déjà relativement excitée. Ce qui fait
que je n’ai pas eu beaucoup de mal pour la faire jouir. Donc, sans trop perdre de
temps, je lui plante mon dard tout au fond de sa petite chatte et les coups de
boutoirs l’emmènent rapidement dans un premier orgasme qui ne termina qu’au bout d’un
bon quart d’heure.
Après ce premier round, pendant lequel j’ai eu tout le temps d’admirer ses belles
fesses bien rebondies et surtout sa rondelle plissée. L’envie de lui prendre était
devenue une vraie obsession. Je ne pouvais plus attendre de lui demander.
Myrice ; tu sais ce que l’on avait parlé l’autre fois lorsque nous avons fait l’amour
à Douala.
Oui, je me souviens. Tu veux qu’on le fasse là maintenant.
J’aimerai bien si tu es décidée.
Pourquoi pas. Mais tu ne me prends pas comme un sauvage… !
Non. Ne t’inquiète pas, je vais te faire ça avec douceur.
Pour ce, nous rejoignons la chambre, pour être plus confortablement installés. Elle
s'installe sur le lit à quatre pattes en position de levrette. Je lui prépare bien son
petit orifice encore vierge. Insensiblement, voilà la rondelle étoilée de ma belle
sœur qui commence à se dilater.
Après un long moment de travail entre son petit orifice et sa fente détrempée, elle
recommence à gémir de plaisir. Il faut dire que j’y met du cœur à l’ouvrage, car j’en
ai une envie folle de lui perforer sa jolie rondelle plissée.
Et là, ma douce et tendre complice me demande d’une voix haletante.
Régis, prend moi le maintenant, mon petit trou, je me sens prête.
A ces mots, je ne dis rien. J’allais exécuter le plus grand de mes fantasmes et en
plus avec une femme que j’adore. Bref, l’extase en somme… ! Un dernier coup de langue
pour bien humidifier de salive cet anus accueillant et tant désiré. J’approche
doucement ma verge à l’entrée. Poussée après poussée je vois mon gland pénétrer
lentement à l’intérieur.
Là Myrice pousse un petit cri et me dit.
Waouh, c’est bon. Mais, vas-y doucement, ça fait un peu mal, prends tout ton temps.
J’ai envie que tu me fasses jouir.
Je reste concentré sur ce que je fais. Petit à petit, la banane Plantain s’enfonce de
plus en plus. Comme je ne veux pas qu’elle ait mal, je mesure la force de pénétration
avec attention.
Un instant après, Myrice se retourne vers moi et me lance un regard d’envie et me
dit :
Vas-y Régis. Cette fois c’est bon. Tu es bien dedans, vas-y enfonce la moi jusqu’au
fond, vas-y… accélère… C’est bon…
Ce n’était pas vraiment la peine de me le demander. A ces mots je met le marteau
piqueur en route et les va et vient se font de plus en plus intenses. Là, Myrice
commence à chanter sa chanson que je connais par cœur. La voilà reparti dans un nouvel
orgasme. Nous faisons l’amour comme de véritables bêtes en variant les positions
autant que possible. Pendant plus d’un quart d’heure, je lui ovalise son petit trou et
elle se régale autant que moi. Il faut dire que pour l’un comme pour l’autre c’est une
première.
La fin du deuxième round sonna. Elle, complètement épuisée et moi guère plus vaillant.
Après lui avoir déchargé la totalité de ma semence tout au fond de ses boyaux, je
retire mon gros bâton de ce fourreau serré avec le sentiment d’avoir fait ce qu’il
fallait pour combler de bonheur cette complice que j’adore.
Dans un dernier soupir, ma belle sœur me lance.
Tu sais, nous recommencerons demain soir. J’ai trop aimé. Je ne connaissais pas, mais
qu’est ce que c’est bon. Tu m’as fait jouir comme une malade. Régis, tu es le champion
du sexe. Tu as une verge qui me rend folle. Elle est vraiment faite pour moi. Je te
demande une chose et que ça reste un secret entre nous. Il ne faudra jamais rien dire
à personne sur ce qui se passe entre nous. Car je crois que ma sœur n’aimerait pas du
tout.
Je ne trouvai aucun mot à dire en réponse à cette phrase. Mais je me posais des
questions. Que voulez vous… Ainsi est faite la vie.
Bref, notre voyage dura une bonne semaine et chaque soir à l’hôtel avant de nous
endormir, j’ai eu droit à tout un tas de gâteries les plus diverses, les unes que les
autres, de la part de ma douce et tendre belle sœur. Et, cerise sur le gâteau, elle
m’a redemandé de la sodomiser plusieurs fois. Que demander de plus…
Zizoulabellequeue
il s’est écoulé pas mal de temps. Mais nous nous voyons de temps en temps lorsqu’elle
est de passage à Douala. Car son activité de commerce l’emmène tantôt au Nigeria tout
comme en Guinée équatoriale et bien d’autres destinations encore.
Donc, la voilà pour deux jours à la maison avant de reprendre la route pour Lagos. Et
en discutant tranquillement autour d’un petit verre de vin rosé de France, elle me
dit.
Tu sais, depuis le temps que je vais là-bas toute seule, je trouve la route un peu
longue. Est-ce que ça te dirait de m’accompagner, si ma sœur bien sûr est d’accord ?
Mais pourquoi pas. D’autant que ça me sortirait un peu de Douala. Oui, c’est une très
bonne idée.
Charlie, qu’est ce que tu en penses. Est ce que Régis peut m’accompagner pour ce
voyage ?
Mais oui, il n’y a pas de problème. Je sais qu’avec toi, il ne risquera rien.
Merci ma chérie. Je vais voyager un peu. Et avec Mimi se sera un plaisir. Au fait,
nous partons combien de jours ?
Une bonne semaine. Le temps de voir mes fournisseurs et de faire mes achats.
Nous partons quand… demain ?
Oui de bonne heure.
De bonne heure, au Cameroun, ce n’est pas avant dix heures du matin. Donc, le
lendemain matin, après avoir fait ma valise et chargé la voiture, nous prenons la
route en direction de Limbé et de la frontière entre le Cameroun et le Nigeria. Après
trois cents bornes, ce qui est peu, mais avec l’état des routes en Afrique, ça
représente plus de six heures de conduite et pas mal de fatigue, nous faisons une
halte pour la nuit dans un petit hôtel au confort moyen. Mais cela n’avait pas
beaucoup d’importance. Car le principal, pour nous, était de pouvoir nous retrouver
ensemble dans un endroit tranquille. Et là, je peux vous dire que c’était plus que
calme.
Après un dîner aux saveurs locales, bien assaisonné, nous retrouvons notre chambre
vers vingt et une heure trente. Je donne un tour de clef à la porte, sécurité oblige,
et là, Myrice me dit.
Je vais prendre une bonne douche. La route a été pénible et il a fait vraiment chaud
aujourd’hui.
Tu crois… Je vais y aller aussi.
Quelques instants après, j’entends.
Tu viens me frotter le dos ?
Mais bien sûr. Je me déshabille et je viens.
Je jette sans trop regarder mon pantalon, ma chemise et mon caleçon, et me voilà à
poil dans la salle de bains où ma tendre belle sœur m’attendait à moitié recouverte de
savon. Je prends de ses mains, le gant de toilette et me voilà en train de lui
savonner le dos. Mais, insensiblement et délicatement ma main va chercher toujours un
peu plus loin. Je lui repasse le gant savonneux sur ses magnifiques seins, puis petit
son ventre rond, ses magnifiques fesses, ses très belles cuisses. En gros, je la
recouvre entièrement de mousse même si ce n’était pas nécessaire. Mais bon ça fait
parti du jeu. Et, pour finir, après avoir jeté le gant et le savon, mes mains
remontent lentement ses superbes jambes jusqu’à sa divine fente que je commence à
caresser.
Là, ma belle sœur me dit d’un air un peu charmeur.
Je croyais t’avoir demandé de me savonner juste le dos.
Oui, d’accord. Mais je n’ai pas pu m’empêcher de faire le reste. C’est tellement bon.
Tu ne peux pas dire le contraire… !
Oui, tu as raison. Bon maintenant puisque tu m’as ouvert l’appétit, je vais m’occuper
de toi.
OK, y a pas de problème. Mais attention, tu sais que je suis sensible. Je ne réponds
pas de mes actes si tu vas trop loin.
Myrice me lança un regard et se met à rire.
Voilà qu’elle ramasse le gant qui se trouvait dans le bac à douche, et armée du savon,
elle me recouvre de mousse de la tête aux pieds. Une fois fait, elle jette, tout comme
moi quelques minutes auparavant le gant et le savon, et remonte vers mon pénis, le
prend au creux de sa main pour le caresser avec douceur. Dans l’instant qui suivit ma
bestiole se redressa pour prendre la forme d’une grosse banane Plantain. Il n’y avait
rien d’étonnant. Car cette belle coquine est très adroite en la matière. Malgré ses
vingt six ans, elle sait ce qu’il faut faire pour donner du plaisir à un homme.
Pour moi, c’était clair comme de l’eau de roche. J’avais déjà compris ce qu’elle
voulait dès l’instant où elle m’avait demandé de venir lui frotter le dos. Après nous
être rincé, elle se met à genoux et commence une longue et douce fellation comme je
les adore.
Plusieurs minutes après, elle lâcha sa grosse banane et vient s’appuyer face au lavabo
les jambes largement ouvertes m’offrant sa croupe toute entière.
Et là, elle me dit.
Viens, lèche-moi le minou. J’ai envi de ta langue sur mon bouton d’amour.
Alors, c'est avec beaucoup de soin que je lui lèche son bouton et sa fente brûlante
déjà passablement mouillée. Ma belle sœur était déjà relativement excitée. Ce qui fait
que je n’ai pas eu beaucoup de mal pour la faire jouir. Donc, sans trop perdre de
temps, je lui plante mon dard tout au fond de sa petite chatte et les coups de
boutoirs l’emmènent rapidement dans un premier orgasme qui ne termina qu’au bout d’un
bon quart d’heure.
Après ce premier round, pendant lequel j’ai eu tout le temps d’admirer ses belles
fesses bien rebondies et surtout sa rondelle plissée. L’envie de lui prendre était
devenue une vraie obsession. Je ne pouvais plus attendre de lui demander.
Myrice ; tu sais ce que l’on avait parlé l’autre fois lorsque nous avons fait l’amour
à Douala.
Oui, je me souviens. Tu veux qu’on le fasse là maintenant.
J’aimerai bien si tu es décidée.
Pourquoi pas. Mais tu ne me prends pas comme un sauvage… !
Non. Ne t’inquiète pas, je vais te faire ça avec douceur.
Pour ce, nous rejoignons la chambre, pour être plus confortablement installés. Elle
s'installe sur le lit à quatre pattes en position de levrette. Je lui prépare bien son
petit orifice encore vierge. Insensiblement, voilà la rondelle étoilée de ma belle
sœur qui commence à se dilater.
Après un long moment de travail entre son petit orifice et sa fente détrempée, elle
recommence à gémir de plaisir. Il faut dire que j’y met du cœur à l’ouvrage, car j’en
ai une envie folle de lui perforer sa jolie rondelle plissée.
Et là, ma douce et tendre complice me demande d’une voix haletante.
Régis, prend moi le maintenant, mon petit trou, je me sens prête.
A ces mots, je ne dis rien. J’allais exécuter le plus grand de mes fantasmes et en
plus avec une femme que j’adore. Bref, l’extase en somme… ! Un dernier coup de langue
pour bien humidifier de salive cet anus accueillant et tant désiré. J’approche
doucement ma verge à l’entrée. Poussée après poussée je vois mon gland pénétrer
lentement à l’intérieur.
Là Myrice pousse un petit cri et me dit.
Waouh, c’est bon. Mais, vas-y doucement, ça fait un peu mal, prends tout ton temps.
J’ai envie que tu me fasses jouir.
Je reste concentré sur ce que je fais. Petit à petit, la banane Plantain s’enfonce de
plus en plus. Comme je ne veux pas qu’elle ait mal, je mesure la force de pénétration
avec attention.
Un instant après, Myrice se retourne vers moi et me lance un regard d’envie et me
dit :
Vas-y Régis. Cette fois c’est bon. Tu es bien dedans, vas-y enfonce la moi jusqu’au
fond, vas-y… accélère… C’est bon…
Ce n’était pas vraiment la peine de me le demander. A ces mots je met le marteau
piqueur en route et les va et vient se font de plus en plus intenses. Là, Myrice
commence à chanter sa chanson que je connais par cœur. La voilà reparti dans un nouvel
orgasme. Nous faisons l’amour comme de véritables bêtes en variant les positions
autant que possible. Pendant plus d’un quart d’heure, je lui ovalise son petit trou et
elle se régale autant que moi. Il faut dire que pour l’un comme pour l’autre c’est une
première.
La fin du deuxième round sonna. Elle, complètement épuisée et moi guère plus vaillant.
Après lui avoir déchargé la totalité de ma semence tout au fond de ses boyaux, je
retire mon gros bâton de ce fourreau serré avec le sentiment d’avoir fait ce qu’il
fallait pour combler de bonheur cette complice que j’adore.
Dans un dernier soupir, ma belle sœur me lance.
Tu sais, nous recommencerons demain soir. J’ai trop aimé. Je ne connaissais pas, mais
qu’est ce que c’est bon. Tu m’as fait jouir comme une malade. Régis, tu es le champion
du sexe. Tu as une verge qui me rend folle. Elle est vraiment faite pour moi. Je te
demande une chose et que ça reste un secret entre nous. Il ne faudra jamais rien dire
à personne sur ce qui se passe entre nous. Car je crois que ma sœur n’aimerait pas du
tout.
Je ne trouvai aucun mot à dire en réponse à cette phrase. Mais je me posais des
questions. Que voulez vous… Ainsi est faite la vie.
Bref, notre voyage dura une bonne semaine et chaque soir à l’hôtel avant de nous
endormir, j’ai eu droit à tout un tas de gâteries les plus diverses, les unes que les
autres, de la part de ma douce et tendre belle sœur. Et, cerise sur le gâteau, elle
m’a redemandé de la sodomiser plusieurs fois. Que demander de plus…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'adore tes histoires qui me rappellent mes séjours au kmer mais je te trouve bien
sévère avec la route limbe Nigeria qui n'est pas si mauvaise par rapport aux rues de
douala ;)
sévère avec la route limbe Nigeria qui n'est pas si mauvaise par rapport aux rues de
douala ;)