Voyage découverte
Récit érotique écrit par Eudes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Voyage découverte
Voyage découverte
Mon histoire se déroule il y a quelques années lors d'un voyage organisé itinérant. Le thème de ce voyage s'intitule : "A la découverte des vignobles français" . Pour effectué ce circuit nous avons voyagé en train, en autocar et bateau croisière fluvial. Ce grand périple de découverte s'échelonne sur dix-huit jours et nous changeons d'hôtels presque tous les jours. Généralement de beaux établissements et de succulentes tables.
Nous sommes un groupe de vingt personnes, avec une grande majorité de couples, mais aussi quelques personnes féminines et masculines seules.
L'ambiance est très chaleureuse d'où émanent des discussions et échanges très intéressants sans parler des conférences en journée et le soir dans les salons et bars des Relais-étapesTout semble bien organisé pour cette escapade œnologique, mais arrivés à Vosnes-Romanée un petit imprévu se fait constater. L'hôtelier voulant accueillir tout le groupe au sein de sa splendide gentilhommière n'a pas signalé que le nombre de ses chambres ne correspond pas avec la répartition qui lui a été fournie au paravent. Après quelques échanges avec le guide conférencier un grand tumulte puis un conciliabule se déclenchent dans l'ensemble du groupe, pour regrouper certains participants. Il manque trois chambres (le groupe remplit tout l'hôtel) Edouard, le guide-conférencier, trente deux ans, un très bel homme d'un mètre quatre-vingts, svelte et joliment bien bâti. Il arbore une chevelure bond-foncé et yeux verts. Il est vêtu d'un pantalon Chino de couleur claire avec un polo manches courtes dans le camaïeu de couleurs complémentaires à son pantalon, laissant apercevoir des bras au léger duvet blond Il s'avance l'air gêné vers moi pour m'annoncer que je fais partie des personnes lésées par l'orgueil de ce propriétaire hôtelier. Il me demande si j'accepte pour cette halte de deux nuits de partager une chambre de quatre personnes. Je n'ai pas tellement le choix. Je comprends tout à fait son embarras pour ces négociations avec tout le mal qu'il se donne pour éponger au mieux cette petite catastrophe et satisfaire le groupe. Il me réitère encore une fois toutes ses excuses. Il m'annonce que je suis avec lui, le chauffeur et un participant (marié qui accepte de venir avec nous en laissant son épouse avec un couple) Il faut donc occuper les lits de la meilleure façon.
Une fois cette difficile répartition, les clefs sont distribuées pour monter et faire monter nos bagages puis nous installer rapidement avant de rejoindre le groupe au bar pour un exposé sur ce vignoble prestigieux.
Je ne vous ai pas décrit les personnes de ce sympathique, chaleureux groupe très érudit. Je vous présente en particulier tout de même mes cooccupants de chambre.
La fourchette d'âge se présente comme deux groupes. Le chauffeur et le conférencier d'une petite trentaine d'années Jean-Yves plus proche de la cinquantaine et moi tout juste quarante ans.
La chambre est au second étage. Nous marchons dans ce long couloir très cosy dû à ses splendides boiseries anciennes et je n'évoque pas les magnifiques toiles et peintures aux murs.
C'est le chauffeur qui nous précède et tourne la clef de la large porte ancienne qui s'ouvre sur une grande pièce ensoleillée. Nous le suivons et entrons : Pierre-Yves l'homme marié, moi-même et Edouard le conférencier, Sans rien se dire nous sommes un peu pétrifiés en constatant l'aménagement de cette chambre malgré la beauté de ses meubles d'époque. Et pour cause, il n'y a que deux lits doubles. Quelle surprise ! ! Le très grand mécontentement d'Edouard se fait ressentir. Le propriétaire n'a pas eu la correction de décrire la répartition des couchages de cette chambre. Instinctivement nous nous regardons, tous avec un air assez interrogatif et mal à l'aise.
Nous n'allons tout de même pas tirer au sort pensais-je. Le guide intimidé et gêné prend la parole pour briser ce silence- Edouard : Ben !!!! je vous propose que Pierre-Yves et Eudes soient ensemble et Jan sera avec moi. C'est une proposition, si vous voulez changer, pas de souci.
Un pesant silence se répand dans toute la pièce qui a une magnifique vue sur le vignoble. Nous acceptons cette proposition de fortune. Nous installons rapidement nos affaires puis descendonsL'apéritif est pris au bar en écoutant Edouard sur l'historique de ce grand cru. Le dîner avec un menu bien sélectionné nous fait découvrir ce vin extraordinaire sur plusieurs millésimes. Fatigués du voyage et de la courte soirée, nous montons dans nos chambres pour récupérer, car demain la visite s'effectuera un circuit à pied à travers les coteaux.
Nous passons à tour de rôle dans la salle de bains en marbre blanc.
Jean-Yves est le premier et en sort un petit moment après avec shorty long et se glisse sous la couette légère. Edouard et Jan me proposent de prendre la suite. J'accepte, j'entre et admire cet espace avec baignoire à remous et douche à jets. Je n'abuse pas du temps et me revêts d'un caleçon pour aller au lit et prendre place dans le même lit avec Jean-Yves. Je me positionne allongé sur le bord tout comme mon partenaire. Le chauffeur et le guide rentrent dans cette salle de bains, ils se connaissent ayant fait déjà différents voyages en coopération professionnelle.ils ne sont pas très long pour aller se coucher. Jan un peu trapu, légèrement poilu en mini slip noir dessinant un beau paquet, quant à Edouard avec un short en coton assez et même très court très ample qui rentre dans sa raie et laisse deviner un soupçon de gland d'une queue qui se balade. Edouard, tire un peu les double-rideaux ce qui permet encore un filet de clarté. Nous nous souhaitons tous une bonne nuit. Chacun essaie de trouver sa place sans gêner l'autre.
Vers deux heures du matin, un peu de bruit, c'est Jan qui se lève pour aller aux toilettes. Lorsqu'il y va, je crois ne pas avoir bien vu, la clarté ayant bien baissée, mais j'ai l'impression qu'il est nu. Un petit moment après il ressort et effectivement il est nu; son corps se dessine bien dans cette pénombre. Il a des fesses superbes. iL se remet dans le lit. Quelques secondes après en levant un peu ma tête et je peux constater que sa couette forme une montagne, puis se met à bouger. Mon voisin de lit dormait. Doucement je me mets discrètement assis. Et après un court moment la couette est rabattue. Je m'imagine qu'il a peut-être trop chaud, mais non, pas du tout. Jan se met à genous et essaie de se placer entre les jambes d'Edouard. Je n'en crois pas mes yeux. Je n'ose plus respirer ni bouger. Je ne veux pas interrompre ce spectacle Le guide semble dormir mais par le fellation et les quelques bruits de succion Edouard à l'air de se réveiller. J'entends le murmure de sa voix- Bertrand : Mais qu'est-ce que tu fais ? T'es fou, pas ici, ils vont entendre. Attends mercredi qu'on ai chacun notre chambre, tu viendras sans être vu.
- - Jan : Chut ! chut! Laisse-toi faire, regarde tu bandes déjà !
Après ces quelques mots, jan reprend sa fellation avec d'amples mouvements de va-et-vient de sa tête. J'incline un peu ma tête et j'entrevois la bite d'Edouard. Elle me semble nettement au dessus de la moyenne. Le filet de lumière éclaire ce membre brillant de salive- Bertrand : Arrête, arrête s'il te plaît, je ne veux pas jouir maintenant, sinon je ne pourrai pas avant qu'ils se réveillent d' être bien en forme pour toi. Sois sérieux.
- Jan : Alors vas-y, fais le de suite t'es bien chaud.
Sa bouche a libéré ce membre droit comme un i majuscule, s'allonge sur le corps d'Edouard et pose ses lèvres pour un baiser sonore.
Leur bref dialogue m'excite inconsciemment et je mets ma mains dans mon caleçon pour caresser ma verge qui a bien grossi. Je ne veux pas faire de grands gestes, ne voulant pas réveiller Pierre-Yves.
Notre couette à Pierre-Yves et moi d'un commun accord avait été descendue au tout début de la nuit. Jean-Yves était sur le dos, ce qui le faisait ronfler à certains instants. Pour son âge il est encore un très bel homme. Il mesure à peine moins de un mètre quatre-vingt, un tèrs très léger petit ventre naissant avec un thoras dessinant élégamment sa poitrine avec de très jolis tétons et seulement un léger liseré de poils descendant dans son caleçon: Je pense qu'il doit avoir du succès auprès de certaines étudiantes à la faculté où il est maître de conférences. Il a une bras le long de son corps et l'autre est positionné sur son ventre. De temps et temps je regarde ce qui se passe dans l'autre lit. Pendant ce temps mon sexe a pris un beau volume. Tiens voilà que çàà se met à bouger dans leur lit/Jan a fini d'embrasser goulûment Edouard. Jan se met plus ou moins à genou en s'avançant un peu du corps de son partenaire. OH, il fait mettre les jambes d'Edouard sur ses épaules. Jan saisit son sexe que j'arrive à voir, il est moins long que celui du guide, mais d'une circonférence qui m'étonne tellement c'est large.
- Edouard : Attends que je me mette un peu de salive, et doucement que je ne crie pas, Tu est gonflé de faire çà maintenant. Et s'ils nous voient le reste du voyage risque d'être tendu- Jan: Tu parles ! ils vont coir deux hommes qui s'amusent- Edouard : vas lentement, mercredi on pourra faire ce que tu veux.
Jan d'une main saisit son énorme matraque en la positionnant sur la rondelle d'Edouard et commence à pousse en lâchant sa main pour faire entrer tout se longueur- Edouard : doucement, doucement oui oui .
Jan commence ses mouvements de bassin assez réguliers, mais parfois donne un bon coup pour aller cogner au plus profond- Jan : Ah non, ne te touches pas, attends encore pour te branler.
Ma main s'agite un peu plus dans mon caleçon et je sens quelques gouttes séminales perler sur le bout de mon gland. Je me sens bien. Je jette un coup d'œil furtif à mon voisin. Tient, voilà que son caleçon est tendu au maximum par une érection nocturne magistrale. (Son cerveau travaille sûrement ayant été privé de sa épouse pour se soulager). Je constate même une tâche humide sur son vêtement à la pointe de son sexe emprisonné à la verticale.
Pendant ce temps là Edouard en prend plein le "cul" qui doit être bien ouvert par la circonférence du chibre de Jan. Pierre-Yves semble dormir, mais a posé sa main sur son paquet. Cela m'intrigue. Peut-être rêve-til?
Moi, je m'arrête de me toucher pour ne pas m'exciter plus et jouir encore.
- Edouard : Fais une pose s'il te plaît- - Jan ; Tu m'arrêtes au meilleur momentIl obéit et stoppe son burinage,, pour prendre une nouvelle position, apparemment pour remettre la queue d'Edouard en bouche. Il tourne la tête, et je suis pris au piège, il a constaté que je me branle. Il me sourit avec plein de charme les yeux pétillants. A voix étouffée il me lance- Jan : Excuse-nous du dérangement. j'avais envie T'es pas choqué j'espère. C'est bon pour toi ? Tu te fais du bien ?
- Moi : Oui, de vous voir encore plus.
- Edouard : Chut ! Pierre-Yves dortUn moment de silence, Jan se courbe pour prendre et mettre une jambe d'Edouard sur son épaule, Edouard positionne lui-même sa seconde jambe sur l'autre épaule. Jan avance sa queue et la rentre dans le cul du guide. Son cul n'a pas encore eu le temps de se refermer de tout à l'heure avec le diamètre qu'il a reçu Moi, je me caresse les couilles lisses et ma bite.
A un moment, je sens bouger dans le lit, Pierre-Yves se tourne de mon côté. Oh mince! Ma main s'immobilise immédiatement dans mon caleçon. Les yeux de mon voisin son clos. Moins de trois minutes après, il se remet sur le dos et d'un coup baisse son caleçon et empoigne sa queue. Elle est d'une belle taille dix-neuf centimètres, le gland dépasse bien de son prépuce, il a les couilles poiles ainsi que son pubis (dommage). Se souvient-il qu'il n'est pas seul ou avec sa femme? Il semble être dans un autre monde. Jan arrête sa baise et tourne la tête vers notre lit et Edouard soulève sa tête pour constater la masturbation de Pierre-Yves.
- Jan : Allez remets toi bien que je me finisse, je n'en peux plus de toute cette excitation.
Il se repositionne, il emboîte Edouard et le pilonne. Edouard pousse un Oouuiii pas très fort ce qui fait sursauter Pierre-Yves, confus de sa situation. Avec ses mains il essaie de cacher son sexe en pleine forme. Puis à voix basse,- Pierre-Yves : Excusez-moi Eudes, je ne sais pas ce que je fais, je dois rêver, cela m'arrive aussi à la maison de me satisfaire la nuit quand je n'ai pas fais l'amour le soir à ma femme. Il ne faut pas que nous parlions trop fort pour ne pas réveiller les autres;- Moi : Pas de souci, c'est normal. Moi aussi je me branle et je vousai déjà devancé et nos compagnons de chambre sont déjà réveillés depuis un moment- Pierre-Yves : Merci de votre compréhension. Vous dites qu'ils sont Déjà réveillés à cette heure ?
Je lui rétorque immédiatement- Moi Vous êtes encore avec une belle érection, ce serait dommage de la perdre, vous pouvez vous finirPendant que je l'encourage à reprendre son astiquage, il relève la tête et regarde en direction de l'autre lit où le chauffeur et le guide sont en pleine action emboîtés l'un à l'autre. Il a l'air complètement ahuri de ce qu'il voit- Pierre-Yves : Alors là ! c'est le comble. Vous avez vu ce qu'ils font ?
- Moi : Oui et c'est bien excitant surtout quand on voit la queue de chacun. Regardez-bien- Pierre-Yves ; Tout même, vous vous rendez compte de ce qu'ils font. Je sais que cela devient banal, mais je n'avais pas vu un tel spectacle "de pédé".
- Moi : Avouez que c'est tout de même excitant! Penchez-vous unpeu pour voir une des queues. C'est impressionnant pour l'une comme pour l'autre. Les corps sont beaux.
Les deux amis continuent leur exercice et je pense même qu'ils se donnent en spectacle car maintenant il y a le son. Nous entendons des Ah :Ah! Oui Oui Oui ! C'est bon ! Encore, encore ! vas-y, vas-y etc…- Moi, Cà ne vous excite pas ? Cà vous dégoûte, répugne ?
- Pierre-Yves : C'est bizarre mais ces tantouses m'excitent.
Après encore deux trois coups de queue, les deux amis arrêtent leur séance et se lèvent pour s'approcher de notre lit.
- Edouard : Je comprends votre étonnement, aurions dû être plus calmes et discret. Mais vous ne savez pas ce que c'est que l'amour entre hommes.
- Pierre-Yves : Excusez- moi de ce que je vous ai dit, mais je suis tellement déstabilisé. Pour moi qui suis hétéro, je ne comprends pas votre plaisir. Je ne me vois pas être approché d'un mec et qu'il me touche.
- Jan : Ne craint rien. Mais tu ne sais pas ce que tu râtes.
Je me lève pour aller aux toilettes et lorsque je reviens je constate que Pierre-Yves caresse l'énorme queue de Jan, en lui disant - Pierre-Yves : C'est très dur et je n'arrive même pas à en faire le tour. C'est bizarre.
Je me glise vers eux et me mets discrètement à genoux pour giber la queue de Pierre-Yves.
- Pierre-Yves : Non, non je ne suis pas une tapette- Edouard : Vous allez voir ce qu'est une fellation faite par un homme. Tu m'en diras des nouvelles. Tu vas avoir des sensations nouvelles. Un mec suce nettement mieux que ta femme qui doit te refuser souvent.
- Pierre-Yves : Oui, c'est pas souvent qu'elle m'offre une pipeJe continue ma succion en faisant aller ma langue sur son gland turgescent sans oublier sur le frein. Ce qui le fait un peu réagir. Puis progressivement j'effectue avec mes lèvres des allers-retours avec beaucoup de salive sur toute la longueur de son sexe bien raide maintenant. Jan a osé avancer sa main sur un des tétons de Pierre-Yves en le lui massant et même lui donnant des coups de langue. Après avoir protesté, Pierre-Yves se laisse faire. Il est rouge et parfois de petits sons sortent de sa bouche.
Edouard, nous fait déplacer un peu vers l'angle du lit, ce qui lui permet de mettre le cul de Pierre-Yves près de lui. Lui aussi se met accroupi, pose une main sur le haut de sa cuisse en approchant la tête pour que sa langue titille le petit trou de Pierre-Yves- Pierre-Yves : Non !, non !, pas çà je ne suis pas une fiautte Et en une fraction de seconde- Pierre-Yves Oui ! oui ! oui ! Oh oh Ouioui.
Edouard sans broncher continue de lui lécher le cul en lui rentrant la langue. Jan commente.
- Jan : On ne te l'a jamais fait de te sucer la rondelle. Tu vas voir tu vas aimer et tu vas jouir et tu vas découvrir ce qu'st un véritable orgasme Pendant ces paroles je continue ma fellation pleine de salive et bien que poilues, je lui masse les couilles que je fais rouler dans le creux de ma main A certains moments les muscles de ses suisses sont pris de soubresauts ; Jan lui suce un sein et de la main travaille l'autre téton.
- Edouard : ne bouge pas, je vais te faire découvrir le vrai plaisir.
Edouard se mouille abondamment le doigt pour l'introduire doucement à la place de sa langue. Je vais te faire un massage de la prostate. Edouard fait un va et vient avec son doigt et parfois le tourne jusqu'à y rentrer un second. Sa main bouge à peine car il a trouvé la petite noix prostate et la masse du bout de ses deux doigts. J'ai ralenti ma fellation car la queue est tendue au maximum et avec le style de gémissements que Pierre-Yves émet à certains moments, Je ne veux pas le faire éjaculer maintenant. Je veux qu'il réclame sa finition, mais surtout qu'il découvre l'extase grâce au massage prostatique.
Pierre-Yves soupire de plus en plus vite et de plus en plus fort. Il est écarlate et parfois reste la bouche ouverte. Maintenant se ne sont plus ses cuisses qui tremblent mais toute sa jambe et j'observe certaines vibrations de thorax et ventre. Il vibre. Il balance parfois sa tête en arrière en poussant un grand Ah ! assez rauque- Edouard : Eudes s'il vous plaît, ne touchez plus sa queue, laissez la libre. Et toi Jan arrête avec sur ses tétons.
Donc il n'y a plus qu'Edouard qui s'occupe de lui. Pierre Yves se tient d'une main au pied du lit. Tout son corps est pris de vibrassions brèves mais successives. Jan s'est mis à branler son énorme gourdin, ce qui me donne envie aussi. La queue de Pierre-Yves a des mouvements de haut en bas assez intenses. Il se met a avoir d'importants tremblements presque des convulsions. Edouard accélère légèrement le massage à l'intérieur du fondement, lorsque Pierre-Yves pousse un grand cri et hurle un OUI JE JOUIS et sa bite évacue comme une lance la semence suprême avec de grands flots et l'écoulement devient de plus en plus clair comme s'il urinait. Son liquide ne s'arrête pas ni le hurlement. Une immense flaque de sperme est sur le parquet ciré. D'un coup Pierre-Yves s'affale en arrière complètement épuisé. Moi, je suis près à éjaculer et dirige mes jets sur son torse poilu ce que fait aussi Jan avec de gros grumeaux de son sperme. Edouard sur sa longue lance fait quelques mouvements masturbatoires pour tout lâcher également.
Je vais chercher des serviettes dans la salle de bains pour que nous enlevions le plus gros de notre suprême semence.
Pierre-Yves enfin revient lentement à lui.
- Pierre-Yves : je n'ai jamais connu un tel plaisir, et découvert l'orgasme. Merci,Merci de m'avoir forcé pour découvir cette extase.
- Edouard : Et puis regarde tout ce que tu as éjaculéPierre-Yves baisse la tête et regarde- Pierre Yves : Ce n'est pas à moi toute cette jute- Moi : Bien sûr que si- Edouard : C'est avec mon massage de la prostate.
- Pierre-Yves : Il va falloir que je nettoie pour ne pas laisser de traces. Mais surtout encore merci de ce grand plaisir et mille excuses de ce que je vous ai dit tout à l'heure. Merci de m'avoir fait découvrir le plaisir et avec des hommes.
- Jan : Bon on se recouche, on a encore quelques heures à dormir jusqu'au petit-déjeuner- Pierre-Yves : Si j'ai bien compris, je vais être encore une nuit avec vous. Et je vous aurai pour me faire plaisir. Avoir attendu cinquante ans pour connaître cette vraie jouissance. Merci MerciNous nous recouchons et je prends Pierre Yves dans mes bras jusqu'à l'heure du petit-déjeuner.
Je vous raconterai prochainement notre seconde nuit qu' il a beaucoup appréciée aussi. Nous sommes restés en relation tous les quatre pour que la formation de Pierre-Yves soit complète.
Mon histoire se déroule il y a quelques années lors d'un voyage organisé itinérant. Le thème de ce voyage s'intitule : "A la découverte des vignobles français" . Pour effectué ce circuit nous avons voyagé en train, en autocar et bateau croisière fluvial. Ce grand périple de découverte s'échelonne sur dix-huit jours et nous changeons d'hôtels presque tous les jours. Généralement de beaux établissements et de succulentes tables.
Nous sommes un groupe de vingt personnes, avec une grande majorité de couples, mais aussi quelques personnes féminines et masculines seules.
L'ambiance est très chaleureuse d'où émanent des discussions et échanges très intéressants sans parler des conférences en journée et le soir dans les salons et bars des Relais-étapesTout semble bien organisé pour cette escapade œnologique, mais arrivés à Vosnes-Romanée un petit imprévu se fait constater. L'hôtelier voulant accueillir tout le groupe au sein de sa splendide gentilhommière n'a pas signalé que le nombre de ses chambres ne correspond pas avec la répartition qui lui a été fournie au paravent. Après quelques échanges avec le guide conférencier un grand tumulte puis un conciliabule se déclenchent dans l'ensemble du groupe, pour regrouper certains participants. Il manque trois chambres (le groupe remplit tout l'hôtel) Edouard, le guide-conférencier, trente deux ans, un très bel homme d'un mètre quatre-vingts, svelte et joliment bien bâti. Il arbore une chevelure bond-foncé et yeux verts. Il est vêtu d'un pantalon Chino de couleur claire avec un polo manches courtes dans le camaïeu de couleurs complémentaires à son pantalon, laissant apercevoir des bras au léger duvet blond Il s'avance l'air gêné vers moi pour m'annoncer que je fais partie des personnes lésées par l'orgueil de ce propriétaire hôtelier. Il me demande si j'accepte pour cette halte de deux nuits de partager une chambre de quatre personnes. Je n'ai pas tellement le choix. Je comprends tout à fait son embarras pour ces négociations avec tout le mal qu'il se donne pour éponger au mieux cette petite catastrophe et satisfaire le groupe. Il me réitère encore une fois toutes ses excuses. Il m'annonce que je suis avec lui, le chauffeur et un participant (marié qui accepte de venir avec nous en laissant son épouse avec un couple) Il faut donc occuper les lits de la meilleure façon.
Une fois cette difficile répartition, les clefs sont distribuées pour monter et faire monter nos bagages puis nous installer rapidement avant de rejoindre le groupe au bar pour un exposé sur ce vignoble prestigieux.
Je ne vous ai pas décrit les personnes de ce sympathique, chaleureux groupe très érudit. Je vous présente en particulier tout de même mes cooccupants de chambre.
La fourchette d'âge se présente comme deux groupes. Le chauffeur et le conférencier d'une petite trentaine d'années Jean-Yves plus proche de la cinquantaine et moi tout juste quarante ans.
La chambre est au second étage. Nous marchons dans ce long couloir très cosy dû à ses splendides boiseries anciennes et je n'évoque pas les magnifiques toiles et peintures aux murs.
C'est le chauffeur qui nous précède et tourne la clef de la large porte ancienne qui s'ouvre sur une grande pièce ensoleillée. Nous le suivons et entrons : Pierre-Yves l'homme marié, moi-même et Edouard le conférencier, Sans rien se dire nous sommes un peu pétrifiés en constatant l'aménagement de cette chambre malgré la beauté de ses meubles d'époque. Et pour cause, il n'y a que deux lits doubles. Quelle surprise ! ! Le très grand mécontentement d'Edouard se fait ressentir. Le propriétaire n'a pas eu la correction de décrire la répartition des couchages de cette chambre. Instinctivement nous nous regardons, tous avec un air assez interrogatif et mal à l'aise.
Nous n'allons tout de même pas tirer au sort pensais-je. Le guide intimidé et gêné prend la parole pour briser ce silence- Edouard : Ben !!!! je vous propose que Pierre-Yves et Eudes soient ensemble et Jan sera avec moi. C'est une proposition, si vous voulez changer, pas de souci.
Un pesant silence se répand dans toute la pièce qui a une magnifique vue sur le vignoble. Nous acceptons cette proposition de fortune. Nous installons rapidement nos affaires puis descendonsL'apéritif est pris au bar en écoutant Edouard sur l'historique de ce grand cru. Le dîner avec un menu bien sélectionné nous fait découvrir ce vin extraordinaire sur plusieurs millésimes. Fatigués du voyage et de la courte soirée, nous montons dans nos chambres pour récupérer, car demain la visite s'effectuera un circuit à pied à travers les coteaux.
Nous passons à tour de rôle dans la salle de bains en marbre blanc.
Jean-Yves est le premier et en sort un petit moment après avec shorty long et se glisse sous la couette légère. Edouard et Jan me proposent de prendre la suite. J'accepte, j'entre et admire cet espace avec baignoire à remous et douche à jets. Je n'abuse pas du temps et me revêts d'un caleçon pour aller au lit et prendre place dans le même lit avec Jean-Yves. Je me positionne allongé sur le bord tout comme mon partenaire. Le chauffeur et le guide rentrent dans cette salle de bains, ils se connaissent ayant fait déjà différents voyages en coopération professionnelle.ils ne sont pas très long pour aller se coucher. Jan un peu trapu, légèrement poilu en mini slip noir dessinant un beau paquet, quant à Edouard avec un short en coton assez et même très court très ample qui rentre dans sa raie et laisse deviner un soupçon de gland d'une queue qui se balade. Edouard, tire un peu les double-rideaux ce qui permet encore un filet de clarté. Nous nous souhaitons tous une bonne nuit. Chacun essaie de trouver sa place sans gêner l'autre.
Vers deux heures du matin, un peu de bruit, c'est Jan qui se lève pour aller aux toilettes. Lorsqu'il y va, je crois ne pas avoir bien vu, la clarté ayant bien baissée, mais j'ai l'impression qu'il est nu. Un petit moment après il ressort et effectivement il est nu; son corps se dessine bien dans cette pénombre. Il a des fesses superbes. iL se remet dans le lit. Quelques secondes après en levant un peu ma tête et je peux constater que sa couette forme une montagne, puis se met à bouger. Mon voisin de lit dormait. Doucement je me mets discrètement assis. Et après un court moment la couette est rabattue. Je m'imagine qu'il a peut-être trop chaud, mais non, pas du tout. Jan se met à genous et essaie de se placer entre les jambes d'Edouard. Je n'en crois pas mes yeux. Je n'ose plus respirer ni bouger. Je ne veux pas interrompre ce spectacle Le guide semble dormir mais par le fellation et les quelques bruits de succion Edouard à l'air de se réveiller. J'entends le murmure de sa voix- Bertrand : Mais qu'est-ce que tu fais ? T'es fou, pas ici, ils vont entendre. Attends mercredi qu'on ai chacun notre chambre, tu viendras sans être vu.
- - Jan : Chut ! chut! Laisse-toi faire, regarde tu bandes déjà !
Après ces quelques mots, jan reprend sa fellation avec d'amples mouvements de va-et-vient de sa tête. J'incline un peu ma tête et j'entrevois la bite d'Edouard. Elle me semble nettement au dessus de la moyenne. Le filet de lumière éclaire ce membre brillant de salive- Bertrand : Arrête, arrête s'il te plaît, je ne veux pas jouir maintenant, sinon je ne pourrai pas avant qu'ils se réveillent d' être bien en forme pour toi. Sois sérieux.
- Jan : Alors vas-y, fais le de suite t'es bien chaud.
Sa bouche a libéré ce membre droit comme un i majuscule, s'allonge sur le corps d'Edouard et pose ses lèvres pour un baiser sonore.
Leur bref dialogue m'excite inconsciemment et je mets ma mains dans mon caleçon pour caresser ma verge qui a bien grossi. Je ne veux pas faire de grands gestes, ne voulant pas réveiller Pierre-Yves.
Notre couette à Pierre-Yves et moi d'un commun accord avait été descendue au tout début de la nuit. Jean-Yves était sur le dos, ce qui le faisait ronfler à certains instants. Pour son âge il est encore un très bel homme. Il mesure à peine moins de un mètre quatre-vingt, un tèrs très léger petit ventre naissant avec un thoras dessinant élégamment sa poitrine avec de très jolis tétons et seulement un léger liseré de poils descendant dans son caleçon: Je pense qu'il doit avoir du succès auprès de certaines étudiantes à la faculté où il est maître de conférences. Il a une bras le long de son corps et l'autre est positionné sur son ventre. De temps et temps je regarde ce qui se passe dans l'autre lit. Pendant ce temps mon sexe a pris un beau volume. Tiens voilà que çàà se met à bouger dans leur lit/Jan a fini d'embrasser goulûment Edouard. Jan se met plus ou moins à genou en s'avançant un peu du corps de son partenaire. OH, il fait mettre les jambes d'Edouard sur ses épaules. Jan saisit son sexe que j'arrive à voir, il est moins long que celui du guide, mais d'une circonférence qui m'étonne tellement c'est large.
- Edouard : Attends que je me mette un peu de salive, et doucement que je ne crie pas, Tu est gonflé de faire çà maintenant. Et s'ils nous voient le reste du voyage risque d'être tendu- Jan: Tu parles ! ils vont coir deux hommes qui s'amusent- Edouard : vas lentement, mercredi on pourra faire ce que tu veux.
Jan d'une main saisit son énorme matraque en la positionnant sur la rondelle d'Edouard et commence à pousse en lâchant sa main pour faire entrer tout se longueur- Edouard : doucement, doucement oui oui .
Jan commence ses mouvements de bassin assez réguliers, mais parfois donne un bon coup pour aller cogner au plus profond- Jan : Ah non, ne te touches pas, attends encore pour te branler.
Ma main s'agite un peu plus dans mon caleçon et je sens quelques gouttes séminales perler sur le bout de mon gland. Je me sens bien. Je jette un coup d'œil furtif à mon voisin. Tient, voilà que son caleçon est tendu au maximum par une érection nocturne magistrale. (Son cerveau travaille sûrement ayant été privé de sa épouse pour se soulager). Je constate même une tâche humide sur son vêtement à la pointe de son sexe emprisonné à la verticale.
Pendant ce temps là Edouard en prend plein le "cul" qui doit être bien ouvert par la circonférence du chibre de Jan. Pierre-Yves semble dormir, mais a posé sa main sur son paquet. Cela m'intrigue. Peut-être rêve-til?
Moi, je m'arrête de me toucher pour ne pas m'exciter plus et jouir encore.
- Edouard : Fais une pose s'il te plaît- - Jan ; Tu m'arrêtes au meilleur momentIl obéit et stoppe son burinage,, pour prendre une nouvelle position, apparemment pour remettre la queue d'Edouard en bouche. Il tourne la tête, et je suis pris au piège, il a constaté que je me branle. Il me sourit avec plein de charme les yeux pétillants. A voix étouffée il me lance- Jan : Excuse-nous du dérangement. j'avais envie T'es pas choqué j'espère. C'est bon pour toi ? Tu te fais du bien ?
- Moi : Oui, de vous voir encore plus.
- Edouard : Chut ! Pierre-Yves dortUn moment de silence, Jan se courbe pour prendre et mettre une jambe d'Edouard sur son épaule, Edouard positionne lui-même sa seconde jambe sur l'autre épaule. Jan avance sa queue et la rentre dans le cul du guide. Son cul n'a pas encore eu le temps de se refermer de tout à l'heure avec le diamètre qu'il a reçu Moi, je me caresse les couilles lisses et ma bite.
A un moment, je sens bouger dans le lit, Pierre-Yves se tourne de mon côté. Oh mince! Ma main s'immobilise immédiatement dans mon caleçon. Les yeux de mon voisin son clos. Moins de trois minutes après, il se remet sur le dos et d'un coup baisse son caleçon et empoigne sa queue. Elle est d'une belle taille dix-neuf centimètres, le gland dépasse bien de son prépuce, il a les couilles poiles ainsi que son pubis (dommage). Se souvient-il qu'il n'est pas seul ou avec sa femme? Il semble être dans un autre monde. Jan arrête sa baise et tourne la tête vers notre lit et Edouard soulève sa tête pour constater la masturbation de Pierre-Yves.
- Jan : Allez remets toi bien que je me finisse, je n'en peux plus de toute cette excitation.
Il se repositionne, il emboîte Edouard et le pilonne. Edouard pousse un Oouuiii pas très fort ce qui fait sursauter Pierre-Yves, confus de sa situation. Avec ses mains il essaie de cacher son sexe en pleine forme. Puis à voix basse,- Pierre-Yves : Excusez-moi Eudes, je ne sais pas ce que je fais, je dois rêver, cela m'arrive aussi à la maison de me satisfaire la nuit quand je n'ai pas fais l'amour le soir à ma femme. Il ne faut pas que nous parlions trop fort pour ne pas réveiller les autres;- Moi : Pas de souci, c'est normal. Moi aussi je me branle et je vousai déjà devancé et nos compagnons de chambre sont déjà réveillés depuis un moment- Pierre-Yves : Merci de votre compréhension. Vous dites qu'ils sont Déjà réveillés à cette heure ?
Je lui rétorque immédiatement- Moi Vous êtes encore avec une belle érection, ce serait dommage de la perdre, vous pouvez vous finirPendant que je l'encourage à reprendre son astiquage, il relève la tête et regarde en direction de l'autre lit où le chauffeur et le guide sont en pleine action emboîtés l'un à l'autre. Il a l'air complètement ahuri de ce qu'il voit- Pierre-Yves : Alors là ! c'est le comble. Vous avez vu ce qu'ils font ?
- Moi : Oui et c'est bien excitant surtout quand on voit la queue de chacun. Regardez-bien- Pierre-Yves ; Tout même, vous vous rendez compte de ce qu'ils font. Je sais que cela devient banal, mais je n'avais pas vu un tel spectacle "de pédé".
- Moi : Avouez que c'est tout de même excitant! Penchez-vous unpeu pour voir une des queues. C'est impressionnant pour l'une comme pour l'autre. Les corps sont beaux.
Les deux amis continuent leur exercice et je pense même qu'ils se donnent en spectacle car maintenant il y a le son. Nous entendons des Ah :Ah! Oui Oui Oui ! C'est bon ! Encore, encore ! vas-y, vas-y etc…- Moi, Cà ne vous excite pas ? Cà vous dégoûte, répugne ?
- Pierre-Yves : C'est bizarre mais ces tantouses m'excitent.
Après encore deux trois coups de queue, les deux amis arrêtent leur séance et se lèvent pour s'approcher de notre lit.
- Edouard : Je comprends votre étonnement, aurions dû être plus calmes et discret. Mais vous ne savez pas ce que c'est que l'amour entre hommes.
- Pierre-Yves : Excusez- moi de ce que je vous ai dit, mais je suis tellement déstabilisé. Pour moi qui suis hétéro, je ne comprends pas votre plaisir. Je ne me vois pas être approché d'un mec et qu'il me touche.
- Jan : Ne craint rien. Mais tu ne sais pas ce que tu râtes.
Je me lève pour aller aux toilettes et lorsque je reviens je constate que Pierre-Yves caresse l'énorme queue de Jan, en lui disant - Pierre-Yves : C'est très dur et je n'arrive même pas à en faire le tour. C'est bizarre.
Je me glise vers eux et me mets discrètement à genoux pour giber la queue de Pierre-Yves.
- Pierre-Yves : Non, non je ne suis pas une tapette- Edouard : Vous allez voir ce qu'est une fellation faite par un homme. Tu m'en diras des nouvelles. Tu vas avoir des sensations nouvelles. Un mec suce nettement mieux que ta femme qui doit te refuser souvent.
- Pierre-Yves : Oui, c'est pas souvent qu'elle m'offre une pipeJe continue ma succion en faisant aller ma langue sur son gland turgescent sans oublier sur le frein. Ce qui le fait un peu réagir. Puis progressivement j'effectue avec mes lèvres des allers-retours avec beaucoup de salive sur toute la longueur de son sexe bien raide maintenant. Jan a osé avancer sa main sur un des tétons de Pierre-Yves en le lui massant et même lui donnant des coups de langue. Après avoir protesté, Pierre-Yves se laisse faire. Il est rouge et parfois de petits sons sortent de sa bouche.
Edouard, nous fait déplacer un peu vers l'angle du lit, ce qui lui permet de mettre le cul de Pierre-Yves près de lui. Lui aussi se met accroupi, pose une main sur le haut de sa cuisse en approchant la tête pour que sa langue titille le petit trou de Pierre-Yves- Pierre-Yves : Non !, non !, pas çà je ne suis pas une fiautte Et en une fraction de seconde- Pierre-Yves Oui ! oui ! oui ! Oh oh Ouioui.
Edouard sans broncher continue de lui lécher le cul en lui rentrant la langue. Jan commente.
- Jan : On ne te l'a jamais fait de te sucer la rondelle. Tu vas voir tu vas aimer et tu vas jouir et tu vas découvrir ce qu'st un véritable orgasme Pendant ces paroles je continue ma fellation pleine de salive et bien que poilues, je lui masse les couilles que je fais rouler dans le creux de ma main A certains moments les muscles de ses suisses sont pris de soubresauts ; Jan lui suce un sein et de la main travaille l'autre téton.
- Edouard : ne bouge pas, je vais te faire découvrir le vrai plaisir.
Edouard se mouille abondamment le doigt pour l'introduire doucement à la place de sa langue. Je vais te faire un massage de la prostate. Edouard fait un va et vient avec son doigt et parfois le tourne jusqu'à y rentrer un second. Sa main bouge à peine car il a trouvé la petite noix prostate et la masse du bout de ses deux doigts. J'ai ralenti ma fellation car la queue est tendue au maximum et avec le style de gémissements que Pierre-Yves émet à certains moments, Je ne veux pas le faire éjaculer maintenant. Je veux qu'il réclame sa finition, mais surtout qu'il découvre l'extase grâce au massage prostatique.
Pierre-Yves soupire de plus en plus vite et de plus en plus fort. Il est écarlate et parfois reste la bouche ouverte. Maintenant se ne sont plus ses cuisses qui tremblent mais toute sa jambe et j'observe certaines vibrations de thorax et ventre. Il vibre. Il balance parfois sa tête en arrière en poussant un grand Ah ! assez rauque- Edouard : Eudes s'il vous plaît, ne touchez plus sa queue, laissez la libre. Et toi Jan arrête avec sur ses tétons.
Donc il n'y a plus qu'Edouard qui s'occupe de lui. Pierre Yves se tient d'une main au pied du lit. Tout son corps est pris de vibrassions brèves mais successives. Jan s'est mis à branler son énorme gourdin, ce qui me donne envie aussi. La queue de Pierre-Yves a des mouvements de haut en bas assez intenses. Il se met a avoir d'importants tremblements presque des convulsions. Edouard accélère légèrement le massage à l'intérieur du fondement, lorsque Pierre-Yves pousse un grand cri et hurle un OUI JE JOUIS et sa bite évacue comme une lance la semence suprême avec de grands flots et l'écoulement devient de plus en plus clair comme s'il urinait. Son liquide ne s'arrête pas ni le hurlement. Une immense flaque de sperme est sur le parquet ciré. D'un coup Pierre-Yves s'affale en arrière complètement épuisé. Moi, je suis près à éjaculer et dirige mes jets sur son torse poilu ce que fait aussi Jan avec de gros grumeaux de son sperme. Edouard sur sa longue lance fait quelques mouvements masturbatoires pour tout lâcher également.
Je vais chercher des serviettes dans la salle de bains pour que nous enlevions le plus gros de notre suprême semence.
Pierre-Yves enfin revient lentement à lui.
- Pierre-Yves : je n'ai jamais connu un tel plaisir, et découvert l'orgasme. Merci,Merci de m'avoir forcé pour découvir cette extase.
- Edouard : Et puis regarde tout ce que tu as éjaculéPierre-Yves baisse la tête et regarde- Pierre Yves : Ce n'est pas à moi toute cette jute- Moi : Bien sûr que si- Edouard : C'est avec mon massage de la prostate.
- Pierre-Yves : Il va falloir que je nettoie pour ne pas laisser de traces. Mais surtout encore merci de ce grand plaisir et mille excuses de ce que je vous ai dit tout à l'heure. Merci de m'avoir fait découvrir le plaisir et avec des hommes.
- Jan : Bon on se recouche, on a encore quelques heures à dormir jusqu'au petit-déjeuner- Pierre-Yves : Si j'ai bien compris, je vais être encore une nuit avec vous. Et je vous aurai pour me faire plaisir. Avoir attendu cinquante ans pour connaître cette vraie jouissance. Merci MerciNous nous recouchons et je prends Pierre Yves dans mes bras jusqu'à l'heure du petit-déjeuner.
Je vous raconterai prochainement notre seconde nuit qu' il a beaucoup appréciée aussi. Nous sommes restés en relation tous les quatre pour que la formation de Pierre-Yves soit complète.
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