Week-end dans les bois 1
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Récit érotique écrit par Pael [→ Accès à sa fiche auteur]
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Week-end dans les bois 1
J'avais toujours voulu essayer de me faire dominer par mes copines, sujet assez compliqué à aborder !
Célibataire depuis quelques mois, j'assouvissais mes fantasmes lors de mes masturbations.
J'avais ce coup de cœur pour une ex-copine à moi, lointaine, que j'avais quittée du jour au lendemain sans réelle raison, peut-être parce qu'elle n'était pas totalement ouverte au sexe, c'était assez plat, elle était plutôt une fille discrète, réservée, un très joli corps qu'elle habillait toujours de robe à fleurs en été.
Nous sommes toujours en contact même si nous ne discutons jamais, nous réagissons à des publications l'un de l'autre, mais au-delà... Je décidais de mettre une story, non pas pour qu'elle y réagisse, je n'y pensais même pas, je partageais un plat que j'avais concocté.
Elle y réagissait et ajoutait même que cela avait l'air bon, l'occasion était bonne, j'en profitais pour lui proposer un jour de lui faire un plat !
Elle vint dans la semaine, la soirée se passait bien, on rigolait, on buvait, mangeait, je fantasmais sur son corps, je me rendais compte que j'étais réellement amoureux d'elle.
Suite à cela, nous nous sommes remis à échanger ensemble, nous parlions tout le temps, on se téléphonait le soir, parfois, j'entendais qu'elle était dans son bain, je l'imaginais et me touchais en même temps.
On se revit quelques fois, mais cette fois, je décidais de lui parler, nous nous donnions rendez-vous dans un petit restaurant, elle arrivait légèrement après moi et nous commandions des cocktails.
Elle : Comment vas-tu ? Tu semblais vouloir me parler de quelque chose ?
Moi : Oh, tu as su décerner ça ?
Elle : Je t'ai trouvée plus bizarre que d'habitude ! Dit-elle en rigolant.
Moi : Ah oui, bizarre...
Elle : Ne t'offusque pas, dis-moi ?
Je pris quelques secondes avant d'entamer le sujet, et commençait alors.
Moi : Lorsque je t'ai quitté, j'ai fais une erreur et...
Elle : Tu es toujours là-dessus ?
Moi : Laisse-moi terminer stp.
Elle : D'accord, pardon.
Elle avait cette douceur à laquelle je ne pouvais résister.
Moi : Je disais donc que j'avais fait une erreur, aujourd'hui, bien des années plus tard je le regrette et j'aimerais remettre cela.
Elle : Ça me touche... Mais...
Moi : Mais ?
Elle : J'ai énormément souffert de notre rupture, je pensais que tu avais joué avec moi, mais comme tu me l'as réexpliqué quelques mois après, c'était surtout au niveau sexuel.
Moi : Oui, je comprends, je n'ai pas été correct et oui c'était ça...
Elle : Alors pourquoi ça changerait maintenant ?
Moi : Parce que ça fait des mois que je ne cesse de penser à toi, avant même qu'on ne se reparle, tu étais dans ma tête.
Elle : Oui, mais tu penses que la relation serait différentes ?
Moi : Je ne sais pas ...
Elle : Et j'aurais tout de même du mal à te faire confiance, enfin, je veux dire, à me dire que du jour au lendemain tu ne me quitterais pas ?
La discussion continuait autour de ce sujet, l'un essayait de comprendre l'autre, d'avancer dans la discussion. Lorsque nous avons fini le dessert, elle me proposait qu'on aille marcher dans le parc. Il était minuit passé, il n'y avait personne dans les rues, le temps était doux, et nous y sommes donc partis.
Elle : tu te souviens ?
Moi : De quoi ?
Elle : Notre deuxième rendez-vous était dans un parc, on s'embrassait...
Moi : Oui, je sais la suite...
Elle : en pleine journée, on était vraiment fous...
Moi : Je dirais, jeune et impatient !
On s'assit et elle me dit :
Elle : Je ne sais vraiment pas...
Moi : Je ferais ce que tu veux sans discuter.
Elle : Comment ça ?
Dit-elle se tournant vers moi.
Moi : Pour te prouver que je veux être avec toi, je ferais tout ce que tu veux.
Elle : Tu sembles vraiment sérieux !
Elle me fit une bise sur la joue et ajoutait : "rentrons !"
On repartit à nos voitures et nous rentrions chacun chez nous.
Je rentrais et me branlais, pour la deuxième fois de la journée, où la première vu l'heure qu'il était, je ne reçu pas de message, ça me laissais un sentiment d'inquiétude, peut-être lui avais-je fais peur ?
Le lendemain matin, je me levais, 10h30, j'avais un peu forcé sur la boisson, je me sentais tout vaseux, le temps de me faire un café, ma sonnette retentit.
J'enfilait un tee shirt et un short et allait ouvrir :
Moi : Mais que fais-tu là ?
Elle : Je viens d'aller courir, je ne pouvais pas restée sur ce que tu m'as dis hier sans tout mettre au clair.
Moi : Rentre, je t'en prie... Assied-toi.
Elle : tu n'aurais pas un essui ? J'ai plutôt, excuse-moi, transpirer...
J'allais lui chercher un essui, le mis sur le divan et elle s'assit, je lui servit un verre d'eau et m'assis à mon tour.
Elle : Alors, dis-moi tout !
Moi : te dire quoi ? J'ai envie d'être avec toi, c'est tout...
Elle : Je l'avais compris, ça c'était clair, mais faire tout ce que je veux ? Que veux-tu que je veuille que tu fasses ?
Moi : Je ne sais pas, ça serait à toi de voir, ce qui pourrait te faire avoir confiance.
Elle : Ce n'est pas clair... Sois clair stp, sinon je me lève et je rentre me doucher car je n'aime pas rester ainsi, et on oubliera toute cette conversation.
Ca ne ressemblait pas à une menace, elle semblait vraiment pas comprendre, moi-même est-ce que je savais ? Elle s'approchait de moi et prit ma main avec ses deux mains.
Elle : Je t'écoute.
Moi : C'est compliqué, comment expliqué simplement... Si... hum... Dans le cas où je ferais tout ce que tu dis, tu me dirais de te baiser les pieds, je le ferais immédiatement.. Dis-je en baissant les yeux de honte.
Elle : Tu veux me baiser les pieds ? Dis sa voix pleine d'étonnement mais me tenant toujours les mains.
Moi : J'ai pas dis ça, je dis que je ferais ce que tu dis.
Elle mit sa main sur mon menton avec douceur et relevait ma tête.
Elle : Tout ce que je veux ?
Moi : Oui...
Elle : C'est assez... Perturbant.
Elle retirait sa chaussure et sortit son pied, le regardait, puis remit son pied dans sa chaussure.
Elle : Stp, laisse-moi y réfléchir, c'est beaucoup pour moi, je ne sais même pas quoi en penser.
Elle se levait et me signifiait qu'elle allait rentrer, elle se dirigea vers la porte et je regardais ses fesses qui remplissaient bien son legging, elle me fit une bise tendre et partit.
J'imagine, le temps qu'il lui fallait pour rentrer chez elle et réfléchir, elle me fit un message :
"Pardonne-moi de ma réaction, j'ai été surprise, j'ai réfléchi, ça serait possible, mais laisse-moi réfléchir à quoi, où, comment..
On se vit plusieurs fois sans aborder le sujet, je pense qu'elle s'amusait à mettre des talons, à se faire belle, on allait manger dans le restaurant où nous avions été et elle engageait la conversation :
Elle : Le week-end prochain, on ira quelque part, on verra si ce que tu m'as dis est vrai.
Moi : A propos de quoi ?
Elle : Tu sais bien, faire tout ce que je veux.
Je me suis branlé chaque jour ! Arrive le jour du "départ", je ne sais pas où nous allons, j'ai juste l'heure où je dois me présenter chez elle, j'arrive, on ne traîne pas, on met mon sac à l'arrière de sa voiture et démarre, je la laisse me conduire, c'est un sentiment bizarre, on sort sur une aire d'autoroute, on se dégourdit les jambes.
Elle : ça ne te dérange pas si la suite du trajet tu la passes derrière couché avec les yeux bandés ?
Moi : Euh, c'est toi qui voit ...
Et ça se passait ainsi, nous arrivions enfin, la voiture s'arrêtait et elle me dit :
Elle : Tu peux retirer le bandeau.
Nous étions dans une forêt, ou un bois, devant une belle maison, on voyait quelques maisons par-ci par-là, au loin, on sortait tout les deux et alors que je profitais du paysage.
Elle : Voilà, c'est ici que nous allons rester ce week-end, je voulais un endroit calme et reculer, où on se sentirait à l'aise.
On prit nos affaires, elle avait une valise elle, et on rentrait.
Elle : J'imagine qu'à partir d'ici tu fais ce que je dis ?
Moi : Oui, tu n'as pas à me demander mon avis du coup...
Elle : Mets toi tout nu alors !
Je me déshabillais, évidemment, je bandais et elle n'en ratait pas une miette, j'étais à peine à l'entrée, elle allait dans la pièce d'à côté, je l'entendis ouvrir sa valise et elle revint en me bandant les yeux et en attachant les mains derrière, je me sentais bander encore plus fort, je n'attendais pas cela d'elle.
En me tenant par le bras, elle m'emmenait plus loin dans la maison, elle me détachait les mains et me dirigeait de manière à me coucher, je sentis du cuir en dessous de moi, elle attachait mes bras à deux opposées et mes jambes également, ensuite elle redressait un peu la table.
Elle : Ca va ? Je n'ai pas serrer trop fort ?
Moi : Oui, et non ça va ..
Je sentis qu'elle passait un gant de toilette sur mon corps et puis mettait un produit. Lorsque je sentis une lame passer sur mon torse, je compris qu'elle me rasait. Je ne dis rien, je lui avais dit que je ferais ce qu'elle disait.
Tout en s'appliquant, elle se mit à me parler.
Elle : Il a fallu que je me renseigne un peu, j'ai regardé sur internet, j'ai même été dans des sex shop poser des questions, autant te dire que j'étais gênée ! Et puis j'ai réfléchi à ce que je voulais.
Je ne dis rien, je sentais qu'elle m'essuyais, elle avait rasé mon torse, mes dessous de bras, mes parties, mes jambes, elle me retournait et s'occupait de mes fesses.
Elle : Nu comme un vers !
Elle me détachait et remit mes mains dans mon dos, les attachants à nouveau. Elle m'emmenait dans un autre endroit, elle me fit me tenir droit et retirait mon bandeau. Il y avait plusieurs miroirs, me voir ainsi relançait encore plus fort mon sexe.
Elle : Nu comme un bébé !
Dit-elle en rigolant, elle s'assit sur une belle chaise avec le rembourrage rouge, je restais là, sans savoir quoi faire et elle me fit signe avec son index de venir.
Une fois devant elle, elle me fit signe de m'agenouiller, c'était fou, elle gardait toujours cette tendresse malgré la situation et on sentait ce petit côté d'hésitation en elle.
Elle : Tes demandes sont exaucées !
Dit-elle agitant son pied devant mon nez, me faisant comprendre que je devais les baiser, et c'est ce que je fis, elle appuyait son pied sur mon épaule et me fis me baisser, ma tête était au sol, avec son autre pied elle me fit comprendre que je devais relever les fesses et ensuite écartées les jambes, elle finit par laisser un pied sur mon visage et l'autre juste devant ma bouche.
Ce que je verrais après est, que, derrière moi se trouve un miroir et donc qu'elle voyait mes fesses et mes parties, elle finit par se retirer et me fit me relever.
Elle : Si je te détache, tu vas donc faire tout ce que je veux ?
Moi : Oui...
Elle : Je ne veux pas m'avancer trop vite, mais tu as vraiment l'air sincère...
Moi : Je le suis !
Elle me détachait donc et me fit la suivre, on montait les escaliers, on aurait dit plus un chalet qu'une maison, tout était en bois, elle m'amenait devant la salle de bain et me dit :
Elle : va t'apprêter, je t'ai préparé tout sur la chaise, tu verras !
Elle se retournait et descendit, je rentrais dans la salle de bain et vis des affaires sur une chaise, lorsque je commençais à la prendre, une petite feuille tombait, je la ramassais.
"Tout doit être sur toi ! Bisou"
Il y avait également une boite, que j'ouvris et je ressentis une petite frayeur, il y avait une cage de chasteté pour homme, un gode et martinet.
Je mis la cage de chasteté, tant bien que moi, je m'étais serré les couilles mis de l'eau froide pour me faire débander, mais la situation ne m'aidait pas, je fini par y arriver, j'enfilais le string noir qu'elle avait préparé et les talons, suivi de la petite robe à fleur, je tenais le gode et le martinet et eu un moment d'hésitation.
J'avais verrouillé la cage et je n'avais pas la clé, je n'avais plus trop le choix, je finis par descendre, lorsqu'elle me vit, elle rigolait, elle me prit la main et m'embrassait fougueusement, elle me fit m'asseoir sur ses genoux et sa main caressait mes jambes, mon torse, je compris qu'elle m'utilisait comme si j'étais sa petite salope, lorsqu'elle eut fini, elle tapotait sur mon sexe.
Elle : ça va avec ?
Moi : C'est horrible !
Elle : j'imagine, met ton ventre sur mes genoux, je vais te donner la fessée.
Je me mis et elle me fit relever la robe au dessus de mes fesses, elle n'hésitait pas à commencer à me fesser avec le martinet, m'arrachant quelques cris.
Elle : tu te souviens quand on couchait ensemble, tu aimais me prendre en levrette et me donner la fessée, je comprends mieux pourquoi tu aimais !
Moi : ...
Elle : Allais, tiens encore un petit peu !
Lorsqu'elle eu finit de martyriser mes fesses, elle me mit le gode sous le nez.
Elle : Toi qui insistait pour que je te suce, montre moi comme tu suce, je veux vraiment te voir t'appliquer stp.
Et je m'appliquais à sucer le gode, à le lécher, elle me l'enfonçait profondément, me gardait ma tête dessus, j'avais les larmes aux yeux, elle me fit le garder dans la bouche, attachait encore une fois mes mains dans mon dos et me fit m'asseoir par-dessus elle, après m'avoir retiré le gode de la bouche, elle se mit à m'embrasser, me tenant par les fesses, les serrants pour me faire grimacer, je sentais aussi ses doigts froler mon anus, elle voyait à ma tête que je n'étais pas à l'aise.
Elle : C'est pas toi qui voulait me prendre par derrière ?
Moi : ...
Elle : Tu peux me répondre hein, ne t'inquiète pas.
Moi : Si c'était moi...
Elle : Et moi, j'ai envie de te le faire aussi, tu veux bien ?
Moi : C'est toi qui décide...
Elle me relevait et elle se mit à avancer.
Elle : Suis-moi.
Je la suivais, les mains toujours dans mon dos, en talons, on descendait cette fois, c'était vraiment immense, arriver en bas, il y avait une piscine, elle retirait sa robe me dévoilant ses sous-vêtements et plongeait dans l'eau, faisait des longueurs.
Elle sortit de l'eau, prit un drap qui était à disposition qu'elle mit par dessus-elle, me tournait le dos et retirer ses sous-vêtements mouillés, je maudissais ce drap qu'elle enroulait autour d'elle. Elle me fit signe de venir et une fois arrivé devant elle, me détachait les menottes.
Elle : Tu peux retirer ta robe.
Je retirais la robe, et les menottes revinrent aussi vite dans mon dos, elle ouvrit la porte qui se trouvait à côté de nous, c'était une pièce assez sombre, elle allumait la lampe, qui n'éclairait pas très fort, cet endroit avait un côté flippant, je pouvais y voir des accessoires de soumission, elle prit un objet, qui n'était autre qu'un collier qu'elle me mit autour du cou, le reliant à une chaine qui elle semblait suspendue au plafond.
Elle : On m'a vraiment bien conseillée, il y a tout ici, même pour une novice comme moi, je peux avoir des idées.
Je la regardais dans son drap de bain, la sachant nue dessous, mon sexe aurait voulu sortir, mais cela était impossible. Elle tirait sur la chaine, me faisant me tenir droit.
Et vint devant moi, passant ses mains sur mon corps, mon sexe me faisais souffrir le martyrs.
Elle : Je vais te demander deux choses.
Moi : Je t'écoute.
Elle : Si tu veux sortir d'ici, tu dois un, te trouver un petit nom, deux me demander d'écarter tes fesses.
Moi : Appelle moi ta petite salope et stp écarte mes fesses.
Je reçu une claque sur la fesse droite.
Elle : J'ai bien entendu pour tes fesses, mais j'aime pas le nom.
Moi : Ta chose ?
Une autre claque arrivait, mais cette fois sur la gauche.
Elle : Tu peux mieux faire.
Une ribambelle de fessée, de noms rejetés elle finit par dire :
Elle : Tu serais ma petite lopette !
Et elle partit me laissant ainsi, dans le noir.
Lorsqu'elle revint, au moins une heure plus tard, elle accrochait une laisse et me tirait donc, elle m'amenait dans le salon et me fit me mettre sur la table basse, elle portait une robe blanche, je verrais par après qu'elle a un string blanc et... Pas de soutien-gorge, ses seins se laissant discrètement, voir au travers.
Après m'avoir attaché les chevilles à la table, elle déposera devant moi, lubrifiant, gode de plusieurs tailles et gardera à côté d'elle un plug avec une fleur rose au bout.
Elle : tu as tout pour t'écarter les fesses, suce bien les godes en même temps, si je te présente mon pied tu le lécheras, je veux que tu te donne comme la petite lopette que tu es.
Je ne sais combien de temps j'ai passé sur cette table à m'écarter les fesses, à sucer les godes, lui baiser les pieds, mais je finis par y arriver, elle me plaçait le plug et me laissait ainsi un moment, je transpirais, j'étais essoufflé, elle me permit de poser ma tête sur la table pour me reposer, s'amusant à appuyer ses pieds sur mon visage.
Elle me détachait et m'emmenait dans la salle de bain, m'enlevait tout ce que je portais excepté le plug.
Elle : Tu peux te laver, aller au toilette, tu as 5 minutes.
Je bloquais un peu pour uriner car elle me regardais, de plus mon sexe me faisait atrocement mal et le fait de le tenir me donnait en plus envie de me branler, je me lavais aussi vite que je pu et m'essuyait.
Elle me fit garder l'essuie autour de ma taille et elle partit faire à manger, on s'installait à table, on mangeait tranquillement, discutions, comme si de rien ne s'était passé. Une fois fini, je débarrassais et elle me retirait mon drap.
Elle : reste ainsi, je veux te voir nu tout le week-end.
On a bu un verre, deux, puis elle m'emmenait dans la toute première pièce, sur la table où elle m'avait rasé et m'y attachait à nouveau, sur le dos, redressait encore la table, j'étais face à un miroir et elle m'apprendra qu'on n'appelle pas cela une table, mais une croix.
Elle me laissait ainsi le temps de se laver et revint ensuite, elle portait une petite nuisette, elle avait l'air si fragile ainsi, pourtant c'était elle qui était en position de force.
Célibataire depuis quelques mois, j'assouvissais mes fantasmes lors de mes masturbations.
J'avais ce coup de cœur pour une ex-copine à moi, lointaine, que j'avais quittée du jour au lendemain sans réelle raison, peut-être parce qu'elle n'était pas totalement ouverte au sexe, c'était assez plat, elle était plutôt une fille discrète, réservée, un très joli corps qu'elle habillait toujours de robe à fleurs en été.
Nous sommes toujours en contact même si nous ne discutons jamais, nous réagissons à des publications l'un de l'autre, mais au-delà... Je décidais de mettre une story, non pas pour qu'elle y réagisse, je n'y pensais même pas, je partageais un plat que j'avais concocté.
Elle y réagissait et ajoutait même que cela avait l'air bon, l'occasion était bonne, j'en profitais pour lui proposer un jour de lui faire un plat !
Elle vint dans la semaine, la soirée se passait bien, on rigolait, on buvait, mangeait, je fantasmais sur son corps, je me rendais compte que j'étais réellement amoureux d'elle.
Suite à cela, nous nous sommes remis à échanger ensemble, nous parlions tout le temps, on se téléphonait le soir, parfois, j'entendais qu'elle était dans son bain, je l'imaginais et me touchais en même temps.
On se revit quelques fois, mais cette fois, je décidais de lui parler, nous nous donnions rendez-vous dans un petit restaurant, elle arrivait légèrement après moi et nous commandions des cocktails.
Elle : Comment vas-tu ? Tu semblais vouloir me parler de quelque chose ?
Moi : Oh, tu as su décerner ça ?
Elle : Je t'ai trouvée plus bizarre que d'habitude ! Dit-elle en rigolant.
Moi : Ah oui, bizarre...
Elle : Ne t'offusque pas, dis-moi ?
Je pris quelques secondes avant d'entamer le sujet, et commençait alors.
Moi : Lorsque je t'ai quitté, j'ai fais une erreur et...
Elle : Tu es toujours là-dessus ?
Moi : Laisse-moi terminer stp.
Elle : D'accord, pardon.
Elle avait cette douceur à laquelle je ne pouvais résister.
Moi : Je disais donc que j'avais fait une erreur, aujourd'hui, bien des années plus tard je le regrette et j'aimerais remettre cela.
Elle : Ça me touche... Mais...
Moi : Mais ?
Elle : J'ai énormément souffert de notre rupture, je pensais que tu avais joué avec moi, mais comme tu me l'as réexpliqué quelques mois après, c'était surtout au niveau sexuel.
Moi : Oui, je comprends, je n'ai pas été correct et oui c'était ça...
Elle : Alors pourquoi ça changerait maintenant ?
Moi : Parce que ça fait des mois que je ne cesse de penser à toi, avant même qu'on ne se reparle, tu étais dans ma tête.
Elle : Oui, mais tu penses que la relation serait différentes ?
Moi : Je ne sais pas ...
Elle : Et j'aurais tout de même du mal à te faire confiance, enfin, je veux dire, à me dire que du jour au lendemain tu ne me quitterais pas ?
La discussion continuait autour de ce sujet, l'un essayait de comprendre l'autre, d'avancer dans la discussion. Lorsque nous avons fini le dessert, elle me proposait qu'on aille marcher dans le parc. Il était minuit passé, il n'y avait personne dans les rues, le temps était doux, et nous y sommes donc partis.
Elle : tu te souviens ?
Moi : De quoi ?
Elle : Notre deuxième rendez-vous était dans un parc, on s'embrassait...
Moi : Oui, je sais la suite...
Elle : en pleine journée, on était vraiment fous...
Moi : Je dirais, jeune et impatient !
On s'assit et elle me dit :
Elle : Je ne sais vraiment pas...
Moi : Je ferais ce que tu veux sans discuter.
Elle : Comment ça ?
Dit-elle se tournant vers moi.
Moi : Pour te prouver que je veux être avec toi, je ferais tout ce que tu veux.
Elle : Tu sembles vraiment sérieux !
Elle me fit une bise sur la joue et ajoutait : "rentrons !"
On repartit à nos voitures et nous rentrions chacun chez nous.
Je rentrais et me branlais, pour la deuxième fois de la journée, où la première vu l'heure qu'il était, je ne reçu pas de message, ça me laissais un sentiment d'inquiétude, peut-être lui avais-je fais peur ?
Le lendemain matin, je me levais, 10h30, j'avais un peu forcé sur la boisson, je me sentais tout vaseux, le temps de me faire un café, ma sonnette retentit.
J'enfilait un tee shirt et un short et allait ouvrir :
Moi : Mais que fais-tu là ?
Elle : Je viens d'aller courir, je ne pouvais pas restée sur ce que tu m'as dis hier sans tout mettre au clair.
Moi : Rentre, je t'en prie... Assied-toi.
Elle : tu n'aurais pas un essui ? J'ai plutôt, excuse-moi, transpirer...
J'allais lui chercher un essui, le mis sur le divan et elle s'assit, je lui servit un verre d'eau et m'assis à mon tour.
Elle : Alors, dis-moi tout !
Moi : te dire quoi ? J'ai envie d'être avec toi, c'est tout...
Elle : Je l'avais compris, ça c'était clair, mais faire tout ce que je veux ? Que veux-tu que je veuille que tu fasses ?
Moi : Je ne sais pas, ça serait à toi de voir, ce qui pourrait te faire avoir confiance.
Elle : Ce n'est pas clair... Sois clair stp, sinon je me lève et je rentre me doucher car je n'aime pas rester ainsi, et on oubliera toute cette conversation.
Ca ne ressemblait pas à une menace, elle semblait vraiment pas comprendre, moi-même est-ce que je savais ? Elle s'approchait de moi et prit ma main avec ses deux mains.
Elle : Je t'écoute.
Moi : C'est compliqué, comment expliqué simplement... Si... hum... Dans le cas où je ferais tout ce que tu dis, tu me dirais de te baiser les pieds, je le ferais immédiatement.. Dis-je en baissant les yeux de honte.
Elle : Tu veux me baiser les pieds ? Dis sa voix pleine d'étonnement mais me tenant toujours les mains.
Moi : J'ai pas dis ça, je dis que je ferais ce que tu dis.
Elle mit sa main sur mon menton avec douceur et relevait ma tête.
Elle : Tout ce que je veux ?
Moi : Oui...
Elle : C'est assez... Perturbant.
Elle retirait sa chaussure et sortit son pied, le regardait, puis remit son pied dans sa chaussure.
Elle : Stp, laisse-moi y réfléchir, c'est beaucoup pour moi, je ne sais même pas quoi en penser.
Elle se levait et me signifiait qu'elle allait rentrer, elle se dirigea vers la porte et je regardais ses fesses qui remplissaient bien son legging, elle me fit une bise tendre et partit.
J'imagine, le temps qu'il lui fallait pour rentrer chez elle et réfléchir, elle me fit un message :
"Pardonne-moi de ma réaction, j'ai été surprise, j'ai réfléchi, ça serait possible, mais laisse-moi réfléchir à quoi, où, comment..
On se vit plusieurs fois sans aborder le sujet, je pense qu'elle s'amusait à mettre des talons, à se faire belle, on allait manger dans le restaurant où nous avions été et elle engageait la conversation :
Elle : Le week-end prochain, on ira quelque part, on verra si ce que tu m'as dis est vrai.
Moi : A propos de quoi ?
Elle : Tu sais bien, faire tout ce que je veux.
Je me suis branlé chaque jour ! Arrive le jour du "départ", je ne sais pas où nous allons, j'ai juste l'heure où je dois me présenter chez elle, j'arrive, on ne traîne pas, on met mon sac à l'arrière de sa voiture et démarre, je la laisse me conduire, c'est un sentiment bizarre, on sort sur une aire d'autoroute, on se dégourdit les jambes.
Elle : ça ne te dérange pas si la suite du trajet tu la passes derrière couché avec les yeux bandés ?
Moi : Euh, c'est toi qui voit ...
Et ça se passait ainsi, nous arrivions enfin, la voiture s'arrêtait et elle me dit :
Elle : Tu peux retirer le bandeau.
Nous étions dans une forêt, ou un bois, devant une belle maison, on voyait quelques maisons par-ci par-là, au loin, on sortait tout les deux et alors que je profitais du paysage.
Elle : Voilà, c'est ici que nous allons rester ce week-end, je voulais un endroit calme et reculer, où on se sentirait à l'aise.
On prit nos affaires, elle avait une valise elle, et on rentrait.
Elle : J'imagine qu'à partir d'ici tu fais ce que je dis ?
Moi : Oui, tu n'as pas à me demander mon avis du coup...
Elle : Mets toi tout nu alors !
Je me déshabillais, évidemment, je bandais et elle n'en ratait pas une miette, j'étais à peine à l'entrée, elle allait dans la pièce d'à côté, je l'entendis ouvrir sa valise et elle revint en me bandant les yeux et en attachant les mains derrière, je me sentais bander encore plus fort, je n'attendais pas cela d'elle.
En me tenant par le bras, elle m'emmenait plus loin dans la maison, elle me détachait les mains et me dirigeait de manière à me coucher, je sentis du cuir en dessous de moi, elle attachait mes bras à deux opposées et mes jambes également, ensuite elle redressait un peu la table.
Elle : Ca va ? Je n'ai pas serrer trop fort ?
Moi : Oui, et non ça va ..
Je sentis qu'elle passait un gant de toilette sur mon corps et puis mettait un produit. Lorsque je sentis une lame passer sur mon torse, je compris qu'elle me rasait. Je ne dis rien, je lui avais dit que je ferais ce qu'elle disait.
Tout en s'appliquant, elle se mit à me parler.
Elle : Il a fallu que je me renseigne un peu, j'ai regardé sur internet, j'ai même été dans des sex shop poser des questions, autant te dire que j'étais gênée ! Et puis j'ai réfléchi à ce que je voulais.
Je ne dis rien, je sentais qu'elle m'essuyais, elle avait rasé mon torse, mes dessous de bras, mes parties, mes jambes, elle me retournait et s'occupait de mes fesses.
Elle : Nu comme un vers !
Elle me détachait et remit mes mains dans mon dos, les attachants à nouveau. Elle m'emmenait dans un autre endroit, elle me fit me tenir droit et retirait mon bandeau. Il y avait plusieurs miroirs, me voir ainsi relançait encore plus fort mon sexe.
Elle : Nu comme un bébé !
Dit-elle en rigolant, elle s'assit sur une belle chaise avec le rembourrage rouge, je restais là, sans savoir quoi faire et elle me fit signe avec son index de venir.
Une fois devant elle, elle me fit signe de m'agenouiller, c'était fou, elle gardait toujours cette tendresse malgré la situation et on sentait ce petit côté d'hésitation en elle.
Elle : Tes demandes sont exaucées !
Dit-elle agitant son pied devant mon nez, me faisant comprendre que je devais les baiser, et c'est ce que je fis, elle appuyait son pied sur mon épaule et me fis me baisser, ma tête était au sol, avec son autre pied elle me fit comprendre que je devais relever les fesses et ensuite écartées les jambes, elle finit par laisser un pied sur mon visage et l'autre juste devant ma bouche.
Ce que je verrais après est, que, derrière moi se trouve un miroir et donc qu'elle voyait mes fesses et mes parties, elle finit par se retirer et me fit me relever.
Elle : Si je te détache, tu vas donc faire tout ce que je veux ?
Moi : Oui...
Elle : Je ne veux pas m'avancer trop vite, mais tu as vraiment l'air sincère...
Moi : Je le suis !
Elle me détachait donc et me fit la suivre, on montait les escaliers, on aurait dit plus un chalet qu'une maison, tout était en bois, elle m'amenait devant la salle de bain et me dit :
Elle : va t'apprêter, je t'ai préparé tout sur la chaise, tu verras !
Elle se retournait et descendit, je rentrais dans la salle de bain et vis des affaires sur une chaise, lorsque je commençais à la prendre, une petite feuille tombait, je la ramassais.
"Tout doit être sur toi ! Bisou"
Il y avait également une boite, que j'ouvris et je ressentis une petite frayeur, il y avait une cage de chasteté pour homme, un gode et martinet.
Je mis la cage de chasteté, tant bien que moi, je m'étais serré les couilles mis de l'eau froide pour me faire débander, mais la situation ne m'aidait pas, je fini par y arriver, j'enfilais le string noir qu'elle avait préparé et les talons, suivi de la petite robe à fleur, je tenais le gode et le martinet et eu un moment d'hésitation.
J'avais verrouillé la cage et je n'avais pas la clé, je n'avais plus trop le choix, je finis par descendre, lorsqu'elle me vit, elle rigolait, elle me prit la main et m'embrassait fougueusement, elle me fit m'asseoir sur ses genoux et sa main caressait mes jambes, mon torse, je compris qu'elle m'utilisait comme si j'étais sa petite salope, lorsqu'elle eut fini, elle tapotait sur mon sexe.
Elle : ça va avec ?
Moi : C'est horrible !
Elle : j'imagine, met ton ventre sur mes genoux, je vais te donner la fessée.
Je me mis et elle me fit relever la robe au dessus de mes fesses, elle n'hésitait pas à commencer à me fesser avec le martinet, m'arrachant quelques cris.
Elle : tu te souviens quand on couchait ensemble, tu aimais me prendre en levrette et me donner la fessée, je comprends mieux pourquoi tu aimais !
Moi : ...
Elle : Allais, tiens encore un petit peu !
Lorsqu'elle eu finit de martyriser mes fesses, elle me mit le gode sous le nez.
Elle : Toi qui insistait pour que je te suce, montre moi comme tu suce, je veux vraiment te voir t'appliquer stp.
Et je m'appliquais à sucer le gode, à le lécher, elle me l'enfonçait profondément, me gardait ma tête dessus, j'avais les larmes aux yeux, elle me fit le garder dans la bouche, attachait encore une fois mes mains dans mon dos et me fit m'asseoir par-dessus elle, après m'avoir retiré le gode de la bouche, elle se mit à m'embrasser, me tenant par les fesses, les serrants pour me faire grimacer, je sentais aussi ses doigts froler mon anus, elle voyait à ma tête que je n'étais pas à l'aise.
Elle : C'est pas toi qui voulait me prendre par derrière ?
Moi : ...
Elle : Tu peux me répondre hein, ne t'inquiète pas.
Moi : Si c'était moi...
Elle : Et moi, j'ai envie de te le faire aussi, tu veux bien ?
Moi : C'est toi qui décide...
Elle me relevait et elle se mit à avancer.
Elle : Suis-moi.
Je la suivais, les mains toujours dans mon dos, en talons, on descendait cette fois, c'était vraiment immense, arriver en bas, il y avait une piscine, elle retirait sa robe me dévoilant ses sous-vêtements et plongeait dans l'eau, faisait des longueurs.
Elle sortit de l'eau, prit un drap qui était à disposition qu'elle mit par dessus-elle, me tournait le dos et retirer ses sous-vêtements mouillés, je maudissais ce drap qu'elle enroulait autour d'elle. Elle me fit signe de venir et une fois arrivé devant elle, me détachait les menottes.
Elle : Tu peux retirer ta robe.
Je retirais la robe, et les menottes revinrent aussi vite dans mon dos, elle ouvrit la porte qui se trouvait à côté de nous, c'était une pièce assez sombre, elle allumait la lampe, qui n'éclairait pas très fort, cet endroit avait un côté flippant, je pouvais y voir des accessoires de soumission, elle prit un objet, qui n'était autre qu'un collier qu'elle me mit autour du cou, le reliant à une chaine qui elle semblait suspendue au plafond.
Elle : On m'a vraiment bien conseillée, il y a tout ici, même pour une novice comme moi, je peux avoir des idées.
Je la regardais dans son drap de bain, la sachant nue dessous, mon sexe aurait voulu sortir, mais cela était impossible. Elle tirait sur la chaine, me faisant me tenir droit.
Et vint devant moi, passant ses mains sur mon corps, mon sexe me faisais souffrir le martyrs.
Elle : Je vais te demander deux choses.
Moi : Je t'écoute.
Elle : Si tu veux sortir d'ici, tu dois un, te trouver un petit nom, deux me demander d'écarter tes fesses.
Moi : Appelle moi ta petite salope et stp écarte mes fesses.
Je reçu une claque sur la fesse droite.
Elle : J'ai bien entendu pour tes fesses, mais j'aime pas le nom.
Moi : Ta chose ?
Une autre claque arrivait, mais cette fois sur la gauche.
Elle : Tu peux mieux faire.
Une ribambelle de fessée, de noms rejetés elle finit par dire :
Elle : Tu serais ma petite lopette !
Et elle partit me laissant ainsi, dans le noir.
Lorsqu'elle revint, au moins une heure plus tard, elle accrochait une laisse et me tirait donc, elle m'amenait dans le salon et me fit me mettre sur la table basse, elle portait une robe blanche, je verrais par après qu'elle a un string blanc et... Pas de soutien-gorge, ses seins se laissant discrètement, voir au travers.
Après m'avoir attaché les chevilles à la table, elle déposera devant moi, lubrifiant, gode de plusieurs tailles et gardera à côté d'elle un plug avec une fleur rose au bout.
Elle : tu as tout pour t'écarter les fesses, suce bien les godes en même temps, si je te présente mon pied tu le lécheras, je veux que tu te donne comme la petite lopette que tu es.
Je ne sais combien de temps j'ai passé sur cette table à m'écarter les fesses, à sucer les godes, lui baiser les pieds, mais je finis par y arriver, elle me plaçait le plug et me laissait ainsi un moment, je transpirais, j'étais essoufflé, elle me permit de poser ma tête sur la table pour me reposer, s'amusant à appuyer ses pieds sur mon visage.
Elle me détachait et m'emmenait dans la salle de bain, m'enlevait tout ce que je portais excepté le plug.
Elle : Tu peux te laver, aller au toilette, tu as 5 minutes.
Je bloquais un peu pour uriner car elle me regardais, de plus mon sexe me faisait atrocement mal et le fait de le tenir me donnait en plus envie de me branler, je me lavais aussi vite que je pu et m'essuyait.
Elle me fit garder l'essuie autour de ma taille et elle partit faire à manger, on s'installait à table, on mangeait tranquillement, discutions, comme si de rien ne s'était passé. Une fois fini, je débarrassais et elle me retirait mon drap.
Elle : reste ainsi, je veux te voir nu tout le week-end.
On a bu un verre, deux, puis elle m'emmenait dans la toute première pièce, sur la table où elle m'avait rasé et m'y attachait à nouveau, sur le dos, redressait encore la table, j'étais face à un miroir et elle m'apprendra qu'on n'appelle pas cela une table, mais une croix.
Elle me laissait ainsi le temps de se laver et revint ensuite, elle portait une petite nuisette, elle avait l'air si fragile ainsi, pourtant c'était elle qui était en position de force.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
une vraie lopette ou plutot une femelle soumise!!
Vraiment très bon, merci. Peut-on avoir une suite?
Très joli texte qui nous conditionne vers un chemin que l’auteur se plaît à lézarder on attend de faite la suite Daniel
Merci pour ce récit très excitant.
Se retrouver ainsi à la merci d' une femme est un fantasme partagé par certains hommes...
Vivement la suite.
Se retrouver ainsi à la merci d' une femme est un fantasme partagé par certains hommes...
Vivement la suite.
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