VRP Suite 3
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-08-2015 dans la catégorie Plus on est
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VRP Suite 3
VRP Suite 3Ouf une bonne journée. En plus le directeur de la boite que j’ai m’invite ce soir. Je n’ai rien contre : il est sympathique, mignon en plus. Il me semble assez débauché, ce qui me changera des gars sérieux qui ont avalé un parapluie. Bon je suis un peu gênée, comment m’habiller pour la soirée. Je décide que je serais une femme pleine de charmes. Alors, je suis nue devant la glace, je sors de la valise un culotte en dentelle que je mets de coté, un soutiens gorge que je remets dans la valise. Ma jupe courte fera l’affaire sur des bas avec mon string bijou qui entre dans le vagin, me donne des sensations forte quand je serre mes muscles vaginaux. Une mention spéciale pour son inventeur. Je prends également de quoi embellir mes fesses avec un autre bijou souvenir d’une amante généreuse.
En attendant le moment de partir je me garni la chatte avec des boules de geisha que j’ai trouvé un soir de cafard dans une boutique. Belles boules, effet maximum. Je passe sous la douche, je me masturbe longtemps avant d’entrer mes boules. Je suis parée à n’importe qu’elles jouissance. Je suis devant la glace, toujours nue, je me tourne pur bien voir mes fesses. Je pose le bijou prévue : je me fis de l’effet seule. J’enfile le string particulier, je serre mes muscles pour vérifier le plaisir. C’est vrai je sens monter un orgasme. Mes boules ont fonctionné comme des grandes.
Ce soir je suis prête je me prépare à jouir, jouir, encore jouir. Je suis capable de mettre sur la tapis celui qui m’a invité si gentiment à baiser, sans le dire bien sur, je suis une dame, pas une pute, voyons. Une dernière visite à la glace avant de partir : mes seins nus sous un marcel qui fait bien sortir les pointes, la jupe ultra courte, le string et le plug : je suis parée à la baise. J’espère qu’il aura prit des vitamines et du viagra. Je suis disposée à le vider de tout son sperme. Sa queue doit bien se tenir quand je la lui boufferais.
Il a indiqué le parcours que j’ai à faire. Je n’ai pas voulu qu’il vienne me chercher à l’hôtel, il serait capable de venir la prochaine fois sans que je veuille ou puisse le recevoir pour de multiples raisons : je peux être avec quelqu’un d’autre, indisposée ou simplement pas envie (ce qui est rare chez moi)La route est cahoteuse. Tant mieux, mes billes font leur travail, je suis même obligée de ralentir le temps d’une jouissance rapide. Ce que j’ai mis dans le vagin agit fort bien, je le remettrais souvent, quand au cul, toujours pareil quand je jouis : j’en ressens encore plus de plaisir à moins que j’y ai une belle queue. Qui sait tout à l’heure il me la mettra au cul ?
J’arrive enfin, c’est presque un château derrière de grande grille. Le portail s’ouvre dès mon arrivée. Je monte les quelques marches et la porte s’ouvre devant une magnifique métisse pas très grande, mais nue, totalement nue sauf une ceinture en chainette sur la taille qui descend un peu vers le sexe épilé. Il ne m’avait pas dit qu’il avait de genre de domestique, si c’est une domestique. Elle me fait entrer dans ce qui doit être le salon. Il est là, en tenue décontractée. Il s’approche de moi, m’embrasse sur les joues, me demande comme je trouve Arielle. Il me rassure, Arielle est sa femme. Elle participe des fois quand de belles dames sensuelles comme moi sont là, elle aime autant les hommes que les filles sans parler de ses coups pour son propre corps. Je comprends donc qu’elle est une adepte de la masturbation. Nous avons le même dieu. Je suis tombée sur un drôle de couple.
Arielle se présente à moi par un baiser léger sur la bouche. Nous allons donc participer à un trio. Je mouille rien que de m’imaginer dans les bras de la métisse et les siens. Il est presque 21 heures. Nous devons passe à table. Je passe vite fait dans les toilettes retirer les boules de geishas entièrement « salies » par mes sécrétions. C’est lui, Henri qui me fait assoir, il accompagne sa femme.
Il est en train de m’exciter. Je remue mon bijou pour me soulager. Je jouis deux fois ainsi. Je crois qu’Arielle le voit. Elle me demande gentiment :- Vous ne voulez pas vous isolée pour jouir un peu.
- Merci je viens de le faire.
- Comment ?
J’explique ce que j’ai dans mon intimité. Elle voudrait le voir. Son intérêt est grand pour les jouets sexuels, elle dit en posséder une bonne dizaine, ce qui est confirmé par Henri.
Le repas est vite prit. C’est Arielle qui ouvre les hostilités en se mettant sur la table, debout, en écartant les cuisses pour monter sa chatte. C’est vrai que de la voir nue comme au début, j’ai perdu le fil, je ne la voyais plus comme une femme. Elle est totalement nue, les jambes qui s’ouvrent au fur et à mesure qu’elle se penche en arrière. Sa vulve même s’ouvre. Je vois, placée comme je suis tout jusqu’à son petit trou. J’ai encore envie de jouir, surtout qu’elle vient tout près de moi :- Mon mari t’oublie je vais m’occuper de toi.
- - Comment ?
- Tu n’as jamais baisé de filles ?
- Si, bien sur et tu voudrais que nous deux…..
- Si tu veux baiser avant avec la queue de mon mari, demandes la lui. Il te la donnera facilement, je sais qu’il bande.
Je suis surprise du tour que prend la réception. Où je baise longuement avec une femme chaude ou je tire un coup. Mais je perds l’occasion de me faire sodomiser. Je laisse faire le sort des adorateurs de Vénus. Elle repique au truc :- Tu aimes te faire enculer ? Moi j’adore. Laisses lui un peu de force pour qu’il me le fasse aussi.
- -Il faudrait un autre homme ici. Deux filles ne suffisent pas. Il en faudrait au moins une autre- Tu ferais comme moi. J’ai envie aussi de lécher un con, le tien si tu veux. Ensuite on se fera baiser par Henri. Il tient bien le coup.
Jouer la lesbienne avec Arielle ne me déplait pas avec sa peau mate, un peu foncée. En plus ce que j’ai vu de sa chatte est engageant, je me vois déjà la langue au fond de ses trous. Et elle est ce qu’elle sait réellement baiser une femme. A son âge, la trentaine bien entamée elle ne doit pas être une oie blanche. Elle vient s’assoir sur le bord de la table presque en face de moi. Elle me tente ou me soupèse. Sa jambe se colle à mon bras. Sa peau est douce, elle me donne envie d’elle. Je prends la jambe, la passe devant moi, je l’ai ainsi à ma disposition. Elle prend ma tête, l’incline vers son entrejambe. Je sens déjà ses odeurs intimes, ma langue goute sa cyprine. Je commence à la lécher comme si elle était fragile. C’est que je me régale de son jus qui coule en abondance dans la bouche. Henri ne nous regarde plus, il s’est levé, il est tout près de nous. Il est nu depuis un moment, il se masturbe doucement. Que j’aime voir un homme se taper une queue devant moi.Arielel est penchée en arrière retenue par les mains posées sur la table, à coté de mon assiette. Dans un geste de confiance, elle passe ses cuisses sur mes épaules ; ma tête est entièrement dans sa fourche, les oreilles coincées par les cuisses. Elle coule toujours en abondance, j’envie Henri quand il le baise il doit recueillir son jus.
Je continue mon léchage, je me masturbe pour compenser la langue d’Arielle. Henri a disparu sous la table, elle écarte ma main. Sa bouche vient se coller à moi. Il aspire toute la chatoune. Il me semble qu’il me vide totalement en avalant mon con. Qu’il lèche bien ensuite. Je ne sais plus comment faire, me faire sucer et sucer une autre fille. Mon Dieu que l’amour à trois est bon.
Je jouis, Arielle jouit de son coté, reste la queue d’Henri à vider. Nous pensions le faire à deux, il se lève en nous invitant dans la chambre sous prétexte de confort.
Il a raison. Je rependrais mon récit après
En attendant le moment de partir je me garni la chatte avec des boules de geisha que j’ai trouvé un soir de cafard dans une boutique. Belles boules, effet maximum. Je passe sous la douche, je me masturbe longtemps avant d’entrer mes boules. Je suis parée à n’importe qu’elles jouissance. Je suis devant la glace, toujours nue, je me tourne pur bien voir mes fesses. Je pose le bijou prévue : je me fis de l’effet seule. J’enfile le string particulier, je serre mes muscles pour vérifier le plaisir. C’est vrai je sens monter un orgasme. Mes boules ont fonctionné comme des grandes.
Ce soir je suis prête je me prépare à jouir, jouir, encore jouir. Je suis capable de mettre sur la tapis celui qui m’a invité si gentiment à baiser, sans le dire bien sur, je suis une dame, pas une pute, voyons. Une dernière visite à la glace avant de partir : mes seins nus sous un marcel qui fait bien sortir les pointes, la jupe ultra courte, le string et le plug : je suis parée à la baise. J’espère qu’il aura prit des vitamines et du viagra. Je suis disposée à le vider de tout son sperme. Sa queue doit bien se tenir quand je la lui boufferais.
Il a indiqué le parcours que j’ai à faire. Je n’ai pas voulu qu’il vienne me chercher à l’hôtel, il serait capable de venir la prochaine fois sans que je veuille ou puisse le recevoir pour de multiples raisons : je peux être avec quelqu’un d’autre, indisposée ou simplement pas envie (ce qui est rare chez moi)La route est cahoteuse. Tant mieux, mes billes font leur travail, je suis même obligée de ralentir le temps d’une jouissance rapide. Ce que j’ai mis dans le vagin agit fort bien, je le remettrais souvent, quand au cul, toujours pareil quand je jouis : j’en ressens encore plus de plaisir à moins que j’y ai une belle queue. Qui sait tout à l’heure il me la mettra au cul ?
J’arrive enfin, c’est presque un château derrière de grande grille. Le portail s’ouvre dès mon arrivée. Je monte les quelques marches et la porte s’ouvre devant une magnifique métisse pas très grande, mais nue, totalement nue sauf une ceinture en chainette sur la taille qui descend un peu vers le sexe épilé. Il ne m’avait pas dit qu’il avait de genre de domestique, si c’est une domestique. Elle me fait entrer dans ce qui doit être le salon. Il est là, en tenue décontractée. Il s’approche de moi, m’embrasse sur les joues, me demande comme je trouve Arielle. Il me rassure, Arielle est sa femme. Elle participe des fois quand de belles dames sensuelles comme moi sont là, elle aime autant les hommes que les filles sans parler de ses coups pour son propre corps. Je comprends donc qu’elle est une adepte de la masturbation. Nous avons le même dieu. Je suis tombée sur un drôle de couple.
Arielle se présente à moi par un baiser léger sur la bouche. Nous allons donc participer à un trio. Je mouille rien que de m’imaginer dans les bras de la métisse et les siens. Il est presque 21 heures. Nous devons passe à table. Je passe vite fait dans les toilettes retirer les boules de geishas entièrement « salies » par mes sécrétions. C’est lui, Henri qui me fait assoir, il accompagne sa femme.
Il est en train de m’exciter. Je remue mon bijou pour me soulager. Je jouis deux fois ainsi. Je crois qu’Arielle le voit. Elle me demande gentiment :- Vous ne voulez pas vous isolée pour jouir un peu.
- Merci je viens de le faire.
- Comment ?
J’explique ce que j’ai dans mon intimité. Elle voudrait le voir. Son intérêt est grand pour les jouets sexuels, elle dit en posséder une bonne dizaine, ce qui est confirmé par Henri.
Le repas est vite prit. C’est Arielle qui ouvre les hostilités en se mettant sur la table, debout, en écartant les cuisses pour monter sa chatte. C’est vrai que de la voir nue comme au début, j’ai perdu le fil, je ne la voyais plus comme une femme. Elle est totalement nue, les jambes qui s’ouvrent au fur et à mesure qu’elle se penche en arrière. Sa vulve même s’ouvre. Je vois, placée comme je suis tout jusqu’à son petit trou. J’ai encore envie de jouir, surtout qu’elle vient tout près de moi :- Mon mari t’oublie je vais m’occuper de toi.
- - Comment ?
- Tu n’as jamais baisé de filles ?
- Si, bien sur et tu voudrais que nous deux…..
- Si tu veux baiser avant avec la queue de mon mari, demandes la lui. Il te la donnera facilement, je sais qu’il bande.
Je suis surprise du tour que prend la réception. Où je baise longuement avec une femme chaude ou je tire un coup. Mais je perds l’occasion de me faire sodomiser. Je laisse faire le sort des adorateurs de Vénus. Elle repique au truc :- Tu aimes te faire enculer ? Moi j’adore. Laisses lui un peu de force pour qu’il me le fasse aussi.
- -Il faudrait un autre homme ici. Deux filles ne suffisent pas. Il en faudrait au moins une autre- Tu ferais comme moi. J’ai envie aussi de lécher un con, le tien si tu veux. Ensuite on se fera baiser par Henri. Il tient bien le coup.
Jouer la lesbienne avec Arielle ne me déplait pas avec sa peau mate, un peu foncée. En plus ce que j’ai vu de sa chatte est engageant, je me vois déjà la langue au fond de ses trous. Et elle est ce qu’elle sait réellement baiser une femme. A son âge, la trentaine bien entamée elle ne doit pas être une oie blanche. Elle vient s’assoir sur le bord de la table presque en face de moi. Elle me tente ou me soupèse. Sa jambe se colle à mon bras. Sa peau est douce, elle me donne envie d’elle. Je prends la jambe, la passe devant moi, je l’ai ainsi à ma disposition. Elle prend ma tête, l’incline vers son entrejambe. Je sens déjà ses odeurs intimes, ma langue goute sa cyprine. Je commence à la lécher comme si elle était fragile. C’est que je me régale de son jus qui coule en abondance dans la bouche. Henri ne nous regarde plus, il s’est levé, il est tout près de nous. Il est nu depuis un moment, il se masturbe doucement. Que j’aime voir un homme se taper une queue devant moi.Arielel est penchée en arrière retenue par les mains posées sur la table, à coté de mon assiette. Dans un geste de confiance, elle passe ses cuisses sur mes épaules ; ma tête est entièrement dans sa fourche, les oreilles coincées par les cuisses. Elle coule toujours en abondance, j’envie Henri quand il le baise il doit recueillir son jus.
Je continue mon léchage, je me masturbe pour compenser la langue d’Arielle. Henri a disparu sous la table, elle écarte ma main. Sa bouche vient se coller à moi. Il aspire toute la chatoune. Il me semble qu’il me vide totalement en avalant mon con. Qu’il lèche bien ensuite. Je ne sais plus comment faire, me faire sucer et sucer une autre fille. Mon Dieu que l’amour à trois est bon.
Je jouis, Arielle jouit de son coté, reste la queue d’Henri à vider. Nous pensions le faire à deux, il se lève en nous invitant dans la chambre sous prétexte de confort.
Il a raison. Je rependrais mon récit après
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