Voyage en Guadeloupe
Récit érotique écrit par Pasham35 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Voyage en Guadeloupe
Claire s’apprêtait à embarquer avec son mari et ses deux enfants à bord d’un avion en direction de la Guadeloupe pour 2 semaines de vacances. Claire était une femme à la vie tranquille, sans folie. Elle venait d’avoir 40 ans et était plutôt une belle femme, aux formes généreuses, qui voyait bien qu’elle attirait le regard des hommes. Cependant, elle n’avait jamais été intéressée par un autre homme que son mari qu’elle avait rencontré au lycée. Ils étaient rapidement tombés amoureux et de leur relation étaient née leur deux filles de 12 et 15 ans.
Mais en posant le pied dans cet avion, Claire ne se doutait pas que sa vie allait changer pour toujours.
Depuis son anniversaire, elle était un peu taciturne. Elle avait un sentiment de vide en elle, ne sachant pas expliquer quoi. Elle était à une étape de sa vie où les questions existentielles peuvent surgirent. Aussi était-elle contente de ce voyage qui lui changerait les idées.
L’avion pris son envol, emportant avec lui une mère de famille stressée par le voyage. Alors qu’elle avançait dans le couloir pour aller aux toilettes, elle remarqua la regard insistant d’un homme assis 5 rangs derrière elle. Il semblait avoir dans la quarantaine comme elle, il était brun, le visage volontaire et lumineux. Quand elle fût à son niveau, alors qu’il la dévisageait en souriant, elle ne trouva autre chose à faire que de lui rendre son sourire, son regard la troublant beaucoup. Elle le trouva très beau avec ses petites fossettes qui se dessinaient à la commissure de ses lèvres. Ce n’est qu’à cet instant qu’elle remarqua la présence d’une femme à ses côté qui fusillait des yeux l’homme à ses côtés. Claire eut le droit ensuite à regard noir. Elle se sentit un peu honteuse et poursuivit son chemin.
Quelques minutes plus tard, Claire regagna son siège. Toutes ses pensées allaient vers cet homme depuis qu’elle avait croisé son regard. Elle ne comprenait pas ce qui se passait. Jamais elle n’avait été troublé de la sorte par un homme.
Tandis que l’avion était à plusieurs heures de sa destination, elle retourna aux toilettes. Elle avait plus envie de revoir l’inconnu que d’aller se soulager.
Dès qu’elle se leva de son siège, elle remarqua, troublée, le regard de cet homme se poser encore sur elle et ne plus la lâcher. Son épouse à ses côté dormait, aussi ne priva-t-il pas d’observer Claire. Elle sentit son visage s’empourprer comme une jeune fille. Elle le fixa avec insistance puis baissa le regard, finalement gênée.
Elle atteignit les toilettes et y entra. Alors qu’elle allait refermer la porte, une main s’inséra dans l’entrebâillement pour la bloquer. L’homme était là. Comme Claire ne protesta pas, il rentra dans les toilettes, se serra contre Claire dans l’espace exigu et ferma la porte à clé.
Alors qu’elle aurait dû s’indigner, lui crier de sortir, elle resta silencieuse. Pourquoi ? Elle ne le savait pas.
Il plongea ses yeux dans les siens et l’embrassa fougueusement. Elle lui rendit son impétueux baiser. Les mains de l’homme explorèrent avec beaucoup d’envie le corps de Claire qui éprouvait beaucoup de plaisir à ses contacts.
Les mains finirent leur parcours sur les seins qu’elles se mirent à masser. Cet homme inconnu qui la touchait, dans un lieu tout aussi interdit provoquait un extraordinaire plaisir en elle. L’homme sentit les tétons se durcirent sous ses sulfureuses caresses. Elle sentit sa chatte s’humidifier. Elle n’en revenait pas. Elle avait envie de lui, de son sexe en elle.
Claire posa ses doigts sur la bosse du pantalon de son partenaire, massa le membre tendu à travers le tissus.
Elle qui aimait porter de la jolie lingerie, avait laissé ses beaux ensembles dans la valise pour porter une culotte en coton rouge confortable, juste agrémentée de quelques dentelles, ce qu’elle regrettait à cet instant précis. Son amant, s’en fichait, il glissa sa main sous la robe en coton. Il frotta de ses doigts sa vulve jusqu’à sentir l’humidité de sa chatte au travers du tissus de la culotte puis fit précipitamment glisser le sous-vêtement. Sa main s’aventura entre ses cuisses et ses doigts se mirent à fouiller l’intérieur de son vagin humide. Claire fermait les yeux, savourant chaque caresse. L’homme porta ses doigts humides à sa bouche et les lécha. Claire trouva ce geste très érotique. Il recommença mais présenta ses doigts mouillés devant la bouche de sa partenaire, qui les lécha avec gourmandise.
Il l’a fit se retourner et elle s’appuya contre la paroi des toilettes. Elle entendu un bruit de fermeture éclaire puis sentit le sexe tendu se presser contre sa vulve et la pénétrer. La queue, qui lui semblait de bonne taille, la remplissait bien et coulissait en elle. Elle se mordait les lèvres pour ne pas gémir de plaisir. Jamais elle n’avait ressentit autant d’excitation. Elle n’eut pas besoin de se faire plus besogner pour jouir. Son orgasme fût à l’image de son excitation, très fort. Elle regrettait de ne pas pouvoir exprimer d’avantage son plaisir.
L’inconnu fit se retourner Claire pour qu’elle lui soit face à lui. Il lui souleva la jambe droite et parvint à la pénétrer. Claire se faisait besogner de plus belle tout en fixant son inconnu, leurs regards ne lâchaient pas. Elle savourait chaque grand coup de rein donné par son partenaire.
Tandis qu’il continuait de la baiser avec fougue Claire se baissa et prit pour la première fois la direction du rapport. Elle s’agenouilla et prit en bouche la queue, qui effectivement était de belle taille, et entreprit de la branler. Elle ne voulait pas le laisser continuer à la pénétrer et poursuivre le voyage avec une chatte dégoulinante de sperme. L’inconnu ne fût pas long non plus et éjacula dans la bouche de Claire qui se plut à recevoir sa semence. Jamais elle n’avait pris plaisir à goûter le sperme de son mari les rares fois où elle l’avait fait. Elle avala tout le liquide avec satisfaction et fixa son amant en lui souriant. Il avait semble-t-il adoré jouir dans sa bouche.
L’homme ramassa la culotte humide, la porta à son visage et inspira fort. Il remit son boxer noir et son short et y glissa la culotte dans l’une des poches.
« En souvenir » dit-il avec un sourire charmeur.
Il ouvrit la porte et retourna à sa place, laissant la femme encore toute excitée de ce qui venait de de passer.
Claire, réajusta sa robe, très excitée de ne plus avoir de culotte et de savoir son sous-vêtement entre les mains de cet inconnu. Elle retourna à son tour à sa place, avec un mélange de honte vis-à-vis de son mari quand elle l’aperçut et de profonde satisfaction.
Elle passa le reste du voyage à réfléchir à ce qu’elle avait fait, mais surtout pourquoi. Elle était heureuse en mariage, cependant elle commençait à entrevoir la cause du vide qu’elle avait ressentie à l’aube de ses 40 ans. Elle voulait plus de folie dans ses relations sexuelles. Elle avait toujours eu des relations sans surprise avec son mari. Il lui faisait l’amour avec beaucoup de tendresse, et elle aimait ça, mais voulait plus à présent. Elle avait 40 ans et n’avait jamais fait de choses déraisonnables. Ce jour-là fût la première et plus que l’inconnu en lui-même, c’est cet acte imprévu, inconscient, interdit qu’il l’avait beaucoup excité. Elle en était à présent persuadée, elle en voulait d’autre. Elle ne voulait pas d’amant, mais juste des relations d’un jour avec des inconnus, sans attache sentimentale, juste du plaisir, de la folie, à l’écoute de ses envies et de son corps.
L’atterrissage à Pointe-à-pitre la sortit de ses fantasmes qui avaient maintenu sa fente humide tout le reste du vol.
Toute la famille rejoignit le village vacances dans lequel ils allaient passer les 15 prochains jours. Le domaine était assez étendu, proposant un large nombre de gîtes typiques individuels. Claire et sa tribu prirent possession du n°10. Etant arrivés en fin de journée, rapidement la nuit les enveloppa alors qu’ils vidaient encore leurs valises.
Vers 20h, ils rejoignirent le complexe principal dans lequel il prendraient leur dîner, ayant souscrit un séjour demi-pension.
La salle commune était assez vaste et devait accueillir une trentaine de larges tables rondes. La famille s’ installa à l’une d’elles et fut bientôt servit de belles assiettes d’acras. Tout le monde était de bonne humeur, chacun dégustant son plat et savourant l’instant. Toutefois Claire avait changé. Quand avant elle portait son regard sur un homme qui lui plaisait, elle se contentait d’en admirer la beauté. A présent, elle les envisageait comme de potentiels amants d’un soir.
Son attention se porta plus particulièrement sur un couple installé deux tables après eux, dans le dos de son mari. Elle pouvait observer l’homme au traits séduisants, qui ne devait pas avoir plus de 30 ans. Il semblait se disputer avec son épouse. L’ambiance apparaissait assez glaciale entre eux.
Alors que le dessert venait d’être servit, la musique créole fût mise plus fort pour permettre aux gens de danser. Elle perçut alors l’inconnu, après un nouvel échange de mots avec son épouse, jeter sa serviette sur la table et se lever pour partir. Claire le suivit du regard puis dit à son mari, tandis que ses filles s’élançaient sur la piste avec entrain :
- Ce voyage m’a fatiguée, je vais retourner au gîte.
- OK ma chérie. Je reste avec les filles pour qu’elles profitent de la soirée. A tout à l’heure.
Claire se leva, embrassa son mari et s’empressa de rattraper l’inconnu. Elle pu le suivre du regard sous la lumière blafarde des lampadaires et vît qu’il rentrait dans la gîte n° 18, non loin du leur.
Arrivée devant le gîte, Claire hésita un peu, mais se décida rapidement car elle devait faire vite. Elle frappa à la porte. L’homme vint lui ouvrir et elle s’engouffra dans le gîte sans y être invitée .
- Ne vous gênez pas ! Qui êtes vous ? Demanda l’homme, surpris.
- Je n’ai pas arrêté de vous regarder dans la salle, et j’ai pensé à ce moment toute la soirée, répondit audacieusement Claire, en fixant l’homme dont le corps bien fait lui donnait envie.
Elle essaya de faire son regard le plus aguicheur, puis fit tomber sa robe au sol pour se présenter en sous-vêtements. Elle avait aussi troqué ses dessous confortables du voyage pour un ensemble plus affriolant, vert avec des motifs fleuris très dans le thème de l’île.
L’homme était bouche-bée et ne disait rien. Claire s’avança vers lui et posa sa main sur son torse. Il se laissa faire, un peu déboussolé. Elle posa ses lèvres sur sa bouche et l’homme lui rendit son baiser. Leur étreinte était maintenant fougueuse, leurs s’aventurant avec envie sur le corps de l’autre.
Claire se dirigea vers le lit et s’y allongea en écartant les jambes puis lui ordonna:
- Viens me bouffer la chatte !
L’homme s’allongea entre les cuisses de Claire écarta le tanga et entama un cunnilingus. Elle sentait qu’il lui dévorait la chatte avec beaucoup d’avidité, qu’il se régalait du jus de son abricot. Claire fermait les yeux, savourant chaque seconde, et passait sa main dans les cheveux blonds du jeune homme pour l’encourager à poursuivre. Elle finit par lui attraper le menton pour l’attirer vers elle. L’inconnu remonta le long du corps à moitié nue de la femme qui s’était présentée à lui, tout en baissant de sa main libre son short et caleçon.
Son sexe tendu se présenta devant la vulve trempée et pénétra Claire d’un coup sec. Alors qu’il donnait de puissants coups de reins, Claire griffait son dos avec ses ongles. Elle se délectait de cette queue qui coulissait en elle. Ces nouvelles situations, ces sauts dans l’inconnu qu’elle faisait à chaque rencontre, l’excitaient tellement qu’elle jouit assez vite, haletant sous l’intense plaisir provoqué par cette bite qui pilonnait vigoureusement sa chatte.
« Ho putain, vas-y ne t’arrête pas, c’est bon ».
L’orgasme qu’elle ressentit était puissant, comme celui vécu dans l’avion. Le jeune homme déchargea à son tour, Claire recevant avec plaisir les jets de sperme au fond de son vagin.
Il eut à peine le temps de se remettre de ses émotions que sa partenaire déjà se levait pour partir. Elle réajusta en vitesse ses vêtements et sortit, sans échanger plus qu’un « merci » avec son amant du soir.
Elle regagna en vitesse son gîte et fut soulagée de voir que sa famille était toujours en train de danser. Elle ne savait pas ce qu’elle aurait dit si elle était tombée face à eux. Il faudra qu’elle se prépare une excuse pour la prochaine fois se dit-elle.
Elle se mit nue, fit une rapide toilette et enfila son short et débardeur de pyjama avant de se glisser dans le lit. Elle n’était pas fatiguée mais toujours excitée par l’aventure avec son inconnu du gîte 18.
Elle ne dormait pas quand son mari et ses filles arrivèrent. Ils se préparent en silence et chacun regagna son lit. Le gîte étant grand, les parents comme les enfants avaient leur propre chambre.
Claire toujours très excitée se tourna vers son mari quand il rentra dans le lit et se mit à caresser sa queue. Elle la sentit grossir très vite entre ses mains.
- Je croyais que tu étais fatiguée, murmura-t-il avec une pointe d’amusement dans la voix.
- J’ai retrouvé un peu de force, répondit-elle.
Ce soir là, son mari lui fit l’amour comme d’habitude, avec plein de tendresse. Elle jouit mais son orgasme lui semblait maintenant bien terne en comparaison de ceux provoqués par ses inconnus.
Le séjour se poursuivit sans qu’aucune occasion de plaisir ne vienne se présenter à Claire, jusqu’à ce jeudi après-midi. Durant la journée, elle avait repéré le regard insistant d’un des serveurs qui œuvrait à la piscine du club. C’était un homme assez grand, tout en muscle. Il avait le crâne rasé et le visage charmeur.
Il draguait Claire du regard ou plus ouvertement quand ils se trouvaient plus près l’un de l’autre et à bonne distance de sa famille.
Claire se dit qu’il devait s’enfiler un paquet de femme comme elle durant la période touristique. Mais elle s’en fichait, si elle pouvait se faire plaisir peu lui importait.
Alors que son mari et ses filles s’amusaient dans la piscine, elle leur indiqua qu’elle partait marcher un peu sur le domaine.
Elle s’approcha discrètement de son beau serveur et lui demanda avec un regard provoquant :
- Vous n’avez pas le droit à une pause ?
- Si bien sûr. Attendez-moi à l’intérieur, je vous rejoins dans 5 minutes, répondit-il avec un visage qui s’illuminait d’envie.
Il rejoignit Claire quelques instants plus tard et l’entraîna dans les parties privées du bâtiment puis la fît rentrer dans un petit local dans lequel était entreposé du matériel de nettoyage. Il referma la porte derrière lui.
Sans plus de préambule, la mère de famille se mit à genoux et baissa le short du jeune serveur. Elle libéra une queue d’une taille qu’elle n’avait jamais vue. Elle eu du mal à la faire rentrer dans sa bouche et encore plus à l’enfoncer au fond de sa gorge. Elle fit du mieux qu’elle pouvait pour lui faire la fellation et ses râles de plaisir lui indiquaient qu’elle se débrouillait plutôt bien.
Le serveur fit remettre debout Claire et la souleva du sol pour la reposer sur un meuble dans le coin de la pièce. Elle fût surprise qu’il puisse la porter avec tant de facilité, comme si elle ne pesait rien. Elle trouva excitant de se sentir une si petite chose entre ces bras musclés.
Claire portait un maillot blanc deux pièces avec une large fleur d’hibiscus sur le haut comme le bas. Elle écarta les jambes et son maillot encore mouillé épousait parfaitement sa vulve gonflée de plaisir. Son amant pouvait admirer la moindre ligne de sa fente. Tandis qu’il savourait la vue Claire dégrafa son soutien-gorge pour libérer ses seins. Il la complimenta sur sa poitrine puis attrapa le slip de bain pour l’enlever.
Elle se demandait à présent comment elle pourrait accueillir en elle un calibre de cette taille. Son amant se posa moins de question et poussa sans attendre à l’entrée du vagin. Son gland énorme ouvrit la voie et s’insinua en elle un peu plus à chaque coup de rein. Elle finit par le sentir tout au fond de son vagin, touchant l’entrée de son utérus. Et tout le membre n’était pas en elle. Elle n’en revenait pas.
Elle se laissa ensuite porter par son plaisir, savourant de se sentir ainsi remplie comme jamais. Cette queue énorme qui coulissait en elle lui procurait beaucoup de sensations aussi poussait-elle des gémissements à chaque puissant mouvement de bassin de son amant.
- Tu la sens bien ma grosse queue de Black dans ta chatte ? S’amusa à demander le serveur.
- Ho oui, putain, c’est bon, souffla Claire entre deux gémissements.
- Tu aimes te faire défoncer la chatte par une grosse queue ?
- Ho oui !
- Tu en avais marre de la petite bite de ton mari ? Il t’en fallait une plus grosse ?
- Ho oui, je veux que des grosses queues dans ma chatte.
Claire savourait de se faire ainsi culbuter par son grand serviteur Black et sentit la jouissance arriver trop vite à son goût. L’orgasme se répandit soudainement en elle. Son vagin se serra sur la grosse queue qui la pilonnait depuis plusieurs minutes sur un rythme soutenu. Son souffle était court, et son ventre était pris de spasmes puissants alors que ses tétons se dressaient de plaisir.
Le serveur n’étant pas loin non, il ressortit son membre de sa partenaire et dit en la faisant se mettre à genoux :
- Tu vas goûter le jus de Black ! Tu as envie de boire le jus de mes grosses couilles, hein ?
- Oui, très envie, répondit la mère de famille très excitée par l’idée.
Elle ouvrit grand la bouche devant l’énorme gland. Le serveur se branlait sur un rythme soutenu tandis qu’elle massait ses couilles pour l’aider. Dans un râle un peu bestial il éjacula et projeta d’épais jets de sperme dans la bouche de Claire. Jamais elle n’avait vu autant de sperme sortir d’une bite. Elle compta au moins 10 gros jets de foutre. Comme la plupart avaient atterri sur sa langue, elle avait littéralement la bouche pleine de sperme. Elle dû avaler en deux fois tellement il y en avait.
- Alors mon jus, il est bon ?
- Oui j’adore, répondit Claire en passant sa langue sur ses lèvres pour récupérer les dernières gouttes de sperme. J’ai pris beaucoup de plaisir à te vider les couilles.
Devant reprendre son service, il se rhabilla rapidement, pour la plus grande déception de Claire qui aurait bien prolongé ce moment.
Ils se revirent trois fois encore dans ce local durant le reste du séjour où Claire se fit besogner avec beaucoup de jouissance par son fougueux serveur.
Ce soir là encore, elle alla chercher le sexe de son mari qui lui fit l’amour avec douceur. L’orgasme de Claire fût plus fort que la dernière fois, mais sans doute provoquée par ses incessantes pensées envers l’énorme queue de son serveur.
Une ultime occasion de se faire plaisir se présenta la veille de leur départ. Claire provoqua un peu cette situation. Ne voulant pas repartir de l’île sans une dernière aventure, elle parvint à glisser un mot à son inconnu du gîte n° 18.
« Rendez-vous ce soir à 00h00 près de la cahute du marchand de glace sur la plage ».
Un peu avant l’heure dite, elle se leva sans bruit du lit, attrapa une robe puis sortit sur la terrasse. Les lumières du village étaient toujours allumées et lui procurait un peu de lumière. Elle ne vit personne aussi elle enleva son pyjama et se retrouva entièrement nue. Elle passa la robe et se dirigea vers la plage.
Elle arriva la première à la cahute. Les lumières du complexe hôtelier ne l’éclairait plus à cet endroit. Seule la faible lumière d’une lune gibbeuse lui apportait une petite lueur.
Elle finit par entendre un bruit de pas dans le sable. Lorsque l’homme fût à son niveau elle dit :
- Je vois que tu avais envie de me baiser !
- C’est en effet tenant !
En s’approchant de Claire, cette dernière ne reconnut pas l’inconnu du 18.
- Vous n’êtes pas le monsieur du gîte 18 ?!
- Non, j’habite pas loin et j’aime bien me promener sur la plage quand je ne trouve pas le sommeil
- Pardon, désolée pour mes propos, s’excusa Claire, honteuse.
Alors qu’elle pensait qu’il allait partir l’homme dit :
- Pas de problème. Tu peux me sucer maintenant.
En disant cela, il sortit sa queue et appuya sur l’épaule de la femme pour la mettre à genoux.
L’envie gagna vite Claire qui pris le sexe en bouche. Après tout il fallait profiter de l’instant présent, ne sachant même pas si l’inconnu du 18 viendrait.
Alors qu’elle s’appliquait dans la réalisation de la fellation, elle aperçut une ombre du coin de l’œil.
- Pardon, dit l’ombre.
- Non restez ! Vous êtes l’homme du gîte 18 ?
- Non, moi je suis dans le gîte 3. On part demain et je voulais profiter une dernière fois des plaisirs de la plage.
- Alors restez ! dit Claire en tendant la main vers l’homme.
L’ombre hésita mais avança vers la femme accroupie. Il fit glisser son short au sol et présenta une queue molle devant le visage de Claire. Elle s’appliqua à la sucer et la sentit vite grossir dans sa bouche.
Elle mettait alternativement une queue dans sa bouche et branlait l’autre de sa main. Après plusieurs minutes de fellation, elle se releva, jeta sa robe au sol et vint s’asseoir sur l’une des 2 tables de pique-nique présentes.
- Faites-moi un cunni les gars.
Le premier inconnu s’inséra entre ses cuisses et commença ses caresses buccales. La langue s’inséra dans la chatte humide et il lui semblait que l’homme lapait son jus comme s’il étanchait une longue soif à une fontaine. Il joignit ses doigts à sa langue pour caresser chaque parcelle de cette vulve brûlante de désir.
Le deuxième prit possession de ses seins qu’il massa de ses mains avec envie.
Alors qu’elle savourait les sensations que lui procuraient ces deux hommes, celui qui se trouvait entre ses jambes se redressa et inséra sa queue dans la chatte ouverte de désir de Claire et commença un lent va-et-vient. Claire s’allongea sur le dos et accueillit dans sa bouche la verge de son deuxième amant. Elle éprouvait un plaisir intense en sentant ces deux queues coulisser en elle. Elle se sentait possédée. Au bout d’un moment, les deux hommes échangèrent leur place. L’homme dans sa bouche malaxait avec avidité ses seins, pinçait ses tétons. Claire haletait de plus belle et explosa de plaisir, son ventre tremblant son l’orgasme qui venait de la parcourir.
L’homme dans sa bouche se cambra et éjacula une belle quantité de foutre sur sa langue. Elle eu à peine le temps d’avaler le sperme que le deuxième homme vint présenter sa queue devant la bouche ouverte. Il se branla un peu et expulsa des jets de sperme sur tout le visage de Claire. Elle se retrouva avec des grosses goûtes de foutre sur la joue, le front et les cheveux. Elle prit en bouche la queue et la suça pour en avaler les dernières sécrétions qui en sortaient.
Elle ne voulait pas en rester là, aussi continua-t-elle la fellation qu’elle réalisait. Elle sentit le deuxième homme frotter son gland avec sa verge molle sur sa vulve. Plus il se frottait, plus elle sentait la queue gonfler.
En se relevant, Claire dit :
- J’ai envie d’avoir vos queue dans mon cul.
Elle se mit à quatre pattes, accoudée sur le banc. Elle se cambra et de sa main libre écarta ses fesses.
- Je vais te défoncer le cul ! dit l’un des deux hommes.
Elle fût traversée d’un frisson devant cette promesse. Elle le sentit mettre un doigt dans son vagin puis l’introduire dans son anus pour faire des mouvements circulaires pour le dilater. Ce dernier s’ouvrit assez vite, à la surprise de Claire. Elle se dit qu’elle devait vraiment avoir envie d’accueillir une queue dans son cul. Elle sentit la verge pénétrer sa chatte puis le gland se presser sur son anus avant que la queue ne rentre petit à petit dans son cul. Assez vite, la hampe de chair fût tout entière en elle et entama d’agréables aller-retour. Elle repensa à la queue surdimensionnée de son serveur et frémit. Il lui aurait éclaté le cul. Mais elle aurait aimé essayer, assurément !
L’homme la besogna plusieurs minutes avant de laisser la place à son collègue qui la prit avec énergie. Il finit par rendre la place à l’autre homme qui la prit pendant une trentaine de secondes avant d’à nouveau se pousser pour laisser revenir son collègue. Claire adora cette alternance rapide de queues en elle.
Ils la firent ensuite s’allonger à nouveau sur la table et lui amenèrent les jambes vers son visage pour faire se relever ses fesses. L’un des inconnus pénétra encore sans difficulté son anus dilaté et reprit son va-et-vient. Elle aimait ressentir cette queue s’enfoncer profondément en elle, entendre le bassin de son partenaire claquer sur son postérieur. Comme précédemment, il laissa rapidement la place au deuxième homme qui la besogna rapidement avant de se mettre de côté pour permettre au premier inconnu de reprendre son pilonnage. Elle était au bord de l’extase à sentir ces queues défiler en elle. Elle aurait dû s’en offusquer de se sentir un peu comme un jouet sexuel à disposition de ces hommes mais elle adora ça.
Le premier inconnu s’allongea sur le sol sablonneux et invita Claire à venir s’empaler sur sa queue. Elle se plaça au dessus de son membre et redescendit en l’insérant dans sa chatte dégoulinante de jus. Le deuxième vint insérer son sexe dans le cul dilaté qui se présentait à lui.
Claire se faisait maintenant baiser par les deux hommes en même temps. Elle gémissait, avait le souffle court. Le plaisir était intense et savourait de se sentir remplie par tous les trous. Elle avait l’impression que les deux sexes se touchaient en elle, séparés par une fine paroi. Son souffle devenait saccadé, la chaleur montait dans son ventre tandis que ses tétons étaient plus dressés que jamais.
L’homme sous elle fût le premier à jouir, vidant ses couilles dans le vagin de Claire. Il continua ses mouvements, son sexe ne ramollissant pas trop. L’homme au dessus d’elle éjacula à son tour. Claire ressentit alors les jets de sperme chaud se répandre en elle et cette sensation déclencha aussitôt un violent orgasme, plus fort que tout ce qu’elle avait connu jusqu’ici. Elle se mit à gémir très fort, en criant des « Ho, putain ! ». Les spasmes dans son ventre ne s’arrêtaient pas, ses tétons frissonnaient, sa chatte vibrait. Elle ne pensait pas qu’un orgasme pouvait être aussi intense.
Elle se rhabilla, laissant les deux hommes sur la plage pour rejoindre son gîte. Elle remit son pyjama sur la terrasse, se lava prestement et regagna son lit sur la pointe des pieds. Tout le monde semblait dormir. Elle était soulagée de constater que son absence était passée inaperçu.
Le lendemain, alors qu’ils préparaient leurs valise pour retourner à l’aéroport son mari lui dit tout bas pour que les filles n’entendent pas.
- Tu as entendue cette nuit ? Il y a en une qui a eu son compte !
- Non, mentit Claire un peu décontenancée.
- Elle a crié si fort que tout le village a dû l’entendre pourtant.
- Si tu veux mon avis, c’est une belle salope celle-là, précisa sa femme, soulagée que son mari n’ait pas pas remarqué son absence dans le lit lorsqu’elle avait crié son plaisir.
Toute la famille reprit l’avion. Le vol de retour se fit sans aventure pour Claire. Mais quand elle posa le pied à Paris le monde lui semblait différent. Ou plutôt c’est elle qui avait changé. Maintenant, elle était persuadée que le sexe serait au centre de sa vie, qu’elle serait en quête permanente d’un plaisir intense.
Mais en posant le pied dans cet avion, Claire ne se doutait pas que sa vie allait changer pour toujours.
Depuis son anniversaire, elle était un peu taciturne. Elle avait un sentiment de vide en elle, ne sachant pas expliquer quoi. Elle était à une étape de sa vie où les questions existentielles peuvent surgirent. Aussi était-elle contente de ce voyage qui lui changerait les idées.
L’avion pris son envol, emportant avec lui une mère de famille stressée par le voyage. Alors qu’elle avançait dans le couloir pour aller aux toilettes, elle remarqua la regard insistant d’un homme assis 5 rangs derrière elle. Il semblait avoir dans la quarantaine comme elle, il était brun, le visage volontaire et lumineux. Quand elle fût à son niveau, alors qu’il la dévisageait en souriant, elle ne trouva autre chose à faire que de lui rendre son sourire, son regard la troublant beaucoup. Elle le trouva très beau avec ses petites fossettes qui se dessinaient à la commissure de ses lèvres. Ce n’est qu’à cet instant qu’elle remarqua la présence d’une femme à ses côté qui fusillait des yeux l’homme à ses côtés. Claire eut le droit ensuite à regard noir. Elle se sentit un peu honteuse et poursuivit son chemin.
Quelques minutes plus tard, Claire regagna son siège. Toutes ses pensées allaient vers cet homme depuis qu’elle avait croisé son regard. Elle ne comprenait pas ce qui se passait. Jamais elle n’avait été troublé de la sorte par un homme.
Tandis que l’avion était à plusieurs heures de sa destination, elle retourna aux toilettes. Elle avait plus envie de revoir l’inconnu que d’aller se soulager.
Dès qu’elle se leva de son siège, elle remarqua, troublée, le regard de cet homme se poser encore sur elle et ne plus la lâcher. Son épouse à ses côté dormait, aussi ne priva-t-il pas d’observer Claire. Elle sentit son visage s’empourprer comme une jeune fille. Elle le fixa avec insistance puis baissa le regard, finalement gênée.
Elle atteignit les toilettes et y entra. Alors qu’elle allait refermer la porte, une main s’inséra dans l’entrebâillement pour la bloquer. L’homme était là. Comme Claire ne protesta pas, il rentra dans les toilettes, se serra contre Claire dans l’espace exigu et ferma la porte à clé.
Alors qu’elle aurait dû s’indigner, lui crier de sortir, elle resta silencieuse. Pourquoi ? Elle ne le savait pas.
Il plongea ses yeux dans les siens et l’embrassa fougueusement. Elle lui rendit son impétueux baiser. Les mains de l’homme explorèrent avec beaucoup d’envie le corps de Claire qui éprouvait beaucoup de plaisir à ses contacts.
Les mains finirent leur parcours sur les seins qu’elles se mirent à masser. Cet homme inconnu qui la touchait, dans un lieu tout aussi interdit provoquait un extraordinaire plaisir en elle. L’homme sentit les tétons se durcirent sous ses sulfureuses caresses. Elle sentit sa chatte s’humidifier. Elle n’en revenait pas. Elle avait envie de lui, de son sexe en elle.
Claire posa ses doigts sur la bosse du pantalon de son partenaire, massa le membre tendu à travers le tissus.
Elle qui aimait porter de la jolie lingerie, avait laissé ses beaux ensembles dans la valise pour porter une culotte en coton rouge confortable, juste agrémentée de quelques dentelles, ce qu’elle regrettait à cet instant précis. Son amant, s’en fichait, il glissa sa main sous la robe en coton. Il frotta de ses doigts sa vulve jusqu’à sentir l’humidité de sa chatte au travers du tissus de la culotte puis fit précipitamment glisser le sous-vêtement. Sa main s’aventura entre ses cuisses et ses doigts se mirent à fouiller l’intérieur de son vagin humide. Claire fermait les yeux, savourant chaque caresse. L’homme porta ses doigts humides à sa bouche et les lécha. Claire trouva ce geste très érotique. Il recommença mais présenta ses doigts mouillés devant la bouche de sa partenaire, qui les lécha avec gourmandise.
Il l’a fit se retourner et elle s’appuya contre la paroi des toilettes. Elle entendu un bruit de fermeture éclaire puis sentit le sexe tendu se presser contre sa vulve et la pénétrer. La queue, qui lui semblait de bonne taille, la remplissait bien et coulissait en elle. Elle se mordait les lèvres pour ne pas gémir de plaisir. Jamais elle n’avait ressentit autant d’excitation. Elle n’eut pas besoin de se faire plus besogner pour jouir. Son orgasme fût à l’image de son excitation, très fort. Elle regrettait de ne pas pouvoir exprimer d’avantage son plaisir.
L’inconnu fit se retourner Claire pour qu’elle lui soit face à lui. Il lui souleva la jambe droite et parvint à la pénétrer. Claire se faisait besogner de plus belle tout en fixant son inconnu, leurs regards ne lâchaient pas. Elle savourait chaque grand coup de rein donné par son partenaire.
Tandis qu’il continuait de la baiser avec fougue Claire se baissa et prit pour la première fois la direction du rapport. Elle s’agenouilla et prit en bouche la queue, qui effectivement était de belle taille, et entreprit de la branler. Elle ne voulait pas le laisser continuer à la pénétrer et poursuivre le voyage avec une chatte dégoulinante de sperme. L’inconnu ne fût pas long non plus et éjacula dans la bouche de Claire qui se plut à recevoir sa semence. Jamais elle n’avait pris plaisir à goûter le sperme de son mari les rares fois où elle l’avait fait. Elle avala tout le liquide avec satisfaction et fixa son amant en lui souriant. Il avait semble-t-il adoré jouir dans sa bouche.
L’homme ramassa la culotte humide, la porta à son visage et inspira fort. Il remit son boxer noir et son short et y glissa la culotte dans l’une des poches.
« En souvenir » dit-il avec un sourire charmeur.
Il ouvrit la porte et retourna à sa place, laissant la femme encore toute excitée de ce qui venait de de passer.
Claire, réajusta sa robe, très excitée de ne plus avoir de culotte et de savoir son sous-vêtement entre les mains de cet inconnu. Elle retourna à son tour à sa place, avec un mélange de honte vis-à-vis de son mari quand elle l’aperçut et de profonde satisfaction.
Elle passa le reste du voyage à réfléchir à ce qu’elle avait fait, mais surtout pourquoi. Elle était heureuse en mariage, cependant elle commençait à entrevoir la cause du vide qu’elle avait ressentie à l’aube de ses 40 ans. Elle voulait plus de folie dans ses relations sexuelles. Elle avait toujours eu des relations sans surprise avec son mari. Il lui faisait l’amour avec beaucoup de tendresse, et elle aimait ça, mais voulait plus à présent. Elle avait 40 ans et n’avait jamais fait de choses déraisonnables. Ce jour-là fût la première et plus que l’inconnu en lui-même, c’est cet acte imprévu, inconscient, interdit qu’il l’avait beaucoup excité. Elle en était à présent persuadée, elle en voulait d’autre. Elle ne voulait pas d’amant, mais juste des relations d’un jour avec des inconnus, sans attache sentimentale, juste du plaisir, de la folie, à l’écoute de ses envies et de son corps.
L’atterrissage à Pointe-à-pitre la sortit de ses fantasmes qui avaient maintenu sa fente humide tout le reste du vol.
Toute la famille rejoignit le village vacances dans lequel ils allaient passer les 15 prochains jours. Le domaine était assez étendu, proposant un large nombre de gîtes typiques individuels. Claire et sa tribu prirent possession du n°10. Etant arrivés en fin de journée, rapidement la nuit les enveloppa alors qu’ils vidaient encore leurs valises.
Vers 20h, ils rejoignirent le complexe principal dans lequel il prendraient leur dîner, ayant souscrit un séjour demi-pension.
La salle commune était assez vaste et devait accueillir une trentaine de larges tables rondes. La famille s’ installa à l’une d’elles et fut bientôt servit de belles assiettes d’acras. Tout le monde était de bonne humeur, chacun dégustant son plat et savourant l’instant. Toutefois Claire avait changé. Quand avant elle portait son regard sur un homme qui lui plaisait, elle se contentait d’en admirer la beauté. A présent, elle les envisageait comme de potentiels amants d’un soir.
Son attention se porta plus particulièrement sur un couple installé deux tables après eux, dans le dos de son mari. Elle pouvait observer l’homme au traits séduisants, qui ne devait pas avoir plus de 30 ans. Il semblait se disputer avec son épouse. L’ambiance apparaissait assez glaciale entre eux.
Alors que le dessert venait d’être servit, la musique créole fût mise plus fort pour permettre aux gens de danser. Elle perçut alors l’inconnu, après un nouvel échange de mots avec son épouse, jeter sa serviette sur la table et se lever pour partir. Claire le suivit du regard puis dit à son mari, tandis que ses filles s’élançaient sur la piste avec entrain :
- Ce voyage m’a fatiguée, je vais retourner au gîte.
- OK ma chérie. Je reste avec les filles pour qu’elles profitent de la soirée. A tout à l’heure.
Claire se leva, embrassa son mari et s’empressa de rattraper l’inconnu. Elle pu le suivre du regard sous la lumière blafarde des lampadaires et vît qu’il rentrait dans la gîte n° 18, non loin du leur.
Arrivée devant le gîte, Claire hésita un peu, mais se décida rapidement car elle devait faire vite. Elle frappa à la porte. L’homme vint lui ouvrir et elle s’engouffra dans le gîte sans y être invitée .
- Ne vous gênez pas ! Qui êtes vous ? Demanda l’homme, surpris.
- Je n’ai pas arrêté de vous regarder dans la salle, et j’ai pensé à ce moment toute la soirée, répondit audacieusement Claire, en fixant l’homme dont le corps bien fait lui donnait envie.
Elle essaya de faire son regard le plus aguicheur, puis fit tomber sa robe au sol pour se présenter en sous-vêtements. Elle avait aussi troqué ses dessous confortables du voyage pour un ensemble plus affriolant, vert avec des motifs fleuris très dans le thème de l’île.
L’homme était bouche-bée et ne disait rien. Claire s’avança vers lui et posa sa main sur son torse. Il se laissa faire, un peu déboussolé. Elle posa ses lèvres sur sa bouche et l’homme lui rendit son baiser. Leur étreinte était maintenant fougueuse, leurs s’aventurant avec envie sur le corps de l’autre.
Claire se dirigea vers le lit et s’y allongea en écartant les jambes puis lui ordonna:
- Viens me bouffer la chatte !
L’homme s’allongea entre les cuisses de Claire écarta le tanga et entama un cunnilingus. Elle sentait qu’il lui dévorait la chatte avec beaucoup d’avidité, qu’il se régalait du jus de son abricot. Claire fermait les yeux, savourant chaque seconde, et passait sa main dans les cheveux blonds du jeune homme pour l’encourager à poursuivre. Elle finit par lui attraper le menton pour l’attirer vers elle. L’inconnu remonta le long du corps à moitié nue de la femme qui s’était présentée à lui, tout en baissant de sa main libre son short et caleçon.
Son sexe tendu se présenta devant la vulve trempée et pénétra Claire d’un coup sec. Alors qu’il donnait de puissants coups de reins, Claire griffait son dos avec ses ongles. Elle se délectait de cette queue qui coulissait en elle. Ces nouvelles situations, ces sauts dans l’inconnu qu’elle faisait à chaque rencontre, l’excitaient tellement qu’elle jouit assez vite, haletant sous l’intense plaisir provoqué par cette bite qui pilonnait vigoureusement sa chatte.
« Ho putain, vas-y ne t’arrête pas, c’est bon ».
L’orgasme qu’elle ressentit était puissant, comme celui vécu dans l’avion. Le jeune homme déchargea à son tour, Claire recevant avec plaisir les jets de sperme au fond de son vagin.
Il eut à peine le temps de se remettre de ses émotions que sa partenaire déjà se levait pour partir. Elle réajusta en vitesse ses vêtements et sortit, sans échanger plus qu’un « merci » avec son amant du soir.
Elle regagna en vitesse son gîte et fut soulagée de voir que sa famille était toujours en train de danser. Elle ne savait pas ce qu’elle aurait dit si elle était tombée face à eux. Il faudra qu’elle se prépare une excuse pour la prochaine fois se dit-elle.
Elle se mit nue, fit une rapide toilette et enfila son short et débardeur de pyjama avant de se glisser dans le lit. Elle n’était pas fatiguée mais toujours excitée par l’aventure avec son inconnu du gîte 18.
Elle ne dormait pas quand son mari et ses filles arrivèrent. Ils se préparent en silence et chacun regagna son lit. Le gîte étant grand, les parents comme les enfants avaient leur propre chambre.
Claire toujours très excitée se tourna vers son mari quand il rentra dans le lit et se mit à caresser sa queue. Elle la sentit grossir très vite entre ses mains.
- Je croyais que tu étais fatiguée, murmura-t-il avec une pointe d’amusement dans la voix.
- J’ai retrouvé un peu de force, répondit-elle.
Ce soir là, son mari lui fit l’amour comme d’habitude, avec plein de tendresse. Elle jouit mais son orgasme lui semblait maintenant bien terne en comparaison de ceux provoqués par ses inconnus.
Le séjour se poursuivit sans qu’aucune occasion de plaisir ne vienne se présenter à Claire, jusqu’à ce jeudi après-midi. Durant la journée, elle avait repéré le regard insistant d’un des serveurs qui œuvrait à la piscine du club. C’était un homme assez grand, tout en muscle. Il avait le crâne rasé et le visage charmeur.
Il draguait Claire du regard ou plus ouvertement quand ils se trouvaient plus près l’un de l’autre et à bonne distance de sa famille.
Claire se dit qu’il devait s’enfiler un paquet de femme comme elle durant la période touristique. Mais elle s’en fichait, si elle pouvait se faire plaisir peu lui importait.
Alors que son mari et ses filles s’amusaient dans la piscine, elle leur indiqua qu’elle partait marcher un peu sur le domaine.
Elle s’approcha discrètement de son beau serveur et lui demanda avec un regard provoquant :
- Vous n’avez pas le droit à une pause ?
- Si bien sûr. Attendez-moi à l’intérieur, je vous rejoins dans 5 minutes, répondit-il avec un visage qui s’illuminait d’envie.
Il rejoignit Claire quelques instants plus tard et l’entraîna dans les parties privées du bâtiment puis la fît rentrer dans un petit local dans lequel était entreposé du matériel de nettoyage. Il referma la porte derrière lui.
Sans plus de préambule, la mère de famille se mit à genoux et baissa le short du jeune serveur. Elle libéra une queue d’une taille qu’elle n’avait jamais vue. Elle eu du mal à la faire rentrer dans sa bouche et encore plus à l’enfoncer au fond de sa gorge. Elle fit du mieux qu’elle pouvait pour lui faire la fellation et ses râles de plaisir lui indiquaient qu’elle se débrouillait plutôt bien.
Le serveur fit remettre debout Claire et la souleva du sol pour la reposer sur un meuble dans le coin de la pièce. Elle fût surprise qu’il puisse la porter avec tant de facilité, comme si elle ne pesait rien. Elle trouva excitant de se sentir une si petite chose entre ces bras musclés.
Claire portait un maillot blanc deux pièces avec une large fleur d’hibiscus sur le haut comme le bas. Elle écarta les jambes et son maillot encore mouillé épousait parfaitement sa vulve gonflée de plaisir. Son amant pouvait admirer la moindre ligne de sa fente. Tandis qu’il savourait la vue Claire dégrafa son soutien-gorge pour libérer ses seins. Il la complimenta sur sa poitrine puis attrapa le slip de bain pour l’enlever.
Elle se demandait à présent comment elle pourrait accueillir en elle un calibre de cette taille. Son amant se posa moins de question et poussa sans attendre à l’entrée du vagin. Son gland énorme ouvrit la voie et s’insinua en elle un peu plus à chaque coup de rein. Elle finit par le sentir tout au fond de son vagin, touchant l’entrée de son utérus. Et tout le membre n’était pas en elle. Elle n’en revenait pas.
Elle se laissa ensuite porter par son plaisir, savourant de se sentir ainsi remplie comme jamais. Cette queue énorme qui coulissait en elle lui procurait beaucoup de sensations aussi poussait-elle des gémissements à chaque puissant mouvement de bassin de son amant.
- Tu la sens bien ma grosse queue de Black dans ta chatte ? S’amusa à demander le serveur.
- Ho oui, putain, c’est bon, souffla Claire entre deux gémissements.
- Tu aimes te faire défoncer la chatte par une grosse queue ?
- Ho oui !
- Tu en avais marre de la petite bite de ton mari ? Il t’en fallait une plus grosse ?
- Ho oui, je veux que des grosses queues dans ma chatte.
Claire savourait de se faire ainsi culbuter par son grand serviteur Black et sentit la jouissance arriver trop vite à son goût. L’orgasme se répandit soudainement en elle. Son vagin se serra sur la grosse queue qui la pilonnait depuis plusieurs minutes sur un rythme soutenu. Son souffle était court, et son ventre était pris de spasmes puissants alors que ses tétons se dressaient de plaisir.
Le serveur n’étant pas loin non, il ressortit son membre de sa partenaire et dit en la faisant se mettre à genoux :
- Tu vas goûter le jus de Black ! Tu as envie de boire le jus de mes grosses couilles, hein ?
- Oui, très envie, répondit la mère de famille très excitée par l’idée.
Elle ouvrit grand la bouche devant l’énorme gland. Le serveur se branlait sur un rythme soutenu tandis qu’elle massait ses couilles pour l’aider. Dans un râle un peu bestial il éjacula et projeta d’épais jets de sperme dans la bouche de Claire. Jamais elle n’avait vu autant de sperme sortir d’une bite. Elle compta au moins 10 gros jets de foutre. Comme la plupart avaient atterri sur sa langue, elle avait littéralement la bouche pleine de sperme. Elle dû avaler en deux fois tellement il y en avait.
- Alors mon jus, il est bon ?
- Oui j’adore, répondit Claire en passant sa langue sur ses lèvres pour récupérer les dernières gouttes de sperme. J’ai pris beaucoup de plaisir à te vider les couilles.
Devant reprendre son service, il se rhabilla rapidement, pour la plus grande déception de Claire qui aurait bien prolongé ce moment.
Ils se revirent trois fois encore dans ce local durant le reste du séjour où Claire se fit besogner avec beaucoup de jouissance par son fougueux serveur.
Ce soir là encore, elle alla chercher le sexe de son mari qui lui fit l’amour avec douceur. L’orgasme de Claire fût plus fort que la dernière fois, mais sans doute provoquée par ses incessantes pensées envers l’énorme queue de son serveur.
Une ultime occasion de se faire plaisir se présenta la veille de leur départ. Claire provoqua un peu cette situation. Ne voulant pas repartir de l’île sans une dernière aventure, elle parvint à glisser un mot à son inconnu du gîte n° 18.
« Rendez-vous ce soir à 00h00 près de la cahute du marchand de glace sur la plage ».
Un peu avant l’heure dite, elle se leva sans bruit du lit, attrapa une robe puis sortit sur la terrasse. Les lumières du village étaient toujours allumées et lui procurait un peu de lumière. Elle ne vit personne aussi elle enleva son pyjama et se retrouva entièrement nue. Elle passa la robe et se dirigea vers la plage.
Elle arriva la première à la cahute. Les lumières du complexe hôtelier ne l’éclairait plus à cet endroit. Seule la faible lumière d’une lune gibbeuse lui apportait une petite lueur.
Elle finit par entendre un bruit de pas dans le sable. Lorsque l’homme fût à son niveau elle dit :
- Je vois que tu avais envie de me baiser !
- C’est en effet tenant !
En s’approchant de Claire, cette dernière ne reconnut pas l’inconnu du 18.
- Vous n’êtes pas le monsieur du gîte 18 ?!
- Non, j’habite pas loin et j’aime bien me promener sur la plage quand je ne trouve pas le sommeil
- Pardon, désolée pour mes propos, s’excusa Claire, honteuse.
Alors qu’elle pensait qu’il allait partir l’homme dit :
- Pas de problème. Tu peux me sucer maintenant.
En disant cela, il sortit sa queue et appuya sur l’épaule de la femme pour la mettre à genoux.
L’envie gagna vite Claire qui pris le sexe en bouche. Après tout il fallait profiter de l’instant présent, ne sachant même pas si l’inconnu du 18 viendrait.
Alors qu’elle s’appliquait dans la réalisation de la fellation, elle aperçut une ombre du coin de l’œil.
- Pardon, dit l’ombre.
- Non restez ! Vous êtes l’homme du gîte 18 ?
- Non, moi je suis dans le gîte 3. On part demain et je voulais profiter une dernière fois des plaisirs de la plage.
- Alors restez ! dit Claire en tendant la main vers l’homme.
L’ombre hésita mais avança vers la femme accroupie. Il fit glisser son short au sol et présenta une queue molle devant le visage de Claire. Elle s’appliqua à la sucer et la sentit vite grossir dans sa bouche.
Elle mettait alternativement une queue dans sa bouche et branlait l’autre de sa main. Après plusieurs minutes de fellation, elle se releva, jeta sa robe au sol et vint s’asseoir sur l’une des 2 tables de pique-nique présentes.
- Faites-moi un cunni les gars.
Le premier inconnu s’inséra entre ses cuisses et commença ses caresses buccales. La langue s’inséra dans la chatte humide et il lui semblait que l’homme lapait son jus comme s’il étanchait une longue soif à une fontaine. Il joignit ses doigts à sa langue pour caresser chaque parcelle de cette vulve brûlante de désir.
Le deuxième prit possession de ses seins qu’il massa de ses mains avec envie.
Alors qu’elle savourait les sensations que lui procuraient ces deux hommes, celui qui se trouvait entre ses jambes se redressa et inséra sa queue dans la chatte ouverte de désir de Claire et commença un lent va-et-vient. Claire s’allongea sur le dos et accueillit dans sa bouche la verge de son deuxième amant. Elle éprouvait un plaisir intense en sentant ces deux queues coulisser en elle. Elle se sentait possédée. Au bout d’un moment, les deux hommes échangèrent leur place. L’homme dans sa bouche malaxait avec avidité ses seins, pinçait ses tétons. Claire haletait de plus belle et explosa de plaisir, son ventre tremblant son l’orgasme qui venait de la parcourir.
L’homme dans sa bouche se cambra et éjacula une belle quantité de foutre sur sa langue. Elle eu à peine le temps d’avaler le sperme que le deuxième homme vint présenter sa queue devant la bouche ouverte. Il se branla un peu et expulsa des jets de sperme sur tout le visage de Claire. Elle se retrouva avec des grosses goûtes de foutre sur la joue, le front et les cheveux. Elle prit en bouche la queue et la suça pour en avaler les dernières sécrétions qui en sortaient.
Elle ne voulait pas en rester là, aussi continua-t-elle la fellation qu’elle réalisait. Elle sentit le deuxième homme frotter son gland avec sa verge molle sur sa vulve. Plus il se frottait, plus elle sentait la queue gonfler.
En se relevant, Claire dit :
- J’ai envie d’avoir vos queue dans mon cul.
Elle se mit à quatre pattes, accoudée sur le banc. Elle se cambra et de sa main libre écarta ses fesses.
- Je vais te défoncer le cul ! dit l’un des deux hommes.
Elle fût traversée d’un frisson devant cette promesse. Elle le sentit mettre un doigt dans son vagin puis l’introduire dans son anus pour faire des mouvements circulaires pour le dilater. Ce dernier s’ouvrit assez vite, à la surprise de Claire. Elle se dit qu’elle devait vraiment avoir envie d’accueillir une queue dans son cul. Elle sentit la verge pénétrer sa chatte puis le gland se presser sur son anus avant que la queue ne rentre petit à petit dans son cul. Assez vite, la hampe de chair fût tout entière en elle et entama d’agréables aller-retour. Elle repensa à la queue surdimensionnée de son serveur et frémit. Il lui aurait éclaté le cul. Mais elle aurait aimé essayer, assurément !
L’homme la besogna plusieurs minutes avant de laisser la place à son collègue qui la prit avec énergie. Il finit par rendre la place à l’autre homme qui la prit pendant une trentaine de secondes avant d’à nouveau se pousser pour laisser revenir son collègue. Claire adora cette alternance rapide de queues en elle.
Ils la firent ensuite s’allonger à nouveau sur la table et lui amenèrent les jambes vers son visage pour faire se relever ses fesses. L’un des inconnus pénétra encore sans difficulté son anus dilaté et reprit son va-et-vient. Elle aimait ressentir cette queue s’enfoncer profondément en elle, entendre le bassin de son partenaire claquer sur son postérieur. Comme précédemment, il laissa rapidement la place au deuxième homme qui la besogna rapidement avant de se mettre de côté pour permettre au premier inconnu de reprendre son pilonnage. Elle était au bord de l’extase à sentir ces queues défiler en elle. Elle aurait dû s’en offusquer de se sentir un peu comme un jouet sexuel à disposition de ces hommes mais elle adora ça.
Le premier inconnu s’allongea sur le sol sablonneux et invita Claire à venir s’empaler sur sa queue. Elle se plaça au dessus de son membre et redescendit en l’insérant dans sa chatte dégoulinante de jus. Le deuxième vint insérer son sexe dans le cul dilaté qui se présentait à lui.
Claire se faisait maintenant baiser par les deux hommes en même temps. Elle gémissait, avait le souffle court. Le plaisir était intense et savourait de se sentir remplie par tous les trous. Elle avait l’impression que les deux sexes se touchaient en elle, séparés par une fine paroi. Son souffle devenait saccadé, la chaleur montait dans son ventre tandis que ses tétons étaient plus dressés que jamais.
L’homme sous elle fût le premier à jouir, vidant ses couilles dans le vagin de Claire. Il continua ses mouvements, son sexe ne ramollissant pas trop. L’homme au dessus d’elle éjacula à son tour. Claire ressentit alors les jets de sperme chaud se répandre en elle et cette sensation déclencha aussitôt un violent orgasme, plus fort que tout ce qu’elle avait connu jusqu’ici. Elle se mit à gémir très fort, en criant des « Ho, putain ! ». Les spasmes dans son ventre ne s’arrêtaient pas, ses tétons frissonnaient, sa chatte vibrait. Elle ne pensait pas qu’un orgasme pouvait être aussi intense.
Elle se rhabilla, laissant les deux hommes sur la plage pour rejoindre son gîte. Elle remit son pyjama sur la terrasse, se lava prestement et regagna son lit sur la pointe des pieds. Tout le monde semblait dormir. Elle était soulagée de constater que son absence était passée inaperçu.
Le lendemain, alors qu’ils préparaient leurs valise pour retourner à l’aéroport son mari lui dit tout bas pour que les filles n’entendent pas.
- Tu as entendue cette nuit ? Il y a en une qui a eu son compte !
- Non, mentit Claire un peu décontenancée.
- Elle a crié si fort que tout le village a dû l’entendre pourtant.
- Si tu veux mon avis, c’est une belle salope celle-là, précisa sa femme, soulagée que son mari n’ait pas pas remarqué son absence dans le lit lorsqu’elle avait crié son plaisir.
Toute la famille reprit l’avion. Le vol de retour se fit sans aventure pour Claire. Mais quand elle posa le pied à Paris le monde lui semblait différent. Ou plutôt c’est elle qui avait changé. Maintenant, elle était persuadée que le sexe serait au centre de sa vie, qu’elle serait en quête permanente d’un plaisir intense.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Donc elle a pris des risques inconsidérés et pris son mari pour 1 con vu qu’elle ne lui a même pas fait profiter de ses dispositions.
Par contre se plaindre de son mari ça elle sait le faire. 🤦♀️
Dommage ça aurait être 1 couple complice au final rien. 🤷♀️
Par contre se plaindre de son mari ça elle sait le faire. 🤦♀️
Dommage ça aurait être 1 couple complice au final rien. 🤷♀️