Voyage Initiatique - 04
Récit érotique écrit par Ninemark [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-08-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Voyage Initiatique - 04
Chapitre 4 : Brésil Partie 1 – Les retrouvailles
L’adresse que m’avait donné Rafael au Pérou m’indique que sa villa se situe au Centre-Est du pays et pour la rejoindre, il faut déjà que je traverse encore de nombreux kilomètres. Je mets plus d’une semaine pour arriver en ayant pris soin de m’assurer de sa présence. Je suis très excité à l’idée de le revoir et je ne trouve pas l’envie de coucher avec d’autres personnes en attendant. Repenser à Carlos me suffisait pour me sentir bien.
J’arrive enfin dans la ville donnée et à l’observer, ça ressemble à une petite ville de quelques milliers d’habitants. Je pense qu’il doit habiter là pour la tranquillité. Il m’avait indiqué une place pour se retrouver et lorsque je suis en position, je vois un gros 4x4 noir avec vitres teintées se garer devant moi. Un majordome sort de la voiture et me demande de bien prendre place afin de pouvoir nous rendre chez Rafael. Dans la voiture le silence règne et je n’ose pas trop parler. J’observe donc le majordome qui semble avoir la cinquantaine. Il a le regard fixe et ne bouge pas d’un centimètre donc ça ne m’encourage pas à entamer la discussion. Je tourne donc la tête pour observer la ville mais je me rends rapidement compte que nous sommes en train de sortir de la ville. Je commence donc à poser des questions au majordome et l’ambiance semble un peu plus posée. Il m’explique que la villa se trouve dans un endroit discret pour garantir une entière intimité à Rafael. Il m’explique par la suite en quoi consiste son travail et se renseigne sur moi. Il m’a l’air plutôt sympathique et semble apprécier travailler pour Rafael.
On arrive enfin devant le portail de la villa mais ce n’est que le premier car il faut encore parcourir plusieurs centaines de mètres de propriété avant d’arriver à un nouveau portail qui nous ouvre le passage sur la villa. Je ne m’attendais pas forcément à un truc énorme mais je suis quand même émerveillé par l’architecture de la construction. La voiture s’arrête enfin et le majordome vient m’ouvrir la porte. Je pose le pied parterre et relève la tête pour faire face à la bâtisse. Elle s’élève sur au moins trois étages et s’étend sur des dizaines de mètres. Sur le perron, un étalon vient de faire son apparition. Rafael apparait dans un costume rouge et s’apparente à un rubis dans un royaume de diamants. Je suis tellement content de le revoir et son sourire trahit son enthousiasme réciproque. Je m’empresse de m’approcher de lui et l’enlace avec force traduisant ma joie. On desserre un peu notre étreinte pour se dire bonjour et à ma grande surprise, Rafael approche ses mains de mon visage et dépose ses lèvres sur les miennes. On s’embrasse quelques secondes avant de décoller nos bouches. On se regarde en souriant et il entame la discussion. Pendant que le majordome s’occupait de mes affaires, mon bel homme me fait faire le tour de la propriété afin de me montrer l’étendue de celle-ci. Vu la grandeur, on a dû mettre peut-être plus d’une demi-heure avant de finir la présentation. Mais avant ça, il me propose de me doucher afin de récupérer du périple.
Durant la visite, il me présente aussi au personnel qui se compose de cuisiniers, techniciens de surface, majordome, gardes, jardiniers, … Aucune femme n’était présente et je ne peux m’empêcher de le lui faire remarquer. Il acquiesce et me félicite pour cette observation. Il m’explique qu’il avait auparavant des femmes dans son équipe mais il a pu lui arriver quelques aventures avec des hommes qui ont eu lieu à la vue du personnel. Certaines personnes ne s’y attendait pas et il a préféré garantir cette liberté en avertissant les personnes avant la signature du contrat. Bien entendu les hommes ont le plus répondu présent et en particulier des gays. J’ose lui demander s’il a déjà eu des relations avec un des gars et il me répond négativement en précisant que c’était spécifier dans le contrat qu’il ne servait à rien de s’attendre à quelque chose de sexuel. Durant ma question on était entouré de quelques gars mais dès qu’on se retrouve seul dans la pièce suivante il s’arrête et précise à voix basse qu’il lui arrive de baiser avec l’un des cuisiniers mais que cela reste secret.
Le majordome nous interrompt pour signaler que ma chambre était prête. On part donc en direction de ma chambre et, arrivé dans celle-ci, je trouve mon sac rangé, les affaires rangées et les vêtements sales au lavage. Je saute sur le lit et me retrouve enfoncé dans ce matelas de qualité supérieure. Il est hyper moelleux et je souris en complimentant sa literie. Il rigole, ferme la porte et me rejoint en précisant que c’est encore plus confortable lorsqu’un autre homme est dessus. Il se place au-dessus de moi et nos visages se regardent tout souriant. Il m’embrasse une première fois puis relève la tête pour me dire que je dormirai avec lui mais qu’on pouvait toujours tester ce lit avant. A la fin de sa phrase, sa langue se joint à la mienne et nos caresses se font plus présentes. J’avais oublié à quel point je me sens bien quand Rafael est contre moi. Doucement mais sûrement, nos vêtements recouvrent le sol et bientôt nos corps nus se frottent l’un contre l’autre. Nos pénis ont pris leur forme de combattants et Rafael commence à descendre en m’embrassant le long du corps. Sentir sa langue sur mes tétons et lécher mes abdos, sentir son nez se frotter entre mes cuisses, sentir ses mains parcourir mes cuisses et mes hanches, entendre sa respiration saccadée, voir ses yeux bleus me regarder avec désir, je me sens tellement bien. Mais ce plaisir se décuple lorsque la langue et sa bouche s’emparent de mon membre dressé fièrement. Il commence une fellation langoureuse et lente où cette fois-ci nous avions tout le temps du monde pour nous. Les préliminaires durent bien 45 minutes où chacun apprivoise le corps de l’autre. On est tellement bien que rien ne nous presse. Nos câlins se font chaleureux et langoureux. Au bout d’un certain moment il me met sur le ventre et baise chaque partie de mon dos en descendant de plus en plus bas. Mon corps se cambre à l’approche de sa bouche vers mes fesses. Ses mains me massent alors les lobes pendant que sa langue s’insère entre celles-ci. Il les écarte alors bien afin d’avoir accès à mon anus qui se met à frétiller lorsqu’il senti la langue de Rafael. J’aime tellement cette sensation. Et encore plus quand je sais qui me la procure. Il insère rapidement un premier doigt qui sera suivit d’un deuxième. Il retire ensuite ses doigts pour se lever chercher du lubrifiant. Il en profite pour me retourner sur le dos et lever mes jambes.
Son membre imposant se positionne devant mon entrée et avec grande délicatesse, Rafael m’enserre dans ses bras musclés pour m’embrasser et commencer à m’enculer. Je sens ses 24 centimètres me pénétrer avec douceur je dois avouer que ça fait un moment que je n’ai pas pris autant. Ça me fait plus mal que lorsqu’on avait baiser au Pérou mais je pense que c’était parce que j’étais dans un état d’excitation particulier. Il se rend compte de la douleur procurer et fait de son mieux pour que j’encaisse le plus aisément possible. Cela se passe par des caresses, du lubrifiant et des baisers. Il finit par être en moi et commence alors les allers retours. La douleur laisse peu à peu place au plaisir et l’excitation accélère la dilatation. Il prend rapidement un rythme plus soutenu et cette sensation animale commence à se faire ressentir comme lors de notre premier ébat. Je le repousse alors pour qu’il se retire et pouvoir changer de position. Je me place à quatre pattes et sans plus attendre, il s’enfonce de nouveau en moi. Mais la force de ses coups me fit perdre l’équilibre et je manque de m’écrouler au sol. Heureusement, il me tenait par les hanches et je réussis à me rattraper sur les mains. Mais nous n’avons pas le temps de nous arrêter et porter par l’excitation il continue de me baiser le cul alors que je suis à moitié au sol, moitié sur le lit. Je suis cambré au maximum et nos gémissements remplissent la chambre avec des râles graves et secs.
Rafael finit par se retirer et je me laisse tomber par terre pour pouvoir me relever aisément. Mais à peine je suis debout qu’il descend aussi du lit pour venir me prendre par derrière debout. Il m’enserre les hanches et me déplace devant la fenêtre de la chambre. Il s’enfonce alors en moi et reprend ses coups profonds. Il pose une main sur mon torse et avec l’autre il me colle la tête contre la vitre. Dans ma jouissance anale j’arrive encore à observer l’extérieur et mon regard se stoppe sur une silhouette en contre bas qui semble nous observer. C’est l’un des jardiniers. Je le vois se déplacer dans un coin plus discret afin de nous mater sans être vu par d’autres. Il voit que je le regarde et sa main trouve rapidement la direction de sa queue qui se retrouve à l’air libre quelques secondes plus tard. Je sens alors Rafael commencer à me déplacer dans un autre endroit mais je le stoppe direct en déclarant aimer me faire prendre ici. Il ne rechigne pas et reprend son assaut. Je continue donc de me faire baiser et en même temps je permets au jardinier de ne pas être coupé dans son plaisir voyeuriste. Il m’a l’air d’avoir une bonne queue aussi. Il se caressait de partout et son regard ne quittait pas le mien. Rafael ne semble pas l’avoir remarqué car je ne l’ai pas entendu faire un seul commentaire. Il finit d’ailleurs par me dire qu’il va bientôt jouir et tout en accélérant ses coups, il se met à me branler en rythme pour me faire monter la sauce. Dans un dernier coup brutal, il me remplit le cul de son sperme. Son assaut m’a épuisé et je me dois d’attendre encore un peu avant de reprendre mes esprits. J’observe d’ailleurs que le jardinier avait accélérer fortement sa masturbation et il me semble proche de l’éjaculation. Je fais donc mettre Rafael à genoux contre le mur afin qu’il vienne me sucer et récolter mon sperme. Cela me permet aussi de continuer de mater le jardinier. Rafael suce vraiment comme un dieu et bientôt mon jus se répand sur sa belle gueule au même moment où le jardinier se décharge sur lui-même. J’étale mon sperme sur Rafael tout en m’approchant pour l’embrasser tendrement. Il sourit et me dit qu’il n’y a aucune discussion possible et que je me dois de dormir avec lui. J’accueille avec plaisir ses dires et lui répond que c’est une bonne idée mais qu’avant ça il faudrait que je mange car je crève de faim. On se dirige donc vers la cuisine voir ce qu’il y a à manger. En entrant dans la cuisine, on tombe sur les deux cuisiniers. Je repense à ce que m’avait dit Rafael plus tôt et je me dis sans réfléchir qu’il doit coucher avec le petit latino aux yeux noisettes bien craquants. On prend ce dont on a besoin et on se dirige manger dehors sur la terrasse. Une personne passe à mes côtés et je le sens m’observer avec insistance. Je tourne la tête et remarque que c’est le jardinier de tout à l’heure. J’ignore si c’est dû à la baise de tout à l’heure mais je le trouve super canon alors que je n’y avais pas fait attention à mon arrivée. Il me décroche un petit sourire tout en soupesant sa queue à travers son pantalon. Bien entendu, tout ça se passe rapidement et discrètement sans que Rafael ne le remarque.
Le soir est venu et on se retrouve tous les deux sous la couverture devant un film. Je me sens bien dans ses bras. On discute de tout et de rien. Il finit par me demander si je pouvais rester encore un peu du style une ou deux semaines. Je lui promets d’y réfléchir et durant le reste du film je pesais le pour et le contre. Depuis mon départ je ne me suis pas encore posé à un endroit plus de 3 jours. Ici je me sens bien et je pense que j’ai besoin de me reposer un peu. En plus je suis si bien avec Rafael que ce serait débile de ne pas en profiter. J’approche donc mes lèvres de sa bouche et après y avoir déposer un baiser je lui annonce que j’accepte. Je vois son sourire se dessiner sur son visage et nos langues s’unir une nouvelle fois. La tendresse est à l’honneur et je me retrouve rapidement sur lui à l’embrasser dans tous les recoins de son être. Il me caresse de partout et nos âmes n’en formèrent qu’une durant cet instant. Je me positionne au-dessus de son membre et m’enfonce délicatement sur lui. La baise de tout à l’heure nous permet de nous passer de la phase de dilatation. Cette fois-ci, l’animalité qui nous a habité auparavant ne fait pas surface et sûrement pour la première fois, nous faisons véritablement l’amour. Je sens bien que ça n’a rien avoir avec le sexe et que ce qui se joue dépasse l’idée d’une simple baise. Je n’ai vécu ça qu’avec une seule personne et c’était avec Joris, mon ex-copain avec qui j’ai rompu il y a quelques mois.
Rafael me coupe de mes pensées lorsqu’il décide de prendre l’ascendant en me retournant sur le dos et en se mettant au-dessus. Il m’encule avec douceur et profondeur, sa tête enfouie dans mon cou. Nos corps sont bouillants car la couverture nous recouvre toujours mais aucun de nous deux ne veut l’enlever. Ça fait comme un cocon où nos deux corps sont les seuls à pouvoir y accéder. Il continue de me faire l’amour encore un moment où nos bouches ont du mal à se séparer. Quelques brides de mots venaient briser le silence, tantôt en portugais ou en espagnol, tantôt en français. Mais la majorité du temps est rythmée par nos halements et le bruit de fond du film. Il finit par se décharger avec profondeur mais douceur dans mon anus et s’empare de ma queue pour me masturber jusqu’à l’éjaculation. Il se retire ensuite de moi tout en m’embrassant de la plus belle des manières qui soit. Je le sens au fond de moi que je suis en train de tomber amoureux de lui. Je me détache de lui quelques secondes pour éteindre la télé avant de venir me blottir dans ses bras. Notre conversation se fait en chuchotement comme pour ne pas rompre l’osmose qui naissait entre nous deux. Je finis par me lever pour aller me doucher et comme si nous ne faisions qu’un, son corps se retrouva contre le mien durant cette douche salvatrice. On retourne nu et frais dans le lit où je trouve le sommeil avec bonheur comme je ne l’avais pas refait depuis longtemps.
L’adresse que m’avait donné Rafael au Pérou m’indique que sa villa se situe au Centre-Est du pays et pour la rejoindre, il faut déjà que je traverse encore de nombreux kilomètres. Je mets plus d’une semaine pour arriver en ayant pris soin de m’assurer de sa présence. Je suis très excité à l’idée de le revoir et je ne trouve pas l’envie de coucher avec d’autres personnes en attendant. Repenser à Carlos me suffisait pour me sentir bien.
J’arrive enfin dans la ville donnée et à l’observer, ça ressemble à une petite ville de quelques milliers d’habitants. Je pense qu’il doit habiter là pour la tranquillité. Il m’avait indiqué une place pour se retrouver et lorsque je suis en position, je vois un gros 4x4 noir avec vitres teintées se garer devant moi. Un majordome sort de la voiture et me demande de bien prendre place afin de pouvoir nous rendre chez Rafael. Dans la voiture le silence règne et je n’ose pas trop parler. J’observe donc le majordome qui semble avoir la cinquantaine. Il a le regard fixe et ne bouge pas d’un centimètre donc ça ne m’encourage pas à entamer la discussion. Je tourne donc la tête pour observer la ville mais je me rends rapidement compte que nous sommes en train de sortir de la ville. Je commence donc à poser des questions au majordome et l’ambiance semble un peu plus posée. Il m’explique que la villa se trouve dans un endroit discret pour garantir une entière intimité à Rafael. Il m’explique par la suite en quoi consiste son travail et se renseigne sur moi. Il m’a l’air plutôt sympathique et semble apprécier travailler pour Rafael.
On arrive enfin devant le portail de la villa mais ce n’est que le premier car il faut encore parcourir plusieurs centaines de mètres de propriété avant d’arriver à un nouveau portail qui nous ouvre le passage sur la villa. Je ne m’attendais pas forcément à un truc énorme mais je suis quand même émerveillé par l’architecture de la construction. La voiture s’arrête enfin et le majordome vient m’ouvrir la porte. Je pose le pied parterre et relève la tête pour faire face à la bâtisse. Elle s’élève sur au moins trois étages et s’étend sur des dizaines de mètres. Sur le perron, un étalon vient de faire son apparition. Rafael apparait dans un costume rouge et s’apparente à un rubis dans un royaume de diamants. Je suis tellement content de le revoir et son sourire trahit son enthousiasme réciproque. Je m’empresse de m’approcher de lui et l’enlace avec force traduisant ma joie. On desserre un peu notre étreinte pour se dire bonjour et à ma grande surprise, Rafael approche ses mains de mon visage et dépose ses lèvres sur les miennes. On s’embrasse quelques secondes avant de décoller nos bouches. On se regarde en souriant et il entame la discussion. Pendant que le majordome s’occupait de mes affaires, mon bel homme me fait faire le tour de la propriété afin de me montrer l’étendue de celle-ci. Vu la grandeur, on a dû mettre peut-être plus d’une demi-heure avant de finir la présentation. Mais avant ça, il me propose de me doucher afin de récupérer du périple.
Durant la visite, il me présente aussi au personnel qui se compose de cuisiniers, techniciens de surface, majordome, gardes, jardiniers, … Aucune femme n’était présente et je ne peux m’empêcher de le lui faire remarquer. Il acquiesce et me félicite pour cette observation. Il m’explique qu’il avait auparavant des femmes dans son équipe mais il a pu lui arriver quelques aventures avec des hommes qui ont eu lieu à la vue du personnel. Certaines personnes ne s’y attendait pas et il a préféré garantir cette liberté en avertissant les personnes avant la signature du contrat. Bien entendu les hommes ont le plus répondu présent et en particulier des gays. J’ose lui demander s’il a déjà eu des relations avec un des gars et il me répond négativement en précisant que c’était spécifier dans le contrat qu’il ne servait à rien de s’attendre à quelque chose de sexuel. Durant ma question on était entouré de quelques gars mais dès qu’on se retrouve seul dans la pièce suivante il s’arrête et précise à voix basse qu’il lui arrive de baiser avec l’un des cuisiniers mais que cela reste secret.
Le majordome nous interrompt pour signaler que ma chambre était prête. On part donc en direction de ma chambre et, arrivé dans celle-ci, je trouve mon sac rangé, les affaires rangées et les vêtements sales au lavage. Je saute sur le lit et me retrouve enfoncé dans ce matelas de qualité supérieure. Il est hyper moelleux et je souris en complimentant sa literie. Il rigole, ferme la porte et me rejoint en précisant que c’est encore plus confortable lorsqu’un autre homme est dessus. Il se place au-dessus de moi et nos visages se regardent tout souriant. Il m’embrasse une première fois puis relève la tête pour me dire que je dormirai avec lui mais qu’on pouvait toujours tester ce lit avant. A la fin de sa phrase, sa langue se joint à la mienne et nos caresses se font plus présentes. J’avais oublié à quel point je me sens bien quand Rafael est contre moi. Doucement mais sûrement, nos vêtements recouvrent le sol et bientôt nos corps nus se frottent l’un contre l’autre. Nos pénis ont pris leur forme de combattants et Rafael commence à descendre en m’embrassant le long du corps. Sentir sa langue sur mes tétons et lécher mes abdos, sentir son nez se frotter entre mes cuisses, sentir ses mains parcourir mes cuisses et mes hanches, entendre sa respiration saccadée, voir ses yeux bleus me regarder avec désir, je me sens tellement bien. Mais ce plaisir se décuple lorsque la langue et sa bouche s’emparent de mon membre dressé fièrement. Il commence une fellation langoureuse et lente où cette fois-ci nous avions tout le temps du monde pour nous. Les préliminaires durent bien 45 minutes où chacun apprivoise le corps de l’autre. On est tellement bien que rien ne nous presse. Nos câlins se font chaleureux et langoureux. Au bout d’un certain moment il me met sur le ventre et baise chaque partie de mon dos en descendant de plus en plus bas. Mon corps se cambre à l’approche de sa bouche vers mes fesses. Ses mains me massent alors les lobes pendant que sa langue s’insère entre celles-ci. Il les écarte alors bien afin d’avoir accès à mon anus qui se met à frétiller lorsqu’il senti la langue de Rafael. J’aime tellement cette sensation. Et encore plus quand je sais qui me la procure. Il insère rapidement un premier doigt qui sera suivit d’un deuxième. Il retire ensuite ses doigts pour se lever chercher du lubrifiant. Il en profite pour me retourner sur le dos et lever mes jambes.
Son membre imposant se positionne devant mon entrée et avec grande délicatesse, Rafael m’enserre dans ses bras musclés pour m’embrasser et commencer à m’enculer. Je sens ses 24 centimètres me pénétrer avec douceur je dois avouer que ça fait un moment que je n’ai pas pris autant. Ça me fait plus mal que lorsqu’on avait baiser au Pérou mais je pense que c’était parce que j’étais dans un état d’excitation particulier. Il se rend compte de la douleur procurer et fait de son mieux pour que j’encaisse le plus aisément possible. Cela se passe par des caresses, du lubrifiant et des baisers. Il finit par être en moi et commence alors les allers retours. La douleur laisse peu à peu place au plaisir et l’excitation accélère la dilatation. Il prend rapidement un rythme plus soutenu et cette sensation animale commence à se faire ressentir comme lors de notre premier ébat. Je le repousse alors pour qu’il se retire et pouvoir changer de position. Je me place à quatre pattes et sans plus attendre, il s’enfonce de nouveau en moi. Mais la force de ses coups me fit perdre l’équilibre et je manque de m’écrouler au sol. Heureusement, il me tenait par les hanches et je réussis à me rattraper sur les mains. Mais nous n’avons pas le temps de nous arrêter et porter par l’excitation il continue de me baiser le cul alors que je suis à moitié au sol, moitié sur le lit. Je suis cambré au maximum et nos gémissements remplissent la chambre avec des râles graves et secs.
Rafael finit par se retirer et je me laisse tomber par terre pour pouvoir me relever aisément. Mais à peine je suis debout qu’il descend aussi du lit pour venir me prendre par derrière debout. Il m’enserre les hanches et me déplace devant la fenêtre de la chambre. Il s’enfonce alors en moi et reprend ses coups profonds. Il pose une main sur mon torse et avec l’autre il me colle la tête contre la vitre. Dans ma jouissance anale j’arrive encore à observer l’extérieur et mon regard se stoppe sur une silhouette en contre bas qui semble nous observer. C’est l’un des jardiniers. Je le vois se déplacer dans un coin plus discret afin de nous mater sans être vu par d’autres. Il voit que je le regarde et sa main trouve rapidement la direction de sa queue qui se retrouve à l’air libre quelques secondes plus tard. Je sens alors Rafael commencer à me déplacer dans un autre endroit mais je le stoppe direct en déclarant aimer me faire prendre ici. Il ne rechigne pas et reprend son assaut. Je continue donc de me faire baiser et en même temps je permets au jardinier de ne pas être coupé dans son plaisir voyeuriste. Il m’a l’air d’avoir une bonne queue aussi. Il se caressait de partout et son regard ne quittait pas le mien. Rafael ne semble pas l’avoir remarqué car je ne l’ai pas entendu faire un seul commentaire. Il finit d’ailleurs par me dire qu’il va bientôt jouir et tout en accélérant ses coups, il se met à me branler en rythme pour me faire monter la sauce. Dans un dernier coup brutal, il me remplit le cul de son sperme. Son assaut m’a épuisé et je me dois d’attendre encore un peu avant de reprendre mes esprits. J’observe d’ailleurs que le jardinier avait accélérer fortement sa masturbation et il me semble proche de l’éjaculation. Je fais donc mettre Rafael à genoux contre le mur afin qu’il vienne me sucer et récolter mon sperme. Cela me permet aussi de continuer de mater le jardinier. Rafael suce vraiment comme un dieu et bientôt mon jus se répand sur sa belle gueule au même moment où le jardinier se décharge sur lui-même. J’étale mon sperme sur Rafael tout en m’approchant pour l’embrasser tendrement. Il sourit et me dit qu’il n’y a aucune discussion possible et que je me dois de dormir avec lui. J’accueille avec plaisir ses dires et lui répond que c’est une bonne idée mais qu’avant ça il faudrait que je mange car je crève de faim. On se dirige donc vers la cuisine voir ce qu’il y a à manger. En entrant dans la cuisine, on tombe sur les deux cuisiniers. Je repense à ce que m’avait dit Rafael plus tôt et je me dis sans réfléchir qu’il doit coucher avec le petit latino aux yeux noisettes bien craquants. On prend ce dont on a besoin et on se dirige manger dehors sur la terrasse. Une personne passe à mes côtés et je le sens m’observer avec insistance. Je tourne la tête et remarque que c’est le jardinier de tout à l’heure. J’ignore si c’est dû à la baise de tout à l’heure mais je le trouve super canon alors que je n’y avais pas fait attention à mon arrivée. Il me décroche un petit sourire tout en soupesant sa queue à travers son pantalon. Bien entendu, tout ça se passe rapidement et discrètement sans que Rafael ne le remarque.
Le soir est venu et on se retrouve tous les deux sous la couverture devant un film. Je me sens bien dans ses bras. On discute de tout et de rien. Il finit par me demander si je pouvais rester encore un peu du style une ou deux semaines. Je lui promets d’y réfléchir et durant le reste du film je pesais le pour et le contre. Depuis mon départ je ne me suis pas encore posé à un endroit plus de 3 jours. Ici je me sens bien et je pense que j’ai besoin de me reposer un peu. En plus je suis si bien avec Rafael que ce serait débile de ne pas en profiter. J’approche donc mes lèvres de sa bouche et après y avoir déposer un baiser je lui annonce que j’accepte. Je vois son sourire se dessiner sur son visage et nos langues s’unir une nouvelle fois. La tendresse est à l’honneur et je me retrouve rapidement sur lui à l’embrasser dans tous les recoins de son être. Il me caresse de partout et nos âmes n’en formèrent qu’une durant cet instant. Je me positionne au-dessus de son membre et m’enfonce délicatement sur lui. La baise de tout à l’heure nous permet de nous passer de la phase de dilatation. Cette fois-ci, l’animalité qui nous a habité auparavant ne fait pas surface et sûrement pour la première fois, nous faisons véritablement l’amour. Je sens bien que ça n’a rien avoir avec le sexe et que ce qui se joue dépasse l’idée d’une simple baise. Je n’ai vécu ça qu’avec une seule personne et c’était avec Joris, mon ex-copain avec qui j’ai rompu il y a quelques mois.
Rafael me coupe de mes pensées lorsqu’il décide de prendre l’ascendant en me retournant sur le dos et en se mettant au-dessus. Il m’encule avec douceur et profondeur, sa tête enfouie dans mon cou. Nos corps sont bouillants car la couverture nous recouvre toujours mais aucun de nous deux ne veut l’enlever. Ça fait comme un cocon où nos deux corps sont les seuls à pouvoir y accéder. Il continue de me faire l’amour encore un moment où nos bouches ont du mal à se séparer. Quelques brides de mots venaient briser le silence, tantôt en portugais ou en espagnol, tantôt en français. Mais la majorité du temps est rythmée par nos halements et le bruit de fond du film. Il finit par se décharger avec profondeur mais douceur dans mon anus et s’empare de ma queue pour me masturber jusqu’à l’éjaculation. Il se retire ensuite de moi tout en m’embrassant de la plus belle des manières qui soit. Je le sens au fond de moi que je suis en train de tomber amoureux de lui. Je me détache de lui quelques secondes pour éteindre la télé avant de venir me blottir dans ses bras. Notre conversation se fait en chuchotement comme pour ne pas rompre l’osmose qui naissait entre nous deux. Je finis par me lever pour aller me doucher et comme si nous ne faisions qu’un, son corps se retrouva contre le mien durant cette douche salvatrice. On retourne nu et frais dans le lit où je trouve le sommeil avec bonheur comme je ne l’avais pas refait depuis longtemps.
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