Voyage gai d'un soumis vers mon Maître gay !
Récit érotique écrit par Portdebrest [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Voyage gai d'un soumis vers mon Maître gay !
Ce jour-là je me lève de bonne humeur, je dois aller à paris pour une réunion le lendemain mais j’ai rendez-vous avec mon Maître le soir même.
Je prends donc le train de midi pour être vers 19h au rendez-vous.
Mon maître m’a indiqué par SMS être un peu malade mais le rendez-vous doit avoir lieu. Voici maintenant plusieurs mois que nous échangeons des photos et des textes coquins.
Je l’ai déjà rencontré une fois pour un premier contact c’est-à-dire pour vérifier le degré de ma soumission et donc sans que je doive attendre du plaisir en retour. Je l’avais retrouvé à une station de métro, nu sous mon jean avec un plug bien installé dans mon fondement et attaché à ma ceinture pour le maintenir en place durant la marche. Arrivés à mon hôtel, il a immédiatement ouvert ma braguette afin de vérifier que je ne portais rien en dessous. Très bien. Sous ses ordres, je me suis entièrement déshabillé. C’est à ce moment qu’il a découvert la surprise que je n’avais pas annoncé précédemment : une petite sangle autour du cou et une autre partant de celle-ci. Le message était clair. En portant un collier et une laisse je me mettais à la disposition de mon Maître. Il m’a ordonné de me mettre à quatre pattes, tête baissée afin d’inspecter mon corps, passant ses mains sur mon dos, mon cul, remuant le plug au passage. Prenant la laisse, il m’a fait faire le tour du lit fouettant doucement mes fesses au passage.
Maître, je veux vous lécher.
Me laissant ainsi, il s’est déshabillé, m’a relevé la tête et a enfourné dans ma bouche sa tige que j’ai embrassé, léché, sucé. Il m’a alors demandé de me coucher sur le lit, allongé sur le dos. Il m’a soupesé puis serré les couilles, agité la tige et dégagé le gland en tirant sur le prépuce. Ensuite, il a inspecté mon nombril, remonté ses mains vers mes seins en pressant légèrement les pointes.
- Tournes toi sur le côté et suces !
Ce que je fais, des lèvres et de la langue sans oser prendre plus d’initiative, j’attends les consignes.
- Dis-moi avales-tu ?
- Non… On ne se connait pas assez... Ce n’est pas prudent !
- …
Je continue donc mes succions jusqu’à ce que :
- Je vais te gicler sur la figure !
Quelques instants plus tard, un jet de foutre s’écrase sur ma figure et mon cou.
-vas te laver !
Quand je suis revenu, il s’était rhabillé. Nous nous sommes quittés après le repas. Il m’avait alors indiqué son désir de me revoir, que je semblais bien disposé à me soumettre, et que l’hôtel n’étais propice ni au désir ni à la soumission.
Certes j’étais prévenu mais j’étais déçu. Voila. Je l’ai laissé sans nouvelles et J’ai longtemps hésité à reprendre contact. Plus tard Par mail, je lui avais ensuite écris mon ressenti c’est-à-dire qu’il avait pris son plaisir sans s’occuper de moi. Il m’a répondu que le plaisir seul n’était pas son genre et que le premier contact n’était qu’un préambule. Il me proposa alors un vrai premier rendez-vous, à son domicile. Bien sûr, je devrais être puni pour avoir douté de lui. Je devais dans l’attente lui raconter des histoires sexy et lui adresser des photos intimes de moi.
---
C’est donc aujourd’hui le grand jour tant espéré et tant redouté. Je veux obéir à mon Maître et le lécher comme il l’entend. C’est pour cela que j’ai pris le train plus tôt que d’habitude.
Ce soir nous serons trois. Lorsque j’ai proposé à Mon Maître la date d’aujourd’hui, il m’a répondu qu’il avait déjà une soirée de prévue avec son autre soumis « François » mais que je devais venir. Il m’a précisé que François était là pour deux jours mais qu’après une soirée à trois c’est moi qui passerais la première nuit dans le lit de mon Maître. Il a précisé que je devrais être « gentille et soumise » et que je serais puni pour avoir douté de lui. Il m’a envoyé des photos des bas et de la nuisette que Je devrais mettre. J’espère que tout est à la bonne taille. En retour je lui ai envoyé des photos trouvées sur le net et qui montrent ce que j’aime : un homme pénétré profondément par derrière et une paire de fesses fouettée. Je lui ai aussi envoyé une photo de mon cul frappé par un petit martinet de ma fabrication.
Mais hier Mon Maître m’a aussi indiqué être légèrement malade … Du coup j’ai pris une chambre d’hôtel pour passer la seconde partie de la nuit. Le rendez- vous est fixé à une station de métro.
Il m’a demandé de lui raconter mon voyage. Après nos échanges par internet j’imagine assez que ce n’est ni la vitesse ni le paysage qui l’intéressent.
Le TGV n’est pas spécialement sexy et ce matin au départ la rame est presque vide. Je vais donc envoyer à mon Maître des extraits de ce que je regarde sur mon écran d’ordinateur. Je me déplace en bout de voiture, le dos à la cloison, et je cherche un film gay. J’en ai plusieurs en stock. Je regarde avec plaisir une belle histoire d’hommes amoureux qui se donnent du plaisir. Puis je zappe et recherche une histoire à trois puisque c’est le nombre que nous serons ce soir. Ils sont jeunes, plus jeunes que nous. En tenue d’été au départ, tee-shirt et short sans rien dessous. L’un est visiblement passif car ils se mettent à deux pour lui enlever le peu de vêtements qu’il porte. Ils sont rapidement nus tous les trois.
Debout, ils s’embrassent à pleine bouche. Mais les deux actifs font rapidement agenouiller leur partenaire. Le plus grand présente sa queue longue et fine devant sa bouche. Sans plus attendre, le soumis gobe cette colonne de chair déjà tendue et de ses mains libres, il caresse le sexe du plus petit. Son sexe est plus court mais aussi plus épais ; il est entièrement épilé. Durant ce temps Les deux actifs s’embrassent, les langues tournicotent, les mains caressent les épaules, le cou, le ventre, les fesses, massent les mamelons et titillent les tétons.
Dans un mouvement coordonné ils procèdent à un changement de position. Le passif est poussé à quatre pattes au milieu d’un lit. Les deux actifs font de même. L’un devant l’autre derrière. Le petit présente un sexe court et épais face à sa bouche, le grand présentant une longue tige à l’orée de son œillet…
Quelques préliminaires plus tard ; - arrêt sur image -, -copie d’écran - et envoi à mon Maître pour qu’il partage mes visions de voyage-.
Je m’imagine au milieu entre lui et son autre soumis. Sur l’image fixe que je viens de transférer par mail on peut voir le soumis se tenant sur trois pattes, caresser de sa main libre des bourses lisses et accueillir dans sa bouche accueillante un sexe enfourné jusqu’à la garde. Deux mains lui tiennent la tête et semblent ajuster la trajectoire. A l’arrière une paire de couilles collant la raie de fesses laisse imaginer le trou du cul rempli d’un bâton de chair vivante. Des mains s’agrippent aux hanches prêtes à cadencer le mouvement comme les bielles d’une belle locomotive…
Sur les visages imberbes des deux actifs, on peut voir la concentration et la volonté de bien faire. Les traits sont tendus, les yeux mi-clos, les mâchoires serrées. Les muscles des cuisses et du dos sont bandés. Les cuisses fermes et les fesses serrées montrent la force, la détermination et la montée en puissance. Le soumis ressemble à ce qu’il est : un soumis, accueillant, souple, ouvert. Un filet de bave s’écoule de sa bouche.
Je bande sévère, j’ai envie d’aller me…
Zut le TGV entre à nouveau en gare !
Je dois changer de place car celle-ci est prise. Néanmoins je trouve un autre coin discret. Après le contrôle, mon envie est passée, je ne bande plus.
Soudain, je pense à la punition que mon Maître m’a promise. Il a réagi à la photo du martinet sur mes fesses en me disant que c’est joli mais qu’il préfère la baguette car la réaction du soumis aux coups est plus agréable à regarder pour le Maître. Je pense de mon côté que les coups sont plus secs !
Je cherche donc un autre film gay dans la catégorie S.M. pour imager ce à qui je dois m’attendre. Le soumis en sous-vêtements est attaché pieds écartés au sol et poings en croix à une barre de bois suspendue au-dessus de lui. Son Maître en jean et polo tourne autour du soumis, un ciseau à la main et commence par découper dans le teeshirt des trous devant les pointes des seins juste assez grands pour accrocher une pince à linge sur chaque mamelon. Le soumis grimace mais selon le code fixé au préalable remercie son Maître. Ce dernier découpe ensuite l’avant du caleçon pour faire apparaître le sexe. Une cordelette est attachée aux bourses, elle les entoure à plusieurs reprises et fixée par un double nœud. L’autre extrémité pend, à laquelle le Maître attache un poids. Le Maître prend soin de cajoler sa victime. Baisers dans le cou, sur la bouche, échange des langues, caresses sur les épaules et le dos. Il quitte ensuite quelques minutes le champ de la caméra. Le soumis s’étire, les liens tendent les bras et les jambes. Chaque mouvement agite le poids dans l’entrecuisse. Lorsque le tourmenteur revient il est seulement vêtu d’un string. Toujours armé de son ciseau, il passe derrière sa victime et découpe de haut en bas le teeshirt puis entame la partie au-dessus des épaules laissant juste assez de tissu intact pour que l’habit reste en place. Puis passant devant il agite et resserre les pinces, soupèse les testicules, relève légèrement le poids, le laisse tomber et le balance. Puis il dévisage son soumis jusqu’à ce que ce dernier exprime un « merci Maître ». Sans aucun préavis, le Maître saisi alors les pans inférieurs du tissus prédécoupé et tire d’un coup extrêmement sec. Les Teeshirt est arraché et en même temps les pinces à linge volent. Un cri ! Et sans laisser aucun temps de répit, le Maître frotte en tournoyant avec ses pouces le bout des seins, ce qui a pour effet de faire revenir rapidement le flux de sang dans les veinules que les pinces avaient chassé depuis de longues minutes. Un râle aigu rempli la pièce. La douleur est vive, incomparablement plus que lors de la pose des pinces. « Merci Maître ».
C’est au tour du caleçon d’être découpé sur les côtés. Il tombe et reste accroché au poids. Le Maître le retire sans ménagement ce qui a pour conséquence de tirer le poids vers l’avant. Lorsque le tissu craque le poids retombe et repart brutalement dans un mouvement de pendule. Quelques instants et « Merci Maître ». Le soumis est nu comme un ver puisque les liens qui le couvrent peu attirent l’attention sur le corps offert. Le Maître ôte alors son string, le bouchonne et l’insère dans la bouche de sons vis-à-vis. C’est alors un nouveau moment de douceur. Les corps nus se collent. L’enchaîné attend, les mains libres caressent les épaules, le torse, le ventre s’attardent sur les fesses puis ces mains détachent le poids, viennent caresser les bourses ficelées puis la tige qui bande. Le prépuce est abaissé, le gland est dégagé… Le plaisir remplace la douleur. Le Maître serre maintenant les deux queues dans sa main droite et a glissé sa gauche entre les deux lobes à la recherche du vagin masculin. On attend la jouissance comme récompense de la douleur subie. Ca y est presque, encore un instant…
D’un seul coup, le maître se dégage, gifle son complice, détache ses poignets de la barre haute pour aussitôt les ficeler ensemble et les accrocher au sol. Le soumis est à genoux, pieds écartés. Le dresseur lui appuie le pied sur la tête jusqu’à ce qu’elle touche terre puis luis donne son pied nu à lécher.
- « Tu croyais prendre ton plaisir avant que je n’ai pris le mien, tu vas le regretter ! »
Dans un murmure assourdi par le string-bâillon on croit comprendre une réponse : « Merci Maître »
- « Reste dans cette position »
Le cul relevé est bien visible sur l’écran. Un peu de gel et un doigt ouvre l’œillet. Encore un peu de gel et le deuxième doigt pénètre. Les deux s’agitent, tournent et assouplissent l’entrée. Du gel est étalé cette fois sur un stimulateur de prostate qui vient rapidement remplacer les doigts. Le maître tire alors la cordelette restée attachée aux bourses, la tend et l’accroche au lien qui va d’un pied à l’autre. La tension maintient bien les fesses en arrière.
Le Maître a saisi une baguette, longue, fine. Il la secoue pour que chacun puisse voir qu’elle est flexible. Une caresse sur chacun de lobes, lente, douce… Trois coups qui sifflent l’air… Et un coup sec qui pousse la victime en avant dans un mouvement réflexe ce qui a aussi pour effet de tendre les jambes et tire sur les couilles… Un cri de douleur à peine atténué par le bâillon !
- arrêt sur image -, -copie d’écran - et envoi à mon Maître pour qu’il partage mes visions de voyage.
Le train entre en gare et des voyageurs nombreux entrent. Ils sont suivis par le contrôleur.
Le train repart, je suis retourné à ma vraie place et j’ai un voisin. Ni la discrétion ni les messages sexy ne sont de mise.
Je pars aux toilettes. Mon Maître aimerait certainement que je lui envoie une photo où je bande et encore mieux une photo avec ma semence éjaculée sur mon ventre. Je commence donc à me caresser les seins, les couilles et la tige…
Mais je pense à notre rendez-vous de ce soir et je me dis qu’il vaut mieux tout garder pour lui montrer en vrai. Je me calme donc. Je pense alors à faire pipi assis comme la gentille soumise que je suis selon les désirs de mon Maître. Je prends deux photos et je vais les lui envoyer. C’est alors que je vois qu’il m’a envoyé un SMS : « Je ne vais pas mieux, je pense aller au resto avec François rejoins nous, je t’enverrai l’adresse. »
18H Arrivé à la Gare, je file vite à l’hôtel afin de confirmer la réservation et prendre la chambre.
Je prends donc le train de midi pour être vers 19h au rendez-vous.
Mon maître m’a indiqué par SMS être un peu malade mais le rendez-vous doit avoir lieu. Voici maintenant plusieurs mois que nous échangeons des photos et des textes coquins.
Je l’ai déjà rencontré une fois pour un premier contact c’est-à-dire pour vérifier le degré de ma soumission et donc sans que je doive attendre du plaisir en retour. Je l’avais retrouvé à une station de métro, nu sous mon jean avec un plug bien installé dans mon fondement et attaché à ma ceinture pour le maintenir en place durant la marche. Arrivés à mon hôtel, il a immédiatement ouvert ma braguette afin de vérifier que je ne portais rien en dessous. Très bien. Sous ses ordres, je me suis entièrement déshabillé. C’est à ce moment qu’il a découvert la surprise que je n’avais pas annoncé précédemment : une petite sangle autour du cou et une autre partant de celle-ci. Le message était clair. En portant un collier et une laisse je me mettais à la disposition de mon Maître. Il m’a ordonné de me mettre à quatre pattes, tête baissée afin d’inspecter mon corps, passant ses mains sur mon dos, mon cul, remuant le plug au passage. Prenant la laisse, il m’a fait faire le tour du lit fouettant doucement mes fesses au passage.
Maître, je veux vous lécher.
Me laissant ainsi, il s’est déshabillé, m’a relevé la tête et a enfourné dans ma bouche sa tige que j’ai embrassé, léché, sucé. Il m’a alors demandé de me coucher sur le lit, allongé sur le dos. Il m’a soupesé puis serré les couilles, agité la tige et dégagé le gland en tirant sur le prépuce. Ensuite, il a inspecté mon nombril, remonté ses mains vers mes seins en pressant légèrement les pointes.
- Tournes toi sur le côté et suces !
Ce que je fais, des lèvres et de la langue sans oser prendre plus d’initiative, j’attends les consignes.
- Dis-moi avales-tu ?
- Non… On ne se connait pas assez... Ce n’est pas prudent !
- …
Je continue donc mes succions jusqu’à ce que :
- Je vais te gicler sur la figure !
Quelques instants plus tard, un jet de foutre s’écrase sur ma figure et mon cou.
-vas te laver !
Quand je suis revenu, il s’était rhabillé. Nous nous sommes quittés après le repas. Il m’avait alors indiqué son désir de me revoir, que je semblais bien disposé à me soumettre, et que l’hôtel n’étais propice ni au désir ni à la soumission.
Certes j’étais prévenu mais j’étais déçu. Voila. Je l’ai laissé sans nouvelles et J’ai longtemps hésité à reprendre contact. Plus tard Par mail, je lui avais ensuite écris mon ressenti c’est-à-dire qu’il avait pris son plaisir sans s’occuper de moi. Il m’a répondu que le plaisir seul n’était pas son genre et que le premier contact n’était qu’un préambule. Il me proposa alors un vrai premier rendez-vous, à son domicile. Bien sûr, je devrais être puni pour avoir douté de lui. Je devais dans l’attente lui raconter des histoires sexy et lui adresser des photos intimes de moi.
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C’est donc aujourd’hui le grand jour tant espéré et tant redouté. Je veux obéir à mon Maître et le lécher comme il l’entend. C’est pour cela que j’ai pris le train plus tôt que d’habitude.
Ce soir nous serons trois. Lorsque j’ai proposé à Mon Maître la date d’aujourd’hui, il m’a répondu qu’il avait déjà une soirée de prévue avec son autre soumis « François » mais que je devais venir. Il m’a précisé que François était là pour deux jours mais qu’après une soirée à trois c’est moi qui passerais la première nuit dans le lit de mon Maître. Il a précisé que je devrais être « gentille et soumise » et que je serais puni pour avoir douté de lui. Il m’a envoyé des photos des bas et de la nuisette que Je devrais mettre. J’espère que tout est à la bonne taille. En retour je lui ai envoyé des photos trouvées sur le net et qui montrent ce que j’aime : un homme pénétré profondément par derrière et une paire de fesses fouettée. Je lui ai aussi envoyé une photo de mon cul frappé par un petit martinet de ma fabrication.
Mais hier Mon Maître m’a aussi indiqué être légèrement malade … Du coup j’ai pris une chambre d’hôtel pour passer la seconde partie de la nuit. Le rendez- vous est fixé à une station de métro.
Il m’a demandé de lui raconter mon voyage. Après nos échanges par internet j’imagine assez que ce n’est ni la vitesse ni le paysage qui l’intéressent.
Le TGV n’est pas spécialement sexy et ce matin au départ la rame est presque vide. Je vais donc envoyer à mon Maître des extraits de ce que je regarde sur mon écran d’ordinateur. Je me déplace en bout de voiture, le dos à la cloison, et je cherche un film gay. J’en ai plusieurs en stock. Je regarde avec plaisir une belle histoire d’hommes amoureux qui se donnent du plaisir. Puis je zappe et recherche une histoire à trois puisque c’est le nombre que nous serons ce soir. Ils sont jeunes, plus jeunes que nous. En tenue d’été au départ, tee-shirt et short sans rien dessous. L’un est visiblement passif car ils se mettent à deux pour lui enlever le peu de vêtements qu’il porte. Ils sont rapidement nus tous les trois.
Debout, ils s’embrassent à pleine bouche. Mais les deux actifs font rapidement agenouiller leur partenaire. Le plus grand présente sa queue longue et fine devant sa bouche. Sans plus attendre, le soumis gobe cette colonne de chair déjà tendue et de ses mains libres, il caresse le sexe du plus petit. Son sexe est plus court mais aussi plus épais ; il est entièrement épilé. Durant ce temps Les deux actifs s’embrassent, les langues tournicotent, les mains caressent les épaules, le cou, le ventre, les fesses, massent les mamelons et titillent les tétons.
Dans un mouvement coordonné ils procèdent à un changement de position. Le passif est poussé à quatre pattes au milieu d’un lit. Les deux actifs font de même. L’un devant l’autre derrière. Le petit présente un sexe court et épais face à sa bouche, le grand présentant une longue tige à l’orée de son œillet…
Quelques préliminaires plus tard ; - arrêt sur image -, -copie d’écran - et envoi à mon Maître pour qu’il partage mes visions de voyage-.
Je m’imagine au milieu entre lui et son autre soumis. Sur l’image fixe que je viens de transférer par mail on peut voir le soumis se tenant sur trois pattes, caresser de sa main libre des bourses lisses et accueillir dans sa bouche accueillante un sexe enfourné jusqu’à la garde. Deux mains lui tiennent la tête et semblent ajuster la trajectoire. A l’arrière une paire de couilles collant la raie de fesses laisse imaginer le trou du cul rempli d’un bâton de chair vivante. Des mains s’agrippent aux hanches prêtes à cadencer le mouvement comme les bielles d’une belle locomotive…
Sur les visages imberbes des deux actifs, on peut voir la concentration et la volonté de bien faire. Les traits sont tendus, les yeux mi-clos, les mâchoires serrées. Les muscles des cuisses et du dos sont bandés. Les cuisses fermes et les fesses serrées montrent la force, la détermination et la montée en puissance. Le soumis ressemble à ce qu’il est : un soumis, accueillant, souple, ouvert. Un filet de bave s’écoule de sa bouche.
Je bande sévère, j’ai envie d’aller me…
Zut le TGV entre à nouveau en gare !
Je dois changer de place car celle-ci est prise. Néanmoins je trouve un autre coin discret. Après le contrôle, mon envie est passée, je ne bande plus.
Soudain, je pense à la punition que mon Maître m’a promise. Il a réagi à la photo du martinet sur mes fesses en me disant que c’est joli mais qu’il préfère la baguette car la réaction du soumis aux coups est plus agréable à regarder pour le Maître. Je pense de mon côté que les coups sont plus secs !
Je cherche donc un autre film gay dans la catégorie S.M. pour imager ce à qui je dois m’attendre. Le soumis en sous-vêtements est attaché pieds écartés au sol et poings en croix à une barre de bois suspendue au-dessus de lui. Son Maître en jean et polo tourne autour du soumis, un ciseau à la main et commence par découper dans le teeshirt des trous devant les pointes des seins juste assez grands pour accrocher une pince à linge sur chaque mamelon. Le soumis grimace mais selon le code fixé au préalable remercie son Maître. Ce dernier découpe ensuite l’avant du caleçon pour faire apparaître le sexe. Une cordelette est attachée aux bourses, elle les entoure à plusieurs reprises et fixée par un double nœud. L’autre extrémité pend, à laquelle le Maître attache un poids. Le Maître prend soin de cajoler sa victime. Baisers dans le cou, sur la bouche, échange des langues, caresses sur les épaules et le dos. Il quitte ensuite quelques minutes le champ de la caméra. Le soumis s’étire, les liens tendent les bras et les jambes. Chaque mouvement agite le poids dans l’entrecuisse. Lorsque le tourmenteur revient il est seulement vêtu d’un string. Toujours armé de son ciseau, il passe derrière sa victime et découpe de haut en bas le teeshirt puis entame la partie au-dessus des épaules laissant juste assez de tissu intact pour que l’habit reste en place. Puis passant devant il agite et resserre les pinces, soupèse les testicules, relève légèrement le poids, le laisse tomber et le balance. Puis il dévisage son soumis jusqu’à ce que ce dernier exprime un « merci Maître ». Sans aucun préavis, le Maître saisi alors les pans inférieurs du tissus prédécoupé et tire d’un coup extrêmement sec. Les Teeshirt est arraché et en même temps les pinces à linge volent. Un cri ! Et sans laisser aucun temps de répit, le Maître frotte en tournoyant avec ses pouces le bout des seins, ce qui a pour effet de faire revenir rapidement le flux de sang dans les veinules que les pinces avaient chassé depuis de longues minutes. Un râle aigu rempli la pièce. La douleur est vive, incomparablement plus que lors de la pose des pinces. « Merci Maître ».
C’est au tour du caleçon d’être découpé sur les côtés. Il tombe et reste accroché au poids. Le Maître le retire sans ménagement ce qui a pour conséquence de tirer le poids vers l’avant. Lorsque le tissu craque le poids retombe et repart brutalement dans un mouvement de pendule. Quelques instants et « Merci Maître ». Le soumis est nu comme un ver puisque les liens qui le couvrent peu attirent l’attention sur le corps offert. Le Maître ôte alors son string, le bouchonne et l’insère dans la bouche de sons vis-à-vis. C’est alors un nouveau moment de douceur. Les corps nus se collent. L’enchaîné attend, les mains libres caressent les épaules, le torse, le ventre s’attardent sur les fesses puis ces mains détachent le poids, viennent caresser les bourses ficelées puis la tige qui bande. Le prépuce est abaissé, le gland est dégagé… Le plaisir remplace la douleur. Le Maître serre maintenant les deux queues dans sa main droite et a glissé sa gauche entre les deux lobes à la recherche du vagin masculin. On attend la jouissance comme récompense de la douleur subie. Ca y est presque, encore un instant…
D’un seul coup, le maître se dégage, gifle son complice, détache ses poignets de la barre haute pour aussitôt les ficeler ensemble et les accrocher au sol. Le soumis est à genoux, pieds écartés. Le dresseur lui appuie le pied sur la tête jusqu’à ce qu’elle touche terre puis luis donne son pied nu à lécher.
- « Tu croyais prendre ton plaisir avant que je n’ai pris le mien, tu vas le regretter ! »
Dans un murmure assourdi par le string-bâillon on croit comprendre une réponse : « Merci Maître »
- « Reste dans cette position »
Le cul relevé est bien visible sur l’écran. Un peu de gel et un doigt ouvre l’œillet. Encore un peu de gel et le deuxième doigt pénètre. Les deux s’agitent, tournent et assouplissent l’entrée. Du gel est étalé cette fois sur un stimulateur de prostate qui vient rapidement remplacer les doigts. Le maître tire alors la cordelette restée attachée aux bourses, la tend et l’accroche au lien qui va d’un pied à l’autre. La tension maintient bien les fesses en arrière.
Le Maître a saisi une baguette, longue, fine. Il la secoue pour que chacun puisse voir qu’elle est flexible. Une caresse sur chacun de lobes, lente, douce… Trois coups qui sifflent l’air… Et un coup sec qui pousse la victime en avant dans un mouvement réflexe ce qui a aussi pour effet de tendre les jambes et tire sur les couilles… Un cri de douleur à peine atténué par le bâillon !
- arrêt sur image -, -copie d’écran - et envoi à mon Maître pour qu’il partage mes visions de voyage.
Le train entre en gare et des voyageurs nombreux entrent. Ils sont suivis par le contrôleur.
Le train repart, je suis retourné à ma vraie place et j’ai un voisin. Ni la discrétion ni les messages sexy ne sont de mise.
Je pars aux toilettes. Mon Maître aimerait certainement que je lui envoie une photo où je bande et encore mieux une photo avec ma semence éjaculée sur mon ventre. Je commence donc à me caresser les seins, les couilles et la tige…
Mais je pense à notre rendez-vous de ce soir et je me dis qu’il vaut mieux tout garder pour lui montrer en vrai. Je me calme donc. Je pense alors à faire pipi assis comme la gentille soumise que je suis selon les désirs de mon Maître. Je prends deux photos et je vais les lui envoyer. C’est alors que je vois qu’il m’a envoyé un SMS : « Je ne vais pas mieux, je pense aller au resto avec François rejoins nous, je t’enverrai l’adresse. »
18H Arrivé à la Gare, je file vite à l’hôtel afin de confirmer la réservation et prendre la chambre.
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