Wassila et Salim 8ème partie. Krimo, mon maître
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-08-2010 dans la catégorie Plus on est
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Wassila et Salim 8ème partie. Krimo, mon maître
Wassila et Salim - 8ème partie.
Krimo,mon maître
Wassila m’avait téléphoné quelques jours après l’aventure à l’hôtel avec les trois hommes qui l’avaient possédée et qu’elle n’avait pu voir. Ce coup de téléphone très étonnant de sa part, n’avait d’autre but que de s’éclaircir les idées qui semblaient s’entremêler dans sa tête : d’un côté, elle était encore obsédée par toutes les belles sensations qu’elle avait ressenties, au cours de cette fameuse nuit à l’hôtel. Au fond d’elle-même elle voulait revivre l’expérience pour encore avoir les mêmes sensations, qu’elle savait pourtant intimement liées à la nouveauté de la chose. Elle savait qu’une deuxième ou une troisième expérience n’auront pas le même résultat sur le plaisir qu’elle espérait prendre.
Mais c’est surtout une autre obsession qui l’habitait : elle se rappelait Krimo, le patron de l’hôtel-restaurant qui l’avait charmée et dont Salim lui avait vanté la virilité et l’endurance. Même quand elle faisait l’amour avec son mari et qu’il la faisait grimper aux rideaux, elle pensait à lui et l’imaginait sur elle, à la place de Salim. Elle n’en avait rien dit à son mari, parce qu’elle voulait être, pour une fois, la seule maîtresse d’oeuvre d’une nouvelle expérience érotique. Elle venait de décider de se libérer du « mentoring » de Salim et prendre, seule, ses décisions. Elle lui en parlerait bien entendu, une fois l’aventure terminée, ou même pendant, si elle dure plus d’une journée.
Je ne fis qu’écouter ce qu’elle disait, sans rien dire qui puisse la détourner de son nouvel objectif ou qui l’encourage à foncer tête baissée. En ma qualité de chroniqueur, je me devais de rester neutre. Je murmurai donc des oui et des non, ou produisis des sons sans signification particulière, qui n’engageaient à rien, et la laissai prendre sa décision toute seule. Ce qu’elle fit d’ailleurs très bien. Son coup de fil, m’avoua-t-elle plus tard, quand elle me raconta toute l’histoire, n’avait d’autre but que s’éclaircir les idées. C’était comme si elle réfléchissait à haute voix. Elle prit donc sa décision d’aller à la rencontre de Krimo et d’entamer avec lui une nouvelle expérience érotique.
Voila donc toute l’histoire, telle que Wassila me la raconta environ deux semaines plus tard.
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Pendant une quinzaine de jours après l’aventure de la chambre d’hôtel, Salim et moi avions gardé le souvenir du plaisir que nous avions pris et de la répercussion heureuse qu’elle avait eue sur notre couple. Pendant cette quinzaine nos étreintes quotidiennes étaient sous influence: celle du souvenir des trois inconnus qui m’avaient tirée dans une chambre d’hôtel, alors que j’étais dans l’impossibilité de les voir. A chaque fois qu’il me faisait l’amour, Salim revoyait en pensée la scène des trois hommes me tirant sans ménagement et devenait fou de désir. Moi aussi je me remémorais toutes les sensations que j’avais eues et je cherchais à les revivre avec mon mari.
Mais de plus en plus, s’insinuait en moi l’idée de recommencer. Non pas avec les mêmes hommes, ni de la même manière. Je savais que plus jamais, même en revivant la même chose, je n’aurais le même type de sensations. Ce qui m’avait emmené dans le plaisir et l’extase, c’était avant tout le mystère, la nouveauté et l’inconnu. En recommençant la même chose, il n’y aurait plus de situation nouvelle, ni donc de mystère. Ce sera du réchauffé et le réchauffé est l’ennemi du plaisir. Ce que j’avais en tête et qui devenait de plus en plus obsédant, c’était l’image de Krimo, le patron de l’hôtel-restaurant, que j’avais gardée profondément enfouie en moi.
Je revoyais cet homme grand, mince, osseux (un faux maigre) avec des épaules larges, un visage aux traits anguleux, avec une fine moustache noire qui me rappelait les mauvais garçons des films de gangsters en noir et blanc des années cinquante. Et surtout, je revoyais en imagination, cette immense bouche de prédateur, prête à croquer tout ce qu’elle pouvait saisir. Je me rappelais aussi, ce qu’en disais Salim, quand il voulait le mettre dans mon lit, en prétendant qu’il avait un zob immense et qu’il était insatiable en amour. Qu’il ne se suffisait jamais d’un coup, ou même de deux !
Au fur et à mesure que le temps passait, cette image de Krimo entrain de me tirer plusieurs fois de suite, en me faisant monter chaque fois au septième ciel, ne quittait plus mon esprit. Pendant longtemps je n’en avais rien dit à Salim. Je savais que si je lui avouais ma nouvelle fantaisie sexuelle, il ne tarderait pas à le ramener à la maison, ou à m’emmener chez lui à l’hôtel. Or ce que je voulais, c’était que moi – toute seule – je le séduise et l’emmène à me désirer et à me tirer. Je ne voulais plus dépendre de mon mari pour le choix de mes amants. Ni pour l’organisation de mes séances de jambes en l’air. Je voulais être la maîtresse absolue de ma vie sexuelle.
Mais je ne savais pas comment m’y prendre pour rencontrer Krimo et lui signifier que j’avais jeté mon dévolu sur lui, pour qu’il devienne mon amant et mon maître. Je ne pouvais pas, décemment aller directement à l’hôtel et le draguer. D’une part, je savais qu’il verrait cela d’un très mauvais œil, parce que c’aurait été le comportement typée d’une fille de mauvaises mœurs (une pute, quoi !) et d’autre part, je n’étais pas sûre que j’aurais pu le séduire de cette manière et, surtout, le rendre accro à moi. Je décidais d’en parler à Salim un matin au réveil, mais en lui avouant seulement que son ami Krimo me plaisait et que je voudrai bien le rencontrer. Mon mari me regarda longuement avec ses yeux pénétrants et son sourire moqueur, qui m’indiquaient clairement qu’il n’était pas dupe, puis tira son stylo, chercha sur son portable un numéro et le retranscrivit sur un bout de papier.
- C’est son numéro. Tu peux l’appeler tous les matins vers dix heures, heure à laquelle il se lève. Je t’avertis, c’est quelqu’un de très soupçonneux, qui se méfie des coups fourrés. Il en a tellement vu dans sa vie, qu’il se méfie de tout. Alors si tu veux le séduire, tu devras faire preuve de beaucoup de finesse et d’imagination. Si tu veux, je m’occupe de te l’amener.
- Non ! Je veux essayer toute seule !
Il me donna le bout de papier, m’embrassa tendrement sur la bouche, me lança une œillade moqueuse et partit pour son travail. Je restais seule à imaginer tout ce que je devais dire et faire pour arriver à mes fins. J’imaginais toutes sortes de scénarios pour l’aborder et l’amener à s’intéresser assez à moi, pour qu’il me propose lui-même de me rencontrer. Allais-je lui avouer la vérité, en lui disant qu’il me plaisait et que j’avais une folle envie de me faire tirer par lui ? Allais-je louvoyer et inventer une histoire à dormir debout, pour attirer son attention et l’amener à souhaiter me rencontrer ? Ou allais-je tout simplement improviser en fonction de la situation ? Je ne répondis à aucune des questions, me contentant d’attendre dix heures pour décider.
Et à dix heures, toute tremblante – comme si, ce que j’allais dire ou faire allaient décider de mon bonheur, ou de mon malheur – je formai le numéro que m’avait donné Salim et attendit que Krimo décroche.
- Allo, oui !
- Bonjour ! Je suis Wassila, la femme de Salim, ton ami ! Tu te rappelles de moi ?
- Qui ?
- Wassila ! L’épouse de Salim !
- Ah ! Bonjour Wassila ! Comment vas-tu ? Comment va Salim ?
- Très bien merci ! …
Je restai silencieuse quelques longues secondes, ne sachant vraiment pas quoi dire. J’étais paniquée et mon cœur battait la chamade. Je voulais même raccrocher, tant je me sentais ridicule ! Ce fut lui qui dégela l’atmosphère, se rendant certainement compte de ma gêne.
- Que puis-je faire pour toi, ma grande ? Si tu as besoin de tonton Krimo, il est totalement à ton service ! Quoi que ce soit !
- Toi !
J’avais lâché ça rapidement et fort, comme si j’avais peur qu’il n’entende pas et surtout qu’il ne comprenne pas ce que je lui demandais.
- Moi ? Quoi moi ?
- C’est de toi dont j’ai besoin ! Je n’arrête pas de penser à toi depuis la dernière fois et j’ai vraiment envie de te revoir et de mieux te connaître !
- Me connaître comme tu as connu les trois hommes de l’autre nuit ?
- Mieux que ça ! Eux je ne savais ni qui ils étaient, ni même à quoi ils ressemblaient ! Eux c’était surtout pour mon mari ! Pour lui donner du bonheur ! Toi c’est surtout pour moi !
- Tu veux dire que je te plais ? Et que tu as envie de prendre du plaisir avec moi ? Tu ne sais pas ce que tu risques avec moi. Je suis quelqu’un de très difficile et de très exigeant de mes petites amies ! Je ne veux pas les appeler mes maîtresses, parce qu’avec moi, il n’y a qu’un maître – moi ! – et pas de maîtresses.
- Je suis partante ! Salim m’a déjà dit que tu étais quelqu’un de spécial en amour. Et un super coup ! Cela n’a fait qu’ajouter à ma curiosité. Et à mon désir d’avoir une relation, courte ou suivie, avec toi.
- Et Salim dans tout ça ? Tu sais que c’est mon ami et que je n’aimerais pas faire quelque chose qui le contrarie !
- Salim en sera très heureux ! Il m’avait même proposé de s’occuper lui-même d’organiser notre rencontre. C’est moi qui aie refusé, voulant te séduire toute seule ! Dis-moi que je te plais !
- Tu es une femme superbe ! La dernière fois, j’aurais voulu m’occuper de toi, moi-même ! Et tout seul ! Malheureusement Salim avait opté pour un autre scénario, avec trois hommes; et moi, je ne suis pas partageur ! J’ai donc refusé de participer à l’expérience. Je suis un vrai jaloux ! Si tu deviens ma petite amie, tout le temps que tu le seras, tu me seras fidèle (à part Salim, bien entendu) ! Je n’accepte pas le partage de ma chose, avec d’autres hommes ! J’ai la prétention de complètement satisfaire les besoins sexuels de mes partenaires et de ne laisser en elles aucune frustration qui puisse leur faire désirer un autre homme.
- D’accord ! D’accord ! criai-je presque.
Pendant toute la discussion téléphonique des sentiments bizarres m’étreignaient. D’une part, j’avais été très rapidement rassurée sur le vif intérêt que me portait mon interlocuteur. Un intérêt tout sexuel qui datait de la nuit même où nous nous étions rencontrés. Je lui plaisais et le fait qu’il savait ce que j’avais fait (ou plutôt ce qu’on m’avait fait) dans la chambre ne semblait pas avoir refroidi son intérêt pour moi. Et cet intérêt me rendait folle de joie parce qu’il promettait à mes sens des tonnes de plaisir. D’un autre côté, Krimo m’avait envoyé une sorte d’avertissement qui signifiait qu’il ne voulait pas que j’aille papillonner ailleurs, tant que lui ne m’aurait pas jetée. Je n’ai encore jamais eu affaire avec un homme vraiment jaloux et possessif. Tous mes amants – mon mari compris – acceptaient de me voir butiner d’un homme à un autre, et même prenaient plaisir à participer à mes égarements de nymphomane en devenir. Krimo, lui, semblait appartenir à la race des prédateurs exclusifs : tout devait n’appartenir qu’à lui seul. Surtout s’agissant de ses petites amies. Mais même cette crainte, pour le moment sourde et cachée dans un coin de mon cerveau, n’arrivait pas à refroidir ma joie de bientôt être la chose de Krimo, sa poupée ou sa chienne, comme il le voudra. Avant même qu’il ne me rencontre et qu’il ne pose une main sur moi, j’acceptais de lui appartenir complètement. J’étais déjà dans l’état d’une amoureuse passionnée, ne vivant plus que pour son Homme !
- On se rencontre où ? questionnai-je, espérant fortement qu’il allait me répondre « à l’hôtel ! ».
Je voulais vraiment que notre relation commence dans le même hôtel, où nous nous étions rencontrés. Où, sans réellement connaître l’endroit, j’avais mes repaires. Où surtout j’avais des souvenirs de plaisirs intenses, que j’espérais retrouver et même démultiplier. Je craignais que lui, par contre, refuse l’endroit, parce qu’il aurait toujours présent à l’esprit la nuit où j’avais été offerte à trois inconnus.
- A l’hôtel ! Chez-moi, ce ne sera pas possible, parce qu’il y a mon ex et mes deux filles qui sont venues passer des vacances (Elles vivent en France et viennent passer quelques semaines tous las ans. Je leur laisse l’appartement et m’installe à l’hôtel). Et puis tu connais l’endroit; tu peux y venir en taxi. Viens tout de suite, comme cela on mangera ensemble à midi et nous monterons ensuite dans ma chambre.
- OK ! J’arrive !
- Avant ça, tu appelles Salim et tu l’informes que tu restes avec moi au moins jusqu’à demain. Je n’ai pas l’intention de te tirer comme une pute, à la va-vite. Je veux que tu prennes conscience, qu’une fois avec moi, tu deviendras ma propriété et que c’est moi qui déciderai de tout. Y compris du moment où tu devras rejoindre ton foyer et ton mari.
Je pris un taxi et au bout d’une heure et demie – avec la circulation infernale d’Alger et de sa banlieue, ce fut un record – je fis mon entrée dans le hall de l’hôtel, où je trouvais Krimo qui m’attendait. Il était habillé de la même manière que la fois où je l’avais rencontré : un costume d’été en flanelle grise, avec une chemise blanche en soie, dont les boutons supérieurs étaient ouverts et laissaient apparaitre une poitrine velue et puissante. Il était grand et semblait maigre. Ses épaules étaient très larges, ses bras longs et puissants et ses hanches étroites. Mais c’était surtout son visage qui était exceptionnel : buriné et anguleux avec une puissante mâchoire de carnassier. Et sa bouche ! Une bouche de prédateur, grande avec deux rangées de dents blanches bien plantées, mais sans la régularité des publicités pour dentifrice : c’étaient des dents de fauve qui étaient faites pour mordre et déchiqueter. Il avait aussi des lèvres fine et fermes, dont la supérieure était surmontée d’une moustache qui ressemblait à un trait de crayon bien noir. Il me rappelait Errol Flynn, l’acteur américain des années cinquante, dont il avait la carrure et la dégaine.
Il s’avança vers moi, bras ouverts, comme pour m’inviter à aller me blottir contre lui. Ce que je fis sans hésitation. Il me serra très fort quelques secondes, me montrant toute la puissance de ses bras, puis déposa un baiser très doux sur ma joue droite. Je ressentis immédiatement comme une décharge électrique qui irradia sur tout mon corps, en ondes concentriques, dont le point central était situé à l’intérieur de mon bas ventre. Nous restâmes ainsi quelque temps, silencieux, puis il relâcha son étreinte, me pris par les épaules et m’éloigna d’une vingtaine de centimètres, pour bien me regarder.
- Tu es toujours aussi magnifique ! dit-il. Salim a bien de la chance ! Et moi aussi ! Allons manger !
Il prit mon bras gauche et le passa sous son bras droit, et bras dessus, bras dessous, comme un vrai couple d’amoureux, nous allâmes vers la salle de restaurant, qui se trouvait au fond du rez-de-chaussée, en face de la réception. La salle était encore vide à cette heure-ci, mis à part un couple de jeunes amoureux - probablement des nouveaux mariés, en voyage de noces - trop occupé à se noyer dans les yeux l’un de l’autre, pour faire attention à quoi que ce soit d’autre. Notre table était prête. Krimo se comporta avec galanterie: il tira ma chaise à la manière des gentlemen, pour me permettre de m’assoir et, une fois assise, la poussa vers la table pour que je sois à l’aise. Il s’assit sur la chaise en face de moi. Il me prit la main et y déposa un léger baiser sur le dos, puis la retourna pour m’embraser plus longuement sur la paume.
En faisant cela, il me regardait avec ses petits yeux malicieux, sachant que son léger baiser avait sur moi un effet extraordinaire: je ressentais comme un frisson qui me parcourait l’échine et allait titiller toute mon intimité: je commençais à sentir ma chatte palpiter et se mouiller. Krimo ne lâcha ma main que quand le serveur apporta l’entrée. Nous mangeâmes avec appétit, mais j’étais vraiment pressée que le repas finisse, pour me retrouver seul avec lui dans sa chambre. Je me sentais de plus en plus excitée et je voulais sauter sur lui et le dévorer tout cru. Lui par contre, paraissait calme, sûr de lui et absolument pas pressé. Il savait que j’étais entrain de bouillonner et il voyait que je tremblais d’impatience. Il me parlait de tout et de rien, de sa voix douce, qui me donnait des frissons. Il me parla de sa famille, de ses filles surtout qu’il adorait mais qui vivaient loin de lui avec leur maman. Il me parla de sa femme qui l’avait quitté, il y a quelques années, pour aller se réfugier en France, alors que lui, il voulait rester au pays, malgré le danger mortel et l’insécurité qui y régnaient à l’époque.
Il parlait, mais je n’entendais plus rien. Je voyais ses lèvres bouger, mais je ne saisissais plus ce qu’il disait. J’étais ailleurs. J’imaginais ses lèvres se promener sur mon corps et me transporter de plaisir. J’imaginais ses mains me caresser partout et essayer d’éteindre le feu qui avait pris en moi et qui n’arrêtait pas de s’étendre. Il avait transformé mon entrecuisse en brasier. Je n’en pouvais plus d’attendre ce diable d’homme, qui lui, ne semblait pas pressé de me posséder. Il semblait même s’amuser du désir qu’il lisait en moi comme dans un livre ouvert.
- Allons dans ta chambre ! Je n’en peux plus ! J’ai tellement envie de toi, que je suis capable de sauter sur toi, ici même devant les clients et les serveurs !
- On se calme ! Le plaisir n’en sera encore que plus grand, parce que tu l’auras beaucoup attendu ! Aller lève-toi ! On y va !
Et il m’entraîna vers l’ascenseur. Nous montâmes gentiment, bras dessus – bras dessous, et nous nous arrêtâmes au quatrième étage. Comme l’autre fois ! Il ouvrit la porte de la chambre et, surprise ! Je me retrouvais dans la même chambre où je fus possédée par les trois inconnus. C’était la même chambre et le même lit immense!
- C’est ta chambre ?
- Oui ! Elle m’est réservée toute l’année. Parfois, comme la dernière fois, je la prête à des amis pour des rencontres amoureuses. Ne t’en fais pas, les draps ont été changés depuis !
Je me jetais sur Krimo pour l’embrasser. Je voulais goûter à ses lèvres fines et fermes et surtout connaître la chaleur de ses baisers. Je voulais qu’il m’embrasse avec violence et qu’il m’étouffe avec sa bouche. Je lui pris le visage dans mes mains et posai mes lèvres sur les siennes. Il se laissa faire un tout petit moment, puis se déchaîna comme un ouragan. Il passa ses mains sur ma nuque et emprisonna ma tête pour qu’elle ne puisse plus quitter le lieu. Ses lèvres aspirèrent les miennes et je sentis sa langue venir à l’entrée de ma bouche. Elle était à la recherche de la mienne, qui un moment voulut s’opposer à elle. Elle recula très vite, vaincue par la force de l’assaillante. Elle s’installa presque définitivement dans ma bouche et joua avec ma langue qu’elle titilla, avant de lui monter dessus et de s’enrouler autour d’elle.
Les baisers de Krimo produisaient de toutes petites décharges électriques. De l’électricité qui ne faisait pas mal, mais qui chatouillait et transportait ces chatouilles, comme des ondes très agréables à l’intérieur de tout mon corps. Des décharges qui s’accompagnaient d’une chaleur douce qui irradiait partout dans mon corps en passant par ma colonne vertébrale. Il me semblait, pendant que j’échangeais des baisers avec mon amant, que tout mon corps frissonnait et tremblait. De désir et de plaisir ! Mon bas ventre me brulait et ma chatte palpitait au rythme des battements de mon cœur. Ce dernier battait très vite et très fort. J’étais en état de transe et d’attente de mains qui allaient me débarrasser de mes habits et s’emparer de mon intimité.
Mes seins étaient tellement tendus, qu’ils me faisaient mal. Ils voulaient qu’une main d’homme s’en emparât; qu’une bouche d’homme s’en occupât. Ma chatte palpitait et se remplissait de mouille, que le désir commençait à produire en quantité. Même mon anus me démangeait et voulait sa part de plaisir.
- Déshabille-moi ! ordonnai-je à mon homme.
- Non déshabille-toi, toute seule ! Je veux admirer le spectacle ! Enlève tes habits en commençant par le bas ! Je veux d’abord voir ta chatte et ton cul ! Peut-être même que je te baiserais sans que tu enlèves le haut !
Vaincue, et folle de désir, j’obéis à l’ordre que venait de me donner mon maître. Je dégrafai le bouton qui tenait ma jupe et fis descendre le zip d’un geste rapide. Je descendis la jupe en tortillant des hanches et me retrouvait très vite en petite culotte de soie noire. Je regardais les yeux de mon amant et vis qu’il était satisfait du spectacle qu’il avait sous les yeux. Il voyait mes longues jambes, lisses, fermes et musclées, dont les hauts talons que je portais accentuaient le galbe. De même qu’ils accentuaient la cambrure de mes fesses, qui étaient déjà, naturellement, bien rondes, bien hautes et bien dessinées.
- Tu es exactement comme je me l’imaginais ! Enlève ta culotte et montre-moi ta chatte !
J’obéis très vite. En un tour de main, toujours en tortillant des fesses, je fis descendre le morceau de tissu jusque sur mes mollets. Je levais la jambe droite pour faire sortir la culotte, qui resta accrochée à mon mollet gauche. Le spectacle dut beaucoup plaire à Krimo, qui s’approcha de moi, pour venir me mater de plus près. Il porta ses mains entre mes cuisses pour me les faire ouvrir très grandes et admirer ma chatte. Ses yeux brillaient de désir et sa bouche s’était ouverte, comme pour venir s’emparer du trésor qu’il était entrain de regarder. Il fit glisser sa main droite sur mes grandes lèvres et la fit aller et venir plusieurs fois avec force. Presque avec brutalité. Le contact de sa main sur ma chatte, me fit pousser un long gémissement de satisfaction.
Je sentis immédiatement du liquide chaud et visqueux qui sortait d’entre mes grandes lèvres, pour aller sur les doigts de Krimo. Il me regarda dans les yeux et me fit son merveilleux sourire de carnassier.
- Tu es en chaleur ma petite salope ! Tu mouilles ! Tu veux être pénétrée tout de suite par ton maître ! Tu veux qu’un gros zob vienne te défoncer la vulve. Et bien le moment n’est pas encore arrivé. Je veux que tu attendes encore un peu. Je veux que tu me déshabille d’abord. Lentement; en commençant par mes souliers. Je veux que l’attente soit longue et que le désir et l’impatience atteignent les limites absolues. Les limites au-delà desquelles, il n’y a que la mort ! Plutôt mourir que d’attendre encore plus longtemps la délivrance du gros zob qui pénétrera ta chatte et prendra possession d’elle. Aller viens m’enlever les chaussures !
Je me mis à genoux devant lui, tout le bas de mon corps nu et le haut portant un chemisier en soie rouge et un soutien gorge à balconnets de la même couleur. Je me mis à défaire frénétiquement les lacets du soulier droit de mon homme, à lui faire soulever le pied et à lui ôter la chaussure, puis la socquette, avant de passer au pied gauche et refaire, tout aussi frénétiquement, les mêmes gestes. J’avais jeté pêle-mêle chaussures et socquettes et voulut m’occuper, immédiatement après, du pantalon. J’étais pressée de voir le gros zob de Krimo et de m’emparer de lui. Mais lui, voulant toujours me rendre folle de désir et d’impatience, m’ordonna de passer à son haut: sa veste de costume et sa chemise en soie. Je m’y mis aussitôt, en faisant aussi vite que je pouvais. Je n’y tenais plus. J’avais les mains qui tremblaient et qui avaient du mal à réussir du premier coup, les gestes qu’il fallait faire.
Je dus mettre plus de deux minutes pour venir à bout de la veste et de la chemise. Il faut dire que mon homme mettait du sien pour me compliquer la tâche. Son objectif avoué était de me mettre les nerfs à vif, à force d’impatience. Quand je réussis enfin à mettre Krimo torse nu, il m’attrapa par la nuque et obligea ma tête à venir se coller contre sa poitrine.
- Embrasse-moi ! fit-il. Je veux sentir tout ton désir dans les baisers que tu me donneras sur la poitrine. Je veux qu’avec tes lèvres et ta langue, tu m’emmènes aux portes de l’orgasme. Tu as une bouche, des lèvres et une langue faites pour ça ! Vas-y !
Toujours tremblante de désir et, commençant à ressentir la frustration de garder ma chatte vide, je me mis à promener mes lèvres et ma langue sur la poitrine velue de Krimo. Il avait les muscles pectoraux fermes, durs, mais très sensibles aux caresses de mes lèvres et aux titillements de ma langue. Je sus très vite, en sentant sa main se crisper sur ma nuque qu’elle ne lâchait plus, qu’il aimait ce que je lui faisais. Pendant que je continuais de promener mes lèvres et ma langue sur la poitrine de mon homme, en insistant très longuement sur les tétons, je lançais ma main droite vers le devant du pantalon, pour tâter le monstre et tester sa grosseur et son degré de désir.
Non seulement, je mis la main sur une bosse monumentale, montrant le degré d’excitation de mon amant, mais je sus maintenant qu’il n’y avait pas que moi qui tremblait d’impatience. Krimo aussi, qui jouait à celui qui pouvait attendre encore toute une éternité, était en fait aussi excité que moi et qu’il était donc, lui aussi, en mon pouvoir. J’arrêtais immédiatement mes baisers, pour m’occuper de sortir l’engin de sa cachette. Je me mis à genoux devant lui, et les mains toujours aussi tremblantes, je commençais à défaire la ceinture, à déboutonner le pantalon et à descendre le zip. Je voulus faire sortir immédiatement le zob, qui palpitait sous ma main à travers le tissu du slip, mais Krimo m’en empêcha. Il voulait que je lui enlève totalement le pantalon, puis le slip, pour rester nu et me présenter son manche, dans toute sa splendeur.
Je fis ce qu’il me demandait et me trouvais, toujours à genoux devant lui, face à un énorme zob, très brun, long, gros, lisse et surmonté d’un gland tuméfié et pointu. Il frémissait de désir. Je tendis la main pour enfin le toucher, le caresser et le serrer. Il était enfin à ma portée ! Il m’appartenait ! Je le voulais ! Je regardais Krimo dans les yeux pour essayer de deviner ce qu’il voulait que fasse. Je me demandais s’il voulait que je lui fasse d’abord une belle fellation ou si je devais me lever de par terre et le trainer par son magnifique zob, pour l’amener sur le lit où il pourra me tirer. Rien de tout cela ! Il tendit la main pour prendre la mienne et la tira de manière à me mettre debout.
Il me prit par la taille et me souleva de quelques centimètres et me porta ainsi jusqu’à la porte d’entrée, qui était à environ deux mètres de nous. Il me plaqua contre elle, me souleva la jambe gauche, en me prenant par-dessous le genou et se plaça de manière à me pénétrer debout. Il plia légèrement les genoux et mit son gland tuméfié entre mes grandes lèvres, qui s’ouvrirent toutes seules, tant elles étaient mouillées. Il dona un puissant coup de rein et je me retrouvais complètement empalée sur l’immense zob. C’était divin ! Le manche de Krimo dégageait une superbe sensation de force et de puissance dans mon vagin. Il était le maître des lieux ! Il était chez lui ! Krimo le faisait monter et descendre par de puissants coups de reins. Il limait les parois de mon vagin avec une telle force, que je sentais l’endroit s’embraser et se consumer.
Ma chatte produisait des quantités inouïes de mouille que je sentais couler le long de mes cuisses et mes genoux, pour aller s’étaler par terre. Mon bel amant, au cou duquel j’étais solidement accrochée, poussait des han de boxeur s’entraînant contre un sac à sable. Et moi je n’étais pas en reste. A chaque pénétration, je poussais un grand cri de plaisir que j’essayais vainement d’étouffer, par peur d’être entendue de l’extérieur. Je ressentais la force du zob et adorait cette sensation. Ce zob était mon maître ! Il était mon Dieu ! Il allait m’emporter au septième ciel ! Et m’y laisser ! Je voulais crier que j’aimais ce zob ! Qu’il était le plus gros et le plus puissant qui ne m’ait jamais possédée ! Mais je n’osais pas encore me laisser aller complètement. J’avais peur d’être entendue et surtout j’avais peur que mes cris et mes mots crus, ne plaisent pas à l’homme qui me tirait en ahanant, mais en ne disant rien.
Je sentais le plaisir m’inonder. Il rayonnait à partir de ma vulve et allait partout dans mon corps, en se concentrant aussi sur le bout de mes seins, que je sentais durcir et me faire mal, tant ils étaient excités. J’aurais aimé avoir une main libre pour les caresser en même temps que le zob me faisait du bien à l’intérieur de ma chatte. J’aurais aimé que mon amant eût une troisième main pour s’occuper de ma poitrine et de mes seins qui appelaient au secours. Et même d’une quatrième main pour s’emparer de mes fesses et de mon cul, dont l’anus n’arrêtait pas de palpiter. Et puis n’arrivant plus à me retenir, je me mis à soliloquer, doucement d’abord, puis en hurlant :
- J’aime les gros zobs ! J’adore les immenses zobs ! J’aime les zobs qui me remplissent la chatte ! Qui font mal en pénétrant dans mes trous ! J’ai le hatchoun en feu ! C’est bon, ton gros zob dans mon hatchoun ! Dis-moi que tu aimes mon hatchoun ! Hatchoun ! Zob ! Zob ! Dis-moi que tu aimes mon hatchoun !
- J’adore ton hatchoun ! Il est fait pour mon zob ! Mon zob dans ton hatchoun ! Je vais jouir ! Je vais jouir !
Et moi aussi, tout en hurlant ces mots et ces phrases, je montais très vite et très haut dans le plaisir. Le plaisir que me procurait le magnifique manche sur lequel je m’étais empalée, était fortement accru par les mots et les phrases que nous prononcions presque ensemble et en même temps. Je sentais un orgasme monumental arriver. Et il déboula en moi avec la force d’une avalanche. Il balaya tout sur son passage et me fit hurler de plaisir. J’avais vaguement conscience que je hurlais à la mort et que tout le monde dans l’hôtel devait m’entendre. Mais je n’arrivais pas à me contrôler, ni même à étouffer un peu l’intensité de mes hurlements.
Je n’arrêtais de crier que quand je sentis Krimo accélérer le rythme de ses coups de boutoir et intensifier leur amplitude. Maintenant, il sortait de quelques centimètres de ma chatte et la réinvestissait aussitôt, avec plus de force. Il eut une première éjaculation au fond de mon vagin, accompagnée d’un puissant râle qu’il tenta d’étouffer. Tout le sperme qu’il venait de lâcher ressortit aussitôt de ma chatte pour couler, chaud et visqueux, le long de ma cuisse droite et aller rejoindre, par terre, toute la cyprine que j’avais produite. Il continua à pilonner ma vulve encore une trentaine de secondes, éjaculant encore trois ou quatre fois, avant de s’arrêter épuisé. Il relâcha ma jambe et me reposa par terre. Je pliai les genoux et tombai par terre, entraînant Krimo dans ma chute. Nous nous retrouvâmes par terre, à genoux, serrés l’un contre l’autre.
Il avait passé sa main droite dans mon dos, sous le chemisier que je portais encore et se mit à me caresser, tout en m’embrassant tendrement sur le visage et sur a bouche.
- Tu es vraiment un super coup ! Un coup superbe ! Je sais que nous allons passer une nuit merveilleuse ! Je crois même que je vais tout faire pour t’enlever à ton mari et te garder pour moi seul ! Tu as bien joui ?
- Oui, j’ai eu une superbe jouissance ! Ton zob est magnifique de beauté et de force ! J’espère seulement qu’il est aussi endurant que tu le dis !
- Plus que ça ! Regarde-le ! Il est toujours au garde-à-vous ! Il a envie de ton cul !
Oh le bonheur ! Mon homme voulait m’enculer ! Et tout de suite après m’avoir donné tant de plaisir par ma chatte ! Et ce n’était pas qu’une promesse ! Le monstre de Krimo était vraiment debout, dressé comme un javelot et frémissant d’impatience. Il en voulait encore et il le montrait ostensiblement. Je ne voulais pas perdre une seule seconde. Je décidais donc que la sodomisation allait se faire ici même, par terre. Je ne voulais pas perdre le temps d’aller jusqu’au lit. Je me mis à quatre pattes sur place et relevai les hanches pour permettre à mon homme d’être au niveau de mon cul et de me défoncer le fion.
Il ne se fit pas prier pour se placer derrière moi et ajuster son manche, pour être en bonne position pour que je m’empale dessus. Parce que mon homme voulait que ce soit moi qui m’empale sur son manche et non pas lui qui me défonce l’anus. Il cracha dans sa main pour recueillir un peu de salive dont il enduisit l’anneau de mon cul et recracha encore une fois pour enduire son gland pointu de salive. Il jugea que cela suffisait pour faciliter la pénétration. Il posa son gland sur mon anus, en me prenant fermement par les hanches avec ses puissantes paluches et, au lieu de donner lui-même un puissant coup de rein pour me pénétrer, il tira très fortement sur mes hanches pour empaler mon cul sur son zob.
Et le zob, malgré sa grosseur démesurée, pénétra facilement dans mon cul, me procurant un plaisir immense. Je le sentais parfaitement. Il tait moulé par mon anus et mon boyau, comme s’il avait été fabriqué à leurs dimensions. Il repoussa mes hanches pour leur faire entamer un mouvement de va-et-vient et m’inviter à le faire moi-même. Je poussais ma croupe vers l’arrière pour m’empaler encore sur le manche et revint vers l’avant. C’était moi qui faisais l’effort des allers-retours. C’était la première fois que je me faisais enculer de cette manière. Mon maître voulait que ce soit moi qui aille à la recherche de son monstre, pour m’y empaler. Lui ne voulait pas faire d’effort. C’était moi qui étais l’esclave du beau vit. Pas lui qui l’était de mon cul. J’y allais avec frénésie, poussant et retirant mes hanches à un rythme de plus en plus rapide et en essayant de faire aller mes fesses de plus en plus loin.
Krimo tenait mes hanches de manière à ce qu’elles restent dans l’axe de son monstre. Je l’entendais qui gémissait doucement, m’encourageant à maintenir le mouvement d’allers-retours de mes hanches. Je sentais toute la force et la puissance du manche et son vigoureux frottement sur la paroi de mon rectum. Je sentais la chaleur que le frottement dégageait dans mon cul. Il me faisait mal et en même temps, il me faisait tant de bien ! Je sentais un plaisir de plus en plus intense grandir en moi et me faire perdre pied. Il prit une telle ampleur que je me mis à me comporter comme une poupée désarticulée. Ma tête partait dans tous les sens, sans que je puisse la retenir.
Ma bouche lâchait des quantités impressionnantes de salive qui allaient s’étaler par terre et mes hanches étaient devenues complètement indépendantes : elles allaient et venaient sur le manche, frénétiques et farouches, ne cherchant rien d’autre qu’à faire durer le plaisir qui était en moi et à accroître son intensité. J’entendais les gémissements de Krimo qui prenaient de l’ampleur et devenaient de plus en plus sonores. C’était tellement excitant ! Je voulais lui dire que j’aimais ses gémissements ! Qu’ils m’excitaient encore plus ! Que je voulais vivre toute ma vie avec ce beau zob enfoncé dans mon cul ! Je voulais aussi crier ces mots et phrases impudiques et indécents qui participaient tant à mon plaisir ! Je ne pouvais plus me retenir ! Surtout que je sentais arriver une très forte jouissance !
- C’est bon les gros zobs dans le cul ! Zob dans le cul ! Zob ! Zob !
Et en même temps que je déchargeai bruyamment, je sentis mon maître prendre la relève des va-et-vient et commencer à me pilonner le cul. Je savais qu’il n’allait pas tarder, lui aussi, à jouir très fortement. Il y alla tout aussi vigoureusement, que moi tout à l’heure, mais lui, il faisait sortir son gland de mon cul, prenait un élan d’une dizaine de centimètres et repartait encore plus fort à l’intérieur. Il recommença ainsi cinq ou six fois, jusqu’à ce que je le sente se crisper et m’envoyer une première giclée de sperme à l’intérieur du cul, puis, tout de suite après une deuxième et une troisième, toujours à l’intérieur de mon boyau. Son zob produisait maintenant, en continuant ses vigoureux va-et-vient dans mon cul, des clapotis indécents, mais tellement érotiques. Tout le foutre ressortait en dehors. Je le sentais qui coulait le long de la raie, se concentrer sur mes grandes lèvres et tomber par terre, sous l’effet de la gravitation.
Les quatrième et cinquième giclées, beaucoup moins abondantes et épaisses, allèrent mourir à l’entrée même de mon anus. Krimo arrêta de me pilonner, mais resta un long moment derrière moi à regarder, les yeux brillants de luxure, tout le sperme blanc qui coulait de mon anus. Je tournais la tête pour le regarder et vit qu’il avait le sourire satisfait de carnassier repus.
- C’est tellement beau, ton cul qui coule de sperme. Au début c’était du sperme coloré en marron par tes sécrétions, mais par la suite ce n’est que du sperme blanc comme du lait ! C’est vraiment très beau ! J’adore ton cul ! Je crois que je vais y faire le nid permanent de mon manche !
Je m’assis par terre pour mieux me rapprocher de Krimo, qui était resté à genoux. Son zob avait un peu ramolli, mais avait encore une masse respectable.
- Tu le nettoies !
Ce n’était pas une question ! C’était un ordre ! Et moi je m’exécutais ! Avec plaisir ! Je pris le zob entre mes doigts et je me mis à le nettoyer avec la langue et la bouche. Avec beaucoup de soins. Très rapidement, il redevint aussi propre et brillant qu’un sou neuf. Et miracle de la nature ! Il recommença à bander comme un âne. Je compris que c’était ma bouche chaude et humide et le titillement de ma langue, qui avaient produit cet effet. Il voulait encore une fois prendre du plaisir. Cette fois-ci dans ma bouche. Je me mis donc à lui appliquer une belle fellation, que je voulais lente et douce. Mais rapidement elle se transforma en une opération de démolition de ma bouche.
Pratiquement tous mes hommes de ma vie, avaient pris ma bouche pour une chatte et s’en étaient emparés comme si c’en était vraiment une. Krimo ne fit pas exception à cette règle. Il se mit à pilonner ma bouche en essayant même d’aller au fond de ma gorge ; et même au-delà. Je tenais fermement le dard qui s’était emparé de ma bouche pour l’empêcher de m’étouffer, mais le laissait aller et venir de plus en plus vite et de plus en plus fort dans ma bouche, sachant qu’il voulait jouir à l’intérieur. L’opération dura longtemps et faillit à plusieurs reprises me couper la respiration et même me faire vomir. Puis, j’entendis comme un long râle de plaisir et sentis le gros zob s’arrêter une brève seconde à l’entrée de ma gorge et éjaculer une première fois, une belle giclée de sperme brûlant.
J’étais prête à recevoir le jus, donc je n’eus aucune peine à l’avaler en totalité. Puis il reprit ses allers-retours pour faire sortir le reste de foutre. Je retirai subitement ma bouche et retins le membre à l’extérieur. Il était bien mouillé et me permettait donc de le branler vigoureusement, pour faire gicler le reste du sperme sur mon visage et mon cou. Il éjacula encore deux fois, sur moi et remplit tout mon visage et mon cou de foutre blanc, chaud, mais moins épais que tout à l’heure. Quand il termina, il s’assit par terre, fatigué et heureux. Il me regarda et sourit de toutes ses dents.
- Tu es vraiment à croquer avec tout ce sperme sur ton visage. Dommage que tu n’aies pas enlevé ton chemisier et ton soutien gorge, j’aurais aimé que tu en aies aussi sur ta poitrine et tes seins. Nettoie avec tes doigts et lèche. Je veux voir ça. C’est sûr que ça va encore me faire bander !
Et je commençais, toujours avec délectation, à ramasser avec mes doigts tout le foutre et le lécher. L’opération dura longtemps, sous le regard émerveillé de mon maître. Je voyais son sexe commencer à frémir et je sus qu’il voudra très vite s’emparer encore d’un de mes trous. Et ce fut effectivement ce qui se passa. Nous montâmes enfin sur le lit et continuâmes à faire l’amour toute la journée. Nous passâmes par contre une nuit plus sage, après avoir pris un repas copieux servi dans la chambre et une douche bien chaude. Nous avions finis tous les deux sur les rotules. Je ne retournais à la maison, retrouver Salim, qu’en fin de journée. Krimo voulait me garder encore pour la nuit et ne me laisser partir que le lendemain. J’avais fini par le convaincre que j’avais aussi des devoirs envers mon mari. Il fallait donc que j’aille le retrouver.
- Je veux absolument te garder ! Je crois que je suis tombé amoureux de toi ! Promets-moi que tu reviendras dès que je t’appellerais ! Promets-moi aussi que tu me resteras fidèle et que tu ne chercheras pas à te faire tirer ailleurs. Que Salim et moi serions tes seuls amants !
Il ne me laissa partir que quand je lui fis la promesse solennelle que je lui serai fidèle, tant que lui-même ne m’aurait pas jetée. Je retournais à la maison vers vingt heures, accompagnée par Krimo, qui me déposa devant la porte du bâtiment. Je trouvais Salim qui m’attendait, tout en terminant la préparation du diner. Il m’embrassa tendrement, me fit assoir à la table de la cuisine et tout en servant le diner, me demanda de lui raconter mon aventure avec son ami. Ce que je fis, sans omettre le moindre détail. Salim, en m’écoutant, avait les yeux qui brillaient. Je connaissais mon homme; je savais qu’il était entrain de bander. Il me raconta lui aussi la nuit qu’il avait passée seul dans notre grand lit à imaginer tout ce que j’étais entrain de faire avec son ami Krimo. Et tout le plaisir que je prenais sous ses coups de reins :
- Tu sais j’ai dû me masturber au moins trois fois, pour calmer un peu le désir qui embrasait mes sens ! Et j’ai rêvé toute la nuit de toi dans les bras de Krimo, entrain de hurler ton plaisir de te faire tirer par son immense zob ! Viens, allons dans notre chambre et tu me raconteras encore !
Cette nuit là Salim se comporta ave moi, comme un vrai taureau ! Un taureau en rut et en manque ! Il me fit monter trois fois au septième ciel ! Et il visita le lieu autant de fois que moi ! Quand nous arrêtâmes nos étreintes, je lui répétais ce qu’avait exigé de moi Krimo qui m’avait déclaré son amour, qui voulait me garder avec lui, mais qui refusait que je continue ma vie de libertine.
- Qu’en penses-tu ? Moi je lui ai fait la promesse de lui être fidèle et pour le moment, je sais que je respecterai ma promesse, tant je suis devenue accro à lui. Mais je ne sais pas si cela pourra durer longtemps.
- Tu feras exactement ce que tu voudras ! Moi je suis déjà heureux de te partager avec lui ! Bien que je sache qu’il n’acceptera jamais de te posséder en ma présence – ou au contraire d’assister à une de nos séances d’amour – tant que tu me raconteras toutes tes sensations, je veux bien que tu te contentes de nous deux, pour prendre ton pied. Et si un jour tu as envie de butiner ailleurs, moi ton mari, je t’autorise à le faire. Krimo aussi s’en tiendra à ton choix. Il se séparera de toi et ce sera tout !
Et jusqu’à maintenant je suis restée avec mes deux hommes : Krimo mon maître et Salim mon mari et mon amant. Jusqu’à quand ? Dieu seul le sait !
Krimo,mon maître
Wassila m’avait téléphoné quelques jours après l’aventure à l’hôtel avec les trois hommes qui l’avaient possédée et qu’elle n’avait pu voir. Ce coup de téléphone très étonnant de sa part, n’avait d’autre but que de s’éclaircir les idées qui semblaient s’entremêler dans sa tête : d’un côté, elle était encore obsédée par toutes les belles sensations qu’elle avait ressenties, au cours de cette fameuse nuit à l’hôtel. Au fond d’elle-même elle voulait revivre l’expérience pour encore avoir les mêmes sensations, qu’elle savait pourtant intimement liées à la nouveauté de la chose. Elle savait qu’une deuxième ou une troisième expérience n’auront pas le même résultat sur le plaisir qu’elle espérait prendre.
Mais c’est surtout une autre obsession qui l’habitait : elle se rappelait Krimo, le patron de l’hôtel-restaurant qui l’avait charmée et dont Salim lui avait vanté la virilité et l’endurance. Même quand elle faisait l’amour avec son mari et qu’il la faisait grimper aux rideaux, elle pensait à lui et l’imaginait sur elle, à la place de Salim. Elle n’en avait rien dit à son mari, parce qu’elle voulait être, pour une fois, la seule maîtresse d’oeuvre d’une nouvelle expérience érotique. Elle venait de décider de se libérer du « mentoring » de Salim et prendre, seule, ses décisions. Elle lui en parlerait bien entendu, une fois l’aventure terminée, ou même pendant, si elle dure plus d’une journée.
Je ne fis qu’écouter ce qu’elle disait, sans rien dire qui puisse la détourner de son nouvel objectif ou qui l’encourage à foncer tête baissée. En ma qualité de chroniqueur, je me devais de rester neutre. Je murmurai donc des oui et des non, ou produisis des sons sans signification particulière, qui n’engageaient à rien, et la laissai prendre sa décision toute seule. Ce qu’elle fit d’ailleurs très bien. Son coup de fil, m’avoua-t-elle plus tard, quand elle me raconta toute l’histoire, n’avait d’autre but que s’éclaircir les idées. C’était comme si elle réfléchissait à haute voix. Elle prit donc sa décision d’aller à la rencontre de Krimo et d’entamer avec lui une nouvelle expérience érotique.
Voila donc toute l’histoire, telle que Wassila me la raconta environ deux semaines plus tard.
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Pendant une quinzaine de jours après l’aventure de la chambre d’hôtel, Salim et moi avions gardé le souvenir du plaisir que nous avions pris et de la répercussion heureuse qu’elle avait eue sur notre couple. Pendant cette quinzaine nos étreintes quotidiennes étaient sous influence: celle du souvenir des trois inconnus qui m’avaient tirée dans une chambre d’hôtel, alors que j’étais dans l’impossibilité de les voir. A chaque fois qu’il me faisait l’amour, Salim revoyait en pensée la scène des trois hommes me tirant sans ménagement et devenait fou de désir. Moi aussi je me remémorais toutes les sensations que j’avais eues et je cherchais à les revivre avec mon mari.
Mais de plus en plus, s’insinuait en moi l’idée de recommencer. Non pas avec les mêmes hommes, ni de la même manière. Je savais que plus jamais, même en revivant la même chose, je n’aurais le même type de sensations. Ce qui m’avait emmené dans le plaisir et l’extase, c’était avant tout le mystère, la nouveauté et l’inconnu. En recommençant la même chose, il n’y aurait plus de situation nouvelle, ni donc de mystère. Ce sera du réchauffé et le réchauffé est l’ennemi du plaisir. Ce que j’avais en tête et qui devenait de plus en plus obsédant, c’était l’image de Krimo, le patron de l’hôtel-restaurant, que j’avais gardée profondément enfouie en moi.
Je revoyais cet homme grand, mince, osseux (un faux maigre) avec des épaules larges, un visage aux traits anguleux, avec une fine moustache noire qui me rappelait les mauvais garçons des films de gangsters en noir et blanc des années cinquante. Et surtout, je revoyais en imagination, cette immense bouche de prédateur, prête à croquer tout ce qu’elle pouvait saisir. Je me rappelais aussi, ce qu’en disais Salim, quand il voulait le mettre dans mon lit, en prétendant qu’il avait un zob immense et qu’il était insatiable en amour. Qu’il ne se suffisait jamais d’un coup, ou même de deux !
Au fur et à mesure que le temps passait, cette image de Krimo entrain de me tirer plusieurs fois de suite, en me faisant monter chaque fois au septième ciel, ne quittait plus mon esprit. Pendant longtemps je n’en avais rien dit à Salim. Je savais que si je lui avouais ma nouvelle fantaisie sexuelle, il ne tarderait pas à le ramener à la maison, ou à m’emmener chez lui à l’hôtel. Or ce que je voulais, c’était que moi – toute seule – je le séduise et l’emmène à me désirer et à me tirer. Je ne voulais plus dépendre de mon mari pour le choix de mes amants. Ni pour l’organisation de mes séances de jambes en l’air. Je voulais être la maîtresse absolue de ma vie sexuelle.
Mais je ne savais pas comment m’y prendre pour rencontrer Krimo et lui signifier que j’avais jeté mon dévolu sur lui, pour qu’il devienne mon amant et mon maître. Je ne pouvais pas, décemment aller directement à l’hôtel et le draguer. D’une part, je savais qu’il verrait cela d’un très mauvais œil, parce que c’aurait été le comportement typée d’une fille de mauvaises mœurs (une pute, quoi !) et d’autre part, je n’étais pas sûre que j’aurais pu le séduire de cette manière et, surtout, le rendre accro à moi. Je décidais d’en parler à Salim un matin au réveil, mais en lui avouant seulement que son ami Krimo me plaisait et que je voudrai bien le rencontrer. Mon mari me regarda longuement avec ses yeux pénétrants et son sourire moqueur, qui m’indiquaient clairement qu’il n’était pas dupe, puis tira son stylo, chercha sur son portable un numéro et le retranscrivit sur un bout de papier.
- C’est son numéro. Tu peux l’appeler tous les matins vers dix heures, heure à laquelle il se lève. Je t’avertis, c’est quelqu’un de très soupçonneux, qui se méfie des coups fourrés. Il en a tellement vu dans sa vie, qu’il se méfie de tout. Alors si tu veux le séduire, tu devras faire preuve de beaucoup de finesse et d’imagination. Si tu veux, je m’occupe de te l’amener.
- Non ! Je veux essayer toute seule !
Il me donna le bout de papier, m’embrassa tendrement sur la bouche, me lança une œillade moqueuse et partit pour son travail. Je restais seule à imaginer tout ce que je devais dire et faire pour arriver à mes fins. J’imaginais toutes sortes de scénarios pour l’aborder et l’amener à s’intéresser assez à moi, pour qu’il me propose lui-même de me rencontrer. Allais-je lui avouer la vérité, en lui disant qu’il me plaisait et que j’avais une folle envie de me faire tirer par lui ? Allais-je louvoyer et inventer une histoire à dormir debout, pour attirer son attention et l’amener à souhaiter me rencontrer ? Ou allais-je tout simplement improviser en fonction de la situation ? Je ne répondis à aucune des questions, me contentant d’attendre dix heures pour décider.
Et à dix heures, toute tremblante – comme si, ce que j’allais dire ou faire allaient décider de mon bonheur, ou de mon malheur – je formai le numéro que m’avait donné Salim et attendit que Krimo décroche.
- Allo, oui !
- Bonjour ! Je suis Wassila, la femme de Salim, ton ami ! Tu te rappelles de moi ?
- Qui ?
- Wassila ! L’épouse de Salim !
- Ah ! Bonjour Wassila ! Comment vas-tu ? Comment va Salim ?
- Très bien merci ! …
Je restai silencieuse quelques longues secondes, ne sachant vraiment pas quoi dire. J’étais paniquée et mon cœur battait la chamade. Je voulais même raccrocher, tant je me sentais ridicule ! Ce fut lui qui dégela l’atmosphère, se rendant certainement compte de ma gêne.
- Que puis-je faire pour toi, ma grande ? Si tu as besoin de tonton Krimo, il est totalement à ton service ! Quoi que ce soit !
- Toi !
J’avais lâché ça rapidement et fort, comme si j’avais peur qu’il n’entende pas et surtout qu’il ne comprenne pas ce que je lui demandais.
- Moi ? Quoi moi ?
- C’est de toi dont j’ai besoin ! Je n’arrête pas de penser à toi depuis la dernière fois et j’ai vraiment envie de te revoir et de mieux te connaître !
- Me connaître comme tu as connu les trois hommes de l’autre nuit ?
- Mieux que ça ! Eux je ne savais ni qui ils étaient, ni même à quoi ils ressemblaient ! Eux c’était surtout pour mon mari ! Pour lui donner du bonheur ! Toi c’est surtout pour moi !
- Tu veux dire que je te plais ? Et que tu as envie de prendre du plaisir avec moi ? Tu ne sais pas ce que tu risques avec moi. Je suis quelqu’un de très difficile et de très exigeant de mes petites amies ! Je ne veux pas les appeler mes maîtresses, parce qu’avec moi, il n’y a qu’un maître – moi ! – et pas de maîtresses.
- Je suis partante ! Salim m’a déjà dit que tu étais quelqu’un de spécial en amour. Et un super coup ! Cela n’a fait qu’ajouter à ma curiosité. Et à mon désir d’avoir une relation, courte ou suivie, avec toi.
- Et Salim dans tout ça ? Tu sais que c’est mon ami et que je n’aimerais pas faire quelque chose qui le contrarie !
- Salim en sera très heureux ! Il m’avait même proposé de s’occuper lui-même d’organiser notre rencontre. C’est moi qui aie refusé, voulant te séduire toute seule ! Dis-moi que je te plais !
- Tu es une femme superbe ! La dernière fois, j’aurais voulu m’occuper de toi, moi-même ! Et tout seul ! Malheureusement Salim avait opté pour un autre scénario, avec trois hommes; et moi, je ne suis pas partageur ! J’ai donc refusé de participer à l’expérience. Je suis un vrai jaloux ! Si tu deviens ma petite amie, tout le temps que tu le seras, tu me seras fidèle (à part Salim, bien entendu) ! Je n’accepte pas le partage de ma chose, avec d’autres hommes ! J’ai la prétention de complètement satisfaire les besoins sexuels de mes partenaires et de ne laisser en elles aucune frustration qui puisse leur faire désirer un autre homme.
- D’accord ! D’accord ! criai-je presque.
Pendant toute la discussion téléphonique des sentiments bizarres m’étreignaient. D’une part, j’avais été très rapidement rassurée sur le vif intérêt que me portait mon interlocuteur. Un intérêt tout sexuel qui datait de la nuit même où nous nous étions rencontrés. Je lui plaisais et le fait qu’il savait ce que j’avais fait (ou plutôt ce qu’on m’avait fait) dans la chambre ne semblait pas avoir refroidi son intérêt pour moi. Et cet intérêt me rendait folle de joie parce qu’il promettait à mes sens des tonnes de plaisir. D’un autre côté, Krimo m’avait envoyé une sorte d’avertissement qui signifiait qu’il ne voulait pas que j’aille papillonner ailleurs, tant que lui ne m’aurait pas jetée. Je n’ai encore jamais eu affaire avec un homme vraiment jaloux et possessif. Tous mes amants – mon mari compris – acceptaient de me voir butiner d’un homme à un autre, et même prenaient plaisir à participer à mes égarements de nymphomane en devenir. Krimo, lui, semblait appartenir à la race des prédateurs exclusifs : tout devait n’appartenir qu’à lui seul. Surtout s’agissant de ses petites amies. Mais même cette crainte, pour le moment sourde et cachée dans un coin de mon cerveau, n’arrivait pas à refroidir ma joie de bientôt être la chose de Krimo, sa poupée ou sa chienne, comme il le voudra. Avant même qu’il ne me rencontre et qu’il ne pose une main sur moi, j’acceptais de lui appartenir complètement. J’étais déjà dans l’état d’une amoureuse passionnée, ne vivant plus que pour son Homme !
- On se rencontre où ? questionnai-je, espérant fortement qu’il allait me répondre « à l’hôtel ! ».
Je voulais vraiment que notre relation commence dans le même hôtel, où nous nous étions rencontrés. Où, sans réellement connaître l’endroit, j’avais mes repaires. Où surtout j’avais des souvenirs de plaisirs intenses, que j’espérais retrouver et même démultiplier. Je craignais que lui, par contre, refuse l’endroit, parce qu’il aurait toujours présent à l’esprit la nuit où j’avais été offerte à trois inconnus.
- A l’hôtel ! Chez-moi, ce ne sera pas possible, parce qu’il y a mon ex et mes deux filles qui sont venues passer des vacances (Elles vivent en France et viennent passer quelques semaines tous las ans. Je leur laisse l’appartement et m’installe à l’hôtel). Et puis tu connais l’endroit; tu peux y venir en taxi. Viens tout de suite, comme cela on mangera ensemble à midi et nous monterons ensuite dans ma chambre.
- OK ! J’arrive !
- Avant ça, tu appelles Salim et tu l’informes que tu restes avec moi au moins jusqu’à demain. Je n’ai pas l’intention de te tirer comme une pute, à la va-vite. Je veux que tu prennes conscience, qu’une fois avec moi, tu deviendras ma propriété et que c’est moi qui déciderai de tout. Y compris du moment où tu devras rejoindre ton foyer et ton mari.
Je pris un taxi et au bout d’une heure et demie – avec la circulation infernale d’Alger et de sa banlieue, ce fut un record – je fis mon entrée dans le hall de l’hôtel, où je trouvais Krimo qui m’attendait. Il était habillé de la même manière que la fois où je l’avais rencontré : un costume d’été en flanelle grise, avec une chemise blanche en soie, dont les boutons supérieurs étaient ouverts et laissaient apparaitre une poitrine velue et puissante. Il était grand et semblait maigre. Ses épaules étaient très larges, ses bras longs et puissants et ses hanches étroites. Mais c’était surtout son visage qui était exceptionnel : buriné et anguleux avec une puissante mâchoire de carnassier. Et sa bouche ! Une bouche de prédateur, grande avec deux rangées de dents blanches bien plantées, mais sans la régularité des publicités pour dentifrice : c’étaient des dents de fauve qui étaient faites pour mordre et déchiqueter. Il avait aussi des lèvres fine et fermes, dont la supérieure était surmontée d’une moustache qui ressemblait à un trait de crayon bien noir. Il me rappelait Errol Flynn, l’acteur américain des années cinquante, dont il avait la carrure et la dégaine.
Il s’avança vers moi, bras ouverts, comme pour m’inviter à aller me blottir contre lui. Ce que je fis sans hésitation. Il me serra très fort quelques secondes, me montrant toute la puissance de ses bras, puis déposa un baiser très doux sur ma joue droite. Je ressentis immédiatement comme une décharge électrique qui irradia sur tout mon corps, en ondes concentriques, dont le point central était situé à l’intérieur de mon bas ventre. Nous restâmes ainsi quelque temps, silencieux, puis il relâcha son étreinte, me pris par les épaules et m’éloigna d’une vingtaine de centimètres, pour bien me regarder.
- Tu es toujours aussi magnifique ! dit-il. Salim a bien de la chance ! Et moi aussi ! Allons manger !
Il prit mon bras gauche et le passa sous son bras droit, et bras dessus, bras dessous, comme un vrai couple d’amoureux, nous allâmes vers la salle de restaurant, qui se trouvait au fond du rez-de-chaussée, en face de la réception. La salle était encore vide à cette heure-ci, mis à part un couple de jeunes amoureux - probablement des nouveaux mariés, en voyage de noces - trop occupé à se noyer dans les yeux l’un de l’autre, pour faire attention à quoi que ce soit d’autre. Notre table était prête. Krimo se comporta avec galanterie: il tira ma chaise à la manière des gentlemen, pour me permettre de m’assoir et, une fois assise, la poussa vers la table pour que je sois à l’aise. Il s’assit sur la chaise en face de moi. Il me prit la main et y déposa un léger baiser sur le dos, puis la retourna pour m’embraser plus longuement sur la paume.
En faisant cela, il me regardait avec ses petits yeux malicieux, sachant que son léger baiser avait sur moi un effet extraordinaire: je ressentais comme un frisson qui me parcourait l’échine et allait titiller toute mon intimité: je commençais à sentir ma chatte palpiter et se mouiller. Krimo ne lâcha ma main que quand le serveur apporta l’entrée. Nous mangeâmes avec appétit, mais j’étais vraiment pressée que le repas finisse, pour me retrouver seul avec lui dans sa chambre. Je me sentais de plus en plus excitée et je voulais sauter sur lui et le dévorer tout cru. Lui par contre, paraissait calme, sûr de lui et absolument pas pressé. Il savait que j’étais entrain de bouillonner et il voyait que je tremblais d’impatience. Il me parlait de tout et de rien, de sa voix douce, qui me donnait des frissons. Il me parla de sa famille, de ses filles surtout qu’il adorait mais qui vivaient loin de lui avec leur maman. Il me parla de sa femme qui l’avait quitté, il y a quelques années, pour aller se réfugier en France, alors que lui, il voulait rester au pays, malgré le danger mortel et l’insécurité qui y régnaient à l’époque.
Il parlait, mais je n’entendais plus rien. Je voyais ses lèvres bouger, mais je ne saisissais plus ce qu’il disait. J’étais ailleurs. J’imaginais ses lèvres se promener sur mon corps et me transporter de plaisir. J’imaginais ses mains me caresser partout et essayer d’éteindre le feu qui avait pris en moi et qui n’arrêtait pas de s’étendre. Il avait transformé mon entrecuisse en brasier. Je n’en pouvais plus d’attendre ce diable d’homme, qui lui, ne semblait pas pressé de me posséder. Il semblait même s’amuser du désir qu’il lisait en moi comme dans un livre ouvert.
- Allons dans ta chambre ! Je n’en peux plus ! J’ai tellement envie de toi, que je suis capable de sauter sur toi, ici même devant les clients et les serveurs !
- On se calme ! Le plaisir n’en sera encore que plus grand, parce que tu l’auras beaucoup attendu ! Aller lève-toi ! On y va !
Et il m’entraîna vers l’ascenseur. Nous montâmes gentiment, bras dessus – bras dessous, et nous nous arrêtâmes au quatrième étage. Comme l’autre fois ! Il ouvrit la porte de la chambre et, surprise ! Je me retrouvais dans la même chambre où je fus possédée par les trois inconnus. C’était la même chambre et le même lit immense!
- C’est ta chambre ?
- Oui ! Elle m’est réservée toute l’année. Parfois, comme la dernière fois, je la prête à des amis pour des rencontres amoureuses. Ne t’en fais pas, les draps ont été changés depuis !
Je me jetais sur Krimo pour l’embrasser. Je voulais goûter à ses lèvres fines et fermes et surtout connaître la chaleur de ses baisers. Je voulais qu’il m’embrasse avec violence et qu’il m’étouffe avec sa bouche. Je lui pris le visage dans mes mains et posai mes lèvres sur les siennes. Il se laissa faire un tout petit moment, puis se déchaîna comme un ouragan. Il passa ses mains sur ma nuque et emprisonna ma tête pour qu’elle ne puisse plus quitter le lieu. Ses lèvres aspirèrent les miennes et je sentis sa langue venir à l’entrée de ma bouche. Elle était à la recherche de la mienne, qui un moment voulut s’opposer à elle. Elle recula très vite, vaincue par la force de l’assaillante. Elle s’installa presque définitivement dans ma bouche et joua avec ma langue qu’elle titilla, avant de lui monter dessus et de s’enrouler autour d’elle.
Les baisers de Krimo produisaient de toutes petites décharges électriques. De l’électricité qui ne faisait pas mal, mais qui chatouillait et transportait ces chatouilles, comme des ondes très agréables à l’intérieur de tout mon corps. Des décharges qui s’accompagnaient d’une chaleur douce qui irradiait partout dans mon corps en passant par ma colonne vertébrale. Il me semblait, pendant que j’échangeais des baisers avec mon amant, que tout mon corps frissonnait et tremblait. De désir et de plaisir ! Mon bas ventre me brulait et ma chatte palpitait au rythme des battements de mon cœur. Ce dernier battait très vite et très fort. J’étais en état de transe et d’attente de mains qui allaient me débarrasser de mes habits et s’emparer de mon intimité.
Mes seins étaient tellement tendus, qu’ils me faisaient mal. Ils voulaient qu’une main d’homme s’en emparât; qu’une bouche d’homme s’en occupât. Ma chatte palpitait et se remplissait de mouille, que le désir commençait à produire en quantité. Même mon anus me démangeait et voulait sa part de plaisir.
- Déshabille-moi ! ordonnai-je à mon homme.
- Non déshabille-toi, toute seule ! Je veux admirer le spectacle ! Enlève tes habits en commençant par le bas ! Je veux d’abord voir ta chatte et ton cul ! Peut-être même que je te baiserais sans que tu enlèves le haut !
Vaincue, et folle de désir, j’obéis à l’ordre que venait de me donner mon maître. Je dégrafai le bouton qui tenait ma jupe et fis descendre le zip d’un geste rapide. Je descendis la jupe en tortillant des hanches et me retrouvait très vite en petite culotte de soie noire. Je regardais les yeux de mon amant et vis qu’il était satisfait du spectacle qu’il avait sous les yeux. Il voyait mes longues jambes, lisses, fermes et musclées, dont les hauts talons que je portais accentuaient le galbe. De même qu’ils accentuaient la cambrure de mes fesses, qui étaient déjà, naturellement, bien rondes, bien hautes et bien dessinées.
- Tu es exactement comme je me l’imaginais ! Enlève ta culotte et montre-moi ta chatte !
J’obéis très vite. En un tour de main, toujours en tortillant des fesses, je fis descendre le morceau de tissu jusque sur mes mollets. Je levais la jambe droite pour faire sortir la culotte, qui resta accrochée à mon mollet gauche. Le spectacle dut beaucoup plaire à Krimo, qui s’approcha de moi, pour venir me mater de plus près. Il porta ses mains entre mes cuisses pour me les faire ouvrir très grandes et admirer ma chatte. Ses yeux brillaient de désir et sa bouche s’était ouverte, comme pour venir s’emparer du trésor qu’il était entrain de regarder. Il fit glisser sa main droite sur mes grandes lèvres et la fit aller et venir plusieurs fois avec force. Presque avec brutalité. Le contact de sa main sur ma chatte, me fit pousser un long gémissement de satisfaction.
Je sentis immédiatement du liquide chaud et visqueux qui sortait d’entre mes grandes lèvres, pour aller sur les doigts de Krimo. Il me regarda dans les yeux et me fit son merveilleux sourire de carnassier.
- Tu es en chaleur ma petite salope ! Tu mouilles ! Tu veux être pénétrée tout de suite par ton maître ! Tu veux qu’un gros zob vienne te défoncer la vulve. Et bien le moment n’est pas encore arrivé. Je veux que tu attendes encore un peu. Je veux que tu me déshabille d’abord. Lentement; en commençant par mes souliers. Je veux que l’attente soit longue et que le désir et l’impatience atteignent les limites absolues. Les limites au-delà desquelles, il n’y a que la mort ! Plutôt mourir que d’attendre encore plus longtemps la délivrance du gros zob qui pénétrera ta chatte et prendra possession d’elle. Aller viens m’enlever les chaussures !
Je me mis à genoux devant lui, tout le bas de mon corps nu et le haut portant un chemisier en soie rouge et un soutien gorge à balconnets de la même couleur. Je me mis à défaire frénétiquement les lacets du soulier droit de mon homme, à lui faire soulever le pied et à lui ôter la chaussure, puis la socquette, avant de passer au pied gauche et refaire, tout aussi frénétiquement, les mêmes gestes. J’avais jeté pêle-mêle chaussures et socquettes et voulut m’occuper, immédiatement après, du pantalon. J’étais pressée de voir le gros zob de Krimo et de m’emparer de lui. Mais lui, voulant toujours me rendre folle de désir et d’impatience, m’ordonna de passer à son haut: sa veste de costume et sa chemise en soie. Je m’y mis aussitôt, en faisant aussi vite que je pouvais. Je n’y tenais plus. J’avais les mains qui tremblaient et qui avaient du mal à réussir du premier coup, les gestes qu’il fallait faire.
Je dus mettre plus de deux minutes pour venir à bout de la veste et de la chemise. Il faut dire que mon homme mettait du sien pour me compliquer la tâche. Son objectif avoué était de me mettre les nerfs à vif, à force d’impatience. Quand je réussis enfin à mettre Krimo torse nu, il m’attrapa par la nuque et obligea ma tête à venir se coller contre sa poitrine.
- Embrasse-moi ! fit-il. Je veux sentir tout ton désir dans les baisers que tu me donneras sur la poitrine. Je veux qu’avec tes lèvres et ta langue, tu m’emmènes aux portes de l’orgasme. Tu as une bouche, des lèvres et une langue faites pour ça ! Vas-y !
Toujours tremblante de désir et, commençant à ressentir la frustration de garder ma chatte vide, je me mis à promener mes lèvres et ma langue sur la poitrine velue de Krimo. Il avait les muscles pectoraux fermes, durs, mais très sensibles aux caresses de mes lèvres et aux titillements de ma langue. Je sus très vite, en sentant sa main se crisper sur ma nuque qu’elle ne lâchait plus, qu’il aimait ce que je lui faisais. Pendant que je continuais de promener mes lèvres et ma langue sur la poitrine de mon homme, en insistant très longuement sur les tétons, je lançais ma main droite vers le devant du pantalon, pour tâter le monstre et tester sa grosseur et son degré de désir.
Non seulement, je mis la main sur une bosse monumentale, montrant le degré d’excitation de mon amant, mais je sus maintenant qu’il n’y avait pas que moi qui tremblait d’impatience. Krimo aussi, qui jouait à celui qui pouvait attendre encore toute une éternité, était en fait aussi excité que moi et qu’il était donc, lui aussi, en mon pouvoir. J’arrêtais immédiatement mes baisers, pour m’occuper de sortir l’engin de sa cachette. Je me mis à genoux devant lui, et les mains toujours aussi tremblantes, je commençais à défaire la ceinture, à déboutonner le pantalon et à descendre le zip. Je voulus faire sortir immédiatement le zob, qui palpitait sous ma main à travers le tissu du slip, mais Krimo m’en empêcha. Il voulait que je lui enlève totalement le pantalon, puis le slip, pour rester nu et me présenter son manche, dans toute sa splendeur.
Je fis ce qu’il me demandait et me trouvais, toujours à genoux devant lui, face à un énorme zob, très brun, long, gros, lisse et surmonté d’un gland tuméfié et pointu. Il frémissait de désir. Je tendis la main pour enfin le toucher, le caresser et le serrer. Il était enfin à ma portée ! Il m’appartenait ! Je le voulais ! Je regardais Krimo dans les yeux pour essayer de deviner ce qu’il voulait que fasse. Je me demandais s’il voulait que je lui fasse d’abord une belle fellation ou si je devais me lever de par terre et le trainer par son magnifique zob, pour l’amener sur le lit où il pourra me tirer. Rien de tout cela ! Il tendit la main pour prendre la mienne et la tira de manière à me mettre debout.
Il me prit par la taille et me souleva de quelques centimètres et me porta ainsi jusqu’à la porte d’entrée, qui était à environ deux mètres de nous. Il me plaqua contre elle, me souleva la jambe gauche, en me prenant par-dessous le genou et se plaça de manière à me pénétrer debout. Il plia légèrement les genoux et mit son gland tuméfié entre mes grandes lèvres, qui s’ouvrirent toutes seules, tant elles étaient mouillées. Il dona un puissant coup de rein et je me retrouvais complètement empalée sur l’immense zob. C’était divin ! Le manche de Krimo dégageait une superbe sensation de force et de puissance dans mon vagin. Il était le maître des lieux ! Il était chez lui ! Krimo le faisait monter et descendre par de puissants coups de reins. Il limait les parois de mon vagin avec une telle force, que je sentais l’endroit s’embraser et se consumer.
Ma chatte produisait des quantités inouïes de mouille que je sentais couler le long de mes cuisses et mes genoux, pour aller s’étaler par terre. Mon bel amant, au cou duquel j’étais solidement accrochée, poussait des han de boxeur s’entraînant contre un sac à sable. Et moi je n’étais pas en reste. A chaque pénétration, je poussais un grand cri de plaisir que j’essayais vainement d’étouffer, par peur d’être entendue de l’extérieur. Je ressentais la force du zob et adorait cette sensation. Ce zob était mon maître ! Il était mon Dieu ! Il allait m’emporter au septième ciel ! Et m’y laisser ! Je voulais crier que j’aimais ce zob ! Qu’il était le plus gros et le plus puissant qui ne m’ait jamais possédée ! Mais je n’osais pas encore me laisser aller complètement. J’avais peur d’être entendue et surtout j’avais peur que mes cris et mes mots crus, ne plaisent pas à l’homme qui me tirait en ahanant, mais en ne disant rien.
Je sentais le plaisir m’inonder. Il rayonnait à partir de ma vulve et allait partout dans mon corps, en se concentrant aussi sur le bout de mes seins, que je sentais durcir et me faire mal, tant ils étaient excités. J’aurais aimé avoir une main libre pour les caresser en même temps que le zob me faisait du bien à l’intérieur de ma chatte. J’aurais aimé que mon amant eût une troisième main pour s’occuper de ma poitrine et de mes seins qui appelaient au secours. Et même d’une quatrième main pour s’emparer de mes fesses et de mon cul, dont l’anus n’arrêtait pas de palpiter. Et puis n’arrivant plus à me retenir, je me mis à soliloquer, doucement d’abord, puis en hurlant :
- J’aime les gros zobs ! J’adore les immenses zobs ! J’aime les zobs qui me remplissent la chatte ! Qui font mal en pénétrant dans mes trous ! J’ai le hatchoun en feu ! C’est bon, ton gros zob dans mon hatchoun ! Dis-moi que tu aimes mon hatchoun ! Hatchoun ! Zob ! Zob ! Dis-moi que tu aimes mon hatchoun !
- J’adore ton hatchoun ! Il est fait pour mon zob ! Mon zob dans ton hatchoun ! Je vais jouir ! Je vais jouir !
Et moi aussi, tout en hurlant ces mots et ces phrases, je montais très vite et très haut dans le plaisir. Le plaisir que me procurait le magnifique manche sur lequel je m’étais empalée, était fortement accru par les mots et les phrases que nous prononcions presque ensemble et en même temps. Je sentais un orgasme monumental arriver. Et il déboula en moi avec la force d’une avalanche. Il balaya tout sur son passage et me fit hurler de plaisir. J’avais vaguement conscience que je hurlais à la mort et que tout le monde dans l’hôtel devait m’entendre. Mais je n’arrivais pas à me contrôler, ni même à étouffer un peu l’intensité de mes hurlements.
Je n’arrêtais de crier que quand je sentis Krimo accélérer le rythme de ses coups de boutoir et intensifier leur amplitude. Maintenant, il sortait de quelques centimètres de ma chatte et la réinvestissait aussitôt, avec plus de force. Il eut une première éjaculation au fond de mon vagin, accompagnée d’un puissant râle qu’il tenta d’étouffer. Tout le sperme qu’il venait de lâcher ressortit aussitôt de ma chatte pour couler, chaud et visqueux, le long de ma cuisse droite et aller rejoindre, par terre, toute la cyprine que j’avais produite. Il continua à pilonner ma vulve encore une trentaine de secondes, éjaculant encore trois ou quatre fois, avant de s’arrêter épuisé. Il relâcha ma jambe et me reposa par terre. Je pliai les genoux et tombai par terre, entraînant Krimo dans ma chute. Nous nous retrouvâmes par terre, à genoux, serrés l’un contre l’autre.
Il avait passé sa main droite dans mon dos, sous le chemisier que je portais encore et se mit à me caresser, tout en m’embrassant tendrement sur le visage et sur a bouche.
- Tu es vraiment un super coup ! Un coup superbe ! Je sais que nous allons passer une nuit merveilleuse ! Je crois même que je vais tout faire pour t’enlever à ton mari et te garder pour moi seul ! Tu as bien joui ?
- Oui, j’ai eu une superbe jouissance ! Ton zob est magnifique de beauté et de force ! J’espère seulement qu’il est aussi endurant que tu le dis !
- Plus que ça ! Regarde-le ! Il est toujours au garde-à-vous ! Il a envie de ton cul !
Oh le bonheur ! Mon homme voulait m’enculer ! Et tout de suite après m’avoir donné tant de plaisir par ma chatte ! Et ce n’était pas qu’une promesse ! Le monstre de Krimo était vraiment debout, dressé comme un javelot et frémissant d’impatience. Il en voulait encore et il le montrait ostensiblement. Je ne voulais pas perdre une seule seconde. Je décidais donc que la sodomisation allait se faire ici même, par terre. Je ne voulais pas perdre le temps d’aller jusqu’au lit. Je me mis à quatre pattes sur place et relevai les hanches pour permettre à mon homme d’être au niveau de mon cul et de me défoncer le fion.
Il ne se fit pas prier pour se placer derrière moi et ajuster son manche, pour être en bonne position pour que je m’empale dessus. Parce que mon homme voulait que ce soit moi qui m’empale sur son manche et non pas lui qui me défonce l’anus. Il cracha dans sa main pour recueillir un peu de salive dont il enduisit l’anneau de mon cul et recracha encore une fois pour enduire son gland pointu de salive. Il jugea que cela suffisait pour faciliter la pénétration. Il posa son gland sur mon anus, en me prenant fermement par les hanches avec ses puissantes paluches et, au lieu de donner lui-même un puissant coup de rein pour me pénétrer, il tira très fortement sur mes hanches pour empaler mon cul sur son zob.
Et le zob, malgré sa grosseur démesurée, pénétra facilement dans mon cul, me procurant un plaisir immense. Je le sentais parfaitement. Il tait moulé par mon anus et mon boyau, comme s’il avait été fabriqué à leurs dimensions. Il repoussa mes hanches pour leur faire entamer un mouvement de va-et-vient et m’inviter à le faire moi-même. Je poussais ma croupe vers l’arrière pour m’empaler encore sur le manche et revint vers l’avant. C’était moi qui faisais l’effort des allers-retours. C’était la première fois que je me faisais enculer de cette manière. Mon maître voulait que ce soit moi qui aille à la recherche de son monstre, pour m’y empaler. Lui ne voulait pas faire d’effort. C’était moi qui étais l’esclave du beau vit. Pas lui qui l’était de mon cul. J’y allais avec frénésie, poussant et retirant mes hanches à un rythme de plus en plus rapide et en essayant de faire aller mes fesses de plus en plus loin.
Krimo tenait mes hanches de manière à ce qu’elles restent dans l’axe de son monstre. Je l’entendais qui gémissait doucement, m’encourageant à maintenir le mouvement d’allers-retours de mes hanches. Je sentais toute la force et la puissance du manche et son vigoureux frottement sur la paroi de mon rectum. Je sentais la chaleur que le frottement dégageait dans mon cul. Il me faisait mal et en même temps, il me faisait tant de bien ! Je sentais un plaisir de plus en plus intense grandir en moi et me faire perdre pied. Il prit une telle ampleur que je me mis à me comporter comme une poupée désarticulée. Ma tête partait dans tous les sens, sans que je puisse la retenir.
Ma bouche lâchait des quantités impressionnantes de salive qui allaient s’étaler par terre et mes hanches étaient devenues complètement indépendantes : elles allaient et venaient sur le manche, frénétiques et farouches, ne cherchant rien d’autre qu’à faire durer le plaisir qui était en moi et à accroître son intensité. J’entendais les gémissements de Krimo qui prenaient de l’ampleur et devenaient de plus en plus sonores. C’était tellement excitant ! Je voulais lui dire que j’aimais ses gémissements ! Qu’ils m’excitaient encore plus ! Que je voulais vivre toute ma vie avec ce beau zob enfoncé dans mon cul ! Je voulais aussi crier ces mots et phrases impudiques et indécents qui participaient tant à mon plaisir ! Je ne pouvais plus me retenir ! Surtout que je sentais arriver une très forte jouissance !
- C’est bon les gros zobs dans le cul ! Zob dans le cul ! Zob ! Zob !
Et en même temps que je déchargeai bruyamment, je sentis mon maître prendre la relève des va-et-vient et commencer à me pilonner le cul. Je savais qu’il n’allait pas tarder, lui aussi, à jouir très fortement. Il y alla tout aussi vigoureusement, que moi tout à l’heure, mais lui, il faisait sortir son gland de mon cul, prenait un élan d’une dizaine de centimètres et repartait encore plus fort à l’intérieur. Il recommença ainsi cinq ou six fois, jusqu’à ce que je le sente se crisper et m’envoyer une première giclée de sperme à l’intérieur du cul, puis, tout de suite après une deuxième et une troisième, toujours à l’intérieur de mon boyau. Son zob produisait maintenant, en continuant ses vigoureux va-et-vient dans mon cul, des clapotis indécents, mais tellement érotiques. Tout le foutre ressortait en dehors. Je le sentais qui coulait le long de la raie, se concentrer sur mes grandes lèvres et tomber par terre, sous l’effet de la gravitation.
Les quatrième et cinquième giclées, beaucoup moins abondantes et épaisses, allèrent mourir à l’entrée même de mon anus. Krimo arrêta de me pilonner, mais resta un long moment derrière moi à regarder, les yeux brillants de luxure, tout le sperme blanc qui coulait de mon anus. Je tournais la tête pour le regarder et vit qu’il avait le sourire satisfait de carnassier repus.
- C’est tellement beau, ton cul qui coule de sperme. Au début c’était du sperme coloré en marron par tes sécrétions, mais par la suite ce n’est que du sperme blanc comme du lait ! C’est vraiment très beau ! J’adore ton cul ! Je crois que je vais y faire le nid permanent de mon manche !
Je m’assis par terre pour mieux me rapprocher de Krimo, qui était resté à genoux. Son zob avait un peu ramolli, mais avait encore une masse respectable.
- Tu le nettoies !
Ce n’était pas une question ! C’était un ordre ! Et moi je m’exécutais ! Avec plaisir ! Je pris le zob entre mes doigts et je me mis à le nettoyer avec la langue et la bouche. Avec beaucoup de soins. Très rapidement, il redevint aussi propre et brillant qu’un sou neuf. Et miracle de la nature ! Il recommença à bander comme un âne. Je compris que c’était ma bouche chaude et humide et le titillement de ma langue, qui avaient produit cet effet. Il voulait encore une fois prendre du plaisir. Cette fois-ci dans ma bouche. Je me mis donc à lui appliquer une belle fellation, que je voulais lente et douce. Mais rapidement elle se transforma en une opération de démolition de ma bouche.
Pratiquement tous mes hommes de ma vie, avaient pris ma bouche pour une chatte et s’en étaient emparés comme si c’en était vraiment une. Krimo ne fit pas exception à cette règle. Il se mit à pilonner ma bouche en essayant même d’aller au fond de ma gorge ; et même au-delà. Je tenais fermement le dard qui s’était emparé de ma bouche pour l’empêcher de m’étouffer, mais le laissait aller et venir de plus en plus vite et de plus en plus fort dans ma bouche, sachant qu’il voulait jouir à l’intérieur. L’opération dura longtemps et faillit à plusieurs reprises me couper la respiration et même me faire vomir. Puis, j’entendis comme un long râle de plaisir et sentis le gros zob s’arrêter une brève seconde à l’entrée de ma gorge et éjaculer une première fois, une belle giclée de sperme brûlant.
J’étais prête à recevoir le jus, donc je n’eus aucune peine à l’avaler en totalité. Puis il reprit ses allers-retours pour faire sortir le reste de foutre. Je retirai subitement ma bouche et retins le membre à l’extérieur. Il était bien mouillé et me permettait donc de le branler vigoureusement, pour faire gicler le reste du sperme sur mon visage et mon cou. Il éjacula encore deux fois, sur moi et remplit tout mon visage et mon cou de foutre blanc, chaud, mais moins épais que tout à l’heure. Quand il termina, il s’assit par terre, fatigué et heureux. Il me regarda et sourit de toutes ses dents.
- Tu es vraiment à croquer avec tout ce sperme sur ton visage. Dommage que tu n’aies pas enlevé ton chemisier et ton soutien gorge, j’aurais aimé que tu en aies aussi sur ta poitrine et tes seins. Nettoie avec tes doigts et lèche. Je veux voir ça. C’est sûr que ça va encore me faire bander !
Et je commençais, toujours avec délectation, à ramasser avec mes doigts tout le foutre et le lécher. L’opération dura longtemps, sous le regard émerveillé de mon maître. Je voyais son sexe commencer à frémir et je sus qu’il voudra très vite s’emparer encore d’un de mes trous. Et ce fut effectivement ce qui se passa. Nous montâmes enfin sur le lit et continuâmes à faire l’amour toute la journée. Nous passâmes par contre une nuit plus sage, après avoir pris un repas copieux servi dans la chambre et une douche bien chaude. Nous avions finis tous les deux sur les rotules. Je ne retournais à la maison, retrouver Salim, qu’en fin de journée. Krimo voulait me garder encore pour la nuit et ne me laisser partir que le lendemain. J’avais fini par le convaincre que j’avais aussi des devoirs envers mon mari. Il fallait donc que j’aille le retrouver.
- Je veux absolument te garder ! Je crois que je suis tombé amoureux de toi ! Promets-moi que tu reviendras dès que je t’appellerais ! Promets-moi aussi que tu me resteras fidèle et que tu ne chercheras pas à te faire tirer ailleurs. Que Salim et moi serions tes seuls amants !
Il ne me laissa partir que quand je lui fis la promesse solennelle que je lui serai fidèle, tant que lui-même ne m’aurait pas jetée. Je retournais à la maison vers vingt heures, accompagnée par Krimo, qui me déposa devant la porte du bâtiment. Je trouvais Salim qui m’attendait, tout en terminant la préparation du diner. Il m’embrassa tendrement, me fit assoir à la table de la cuisine et tout en servant le diner, me demanda de lui raconter mon aventure avec son ami. Ce que je fis, sans omettre le moindre détail. Salim, en m’écoutant, avait les yeux qui brillaient. Je connaissais mon homme; je savais qu’il était entrain de bander. Il me raconta lui aussi la nuit qu’il avait passée seul dans notre grand lit à imaginer tout ce que j’étais entrain de faire avec son ami Krimo. Et tout le plaisir que je prenais sous ses coups de reins :
- Tu sais j’ai dû me masturber au moins trois fois, pour calmer un peu le désir qui embrasait mes sens ! Et j’ai rêvé toute la nuit de toi dans les bras de Krimo, entrain de hurler ton plaisir de te faire tirer par son immense zob ! Viens, allons dans notre chambre et tu me raconteras encore !
Cette nuit là Salim se comporta ave moi, comme un vrai taureau ! Un taureau en rut et en manque ! Il me fit monter trois fois au septième ciel ! Et il visita le lieu autant de fois que moi ! Quand nous arrêtâmes nos étreintes, je lui répétais ce qu’avait exigé de moi Krimo qui m’avait déclaré son amour, qui voulait me garder avec lui, mais qui refusait que je continue ma vie de libertine.
- Qu’en penses-tu ? Moi je lui ai fait la promesse de lui être fidèle et pour le moment, je sais que je respecterai ma promesse, tant je suis devenue accro à lui. Mais je ne sais pas si cela pourra durer longtemps.
- Tu feras exactement ce que tu voudras ! Moi je suis déjà heureux de te partager avec lui ! Bien que je sache qu’il n’acceptera jamais de te posséder en ma présence – ou au contraire d’assister à une de nos séances d’amour – tant que tu me raconteras toutes tes sensations, je veux bien que tu te contentes de nous deux, pour prendre ton pied. Et si un jour tu as envie de butiner ailleurs, moi ton mari, je t’autorise à le faire. Krimo aussi s’en tiendra à ton choix. Il se séparera de toi et ce sera tout !
Et jusqu’à maintenant je suis restée avec mes deux hommes : Krimo mon maître et Salim mon mari et mon amant. Jusqu’à quand ? Dieu seul le sait !
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