Vue sur croupe
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Vue sur croupe
Louise réagit à mon accusation :- Ah !… Pardon. La douleur de la déception m’égare. J’ai cru que tu aimais te partager, que tu prenais plaisir à changer de femme, à tirer Nora ou à me prendre avant ou après elle. Tu ne te plaignais pas, tu ne me blâmais pas, tu n’exigeais pas qu’elle quitte la maison, que nous cessions de nous lutiner, de nous unir. J’ai pensé que le spectacle que nous te donnions te fichait des frissons et l’envie de nous rejoindre. Me suis-je trompée?
- Oh Oui. Sur le moment j’ai été anéanti par la découverte de votre liaison charnelle « talée sans pudeur parce que vous pensiez être seules,et j’en suis tombé sur le cul, au sens propre comme au figuré. Je ne soupçonnais pas tes penchants saphiques et tout à coup je découvrais crûment la lutte lascive de deux femmes folles de leur corps tordus de volupté. Je n‘avais pas imaginé cet enfourchement de vos jambes qui vous poussait vulve contre vulve à des frottements acharnés et qui soulevait vos deux bassins accolés. Ensuite j‘ai vu que la relation était sexuelle mais aussi sentimentale. Pour ne pas te perdre complètement je me suis soumis à ta volonté de continuer ta vie avec elle. Une certaine dose de curiosité a facilité mon acceptation du fait accompli. A l’évidence vos corps ne pouvaient plus se passer l’un de l’autre. Ma curiosité cependant a vite tourné en agacement.
- Mais cela ne t’a pas empêché de pénétrer Nora autant de fois.
- Avais-je le choix? Pour rien au monde je ne voulais te perdre. Pourquoi, je me le demande aujourd’hui ?
-Parce que, maintenant, tu veux bien me perdre ?
- Je t’aimais alors, malgré ta conduite extravagante et tu menaçais de partir avec elle. Ma lâcheté m’a desservi puisque tu as fini par partir malgré tout. Je n’aurais pas dû attendre ton départ, je n’aurais pas dû inviter Richard, mais j’aurais mieux fait de vous foutre à la porte, toutes les deux, à poil, comme vous étiez sur le lit, de vous envoyer au diable et de divorcer. Quand je vois dans quel désordre embarrassant nous nous débattons là, je regrette de ne pas vous avoir jetées nues à la rue ce premier jour.
- Oh Non. Moi aussi je t’aimais. Je vous aimais, j’avais besoin de votre amour. Si tu savais comme Nora a changé après l’arrivée de Richard. Je suis devenue la cinquième roue de la charrette quand nous avons emménagé chez elle. Fini le grand lit et la chambre commune. J’ai eu droit à un lit simple dans une chambre vide, tournée vers le nord et avec vue sur la maison où tu vivais seul. Les conditions de la mélancolie étaient réunies dans ma prison sentimentale. Une fois ou deux par semaine Richard m’invitait dans le lit de Nora et nous ordonnait de nous câliner avant de me sauter sous la surveillance de Nora et avec le concours de ses doigts. Elle le préparait, elle écartait mes lèvres et les pinçait au passage, pour m’exciter disait-elle en riant, avant l’intromission de la verge. Au plus fort du plaisir, elle nous séparait et prenait ma place. J’avais à peine le droit d’aspirer hors de son vagin le sperme de Richard.
- Quoi? Dès le début ? Pourquoi as-tu insisté ? Tu aurais pu revenir.
- J’ai cru à une mise à l’épreuve pour savoir si mon amour était sincère et durable. Cette preuve d’intérêt me rendait tout supportable. On me testait, donc on pensait à moi : cela me faisait plaisir et me poussait à reculer les limites des mauvais traitements, par amour ! Au bout d’un certain temps, les vexations n’ont plus été plus fortes que mon désir de revenir. Je t’avais quitté, blessé gravement et je jugeais impossible de réintégrer notre demeure, j’avais trop honte de ma conduite.
- Si tu m’avais aimé, tu n’aurais pas hésité.
- Parce que je t’aimais je ne voulais pas t’infliger le fardeau que j’étais devenue. Le comportement de mes ex-amoureux prouvait que j’étais une mauvaise femme; tu m’avais prise comme j’étais, je ne pouvais pas t’offrir ce cadeau empoisonné une deuxième fois. M’aurais-tu reçue ?
- Où es-tu à présent ? T’ai-je accablée, rejetée?
- Pas encore… mais . S’il te plaît, ne me chasse pas ce soir. Je ne sais où aller, aie pitié. Je me ferai toute petite, toute discrète. Tiens, laisse-moi occuper la chambre d’amis.
- Je n’oublie pas que tu es propriétaire pour moitié de cette maison. D’accord, tu peux t’installer dans cette chambre.
- Pour aujourd’hui ou pour plus longtemps ? Ça m’arrangerait. Je voudrais avoir le temps de me retourner, tu comprends,de me reconstruire. Qui sait, nous pourrions …- Nous pourrions quoi ? Nous aimer de nouveau ? Rebâtir ce que tu as si assidûment déconstruit ? Hélas, je ne m’en sens plus capable après autant de jours pendant lesquels tu m’as traité comme quantité négligeable, depuis ta première trahison dans les bras de Nora, puis ta lutte pour t’accaparer Richard ici, et enfin et surtout depuis ta dernière visite déjà si lointaine et si rapide.
- Tu ne veux plus m’aimer? Qu’allons-nous devenir? Mais tu me permets d’habiter ici. Je t’en remercie.
- Ne te fais pas d’illusions. Je t’héberge à mes conditions. Tu les observeras ou nous arriverons à la solution définitive : nous vendrons la maison, rembourserons nos emprunts et n’aurons que des miettes à partager lors de notre divorce. Mon dossier de divorce est déjà bien fourni, ta prochaine « erreur » fera déborder le vase.
- C’est vrai, tu me laisses une chance? Tu ne divorces pas immédiatement ! Crois- moi, je ne ferai plus d’erreur; promis, juré. Tu as constitué un dossier ? Où est-il ?
- Non, ne m’embrasse pas. J’ai pris un avocat et nous étions sur le point de passer au tribunal. Alors au premier faux pas, tu n’y couperas pas. On passe à mes conditions, veux-tu les entendre ?
- J’attends l’énoncé de tes conditions.
- Pendant les trois prochains mois, comme tu me l’as fait subir, plus longtemps que trois mois d’ailleurs, tu n’auras plus de relations sexuelles ni avec Nora, ni avec Richard, ni avec aucune femme ni aucun homme dans cette maison. Bien entendu, tu n’essaieras pas de me séduire.
- Va pour les autres! Je les déteste. Mais si je remarque chez toi des signes de désir, si je vois une bosse, là, dans ton pantalon, pourrai-je voler à ton secours ?
- Rien. D’ailleurs tu as vu la petite dans le grand lit : elle m’a promis ses samedis après-midi, j’ai bien l’intention de partager avec elle des heures de bonheur. Alors je lui confierai le soin de réduire ma bosse, au moins une fois par semaine- Tu es plus cruel que Nora et Richard réunis et Dieu sait s’ils m’ont fait des vacheries pour me décider à partir. Tu veux te venger, sache que j’ai expié en grande partie mes fautes. Pas ça, s’il te plaît, pas cette Chloé !
- Je regrette, cette condition n’est pas négociable. Tu refuses ? Nous arrêtons la négociation et je t’appelle un taxi.
- Hervé, ne fais pas ça, ne me chasse pas D‘accord : Je quitterai la maison le samedi après-midi, pour ne pas entendre jouir cette fille. Mais n’est-elle pas trop jeune pour toi ?
- L’âge de Richard, plus âgé que moi de cinq ans , a-t-il été un obstacle à vos jeux ? Lorsqu’on peut faire les gestes de l’amour, la différence d’âge n’a pas d’importance. Ne t’inquiète pas, Chloé doit se marier dans quelques mois et notre liaison ne durera pas plus longtemps.
- C’est du propre, tu vas coucher avec une fiancée. Toi, je ne te reconnais plus. Tu as drôlement changé Vous avez tous changé- Grâce à toi. Ah ! Ne te réjouis pas, Chloé a prévu de se trouver une remplaçante dans mon lit. Garde tes leçons de morale. De ta chambre tu voyais la maison, te souciais-tu de ce que j’endurais, seul ? Autre condition, tu as vécu longtemps sans travailler. Nous n’avions pour vivre que mon salaire. Tu as eu l’occasion de t’ennuyer au point de vouloir te divertir en invitant en mon absence une Nora et peut-être combien d’autres personnes.
- Personne d’autre, je le jure.
- Oui, mais en cachette.? Tu as détruit ma confiance. .L’oisiveté est la mère de tous les vices. Donc pour t’éviter l’ennui et toutes les tentations qu’il charrie, tu devras te trouver rapidement un emploi. De cette façon tu pourras contribuer aux frais de notre foyer, ce qui me paraît normal dans la mesure où tu bénéficierais en cas de divorce de la moitié de nos biens.
- Je cherche dès demain. Ah ! Si au boulot je rencontre quelque un qui… me fait la cour, que ferai-je ?
- Tu auras le choix. Compte cette fois sur ma vigilance pour que je le sache et que j’applique ma règle Si tu me préfère ton galant, si c’est lui que tu aimes, fonce, quitte-la maison, suis-le. Mais choisis mieux cette fois . Car ton nouveau départ sera sans retour et lancera la procédure de divorce.
- Y a-t-il d’autres conditions?
- Les tâches ménagères seront partagées : cuisine, vaisselle, entretien des parties communes.
- Accomplies ensemble. Je ferai la cuisine, les chambres avec toi ?
- Non, chacun aura sa semaine de corvées. Chacun s’occupera de sa chambre. Je n’irai pas dans la tienne, tu n’auras rien à faire dans la mienne.
- Pourrais-tu me monter mes bagages dans ma chambre, s’il te plaît ?
- Tes bagages ou tes poubelles ? Tu as acheté tout ça ?
- Non ce sont des affaires que j’ai emmenées progressivement.
- Tu as su les emporter seule ? Eh! Bien , débrouille-toi. Ne me prends plus pour ton larbin.
Avec une moue de déception mais en silence Louise descend l’escalier, arrive près de ses sacs, se penche pour saisir le premier. La couture arrière de sa robe cède sous la pression des fesses rebondies, les deux pans de tissu s’écartent et apparaît la pleine lune de sa croupe de femme mûre, moins somptueuse que celle de Nora, mais plus imposante que le jeune et tendre cul de Chloé. A chaque âge ses dimensions. Chloé tout à l’heure était attendrissante. Louise, venue sans culotte, réveille mes sens pourtant soulagés. Il faut le reconnaître Louise a une paire de miches des plus appétissantes. Elle a senti le craquement du fil et se redresse aussi vite. La vision a été de très courte durée, suffisante cependant pour contrarier mes résolutions et pour déclencher un début d’érection.
Elle n’avait pas calculé l’incident, je n’ai pas dominé ma réaction spontanée. Je me sens en danger. Reste la question : pourquoi se promène-t-elle sans culotte ? Était-ce une règle de conduite chez Nora pour la rendre disponible à tout moment soit pour une lèche, soit pour accueillir Richard ? Je ne peux m’empêcher de poser la question en descendant à son secours. Elle marque un point malgré l’interdiction de tenter de me séduire.
- Tu sais, je ne l’ai pas fait exprès. C’est encore un mauvais tour de Nora qui a voulu que je porte cette robe moulante un peu trop étroite. Je me demandais pourquoi elle insistait tellement. Maintenant je le sais; elle tenait à m’humilier encoreLouise s’assied sur l’avant dernière marche et se met à pleurer une fois de plus.
- Oh Oui. Sur le moment j’ai été anéanti par la découverte de votre liaison charnelle « talée sans pudeur parce que vous pensiez être seules,et j’en suis tombé sur le cul, au sens propre comme au figuré. Je ne soupçonnais pas tes penchants saphiques et tout à coup je découvrais crûment la lutte lascive de deux femmes folles de leur corps tordus de volupté. Je n‘avais pas imaginé cet enfourchement de vos jambes qui vous poussait vulve contre vulve à des frottements acharnés et qui soulevait vos deux bassins accolés. Ensuite j‘ai vu que la relation était sexuelle mais aussi sentimentale. Pour ne pas te perdre complètement je me suis soumis à ta volonté de continuer ta vie avec elle. Une certaine dose de curiosité a facilité mon acceptation du fait accompli. A l’évidence vos corps ne pouvaient plus se passer l’un de l’autre. Ma curiosité cependant a vite tourné en agacement.
- Mais cela ne t’a pas empêché de pénétrer Nora autant de fois.
- Avais-je le choix? Pour rien au monde je ne voulais te perdre. Pourquoi, je me le demande aujourd’hui ?
-Parce que, maintenant, tu veux bien me perdre ?
- Je t’aimais alors, malgré ta conduite extravagante et tu menaçais de partir avec elle. Ma lâcheté m’a desservi puisque tu as fini par partir malgré tout. Je n’aurais pas dû attendre ton départ, je n’aurais pas dû inviter Richard, mais j’aurais mieux fait de vous foutre à la porte, toutes les deux, à poil, comme vous étiez sur le lit, de vous envoyer au diable et de divorcer. Quand je vois dans quel désordre embarrassant nous nous débattons là, je regrette de ne pas vous avoir jetées nues à la rue ce premier jour.
- Oh Non. Moi aussi je t’aimais. Je vous aimais, j’avais besoin de votre amour. Si tu savais comme Nora a changé après l’arrivée de Richard. Je suis devenue la cinquième roue de la charrette quand nous avons emménagé chez elle. Fini le grand lit et la chambre commune. J’ai eu droit à un lit simple dans une chambre vide, tournée vers le nord et avec vue sur la maison où tu vivais seul. Les conditions de la mélancolie étaient réunies dans ma prison sentimentale. Une fois ou deux par semaine Richard m’invitait dans le lit de Nora et nous ordonnait de nous câliner avant de me sauter sous la surveillance de Nora et avec le concours de ses doigts. Elle le préparait, elle écartait mes lèvres et les pinçait au passage, pour m’exciter disait-elle en riant, avant l’intromission de la verge. Au plus fort du plaisir, elle nous séparait et prenait ma place. J’avais à peine le droit d’aspirer hors de son vagin le sperme de Richard.
- Quoi? Dès le début ? Pourquoi as-tu insisté ? Tu aurais pu revenir.
- J’ai cru à une mise à l’épreuve pour savoir si mon amour était sincère et durable. Cette preuve d’intérêt me rendait tout supportable. On me testait, donc on pensait à moi : cela me faisait plaisir et me poussait à reculer les limites des mauvais traitements, par amour ! Au bout d’un certain temps, les vexations n’ont plus été plus fortes que mon désir de revenir. Je t’avais quitté, blessé gravement et je jugeais impossible de réintégrer notre demeure, j’avais trop honte de ma conduite.
- Si tu m’avais aimé, tu n’aurais pas hésité.
- Parce que je t’aimais je ne voulais pas t’infliger le fardeau que j’étais devenue. Le comportement de mes ex-amoureux prouvait que j’étais une mauvaise femme; tu m’avais prise comme j’étais, je ne pouvais pas t’offrir ce cadeau empoisonné une deuxième fois. M’aurais-tu reçue ?
- Où es-tu à présent ? T’ai-je accablée, rejetée?
- Pas encore… mais . S’il te plaît, ne me chasse pas ce soir. Je ne sais où aller, aie pitié. Je me ferai toute petite, toute discrète. Tiens, laisse-moi occuper la chambre d’amis.
- Je n’oublie pas que tu es propriétaire pour moitié de cette maison. D’accord, tu peux t’installer dans cette chambre.
- Pour aujourd’hui ou pour plus longtemps ? Ça m’arrangerait. Je voudrais avoir le temps de me retourner, tu comprends,de me reconstruire. Qui sait, nous pourrions …- Nous pourrions quoi ? Nous aimer de nouveau ? Rebâtir ce que tu as si assidûment déconstruit ? Hélas, je ne m’en sens plus capable après autant de jours pendant lesquels tu m’as traité comme quantité négligeable, depuis ta première trahison dans les bras de Nora, puis ta lutte pour t’accaparer Richard ici, et enfin et surtout depuis ta dernière visite déjà si lointaine et si rapide.
- Tu ne veux plus m’aimer? Qu’allons-nous devenir? Mais tu me permets d’habiter ici. Je t’en remercie.
- Ne te fais pas d’illusions. Je t’héberge à mes conditions. Tu les observeras ou nous arriverons à la solution définitive : nous vendrons la maison, rembourserons nos emprunts et n’aurons que des miettes à partager lors de notre divorce. Mon dossier de divorce est déjà bien fourni, ta prochaine « erreur » fera déborder le vase.
- C’est vrai, tu me laisses une chance? Tu ne divorces pas immédiatement ! Crois- moi, je ne ferai plus d’erreur; promis, juré. Tu as constitué un dossier ? Où est-il ?
- Non, ne m’embrasse pas. J’ai pris un avocat et nous étions sur le point de passer au tribunal. Alors au premier faux pas, tu n’y couperas pas. On passe à mes conditions, veux-tu les entendre ?
- J’attends l’énoncé de tes conditions.
- Pendant les trois prochains mois, comme tu me l’as fait subir, plus longtemps que trois mois d’ailleurs, tu n’auras plus de relations sexuelles ni avec Nora, ni avec Richard, ni avec aucune femme ni aucun homme dans cette maison. Bien entendu, tu n’essaieras pas de me séduire.
- Va pour les autres! Je les déteste. Mais si je remarque chez toi des signes de désir, si je vois une bosse, là, dans ton pantalon, pourrai-je voler à ton secours ?
- Rien. D’ailleurs tu as vu la petite dans le grand lit : elle m’a promis ses samedis après-midi, j’ai bien l’intention de partager avec elle des heures de bonheur. Alors je lui confierai le soin de réduire ma bosse, au moins une fois par semaine- Tu es plus cruel que Nora et Richard réunis et Dieu sait s’ils m’ont fait des vacheries pour me décider à partir. Tu veux te venger, sache que j’ai expié en grande partie mes fautes. Pas ça, s’il te plaît, pas cette Chloé !
- Je regrette, cette condition n’est pas négociable. Tu refuses ? Nous arrêtons la négociation et je t’appelle un taxi.
- Hervé, ne fais pas ça, ne me chasse pas D‘accord : Je quitterai la maison le samedi après-midi, pour ne pas entendre jouir cette fille. Mais n’est-elle pas trop jeune pour toi ?
- L’âge de Richard, plus âgé que moi de cinq ans , a-t-il été un obstacle à vos jeux ? Lorsqu’on peut faire les gestes de l’amour, la différence d’âge n’a pas d’importance. Ne t’inquiète pas, Chloé doit se marier dans quelques mois et notre liaison ne durera pas plus longtemps.
- C’est du propre, tu vas coucher avec une fiancée. Toi, je ne te reconnais plus. Tu as drôlement changé Vous avez tous changé- Grâce à toi. Ah ! Ne te réjouis pas, Chloé a prévu de se trouver une remplaçante dans mon lit. Garde tes leçons de morale. De ta chambre tu voyais la maison, te souciais-tu de ce que j’endurais, seul ? Autre condition, tu as vécu longtemps sans travailler. Nous n’avions pour vivre que mon salaire. Tu as eu l’occasion de t’ennuyer au point de vouloir te divertir en invitant en mon absence une Nora et peut-être combien d’autres personnes.
- Personne d’autre, je le jure.
- Oui, mais en cachette.? Tu as détruit ma confiance. .L’oisiveté est la mère de tous les vices. Donc pour t’éviter l’ennui et toutes les tentations qu’il charrie, tu devras te trouver rapidement un emploi. De cette façon tu pourras contribuer aux frais de notre foyer, ce qui me paraît normal dans la mesure où tu bénéficierais en cas de divorce de la moitié de nos biens.
- Je cherche dès demain. Ah ! Si au boulot je rencontre quelque un qui… me fait la cour, que ferai-je ?
- Tu auras le choix. Compte cette fois sur ma vigilance pour que je le sache et que j’applique ma règle Si tu me préfère ton galant, si c’est lui que tu aimes, fonce, quitte-la maison, suis-le. Mais choisis mieux cette fois . Car ton nouveau départ sera sans retour et lancera la procédure de divorce.
- Y a-t-il d’autres conditions?
- Les tâches ménagères seront partagées : cuisine, vaisselle, entretien des parties communes.
- Accomplies ensemble. Je ferai la cuisine, les chambres avec toi ?
- Non, chacun aura sa semaine de corvées. Chacun s’occupera de sa chambre. Je n’irai pas dans la tienne, tu n’auras rien à faire dans la mienne.
- Pourrais-tu me monter mes bagages dans ma chambre, s’il te plaît ?
- Tes bagages ou tes poubelles ? Tu as acheté tout ça ?
- Non ce sont des affaires que j’ai emmenées progressivement.
- Tu as su les emporter seule ? Eh! Bien , débrouille-toi. Ne me prends plus pour ton larbin.
Avec une moue de déception mais en silence Louise descend l’escalier, arrive près de ses sacs, se penche pour saisir le premier. La couture arrière de sa robe cède sous la pression des fesses rebondies, les deux pans de tissu s’écartent et apparaît la pleine lune de sa croupe de femme mûre, moins somptueuse que celle de Nora, mais plus imposante que le jeune et tendre cul de Chloé. A chaque âge ses dimensions. Chloé tout à l’heure était attendrissante. Louise, venue sans culotte, réveille mes sens pourtant soulagés. Il faut le reconnaître Louise a une paire de miches des plus appétissantes. Elle a senti le craquement du fil et se redresse aussi vite. La vision a été de très courte durée, suffisante cependant pour contrarier mes résolutions et pour déclencher un début d’érection.
Elle n’avait pas calculé l’incident, je n’ai pas dominé ma réaction spontanée. Je me sens en danger. Reste la question : pourquoi se promène-t-elle sans culotte ? Était-ce une règle de conduite chez Nora pour la rendre disponible à tout moment soit pour une lèche, soit pour accueillir Richard ? Je ne peux m’empêcher de poser la question en descendant à son secours. Elle marque un point malgré l’interdiction de tenter de me séduire.
- Tu sais, je ne l’ai pas fait exprès. C’est encore un mauvais tour de Nora qui a voulu que je porte cette robe moulante un peu trop étroite. Je me demandais pourquoi elle insistait tellement. Maintenant je le sais; elle tenait à m’humilier encoreLouise s’assied sur l’avant dernière marche et se met à pleurer une fois de plus.
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