Wanda - 1 Pris dans ses filets.
Récit érotique écrit par Bonsplaisirs [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 1 récit publié.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 10.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Bonsplaisirs ont reçu un total de 6 108 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 6 108 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Wanda - 1 Pris dans ses filets.
Wanda - 1 Pris dans ses filets.
Jeudi, 17H00. Grosse journée mais bonne journée. De bonnes nouvelles de certains de nos patients. Je gagne le parking, ma voiture. J’attends. C’est aujourd’hui que j’ai décidé de l’aborder. Il arrive. Il pose son veston dans le coffre impeccablement propre. Je me mets en route. Sur la départementale je le précédé. Il me rattrape dans les lignes droites mais je le distance en sortie de virage. C’est un bon conducteur. Il pousse un peu pour se rapprocher. Mais, visiblement, il n’a pas l’intention de doubler. Je m’engage sur le chemin qui dessert notre forêt. Un chemin privé construit par les propriétaires des trois seules maisons sur ce versant du col. Je passe l’accès à la première maison et un kilomètre plus loin met mon clignoteur à droite afin de m’engager dans l’accès à ma propriété. Une fois hors de la route, je m’arrête, me retourne et fait un signe amical. Il se gare, mets le frein de parking, coupe le moteur et sors afin de me saluer.
- Je suis Wanda Khauters. Vous me reconnaissez ?
- Wanda Khauters. La psychiatre de l’équipe ?
- Oui. Et vous, vous être Serges Delille. L’oncologue.
- Exact.
- Si vous veniez prendre un verre à la maison ? Disons, demain, 18H00.
- D’accord. Mais pas d’alcool.
- Je sais. Demain 18H00. Des softs ou de l’eau. Et après nous baiserons !
Ce disant je démarre et le laisse à sa surprise.
Le jour suivant passe à une vitesse folle et je rentre vers 16H30.
Une douche. Ma courte robe de cuir blanc qui met en valeur ma peau légèrement halée. J’ai quand même un problème physique. Je suis une athlète de deux mètres cinq (Il a dû le lire sur ma fiche médicale comme j’ai lu la sienne), musclée mais sans excès, des seins généreux et des hanches très féminines. Je commence mes journées par un footing de 15 km et les termine par une heure de muscu. Je fais quand même un peu peur aux hommes. Et, quand vous éliminez ceux qui me chassent par défi, il ne reste pas grand-chose.
Il arrive. Je lui indique où se garer. Il sort de sa voiture. Il porte un costume trois pièces. Chemise blanche. Cravate. Il a apporté une magnifique rose et une bouteille de Bourgogne.
Je l’accueille d’un petit baiser sur le bout des lèvres et lui propose de prendre place dans le salon de jardin.
- Je te débarrasse et reviens avec les rafraîchissements. De l’eau, je suppose ? Plate ou pétillante ?
- Pétillante si vous plait.
Je reviens avec un plateau garni d’un seau à champagne contenant la bouteille d’eau et deux verres emplis chacun de trois glaçons et d’une rondelle de citron. Je nous sers et m’assied dans le canapé côté opposé au sien. La température est parfaite et une légère brise rend l’endroit particulièrement agréable. Nous devisons de nos occupations de la journée et de celles de lundi. Je ne vois pas le temps passer.
Je ne veux pas lui laisser d’illusion.
Je suis une adepte du BDSM. J’adore les jeux de bondage. Je suis une dominatix non exclusive. Dans mes liaisons précédentes, chaque fois que j’ai expliqué à mon partenaire mes préférences, il s’est poliment volatilisé. Cette fois, je veux poser le décor dès l’entrée en matière. Je coupe la conversation qui pourtant était fort plaisante.
- Bon. C’est bien agréable tout cela mais, comme je te l’ai dit hier, nous sommes ici pour baiser. Donc, à poil !
Il est décontenancé et esquisse un petit sourire.
- A poil et tout de suite ! Tu apporteras tes vêtements dans le hall que je les range.
Ce disant je le quitte et entre dans la maison. Je le surveille par la fenêtre du hall. Va-t-il s’enfuir ?
Il obtempère. Lui qui avait revêtu son costume se retrouve avec son ensemble trois pièces à l’air.
Il entre et je le débarrasse de ses vêtements, les range avec précaution dans un vestiaire que je ferme avec un cadenas à numéros.
Là. A poil, sans accès à ses vêtements, son portable et ses clefs de voiture, il doit se sentir vraiment dépendant. Je m’approche de lui, pose mes mains sur ses hanches et lui donne un baiser, léger mais en introduisant quelque peu ma langue dans sa bouche. Je vois que sa queue prend ses aises sans pour autant bander franchement. Je lui prends le scrotum entre le pouce et l’index, puis referme mes autres doigts, un par un, finissant par lui comprimer fortement les testicules. Le contact de mes mains larges et musclées avec ses organes génitaux est très agréable. J’en perçois la propreté. La douleur que je lui inflige doit être supportable. Je sers plus fort et ordonne.
- A genoux. Dis : « Je suis votre soumis, Madame. Vous pouvez faire de moi ce que vous voulez et je ferai ce que vous voulez. »
Il s’exécute et déclame : « Je suis votre soumis, Madame. Vous pouvez faire de moi ce que vous voulez et je ferai ce que vous voulez. »
- Bien. À tout moment, si tu veux arrêter, tu dis : « Rouge rouge rouge. » Si tu veux signaler que tu approches de tes limites mais que tu veux continuer tu dis « Orange orange orange. » Compris ?
- Oui Madame.
Il semble disposé à jouer. Je sens la peur de l’échec m’abandonner. J’ordonne.
- Sur la table ! Couché sur le dos !
Il s’exécute. Je lui enserre les couilles d’un anneau fermant au moyen de deux vis à tête hexagonale. Je fixe une laisse dans l’œillet soudé à l’anneau.
- A quatre pattes. Tu ne te lèveras que sur ordre.
Il obéi. Une fois au sol, je tire un coup sec sur la laisse pour lui faire sentir ma domination. Je sais qu’il n’a aucune habitude de ce genre de pratiques mais qu’il est avide de toute expérience nouvelle. Je me suis renseignée sur lui.
Pendant sa formation, il a entretenu une relation de deux ans avec une jeune fille. Celle-ci est décédée d’une leucémie à la fin de leur deuxième année universitaire d’où le choix de sa spécialisation en oncologie. Il n’a plus été en couple pendant le reste de sa formation mais ses « amies » ne l’on pas laissé dans la misère sexuelle. Rares étaient les weekends où il n’était pas accompagné d’une sexfriend. Depuis deux ans qu’il est dans l’équipe, il a eu deux relations suivies avec des collègues dont une s’est terminée il y a sis semaines. Il a la réputation d’un gentlemen type « vieille France » et d’un baiseur très, très endurant. Ces deux relations ont avorté car les femmes craignaient de s’engager, trop vite à leur goût, dans une histoire durable. Que des éloges de ses anciennes compagnes !
Je le dirige vers l’escalier puis fixe sa laisse à un crochet trop haut pour qu’il puisse l’atteindre. Il a les jambes tendues et est penché en avant les mains au sol pour soulager au maximum la traction sur ses couilles. J’aime les voir ainsi.
Je le quitte afin de faire le tour des pièces pour fermer, portes, fenêtres et volets roulants. A mon retour, je le décroche, lui fait monter les escaliers et le dirige vers la salle d’eau où se trouve une immense douche à l’italienne. Je m’empare d’un petit pot de vaseline et lui en enduit le cul, fait de même avec l’embout anal du tuyau de douche. J’ouvre le robinet et règle la température puis referme celui-ci. Je m’approche de lui, par derrière et je lui introduis le dispositif de lavement anal dans le fondement. Je le sens crispé mais je peux le comprendre car je sais que c’est sa première expérience. Je lui positionne le tuyau sans lui infliger la moindre douleur. J’ouvre à nouveau le robinet et l’eau tiède lui envahit le rectum. Je sais qu’il doit se sentir petit devant moi. Il ne sait pas encore qu’il peut être complètement à l’aise avec ce qui lui arrive. J’aime le sentir ainsi fébrile. Je maintien l’embout afin qu’il ne lui ressorte pas du cul. Ses intestins de remplissent d’eau et la pression devient telle que l’eau s’écoule par son anus. Je vois passer un liquide brunâtre. Il est tellement gêné qu’il n’existe plus. Pendant bien une minute il reste ainsi. Le liquide s’éclairci et devient limpide.
- Bon ! Assis sur le WC et expulse tout ce que tu peux.
Il s’exécute rempli de honte et une fois bien vidé sous mes yeux je lui ordonne.
- Sous la douche ! Lave-toi !
Il obéi et je m’installe afin de l’observer. Quand il arrive à mon sexe je lui dit : « Ça, c’est pour moi ! »
Je m’approche, saisi son sexe, le décalotte et le lave énergiquement. Evidemment, il attrape une trique d’enfer.
- Continue ! Rince-toi et sèche-toi !
Il termine et se sèche. Bien sûr, je me réserve le séchage de sa queue, de ses couilles et de son cul. Je le reprends en laisse et l’emmène dans une chambre meublée comme un donjon BDSM et garnie de matériels et appareils dont il ne doit pas connaître l’usage. Je l’accroche comme tout à l’heure et me dirige derrière le paravent. J’en ressort avec un ensemble en latex rouge, soutien-gorge ne couvrant que le bas de mes seins, porte-jarretelles et hautes bottes.
- Maintenant, tu vas me baisser avec application !
Je m’allonge à plat ventre sur le lit couvert d’un drap de satin noir. Il s’approche, toujours à quatre pattes, monte sur le lit et commence à me masser le cou et les épaules tout en me donnant de petits baisers sur le dos. Je grogne d’aise. Il accompagne ses baisers de coups de langue et goûte mon corps. Sa queue se dresse immédiatement. Il descend progressivement sur mon dos, massant et goûtant ma peau et ce jusqu’à ma ceinture. Il me détache et m’enlève mon ensemble que je n’aurai porté que quelques minutes. Puis, il reprend à partir du pied en remontant le long de ma jambe jusqu’en haut de la cuisse. La jambe gauche puis la droite. Le drap est déjà mouillé entre mes jambes. Un liquide clair, épais et dégageant la bonne odeur de la femelle propre. Il pose une main sur mes deux fesses et les masse délicatement mais fermement en plaçant mon majeur sur mon périnée. Il poursuit pendant deux bonnes minutes au rythme de mes grognement de plaisir. Je me retourne, l’empoigne par les cheveux et lui plaque la bouche sur ma vulve. Il comprend mon désir et me lèche et suçote le clitoris avant de descendre entre mes lèvres bien ouvertes et d’enlever avec la langue la cyprine qui s’y trouve. Il donne ensuite de longs coups de langue partant du périnée et allant jusqu’au clitoris. J’en gémit de plaisir.
- Oh oui ! Encore ! Encore !
Il m’applique la bouche ouverte sur toute la chatte et pompe délicatement tout en enfonçant sa langue le plus profondément possible dans mon vagin. Sa bouche doit se remplir de mes secrétions. Il se redresse afin de me montrer qu’il avale celles-ci et reprend sa besogne.
Il passe ses bras sous mes fesses et me saisit le poignet droit dans sa main droite et le gauche dans sa main gauche. Il me donne ainsi le sentiment d’être immobilisée. Ma respiration s’accélère et il ralenti ses caresses bucco-génitales afin que j’en profite plus longtemps et qu’il puisse d’avantage boire ma cyprine ce qui visiblement lui plait. Je me calme et me laisse lentement envahir jusqu’à un orgasme intense. Il me taquine en me titillant le clitoris sachant combien il est sensible à ce moment. Pour me venger, je lui applique le nez et la bouche dans ma chatte et l’y bloque en serrant mes deux cuisses. J’attends une vingtaine de secondes qu’il tente de se dégager. Je le bloque. Il manque d’air. Il panique. Rien n’y fait et malgré son mètre quatre-vingt-cinq et sa stature athlétique, je suis plus forte que lui. Il se débat comme un diable pendant une minute, puis, je le sens défaillir. J’attends encore un peu qu’il soit complètement inconscient. Pas de risque. J’ai un ballon, le matériel d’intubation et un défibrillateur dans la commode. Drôle de nana quand même !
Je n’en aurai pas besoin. Quelques insufflations suffisent à relancer sa respiration.
Il est allongé sur le lit et je l’engueule : « Alors, tu as voulu faire le malin ! »
Je le toise pendant qu’il reprend ses esprits.
- Implore mon pardon !
- Pardonnez-moi, Madame. Je vous promets de ne plus le faire.
- Bon ! Tu seras puni et nous n’en parlerons plus.
Ce disant, je lui masse la base de la queue ce qui le fait immédiatement bander comme un âne.
- Allez hop ! Prends-moi en missionnaire !
Je m’allonge sur le dos et il s’agenouille entre mes jambes. Il se penche vers moi et pose ses mains de part et d’autre de mon corps. Je lui saisis le sexe, le décalotte, passe aussi un doigt sur le méat et dirige celui-ci sur l’entrée de mon vagin qu’il pénètre aisément tant il est mouillé. Il s’enfonce au plus profond de mon intimité et je pousse un long soupir de contentement. Je lui montre le liquide pré éjaculatoire que j’ai a prélevé sur son sexe, dépose mon doigt sur ma langue et m’en délecte. Il commence ses mouvements lents et profonds. Je m’amuse à contracter et relâcher mon vagin. Il s’immobilise afin d’en profiter.
- Ça te plait ? Attention ! Interdiction d’éjaculer ! Quand tu y seras presque, fais-moi signe. Plus vite maintenant.
Il accélère progressivement son rythme et je commence à émettre des plaintes de plaisir.
Après trois bonnes minutes à cette vitesse il commence à avoir du mal à se retenir et m’avertit de son éjaculation imminente.
Je lui comprime fortement la base du sexe entre le pouce et l’index ce qui lui fait perdre immédiatement toute envie ou possibilité d’éjaculer.
- Si cela ne suffit pas, je peux t’écraser le gland entre le pouce et l’index replié. Cela marche très bien aussi. Allez ! Au boulot ! Madame en veut encore !
Je sais, de mes partenaires précédents, qu’ils craignent mon attitude quand ils ont éjaculé et qu’ils débandent.
- Tu as peur de ce qui va t’arriver quand tu débanderas. Tu as raison. Tu vas souffrir.
Il pense que je lis dans ses pensées. Il reprend sa besogne. Il est vrai que pareil travail ne doit pas être pénible. Je gémis au rythme de ses bourrées. Soudain, je jouis à un moment et d’une manière inattendue. Bon point pour lui.
- Je jouis, je jouis, ne bouge plus !
Il s’immobilise afin de me laisser profiter de mon orgasme. Je ramène un pied sur ses fesses, le prend à deux mains et tire dessus afin de l’enfoncer encore plus profondément moi. Je râle de plaisir. Nous restons ainsi bien deux minutes.
- Retires-toi ! Maintenant tu va me sodomiser. Mais avant cela tu vas m’attacher. Les liens sont prêts à la tête et sur les flancs du lit. Effectivement, j’avais placé des menottes en cuir rembourré aux endroits désignés. Il m’attache les poignets et je me retrouve les bras tirés latéralement, la tête plaquée sur le matelas. Une fois mes chevilles attachées, je lui présente mon cul et ma chate béants.
- Tu peux y aller. Je me suis lubrifiée en me préparant.
Il s’introduit avec douceur dans mon cul.
- Ah ! J’adore cette sensation d’être vaincue. Tu verras. Toi aussi tu vas aimer.
Après quelques mouvements, je deviens véritablement folle et il s’arrête.
- Continue. Tu ne t’arrête que si je crie : Rouge rouge rouge. Tu n’imagine pas comme c’est bon de se voir imposer un plaisir aussi intense.
Il reprend ses va et vient et cette fois je couine comme un cochon que l’on égorge et me débat comme un diable. Il comprend que si je n’étais pas attachée, vu ma force, il ne pourrait pas me maitriser. Il me saisit par les hanches et me pilonne encore plus violemment.
Mes cris redoublent et dans la lutte je pense encore à lui dire : « Et pas question d’éjaculer mon cochon. » Il a du mal à se retenir et sort un instant de mon cul pour pouvoir se retenir. Après une trentaine de secondes il me pénètre à nouveau et notre lutte reprend. Je me sens soudain trempée par un liquide chaud. Je n’en peux plus et me suis laissé aller sur moi.
- Continue ! Tu n’as jamais baisé une femme fontaine ?
Il reprend sa saillie et me fait à nouveau hurler pendant deux bonnes minutes.
- C’est bon ! Tu peux arrêter ! J’ai eu ce que je voulais. Va t’asseoir dans le fauteuil et mate-moi. J’adore être matée par un homme après avoir joui à perdre tout contrôle.
Il s’installe dans un confortable fauteuil et profite d’une superbe vue sur une femme qui vient de jouir. Je continue à pousser des petits cris de plaisir, puis des grognements pendant cinq minutes.
- Ok ! Détache-moi !
Il se lève et avance vers moi.
- Qui ta permit de te lever ! A quatre pattes ! Tout de suite !
Il s’exécute et approche du lit, me détache. Il est bien dans le jeu.
J’enlève le drap, l’alèse et le protège matelas trempés de mon plaisir.
- Un peu de ménage !
Je sors les mêmes pièces propres d’une armoire. Nous refaisons le lit impeccablement.
- Direction la buanderie au sous-sol.
- Je passe par les toilettes.
- Pas question ! Je m’occupe de cela pour toi.
Nous descendons au sous-sol. Il ne manque pas de voir que celui-ci est aménagé en véritable antre de l’inquisition. Il doit éprouver une certaine appréhension sachant que tôt ou tard Je le torturerai avec ces instruments inconnus et qu’il se laissera faire allant même jusqu’à y trouver du plaisir. Je lui ordonne de se remettre à quatre pattes et lui fait remonter les escaliers en le tenant en laisse. Une fois au rez-de-chaussée, j’ouvre le volet et la porte donnant sur le jardin, le fait sortir et traverser la pelouse jusqu’au pied d’un grand marronnier.
- Allez, lève la patte !
Comme il reste dubitatif, je tire une bonne fois sur sa laisse attachée aux couilles et il obtempère. Il fait frais et étant tous deux nus nous ne nous attardons pas à la contemplation d’un ciel pourtant magnifique. Nous rentrons et je referme la porte et le volet roulant.
- Bon ! Passons aux choses sérieuses. Tu m’as bien fait jouir et c’est un bon début. Maintenant, je vais disposer de toi et abuser de ton corps. Tu va souffrir et tu vas jouir comme jamais. Rappelle-toi que tu es libre d’arrêter à tout moment en disant : « Rouge rouge rouge. » Si je te bâillonne, je mettrai dans ta main une alarme à relâchement de pression. Tu arrête d’appuyer et elle sonne.
Je joins une démonstration à la parole et il semble rassuré. N’empêche ! C’est la première fois qu’une femme le tient par les couilles et le fait courir comme un chien. Bizarrement, il n’est pas atteint par ces traitements. Ils n’existent pas dans son monde mais seulement dans une parenthèse ludique librement consentie.
- Ouste ! Au sous-sol !
Une fois en bas, je mets une musique assourdissante avant de refermer a porte. Rien ne filtre. Pas un bruit.
- Ceci pour que tu comprennes que tu pourras crier autant que le veux, personne ne t’entendra et ne viendra à ton secours. Tu m’es complètement soumis.
Nous entrons, je coupe la musique et ferme la porte au moyen d’une serrure codée. Même s’il pouvait me vaincre, il ne sortirait pas. Je règle la musique sur un volume discret et agréable. Je choisis la toccata et fugue en ré mineur de Jean-Sébastien Bach. Son morceau favori.
- Ce n’est pas par hasard ?
- Rien n’arrive par hasard mon cochon ! Je sais que ce qui va suivre va te plaire. Pour certains sévices, il te faudra du recul pour les apprécier pleinement mais tu en redemanderas. Place-toi entre ces colonnes !
Je lui attache poignets et chevilles aux menottes rembourrées. Il est sur ses deux pieds et ses liens sont lâches. Je lui place une cagoule en cuir sur la tête. Il ne voit plus rien et des écouteurs diffusent une musique assez angoissante l’empêchant d’entendre mes déplacements et préparations. Je commande les treuils qui lui écartent fortement les chevilles, puis les bras. La tension sur ses jambes se fait maintenant vers le haut et il perd l’équilibre. Le mécanisme l’élève par les pieds. Il ne sait plus où il est. Il ne le sait pas à ce moment mais il est filmé et je lui ferai l’honneur d’une visualisation commentée de ses prestations avant de détruire les fichiers concernés. Il est en fait pendu, tête en bas, bras et jambes écartés, offrant son sexe, ses couilles et son cul à mes sévices et ce, sans aucune défense possible. J’adore disposer des mecs ainsi. Un moment de calme. D’une poigne ferme je lui saisis les couilles faisant déborder celles-ci hors de la main. J’ajuste ma prise puis je le laisse languir. Je lui donne un coup ferme sur les testicules au moyen d’un « paddle ».
- Oooooohhh !
Une douleur exactement mesurée pour induire le sentiment d’être dominé tout en donnant envie du coup suivant. Mes coups se suivent sans précipitation et malgré les cris de douleur et de surprise, je vois qu’il apprécie. Après un certain nombre, il doit quand même ressentir une douleur persistante qui lui donne envie de se soumettre pour récupérer. Je me place derrière lui et me colle contre son dos. Ma chaleur est apaisante et il se détend. Je lui prends alternativement un testicule puis l’autre en bouche et les suces confortablement. La douleur de la torture disparait et il flotte dans un bien être béat. Je lui fais sentir mes dents puis le relâche.
- Allez ! Déclare-moi ta soumission ! Dis-moi que tu es une salope et toutes sorte de choses humiliantes et féminisantes.
Je lui reprends les couilles en bouche et ferme légèrement les dents.
- Je suis votre soumis, Madame.
Pas assez, je lui fais sentir les dents plus fortement.
- Je suis une salope, Madame. S’il vous plait, corrigez-moi.
Morsure plus forte encore.
- Que peut-on faire de pire à un homme ?
- Je ne sais pas.
- Tu vas le savoir. Le sodomiser !
- Orange, orange, orange.
- Du calme, salope, tu vas aimer et en redemander.
Pendant deux bonnes minutes, il ne perçoit rien. Il est aveuglé et ses écouteurs masquent tous les sons. La musique a changé. J’ai sélectionné le Boléro de Ravel. Je coupe celle-ci.
Je lui introduis un genre de seringue terminé par un flexible d’une quinzaine de centimètres dans le cul. Je m’en sers pour le « lubrifier » copieusement et profondément.
N’empêche. Ne sachant ce qu’il lui arrive, il se crispe et se contracte.
- Laisse-toi aller. Tu n’as aucune douleur à craindre.
J’ai même poussé le confort jusqu’à chauffer le lubrifiant à la température corporelle.
Je manipule les treuils afin de le positionner face contre une table rembourrée et pieds au sol bien écartés. Il est ainsi parfaitement positionné pour subir une saillie contre laquelle il ne dispose d’aucun moyen d’opposition. Ça, c’était ma vengeance de femme. Pouvoir sodomiser un homme. Puis, l’expérience aidant, j’y ai pris plaisir et je leur y ai fait découvrir du plaisir.
Je lui accroche un poids à l’anneau qu’il a aux couilles afin de tendre celles-ci vers le bas.
J’ai revêtu mon double gode et lui titille l’annus. Il se raidit.
- Tu peux te serrer le cul autant que tu le veux mon coco. Lubrifié comme tu l’es, j’y entrerais une courgette sans effort.
Je m’introduis en lui. Doucement, pas trop loin, recule, avance plus loin et quand il commence à prendre confiance, d’un seul coup je m’enfonce doucement jusqu’à la garde. Il crie de surprise pas de douleur. Je commence à le besogner pour mon plaisir et plus tard pour le sien.
- A nous deux mon cochon !
Il m’expliquera par après que dans les premiers instants, il ne ressentit rien de spécial sinon une gêne due à l’objet dans son rectum.
Je n’effectue que de petits mouvements peu profonds. De temps à autre, je pousse mon instrument le plus loin possible et de son aveu postérieur, bizarrement, la chose prend une autre tournure et quand je me retire quelque peu pour reprendre des mouvements plus superficiels, il attend la prochaine saillie avec une certaine impatience.
- Cela te plait, salope ?
- Oui.
- Tu dis : « Oui Madame. Je suis une grosse salope et j’aime cela. »
- Oui Madame. Je suis une grosse salope et j’aime cela.
- Mais. Tout doit être payer. Avant d’avoir du plaisir, il faut souffrir.
Je me retire et je manipule les appareils afin de le présenter pendu par les pieds, joints, les bras détendus. Je lui détache les mains puis les menotte derrière le dos, chaque poignet attaché au coude opposé. Sur le film, on me voit tourner autour comme une lionne autour de sa proie. Je commence à lui frapper les fesses, alternativement la gauche puis la droite. Les coups sont légers mais leur répétition devient douloureuse. Je vais continuer jusqu’au premier sang. Au débriefing, je lui fais remarquer que la chose dure un quart d’heure. Cela lui avait semblé beaucoup plus court. Il m’explique qu’à ce moment, il était impatient d’être à nouveau pénétré. Je le rattache à la machine et le repositionne pour une nouvelle saillie. Je le saisis par les hanches et je place mon gode sur mon anus. Je le sens impatient mais le fait languir.
- Tu as envie d’être prise, sale cochonne ?
- Oui Madame. Je suis une salle cochonne qui voudrait que vous la défonciez.
Je m’introduis de quelques centimètres. Il tente de pousser son cul à ma rencontre mais ne peut le faire vu ses liens. Je me retire. Cela l’excite tellement qu’il a une trique d’enfer.
- Mais c’est qu’elle bande, la salope ! Interdiction de bander ! Fais-moi retomber cette queue tout de suite !
Vite dit. Il ne trouve pas de possibilité d’exécuter cet ordre et, il faut le dire, je ne fais rien pour lui faciliter la tâche et répétant mes légères introductions.
- Très bien ! Tu vas goûter à la cage de chasteté !
Mouvement de machines et je le repose dos sur le support. Après quelques instants, je lui manipule le sexe et les testicules afin de lui placer la cage ce qui n’incite pas son érection à s’estomper. D’une main experte, je lui place l’anneau autour de sa queue en passant derrière ses couilles, la fermeture arrière et avant. Je lubrifie l’intérieur du tube de la cage et sa queue que je veille à bien décalotter. Je lui place le tube sur celle-ci, tube qui évidement est trop étroit et trop court. Je sens son sexe buter au fond de celui-ci. Je fais quelques mouvements de va et vient afin d’encore forcer son érection, puis je le préviens.
- Tu n’as pas voulu débander. Maintenant tu vas déguster !
Je tire l’anneau vers le tube et parviens à joindre les deux pièces sous ses cris de douleur. Il a le tube sur le bout de son sexe et ses couilles tirées vers l’avant.
- Alors, on continue ?
- Ou… Oui. Oui Madame.
A ce moment, je l’abandonne dix minutes afin d’aller boire un perrier citron.
- Hé bien voilà. Un grand fort type monté comme un petit cheval qui se retrouve avec une toute petite queue. Rappelle-moi ta soumission ?
- Je suis votre soumis, Madame. Vous pouvez faire de moi ce que vous voulez et je ferai ce que vous voulez.
- Bien.
Nouveau mouvement de machine et le voici à nouveau présenté pour la bourrée.
Je joue de nouveau et alors que je le sens désespéré d’être pénétré, je le défonce d’un ample mouvement de bassin qui lui arrache un cri de plaisir. Je le pilonne et je le sens glisser dans une autre réalité. Mon plaisir commence à monter et mon orgasme m’arrache un cri de plaisir. Je fais encore quelques mouvements puis je m’immobilise pour savourer celui-ci. Je sais qu’il aurait voulu quelques minutes, quelques secondes de plus pour pouvoir jouir aussi. Après deux minutes de repos, Je me reprends.
- Tu n’as pas joui. Tu sens la frustration.
- Oui Madame.
- Cela fait partie du jeu. Cela s’appelle le ‘edging. ». Je contrôle ton orgasme. Je t’y amène presque et j’arrête. Puis je recommence tout de suite ou plus tard. Je peux, par exemple t’exciter comme une bête tous les jours de la semaine et te faire jouir seulement le samedi. A propos, de quand date ta dernière éjaculation ?
- Cela fera six semaines dimanche, Madame.
- C’était avec Bernadette !
- Oui. Comment le savez-vous ?
- Bernadette est une amie et elle me confie tout. Moi de même.
- Alors elle est au courant pour notre rendez-vous ?
- Oui.
- Il comprend mes sourires amusés. Vous lui avez fait part de ce que vous contiez me faire et vous allez lui raconter nos ébats après ?
- Oui. Et si tu le veux bien, nous regarderons même le film ensemble. Qu’en dis-tu ?
- Euh ? Oui. Pourquoi pas.
- Bon. Maintenant j’ai envie de me défouler. Une bonne partie de fouet, cela te dit ?
- Oui Madame.
En fait, il était prêt à tout pour peu que le jeu continuât.
- Un jour, je te ferai éjaculer rien qu’avec des coups de fouet. Tu verras comme c’est bon.
Je manie la télécommande et la machine le positionne Upside down, pieds joints et bras écartés. Je lui enlève la cagoule et il me retrouve dans une superbe tenue de lanières de cuir noir. Avant de commencer, je lui enduis les fesses d’un baume apaisant très efficace. Puis, tournant autour de lui pour le jauger, me mettre en appétit et faire monter son angoisse, je fais claquer mon fouet à plusieurs reprises. Je donne un premier coup qui lui brûle le dos et lui arrache un cri. Quelques coups claquent en l’air et je fais traîner pendant une minute avant de donner un second coup qu’il ressent moins. Même scénario avant le troisième coup qu’il sent à peine. Puis je me lâche. Les coups pleuvent sans trop le faire souffrir. Quand ma rage est passée, j’actionne la machine et le pose sur le sol pour le détacher. Je l’aide à se lever et il titube.
- T’inquiète. Le fouet était enduit d’un anesthésique. Raison pour laquelle tu n’as presque rien senti. Allez ! Tous les deux à la douche et au lit. Demain, 04H25 debout pour le footing.
Il me montre la cage de chasteté s’attendant à en être libéré.
- Tu vas t’habituer. Tu vas voir.
Après nous être douchés, il mit un temps fou à se sécher convenablement la queue et les couilles sous mon regard amusé.
- Ce serait mieux si je te l’enlevais pour la douche.
- Oui Madame.
- Mais ce serait moins marrant pour moi.
Nous nous sommes couchés et je lui attrapai le bras gauche qu’il avait posé sur mon sein droit, sa main sur mon épaule. J’ai refermé mes bras sur le sien et nous nous sommes endormis. Dans la nuit, nous nous sommes réveillés et tournés sur le flanc gauche. Je lui ai saisi les couilles de ma main droite et les a pressées non pas pour lui faire mal mais juste pour lui indiquer que j’étais aux commandes.
- Là. Tu es en main. Tu le sens ?
- Oui Madame.
- Non. Seulement oui. Si cela te dit, le jeu est en pause et nous sommes en couple.
- Ok.
Et nous sommes partis d’un grand éclat de rire pour ne plus nous quitter.
- Donc, 04H25 - levé. 04H30 – Footing. 05H30 - Douche. 06h00 - Déjeuné. De 06H30 à 08h30 - On travaille. 09h00 Nous avons de la visite.
- Qui ?
- Bernadette.
- Ah oui …
- Et si tu le souhaite, le jeu peut reprendre.
- Ok. Ça me dit. Mais je n’ai pas mes dossiers pour travailler.
- Karl les déposera à 06H30. Je le lui ai demandé. Il prendra ta voiture pour la faire nettoyer. Tu es … maniaque, je crois.
- J’assume.
- A midi. Restaurant avec Bernadette et Jean-François si son travail est terminé. Cela te dit aussi.
- Oui. Très bien. Cela me fait vraiment plaisir.
- Je l’espérait. L’après-midi, nous monterons jusque chez toi. Tu me feras visiter « Hurlevent ». Du temps de ton oncle, les gens n’osaient pas traverser la propriété. Sais-tu que tu es très bien vu dans le pays ?
- Non. Je suis naturellement aimable et cela me fais plaisir de pouvoir rendre un service.
- Si tu es d’accord, Marie et Pierre voudraient nous voir le soir. Nous pouvons les recevoir chez toi. Karl n’attend que l’ordre pour se mettre au travail.
- Marie et Pierre. Mais c’est une réunion d’anciennes partenaires sexuelles. D’accord.
- Comment crois-tu que j’ai eu les tuyaux pour tendre mes filets ? Entre femmes, il faut se soutenir. Et je peux te dire qu’aucune de tes ex n’a eu le moindre propos négatif à ton égard.
- Pourquoi m’ont-elles quitté alors ?
- Tu t’attaches trop vite. Cela fait peur aux femmes.
Voici un premier petit récit écrit par Wanda. Nous pouvons continuer à vous divertir. Pour ce faire, dites-nous ce que vous en pensez. Qu’avez-vous apprécié ? Quelque chose vous a-t-il déplu ? Certains récits seront de la main de Serges.
Si vous avez aimé, suivez-nous dans : Wanda 2 – Première journée de vie commune.
Jeudi, 17H00. Grosse journée mais bonne journée. De bonnes nouvelles de certains de nos patients. Je gagne le parking, ma voiture. J’attends. C’est aujourd’hui que j’ai décidé de l’aborder. Il arrive. Il pose son veston dans le coffre impeccablement propre. Je me mets en route. Sur la départementale je le précédé. Il me rattrape dans les lignes droites mais je le distance en sortie de virage. C’est un bon conducteur. Il pousse un peu pour se rapprocher. Mais, visiblement, il n’a pas l’intention de doubler. Je m’engage sur le chemin qui dessert notre forêt. Un chemin privé construit par les propriétaires des trois seules maisons sur ce versant du col. Je passe l’accès à la première maison et un kilomètre plus loin met mon clignoteur à droite afin de m’engager dans l’accès à ma propriété. Une fois hors de la route, je m’arrête, me retourne et fait un signe amical. Il se gare, mets le frein de parking, coupe le moteur et sors afin de me saluer.
- Je suis Wanda Khauters. Vous me reconnaissez ?
- Wanda Khauters. La psychiatre de l’équipe ?
- Oui. Et vous, vous être Serges Delille. L’oncologue.
- Exact.
- Si vous veniez prendre un verre à la maison ? Disons, demain, 18H00.
- D’accord. Mais pas d’alcool.
- Je sais. Demain 18H00. Des softs ou de l’eau. Et après nous baiserons !
Ce disant je démarre et le laisse à sa surprise.
Le jour suivant passe à une vitesse folle et je rentre vers 16H30.
Une douche. Ma courte robe de cuir blanc qui met en valeur ma peau légèrement halée. J’ai quand même un problème physique. Je suis une athlète de deux mètres cinq (Il a dû le lire sur ma fiche médicale comme j’ai lu la sienne), musclée mais sans excès, des seins généreux et des hanches très féminines. Je commence mes journées par un footing de 15 km et les termine par une heure de muscu. Je fais quand même un peu peur aux hommes. Et, quand vous éliminez ceux qui me chassent par défi, il ne reste pas grand-chose.
Il arrive. Je lui indique où se garer. Il sort de sa voiture. Il porte un costume trois pièces. Chemise blanche. Cravate. Il a apporté une magnifique rose et une bouteille de Bourgogne.
Je l’accueille d’un petit baiser sur le bout des lèvres et lui propose de prendre place dans le salon de jardin.
- Je te débarrasse et reviens avec les rafraîchissements. De l’eau, je suppose ? Plate ou pétillante ?
- Pétillante si vous plait.
Je reviens avec un plateau garni d’un seau à champagne contenant la bouteille d’eau et deux verres emplis chacun de trois glaçons et d’une rondelle de citron. Je nous sers et m’assied dans le canapé côté opposé au sien. La température est parfaite et une légère brise rend l’endroit particulièrement agréable. Nous devisons de nos occupations de la journée et de celles de lundi. Je ne vois pas le temps passer.
Je ne veux pas lui laisser d’illusion.
Je suis une adepte du BDSM. J’adore les jeux de bondage. Je suis une dominatix non exclusive. Dans mes liaisons précédentes, chaque fois que j’ai expliqué à mon partenaire mes préférences, il s’est poliment volatilisé. Cette fois, je veux poser le décor dès l’entrée en matière. Je coupe la conversation qui pourtant était fort plaisante.
- Bon. C’est bien agréable tout cela mais, comme je te l’ai dit hier, nous sommes ici pour baiser. Donc, à poil !
Il est décontenancé et esquisse un petit sourire.
- A poil et tout de suite ! Tu apporteras tes vêtements dans le hall que je les range.
Ce disant je le quitte et entre dans la maison. Je le surveille par la fenêtre du hall. Va-t-il s’enfuir ?
Il obtempère. Lui qui avait revêtu son costume se retrouve avec son ensemble trois pièces à l’air.
Il entre et je le débarrasse de ses vêtements, les range avec précaution dans un vestiaire que je ferme avec un cadenas à numéros.
Là. A poil, sans accès à ses vêtements, son portable et ses clefs de voiture, il doit se sentir vraiment dépendant. Je m’approche de lui, pose mes mains sur ses hanches et lui donne un baiser, léger mais en introduisant quelque peu ma langue dans sa bouche. Je vois que sa queue prend ses aises sans pour autant bander franchement. Je lui prends le scrotum entre le pouce et l’index, puis referme mes autres doigts, un par un, finissant par lui comprimer fortement les testicules. Le contact de mes mains larges et musclées avec ses organes génitaux est très agréable. J’en perçois la propreté. La douleur que je lui inflige doit être supportable. Je sers plus fort et ordonne.
- A genoux. Dis : « Je suis votre soumis, Madame. Vous pouvez faire de moi ce que vous voulez et je ferai ce que vous voulez. »
Il s’exécute et déclame : « Je suis votre soumis, Madame. Vous pouvez faire de moi ce que vous voulez et je ferai ce que vous voulez. »
- Bien. À tout moment, si tu veux arrêter, tu dis : « Rouge rouge rouge. » Si tu veux signaler que tu approches de tes limites mais que tu veux continuer tu dis « Orange orange orange. » Compris ?
- Oui Madame.
Il semble disposé à jouer. Je sens la peur de l’échec m’abandonner. J’ordonne.
- Sur la table ! Couché sur le dos !
Il s’exécute. Je lui enserre les couilles d’un anneau fermant au moyen de deux vis à tête hexagonale. Je fixe une laisse dans l’œillet soudé à l’anneau.
- A quatre pattes. Tu ne te lèveras que sur ordre.
Il obéi. Une fois au sol, je tire un coup sec sur la laisse pour lui faire sentir ma domination. Je sais qu’il n’a aucune habitude de ce genre de pratiques mais qu’il est avide de toute expérience nouvelle. Je me suis renseignée sur lui.
Pendant sa formation, il a entretenu une relation de deux ans avec une jeune fille. Celle-ci est décédée d’une leucémie à la fin de leur deuxième année universitaire d’où le choix de sa spécialisation en oncologie. Il n’a plus été en couple pendant le reste de sa formation mais ses « amies » ne l’on pas laissé dans la misère sexuelle. Rares étaient les weekends où il n’était pas accompagné d’une sexfriend. Depuis deux ans qu’il est dans l’équipe, il a eu deux relations suivies avec des collègues dont une s’est terminée il y a sis semaines. Il a la réputation d’un gentlemen type « vieille France » et d’un baiseur très, très endurant. Ces deux relations ont avorté car les femmes craignaient de s’engager, trop vite à leur goût, dans une histoire durable. Que des éloges de ses anciennes compagnes !
Je le dirige vers l’escalier puis fixe sa laisse à un crochet trop haut pour qu’il puisse l’atteindre. Il a les jambes tendues et est penché en avant les mains au sol pour soulager au maximum la traction sur ses couilles. J’aime les voir ainsi.
Je le quitte afin de faire le tour des pièces pour fermer, portes, fenêtres et volets roulants. A mon retour, je le décroche, lui fait monter les escaliers et le dirige vers la salle d’eau où se trouve une immense douche à l’italienne. Je m’empare d’un petit pot de vaseline et lui en enduit le cul, fait de même avec l’embout anal du tuyau de douche. J’ouvre le robinet et règle la température puis referme celui-ci. Je m’approche de lui, par derrière et je lui introduis le dispositif de lavement anal dans le fondement. Je le sens crispé mais je peux le comprendre car je sais que c’est sa première expérience. Je lui positionne le tuyau sans lui infliger la moindre douleur. J’ouvre à nouveau le robinet et l’eau tiède lui envahit le rectum. Je sais qu’il doit se sentir petit devant moi. Il ne sait pas encore qu’il peut être complètement à l’aise avec ce qui lui arrive. J’aime le sentir ainsi fébrile. Je maintien l’embout afin qu’il ne lui ressorte pas du cul. Ses intestins de remplissent d’eau et la pression devient telle que l’eau s’écoule par son anus. Je vois passer un liquide brunâtre. Il est tellement gêné qu’il n’existe plus. Pendant bien une minute il reste ainsi. Le liquide s’éclairci et devient limpide.
- Bon ! Assis sur le WC et expulse tout ce que tu peux.
Il s’exécute rempli de honte et une fois bien vidé sous mes yeux je lui ordonne.
- Sous la douche ! Lave-toi !
Il obéi et je m’installe afin de l’observer. Quand il arrive à mon sexe je lui dit : « Ça, c’est pour moi ! »
Je m’approche, saisi son sexe, le décalotte et le lave énergiquement. Evidemment, il attrape une trique d’enfer.
- Continue ! Rince-toi et sèche-toi !
Il termine et se sèche. Bien sûr, je me réserve le séchage de sa queue, de ses couilles et de son cul. Je le reprends en laisse et l’emmène dans une chambre meublée comme un donjon BDSM et garnie de matériels et appareils dont il ne doit pas connaître l’usage. Je l’accroche comme tout à l’heure et me dirige derrière le paravent. J’en ressort avec un ensemble en latex rouge, soutien-gorge ne couvrant que le bas de mes seins, porte-jarretelles et hautes bottes.
- Maintenant, tu vas me baisser avec application !
Je m’allonge à plat ventre sur le lit couvert d’un drap de satin noir. Il s’approche, toujours à quatre pattes, monte sur le lit et commence à me masser le cou et les épaules tout en me donnant de petits baisers sur le dos. Je grogne d’aise. Il accompagne ses baisers de coups de langue et goûte mon corps. Sa queue se dresse immédiatement. Il descend progressivement sur mon dos, massant et goûtant ma peau et ce jusqu’à ma ceinture. Il me détache et m’enlève mon ensemble que je n’aurai porté que quelques minutes. Puis, il reprend à partir du pied en remontant le long de ma jambe jusqu’en haut de la cuisse. La jambe gauche puis la droite. Le drap est déjà mouillé entre mes jambes. Un liquide clair, épais et dégageant la bonne odeur de la femelle propre. Il pose une main sur mes deux fesses et les masse délicatement mais fermement en plaçant mon majeur sur mon périnée. Il poursuit pendant deux bonnes minutes au rythme de mes grognement de plaisir. Je me retourne, l’empoigne par les cheveux et lui plaque la bouche sur ma vulve. Il comprend mon désir et me lèche et suçote le clitoris avant de descendre entre mes lèvres bien ouvertes et d’enlever avec la langue la cyprine qui s’y trouve. Il donne ensuite de longs coups de langue partant du périnée et allant jusqu’au clitoris. J’en gémit de plaisir.
- Oh oui ! Encore ! Encore !
Il m’applique la bouche ouverte sur toute la chatte et pompe délicatement tout en enfonçant sa langue le plus profondément possible dans mon vagin. Sa bouche doit se remplir de mes secrétions. Il se redresse afin de me montrer qu’il avale celles-ci et reprend sa besogne.
Il passe ses bras sous mes fesses et me saisit le poignet droit dans sa main droite et le gauche dans sa main gauche. Il me donne ainsi le sentiment d’être immobilisée. Ma respiration s’accélère et il ralenti ses caresses bucco-génitales afin que j’en profite plus longtemps et qu’il puisse d’avantage boire ma cyprine ce qui visiblement lui plait. Je me calme et me laisse lentement envahir jusqu’à un orgasme intense. Il me taquine en me titillant le clitoris sachant combien il est sensible à ce moment. Pour me venger, je lui applique le nez et la bouche dans ma chatte et l’y bloque en serrant mes deux cuisses. J’attends une vingtaine de secondes qu’il tente de se dégager. Je le bloque. Il manque d’air. Il panique. Rien n’y fait et malgré son mètre quatre-vingt-cinq et sa stature athlétique, je suis plus forte que lui. Il se débat comme un diable pendant une minute, puis, je le sens défaillir. J’attends encore un peu qu’il soit complètement inconscient. Pas de risque. J’ai un ballon, le matériel d’intubation et un défibrillateur dans la commode. Drôle de nana quand même !
Je n’en aurai pas besoin. Quelques insufflations suffisent à relancer sa respiration.
Il est allongé sur le lit et je l’engueule : « Alors, tu as voulu faire le malin ! »
Je le toise pendant qu’il reprend ses esprits.
- Implore mon pardon !
- Pardonnez-moi, Madame. Je vous promets de ne plus le faire.
- Bon ! Tu seras puni et nous n’en parlerons plus.
Ce disant, je lui masse la base de la queue ce qui le fait immédiatement bander comme un âne.
- Allez hop ! Prends-moi en missionnaire !
Je m’allonge sur le dos et il s’agenouille entre mes jambes. Il se penche vers moi et pose ses mains de part et d’autre de mon corps. Je lui saisis le sexe, le décalotte, passe aussi un doigt sur le méat et dirige celui-ci sur l’entrée de mon vagin qu’il pénètre aisément tant il est mouillé. Il s’enfonce au plus profond de mon intimité et je pousse un long soupir de contentement. Je lui montre le liquide pré éjaculatoire que j’ai a prélevé sur son sexe, dépose mon doigt sur ma langue et m’en délecte. Il commence ses mouvements lents et profonds. Je m’amuse à contracter et relâcher mon vagin. Il s’immobilise afin d’en profiter.
- Ça te plait ? Attention ! Interdiction d’éjaculer ! Quand tu y seras presque, fais-moi signe. Plus vite maintenant.
Il accélère progressivement son rythme et je commence à émettre des plaintes de plaisir.
Après trois bonnes minutes à cette vitesse il commence à avoir du mal à se retenir et m’avertit de son éjaculation imminente.
Je lui comprime fortement la base du sexe entre le pouce et l’index ce qui lui fait perdre immédiatement toute envie ou possibilité d’éjaculer.
- Si cela ne suffit pas, je peux t’écraser le gland entre le pouce et l’index replié. Cela marche très bien aussi. Allez ! Au boulot ! Madame en veut encore !
Je sais, de mes partenaires précédents, qu’ils craignent mon attitude quand ils ont éjaculé et qu’ils débandent.
- Tu as peur de ce qui va t’arriver quand tu débanderas. Tu as raison. Tu vas souffrir.
Il pense que je lis dans ses pensées. Il reprend sa besogne. Il est vrai que pareil travail ne doit pas être pénible. Je gémis au rythme de ses bourrées. Soudain, je jouis à un moment et d’une manière inattendue. Bon point pour lui.
- Je jouis, je jouis, ne bouge plus !
Il s’immobilise afin de me laisser profiter de mon orgasme. Je ramène un pied sur ses fesses, le prend à deux mains et tire dessus afin de l’enfoncer encore plus profondément moi. Je râle de plaisir. Nous restons ainsi bien deux minutes.
- Retires-toi ! Maintenant tu va me sodomiser. Mais avant cela tu vas m’attacher. Les liens sont prêts à la tête et sur les flancs du lit. Effectivement, j’avais placé des menottes en cuir rembourré aux endroits désignés. Il m’attache les poignets et je me retrouve les bras tirés latéralement, la tête plaquée sur le matelas. Une fois mes chevilles attachées, je lui présente mon cul et ma chate béants.
- Tu peux y aller. Je me suis lubrifiée en me préparant.
Il s’introduit avec douceur dans mon cul.
- Ah ! J’adore cette sensation d’être vaincue. Tu verras. Toi aussi tu vas aimer.
Après quelques mouvements, je deviens véritablement folle et il s’arrête.
- Continue. Tu ne t’arrête que si je crie : Rouge rouge rouge. Tu n’imagine pas comme c’est bon de se voir imposer un plaisir aussi intense.
Il reprend ses va et vient et cette fois je couine comme un cochon que l’on égorge et me débat comme un diable. Il comprend que si je n’étais pas attachée, vu ma force, il ne pourrait pas me maitriser. Il me saisit par les hanches et me pilonne encore plus violemment.
Mes cris redoublent et dans la lutte je pense encore à lui dire : « Et pas question d’éjaculer mon cochon. » Il a du mal à se retenir et sort un instant de mon cul pour pouvoir se retenir. Après une trentaine de secondes il me pénètre à nouveau et notre lutte reprend. Je me sens soudain trempée par un liquide chaud. Je n’en peux plus et me suis laissé aller sur moi.
- Continue ! Tu n’as jamais baisé une femme fontaine ?
Il reprend sa saillie et me fait à nouveau hurler pendant deux bonnes minutes.
- C’est bon ! Tu peux arrêter ! J’ai eu ce que je voulais. Va t’asseoir dans le fauteuil et mate-moi. J’adore être matée par un homme après avoir joui à perdre tout contrôle.
Il s’installe dans un confortable fauteuil et profite d’une superbe vue sur une femme qui vient de jouir. Je continue à pousser des petits cris de plaisir, puis des grognements pendant cinq minutes.
- Ok ! Détache-moi !
Il se lève et avance vers moi.
- Qui ta permit de te lever ! A quatre pattes ! Tout de suite !
Il s’exécute et approche du lit, me détache. Il est bien dans le jeu.
J’enlève le drap, l’alèse et le protège matelas trempés de mon plaisir.
- Un peu de ménage !
Je sors les mêmes pièces propres d’une armoire. Nous refaisons le lit impeccablement.
- Direction la buanderie au sous-sol.
- Je passe par les toilettes.
- Pas question ! Je m’occupe de cela pour toi.
Nous descendons au sous-sol. Il ne manque pas de voir que celui-ci est aménagé en véritable antre de l’inquisition. Il doit éprouver une certaine appréhension sachant que tôt ou tard Je le torturerai avec ces instruments inconnus et qu’il se laissera faire allant même jusqu’à y trouver du plaisir. Je lui ordonne de se remettre à quatre pattes et lui fait remonter les escaliers en le tenant en laisse. Une fois au rez-de-chaussée, j’ouvre le volet et la porte donnant sur le jardin, le fait sortir et traverser la pelouse jusqu’au pied d’un grand marronnier.
- Allez, lève la patte !
Comme il reste dubitatif, je tire une bonne fois sur sa laisse attachée aux couilles et il obtempère. Il fait frais et étant tous deux nus nous ne nous attardons pas à la contemplation d’un ciel pourtant magnifique. Nous rentrons et je referme la porte et le volet roulant.
- Bon ! Passons aux choses sérieuses. Tu m’as bien fait jouir et c’est un bon début. Maintenant, je vais disposer de toi et abuser de ton corps. Tu va souffrir et tu vas jouir comme jamais. Rappelle-toi que tu es libre d’arrêter à tout moment en disant : « Rouge rouge rouge. » Si je te bâillonne, je mettrai dans ta main une alarme à relâchement de pression. Tu arrête d’appuyer et elle sonne.
Je joins une démonstration à la parole et il semble rassuré. N’empêche ! C’est la première fois qu’une femme le tient par les couilles et le fait courir comme un chien. Bizarrement, il n’est pas atteint par ces traitements. Ils n’existent pas dans son monde mais seulement dans une parenthèse ludique librement consentie.
- Ouste ! Au sous-sol !
Une fois en bas, je mets une musique assourdissante avant de refermer a porte. Rien ne filtre. Pas un bruit.
- Ceci pour que tu comprennes que tu pourras crier autant que le veux, personne ne t’entendra et ne viendra à ton secours. Tu m’es complètement soumis.
Nous entrons, je coupe la musique et ferme la porte au moyen d’une serrure codée. Même s’il pouvait me vaincre, il ne sortirait pas. Je règle la musique sur un volume discret et agréable. Je choisis la toccata et fugue en ré mineur de Jean-Sébastien Bach. Son morceau favori.
- Ce n’est pas par hasard ?
- Rien n’arrive par hasard mon cochon ! Je sais que ce qui va suivre va te plaire. Pour certains sévices, il te faudra du recul pour les apprécier pleinement mais tu en redemanderas. Place-toi entre ces colonnes !
Je lui attache poignets et chevilles aux menottes rembourrées. Il est sur ses deux pieds et ses liens sont lâches. Je lui place une cagoule en cuir sur la tête. Il ne voit plus rien et des écouteurs diffusent une musique assez angoissante l’empêchant d’entendre mes déplacements et préparations. Je commande les treuils qui lui écartent fortement les chevilles, puis les bras. La tension sur ses jambes se fait maintenant vers le haut et il perd l’équilibre. Le mécanisme l’élève par les pieds. Il ne sait plus où il est. Il ne le sait pas à ce moment mais il est filmé et je lui ferai l’honneur d’une visualisation commentée de ses prestations avant de détruire les fichiers concernés. Il est en fait pendu, tête en bas, bras et jambes écartés, offrant son sexe, ses couilles et son cul à mes sévices et ce, sans aucune défense possible. J’adore disposer des mecs ainsi. Un moment de calme. D’une poigne ferme je lui saisis les couilles faisant déborder celles-ci hors de la main. J’ajuste ma prise puis je le laisse languir. Je lui donne un coup ferme sur les testicules au moyen d’un « paddle ».
- Oooooohhh !
Une douleur exactement mesurée pour induire le sentiment d’être dominé tout en donnant envie du coup suivant. Mes coups se suivent sans précipitation et malgré les cris de douleur et de surprise, je vois qu’il apprécie. Après un certain nombre, il doit quand même ressentir une douleur persistante qui lui donne envie de se soumettre pour récupérer. Je me place derrière lui et me colle contre son dos. Ma chaleur est apaisante et il se détend. Je lui prends alternativement un testicule puis l’autre en bouche et les suces confortablement. La douleur de la torture disparait et il flotte dans un bien être béat. Je lui fais sentir mes dents puis le relâche.
- Allez ! Déclare-moi ta soumission ! Dis-moi que tu es une salope et toutes sorte de choses humiliantes et féminisantes.
Je lui reprends les couilles en bouche et ferme légèrement les dents.
- Je suis votre soumis, Madame.
Pas assez, je lui fais sentir les dents plus fortement.
- Je suis une salope, Madame. S’il vous plait, corrigez-moi.
Morsure plus forte encore.
- Que peut-on faire de pire à un homme ?
- Je ne sais pas.
- Tu vas le savoir. Le sodomiser !
- Orange, orange, orange.
- Du calme, salope, tu vas aimer et en redemander.
Pendant deux bonnes minutes, il ne perçoit rien. Il est aveuglé et ses écouteurs masquent tous les sons. La musique a changé. J’ai sélectionné le Boléro de Ravel. Je coupe celle-ci.
Je lui introduis un genre de seringue terminé par un flexible d’une quinzaine de centimètres dans le cul. Je m’en sers pour le « lubrifier » copieusement et profondément.
N’empêche. Ne sachant ce qu’il lui arrive, il se crispe et se contracte.
- Laisse-toi aller. Tu n’as aucune douleur à craindre.
J’ai même poussé le confort jusqu’à chauffer le lubrifiant à la température corporelle.
Je manipule les treuils afin de le positionner face contre une table rembourrée et pieds au sol bien écartés. Il est ainsi parfaitement positionné pour subir une saillie contre laquelle il ne dispose d’aucun moyen d’opposition. Ça, c’était ma vengeance de femme. Pouvoir sodomiser un homme. Puis, l’expérience aidant, j’y ai pris plaisir et je leur y ai fait découvrir du plaisir.
Je lui accroche un poids à l’anneau qu’il a aux couilles afin de tendre celles-ci vers le bas.
J’ai revêtu mon double gode et lui titille l’annus. Il se raidit.
- Tu peux te serrer le cul autant que tu le veux mon coco. Lubrifié comme tu l’es, j’y entrerais une courgette sans effort.
Je m’introduis en lui. Doucement, pas trop loin, recule, avance plus loin et quand il commence à prendre confiance, d’un seul coup je m’enfonce doucement jusqu’à la garde. Il crie de surprise pas de douleur. Je commence à le besogner pour mon plaisir et plus tard pour le sien.
- A nous deux mon cochon !
Il m’expliquera par après que dans les premiers instants, il ne ressentit rien de spécial sinon une gêne due à l’objet dans son rectum.
Je n’effectue que de petits mouvements peu profonds. De temps à autre, je pousse mon instrument le plus loin possible et de son aveu postérieur, bizarrement, la chose prend une autre tournure et quand je me retire quelque peu pour reprendre des mouvements plus superficiels, il attend la prochaine saillie avec une certaine impatience.
- Cela te plait, salope ?
- Oui.
- Tu dis : « Oui Madame. Je suis une grosse salope et j’aime cela. »
- Oui Madame. Je suis une grosse salope et j’aime cela.
- Mais. Tout doit être payer. Avant d’avoir du plaisir, il faut souffrir.
Je me retire et je manipule les appareils afin de le présenter pendu par les pieds, joints, les bras détendus. Je lui détache les mains puis les menotte derrière le dos, chaque poignet attaché au coude opposé. Sur le film, on me voit tourner autour comme une lionne autour de sa proie. Je commence à lui frapper les fesses, alternativement la gauche puis la droite. Les coups sont légers mais leur répétition devient douloureuse. Je vais continuer jusqu’au premier sang. Au débriefing, je lui fais remarquer que la chose dure un quart d’heure. Cela lui avait semblé beaucoup plus court. Il m’explique qu’à ce moment, il était impatient d’être à nouveau pénétré. Je le rattache à la machine et le repositionne pour une nouvelle saillie. Je le saisis par les hanches et je place mon gode sur mon anus. Je le sens impatient mais le fait languir.
- Tu as envie d’être prise, sale cochonne ?
- Oui Madame. Je suis une salle cochonne qui voudrait que vous la défonciez.
Je m’introduis de quelques centimètres. Il tente de pousser son cul à ma rencontre mais ne peut le faire vu ses liens. Je me retire. Cela l’excite tellement qu’il a une trique d’enfer.
- Mais c’est qu’elle bande, la salope ! Interdiction de bander ! Fais-moi retomber cette queue tout de suite !
Vite dit. Il ne trouve pas de possibilité d’exécuter cet ordre et, il faut le dire, je ne fais rien pour lui faciliter la tâche et répétant mes légères introductions.
- Très bien ! Tu vas goûter à la cage de chasteté !
Mouvement de machines et je le repose dos sur le support. Après quelques instants, je lui manipule le sexe et les testicules afin de lui placer la cage ce qui n’incite pas son érection à s’estomper. D’une main experte, je lui place l’anneau autour de sa queue en passant derrière ses couilles, la fermeture arrière et avant. Je lubrifie l’intérieur du tube de la cage et sa queue que je veille à bien décalotter. Je lui place le tube sur celle-ci, tube qui évidement est trop étroit et trop court. Je sens son sexe buter au fond de celui-ci. Je fais quelques mouvements de va et vient afin d’encore forcer son érection, puis je le préviens.
- Tu n’as pas voulu débander. Maintenant tu vas déguster !
Je tire l’anneau vers le tube et parviens à joindre les deux pièces sous ses cris de douleur. Il a le tube sur le bout de son sexe et ses couilles tirées vers l’avant.
- Alors, on continue ?
- Ou… Oui. Oui Madame.
A ce moment, je l’abandonne dix minutes afin d’aller boire un perrier citron.
- Hé bien voilà. Un grand fort type monté comme un petit cheval qui se retrouve avec une toute petite queue. Rappelle-moi ta soumission ?
- Je suis votre soumis, Madame. Vous pouvez faire de moi ce que vous voulez et je ferai ce que vous voulez.
- Bien.
Nouveau mouvement de machine et le voici à nouveau présenté pour la bourrée.
Je joue de nouveau et alors que je le sens désespéré d’être pénétré, je le défonce d’un ample mouvement de bassin qui lui arrache un cri de plaisir. Je le pilonne et je le sens glisser dans une autre réalité. Mon plaisir commence à monter et mon orgasme m’arrache un cri de plaisir. Je fais encore quelques mouvements puis je m’immobilise pour savourer celui-ci. Je sais qu’il aurait voulu quelques minutes, quelques secondes de plus pour pouvoir jouir aussi. Après deux minutes de repos, Je me reprends.
- Tu n’as pas joui. Tu sens la frustration.
- Oui Madame.
- Cela fait partie du jeu. Cela s’appelle le ‘edging. ». Je contrôle ton orgasme. Je t’y amène presque et j’arrête. Puis je recommence tout de suite ou plus tard. Je peux, par exemple t’exciter comme une bête tous les jours de la semaine et te faire jouir seulement le samedi. A propos, de quand date ta dernière éjaculation ?
- Cela fera six semaines dimanche, Madame.
- C’était avec Bernadette !
- Oui. Comment le savez-vous ?
- Bernadette est une amie et elle me confie tout. Moi de même.
- Alors elle est au courant pour notre rendez-vous ?
- Oui.
- Il comprend mes sourires amusés. Vous lui avez fait part de ce que vous contiez me faire et vous allez lui raconter nos ébats après ?
- Oui. Et si tu le veux bien, nous regarderons même le film ensemble. Qu’en dis-tu ?
- Euh ? Oui. Pourquoi pas.
- Bon. Maintenant j’ai envie de me défouler. Une bonne partie de fouet, cela te dit ?
- Oui Madame.
En fait, il était prêt à tout pour peu que le jeu continuât.
- Un jour, je te ferai éjaculer rien qu’avec des coups de fouet. Tu verras comme c’est bon.
Je manie la télécommande et la machine le positionne Upside down, pieds joints et bras écartés. Je lui enlève la cagoule et il me retrouve dans une superbe tenue de lanières de cuir noir. Avant de commencer, je lui enduis les fesses d’un baume apaisant très efficace. Puis, tournant autour de lui pour le jauger, me mettre en appétit et faire monter son angoisse, je fais claquer mon fouet à plusieurs reprises. Je donne un premier coup qui lui brûle le dos et lui arrache un cri. Quelques coups claquent en l’air et je fais traîner pendant une minute avant de donner un second coup qu’il ressent moins. Même scénario avant le troisième coup qu’il sent à peine. Puis je me lâche. Les coups pleuvent sans trop le faire souffrir. Quand ma rage est passée, j’actionne la machine et le pose sur le sol pour le détacher. Je l’aide à se lever et il titube.
- T’inquiète. Le fouet était enduit d’un anesthésique. Raison pour laquelle tu n’as presque rien senti. Allez ! Tous les deux à la douche et au lit. Demain, 04H25 debout pour le footing.
Il me montre la cage de chasteté s’attendant à en être libéré.
- Tu vas t’habituer. Tu vas voir.
Après nous être douchés, il mit un temps fou à se sécher convenablement la queue et les couilles sous mon regard amusé.
- Ce serait mieux si je te l’enlevais pour la douche.
- Oui Madame.
- Mais ce serait moins marrant pour moi.
Nous nous sommes couchés et je lui attrapai le bras gauche qu’il avait posé sur mon sein droit, sa main sur mon épaule. J’ai refermé mes bras sur le sien et nous nous sommes endormis. Dans la nuit, nous nous sommes réveillés et tournés sur le flanc gauche. Je lui ai saisi les couilles de ma main droite et les a pressées non pas pour lui faire mal mais juste pour lui indiquer que j’étais aux commandes.
- Là. Tu es en main. Tu le sens ?
- Oui Madame.
- Non. Seulement oui. Si cela te dit, le jeu est en pause et nous sommes en couple.
- Ok.
Et nous sommes partis d’un grand éclat de rire pour ne plus nous quitter.
- Donc, 04H25 - levé. 04H30 – Footing. 05H30 - Douche. 06h00 - Déjeuné. De 06H30 à 08h30 - On travaille. 09h00 Nous avons de la visite.
- Qui ?
- Bernadette.
- Ah oui …
- Et si tu le souhaite, le jeu peut reprendre.
- Ok. Ça me dit. Mais je n’ai pas mes dossiers pour travailler.
- Karl les déposera à 06H30. Je le lui ai demandé. Il prendra ta voiture pour la faire nettoyer. Tu es … maniaque, je crois.
- J’assume.
- A midi. Restaurant avec Bernadette et Jean-François si son travail est terminé. Cela te dit aussi.
- Oui. Très bien. Cela me fait vraiment plaisir.
- Je l’espérait. L’après-midi, nous monterons jusque chez toi. Tu me feras visiter « Hurlevent ». Du temps de ton oncle, les gens n’osaient pas traverser la propriété. Sais-tu que tu es très bien vu dans le pays ?
- Non. Je suis naturellement aimable et cela me fais plaisir de pouvoir rendre un service.
- Si tu es d’accord, Marie et Pierre voudraient nous voir le soir. Nous pouvons les recevoir chez toi. Karl n’attend que l’ordre pour se mettre au travail.
- Marie et Pierre. Mais c’est une réunion d’anciennes partenaires sexuelles. D’accord.
- Comment crois-tu que j’ai eu les tuyaux pour tendre mes filets ? Entre femmes, il faut se soutenir. Et je peux te dire qu’aucune de tes ex n’a eu le moindre propos négatif à ton égard.
- Pourquoi m’ont-elles quitté alors ?
- Tu t’attaches trop vite. Cela fait peur aux femmes.
Voici un premier petit récit écrit par Wanda. Nous pouvons continuer à vous divertir. Pour ce faire, dites-nous ce que vous en pensez. Qu’avez-vous apprécié ? Quelque chose vous a-t-il déplu ? Certains récits seront de la main de Serges.
Si vous avez aimé, suivez-nous dans : Wanda 2 – Première journée de vie commune.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Bonsplaisirs
5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore une histoire non fini dommage
Très joliment écris elle le domine crescendo et c'est cela qui me plais.
La suite est ce la travestissement ?
La sodomisation a la main ou avec objets ?
Ou tout autre chose ?
Continuez sur ce chemin et merci pour ce très joli récit.
La suite est ce la travestissement ?
La sodomisation a la main ou avec objets ?
Ou tout autre chose ?
Continuez sur ce chemin et merci pour ce très joli récit.
Il y a du rythme, c est bien écrit et suffisamment évocateur. Peut être faire passer le
récit d un participant à l autre pour saisir son doute et ses angoisses..beau récit..
récit d un participant à l autre pour saisir son doute et ses angoisses..beau récit..
excellent vivement la suite
excellent vivement la suite