Week-end dans les bois 2 - histoire érotique

Elle passait sa main sur mon corps tout en parlant :

Elle : J'ai très envie d'embrasser chacune des parties de ton corps, même ton sexe dans ma bouche, oui, si on se met ensemble, je te sucerais ! Ca te parle n'est-ce pas, je vois ton sexe tenter de se durcir encore plus.

Elle regardait le miroir puis me regardait.

Elle : Tu aimes faire tout ce que je dis ?
Moi : Oui...
Elle : Je t'avoue que j'aime aussi, je ne m'y attendais pas, mais ce sentiment mêlé à un sentiment de vengeance... J'adore, je pourrais faire ça toute ma vie !
Moi : Je veux simplement être avec toi, je suis prêt à te servir..

Elle me détachait et me fit me mettre à quatre pattes en devant la suivre, on retournait dans le salon.

Elle : Mets-toi ici, tu vas me baiser les pieds, évidemment, tu lèches et suce mes doigts de pieds comme tu sais le faire.

Et je m'appliquais, mais elle semblait en avoir marre et abaissait ma tête au sol, me fit me remettre dans la position qu'elle m'avait fait prendre plus tôt, son pied sur ma tête, son autre pied devant ma bouche que je devais embrasser léché, les fesses en l'air, mais cette fois, elle les flagellais, j'avais beau montrer que j'avais mal, que je souffrais, elle s'en donnait à coeur joie !

Elle s'arrêtait, je la senti retirer son pied, chacun de ses pieds étaient de chaque côté de ma tête, elle me relevait la tête en me tirant mes les cheveux, je pleurais de douleur.

Elle : Oh tu pleure comme un bébé !

Elle me fit me coucher sur la table basse et plaça une protection en dessous de moi, qu'elle me mit. Elle sortit une tétine avec une mini bite à la place de la tétine et me la mit en bouche.

Elle : Et bin voilà, là tu es un vrai bébé qui marche à quatre pattes et fais ses besoins dans sa couche.

Elle me prit par le bras et me fit descendre dans la pièce obscure, elle allumait, on voyait vraiment rien et elle me fit avancer dedans, elle me jetait dans la cage et la fermait avec un cadenas, elle plaçait une petite caméra.

Elle : Ainsi, je pourrais voir quand bébé à besoin de sa main, tu as de l'eau dans ta gamelle, tu as tes couches.

Et elle partit, me laissant ainsi, encore une fois.

Je me sentais humilié, mais j'étais excité, j'avais envie de me branler, mais je n'osais pas, je me couchais sur le ventre et fit quand même glisser ma main sur mon sexe, passant discrètement dans ma couche, je me caressais un peu mais je sentais que ça venais, donc je m'arrêtais, je reprenais chaque fois un petit peu de temps après, mais la lumière se rallumait.

Elle : Alors on se branle ?

Je me sentais mal comme si je m'étais fais pincé, pourtant après tout ce que j'avais fais aujourd'hui, ça, ça n'était qu'un détail.

Elle me fit sortit et m'emmenait dans la pièce ou se trouvait la piscine.

Elle : enlève ta couche, tiens regarde-moi, regarde mes jambes, tu dois savoir aussi que je n'ai pas de sous-vêtements sous ma robe de nuit ! Tu peux te branler, mais si ça sort, tu lècheras puis tu me supplieras de te prendre par derrière.
Moi : Si je me caresse, ça va sortir d'office...
Elle : Tu sais ce qu'il te restera à faire.
Moi : Stp..

Elle s'approchait de moi et dit :

Elle : Oh, c'est mignon, tu veux me supplier de te branler, je t'en prie !

Elle tendit son pied et je compris que je n'avais pas vraiment le choix, tout en lui baisant, je la suppliais, je savais pourtant que j'allais devoir nettoyer et qu'ensuite, elle allait me prendre, et cette idée augmentait mon excitation.

Elle : Je t'en prie, tu sembles en avoir vraiment envie, tu peux te branler et éjacule sur mes pieds, tu sembles aimer les lécher.

Elle restait debout devant moi, qui était à genoux et je me mis à me branler, très vite ça sortit, sur ses pieds, par terre, je poussais un soupir de soulagement.

Sans qu'elle me dise rien, je m'abaissais et me mis à lui lécher mon sperme qui était sur ses pieds, lorsqu'il n'en eu plus, elle se mit à croupi et me regardait passer ma langue sur le sol.

Elle : Ici c'est sale ! Dit-elle en crachant.

Lorsque j'eu fini à son goût....

Elle : Allais viens ma petite lopette, je vais détruire ton cul.

Je la suivais comme un petit chien, je n'avais plus d'excitation, j'étais épuisé, elle me fit monter dans la chambre, elle me regardait, sans rien me dire, j'allais me placer à quatre pattes sur le lit, elle ne dit toujours rien, j'entendais qu'elle se plaçait le gode ceinture, moi, je regardais le lit, n'osant plus lever la tête.

Elle me remit un collier, et me tirait hors du lit, me fit mettre à genou face à ce gode qui allait me prendre, elle ne portait que le gode ceinture, je voyais sa poitrine, je me mis à la sucer, elle tenait ma tête, l'enfonçant profondément, faisant monter les larmes à mes yeux.

Elle se retirait, et je me plaçait sur le lit, je me rendis compte qu'ici aussi il y avait des miroirs, elle me retirait le plug me faisait pousser un petit cri, elle lubrifiait, tout en rentrant ses doigts dans mon anus.

Je la sentais se placer derrière moi et sans crier gare, rentrer, sortir lentement, rentrer, sortir lentement, elle allait à chaque fois plus loin, elle me fit tourner la tête vers les miroirs pour que je me voie, quand mon cul laissait rentrer le gode facilement, elle accélérait les va-et-vient, me claquait les fesses.

Je poussais des cris, j'essayais de retrouver ma respiration, elle y allait avec tant de plaisir ressenti, elle finit par se retirer et me mettre sur le dos, mettre mes jambes par dessus ses épaules et me prendre ainsi, elle me dominait totalement et elle aimait ça, mon cul était en feu et moi je me laissais prendre comme si je n'avais plus de volonté.

Elle finit par s'arrêter et regarder mon sexe qui s'était remis à bander, elle se retirait du lit, retirait le gode ceinture qu'elle laissait tomber au sol, j'essayais de reprendre mes esprits, mon souffle, elle me regarde, je descends du lit et me remets à genoux, la remercie en lui baisant les pieds.

Elle se couchait sur le lit, me dévoilant tout son corps.

Elle : lèche moi tout le corps, ne délaisse aucune partie.

Et ma langue passait sur tout son corps, même sur son anus, chose qui lui plu et moi ne me dégoutait pas.

Lorsque ce fut assez pour elle, elle s'assit sur le bord de son lit, mon sexe était devant son visage, elle se mit à me branler, le rapprochant de sa bouche, puis s'arrêtait d'un coup.

Elle partit dans la salle de bain, je dû la suivre, elle se lavait devant moi, remis sa nuisette et on partit dans le salon, elle allumait la télévision et couchait sa tête sur moi, moi qui était toujours en train de bander.

Elle finit par me remettre dans la cage.

Elle : tu vas dormir ici, j'ai la caméra braquée sur toi, tu as de l'eau dans la gamelle, tu as un seau pour tes besoins, et tiens, voilà un gode pour sucer ou te mettre dans le cul, je ne raterais aucune miette de ce que tu feras.