VRP 4° partie
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2015 dans la catégorie A dormir debout
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VRP 4° partie
C’est Arielle qui entre la première dans la chambre. Je vois ses magnifiques fesses se dandiner en entrant. Henri la suit, sa queue haute qui, à cause de la marche, vadrouille dans tous les sens. Sa bite est belle, régulière depuis la fin du gland vers le bas ventre, là elle grossit un peu. Le gland lui est un peu trop violet à mon gout. Elle est bien près des fesses l’Arielle.
J’ai encore le bijou anal. Je ne sais le quel des deux aura l’honneur de m’enlever le plug. Arielle disait tout à l’heure que Henri était très résistant ou moins pour nous deux. J’espère qu’elle ne se trompe pas, qu’il pourra me la mettre au cul au moins une fois. J’aime tellement la sodomie.
Henri se tourne, en gentleman il nous installe sur le lit. Il est entre nous, ses mains s’occupent déjà de nos corps. Je ne peux voir ce qu’il fait à sa femme. Moi, il caresse l’intérieur des cuisses en montant doucement vers la chatte. Il me fait mouiller. Je rends sa caresse à ma façon : je prends gaillardement sa pine dans ma main droite. Elle est dure, dure et souple à la fois. Je fais descendre le prépuce lentement. J’ai l’aide attendue d’Arielle qui comme c’est normal s’occupe des affaires de son mari. Mais elle me semble surtout préoccupée de mon bien être, je suis l’invitée après tout.
Elle se lève, vient vers moi me renverse sur le lit. Je me couche en donnant ma fourche à sa bouche. Sa langue lèche l’intérieur des jambes. Elle monte doucement, trop doucement. Je la sens contre mes lèvres. Elle les caresse lentement en fait le tour plusieurs fois en lesbienne consommée. Elle ajoute ses doigts. Sa fouille sans exclusive fait qu’elle vient sur le petit trou encore affublé du bijou qui en ferme l’entrée. Je ne sais comment elle fait, elle me l’enlève doucement en me faisant jouir avec ses dents. Elle revient à ses premières amours, mon sexe. Elle mordille le clitoris, m’arrachant des soupirs aigus. Elle doit avoir ma cyprine sur son visage.
Henri se met de la partie. Il vient m’enjamber à hauteur des seins. Sa queue s’approche dangereusement de ma bouche. Il fait comme s’il forçait alors que je suis prête à tout ce qu’il veut. Oui, il la met sur mes lèvres. J’y renifle des odeurs de male. Ma langue ne peut lécher que ce qu’elle trouve : le haut du gland. Le méat en fait les frais. Je ne peux évidemment pas y entrer. Il avance et cette fois je peux pomper le dard en entier. Il occupe bien ma bouche.
Mes deux extrémités sont occupées en haut par le mari en bas par la femme. Je suce la queue d’Henri. Elle est bonne à lécher. J’arrête souvent, je veux bien qu’il jouisse, mais pas de suite, qu’il profite de la langue quoique Arielle doit lui faire de sacré bonnes fellations. Je ne peux l’empêcher de grossir, d’éjaculer dans la bouche. Il me n’a rien dit avant, il savait que j’allais aimer son jus dans le bouche, ce qui est le cas. J’en avale un peu, j’en mets de coté dans une joue. Je me laisse aller à un orgasme de plus.
Arielle vient près de moi, veut m’embrasser. Ma langue lui donne le reste de sperme de son mari. Elle le déguste avant de me donner sa langue. Nous repartons dans un de ses baisers de filles qui n’en finissent jamais. Nous nous touchons partout, comme pour une redécouverte. Henri est oublié. Nous nous mettons en 69, ainsi nous pouvons donner ensemble le même plaisir et surtout voir toute la chatte de l’autre ou en plus le petit trou, objet de nos chimères.
J’aime voir de près de trou ridé, sensible pour qui sait le caresser .Et moi, en plus, j’aime y mettre ma langue. Arielle le sais, je le lui ai fait tout à l’heure à table devant Henri son mari. C’est le seul à qui je n’ai pas fait minette à son anus. Il faut réparer ça tout à l’heure. Il ne pourra penser qu’une belle salope lui a fit une chose rare que certainement Arielle ne lui a jamais faite : c’est rare entre époux.
Je descends totalement ma bouche pour aller sur son cul. Il est souple, preuve s’il en ait qu’elle se fait souvent mettre dans le cul. Je pointe la langue, je le, je touche le paradis. Le bout de la langue fait le tour plusieurs fois du trou du cul. Arielle n,e se défend pas, elle ouvre au muscle contraire son arrière train. J’entre dans un cul élargi pas l’usage. C’est inespéré d’entrer si faciment. Elle gémit, se passe un doigt sur le bouton pour compléter son plaisir, j’aurai du le lui faire. Elle entre sa langue à donf dans la vulve : je jouis encore. Uns fois de trop peut-être ?
Henri est remis, il bande encore ne fois, sans doute Arielle se souvient de ses devoirs .d’épouse. Elle se couche sur le lit. Lui vient sur elle, non pas pur la baiser mais pour se faire sucer. Elle le prend dans ses lèvres, j’engame presque jusqu’au bout. Il lui baise la bouche, me laissant seule.
Quand on laisse ne femme seule, elle fait des bêtises. Ces mon cas, je vais derrière lui, écarte ses fesses. Il se laisse faire, pensant que j’ailais lui mettre des doigts dans le cul ; j’y mets bien la main, plus bas que prévu, je caresses ses couilles. Je pose ma tête entre ses fesses, je sors assez de langue pour lécher son cuul. Il est poilu, ce n‘est ops un problème quand je trouve l’entrée. J’entre ma langue en profondeur. IL doit aimes ça : il jouit quand je suis au fond d son cul d’homme ;Nous avons fait assez de baises.
Si je passe dans la région, j’ai promis que je reviendrais baiser avec ce couple coquin.
J’ai encore le bijou anal. Je ne sais le quel des deux aura l’honneur de m’enlever le plug. Arielle disait tout à l’heure que Henri était très résistant ou moins pour nous deux. J’espère qu’elle ne se trompe pas, qu’il pourra me la mettre au cul au moins une fois. J’aime tellement la sodomie.
Henri se tourne, en gentleman il nous installe sur le lit. Il est entre nous, ses mains s’occupent déjà de nos corps. Je ne peux voir ce qu’il fait à sa femme. Moi, il caresse l’intérieur des cuisses en montant doucement vers la chatte. Il me fait mouiller. Je rends sa caresse à ma façon : je prends gaillardement sa pine dans ma main droite. Elle est dure, dure et souple à la fois. Je fais descendre le prépuce lentement. J’ai l’aide attendue d’Arielle qui comme c’est normal s’occupe des affaires de son mari. Mais elle me semble surtout préoccupée de mon bien être, je suis l’invitée après tout.
Elle se lève, vient vers moi me renverse sur le lit. Je me couche en donnant ma fourche à sa bouche. Sa langue lèche l’intérieur des jambes. Elle monte doucement, trop doucement. Je la sens contre mes lèvres. Elle les caresse lentement en fait le tour plusieurs fois en lesbienne consommée. Elle ajoute ses doigts. Sa fouille sans exclusive fait qu’elle vient sur le petit trou encore affublé du bijou qui en ferme l’entrée. Je ne sais comment elle fait, elle me l’enlève doucement en me faisant jouir avec ses dents. Elle revient à ses premières amours, mon sexe. Elle mordille le clitoris, m’arrachant des soupirs aigus. Elle doit avoir ma cyprine sur son visage.
Henri se met de la partie. Il vient m’enjamber à hauteur des seins. Sa queue s’approche dangereusement de ma bouche. Il fait comme s’il forçait alors que je suis prête à tout ce qu’il veut. Oui, il la met sur mes lèvres. J’y renifle des odeurs de male. Ma langue ne peut lécher que ce qu’elle trouve : le haut du gland. Le méat en fait les frais. Je ne peux évidemment pas y entrer. Il avance et cette fois je peux pomper le dard en entier. Il occupe bien ma bouche.
Mes deux extrémités sont occupées en haut par le mari en bas par la femme. Je suce la queue d’Henri. Elle est bonne à lécher. J’arrête souvent, je veux bien qu’il jouisse, mais pas de suite, qu’il profite de la langue quoique Arielle doit lui faire de sacré bonnes fellations. Je ne peux l’empêcher de grossir, d’éjaculer dans la bouche. Il me n’a rien dit avant, il savait que j’allais aimer son jus dans le bouche, ce qui est le cas. J’en avale un peu, j’en mets de coté dans une joue. Je me laisse aller à un orgasme de plus.
Arielle vient près de moi, veut m’embrasser. Ma langue lui donne le reste de sperme de son mari. Elle le déguste avant de me donner sa langue. Nous repartons dans un de ses baisers de filles qui n’en finissent jamais. Nous nous touchons partout, comme pour une redécouverte. Henri est oublié. Nous nous mettons en 69, ainsi nous pouvons donner ensemble le même plaisir et surtout voir toute la chatte de l’autre ou en plus le petit trou, objet de nos chimères.
J’aime voir de près de trou ridé, sensible pour qui sait le caresser .Et moi, en plus, j’aime y mettre ma langue. Arielle le sais, je le lui ai fait tout à l’heure à table devant Henri son mari. C’est le seul à qui je n’ai pas fait minette à son anus. Il faut réparer ça tout à l’heure. Il ne pourra penser qu’une belle salope lui a fit une chose rare que certainement Arielle ne lui a jamais faite : c’est rare entre époux.
Je descends totalement ma bouche pour aller sur son cul. Il est souple, preuve s’il en ait qu’elle se fait souvent mettre dans le cul. Je pointe la langue, je le, je touche le paradis. Le bout de la langue fait le tour plusieurs fois du trou du cul. Arielle n,e se défend pas, elle ouvre au muscle contraire son arrière train. J’entre dans un cul élargi pas l’usage. C’est inespéré d’entrer si faciment. Elle gémit, se passe un doigt sur le bouton pour compléter son plaisir, j’aurai du le lui faire. Elle entre sa langue à donf dans la vulve : je jouis encore. Uns fois de trop peut-être ?
Henri est remis, il bande encore ne fois, sans doute Arielle se souvient de ses devoirs .d’épouse. Elle se couche sur le lit. Lui vient sur elle, non pas pur la baiser mais pour se faire sucer. Elle le prend dans ses lèvres, j’engame presque jusqu’au bout. Il lui baise la bouche, me laissant seule.
Quand on laisse ne femme seule, elle fait des bêtises. Ces mon cas, je vais derrière lui, écarte ses fesses. Il se laisse faire, pensant que j’ailais lui mettre des doigts dans le cul ; j’y mets bien la main, plus bas que prévu, je caresses ses couilles. Je pose ma tête entre ses fesses, je sors assez de langue pour lécher son cuul. Il est poilu, ce n‘est ops un problème quand je trouve l’entrée. J’entre ma langue en profondeur. IL doit aimes ça : il jouit quand je suis au fond d son cul d’homme ;Nous avons fait assez de baises.
Si je passe dans la région, j’ai promis que je reviendrais baiser avec ce couple coquin.
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