Voyage Initiatique - 03
Récit érotique écrit par Ninemark [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Voyage Initiatique - 03
Chapitre 3 : Argentine – Le compagnon de route
Bien des semaines sont passées depuis l’orgie au Pérou. Je suis aujourd’hui en Argentine en passant par le Chili où j’ai eu quelques plans cul mais sans grandes importances. Depuis une semaine je parcours donc les routes argentines et je dois avouer que les paysages surpassent largement tout ce à quoi j’avais pensé. J’ai encore tant de choses à découvrir de ce pays mais je sais que même si je devais me satisfaire du peu parcouru, je serai comblé. Il y a trois jours, dans une auberge de jeunesse, j’ai fait la rencontre de Carlos, un argentin qui traverse son pays. On a bien sympathisé durant la soirée et on a remarqué que nous allons dans les mêmes directions. On décide donc de faire un bout de parcours ensemble pour se tenir compagnie. Depuis presque un mois j’étais assez seul et ce n’est pas de refus. Carlos en plus d’être sympathique est aussi plutôt mignon. Enfin non, il est canon. Ça fait un moment que je n’ai pas vu de mecs aussi canon et tous mes derniers plans n’étaient pas plus à mon goût que ça. Mais Carlos a ce corps long, moyennement fin et musclé sec. Il a un peu de masse mais ne se montre pas aussi large que Rafael par exemple. Il apparaît plus fluide dans ses mouvements. Son visage ténébreux n’est pas à plaindre non plus et je n’ai pas été surpris lorsqu’il m’a dit avoir fait du mannequinat plus tôt. Il est un peu plus grand que moi aussi et ça me fait du bien puisqu’ils sont pas mal petits dans ces pays.
Ce soir on s’est arrêté dans une ville pas mal festive où l’on compte se bourrer la gueule. On arrive à l’auberge de jeunesse mais on a la mauvaise surprise d’apprendre qu’il y a eu un malentendu sur les réservations avec d’autres personnes. N’ayant pas d’autres solutions, on est forcé d’accepter leur compromis qui est de partager un dortoir avec d’autres voyageurs contre une réduction du prix. On tire un peu la gueule et c’est avec nonchalance qu’on rejoint notre dortoir. A l’arrivée dans la chambre, on se retrouve avec trois autres personnes, deux filles et un gars. Mais cinq minutes après deux couples arrivent aussi avec les traits tirés. On se dévisagent tous les uns après les autres avant d’entamer la discussion sur le fait que c’était inadmissible. En les dévisageant un peu plus, je ne remarque qu’un mec à mon goût mais celui-ci semble être en couple avec la fille à côté. C’est un mec un peu typé allemand pas trop mal. On se réparti les lits mais on remarque rapidement qu’il manque de la place. Nouvelle crise générale mais il commence à faire tard et chercher une autre auberge serait trop difficile. Les couples se proposent de ne prendre qu’un lit chacun mais il manquait encore une place. Je propose donc à Carlos si ça ne le dérange pas qu’on partage un lit les deux. Il ne met aucune omission et pour plus de confort, on hérite du lit non superposé qui a un peu plus d’espace. Au bout d’une trentaine de minutes, on décide à l’unanimité de se faire une soirée tous ensemble et de se bourrer la gueule sérieusement en envoyant chier cette auberge de merde. Mais avant de sortir, il fallait que je me douche et, chacun son tour, nous nous douchons à l’aide des deux cabines encore en service.
Nous voilà dans la rue à la recherche d’un restaurant et une fois trouvé on s’installe tous tranquillement. On en apprend un peu plus sur chacun à l’aide d’un tour de présentation. Je suis content parce que nous sommes tous sur la même longueur d’onde et personne n’a l’air de s’ennuyer. Les conversations fusent et les rires en font de même. Je trouve Carlos de plus en plus attirant tout comme le mec de la chambre ne me laisse pas indifférent. Il s’appelle Lukas et vient bien d’Allemagne. Il fait un tour du monde avec sa copine avant de se marier. Je n’arrivais pas à définir ce que Lukas et Carlos avaient mais j’avais l’impression que quelque chose pouvait être tenté. Je pense que c’est certains jeux de regards qui m’ont mis sur la piste mais je ne compte pas me lancer en terrain inconnu comme ça au risque de déclencher des embrouilles. Je fais comme si de rien était et continue la soirée. Après le restaurant on part dans un bar où les bières et autres alcools défilent devant nos yeux plus que raison. Ça fait du bien d’avoir une soirée comme ça avec des gens que t’as l’impression de connaître depuis longtemps alors que ça ne fait que 6h. L’alcool monte à la tête et je pense qu’il n’y en a pas un pour rattraper l’autre. Il commence à se faire tard et on décide de rentrer.
Arrivé dans la chambre chacun prend sa place et Carlos dit partir fumer. Je le suis pour ne pas le laisser seul. On se pose tranquillement dehors sur un balcon avec une vue sympathique, c’est peut-être bien le seul atout de cette auberge. On est bourré donc les conneries fusent quand il part sur une petite improvisation ressemblant à de la drague. L’atmosphère change en un instant et nos corps se figent pour s’observer du regard. Carlos fait tomber le restant de sa cigarette et s’approche de moi pour venir m’embrasser. Je n’avais donc pas rêvé tout à l’heure. On s’embrasse durant cinq minutes mais je lui rappelle que ça va paraître louche si on ne revient pas rapidement. Il acquiesce et après un dernier baiser, on se dirige vers la chambre. A notre grande surprise, tout le monde dormait déjà bien profond. L’alcool a assommé tout le monde et j’avoue que si je n’étais pas sorti dehors je dormirai sûrement déjà. Carlos se place du côté du mur et c’est à ce moment qu’on se rend compte qu’on a oublié de sortir nos sacs de couchage. On décide de partager la même couverture pour éviter de faire trop de bruit.
Cela fait peut-être dix minutes que nous sommes allongés dans le lit et un petit espace marque la séparation entre nos deux corps. Je dors dos à lui mais je n’arrive pas à dormir car je pense sans arrêt à ce baiser dehors. C’est alors que je sens Carlos se rapprocher contre moi et passer doucement son bras autour de moi pour voir si je le repousse ou pas. D’un geste de la main, je lui prends la sienne pour signifier qu’il a le feu vert. Mais je ne m’attendais pas à la suite. En effet, Il se colle contre moi, une barre dure contre la raie de mes fesses. Je le sens se frotter doucement et respirer doucement dans mon oreille. Instinctivement, mon bassin se met à bouger pour accompagner la danse de son pénis. Carlos retire son bras de mon torse pour placer sa main dans mon caleçon et masturber ma queue déjà bandée à fond. Il me susurre alors qu’il a envie de moi maintenant. Je suis bien d’accord avec lui mais 7 autres personnes dorment à moins de cinq mètres de nous. Il dit s’en foutre et baisse mon caleçon pour y découvrir mon derrière. Je suis un peu surpris et anxieux que l’un des autres se réveille. Mais cette pensée reste brève car je sens déjà son pénis forcer mon trou et sa main soulève maintenant ma jambe pour lui donner une meilleure amplitude. Il rentre alors avec plus de force et d’un seul coup je sens son dard dans mon cul. Il paraît plutôt bien proportionné vu comme je le sens. Heureusement, il étouffe mes gémissements avec son autre main. S’ensuit alors une baise dans le silence où les sensations étaient enivrantes. Je sentais son pieu coulisser dans mes parois anales pendant que ses mains parcouraient mon corps et sa bouche mon cou. Mon regard s’échappe avant d’être interpellé par un mouvement un peu plus loin. Je fronce les yeux pour mieux voir et j’aperçois une silhouette bouger dans le lit d’à côté. J’allais donner l’alerte quand je remarque que c’est Lukas. En me concentrant un peu plus sur lui, je vois qu’il avait un mouvement régulier et je comprends rapidement qu’il est en train de se branler. De temps à autre, il relève la tête pour nous regarder avant de retourner à son plaisir individuel. Il finit par remarquer que je l’avais vu et à partir de ce moment là il garde toute son attention sur moi me faisant enculer. Je sens d’ailleurs que Carlos arrivait sur sa fin à en sentir les coups s’accélérer. Son jus se répand soudainement dans mon cul dans un ultime coup de rein. Il reste quelques secondes, enfoncé contre moi en me déposant des baisers dans le dos. Lorsqu’il finit par se retirer je me retourne pour l’embrasser et prévenir que j’allais aller aux toilettes pour me nettoyer. Mais il semble déjà endormi. J’ai la sensation d’avoir été un vide couille et en même temps ça ne m’a pas forcément dérangé. Je décide quand même d’aller dans les toilettes pour me nettoyer. Mais j’ai une autre idée en tête et en passant à côté de Lukas, je me penche pour lui caresser le torse et filer aux toilettes.
Il semble avoir compris mon message car il arrive dans les toilettes quelques secondes après moi. Il me regarde avec un sourire excité et je lui roule une pelle directement. On a conscience des risques que l’on prend à se trouver ici et il ne perd pas de temps pour me retourner et s’enfoncer en moi. Avec le sperme et la pénétration de Carlos, mon trou est déjà bien travaillé et il rentre sans soucis. Il semble avoir une plus large queue que Carlos ce qui me permet d’avoir de nouvelles sensations. Il me pilonne le cul contre le mur sans ménagement une main contre ma bouche et l’autre contre le mur. Au bout de quelques minutes, il accélère ses coups qui se font plus lents mais de plus en plus profonds et secs. Il arrive à bout et bientôt de nouveaux jets de sperme remplissent mon cul. Il continue quelques minutes à m’enculer puis se retire en me remerciant et en me demandant de garder ça secret. Il disparait dans la minute. Le mélange de jus coule sur mes jambes et j’ai pour le coup la sensation d’avoir été un vide couille. Je finis par me branler pour abréger mon excitation et après m’être nettoyé, je rejoins la chambre et plus précisément le lit où Carlos dort le torse découvert.
Le matin est plus compliqué entre la gueule de bois et le cul en compote. Tout le monde se lève plutôt tard et heureusement pour nous, personne n’avait prévu de partir tôt. On se prépare tous doucement et j’essaye de paraître comme si rien ne c’était passé. L’ignorance de Carlos et Lukas était plutôt aidante car c’était à se demander s’ils se souvenaient de quelque chose. Après avoir fait nos bagages, on se fait un dernier repas tous ensemble puis on se sépare chacun de notre côté. Au moment des adieux, Lukas s’approche de moi pour me dire aurevoir. Il me fait la bise et au moment où il est près de mon oreille, il susurre doucement quelques remerciements pour le moment à deux de cette nuit. Il n’a donc pas oublié mais simule donc très bien. Je pense qu’il n’est pas à son premier coup d’essai.
On reprend la route avec Carlos et la journée est plutôt silencieuse. Non pas en rapport avec la baise d’y hier mais parce que l’alcool et la fatigue nous ont assommé comme il faut. D’ailleurs je profite d’un moment où personne ne nous entoure dans un bar pour le sonder sur ce qu’il se rappelle d’y hier. On retrace toute la soirée et au moment fatidique, il dit ne plus se souvenir de rien. Je commence alors à tirer une tête de cent pieds de long quand il éclate de rire pour me dire qu’il blaguait. Il prend alors son air vicieux pour décrire comment il m’a baisé le cul. Je rigole malgré les mots crus qu’il a plu employer. On parle donc naturellement de notre attirance l’un envers l’autre mais aussi dans notre vie en générale. La discussion est de plus en plus excitante et le voir me parler de sa vie sexuelle me donne envie de le sentir de nouveau en moi. Je lui fais part alors du fait que j’ai envie de sa queue. Il rigole et me dit qu’il est au courant mais je dois rectifier en lui disant que je parle de maintenant. Un éclair de sérieux traverse son visage et il m’indique les toilettes du bar. On se retrouve confiné dans les toilettes trente secondes après. Il faut faire vite et je baisse juste mon pantalon aux fesses tandis que lui ouvre seulement sa braguette. En dix secondes il a la bite dure comme de la pierre et s’enfonce en moi. Mon anus ne s’était pas encore remis de la veille et la première minute est plutôt difficile à encaisser. Heureusement, il m’embrasse dans le cou et me caresse le torse pour m’exciter. Il me bourrine le cul comme un roi et j’aime sentir sa queue au fond de moi. Il finit par se retirer et me fait une pression sur l’épaule pour me mettre à genoux. Il me largue alors sa semence sur la gueule en essayant de viser au mieux possible. Il m’essuie tendrement le visage et sort des toilettes. Ni vu ni connu je le rejoins à la table comme si de rien n’était.
Cela fait trois jours qu’on continuait le périple mais il est compliqué de se trouver des moments pour baiser. Ou bien ça se résume à des moments brefs de quelques minutes. Bien que ça fasse du bien, ce n’est pas entièrement satisfaisant. Mais ce soit on a réservé un hôtel où cette fois on est sûr d’être tranquille. On se retrouve enfin seuls dans la chambre et nos langues se trouvent rapidement. Mais nous sommes interrompus par un appel de la réception qui souhaite régulariser quelque chose. Etant le payeur, je me déplace à l’accueil pour régler le souci. Je remonte au bout d’une dizaine de minutes et au moment où j’arrive dans la chambre j’eus un mouvement de surprise. Carlos était nu sur le lit à plat ventre avec le cul cambré. Il se doigtait tranquillement et ne semble pas avoir remarqué mon arrivée. Je m’approche doucement puis écarte ses fesses avec mes mains pour venir poser ma langue contre sa rosette. Son doigt se retire pour pouvoir caresser ma tête avec sa main. Je lui prépare son cul depuis maintenant dix minutes puis le retourne afin de pouvoir sucer sa queue. Dans toutes ses péripéties je n’ai pas eu le temps de le sucer et de voir sa queue de plus près. Elle était belle et un peu incurvée laissant traverser une veine sur son long. Son prépuce se retire directement pour laisser son gland se dévoiler dans son intégralité. Du pré-sperme s’échappe de son urètre mais ma langue est là pour ne pas le laisser s’échapper. J’entame une fellation douce et sensuelle qui s’agrémente de deux doigts dans son cul et les gémissements de Carlos. Sa main est toujours sur ma tête mais ne cherche pas à me diriger. Il finit par me demander de l’enculer et avec plaisir je me redresse pour me positionner au-dessus de lui, ma queue dans les starting-blocks. Je le pénètre avec aisance et profondeur sans quitter son regard. Il me caresse les joues pour ensuite les approcher de son visage pour m’embrasser. J’accélère les mouvements mais reste collé front contre front, nos soupirs comme seul bruit. Il gémit de tout son être et ça m’incite à aller toujours plus profond et plus fort. On finit par changer de position pour que je le prenne en levrette de manière plus brutale. Il aime ça et en redemande et les fessées agrémentent la discussion. Ne pouvant plus tenir très longtemps, j’accélère dans un regain d’énergie temporaire pour pouvoir le féconder le plus loin possible. J’ai pris soin de le branler en même temps et c’est d’abord Carlos qui gicle tout son jus sur les draps avant que je ne le fasse dans son cul. On s’écrase sur le lit toujours emboités l’un dans l’autre. Au bout de quelques minutes, je me retire pour basculer sur le côté et il vient m’embrasser et se poser dans mes bras. On se sent tellement bien. On finit par se doucher où une petite partie de jambes en l’air reprend. On s’endort le sourire aux lèvres l’un contre l’autre.
C’est dans cette ambiance que mon périple en Argentine a eu lieu. Il est temps aujourd’hui de dire aurevoir à Carlos qui repart chez lui et moi qui passe la frontière brésilienne dans quelques heures. On passe un long moment à se remémorer tous les souvenirs qu’on a su se créer au cours de ce mois à deux. La discussion est chargée de péripéties et nous parlons autant des paysages, des rires, des rencontres que de toutes les baises qu’on a pu avoir. Sentir sa queue reste l’un de mes souvenirs préférés et me rappeler de tous les lieux où il m’a pris par derrière m’excite à nouveau. Je n’oublie pas non plus les fois où je lui ai éclaté le cul mais même si j’aimais fortement ça, c’est sa queue donc je me souviendrai le plus. La dernière soirée aussi est à garder dans les annales tant on s’est enculé l’un après l’autre durant toute la nuit. On se jure avant de se quitter de se revoir un jour. Après une dernière embrassade, il est temps pour moi de rejoindre le Brésil où je sais que la demeure de Rafael m’attend
Bien des semaines sont passées depuis l’orgie au Pérou. Je suis aujourd’hui en Argentine en passant par le Chili où j’ai eu quelques plans cul mais sans grandes importances. Depuis une semaine je parcours donc les routes argentines et je dois avouer que les paysages surpassent largement tout ce à quoi j’avais pensé. J’ai encore tant de choses à découvrir de ce pays mais je sais que même si je devais me satisfaire du peu parcouru, je serai comblé. Il y a trois jours, dans une auberge de jeunesse, j’ai fait la rencontre de Carlos, un argentin qui traverse son pays. On a bien sympathisé durant la soirée et on a remarqué que nous allons dans les mêmes directions. On décide donc de faire un bout de parcours ensemble pour se tenir compagnie. Depuis presque un mois j’étais assez seul et ce n’est pas de refus. Carlos en plus d’être sympathique est aussi plutôt mignon. Enfin non, il est canon. Ça fait un moment que je n’ai pas vu de mecs aussi canon et tous mes derniers plans n’étaient pas plus à mon goût que ça. Mais Carlos a ce corps long, moyennement fin et musclé sec. Il a un peu de masse mais ne se montre pas aussi large que Rafael par exemple. Il apparaît plus fluide dans ses mouvements. Son visage ténébreux n’est pas à plaindre non plus et je n’ai pas été surpris lorsqu’il m’a dit avoir fait du mannequinat plus tôt. Il est un peu plus grand que moi aussi et ça me fait du bien puisqu’ils sont pas mal petits dans ces pays.
Ce soir on s’est arrêté dans une ville pas mal festive où l’on compte se bourrer la gueule. On arrive à l’auberge de jeunesse mais on a la mauvaise surprise d’apprendre qu’il y a eu un malentendu sur les réservations avec d’autres personnes. N’ayant pas d’autres solutions, on est forcé d’accepter leur compromis qui est de partager un dortoir avec d’autres voyageurs contre une réduction du prix. On tire un peu la gueule et c’est avec nonchalance qu’on rejoint notre dortoir. A l’arrivée dans la chambre, on se retrouve avec trois autres personnes, deux filles et un gars. Mais cinq minutes après deux couples arrivent aussi avec les traits tirés. On se dévisagent tous les uns après les autres avant d’entamer la discussion sur le fait que c’était inadmissible. En les dévisageant un peu plus, je ne remarque qu’un mec à mon goût mais celui-ci semble être en couple avec la fille à côté. C’est un mec un peu typé allemand pas trop mal. On se réparti les lits mais on remarque rapidement qu’il manque de la place. Nouvelle crise générale mais il commence à faire tard et chercher une autre auberge serait trop difficile. Les couples se proposent de ne prendre qu’un lit chacun mais il manquait encore une place. Je propose donc à Carlos si ça ne le dérange pas qu’on partage un lit les deux. Il ne met aucune omission et pour plus de confort, on hérite du lit non superposé qui a un peu plus d’espace. Au bout d’une trentaine de minutes, on décide à l’unanimité de se faire une soirée tous ensemble et de se bourrer la gueule sérieusement en envoyant chier cette auberge de merde. Mais avant de sortir, il fallait que je me douche et, chacun son tour, nous nous douchons à l’aide des deux cabines encore en service.
Nous voilà dans la rue à la recherche d’un restaurant et une fois trouvé on s’installe tous tranquillement. On en apprend un peu plus sur chacun à l’aide d’un tour de présentation. Je suis content parce que nous sommes tous sur la même longueur d’onde et personne n’a l’air de s’ennuyer. Les conversations fusent et les rires en font de même. Je trouve Carlos de plus en plus attirant tout comme le mec de la chambre ne me laisse pas indifférent. Il s’appelle Lukas et vient bien d’Allemagne. Il fait un tour du monde avec sa copine avant de se marier. Je n’arrivais pas à définir ce que Lukas et Carlos avaient mais j’avais l’impression que quelque chose pouvait être tenté. Je pense que c’est certains jeux de regards qui m’ont mis sur la piste mais je ne compte pas me lancer en terrain inconnu comme ça au risque de déclencher des embrouilles. Je fais comme si de rien était et continue la soirée. Après le restaurant on part dans un bar où les bières et autres alcools défilent devant nos yeux plus que raison. Ça fait du bien d’avoir une soirée comme ça avec des gens que t’as l’impression de connaître depuis longtemps alors que ça ne fait que 6h. L’alcool monte à la tête et je pense qu’il n’y en a pas un pour rattraper l’autre. Il commence à se faire tard et on décide de rentrer.
Arrivé dans la chambre chacun prend sa place et Carlos dit partir fumer. Je le suis pour ne pas le laisser seul. On se pose tranquillement dehors sur un balcon avec une vue sympathique, c’est peut-être bien le seul atout de cette auberge. On est bourré donc les conneries fusent quand il part sur une petite improvisation ressemblant à de la drague. L’atmosphère change en un instant et nos corps se figent pour s’observer du regard. Carlos fait tomber le restant de sa cigarette et s’approche de moi pour venir m’embrasser. Je n’avais donc pas rêvé tout à l’heure. On s’embrasse durant cinq minutes mais je lui rappelle que ça va paraître louche si on ne revient pas rapidement. Il acquiesce et après un dernier baiser, on se dirige vers la chambre. A notre grande surprise, tout le monde dormait déjà bien profond. L’alcool a assommé tout le monde et j’avoue que si je n’étais pas sorti dehors je dormirai sûrement déjà. Carlos se place du côté du mur et c’est à ce moment qu’on se rend compte qu’on a oublié de sortir nos sacs de couchage. On décide de partager la même couverture pour éviter de faire trop de bruit.
Cela fait peut-être dix minutes que nous sommes allongés dans le lit et un petit espace marque la séparation entre nos deux corps. Je dors dos à lui mais je n’arrive pas à dormir car je pense sans arrêt à ce baiser dehors. C’est alors que je sens Carlos se rapprocher contre moi et passer doucement son bras autour de moi pour voir si je le repousse ou pas. D’un geste de la main, je lui prends la sienne pour signifier qu’il a le feu vert. Mais je ne m’attendais pas à la suite. En effet, Il se colle contre moi, une barre dure contre la raie de mes fesses. Je le sens se frotter doucement et respirer doucement dans mon oreille. Instinctivement, mon bassin se met à bouger pour accompagner la danse de son pénis. Carlos retire son bras de mon torse pour placer sa main dans mon caleçon et masturber ma queue déjà bandée à fond. Il me susurre alors qu’il a envie de moi maintenant. Je suis bien d’accord avec lui mais 7 autres personnes dorment à moins de cinq mètres de nous. Il dit s’en foutre et baisse mon caleçon pour y découvrir mon derrière. Je suis un peu surpris et anxieux que l’un des autres se réveille. Mais cette pensée reste brève car je sens déjà son pénis forcer mon trou et sa main soulève maintenant ma jambe pour lui donner une meilleure amplitude. Il rentre alors avec plus de force et d’un seul coup je sens son dard dans mon cul. Il paraît plutôt bien proportionné vu comme je le sens. Heureusement, il étouffe mes gémissements avec son autre main. S’ensuit alors une baise dans le silence où les sensations étaient enivrantes. Je sentais son pieu coulisser dans mes parois anales pendant que ses mains parcouraient mon corps et sa bouche mon cou. Mon regard s’échappe avant d’être interpellé par un mouvement un peu plus loin. Je fronce les yeux pour mieux voir et j’aperçois une silhouette bouger dans le lit d’à côté. J’allais donner l’alerte quand je remarque que c’est Lukas. En me concentrant un peu plus sur lui, je vois qu’il avait un mouvement régulier et je comprends rapidement qu’il est en train de se branler. De temps à autre, il relève la tête pour nous regarder avant de retourner à son plaisir individuel. Il finit par remarquer que je l’avais vu et à partir de ce moment là il garde toute son attention sur moi me faisant enculer. Je sens d’ailleurs que Carlos arrivait sur sa fin à en sentir les coups s’accélérer. Son jus se répand soudainement dans mon cul dans un ultime coup de rein. Il reste quelques secondes, enfoncé contre moi en me déposant des baisers dans le dos. Lorsqu’il finit par se retirer je me retourne pour l’embrasser et prévenir que j’allais aller aux toilettes pour me nettoyer. Mais il semble déjà endormi. J’ai la sensation d’avoir été un vide couille et en même temps ça ne m’a pas forcément dérangé. Je décide quand même d’aller dans les toilettes pour me nettoyer. Mais j’ai une autre idée en tête et en passant à côté de Lukas, je me penche pour lui caresser le torse et filer aux toilettes.
Il semble avoir compris mon message car il arrive dans les toilettes quelques secondes après moi. Il me regarde avec un sourire excité et je lui roule une pelle directement. On a conscience des risques que l’on prend à se trouver ici et il ne perd pas de temps pour me retourner et s’enfoncer en moi. Avec le sperme et la pénétration de Carlos, mon trou est déjà bien travaillé et il rentre sans soucis. Il semble avoir une plus large queue que Carlos ce qui me permet d’avoir de nouvelles sensations. Il me pilonne le cul contre le mur sans ménagement une main contre ma bouche et l’autre contre le mur. Au bout de quelques minutes, il accélère ses coups qui se font plus lents mais de plus en plus profonds et secs. Il arrive à bout et bientôt de nouveaux jets de sperme remplissent mon cul. Il continue quelques minutes à m’enculer puis se retire en me remerciant et en me demandant de garder ça secret. Il disparait dans la minute. Le mélange de jus coule sur mes jambes et j’ai pour le coup la sensation d’avoir été un vide couille. Je finis par me branler pour abréger mon excitation et après m’être nettoyé, je rejoins la chambre et plus précisément le lit où Carlos dort le torse découvert.
Le matin est plus compliqué entre la gueule de bois et le cul en compote. Tout le monde se lève plutôt tard et heureusement pour nous, personne n’avait prévu de partir tôt. On se prépare tous doucement et j’essaye de paraître comme si rien ne c’était passé. L’ignorance de Carlos et Lukas était plutôt aidante car c’était à se demander s’ils se souvenaient de quelque chose. Après avoir fait nos bagages, on se fait un dernier repas tous ensemble puis on se sépare chacun de notre côté. Au moment des adieux, Lukas s’approche de moi pour me dire aurevoir. Il me fait la bise et au moment où il est près de mon oreille, il susurre doucement quelques remerciements pour le moment à deux de cette nuit. Il n’a donc pas oublié mais simule donc très bien. Je pense qu’il n’est pas à son premier coup d’essai.
On reprend la route avec Carlos et la journée est plutôt silencieuse. Non pas en rapport avec la baise d’y hier mais parce que l’alcool et la fatigue nous ont assommé comme il faut. D’ailleurs je profite d’un moment où personne ne nous entoure dans un bar pour le sonder sur ce qu’il se rappelle d’y hier. On retrace toute la soirée et au moment fatidique, il dit ne plus se souvenir de rien. Je commence alors à tirer une tête de cent pieds de long quand il éclate de rire pour me dire qu’il blaguait. Il prend alors son air vicieux pour décrire comment il m’a baisé le cul. Je rigole malgré les mots crus qu’il a plu employer. On parle donc naturellement de notre attirance l’un envers l’autre mais aussi dans notre vie en générale. La discussion est de plus en plus excitante et le voir me parler de sa vie sexuelle me donne envie de le sentir de nouveau en moi. Je lui fais part alors du fait que j’ai envie de sa queue. Il rigole et me dit qu’il est au courant mais je dois rectifier en lui disant que je parle de maintenant. Un éclair de sérieux traverse son visage et il m’indique les toilettes du bar. On se retrouve confiné dans les toilettes trente secondes après. Il faut faire vite et je baisse juste mon pantalon aux fesses tandis que lui ouvre seulement sa braguette. En dix secondes il a la bite dure comme de la pierre et s’enfonce en moi. Mon anus ne s’était pas encore remis de la veille et la première minute est plutôt difficile à encaisser. Heureusement, il m’embrasse dans le cou et me caresse le torse pour m’exciter. Il me bourrine le cul comme un roi et j’aime sentir sa queue au fond de moi. Il finit par se retirer et me fait une pression sur l’épaule pour me mettre à genoux. Il me largue alors sa semence sur la gueule en essayant de viser au mieux possible. Il m’essuie tendrement le visage et sort des toilettes. Ni vu ni connu je le rejoins à la table comme si de rien n’était.
Cela fait trois jours qu’on continuait le périple mais il est compliqué de se trouver des moments pour baiser. Ou bien ça se résume à des moments brefs de quelques minutes. Bien que ça fasse du bien, ce n’est pas entièrement satisfaisant. Mais ce soit on a réservé un hôtel où cette fois on est sûr d’être tranquille. On se retrouve enfin seuls dans la chambre et nos langues se trouvent rapidement. Mais nous sommes interrompus par un appel de la réception qui souhaite régulariser quelque chose. Etant le payeur, je me déplace à l’accueil pour régler le souci. Je remonte au bout d’une dizaine de minutes et au moment où j’arrive dans la chambre j’eus un mouvement de surprise. Carlos était nu sur le lit à plat ventre avec le cul cambré. Il se doigtait tranquillement et ne semble pas avoir remarqué mon arrivée. Je m’approche doucement puis écarte ses fesses avec mes mains pour venir poser ma langue contre sa rosette. Son doigt se retire pour pouvoir caresser ma tête avec sa main. Je lui prépare son cul depuis maintenant dix minutes puis le retourne afin de pouvoir sucer sa queue. Dans toutes ses péripéties je n’ai pas eu le temps de le sucer et de voir sa queue de plus près. Elle était belle et un peu incurvée laissant traverser une veine sur son long. Son prépuce se retire directement pour laisser son gland se dévoiler dans son intégralité. Du pré-sperme s’échappe de son urètre mais ma langue est là pour ne pas le laisser s’échapper. J’entame une fellation douce et sensuelle qui s’agrémente de deux doigts dans son cul et les gémissements de Carlos. Sa main est toujours sur ma tête mais ne cherche pas à me diriger. Il finit par me demander de l’enculer et avec plaisir je me redresse pour me positionner au-dessus de lui, ma queue dans les starting-blocks. Je le pénètre avec aisance et profondeur sans quitter son regard. Il me caresse les joues pour ensuite les approcher de son visage pour m’embrasser. J’accélère les mouvements mais reste collé front contre front, nos soupirs comme seul bruit. Il gémit de tout son être et ça m’incite à aller toujours plus profond et plus fort. On finit par changer de position pour que je le prenne en levrette de manière plus brutale. Il aime ça et en redemande et les fessées agrémentent la discussion. Ne pouvant plus tenir très longtemps, j’accélère dans un regain d’énergie temporaire pour pouvoir le féconder le plus loin possible. J’ai pris soin de le branler en même temps et c’est d’abord Carlos qui gicle tout son jus sur les draps avant que je ne le fasse dans son cul. On s’écrase sur le lit toujours emboités l’un dans l’autre. Au bout de quelques minutes, je me retire pour basculer sur le côté et il vient m’embrasser et se poser dans mes bras. On se sent tellement bien. On finit par se doucher où une petite partie de jambes en l’air reprend. On s’endort le sourire aux lèvres l’un contre l’autre.
C’est dans cette ambiance que mon périple en Argentine a eu lieu. Il est temps aujourd’hui de dire aurevoir à Carlos qui repart chez lui et moi qui passe la frontière brésilienne dans quelques heures. On passe un long moment à se remémorer tous les souvenirs qu’on a su se créer au cours de ce mois à deux. La discussion est chargée de péripéties et nous parlons autant des paysages, des rires, des rencontres que de toutes les baises qu’on a pu avoir. Sentir sa queue reste l’un de mes souvenirs préférés et me rappeler de tous les lieux où il m’a pris par derrière m’excite à nouveau. Je n’oublie pas non plus les fois où je lui ai éclaté le cul mais même si j’aimais fortement ça, c’est sa queue donc je me souviendrai le plus. La dernière soirée aussi est à garder dans les annales tant on s’est enculé l’un après l’autre durant toute la nuit. On se jure avant de se quitter de se revoir un jour. Après une dernière embrassade, il est temps pour moi de rejoindre le Brésil où je sais que la demeure de Rafael m’attend
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