Voyage de noce - histoire érotique

Je m'appelle Steve, j'ai 40 ans, et je suis marié à Virginie, 33 ans. Nous sommes ensemble depuis dix ans, et ce récit, oscillant entre réalité et fantasme, raconte un moment inoubliable de notre voyage de noces.
Virginie est une femme d’une beauté envoutante. Elle possède des courbes délicates qui m’ont toujours fasciné, de magnifiques yeux bleus dans lesquels on peut se perdre, et une chevelure bouclée qui retombe en cascade sur ses épaules. Sa poitrine généreuse est une source d’admiration constante pour moi, et elle le sait.

Le soleil brille haut dans le ciel lorsque nous arrivons sur cette plage paradisiaque. Le sable fin s’étend à perte de vue, parsemé de quelques paravents créant des coins d’intimité, tandis que de petites criques se dessinent au loin, parfaites pour se baigner loin des regards indiscrets. L'air marin emplit nos poumons, et je sais déjà que cette journée sera mémorable. Notre chambre est vaste, dotée d’une terrasse offrant une vue imprenable sur l'océan. L’odeur salée de la mer se mêle à la fraîcheur du linge propre. Virginie s’étire langoureusement sur le lit, son corps dessinant des courbes envoûtantes sous le tissu léger de sa robe d'été. Elle se tourne vers moi et murmure avec un sourire complice :
- Et si nous allions profiter de cette magnifique plage ?
Après un bon petit-déjeuner, nous nous installons sur des transats au bord de l'eau. La plage est presque déserte, baignant dans une tranquillité absolue. Virginie me tend un flacon de crème solaire et se tourne, dégageant son dos.
- Tu veux bien me mettre de la crème ? me demande-t-elle en me tendant le flacon avec un sourire.
- Avec plaisir, lui réponds-je, en m'approchant d'elle.
Je fais glisser la crème sur sa peau en douceur, défaisant naturellement le haut de son bikini pour plus de facilité. Je prends le temps de masser délicatement ses épaules, descendant lentement vers le bas de son dos. Une douce chaleur monte en moi tandis que je caresse sa peau satinée. Elle s'en aperçoit et tourne légèrement la tête vers moi, un sourire taquin sur les lèvres.
- Tu aimes ça, hein ? me glisse-t-elle à voix basse.
Je lui rends son sourire mais garde mon calme. Elle se redresse soudainement et se retourne vers moi.
- Tu peux m'en mettre devant aussi ? propose-t-elle avec une innocence feinte.
Je l'observe un instant, pris de court par sa soudaine audace.
- Tu veux peut-être remettre ton haut avant ? lui suggéré-je, un brin amusé.
- Non, je préfère bronzer sans marques. Et puis… je sais que tu apprécies, répond-elle en me lançant un regard complice.
Lorsqu’elle se tourne complètement vers moi, mon souffle se coupe un instant. Ses seins, d’une rondeur parfaite, se dévoilent sous la lumière éclatante du soleil, accentuant chaque courbe exquise. Leur fermeté est sublime, et leur peau, d’une douceur laiteuse, semble presque scintiller sous l’effet des rayons ardents.
Ses mamelons, larges et bien dessinés, contrastent délicieusement avec la pâleur de sa poitrine. Ses tétons, légèrement foncés, se dressent fièrement sous la caresse du vent marin. Le soleil, implacable, accentue leur relief, leur donnant une apparence encore plus troublante. Le spectacle est hypnotisant, et elle semble s’amuser de mon trouble.
Nous restons ainsi un moment, bercés par le bruit des vagues et la chaleur du soleil. Mais très vite, la chaleur devient trop forte, et nous décidons d’aller nous rafraîchir dans l’une des criques isolées. Virginie se lève sans remettre son haut, s’étirant gracieusement. Je ne peux m'empêcher d’admirer la façon dont la lumière caresse son corps.
Elle s’étire langoureusement, mettant encore plus en valeur sa poitrine sous mon regard avide. Je ravale ma salive, tentant de masquer mon désir grandissant. Elle éclate de rire et se lève soudainement.
- Allons nous baigner, dit-elle en me prenant par la main.
Nous marchons le long de la plage, ses seins se balançant légèrement au rythme de ses pas, tandis que je lutte pour détourner mon regard. En approchant d’une crique isolée, nous croisons un jeune couple qui ne manque pas de remarquer Virginie. À ma grande surprise, elle leur adresse un sourire et avance avec confiance, insensible à leur regard admiratif.
Une fois dans l’eau, je me rapproche d’elle et murmure :
- Tu aimes être regardée comme ça, avoue-le.
Elle rit doucement, puis approche ses lèvres de mon oreille.
- Peut-être que ça m’excite un peu, confesse-t-elle avec un frisson. Et puis… je sais que ça te plaît aussi.
Sa main glisse lentement sous l'eau, effleurant mon maillot. Elle sent ma réaction et un sourire mutin se dessine sur son visage.
- Tu veux qu'on prenne encore plus de risques ? souffle-t-elle contre mes lèvres.
Sa main explore plus audacieusement, et mon corps tout entier réagit à ses caresses. Nous sommes seuls dans cette crique, mais le frisson du danger rend chaque toucher plus intense. Mon souffle s'accélère tandis qu'elle me guide dans une nouvelle danse de plaisir... Après un moment d'intimité dans l'eau, nous regagnons notre chambre, portés par une tension électrique.
Virginie se glisse dans la salle de bain pour se préparer pour la soirée.
- Tu veux voir ma tenue ? me demande-t-elle d’une voix mutine depuis l’autre pièce.
- Bien sûr, montre-moi.
Elle sort lentement, vêtue d’une longue robe noire fendue sur le côté. Sa silhouette est divine, mais ce qui m’hypnotise le plus, c’est qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Le tissu épouse parfaitement la courbe de ses seins, laissant deviner la pointe de ses tétons. Je me lève et m’approche d’elle, glissant mes mains sur ses hanches.
- Tu es sublime… et terriblement provocante, murmuré-je à son oreille.
Nous descendons au restaurant de l’hôtel, main dans la main. À notre arrivée, un serveur nous guide jusqu’à notre table. Dès qu’il aperçoit Virginie, son regard s’attarde sur son décolleté, un trouble évident dans ses gestes.
Je me penche vers elle.
- Il n’arrête pas de te regarder.
Elle sourit et défait un bouton supplémentaire de sa robe, exposant un peu plus le haut de sa poitrine.
- Et maintenant ?
Le serveur revient, et cette fois, son regard est incapable de se détourner. Son hésitation trahit son embarras. Lorsqu’il s’éloigne, Virginie se tourne vers moi et chuchote :
- Alors, tu crois qu’il a apprécié la vue ?
Je ris doucement.
- Vu la bosse dans son pantalon, je dirais que oui.
Elle éclate de rire, satisfaite de son petit jeu de séduction. Je sens que la soirée ne fait que commencer…