Voyage gai d'un soumis vers mon Maître gay (2) Rencontre ?
Récit érotique écrit par Portdebrest [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Voyage gai d'un soumis vers mon Maître gay (2) Rencontre ?
Dans le récit précédent j’ai raconté mon voyage vers mon Maître. Dans le TGV je suis excité mais je veux tout garder pour lui. Je me calme donc. Je reçois alors un SMS : « Je ne vais pas mieux, je pense aller au resto avec François rejoins nous, je t’enverrai l’adresse. »
18H Arrivé à la Gare, je file vite à l’hôtel afin de confirmer la réservation et prendre la chambre.
J’ai un peu de temps avant de rejoindre mon Maître et son premier soumis. Alors je prends une douche et regarde juste un peu une chaine d’infos.
…/…
Nos sortons du restaurant tous trois, et nous retrouvons à l’appartement du Maître. Je suis prévenu, je dois d’abord payer ma dette et recevoir la punition pour avoir imaginé que le Maître ne pensait qu’à lui. C’est seulement ensuite que je jeu de séduction – plaisir et de domination – soumission commencera.
Dès l’entrée et comme demandé, j’ouvre ma braguette pour sortir mon sexe d’autant plus facilement que je n’ai rien dessous. Le Maître me prend par la queue, me tire vers le salon et va s’assoir. Je reste debout sans bouger. François qui s’est absenté revient nu sous un tablier de serveuse. Il embrasse le Maître sur la bouche, lui sert à boire, se met à quatre pattes pour lui enlever ses chaussures et ses chaussettes, lui lèche les pieds. Le Maitre défait les nœuds du tablier qui tombe.
- « enlève ma chemise et mon pantalon… C’est bien, Pendant que je bois mon verre, déshabille la nouvelle soumise et enfile lui le plug avec du gel. Je ne veux aucun geste doux, ni caresse ni même d’effleurement tant que ma sanction n’est pas passée… »
Ce qui est rondement mené, même si François lorsqu’il retire mon pantalon en profite pour glisser ses mains sur mes fesses. Je ne sais pas si le Maître l’a vu faire.
- « Bien maintenant à genoux tous les deux, face à face à 1m l’un de l’autre. La nouvelle, tu baisse la tête jusqu’à toucher le sol et tu tends les bras vers François. François tiens lui les poignets fortement de façon à ce qu’il ne bouge pas ».
- « Ma soumise, tu sais que tu vas être punie, acceptes tu ? ».
- « Oui Maître »
- « Plus fort ! »
- « Oui Maître »
- « Tiens François, prend ses chaussettes et mets les lui dans la bouche ».
Je vois le Maître se lever. Il est en caleçon. Il sort du salon. Je sais que l’heure est venue. Nous entendons des bruits. Que fait-il ? La sensation est bizarre, faite d’appréhension et d’envie. Le plus curieux c’est de craindre la punition et d’aimer attendre ce qui est devenu inévitable.
Un peu de temps encore et le Maître entre. Il tient une baguette à la main et l’agite dans tous les sens. Elle est longue de plus d’un mètre. Bien flexible, elle siffle dans l’air. Je vois François baisser les yeux ! Sans doute y a t’il déjà eu droit ! Peut-être que ça fait plus mal que je ne le pense ?
- « Tu vois ma chère nouvelle soumise, tu as eu tort de douter de moi. Ta punition sera à la hauteur de ma déception. Nous allons commencer par 5 coups en commençant en douceur puis de plus en plus fort. Je ferais une pause à la fin des 5 pour voir comment ton cul supporte la baguette et on avisera le nombre et la force des suivants ».
Le premier coup n’en est pas vraiment un, plutôt un préavis, le deuxième ressemble à celui de mon martinet, je sens le coup mais je ne crie pas. Le troisième me prend par surprise, il est immédiat, sec et cinglant, Je pousse un cri et fais un sursaut vers François qui me tient, mes fesses chauffent. J’attends. Le Maître se promène passe derrière François, le caresse de la baguette, revient vers moi caresse mon cul, fait durer l’attente. Il passe et repasse… C’est quand je m’y attends le moins que le quatrième coup me frappe. Il est vraiment très fort. J’ai entendu le sifflement de la baguette en même temps qu’elle s’est abattue sur mon arrière train. Je crie et me redresse, geste désespéré et inutile puisque la cinglette a déjà atteint sa destination. Ma respiration est haletante. Mon cul me chauffe, me pique. Ma figure doit être aussi écarlate que lui. Le Maître me remet en position, la tête à terre, le cul relevé, offert.
- « C’est la surprise qui fait mal, le prochain coup… … Fait non de la tête si tu veux me quitter »
Je ne bouge pas
…Ma figure doit être aussi écarlate que mes lobes. Le Maître me remet en position, la tête à terre, le cul relevé, offert.
- « C’est la surprise qui fait mal, le prochain coup… … Fait non de la tête si tu veux me quitter »
Je ne bouge pas
- « Tiens je vais retirer ce plug pour que tu te décontractes ! Le prochain coup va attendre un peu. Je te l’annoncerai. Tu ne seras pas surprise et ce sera peut-être le dernier. »
Puis le maître caresse avec ses mains douces mon cou, mes épaules mon dos. Il me cajole. Je reprends confiance. Il inspecte mon derrière. Un moment plus tard, j’ai repris mon souffle.
-« C’est le dernier, tu es prêt, je décompte 6… 5… 4… 3… 2… 1… TOP »
Je me contracte et la baguette gifle mon cul tendu et déjà meurtri. Je crie ou plutôt je hurle autant que mes chaussettes le permettent. Je me jette vers François pour échapper à un nouveau coup. C’est inutile. La douleur est fulgurante, incisive. Mes fesses sont brulantes, mon souffle est coupé, des larmes s’échappent de mes yeux et coulent sur mes joues. Je sens mon pouls taper dans chacun de mes lobes torturés : toc toc… toc toc… toc toc…
Lorsque je reprends mes esprits j’ai la tête entre les cuisses de François et il bande. Que dis-je ? Sans en avoir l’air il tente de diriger son sexe turgescent vers ma bouche. Le Maître regarde, il a l’air heureux.
Soudain, le Maître reprend le commandement.
-« Chère soumise, remets toi en position. Puisque tu as accepté de subir mon courroux, je te fais grâce pour la suite. Le Fouet c’est fini… pour ce soir. Tu vas avoir droit à une gâterie. François, puisque tu as l’air si content, lève-toi, enfile un préservatif et encule ma soumise. C’est un privilège que je t’offre ».
François se lève, fait le nécessaire, s’agenouille derrière moi et présente sa queue à mon œillet. Il écarte mes fesses. De mon côté, je « pousse » autant que la douleur me le permet.
Le gland est entré, François me pénètre doucement, il hésite.
-« Entre doucement, pas à fond, ses fesses sont trop sensibles. Voilà, à moitié, comme ça, stop ! »
-« tu vois François, tu as pris deux fois des initiatives. Je t’ai vu caresser ma soumise lorsque tu l’as déshabillée puis à l’instant en frottant ta queue sur sa bouche. »
Et sans un mot de plus la baguette déchire l’air, s’abat avec violence sur le cul de François. Celui-ci se jette en avant en m’enculant à fond et m’écrase par terre…
Je me réveille en nage. J’ai dormi, rêvé. Je regarde le téléphone, il est 21h53 et le Maître n’a pas laissé l’adresse du resto. D’ailleurs il est trop tard.
Fin du RdV manqué.
A suivre bientôt si la suite vous intéresse !
18H Arrivé à la Gare, je file vite à l’hôtel afin de confirmer la réservation et prendre la chambre.
J’ai un peu de temps avant de rejoindre mon Maître et son premier soumis. Alors je prends une douche et regarde juste un peu une chaine d’infos.
…/…
Nos sortons du restaurant tous trois, et nous retrouvons à l’appartement du Maître. Je suis prévenu, je dois d’abord payer ma dette et recevoir la punition pour avoir imaginé que le Maître ne pensait qu’à lui. C’est seulement ensuite que je jeu de séduction – plaisir et de domination – soumission commencera.
Dès l’entrée et comme demandé, j’ouvre ma braguette pour sortir mon sexe d’autant plus facilement que je n’ai rien dessous. Le Maître me prend par la queue, me tire vers le salon et va s’assoir. Je reste debout sans bouger. François qui s’est absenté revient nu sous un tablier de serveuse. Il embrasse le Maître sur la bouche, lui sert à boire, se met à quatre pattes pour lui enlever ses chaussures et ses chaussettes, lui lèche les pieds. Le Maitre défait les nœuds du tablier qui tombe.
- « enlève ma chemise et mon pantalon… C’est bien, Pendant que je bois mon verre, déshabille la nouvelle soumise et enfile lui le plug avec du gel. Je ne veux aucun geste doux, ni caresse ni même d’effleurement tant que ma sanction n’est pas passée… »
Ce qui est rondement mené, même si François lorsqu’il retire mon pantalon en profite pour glisser ses mains sur mes fesses. Je ne sais pas si le Maître l’a vu faire.
- « Bien maintenant à genoux tous les deux, face à face à 1m l’un de l’autre. La nouvelle, tu baisse la tête jusqu’à toucher le sol et tu tends les bras vers François. François tiens lui les poignets fortement de façon à ce qu’il ne bouge pas ».
- « Ma soumise, tu sais que tu vas être punie, acceptes tu ? ».
- « Oui Maître »
- « Plus fort ! »
- « Oui Maître »
- « Tiens François, prend ses chaussettes et mets les lui dans la bouche ».
Je vois le Maître se lever. Il est en caleçon. Il sort du salon. Je sais que l’heure est venue. Nous entendons des bruits. Que fait-il ? La sensation est bizarre, faite d’appréhension et d’envie. Le plus curieux c’est de craindre la punition et d’aimer attendre ce qui est devenu inévitable.
Un peu de temps encore et le Maître entre. Il tient une baguette à la main et l’agite dans tous les sens. Elle est longue de plus d’un mètre. Bien flexible, elle siffle dans l’air. Je vois François baisser les yeux ! Sans doute y a t’il déjà eu droit ! Peut-être que ça fait plus mal que je ne le pense ?
- « Tu vois ma chère nouvelle soumise, tu as eu tort de douter de moi. Ta punition sera à la hauteur de ma déception. Nous allons commencer par 5 coups en commençant en douceur puis de plus en plus fort. Je ferais une pause à la fin des 5 pour voir comment ton cul supporte la baguette et on avisera le nombre et la force des suivants ».
Le premier coup n’en est pas vraiment un, plutôt un préavis, le deuxième ressemble à celui de mon martinet, je sens le coup mais je ne crie pas. Le troisième me prend par surprise, il est immédiat, sec et cinglant, Je pousse un cri et fais un sursaut vers François qui me tient, mes fesses chauffent. J’attends. Le Maître se promène passe derrière François, le caresse de la baguette, revient vers moi caresse mon cul, fait durer l’attente. Il passe et repasse… C’est quand je m’y attends le moins que le quatrième coup me frappe. Il est vraiment très fort. J’ai entendu le sifflement de la baguette en même temps qu’elle s’est abattue sur mon arrière train. Je crie et me redresse, geste désespéré et inutile puisque la cinglette a déjà atteint sa destination. Ma respiration est haletante. Mon cul me chauffe, me pique. Ma figure doit être aussi écarlate que lui. Le Maître me remet en position, la tête à terre, le cul relevé, offert.
- « C’est la surprise qui fait mal, le prochain coup… … Fait non de la tête si tu veux me quitter »
Je ne bouge pas
…Ma figure doit être aussi écarlate que mes lobes. Le Maître me remet en position, la tête à terre, le cul relevé, offert.
- « C’est la surprise qui fait mal, le prochain coup… … Fait non de la tête si tu veux me quitter »
Je ne bouge pas
- « Tiens je vais retirer ce plug pour que tu te décontractes ! Le prochain coup va attendre un peu. Je te l’annoncerai. Tu ne seras pas surprise et ce sera peut-être le dernier. »
Puis le maître caresse avec ses mains douces mon cou, mes épaules mon dos. Il me cajole. Je reprends confiance. Il inspecte mon derrière. Un moment plus tard, j’ai repris mon souffle.
-« C’est le dernier, tu es prêt, je décompte 6… 5… 4… 3… 2… 1… TOP »
Je me contracte et la baguette gifle mon cul tendu et déjà meurtri. Je crie ou plutôt je hurle autant que mes chaussettes le permettent. Je me jette vers François pour échapper à un nouveau coup. C’est inutile. La douleur est fulgurante, incisive. Mes fesses sont brulantes, mon souffle est coupé, des larmes s’échappent de mes yeux et coulent sur mes joues. Je sens mon pouls taper dans chacun de mes lobes torturés : toc toc… toc toc… toc toc…
Lorsque je reprends mes esprits j’ai la tête entre les cuisses de François et il bande. Que dis-je ? Sans en avoir l’air il tente de diriger son sexe turgescent vers ma bouche. Le Maître regarde, il a l’air heureux.
Soudain, le Maître reprend le commandement.
-« Chère soumise, remets toi en position. Puisque tu as accepté de subir mon courroux, je te fais grâce pour la suite. Le Fouet c’est fini… pour ce soir. Tu vas avoir droit à une gâterie. François, puisque tu as l’air si content, lève-toi, enfile un préservatif et encule ma soumise. C’est un privilège que je t’offre ».
François se lève, fait le nécessaire, s’agenouille derrière moi et présente sa queue à mon œillet. Il écarte mes fesses. De mon côté, je « pousse » autant que la douleur me le permet.
Le gland est entré, François me pénètre doucement, il hésite.
-« Entre doucement, pas à fond, ses fesses sont trop sensibles. Voilà, à moitié, comme ça, stop ! »
-« tu vois François, tu as pris deux fois des initiatives. Je t’ai vu caresser ma soumise lorsque tu l’as déshabillée puis à l’instant en frottant ta queue sur sa bouche. »
Et sans un mot de plus la baguette déchire l’air, s’abat avec violence sur le cul de François. Celui-ci se jette en avant en m’enculant à fond et m’écrase par terre…
Je me réveille en nage. J’ai dormi, rêvé. Je regarde le téléphone, il est 21h53 et le Maître n’a pas laissé l’adresse du resto. D’ailleurs il est trop tard.
Fin du RdV manqué.
A suivre bientôt si la suite vous intéresse !
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