Week-end à Amsterdam juin 2023

- Par l'auteur HDS Lili1972 -
Récit érotique écrit par Lili1972 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Week-end à Amsterdam juin 2023 Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Week-end à Amsterdam juin 2023
Je m'appelle Lili, j'ai 52 ans mariée depuis toujours, 1m62 65 kg, des cheveux châtains.. Ma vie intime s'est éteinte au fur et à mesure de la routine quotidienne. Les enfants sont grands, mon mari Fred bedonnant et j'ai envie de profiter des plaisirs et de vivre à nouveau. Fantasmer, je l'ai toujours fait, mais jamais plus loin que seule dans mon lit avec mes jouets préférés. Passer à l'acte, je n'aurais jamais dû dire jamais, en fait c'est comme pour tout, le première fois est toujours la plus difficile, après cela passe tout seul (lol). Je vais donc vous raconter mes expériences vécues, avec le bien et le moins bien. Puisse ces récits vous inspirer mesdames, ou vous faire exploser messieurs.

Week-end à Amsterdam

Voilà plusieurs mois que le climat avec mon mari est nuageux avec régulièrement des orages. Aussi lorsqu'il me proposa d'aller passer un week-end au centre historique d'Amsterdam j'ai accepté avec plaisir. Nous y allons souvent depuis quelques années, principalement dans le quartier rouge. Le côté "libre" et l'ambiance décontractée du quartier nous a toujours plu à tous les 2. Nous avons pris l'habitude de traîner dans les rues ou le long des canaux pour mater les prostituées en vitrine, visiter les sex shops ou juste boire un verre en terrasse.

Cette année, c'est mon mari qui a organisé et tout préparé, y compris la valise.
Sur le moment, je n'y ai pas prêté attention.

Nous arrivons le vendredi soir à notre hôtel NH Barbizon, situé en bordure du quartier rouge. C'est un hôtel assez chic et confortable, très pratique pour passer un week-end amoureux dans cette ville.
Une fois nos valises posées dans la chambre, nous partons directement manger dans un petit resto italien logé entre deux Coffee shop.
Nous sommes détendus et profitons du moment. Fred me regarde avec des yeux insistants. Il me parle tout et me dit : "cela fait longtemps que nous n'avons plus joué ensemble . Tu te souviens de l'époque où rien n'arrêtait nos ébats, pas même les passants?"
Oui je me souviens répondis-je, j'étais jeune et belle.
"Tu es toujours aussi séduisante ma Lili, toujours aussi désirable"
Tout en le remerciant, j'essayais de comprendre ce qu'il avait dans la tête.
"Allons Marcher" me lança-t-il.
Nous voilà partis en direction de l'oude kerk et de sa jolie petite place. Place bordée d'un côté par des bistros et de l'autre par quelques vitrines à néon mauve ou rouge.
En marchant, nous regardons avec attention les femmes ou trans en vitrine, et il faut reconnaître qu'elles ne nous semblent pas déchaîner les envies et ardeurs des passants.
Nous profitons d'un petit banc pour nous asseoir et profiter de cette douce soirée de juin. Nous regardons avec intérêt les allées et venues chez les courageuses commerçantes. Les timides ou pressés, nous avions l'habitude, mais les couples piquaient notre curiosité. Que se passait il et comment? Tarif couple, trio? Nous délirions sur les combinaisons possibles et la fumée des joints du groupe d'à côté devait nous aider.
J'ai soudain eu l'idée de passer la porte d'une vitrine avec Fred. Autant dire qu'il fût vachement surpris. l'avantage de la Hollande est que les gens sont bien moins regardant que chez-nous, ici tout le monde s'en fout que vous alliez aux putes ou au sex shop.
Donc nous voilà dans l'antre de la maîtresse des lieux, après quelques mots en anglais nous voilà dans la pièce arrière, juste un lit, une chaise et quelques coussins. Notre hôte métissé fait 1m80, une jolie poitrine généreuse et un ensemble soutif string mauve très joli.
Nous optons pour une fellation, moi je ne fais que regarder (j'aime pas sucer). Fred est tout content du cadeau que je lui fais.
Pendant que Fred enlève son bermuda, la professionnelle se met à poil, et surprise, entre ses cuisse pendouille une petite bite épilée Fred a un mouvement de recul, mais la miss plonge déjà sur sa bite tendue et commence d'emblée à pomper avec méthode. Une fois la queue de mon mari bien dure elle lui enfile une capote et attaque de plus belle Fred rougit mais semble s'accommoder de la chose. J'en profite pour l'embrasser goulument. En reprenant ma place d'observatrice, je découvre la main de mon mari en train de branler le trav qui le suce. Je ne dis rien, mais la situation m'excite autant qu'elle me surprend.
Tous deux s'allongent sur le lit et commencent un 69 de démonstration, les bruits de bouche s'intensifient jusqu'à ce que le trav se retire précipitamment et balance son sperme au visage de Fred. Fred éjacule dans le préservatif dans un râle sombre. Mon mari qui suce une bite et se prend une giclée en pleine face, assez inattendu!
J'éclate alors de rire en voyant Fred chercher le sopalin. "Tu sais ce que cela fait maintenant, toi personne ne t'a obligé et personne n'a joui dans ta bouche". Je lui roule alors la plus terrible pelle que nous ayons jamais fait, je devine encore le goût du sexe de la miss. Nous retiendrons désormais la signification de la couleur des néons de ces vitrines à putes.

Encore tout penaud, Fred me propose d'aller faire du shopping au sex shop. Malheureusement celui-ci est déjà fermé et nous rentrons à l'hôtel. Je suis encore toute excitée de la soirée que nous avons passée, et j'ai bien envie de jouir à mon tour. Nous nous couchons ensemble pour une fois et un regard plus tard, Fred plonge sous les draps et attaque mon clitoris à coups de langue. Déjà émoustillée, je me laisse faire avec plaisir et profite de l'instant si rare. Mes tétons se durcissent dès que Fred commence à les approcher. J'aime que l'on me pince les seins et Fred le sait. Ses caresses sont de plus en plus fermes, sa traction sur mes tétons devient délicieusement douloureuse, entre douleur et plaisir. Me sentant réceptive, il accentue encore ses pressions sur mes petits bouts de sein, je me cambre et retiens mon souffle, des décharges électriques parcourent mon corps dénudé. Je suis en feu et j'en veut plus! Je soulève alors les fesses pour qu'il retire ma culotte et j'écarte ensuite les cuisses au maximum. Je veux offrir du beau spectacle, j'aime que l'on admire mon sexe lisse et luisant. Fred promène maintenant sa langue sur l'entièreté de ma vulve détrempée. Je ramène alors les genoux pour présenter au mieux mes 2 orifices. Un doigt puis 2 se glissent dans ma chatte et commencent des mouvements de va et vient de plus en plus profond. Sa langue s'affaire toujours sur mon bouton magique qui dépasse désormais de mes lèvres. Je continue à dégouliner comme une bonne chienne, les draps vont prendre cher! Fred approche alors son majeur de mon anus et le perfore sans forcer. S'en suit quelques aller-retour quelques rotations et je me retrouve avec 2 doigts dans la rondelle. Au fur et à mesure de ses mouvements, je sens qu'il écarte de plus en plus les doigts dans ma rondelle, pour y glisser un 3ème doigt. Je me sens dilatée comme jamais, j'adore cette sensation d'être prise à fond. En quelques secondes je convulse de plaisir, la combinaison clitoris et anus m'a toujours fait un effet fou, même s'il m'a fallu très longtemps pour admettre que j'adorais que l'on me fourre l'anus. Ma première sodomie, c'était déjà ici à Amsterdam, et c'est moi qui lui avais demandé. En fait, quand j'y repense, Amsterdam a toujours été la ville de ma libération de mes complexes, mon premier sex-shop, mon premier plug (à ma demande), mes pinces à seins. Je me demande ce que me réserve encore cette ville.
Nous nous endormons l'un contre l'autre sans un mot, mais avec un sentiment de liberté, de bien-être.

Au petit matin, je me réveille avant lui et vais me laver et j'ouvre la valise pour préparer mes affaires. Le contenu de la valise est pour le moins minimaliste, je comprends pourquoi il voulait la faire. Elle contient uniquement ma robe d'été jaune à fleurs et une culotte fendue. Ni soutien-gorge ni culotte décente, et ma culotte d'hier a été ruinée lors de notre promenade du soir. Robe courte légère avec léger décolleté et string ouvert, Fred a donc prévu de me mettre à l'épreuve. Tenant compte de ce que je lui ai fait faire hier soir, je ne doute pas que ce sera piquant. Je suis d'ailleurs soulagée de ne pas avoir trouvé les pinces qu'il aime appliquer sur les tétons et grandes lèvres.
Nous descendrons pour le petit déjeuner, et enfin on va pouvoir parler.. .
"Tu aurais quand même pu me prendre un soutien-gorge et un culotte normale. Avec cette chaleur tout le monde pourra voir mes tétons , et je te dis pas quand je devrais m'asseoir" lui dis-je

"Aujourd’hui, j'ai décidé de te prouver que tu es encore sublime et désirable " annonça Fred.
"Comment ça ?" "Tu verras bien! "

A part cela le petit déjeuner est bon et les messieurs me saluent poliment avec un grand sourire et un regard intrusif. Visiblement ma tenue d'été plait.
Avant de partir nous promener le long des canaux, nous repassons par la salle de bain pour un arrêt pipi. Fred a refusé que je ferme la porte de peur que je modifie ma tenue. Pisser avec une robe et un string ouvert est assez pratique finalement et mon mari à l'air de trouver cela beau de me regarder pisser. Je pense que la prochaine fois je le ferais debout dans la douche histoire de l'émoustiller un peu.

Nous partons d'abord vers le palais Royal dont la place est toujours animée. Et nous prenons place sur un banc en pierre glacé . Voilà qui refroidit toute ébauche d'ardeur.
Sur la place déboulent 2 filles dont une ne porte qu'un tanga. En moins de 2 min elles commencent une séance de body painting, en plein milieu de la place devant le palais. Et visiblement, le modèle avait peur de salir son tanga, puisqu'elle l'a retiré dès le début de la séance de peinture. Une fille se fait peindre l'intégralité du corps, sexe compris sur une place hyper fréquenté et à peine si les promeneurs détournent la tête. Pas sûre que j'oserais me mettre complètement nue jambe écartées sur une place publique. Décidément, les hollandais ne sont pas comme nous. Je commence à me dire que ma tenue légère ne choquera personne ici.
Après cette courte pause distrayante nous reprenons notre balade. En passant devant une boutique j'ai voulu entrer pour regarder un chemisier. Cela n'a pas du tout plus à Fred qui décida d'arracher le bouton supérieur de ma robe. "A chaque fois que tu me contrarie j'enlève un bouton à ta robe et tu sais que tu n'en as pas d'autre ". Mon décolleté sage devient beaucoup plus large et baillant ce qui laisse mes seins nus plus accessibles.
Mais je m'en fous, je ne connais personne ici.
Apres 20 min de marche , nous voilà au bord d'un joli canal et un superbe banc nous attend. A peine assise face au canal, que le premier bateau de touristes passe devant nous.
"Montre leur tes jolies jambes Lili, et surtout desserre tes cuisses. Ce sont des touristes, ils veulent découvrir des vues inconnues".
Mon ventre picote un peu à l'idée d'exposer mon entre jambe à la vue d'inconnus, mais ils sont sur un bateau et moi sur la rive , donc peu de risques en fait. Je m'exécute donc timidement. Les bateaux passent, mais pas un touriste ne détourne le regard. Fred m'ordonne alors d'écarter franchement les jambes face au canal. Mon hésitation ne lui a pas plu et il arrache le dernier bouton du bas de ma robe. Elle n'était déjà pas trop longue, et maintenant les pans tombent sur le côté laissant une vue dégagée sur l'intérieur de mes cuisses. Mon string ouvert est maintenant visible en détail par les passants. Fred me dit alors : "Continue, je reviens, je vais te regarder allumer les passants."
Au gré du passage des bateaux, j'ouvre et je referme les cuisses et progressivement je remarque que j'attire les regards. Cette attention déclenche une sensation humide au niveau de ma fente. Oui, je mouille en laissant apparaitre mon intimité. Sensation nouvelle et délicieuse, je me prends au jeu et accentue volontiers l'ouverture de mes cuisses en fonction de la réaction du public. Certains applaudissent, d'autres sifflent ou crient. Les femmes me regardent d'un air médusé et dédaigneux. J'ai même remercié un jeune qui me prenait en photo. Mon sexe dégouline de plus en plus et j'espère que son côté luisant plait à mes spectateurs.

Fred revient vers moi et me félicite de ma prestation. "Bravo ma Lili, tu vois que tu plais encore". Il me tend alors une petite boite. "Vas-y ouvre" Est-ce une bague? Non c'est un vibromasseur connecté et sa télécommande. Un joli tout rose fluo. 'Euh merci? Est-ce bien l'endroit pour ce genre de cadeau?", "Vas-y mets le maintenant!". Voilà qui a le mérite d'être clair. Le voyant s'approcher d'un bouton de ma robe, je m'exécute et enfonce le jouet dans ma chatte trempée. Il rentre tout seul, la sensation est assez douce. Seul 2-3 centimètres dépassent de mon vagin, comme une petite antenne toute rose qui dépasse de ma chatte. Sans être énorme, le sex-toy me remplit le sexe et est bien logé en moi. La sensation n'est pas désagréable. Chose à laquelle je n'avais pas fait attention, c'est la terrasse de café, de l'autre côté du canal, et le groupe de jeunes qui a regardé mes agissements depuis un moment. Je pense comprendre que l'introduction du jouet dans la chatte les a intéressés car ils miment maintenant des séances de masturbation. Très gênée, je demande à Fred pour quitter les lieux, ce que nous faisons de suite. Nous voilà repartis en promenade, moi un vibro dans le vagin et lui une télécommande dans la poche. La sensation en marchant de l'objet fourré dans mon sexe provoque des sensations assez agréables, mais le fait de savoir qu'un bout rose fluo du vibro dépasse de ma chatte et donc dépasse aussi par mon string fendu me mets mal à l'aise. Je suppose que c'est le but recherché par mon mari.

Après quelques instants de marche, nous nous arrêtons pour manger une pizza sur une terrasse en bord de canal. La terrasse en bois est légèrement surélevée par rapport à la route qui longe le canal, il fait beau et chaud, l'endroit est romantique à souhait. Au moment où la serveuse vient nous expliquer la carte, je sens le vibro se mettre en route et commencer à me secouer de l'intérieur. Je pense que la serveuse a capté ma grimace de stupeur et mon regard lancé à Fred, et qu'elle doit trouver les touristes vraiment bizarres. Fred me regarde en souriant tout en jouant avec la télécommande, les vibrations passent par toutes les intensités, des plus soft aux plus intenses. Le feu monte en moi et j'ai du mal à garder ma position sur la chaise. Peu importe qui vois quoi, je croise et décroise les jambes ce qui a pour effet d'accentuer les sensations. Je me cramponne à la table, et tout en regardant mon mari, et je jouis en contenant au maximum mes convulsions de plaisir. Nos voisins de tables me regardent d'un air bizarre, les vibrations cessent et je tente de ne pas piquer un fard. Fred me regarde en souriant et me dit "Lili ne te donne pas en spectacle stp", le comble. Nos mains se croisent et nous sourions en nous regardant. Un des inconvénients des strings ouverts est de ne retenir aucune humidité et que mes lèvres sont en contact direct avec la chaise. Je vous laisse imaginer l'état de ma chaise, impossible de se lever et d'aller aux toilettes, me voilà condamnée à rester ainsi. Je glisse simplement la serviette en tissu qui emballait mes couverts sous moi afin d'éponger un peu mes sécrétions et d'éviter tout dégât à mon unique robe. Mon premier orgasme en public sera mémorable, jamais je n'aurais imaginé faire cela un jour. Et le pire c'est que j'ai pris un pied d'enfer.
A la fin du repas, nous nous levons et je dépose innocemment la serviette souillée sur la table, voilà qui fera plaisir à la serveuse, mais pas trop le choix. Et moi je suis toujours en robe légère avec 2 boutons en moins et surtout avec un string dont dépasse un bout du vibro que j'ai dans le conduit. Nous rentrons sagement à l'hôtel pour faire une sieste et nous rafraichir. Arrivée sous la douche, je retire délicatement mon jouet et m'arrose copieusement le sexe en dirigeant le jet de douche sur mon petit capuchon. En quelques instants, une nouvelle décharge de plaisir de répand en moi. Je ressors nue de la salle de bain, à la plus grande surprise de Fred qui regarde par la fenêtre l'activité de la rue. Je le rejoint à la fenêtre, toujours à poil, et m'étire langoureusement face à celle-ci. Fred m'interpelle et me demande à quoi je joue. Je lui répond simplement "Tu voulais que je me montre, regarde c'est ce que je fais!" En disant cela je me suis retournée et ai appuyé mes fesses sur la fenêtre. Me penchant en avant je prends soin de les écarter afin d'offrir à la rue la vue de ma rondelle toute propre. Nous allons ensuite sagement nous reposer sur le lit. Fred tente bien une main baladeuse que je repousse immédiatement en le réprimandant.

Après quelques heures de repos, nous nous préparons pour aller faire un tour et profiter de cette magnifique fin de journée. Avant de remettre ma robe, je demande l'autorisation à Fred de ne pas remettre le string fendu car il m'irrite les grandes lèvres à la longue. Pas de soucis pour lui, un minou tout nu est moins joli, mais tant qu'il est visible, faut pas se plaindre. La robe est toujours avec 2 boutons de moins et moi sans aucun sous-vêtements, je pense que les curieux auront de quoi se distraire. Bien que je ne sois pas une top model avec mes rondeurs, ici le fait de laisser voir mon corps ne me fait rien, voir même m'amuse car je n'ai pas l'impression d'être jugée (même si je sais que les mecs regardent d'abord cul et nichon avant regarder autre chose).
1 heure de marche plus tard, nous décidons de prendre un verre à une terrasse entre la rue commerçante principale et une petite place. Il y a assez bien de monde mais dès que je me suis assise, je me suis positionnée face à la rue jambes entrouvertes, rien de provoquant, juste pour sentir l'air frais caresser mon entre jambes. Nous commandons un gin chacun et je m'affale gentiment sur la confortable chaise. Il fait bon, il fait beau, mais je m'ennuie de la conversation avec Fred, j'ai envie de sensations nouvelles. Je décide alors de discrètement défaire moi-même un bouton du dessus de ma robe, mon décolleté est maintenant très plongeant et mes seins sont visible à tout passe à proximité. Si je bouge un peu, je suis sûre que je pourrais en découvrir un complètement, mais il y a du monde quand même, restons prudente.
Alors que j'espérais que mon décolleté attirerait au moins quelques regards, personne ne le remarque ou personne ne réagit, je suis frustrée d'être aussi insignifiante, même mon mari regarde plus son téléphone que moi.
Au deuxième verre de gin, je décide d'y aller à fond et de défaire encore le seul bouton qui retenait les pans de ma robe sur le haut de mes cuisses. Voilà donc ma robe qui descend directement le long de mes hanches sans plus rien masquer de mes jambes et de mes cuisses. Seul le haut mon pubis est encore vaguement protégé, chaque fois que j'écarte un peu les jambes, j'expose mon sexe épilé à la vue de tous. Fred est toujours plus préoccupé par son téléphone que par mon sexe exposé à côté de lui, à l'inverse plusieurs curieux se sont repositionnés pour regarder le spectacle. Je joue ainsi à me montrer innocemment à de parfaits inconnus. Après quelques instants, un jeune d'une trentaine d'année se rapproche de nous et viens s'assoir à côté de nous, je cache directement mon sexe avec ma main et tente rattacher le haut de ma robe. Fred s'interrompt et comprend vite ls situation, et d'une voix décidée il m'ordonne de reposer mes mains sur la table. "Tu as voulu jouer? Assume maintenant, tu vas garder la robe comme cela jusqu'à ce soir" Le jeune homme pris peur de la réaction de mon mari et retourna à sa place. Nous finissons notre 3ème Gin et quittons les lieux pour aller faire les boutiques. Je ne sais pas si c'est l'effet du gin, mais je n'ai plus aucune pudeur et me moque de ce que les autres pourraient voir ou penser.
Sur Damrak, nous passons devant un sex-shop qui semble spécialisé cuir latex et jeux hard. Par curiosité, nous entrons dans cette boutique située entre C&A et une friterie, sex-shop très classe et affichant des prix de fous. Qui peut ou veut acheter un masque latex avec un entonnoir comme seule ouverture à 200 euros? Pas nous en tout cas, nous visitons la boutique jusqu'au fond de celle-ci et nous découvrons qu'il y a une autre pièce dont l'accès est payant. Fred me pousse directement vers le tourniquet d'entrée et glisse la monnaie pour libérer l'accès. Nous rentrons dans une petite salle de cinéma privée très sombre et nous restons tout d'abord dans le fond afin d'observer ce qui s'y passe. Peu à peu nous devinons des ombres exclusivement masculines, certaines isolées d'autre plus proches. Au bruit que nous entendons, pas de doute que certains sont en train de s'enculer devant le film gay. Il semblerait que ce ciné privé soit exclusivement réservés aux gays, mais bon on y est.
Après avoir observé, nous prenons place au milieu de la rangée de siège, sous le regard surpris de quelques hommes. A peine assise que Fred détacha tous les boutons qui restant de ma robe et l'écarta complètement afin de m'exposer entièrement nue à la vue de ces messieurs.
"Caresse toi ma chérie, je suis sûr qu'ils ne regarderont plus le film". Se caresser en public dans un ciné gay? Je ne l'aurais jamais imaginé, mais faut croire que l'alcool fait faire des folies. Mes mains attrapent directement mes seins et caressent ma chatte avec frénésie. Je vois alors 3 hommes se rapprocher et venir me regarder. En réalité, ils ont tous leur sexe en érection qui sort du pantalon et ils se branlent en me regardant. Fred sourit et commence lui aussi à se masturber. 3 gays qui se branlent face à moi, voilà qui m'excite encore plus. Je m'allonge un peu plus dans le fauteuil et glisse d'emblée un doigt dans chacun de mes orifices. Et je joue frénétiquement à faire coulisser mes doigts dans ma chatte et dans mon cul en me montrant du mieux que je peux. Au bout de quelques minutes je jouis intensément, et les 3 hommes s'approchent de moi pour me balancer leur sperme sur la poitrine avant de disparaitre. Fred, lui, a dû éjaculer avant sans que je m'en rende compte. Je rattache le reste de ma robe sans essuyer les traces qui coulent sur ma peau, trop fière d'avoir fait jouir des homos avec mon triste corps de femme.
Le week-end s'est terminé peu après et nous n'avons jamais reparlé de ce qui s'était passé ce week-end de juin.

Les avis des lecteurs

Quelques jolies scènes bien émoustillantes. Les fantasmes de madame sont très intéressants mais je m'étonne de la réaction des homos dans la dernière scène.



Texte coquin : Week-end à Amsterdam juin 2023
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