WAHID V - 3 - La double découverte
Récit érotique écrit par EricDeFrance [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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WAHID V - 3 - La double découverte
WAHID V : 3 - La double découverte
Il était 2h43 quand Vincent referma la porte.
Ça avait duré 42 minutes donc.
Wahid, allongé sur le lit, à poil, la queue au repos, se détendait. Mission accomplie, songeait-il, en ayant le sentiment d’avoir lavé son honneur, d’être quitte, et de pouvoir enfin passer à autre chose.
Le bruit de la porte se refermant l’avait soulagé.
Axel était parti, et il se retrouvait seul avec Vincent. Enfin que tous les deux. Ce n’était plus arrivé depuis la première nuit - de folie ! - au Campanile de Montreuil il y a de celà quelques semaines.
Wahid avait repoussé la couette vers le bas du lit, et Vincent vint le rejoindre. Quand ils furent tous les deux, au contact de leurs corps nus, le froid les saisit, et ils eurent le besoin, de concert, de récupérer la couette, de la mettre sur eux, et de se blottir en dessous.
Au contact l’un de l’autre, l’effet fut immédiat : ils s’embrassèrent de façon fougueuse, langue contre langue, bouche contre bouche, et ils accompagnèrent ce baiser langoureux de caresses, chacun explorant le corps de l’autre, au niveau du torse, de la poitrine essentiellement, mais aussi du dos et des fesses.
Sur leur queue l’effet aussi fut immédiat, et ils se retrouvèrent à se frotter, tous les deux bandant au maximum, tellement, en cet instant, ils ressentaient du désir l’un pour l’autre.
Des sentiments ? Wahid se posait vraiment la question. Il était reconnaissant à Vincent de l’avoir accompagné dans le traitement qu’il avait eu besoin d’infliger à cette salope d’Axel, de ne pas avoir posé de question, de ne pas l’avoir chambré, comme il faisait souvent. Il se disait que Vincent avait dû comprendre que c’était grave, sérieux et important, et qu’il ne fallait pas rigoler avec ça.
Et ce comportement l’avait touché. Au coeur. De façon inattendue.
Pour le reste Wahid était bien avec Vincent. Ça l’étonnait, mais c’était comme ça, et, en ce moment, il avait envie de l’embrasser, et de faire l’amour avec lui.
Mais dans quel sens ? Actif ou passif ? Pendant de longues minutes, les deux hommes ne cessaient de s’embrasser, dès qu’ils arrêtaient ils recommençaient, comme si leurs bouches, humides et chaudes, ne pouvaient se passer l’une de l’autre.
Dans le même temps, leurs bites se frottaient l’une à l’autre, ce qui donnait l’impression d’une espèce de combat, entre deux coqs virils qui ne voulaient pas céder, chacun voulant baiser l’autre.
Combat bien inutile, et qui n’avait guère de sens, puisque la première - et seule fois - qu’ils s’étaient retrouvés à passer une nuit ensemble, cela avait été chacun son tour.
Il n’empêche, leur caractère de sportif compétiteur faisait qu’ils en faisaient encore une question d’honneur et de fierté. Dans leur esprit de jeune coq encore immature, celui qui enculait était “le“ mec, le viril, tandis que celui qui se faisait baiser n’était qu’une tafiole.
Au fond d’eux mêmes ils savaient, tous les deux, qu’ils aimaient se retrouver passifs, mais interdiction de l’admettre, surtout en face de l’autre, et seul à seul avec lui.
Pourtant, cette nuit-là, Wahid sentit que peu à peu il cédait, qu’il avait envie, cette nuit-là en tout cas, de ne pas être actif, de ne pas diriger, d’être baisé, d’être fécondé, et il avait envie de la grosse bite de Vincent dans son cul.
Uniquement la sienne. “ Parce que c’était lui. Parce que c’était moi ”, avait dit le philosophe.
Peu à peu leur position changea, ils étaient essentiellement côte à côte jusque là, ou alors, l’un sur l’autre, mais tantôt l’un, tantôt l’autre.
Petit à petit, Wahid resta sur le dos, sans trop changer de position, et c’est comme ça qu’il avait envie de sentir le corps et la bite de Vincent.
Celui-ci comprit visiblement le message. En tout cas, il se frotta de façon de plus en plus précise à lui. Il sentait que Wahid cédait et se laissait aller. Ça tombait bien, il avait envie de lui, de son cul, de le baiser, de le pénétrer, d’être en lui.
Wahid s’abandonna complètement. Il sentait tous les muscles de son corps se relâcher, même sa bite, il ne la sentait plus. Il ouvrit la bouche, et la laissa ouverte, en émettant de petits gémissements quasi silencieux. Il laissa aller ses bras le long de son corps, posés à plat sur le lit.
Et, doucement, il écarta les jambes, et releva les fesses.
Vincent fut contaminé par cette douceur, et c’est tout doucement qu’il le pénétra, centimètre par centimètre, tout en faisant de petits mouvements de va-et-vient.
Dans le même temps, il glissa sa langue dans la bouche ouverte de Wahid, et les deux hommes reprirent leur baiser sensuel et langoureux.
La pénétration continuait et chacun des 21 centimètres de la bite de Vincent rentrait de façon douce, mais continue. Un à un.
Wahid ressentait un profond bien être. Il mettait sa tête en arrière, la bouche toujours ouverte, et savourait l’instant. Jamais il n’avait ressenti quelque chose de semblable, et, dans un tel moment, il éprouvait des sentiments très forts pour Vincent. Qui le dominait, mais qui le protégeait. Qui lui faisait du bien, et qui le respectait. Quels changements en quelques semaines...
Quand il sentit la bite de Vincent arrivée au bout, et, de ce fait, totalement en lui, il se laissa aller davantage. A ses sentiments. A leur expression.
Il enserra le haut du corps de Vincent de ses bras, l’attira totalement contre lui, et l’embrassa fougueusement.
Puis il détacha ses lèvres de sa bouche, et vint lui murmurer à l’oreille : “ je t’aime... je suis à toi... prends-moi... “.
Jamais il n’avait dit ça à quelqu’un.
Jamais quelqu’un n’avait dit ça à Vincent, qui en fut bouleversé.
Et redoubla ses assauts.
Il avait l’impression que sa bite avait encore augmenté de volume. Wahid le sentait aussi.
Il releva les jambes pour les passer autour du bassin de Vincent, sa souplesse et sa jeunesse le permettaient.
De ce fait, sa sensation de plaisir augmentait encore, la bite de Vincent étant alors au contact d’organes, dont il ignorait l’existence, mais qui s’avéraient particulièrement sensibles.
La pénétration de Vincent redoublait d’intensité. Il ferma les yeux, se mordit les lèvres, mit sa tête sur le côté. Et savoura le moment, toujours la bouche ouverte, en laissant échapper des soupirs de moins en moins étouffés, de plus en plus bruyants.
Tout son corps le transportait vers l’extase absolue.
Vincent le regardait et lui aussi savourait. Lui aussi l’aimait, et depuis longtemps. Sans le lui dire bien sûr. Sans même se l’avouer.
Et ce qui était en train de se passer dépassait ses rêves les plus fous.
Jusqu’à maintenant il s’en était pris des culs. Et des bites. Il en avait baisé des mecs.
Mais jamais en fait il n’avait fait ce qu’il était en train de faire en ce moment, et qui s’appelait l’amour.
Une fois un mec de rencontre avec qui il avait discuté lui avait dit : “ tu verras, il n’y a rien de plus beau que de faire l’amour à quelqu’un que tu aimes “.
Et c’était vrai. Et c’était ce qu’il était en train de découvrir en ce moment.
Qu’ils étaient en train de découvrir, puisque Wahid ressentait la même chose.
Ce moment d’extase et de communion dura encore quelques instants.
Jusqu’à ce qu’ils ne purent davantage se contenir, et durent expulser le désir qui s’était accumulé en eux.
Le plus incroyable c’est qu’ils jouirent en même temps.
Vincent, rien que de plus normal, puisque les mouvements de va-et-vient qu’il infligeait au fondement de Wahid le conduisaient tout naturellement à l’éjaculation.
Mais celui-ci ne se touchait pas. Et pourtant il sentit comme un mouvement intérieur qui s’imprimait sur son sexe et allait le conduire, lui aussi, à cracher.
D’un même mouvement, les deux hommes poussèrent un cri rauque et puissant. Tellement ce qu’ils ressentaient, de concert, était fort et intense.
L’impression, vraiment, d’une “ petite mort “, pour reprendre l’expression consacrée par la littérature.
Et cela durait, durait.
Ils n’arrêtaient pas de gueuler, de soupirer, de se tortiller même.
Tellement il leur fallait évacuer toute cette tension, cette émotion, accumulées en eux.
Enfin, mais après un long moment, elles finirent par retomber, et ils furent envahis d’une douce torpeur.
Vincent, qui avait à peine débandé, retira sa bite gluante, et se leva pour aller chercher de quoi nettoyer tout ça.
Une fois secs, les deux hommes s’allongèrent à nouveau côte à côte dans le lit. Il était 3h18, peut-être le temps de dormir.
Ils sentaient d’ailleurs le sommeil les gagner.
Wahid vint se blottir contre Vincent qui, maladroitement, lui demanda : “ Alors, tu m’aimes ? “.
Wahid resta blotti, mais ne répondit pas. Et ferma les yeux.
Il était 2h43 quand Vincent referma la porte.
Ça avait duré 42 minutes donc.
Wahid, allongé sur le lit, à poil, la queue au repos, se détendait. Mission accomplie, songeait-il, en ayant le sentiment d’avoir lavé son honneur, d’être quitte, et de pouvoir enfin passer à autre chose.
Le bruit de la porte se refermant l’avait soulagé.
Axel était parti, et il se retrouvait seul avec Vincent. Enfin que tous les deux. Ce n’était plus arrivé depuis la première nuit - de folie ! - au Campanile de Montreuil il y a de celà quelques semaines.
Wahid avait repoussé la couette vers le bas du lit, et Vincent vint le rejoindre. Quand ils furent tous les deux, au contact de leurs corps nus, le froid les saisit, et ils eurent le besoin, de concert, de récupérer la couette, de la mettre sur eux, et de se blottir en dessous.
Au contact l’un de l’autre, l’effet fut immédiat : ils s’embrassèrent de façon fougueuse, langue contre langue, bouche contre bouche, et ils accompagnèrent ce baiser langoureux de caresses, chacun explorant le corps de l’autre, au niveau du torse, de la poitrine essentiellement, mais aussi du dos et des fesses.
Sur leur queue l’effet aussi fut immédiat, et ils se retrouvèrent à se frotter, tous les deux bandant au maximum, tellement, en cet instant, ils ressentaient du désir l’un pour l’autre.
Des sentiments ? Wahid se posait vraiment la question. Il était reconnaissant à Vincent de l’avoir accompagné dans le traitement qu’il avait eu besoin d’infliger à cette salope d’Axel, de ne pas avoir posé de question, de ne pas l’avoir chambré, comme il faisait souvent. Il se disait que Vincent avait dû comprendre que c’était grave, sérieux et important, et qu’il ne fallait pas rigoler avec ça.
Et ce comportement l’avait touché. Au coeur. De façon inattendue.
Pour le reste Wahid était bien avec Vincent. Ça l’étonnait, mais c’était comme ça, et, en ce moment, il avait envie de l’embrasser, et de faire l’amour avec lui.
Mais dans quel sens ? Actif ou passif ? Pendant de longues minutes, les deux hommes ne cessaient de s’embrasser, dès qu’ils arrêtaient ils recommençaient, comme si leurs bouches, humides et chaudes, ne pouvaient se passer l’une de l’autre.
Dans le même temps, leurs bites se frottaient l’une à l’autre, ce qui donnait l’impression d’une espèce de combat, entre deux coqs virils qui ne voulaient pas céder, chacun voulant baiser l’autre.
Combat bien inutile, et qui n’avait guère de sens, puisque la première - et seule fois - qu’ils s’étaient retrouvés à passer une nuit ensemble, cela avait été chacun son tour.
Il n’empêche, leur caractère de sportif compétiteur faisait qu’ils en faisaient encore une question d’honneur et de fierté. Dans leur esprit de jeune coq encore immature, celui qui enculait était “le“ mec, le viril, tandis que celui qui se faisait baiser n’était qu’une tafiole.
Au fond d’eux mêmes ils savaient, tous les deux, qu’ils aimaient se retrouver passifs, mais interdiction de l’admettre, surtout en face de l’autre, et seul à seul avec lui.
Pourtant, cette nuit-là, Wahid sentit que peu à peu il cédait, qu’il avait envie, cette nuit-là en tout cas, de ne pas être actif, de ne pas diriger, d’être baisé, d’être fécondé, et il avait envie de la grosse bite de Vincent dans son cul.
Uniquement la sienne. “ Parce que c’était lui. Parce que c’était moi ”, avait dit le philosophe.
Peu à peu leur position changea, ils étaient essentiellement côte à côte jusque là, ou alors, l’un sur l’autre, mais tantôt l’un, tantôt l’autre.
Petit à petit, Wahid resta sur le dos, sans trop changer de position, et c’est comme ça qu’il avait envie de sentir le corps et la bite de Vincent.
Celui-ci comprit visiblement le message. En tout cas, il se frotta de façon de plus en plus précise à lui. Il sentait que Wahid cédait et se laissait aller. Ça tombait bien, il avait envie de lui, de son cul, de le baiser, de le pénétrer, d’être en lui.
Wahid s’abandonna complètement. Il sentait tous les muscles de son corps se relâcher, même sa bite, il ne la sentait plus. Il ouvrit la bouche, et la laissa ouverte, en émettant de petits gémissements quasi silencieux. Il laissa aller ses bras le long de son corps, posés à plat sur le lit.
Et, doucement, il écarta les jambes, et releva les fesses.
Vincent fut contaminé par cette douceur, et c’est tout doucement qu’il le pénétra, centimètre par centimètre, tout en faisant de petits mouvements de va-et-vient.
Dans le même temps, il glissa sa langue dans la bouche ouverte de Wahid, et les deux hommes reprirent leur baiser sensuel et langoureux.
La pénétration continuait et chacun des 21 centimètres de la bite de Vincent rentrait de façon douce, mais continue. Un à un.
Wahid ressentait un profond bien être. Il mettait sa tête en arrière, la bouche toujours ouverte, et savourait l’instant. Jamais il n’avait ressenti quelque chose de semblable, et, dans un tel moment, il éprouvait des sentiments très forts pour Vincent. Qui le dominait, mais qui le protégeait. Qui lui faisait du bien, et qui le respectait. Quels changements en quelques semaines...
Quand il sentit la bite de Vincent arrivée au bout, et, de ce fait, totalement en lui, il se laissa aller davantage. A ses sentiments. A leur expression.
Il enserra le haut du corps de Vincent de ses bras, l’attira totalement contre lui, et l’embrassa fougueusement.
Puis il détacha ses lèvres de sa bouche, et vint lui murmurer à l’oreille : “ je t’aime... je suis à toi... prends-moi... “.
Jamais il n’avait dit ça à quelqu’un.
Jamais quelqu’un n’avait dit ça à Vincent, qui en fut bouleversé.
Et redoubla ses assauts.
Il avait l’impression que sa bite avait encore augmenté de volume. Wahid le sentait aussi.
Il releva les jambes pour les passer autour du bassin de Vincent, sa souplesse et sa jeunesse le permettaient.
De ce fait, sa sensation de plaisir augmentait encore, la bite de Vincent étant alors au contact d’organes, dont il ignorait l’existence, mais qui s’avéraient particulièrement sensibles.
La pénétration de Vincent redoublait d’intensité. Il ferma les yeux, se mordit les lèvres, mit sa tête sur le côté. Et savoura le moment, toujours la bouche ouverte, en laissant échapper des soupirs de moins en moins étouffés, de plus en plus bruyants.
Tout son corps le transportait vers l’extase absolue.
Vincent le regardait et lui aussi savourait. Lui aussi l’aimait, et depuis longtemps. Sans le lui dire bien sûr. Sans même se l’avouer.
Et ce qui était en train de se passer dépassait ses rêves les plus fous.
Jusqu’à maintenant il s’en était pris des culs. Et des bites. Il en avait baisé des mecs.
Mais jamais en fait il n’avait fait ce qu’il était en train de faire en ce moment, et qui s’appelait l’amour.
Une fois un mec de rencontre avec qui il avait discuté lui avait dit : “ tu verras, il n’y a rien de plus beau que de faire l’amour à quelqu’un que tu aimes “.
Et c’était vrai. Et c’était ce qu’il était en train de découvrir en ce moment.
Qu’ils étaient en train de découvrir, puisque Wahid ressentait la même chose.
Ce moment d’extase et de communion dura encore quelques instants.
Jusqu’à ce qu’ils ne purent davantage se contenir, et durent expulser le désir qui s’était accumulé en eux.
Le plus incroyable c’est qu’ils jouirent en même temps.
Vincent, rien que de plus normal, puisque les mouvements de va-et-vient qu’il infligeait au fondement de Wahid le conduisaient tout naturellement à l’éjaculation.
Mais celui-ci ne se touchait pas. Et pourtant il sentit comme un mouvement intérieur qui s’imprimait sur son sexe et allait le conduire, lui aussi, à cracher.
D’un même mouvement, les deux hommes poussèrent un cri rauque et puissant. Tellement ce qu’ils ressentaient, de concert, était fort et intense.
L’impression, vraiment, d’une “ petite mort “, pour reprendre l’expression consacrée par la littérature.
Et cela durait, durait.
Ils n’arrêtaient pas de gueuler, de soupirer, de se tortiller même.
Tellement il leur fallait évacuer toute cette tension, cette émotion, accumulées en eux.
Enfin, mais après un long moment, elles finirent par retomber, et ils furent envahis d’une douce torpeur.
Vincent, qui avait à peine débandé, retira sa bite gluante, et se leva pour aller chercher de quoi nettoyer tout ça.
Une fois secs, les deux hommes s’allongèrent à nouveau côte à côte dans le lit. Il était 3h18, peut-être le temps de dormir.
Ils sentaient d’ailleurs le sommeil les gagner.
Wahid vint se blottir contre Vincent qui, maladroitement, lui demanda : “ Alors, tu m’aimes ? “.
Wahid resta blotti, mais ne répondit pas. Et ferma les yeux.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci de ce retour
Bonnes lectures
Cdt
EdF
Bonnes lectures
Cdt
EdF
Moment très mignon entre Wahid et Vincent qui comprennent que la nature de leur relation va au delà du sexe. Je ne peux que être d'accord avec l'ex plan cul de Vincent, coucher avec quelqu'un qu'on aime c'est le summum du plaisir.