Voyage de noces à Vegas

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Voyage de noces à Vegas Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Voyage de noces à Vegas
La jeune épouse de Kevin prit une profonde inspiration, et son courage à deux mains, pour lui demander audacieusement : « Chéri, puis-je baiser avec Ernie, s'il te plaît ? »
« Mais, Bébé, cela ne faisait pas partie du plan ! »
« Que tu baises avec Laurine ne faisait pas partie du plan non plus »
Mais Kevin était tourmenté. Alors, elle a lui a jeté à la figure l’argument suprême, la révélation embarrassante devant ces gens, ce qui ne faisait certainement pas partie du plan :
« Mais Kevin, réfléchis. Peut-être qu'il arrivera à me faire jouir, et après, tu arriverais peut-être à me faire jouir aussi ! »
Ce qui se passe à Vegas, ne se passe qu’à Vegas, et reste à Vegas … Kevin et Bérengère, un couple de jeunes mariés français, en voyage de noces à Las Vegas, ont passé leurs deux premiers jours sans sortir de leur chambre, à découvrir les nombreuses possibilités que leurs offraient leurs jeunes corps. Le troisième jour, ils pensaient avoir fait le tour de toutes les ressources du sexe. Ils avaient même une idée assez précise de ce qui semblait fonctionner, et de ce qui ne fonctionnait pas.

Pour l’instant, Bérengère avait semble-t-il des difficultés à obtenir un bon orgasme. Malgré l’aide de sa bouche et de ses doigts, seule la pénétration semblait la satisfaire. Mais Kevin était un peu trop bref. Pas assez endurant. Souvent, Bérengère semblait proche, elle haletait, gémissait, se crispait, il n’aurait fallu que quelques coups de plus, mais malheureusement, Kevin jouissait prématurément. Elle savait, elle avait lu des choses comme ça, elle savait que le temps pouvait arranger ce problème, et qu’ils y arriveraient.

Ayant satisfait leur curiosité physiologique et leurs premiers besoins sexuels, ils partirent explorer le gigantesque hôtel-casino qu'ils n'avaient que peu vu, jusqu'alors. Las Vegas est LA ville des gigantesques hôtels-casino, avec tous les commerces à l’intérieur, des salles de spectacles, des halls d’entrée décorés magnifiquement, des complexes nautiques, sans oublier les salles dédiées aux jeux de toutes sortes. Pour le profane, c’est un spectacle sans fin de voir évoluer toute cette faune d’américains en goguette.

C'est là qu'ils rencontrèrent une ravissante jeune femme, prénommée Laurine. Québécoise, parlant un français correct, elle appartenait à un réseau de Call-girls. Son air angélique, sa jeunesse, son don pour capter l’intérêt des pigeons, en faisait un rabatteur idéal. Elle ne faisait pas ses 23 ans, on croyait voir une gamine tout juste sortie de l’adolescence. Embobiner les hommes, leur faire croire qu’elle ressentait du sentiment pour eux, les duper, les séduire, cette pétulante rousse pouvait se permettre toutes les audaces, même avec des hommes mariés et heureux en ménage.

Elle était joueuse, et elle aimait les défis. Cette fois, elle voulait baiser avec un homme en présence de sa femme, juste devant elle. Elle les a charmés, et après un peu de temps pour faire connaissance, la fille leur a proposé un plan à trois, moyennant finance.

Bérengère n'était pas une oie blanche, mais elle était estomaquée par le culot de la donzelle. Kevin, séduit et émoustillé par la poupée déterminée à se faire un peu d’argent, était plus mitigé. Bien sûr, devant sa jeune femme, il semblait choqué, et jouait l’indignation. Mais la plastique sculpturale, les œillades provocantes, et les propos osés de Laurine le faisaient bander. Devant l'expression d’indignation du visage de Bérengère, Kevin secouait négativement la tête à l’adresse de Laurine :
« Nous sommes des jeunes mariés en voyage de noces, et se serait faire injure à ma femme ... »
Laurine souriait, tentatrice : « Kevin, passer sa lune de miel à Vegas n'est pas très original. Vous pourriez en faire un souvenir inoubliable en me laissant agrémenter votre lune de miel »
Kevin fronça les sourcils, essayant de trouver un moyen de convaincre sa femme. Cette fille lui chauffait les sangs, il fallait qu’il la baise. Sans fâcher la susceptible Bérengère. N’ayant jamais utilisé les services d’une professionnelle du sexe, il posa une question idiote : « Comment ? »
Laurine a compris que le mari était conquis, et qu’elle devait maintenant concentrer ses efforts sur l’épouse. Il lui fallait convaincre la jeune femme pour pouvoir réaliser son affaire : « Peut-être n’êtes vous pas attirée par un trio, nous pouvons organiser un quatuor. J'ai un ami qui travaille ici à l'hôtel. C’est un très bel homme, un garçon très attirant. Il est vraiment très beau » Elle insistait, se voulait convaincante pour éveiller le désir de Bérengère, espérant son accord. Mais brusquement, Kevin visualisa sa femme nue sous un autre homme
« Un quatuor ? Non, je ne pense pas ! Nous venons juste de nous marier et nous ne sommes pas prêts pour ça ! » Puis, interceptant le regard outré de Bérengère : « Nous ne serons jamais prêt à faire une chose aussi dégradante ! »
Utilisant tout son charme pour les séduire, Laurine minaudait : « Je peux comprendre que vous soyez très amoureux, si tôt dans votre union, et vous ne vouliez pas vous impliquer personnellement avec qui que ce soit. Mais je vois que vous êtes curieux, et que vous recherchez un peu d'aventure. Alors pour le fun, vous pourriez vous amuser à nous regarder baiser, mon ami et moi. Vous pourriez même baiser tous les deux, à côté de nous, pendant que nous baiserons »
Les yeux dans les yeux, comme pour l’hypnotiser, Laurine a ajouté, pour apaiser les inquiétudes de la jeune épouse : « Il n'y aura aucun contact entre vous et nous »
« Waouh. On vous regardera faire l'amour ! Moyennant finance ? » Mais elle connaissait la réponse.

« Oui, bien sûr, un peu d'argent, mais avec ce partenaire nous avons toujours de bons rapports. Vous aurez l’assurance d’avoir un spectacle très chaud. Ce gars est un véritable étalon, et je mouille déjà en pensant à lui. Vous ne verrez pas souvent un spectacle pareil. Quand on commence, on ne peut plus s’arrêter. Donc, pour nous regarder baiser, je ne vous demanderai pas grand-chose, disons 200 $ de l’heure »
Kevin ne pourra pas baiser Laurine, mais il pourrait au moins la voir nue. Et en train de se faire baiser ! C’était tentant ! Bérengère avait elle aussi des pensées lubriques. Regarder un couple faire l’amour, pendant que son mari la caresserait, surtout si le gars est bel homme ! La fille disait qu’il était beau et très attirant. À l’insu de son mari, elle commençait à s’émoustiller.

Bérengère hésitait : « Vous serez entièrement nus ? Tous les deux ? »
Laurine souriait, triomphante : « Bien sûr. Dans votre chambre »
Surpris, Kevin regarda sa femme. Ses pensées étaient simples. Si nous faisions l’amour à côté d’un couple qui a une baise torride, est-ce que ce sera suffisant pour émoustiller Bérengère, et la faire jouir enfin ? Il n’était pas riche, mais ça valait le coup d’essayer. Il a vite pris sa décision :
« Bébé, 200 $ on peut se le permettre. J’ai jamais vu un truc pareil, et toi non plus. Alors, est-ce que ça te tente de les regarder faire, et de le faire en même temps ? »
Il ne pouvait pas le dire devant Laurine, mais il pensait : « Peut-être que j’arriverai à te faire jouir, cette fois »
Sa réponse sonnait comme un consentement : « Nous serions nus devant eux ? »
Le cœur de Kevin battait plus vite. Elle acceptait : « Bien sûr, nous serons nus, mais nous sommes censés les regarder, tandis qu’eux ne s’intéresseront pas à nous »
« Serons-nous sur le même lit ? »
Kevin regarda Laurine, interrogatif. Laurine haussa les épaules : « Avez-vous deux lits ou un seul ? »
« Juste un, mais un grand. Très grand ! »
Laurine était ravie. Cette réponse lui convenait. Dans le même lit, elle saura les convaincre d’en faire un peu plus que prévu, et d’augmenter l’addition : « Nous serons dans le même lit, mais si c’est un grand lit, nous ne nous toucherons pas »
Bérengère regardait son mari avec inquiétude. Comment être sûre qu’il ne toucherait pas à la fille, et surtout, que personne d’autre que son mari ne la toucherait. Elle voulait bien regarder. C’est tout ! Elle fit jurer Kevin. Laurine était ravie. L’affaire était en bonne voie. Kevin jura. Il aurait juré n’importe quoi, pour être dans un lit à côté de la belle Laurine, nue.

Intérieurement, Bérengère était perplexe. Elle découvrait un Kevin qu’elle croyait connaître, et qu’elle connaissait mal. Kevin promettait, mais sa voix sonnait faux. Elle a demandé des éclaircissements, sur le déroulement des opérations, réclamé des garanties. Cela a pris un peu de temps, mais finalement la jeune mariée rougissante a finalement accepté. Laurine a demandé leur numéro de chambre, et elle a dit qu'elle contacterait son ami, un groom qui termine son service à 22 heures. Elle a précisé qu'elle viendrait un peu plus tôt, et qu'ils attendraient son ami ensemble.

Kevin et Bérengère sont retournés dans leur chambre. Bérengère était inquiète. Elle n’était pas sûre de vouloir être nue devant des étrangers. Elle n’était pas sûre de vouloir regarder un autre couple baiser dans le lit, à côté d’eux. Et surtout, elle n’était pas sûre de vouloir qu’un gars se balade la bite à l’air, près d’elle. Bien sûr, elle était émoustillée, surtout si le mec était très beau, comme l’avait prétendu la fille. Pourtant elle se comportait comme une femme prude et réticente. Bien sûr, on était à Vegas, mais quand même. Elle tendit les bras à Kevin : « Tu veux qu'un étranger me voie nue, et que je le voie avec sa bite dressée ? »
« Merde, elle était d'accord » pensa Kevin. « Je dois continuer à la persuader » Il prit Bérengère dans ses bras : « Tout ira bien, ma chérie. Ce sont des professionnels. Ils ont l’habitude. Ils ne feront pas attention à nous. Ils ont un boulot à faire. Ils vont faire leur job, c’est tout »
« Embrasse-moi » avait-elle demandé pour s'assurer que leur mariage n’était pas en danger. Son cœur tapait avec la crainte de ce qui pourrait arriver. Kevin embrassa sa femme : « Je t'aime, bébé »
Kevin était très alléché par l’idée de voir Laurine nue, se faire baiser par un gars, juste à côté d’eux. Mais il était aussi très fier de sa femme, et il avait hâte de la montrer, comme on montre sa nouvelle voiture, ou sa maison. Pas nécessairement en train de baiser non, juste le regard admiratif du mec lui suffira. Cette pensée le réchauffait. Montrer sa belle femme, et voir l’envie dans les yeux d’un autre. Et penser : « Hé, non, mec, pas touche, elle est à moi ! »
Quelques minutes plus tard, Laurine est arrivée en disant qu'Ernie allait les rejoindre dans un instant, dès qu'il aurait fini son service. Ils prirent un verre pour réchauffer l’atmosphère en bavardant. À l'heure convenue, le téléphone sonna. « C'est probablement Ernie » a dit Laurine. Elle a répondu. Le gars était retardé. Un imprévu. Une course dans un autre hôtel. Récupérer les affaires égarées par un bon client de l’hôtel. Environ 45 minutes d’attente supplémentaire.

Bérengère frissonna. 45 minutes d’attente supplémentaire. 45 minutes à se poser des questions. Pourquoi ai-je accepté ? Me montrer nue devant des étrangers. Des inconnus nus dans notre chambre. En train de baiser comme des malades. Et s’il me regardait, le beau garçon, et s’il me désirait ?

Laurine s’apercevait de sa nervosité grandissante, et elle craignait qu'elle change d'avis. Elle avait besoin de les distraire, surtout Bérengère. Peut-être un petit supplément, en forme de cadeau. De plus, elle était bisexuelle, et la petite française lui plaisait bien.

« Kevin, j'ai une suggestion. Pour nous faire patienter, en attendant Ernie, aimeriez-vous que je câline votre femme pendant que vous nous regardez ? »
Kevin passa sa langue sur ses lèvres brusquement desséchées, tandis qu'il visualisait parfaitement la scène : « Combien? »
Laurine n'avait pas prévu de rallonge, mais saisissant sa chance, elle a dit : « Juste 50 $ de plus. Je te fais un prix d’ami, parce que je t'aime bien, et que ta femme est une délicieuse créature qui me fait envie » Ils regardaient tous deux Bérengère, rougissante et embarrassée, mais Kevin ne pensait qu’à une chose. Le plan initial de non-contact entre le jeune couple et la prostituée vient de passer par la fenêtre. Kevin sentit un frisson de désir parcourir sa bite en regardant Laurine déshabiller Bérengère. En voyant Laurine ôter ses vêtements, sans cesser de bécoter Bérengère, l’érection de Kevin devenait douloureuse, car il pensait : « Si le contact est autorisé ... »
Laurine caressait, admirative, le corps de Bérengère, tandis que Kevin admirait le corps de Laurine, tout en replaçant son érection douloureuse. Tellement belle, avec de gros seins en poire, et sa cambrure de reins qui lui faisait un cul rond, encore plus belle que Bérengère.

Laurine a commencé à séduire Bérengère. D’abord par de doux baisers dans le cou, puis sur la bouche, auxquels Bérengère répondait nerveusement, tout en surveillant du coin de l’œil la physionomie de Kevin.
Laurine étendit délicatement Bérengère sur le lit puis, en utilisant ses deux mains, elle écarta doucement les jambes de Bérengère. Accroupie entre ses cuisses ouvertes, la bouche de Laurine se posa sur la chatte de Bérengère, pour lui faire minette.

Laurine a stimulé la chatte de Bérengère, sans essayer de la faire jouir. Le plan, c’était de l'exciter et de la maintenir émoustillée jusqu'à ce qu'Ernie arrive. Laurine était experte, elle procédait habilement, en excitant Bérengère, puis la laissant se calmer lorsqu’elle la sentait proche d’exulter. Sachant sa cliente suffisamment séduite, Laurine a pensé qu'il serait peut-être plus prudent d'intéresser davantage le mari. Elle souleva son fessier, dans une posture moins pratique pour lécher la chatte de Bérengère, mais qui permettait d’offrir un meilleur spectacle au mari.

Laurine reprit son ouvrage, doigtant et léchant, en essayant de rendre la jeune épouse un peu plus bruyante. Kevin était captivé par le spectacle des fesses de la fille qui s’agitaient sous son nez, à portée de main. Quand il entendit sa femme soupirer de plaisir, ses yeux s’écarquillèrent. Dans la chambre, il était le seul à être habillé, et l’étroitesse de son caleçon le faisait souffrir. Ils attendaient un invité, il ne voulait pas se mettre à l’aise, mais il craignait de ne pas pouvoir attendre. Ne sachant pas ce qu'il devait faire, Kevin commença à effectuer des opérations compliquées de calcul mental, pour occuper son esprit et calmer ses ardeurs. Devinant que le mari n’avait pas le courage de bouger, Laurine a décidé de donner un premier orgasme à Bérengère, avant de la ramener au point de départ.

Elle savait qu’en faisant exulter la femme, alors celle-ci voudrait que son mari jouisse aussi. Mais Laurine voulait garder le mari en latence, le désir intact. En très peu de temps, Laurine, par ses soins experts, a fait exulter la douce Bérengère, lui permettant de tromper son mari pour la première fois. Kevin a arrangé sa bite encore une fois dans son pantalon, puis il a demandé à Bérengère s’il pouvait s’amuser avec Laurine. La position de la fille, le visage enfoui entre les cuisses de Bérengère, les fesses relevées, les cuisses légèrement écartées, inspirait Kevin. Bérengère a relevé son visage, furieuse, pour s’exclamer :
« Tu veux la baiser ? Mais cela ne faisait pas partie du plan »
Kevin souriait bêtement, en essayant de rassurer son épouse : « Ce que tu viens de faire non plus » En oubliant que c’était lui qui l’avait incitée à se livrer aux caresses de la prostituée.

Laurine était aux anges. Son plan fonctionnait. Le mari voulait la baiser. Et si le mari la baisait, fatalement l’épouse voudra baiser avec Ernie, et il y aura plus d'argent à gagner. Bérengère soupira. Elle pouvait voir son mari se frotter l’entrejambe. Laurine était occupée avec sa chatte, et Bérengère parvenait à niveau de non-retour. En cet instant, elle voulait que cela ne s’arrête jamais : « Vas-y, alors »
Sa femme ayant accepté à contrecœur, un dernier détail retenait Kevin. Il se pencha sur Laurine : « Ça ne me coûtera rien, n’est-ce pas ? »
Laurine savait calculer. Il faut parfois donner un peu pour recevoir beaucoup : « Mais non. Ce n’est pas une prestation supplémentaire, c’est juste une façon de se distraire en attendant Ernie »
Comment Kevin est parvenu à gober une couleuvre de cette taille reste un mystère, mais fébrilement, il ôta son pantalon pour diriger sa bite dressée et dégoulinante de pré-sperme vers la chatte qui lui tendait les lèvres, prête à l’absorber. Kevin n’était pas puceau, bien sûr, mais pas vraiment expérimenté. Tout cela était encore relativement nouveau pour lui. Et une fille experte comme l’était Laurine, rien qu’en bougeant ses hanches, pouvait le rendre fou de désir.

Comme il aimait le faire avec sa femme, Kevin promenait sa bite à l'entrée de la chatte, l’ouvrant légèrement, ressortait, revenait et recommençait : « Ah, oui, Kevin, ta bite me rend folle ! Tu es si fort, sois doux, chéri, fais-moi du bien. Ah, oui, chéri, je suis prête, prends-moi toute ! »
Le cœur battant, les veines charriant un incendie, fou de désir, Kevin s'est enfoncé profondément dans le vagin offert. S’il avait été un peu plus expérimenté, il se serait aperçu qu’il entrait en elle facilement, beaucoup plus facilement que dans sa femme. Laurine n’était pas serrée de la chatte, à cause de son métier, et elle s’était excitée à manger la chatte de Bérengère, ce qui l’avait ouverte un peu plus. Bérengère souleva son visage encore une fois, pour regarder le visage extasié de Kevin, qui contemplait sa bite entrant dans la chatte de la pute avec un petit bruit humide. Laurine, tout en doigtant énergiquement la chatte de Bérengère, encourageait de la voix et du geste le jeune marié qui la prenait en levrette. Elle remuait ses hanches dans un twerk endiablé, tout en l’émoustillant par des propos salaces.

Kevin, prenant les déclarations de Laurine pour argent comptant, accélérait la cadence comme un fou. Sentant venir la catastrophe, Laurine essayait de calmer le garçon, lui demandant de ralentir afin de garder ses forces pour sa femme, pendant qu’elle-même baiserait avec Ernie.

Bérengère était sur un petit nuage. Elle découvrait le saphisme, et elle adorait. Cette fille était une vicieuse, et elle savait faire voyager sa proie à la frontière de l’orgasme. Bérengère se sentait devenir folle, elle voulait jouir et ne le pouvait pas, Laurine la retenait au bord, l’empêchant de prendre son pied. Rien à voir avec Kevin qui finissait trop tôt en la laissant sur le bord du chemin. Cette fois, elle suppliait. Et ne se préoccupait pas du tout de Kevin qui baisait une autre femme sous ses yeux.

Kevin, lui aussi, vivait le meilleur de sa vie. Il baisait une déesse, une fille sculpturale, avec une chatte qui le suçait mieux qu’une bouche, et tout au bout, le visage de sa femme qui roulait de droite à gauche sur le matelas en suppliant qu’on l’achève. En plus, cette partie était gratuite, la pute avait dit qu’elle ne le ferait pas payer, c’était du bonus. Il sentait un frémissement bien connu agiter ses bourses, et il tentait l’impossible pour se retenir.

Laurine, le sentant trop excité, lui vint en aide : « Kevin, ne jouis pas en moi, réserve-toi pour ta femme, tout à l’heure, quand Ernie me baisera. Maintenant, on ne fait que patienter, mais si tu éjacules en moi, je serai obligée de te faire payer un supplément de 200 $. Si tu te sens proche, retire-toi et caresse-moi » Le discours de Laurine, et la promesse de lui facturer la prestation, calma efficacement le jeune marié. Il se retira, et se contenta de promener ses mains sur le cul bombé de la fille, s’amusant à glisser ses doigts dans la fente humide, avant de se pencher sur elle pour empoigner ses gros nichons.

Du coin de l’œil, Laurine consultait sa montre : « Qu’est-ce qu’il fout, Ernie ? Il avait dit 45 minutes maxi »
Ernie, comme il le faisait si souvent, était occupé ailleurs. Laurine avait dû inventer une histoire pour excuser son retard. La vérité, c’est qu’Ernie était occupé entre les jambes d’une lady, qui n’était certes plus de première jeunesse, mais qui possédait un compte en banque merveilleusement garni. Le mari le regardait baiser sa femme, assis dans un fauteuil à côté du lit, en tripotant sa bite molle, tout en admirant la performance du jeune étalon. Le vieux mari avait même poussé la complaisance jusqu’à sucer la bite d’Ernie, pour le "préparer", pendant que sa femme se pomponnait dans la salle de bains attenante. En réalité, dans la salle de bains, la femme était prête depuis un moment, mais elle regardait, par l’embrasure de la porte entrouverte, son vieux mari sucer la bite du jeune gars. Parfois, elle se demandait si ce vieux cochon préférait la bite ou la chatte.

En moins d’une heure, Ernie quittait la chambre, plus riche de 500 $, pendant que la dame qu’il venait d’honorer suçait la bite de son vieux mari. Ernie s'est présenté à la porte de la chambre du jeune couple, où l’attendait Laurine, en se faufilant avec son passe-partout de service. De dos, un gars avec le pantalon sur les chevilles, penché sur Laurine, la tripotait fiévreusement. Laurine était occupée à faire minette à une jeune dame étendue sur le lit, et qui avait l’air d’apprécier le travail de Laurine.

Immédiatement, il a décidé avec audace qu'il devait s’occuper de cette jeune femme en priorité. Ernie passa devant Kevin, qui fut surpris, et se pencha pour embrasser Bérengère, qui bien qu'elle fut aussi surprise, ne résista pas. Choqué par cette hardiesse, Kevin a protesté : « Attends. Qui c'est, ce mec ? »
Mais sa faible protestation a été ignorée par le gaillard. Ne voulant pas interrompre le plaisir de sa femme, Kevin a remis sa bite à l'intérieur de Laurine. Étonnamment, il sentit sa bite durcir en voyant Ernie, la bouche soudée à celle de Bérengère, se faire une idée précises du volume des nichons de Bérengère en les pétrissant vigoureusement. Kevin avait pensé être heureux qu’un mec puisse admirer sa femme nue, et envier sa chance, mais là, c’était différent. Un inconnu l'embrassait en lui tripotant les nichons ! Une combinaison de jalousie et d'excitation le prenait aux tripes, durcissait sa bite, le rendant incapable de protester, de défendre à un inconnu de se comporter ainsi avec sa femme.

Et ce n’était pas un baiser amical. Il lui dévorait la bouche, et elle répondait avec la même ferveur. Pas de pause. Bérengère en redemandait. La bouche du gars avait un goût de chatte qui l’étonnait et lui plaisait. Kevin était incrédule. Sa femme se laissait tripoter par un mec qu’elle ne connaissait pas. Merde. Lui, au quatrième rendez-vous, quand il avait effleuré son sein, par-dessus le pull, elle lui avait tapé sur la main en lui faisant les gros yeux. Ernie se redressa et Bérengère le regarda en souriant, complaisante.

C'est alors que Laurine intervint : « Ernie, celle que tu embrasses, c'est Bérengère. C'est une jeune mariée en voyage de noces, et voici Kevin, son mari. Comme tu étais en retard, je l’ai laissé jouer dans ma chatte, pour patienter agréablement » C’était le code convenu entre eux pour informer Ernie qu’il pouvait baiser la femme puisque le mari baisait Laurine. Ernie et Laurine avaient l’habitude de travailler ensemble, et ils savaient qu’il faut parfois brusquer un peu les choses, pour se faire un maximum d’argent.

Ernie répondit à la présentation par un tonitruant : « Salut tout le monde » Puis, sans plus de civilités, il se pencha sur Bérengère, pour ausculter soigneusement ses nichons, et il lui a dit : « Bébé, ta poitrine est magnifique, tu me fais bander » Bérengère jeta un coup d’œil de côté pour apercevoir l’énorme renflement de son pantalon. Elle eut un hoquet de surprise, immédiatement bâillonnée par la bouche d’Ernie qui s’est emparée de la sienne. Elle ferma les yeux, et commença à rêver.

Bérengère flottait dans un monde parallèle depuis son premier orgasme. Laurine ne l’avait pas lâchée, elle la maintenait dans un état d’excitation intense. Ce grand gaillard qui lui tripotait les nichons en l’embrassant fougueusement. En plus son mari baisait Laurine, son esprit vagabondait, elle échafauda une hypothèse :
« Kevin? Il faut qu'on parle »
Kevin se figea dans Laurine en regardant sa femme. Il appréhendait ce qu’elle allait dire, après avoir vu sa réaction à l’assaut d’Ernie. Bérengère était séduite autant par la prestance du grand gaillard bronzé que par son culot, et elle avait envie de … Bon, Kevin baisait Laurine, après tout, alors pourquoi pas ? Bien sûr, en jeune mariée, elle ne pouvait pas formuler une telle demande, mais la jeune épouse de Kevin prit une profonde inspiration, et son courage à deux mains, pour lui demander audacieusement : 
« Chéri, puis-je baiser avec Ernie, s'il te plaît ? »
« Mais, Bébé, cela ne faisait pas partie du plan ! »
« Que tu baises avec Laurine ne faisait pas partie du plan non plus »
Mais Kevin était tourmenté. Alors, elle a lui a jeté à la figure l’argument ultime, la révélation embarrassante devant ces gens, qui ne faisait certainement pas partie du plan :
« Mais Kevin, réfléchis. Peut-être qu'il arrivera à me faire jouir, et après, tu arriverais peut-être à me faire jouir aussi ! »
Elle n'avait pas à le dire, mais elle l'a fait. Oh merde. Le ventre de Kevin se crispa, et son visage devint rouge d'embarras. Sa femme venait de révéler à tous ce qu’elle aurait dû taire. Jamais il n’aurait supposé qu’elle ait pu confier ce secret à des étrangers. Heureusement, on ne les reverra jamais plus. Mais les deux ont tourné leur regard vers Kevin, et le sourire moqueur d’Ernie lui a fait mal. Sa bite, à l’intérieur de Laurine, a diminué de moitié. Ernie insistait, chambreur : « Il bande mou, ou il éjacule trop vite, le jeune marié ? »
Que ce type l’interpelle ainsi devant sa femme le révoltait : « Monsieur, nous sommes jeunes mariés, seulement depuis trois jours, deux nuits exactement, car il y a eu le voyage. Ma femme a eu des orgasmes. Je l'ai faite jouir la nuit dernière, et le jour d’avant avec ma langue et mes doigts. C'est juste que, quand je suis en elle, et peu importe que j'aille vite ou lentement, elle n'arrive tout simplement pas à se libérer. Elle s’en approche, se crispe, mais un blocage l’empêche d’exulter. J’essaye de me retenir, mais c’est trop long, et je ne peux plus attendre »
Ernie jeta un coup d'œil à la bite ramollissante qui s’échappait de Laurine. Elle n’était pas très grosse, alors il se permis d’être légèrement condescendant : « Kevin, c'est pour ça que tu as besoin de moi. On me paye pour ça. Pour donner du plaisir aux femmes. Pour les dévergonder et améliorer leur vie sexuelle, afin que le mari puisse être heureux avec une femme heureuse. Je vais baiser ta femme, et tu n’auras pas besoin d’être jaloux, ni de moi, ni de son bonheur. Car elle ne sera pas amoureuse de moi. Tout sera strictement physique. C’est bien préférable, plutôt que ta femme se mette secrètement à la recherche d’un amant, qu’elle en tombe amoureuse, qu’elle te quitte, etc ... »
Ernie écarta les bras d'une manière théâtrale et lui sourit : « Pense à moi simplement comme étant un thérapeute, car je suis un professionnel qui gagne sa vie en baisant des femmes frigides pour les guérir. Ici, c'est Vegas, et ce qui se passe à Vegas, reste à Vegas. Vous ne serez pas les premiers ayant besoin d'aide, et que j’aurais aidé »
Kevin bégaya : « Vous faites cela souvent, avec d'autres couples de jeunes mariés ? »
Hochant la tête, Ernie leur a raconté une histoire vraie, dont il était fier : « Un jour, un homme, jeune marié, m'a embauché pour dépuceler sa jeune épouse. C’était un type curieux, un peu fragile mentalement. Il avait une phobie, la peur du sang. Il ne voulait pas de sang sur sa bite. Il ne voulait baiser sa femme qu’une fois dépucelée. Il voulait que je la prépare pour lui. La fille était une vrai poupée. Magnifique. Je l’ai préparée avec ma bouche, comme il se doit, pour qu’elle n’ait pas de douleurs, à cause de l’importance de mon membre »
Et entendant cela, Bérengère jeta encore un coup d’œil, car en parlant, Ernie se déshabillait, et l’engin qui pendait entre ses cuisses était beaucoup plus impressionnant que celui de Kevin en érection. Ernie poursuivait son récit : « Tout le temps, il est resté là, juste à côté de nous, tout près, et il observait tout ce que je lui faisais. Je suis très fier qu’il m’ait fait confiance, et j’ai fait très attention, pour ne pas abîmer cette petite poupée fragile et effrayée. Je n’ai passé qu’une heure avec eux, et je ne les ai jamais revus »
Ernie avait une bonne raison pour leur raconter cette histoire. Impressionner ces deux idiots en leur montrant qu’ils pouvaient avoir confiance, et lâcher un gros paquet de dollars : « Pas d’inquiétude pour ta femme, Kevin, tu l’as déjà dépucelée. Peut-être pas assez délicatement, peut-être trop rapidement, ou autre chose. Mon travail sera de la faire jouir, peut-être à plusieurs reprises, afin de s’assurer que tout fonctionne bien. Laisse-moi m’occuper d’elle, et vous ne serez pas déçus »
Depuis un moment, Laurine avait remis son nez dans la chatte de Bérengère, pour que les deux tourtereaux ne la voient pas rigoler de toutes ces bêtises que racontait Ernie. Ernie attendait. Les jeunes mariés restaient silencieux. Kevin était pensif. Bérengère n’osait pas commenter. Elle ne croyait pas au baratin d’Ernie, mais elle espérait que Kevin soit assez naïf pour le croire. Kevin a chuchoté à l’attention de sa femme :
« Chérie, es-tu sûre de vouloir faire cela avec lui ? »
Bérengère n'hésita pas, elle secoua la tête affirmativement. Kevin avait l'air déçu.

Ernie a sorti son dernier argument : « Je vais te faire une offre, Kevin. Tu me payes pour faire ça, mais si ta femme ne jouit pas pendant que je la baise, mes services seront gratuits. Comme ça, ça va ? »
Ernie avait très envie de baiser cette jeune femme, et il était certain de la faire jouir. La taille de sa bite qui fascinait la jeune mariée, son endurance, capable de vaincre toutes les résistances, et son savoir-faire lui permettait de s’exprimer sur un ton professionnel, afin d’embobiner l’inexpérimenté Kevin, qui croyait qu’on lui proposait une affaire.

Confus, Kevin regarda Bérengère, cherchant un soutien, espérant qu'elle refuse l'offre. Mais c’était peine perdue. Bérengère, maintenue sous emprise par les doigts habiles de Laurine, n’avait qu’une idée en tête. Baiser. Gratuitement ou pas, elle s’en foutait, elle voulait baiser cette grosse bite qui se balançait à portée de main, et qui la faisait saliver d’envie. Ce mec lui plaisait. Elle n’analysait pas l’importance du rôle que les caresses de Laurine jouaient sur sa libido. Elle voulait baiser et jouir. Elle voulait cette grosse bite en elle, et elle la voulait maintenant. Le gars était très beau, il embrassait merveilleusement bien, il sentait bon et elle aimait ses yeux. Bien. Mais cette bite la faisait rêver !

« S'il te plaît, chéri, ce n'est que justice. Tu as baisé Laurine. J’ai accepté. Alors, fais-moi cette faveur, d’essayer d’avoir un bon orgasme, afin que l’on ait une vie sexuelle épanouie, tous les deux ensemble. Rentrés en France, ce ne sera plus qu’un souvenir, mais il nous restera des années de rapports sexuels à vivre. Et tu pourras en profiter autant que moi. Il faut que j’arrive à jouir. Il faut que j’ai un orgasme. Si ce gars trouve le déclic, un truc, je ne sais pas quoi, quelque chose qui fasse que les choses changent. Alors, laisse-le essayer. Donne-lui sa chance, et si ça ne marche pas, tant pis. De toute façon, tu ne perdras rien, il le fera gratis »
Laurine, tout en maintenant Bérengère en état de manque, jubilait. Laisser Kevin la baiser, c’était l’idée géniale, la suite était inéluctable. Si le mari s’amuse, la femme en veut au moins autant. L’égalité des sexes. Kevin était coincé. La bite ramollie, il voulait toujours baiser Laurine. Comment faire pour empêcher Ernie de baiser Bérengère ? « Bon, d'accord » a-t-il soupiré pour bien montrer sa réticence. « Mais pas longtemps »
Kevin regarda Ernie, rougissant d’émotion et d’embarras : « Je suppose que Bérengère en a besoin. Alors, vous pouvez essayer de … Oh, putain, de la baiser, si ça peut lui faire du bien. Je donne mon autorisation parce que je l’aime, alors j’espère que vous réussirez. N’oubliez pas que c’est une jeune mariée, qu’elle était vierge il y a 4 jours de ça, alors soyez doux et patient avec elle »
Kevin regarda Bérengère, qui battit des paupières pour le remercier. Kevin avait donné sa permission à Ernie de passer le temps qu'il fallait pour bien baiser sa femme. « Soyez doux et patient avec elle » Cela veut dire « Prends ton temps, mec, tout le temps qu’il te faudra pour bien faire ton boulot »
Kevin voulait montrer à sa femme combien il l'aimait. Ernie, lui, pensait différemment. Il voulait baiser cette jeune poulette, la faire gueuler à s’en faire péter les cordes vocales. Patient ? Oh, putain, ouais, il pouvait être patient ! Très patient, même ! Ernie s’est penché sur Bérengère, et sa bite qui se gorgeait de sang se dressait lentement. Kevin déglutit difficilement. « Le fils de pute, qu’est-ce qu’il est grand »
Kevin et Bérengère étaient tous deux fascinés par les dimensions du sexe d’Ernie, pas pour les mêmes raisons. De la crainte mêlée à de la jalousie pour le garçon, de l’envie avec un peu d’appréhension pour la fille. Les garçons dotés d’un sexe aussi grand ne sont pas nombreux, même à Vegas, et Ernie prenait son temps pour se faire admirer. Cela faisait partie du show. Maintenant qu’il avait acquis la certitude du désir de Bérengère, toutes les protestations de Kevin ne servaient à rien. Ernie savait qu’il allait baiser la jeune femme qu’il désirait, alors il se laissait convoiter, avec l’aide de Laurine qui accélérait la cadence de ses doigts dans la chatte de la jeune pouliche.

Il devait maintenant surmonter le deuxième obstacle, celui lié à la partie physique. Ernie savait qu'il n'y aurait aucune protestation de la part de la jeune femme. Mais Kevin paniquait. Il avait déjà entendu des histoires, à propos d’hommes avec des bites énormes, et comment certaines femmes, converties au culte des grosses bites, quittaient leur compagnon après y avoir goûté. Maintenant, Kevin était confronté à cette vision. Sa femme ne le quitterait pas pour une grosse bite dans les minutes suivantes, bien sûr, mais dans l'avenir ?

« Bébé, il est trop gros. Regarde le. Ça pourrait créer des lésions, te faire du mal au lieu de te faire du bien »
Kevin avait peur que sa femme compare cette bite à la sienne. De plus, Bérengère était étroite, même pour lui. Cette bite pouvait la blesser, sérieusement. De plus, Kevin n’avait pas découvert la profondeur du vagin de Bérengère. Il n’avait pas l’outil adéquat. Mais cette bite était trop longue, elle pouvait endommager l’endroit où se fabriquent les bébés.

Bérengère n’avait pas les mêmes inquiétudes. Ce n’est pas la taille qui la tourmentait, bien au contraire. C’est la peur de ne pouvoir jouir. La peur de la frigidité. Elle voulait être rassurée, et ce gars semblait parfait pour cela. De plus, l’action permanente de Laurine sur sa chatte, ses doigts à l’intérieur, sa bouche sur son clitoris, transmettaient à Bérengère une influence positive et lascive. Bérengère jeta un dernier regard interrogatif vers son mari, comme si elle lui demandait s’il n’avait plus de commentaires, se retourna vers Ernie en lui souriant tendrement. C’était le signal.

Laurine, sans changer de position, courbée sur le lit, tendit ses mains derrière elle pour attraper les mains de Kevin et les replacer sur ses fesses. Elle recommença à agiter son bassin, tordant ses hanches, en se frottant contre le pubis de Kevin, pour lui redonner de la vigueur.

« Ernie, tu seras gentil avec moi, n’est-ce pas ? » plaidait Bérengère
« Bien sûr bébé. Je serai doux et tendre. C’est toi qui me guideras. Tu verras, progressivement, sans t’en rendre compte, tu en demanderas plus, plus vite, plus fort. Je vais te faire jouir, fort, longtemps. Je vais te faire découvrir les orgasmes multiples. Tu vas t’évanouir de bonheur »
Laurine s’activait. Elle savait que, pour surmonter sa jalousie, Kevin devra être occupé lorsque sa femme commencera à baiser, et plus encore lorsqu’elle ne pourra plus dissimuler son plaisir. Elle était certaine qu’Ernie allait la faire crier de joie, donc il sera vital que Kevin soit très absorbé, et très heureux, pour avaler la pilule. Le coït interrompu était la chose que Laurine voulait absolument éviter. Et Kevin perdait beaucoup de temps à surveiller la progression des câlins qu’Ernie prodiguait à Bérengère. Laurine est intervenu dans le processus pour dire à Kevin combien sa bite était agréable, qu’elle la rendait folle de plaisir, qu’elle était bien dure et qu’il lui donnait une bonne baise. Le tout entrecoupé de soupirs et de petits cris féminins.

Comme Laurine ne s’occupait plus d’elle, Bérengère a déplacé son corps de côté, ouvrant largement ses jambes afin d’inciter Ernie à se glisser en elle. Elle soulevait son bassin dans une invite silencieuse autant qu’effrontée, les yeux pleins d'expectative, la chatte brûlante de désir.

Le cœur battant, Kevin regardait attentivement, ainsi que Laurine, qui se faisait plus discrète. Ernie s'allongea lentement entre les jambes écartées, sa bouche vint de poser sur celle de Bérengère, tandis que sa bite tendue trouvait naturellement l’ouverture dans la chatte juvénile. Sans forcer, car grâce aux bons soins de Laurine elle était parfaitement préparée, le gland commença à s’insérer en repoussant les chairs tendres. Aussitôt, Bérengère haleta lorsque les premiers centimètres pénétrèrent. 
Les yeux grand ouverts, pour ne rien rater du spectacle, mais elle dû les refermer pour ne plus voir le regard choqué de son mari. Ernie s’enfonçait doucement, progressivement, sans précipitation, par palier pour qu’elle s’habitue, la bouche soudée à la sienne pour masquer ses gémissements haletants. « Putain, qu’elle est serrée, cette salope ! » pensait Ernie en s’enfonçant dans ce délice d’onctuosité. « Dommage qu’elle ne soit plus vierge, je lui aurais éclaté la cerise avec plaisir »
La présence du mari, qui les surveillait avec un regard vexé, renforçait le plaisir d’Ernie. Sans bite glissait sans effort, il aurait pu la pénétrer beaucoup plus rapidement, mais il voulait faire durer le plaisir. Parvenu à mi-chemin, Ernie fit une pause pour apprécier l’instant. Bérengère gémit et ouvrit les yeux. Ernie lui sourit et lui demanda à voix basse, mais suffisamment fort pour que le mari entende :
« Comme ça, ça va ? »
Elle soupira ouvertement et murmura doucement à son oreille : « Oui »
Ensuite, chaque fois qu'il s'enfonçait un peu plus, Bérengère l’accompagnait par des gémissements discrets. Mais ce n’était plus des gémissements douloureux, on aurait dit qu'elle avouait son plaisir. Ernie n’est pas allé jusqu’au fond. Il a commencé à pomper, entrant et sortant, pénétrant un peu plus profond à chaque coup. Bérengère est devenue nettement plus bruyante. Des bruits nouveaux pour Kevin, qui s’inquiétait :
« Bérengère ? Est-ce que tout va bien? »
Il regardait sa femme, la jeune femme si douce qu'il aimait tant. Maintenant, ce n'était plus vraiment sa femme. Kevin n'était pas sûr que sa femme l'ait entendu, alors il attendit en regardant le cul d'Ernie pendant qu'il baisait Bérengère. Ernie dévorait la bouche de Bérengère tout en la baisant d’un curieux mouvement souple des hanches. Il arrondissait son mouvement, ce qui obligeait Bérengère à replier ses jambes en les écartant plus. Ainsi, elle était parfaitement offerte à ses poussées profondes. Kevin essaya de reproduire ce mouvement sur Laurine, sans y parvenir.

Kevin pouvait voir qu'Ernie était épilé, ses bourses, mais aussi son sillon fessier, et son pubis, mais il l’avait vu précédemment. Kevin se demanda s'il devrait le faire dans le futur. La position des jambes de Bérengère, très ouvertes, et le mouvement très ample d’Ernie permettaient à Kevin de voir que sa femme prenait presque la totalité de la monstrueuse bite. Et qu’elle ne s’en plaignait pas.

Kevin avait déjà vu des trucs comme ça sur Internet, où certaines femmes prennent des bites monstrueuses. Il avait pensé à un trucage, ou a des filles spéciales, mais jamais il n’aurait pensé voir sa tendre épouse se comporter ainsi. Bérengère, qui était maintenant fortement impliquée avec l'homme qui œuvrait en elle, semblait agacée d’être dérangée par Kevin qui réitérait sa question :
« Oui, tout va bien, Kevin. Je m'adapte à … oh, tu sais »
Kevin aurait voulu demander si c'était inconfortable, ou si c’était agréable, mais à ce moment Ernie heurta le fond : « Oh, putain ! Chéri ? Il est au fond, maintenant » Tandis que Bérengère, gémissante, se pâmait, Ernie s'arrêta. Maintenant, avec sa bite complètement enfouie dans la jeune femme, il savourait l’onctueuse pression de l’étroite chatte. Son pubis rasé broyait le clitoris. Guère plus d'une minute pour une pénétration complète. Bérengère a commencé à vibrer en agrippant les épaules d’Ernie. 
C'était une vague qui venait du plus profond de son être et qui submergeait tout, provocant les crispations et les tremblements des membres qu’elle heurtait. Jamais, ni les langues, ni les doigts, ne pouvaient produire quelque chose de comparable. Pantelante, les yeux révulsés, les orteils recourbés, Bérengère a compris ce qu’était un orgasme : « Oh merde, chéri, je jouis, il me fait jouir »
« Déjà ? » Ses craintes se réalisaient. Guère plus d’une minute, et sa femme jouissait avec un autre, qui ne faisait rien de particulier, sauf planter son énorme pieu au fond de sa chatte. Kevin avait laissé échapper cette exclamation de dépit, ce qui fit sourire Laurine. Ouais, déjà. Laurine savait, Ernie était un baiseur hors normes, et peu de femmes pouvaient lui résister. Elle resserra la prise de sa main sur celle de Kevin. Il était temps de détourner son attention. Laurine tourna la tête : « Kevin, ce serait mieux si tu ne les regardais pas. Tu veux que je change de position pour que nous puissions nous accorder un peu plus d’attention ? »
Kevin avait perdu une bonne partie de son intérêt pour Laurine : « Non, je préfère rester comme ça et les regarder » Laurine perçu dans le ton de sa voix plus d’exaltation que de dépit. Kevin regardait, éberlué, Bérengère, sa femme, des larmes de joie dans les yeux, pressant Ernie contre elle, et couvrant son visage de baisers amoureux. Lorsque Bérengère s’est apaisée, Ernie a commencé à la baiser résolument, et Bérengère a augmenté ses gémissements. Il claquait son pubis sur celui de la jeune femme, la clouant sur le matelas. Le sommier répondait par des grincements cadencés.

Kevin ne regardait pas que sa femme, il regardait aussi les fesses d’Ernie. C’était musculeux et troublant. Chaque fois qu'Ernie s'avançait, Kevin voyait sa raie culière se refermer fermement, puis s’écarter chaque fois qu'il sortait, tandis que les muscles fessiers se contactaient et se relâchaient. Dans l’esprit de Kevin, cela imageait parfaitement la force que ce macho implacable utilisait pour enfoncer son pieu de chair jusqu’au fond du puits d’amour de sa femme. Bérengère haletait, gémissait, soupirait, clouée sur le matelas. 
Ensuite, cela a viré au cauchemar pour Kevin, lorsque sa femme a eu plusieurs orgasmes simultanés, entrecoupés de scènes d’étreintes, avec une attitude clairement tendre de Bérengère. Kevin a tenu sa langue. Lui demander quoi ? Si ça lui plaisait, si elle jouissait, si elle se sentait bien, meilleur qu’avec lui, son mari ? Il était évident que Bérengère jouissait facilement, et abondamment.

Une dizaine de minutes se sont écoulées pendant lesquelles Kevin s’était peu soucié de Laurine. Inquiet de la façon dont sa femme réagissait sous le joug d’un autre homme, Kevin désirait mettre fin à tout cela. Un moment, Ernie a semblé ralentir, comme pour prendre une pause. Kevin a essayé un plaidoyer, s’adressant à sa femme :
« J'ai baisé avec Laurine et tu as baisé avec Ernie. Bien. Nous savons maintenant que tu n’es pas frigide et que tu peux jouir en baisant, alors allongeons-nous ensemble, et regardons-les procéder. »
« Non, pas question. Laisse-moi finir avec lui, s'il te plaît. Je veux le sentir jouir en moi » Bérengère a refusé la demande de Kevin, en indiquant expressément son désir, car elle n’était pas pressée de mettre fin à cela.

Maintenant, Ernie tenait Kevin par les couilles, et il comptait bien en profiter : « Reprends-moi si je trompe, Laurine, mais l’arrangement original, c’était nous deux en train de baiser sur le lit, pendant que les jeunes mariés regardaient ? OK. Si Laurine a accepté de s’occuper de toi en m’attendant, Kevin, c’est son problème. Mais je suis arrivé depuis un moment, et tu es toujours sur elle. De plus, déniaiser la jeune mariée en lui permettant d’avoir un bon orgasme, c’est en supplément »
Ernie prenait la précaution, tout en parlant à Kevin, de bouger lentement sa bite dans Bérengère, pour la maintenir sous pression : « L’arrangement original portait sur un forfait à 200 $ de l’heure. Mais vous nous demandez des extras. Toute peine mérite salaire. Je pense qu’un billet de 100 $ pour chacun de nous ne serait pas superflu »
« Merde! Deux cents de plus ? 450 $ au total ? »
« Oui, et si nous commençons une deuxième heure de prestations, ce sera 200 $ de plus. 650 $ »
Bérengère intervint, la voix hachée par les coups profonds qu'Ernie continuait de lui prodiguer : « Kevin, merde, c'est pas cher pour ce qu'on a. Laisse-nous terminer. As-tu déjà fini avec Laurine ? »
« Non bébé. Je suis en train de me réserver, et de tout garder pour toi »
Bérengère était extrêmement heureuse, et voulait profiter au maximum de son partenaire : « Vas-y, termine avec elle. Profite de ta bonne baise avec Laurine. Éjacule et rends-la heureuse. Et laisse-moi terminer avec Ernie, je veux profiter de mon partenaire de manière optimale. Arrête de discuter pour quelques billets. Paye-le » La jeune femme savait ce qu'elle voulait. Elle avait mûri rapidement. « Arrête avec tes sottises, nous nous sommes mis d'accord sur un prix, profitons du moment sans interruption »
Ernie a continué son travail de fouilles profondes, avec sa grosse bite dans la chatte boursouflée, et avec sa langue dans la bouche docile de Bérengère. Clouée sur le lit par la rage machiste d’Ernie, elle subissait la copulation sans pouvoir répliquer, tant la différence de taille était grande. À un moment, elle est devenue toute molle sous lui, quand il déversé le contenu de ses bourses, son sperme nourricier au fond de son puits d’amour. Il était évident qu’Ernie la possédait, qu’elle était sienne. Les mains de Bérengère caressaient langoureusement les épaules et la nuque de son amant, ses jambes enserraient les fesses de l’homme pour l’attirer au plus profond d’elle-même, les lèvres soudées aux siennes permettaient aux langues libertines de lutter ensemble.

Ernie se vautrait sur elle maintenant, comme s’il voulait que chaque centimètre de peau de Bérengère soit recouvert de sa propre peau. Elle transpirait abondamment en gémissant sourdement. Un râle long et âpre venu du fond des âges. Deux amants qui se rejoignaient dans la même félicité, oubliant tout du quotidien. La puissance de l’orgasme d’Ernie avait eu raison de son esprit. Il lui avait retourné le cerveau. Jamais, plus jamais, elle ne pourra oublier cet amant qui l’a faite exulter pour la première fois. Elle détenait une arme formidable contre Kevin, elle avait joui avec Ernie, fortement et longtemps, et il le savait.

Kevin avait eu lui aussi un orgasme, mais d’une intensité modérée. Et encore, la plupart du temps, c’est Laurine qui s’était escrimée pour le maintenir en état. La vision du couple formé par sa femme et son amant ne lui était pas toujours bénéfique, parfois très raide, parfois moins. Mais lorsque qu’il a joui, Laurine a simulé, très théâtrale et très bruyante, comme si elle recevait la baise de sa vie. Ernie, qui la connaissait bien, avait envie de rire, heureusement la passion de Bérengère l’a sorti d’une situation embarrassante.

Kevin, avec son sexe mou qui pendouillait, comptait ses billets pour payer les professionnels. Il avait du ressentiment. Payer pour baiser Laurine, bon d’accord. Mais payé un type bien gaulé, fortement membré, pour défoncer la chatte de sa femme, il l’avait mauvaise. L’argent en poche, Ernie et Laurine se pressaient de se rhabiller pour quitter les lieux au plus vite. Il était grand temps de partir. Inéluctablement, la fièvre sexuelle retombée, il y aurait l’inévitable conversation, remplie d’accusations et de reproches, et il valait mieux être parti à ce moment-là.

C’est en voyant Bérengère vautrée sur le lit, les bras et les jambes écartés, en sueur, la chatte rouge vif et toute barbouillée de sperme, qu’Ernie a eu envie de lancer une dernière vacherie avant de partir :
« Ta femme est vraiment bonne, Kevin, peut-être que je pourrais en faire une professionnelle, comme Laurine, avec un peu d’entraînement. Tiens, voilà ma carte, si tu as besoin de te faire un peu d’argent, appelle-moi »
Kevin, toujours nu, le bristol à la main, fixait la porte qui se refermait. Silencieusement, il a continué de fixer la porte pendant un moment. Sur le palier, devant l’ascenseur, Ernie et Laurine s'étreignirent en riant. Dans l’ascenseur, Ernie a demandé : « As-tu joui avec le mari ? »
« Non. Je sentais à peine sa petite bite. La pauvre fille, elle est mal tombée avec cette mauviette. Tu as un peu de temps pour prendre soin de moi ? »
Ernie consulta sa montre : « Chez toi ou chez moi ? »
« Chez moi, le lit est plus grand, si t’es fatigué, tu pourras passer la nuit avec moi. Chez toi, le lit est minuscule »
« Mon appartement est minuscule, mais ces deux-là ne le sont pas » En sortant de l’ascenseur, au sous-sol, Ernie avait passé le bras sur les épaules de Laurine, plongé sa main dans le décolleté, et tâtait les nichons.

Kevin a enfin cessé de fixer la porte. Il s’est tournée vers sa jeune épouse, vautrée sur le lit en désordre, la chatte défoncée, dégoulinante de sperme. Elle était passée de jeune fille timide, naïve et pure, à salope sans morale, le temps d’un éclair. Elle aurait dû être réticente, la garante de la morale du couple. Elle avait préféré se donner à un inconnu armé d’une grosse bite. Soit. Elle semblait endormie, les jambes écartées. Kevin s’est penché sur elle. Sa chatte était béante, distendue, étirée. Les grandes lèvres pendaient, rouge écarlate. Elle avait laissé échapper une énorme quantité de sperme. D’ailleurs, ça moussait encore.

« Hum, chérie ? » Pas de réponse. Il attendit un moment : « Ah-hem ? Bébé ? »
Kevin soupira en caressant sa bite demi-molle, et en regardant sa jeune femme épuisée. Maintenant, il se sentait excité. Pourquoi n'avait-il pas eu ce désir avec Laurine ? Après tout, c’est ma femme. Dois-je la baiser ? Pas maintenant, plus tard, peut-être ce soir. Merde il est déjà tard. Kevin baissa les yeux sur sa queue presque complètement dressée. Kevin se demandait comment il se sentirait dans la chatte de sa femme remplie du sperme d’un autre.

Mais elle a l'air si fatiguée, la pauvre, l’autre salopard ne lui a pas fait de cadeaux. Il a retiré sa bite. C’est dégueulasse de lui faire ça. Pourtant, allongée avec ses jambes écartées, sa chatte pleine de foutre, elle est vachement bandante, cette salope. Jamais, depuis qu’il la connaissait, elle n'avait posé pour lui comme ça.

Un vieux fantasme. Kevin a ressenti le besoin d'aller ouvrir la porte, de surveiller le couloir, si un homme passe, l'inviter à venir voir la chatte de sa femme. Et si le mec veut se branler en regardant la chatte de Bérengère ? Pendant que Kevin le regarde se branler. Pendant que Kevin le branle.

Ce qui se passe à Vegas, ne se passe qu’à Vegas, et reste à Vegas. Ici, personne ne nous connaît. Personne ne sait le nom de ma femme. Elle ne saura jamais que j’ai laissé entrer un mec, qu’il l’a regardée, qu’il s’est branlé sur elle. Je pourrais lui dire, regarde ma femme, sa chatte dégradée. Un type avec une bite énorme lui a fait ça. Je pourrais lui dire : « Quand je suis arrivé, elle fricotait avec un groom. Je lui ai proposé un bon pourboire pour laisser ma femme tranquille, mais il m’a répondu qu’il préférait baiser cette nana bien roulée » Ou je pourrais lui dire la vérité, que je ne suis pas capable de faire jouir ma femme, et que j'ai embauché un mec pour la faire jouir. Et que ce salaud l’avait défoncée, encore et encore.

Le mec bandera, c'est sûr, en voyant ma femme comme ça. Nous pourrions nous branler ensemble. Il pourrait se glisser tout contre elle, sur le lit, ou se mettre entre ses jambes écartées, se rapprocher, pour éjaculer sur sa chatte souillée. Putain, la posture, quand elle dort comme ça, les cuisses écartées, la chatte déglinguée, béante, souillée. Il pourrait facilement y glisser sa bite. S'il fait la même taille que moi, elle pensera que c'est moi. S'il est plus grand, elle pensera qu'Ernie est de retour.

Kevin l'a fait. Il attendit à la porte, puis changea d'avis. Puis, il retourna de nouveau à la porte et l'ouvrit. Regardant dans le couloir, il attendit longtemps, mais à cette heure tardive, personne ne vint, pas même un couple. Kevin retourna s’asseoir sur le lit. Son cœur battait la chamade à la pensée de ce qu'il avait osé essayé de faire.

Ce soir, Kevin avait découvert le voyeurisme et l'exhibitionnisme. Cela tiendra un rôle majeur dans sa vie sexuelle. Sa femme se dévouera pour lui procurer de fortes sensations visuelles avec des amants de passage. Les lumières allumées, Kevin caressait lentement sa bite en regardant la chatte exploitée jusqu'à ce que Bérengère roule sur le côté, en chien de fusil, cuisses serrées. Toute l'atmosphère de la pièce avait changé. La folie sexuelle était terminée.

Merde. J’ai trop attendu. Je l'ai ratée. Si j'avais essayé, Bérengère m'aurait peut-être laissé la baiser. Peut-être qu'elle se serait réveillée, peut-être pas. À un moment, dans la nuit, elle se lèvera probablement pour vider sa vessie, et nettoiera le sperme d'Ernie. Je ne connaîtrai jamais cette sensation, tremper ma bite dans sa chatte pleine de sperme, sa chatte béante et souillée.

Si je me couche tout contre elle, même si je m’endors, j'aurais peut-être de la chance qu’elle me réveille quand elle voudra se lever, et je pourrais lui glisser ma bite avant qu'elle ne se vide d’Ernie. Il faudra que je pense à lui dire combien je l'aime. Cela pourrait aider.

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