Week-end de découvertes bisexuelles :
Récit érotique écrit par Bi-Tonio [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2008 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Week-end de découvertes bisexuelles :
<p>Une fois la voiture arrêtée dans la cour de la propriété que je connais déjà pour y avoir passé un week-end de baise avec l’amie de mes parents, je me jette sur la porte que j’ouvre d’un tour de clé, et nous nous ruons à travers la maison vers le jardin, pressés de plonger à poil dans la piscine pour nous rafraichir autant que nous laver.
En ressortant la tête de l’eau, je découvre que le plongeoir est occupé. Le jeune gars qui s’occupe de l’entretien du jardin et de la piscine quand les propriétaires sont absents y est allongé nu, en train de se branler avec délectation, les yeux fermés. Les écouteurs de son ipod sur les oreilles, il ne nous a pas entendus arriver. Je fais vibrer la planche du plongeoir du plat de la main et il manque en tomber en sursautant. Il se redresse, nous jette un regard affolé, et essaie vainement de cacher son érection carabinée sous ses paluches. Il est super gêné. Il nous explique qu’il ne nous attendait que dans l’après-midi, et qu’il a l’habitude de …se sécher au soleil sur le plongeoir après les 50 bassins qu’il nage chaque matin. De nous voir aussi à poil le rassure sans doute un peu.
J’avais déjà rencontré Angel lors de mon premier séjour. C’est un jeune éphèbe très sympa, pas Einstein, mais démerde, qui se fait un pécule pendant l’été. En habits de travail, je n’avais remarqué que sa belle gueule auréolée de longs cheveux en broussaille, mais son corps juvénile bronzé aux longs muscles saillants est très harmonieux et ne laisse pas indifférente Cécile qui fend l’eau jusqu’au plongeoir et se hisse ruisselante au côté du grand ado. Gilles et moi nous sommes assis jambes dans l’eau sur la margelle qui lui fait face.
Elle le prend par l’épaule et le force à se recoucher, puis lui caresse l’aine du revers de la main et lui commande doucement de continuer à se branler devant nous en la regardant se caresser les seins. Il nous jette un regard incrédule puis émoustillé et reprend lentement ses caresses solitaires, les yeux rivés sur les seins somptueux de Cécile qui lui demande s’il est encore puceau. «Ben, j’ai jamais baisé avec une fille, mais mon grand frère m’a prêté son cul quelques fois». Cécile lui promet qu’elle va lui ouvrir ses cuisses et se charger de le déniaiser avant la fin de la matinée.
En entendant ça, une vague de désir monte en un délicieux picotement dans mes couilles et je vois ma verge gonfler en se dressant entre mes jambes écartées. Gilles se prend lui aussi une trique monumentale. Cécile, s’allonge sur la planche le long du corps du branleur, les poils du pubis collés à sa hanche, une jambe passée sur sa cuisse, et explore de ses mains baladeuses son sexe, ses abdos, sa poitrine et s’arrête aux tétons, qu’elle pince et tire entre ses doigts. D’une main Il s’empare des seins qui pointent devant lui et les presse contre ses lèvres pendant que son autre poignet accélère le rythme de sa masturbation.
Gilles se laisse glisser dans l’eau et rejoint le plongeoir. Je le suis et nous nous hissons sur le bord de la piscine de part et d’autre de la planche.
Du côté ou je suis, j’ai le fessier écarté de Cécile devant les yeux, la rosace de son cul bien épanouie, la vulve gonflée affleurant des poils pressés contre la cuisse du jeune. Comme aimanté, je me penche entre ces fesses alléchantes, colle ma langue aux lèvres entrouvertes de son vagin qui s’y infiltre et lèche la ciprine qui en suinte déjà, mes mains caressant la peau de pêche de son fessier charnu.
Agenouillé de l’autre côté du plongeoir, Gilles détourne le poignet d’Angel vers sa bite à lui pour qu’il le branle pendant qu’il se penche sur l’ado et aspire sa biroute à pleine bouche pour la pomper à grandes succions bruyantes, les mains bien actives à lui masser les burnes.
Mais Cécile, reprenant l’initiative, renverse Angel sur elle en se mettant à plat dos, cuisses écartées, les jambes pendant de chaque côté de la planche, s’emmanche son phallus visqueux de salive dans sa chatte ruisselante, et commence un lent va et vient qui fait ployer le plongeoir en cadence.
Gilles, que je découvre attiré par la chair fraîche mâle, a contourné la tête du plongeoir, et toujours à genoux, dirige d’une main ferme son dard turgescent qu’il enfonce lentement entre les fesses d’Angel déjà bien écartées. Le jeune étalon accuse le coup d’un râle de molle protestation avant de reprendre sa besogne maintenant cadencée par les coups de boutoir de Gilles qui lui claque en plus méchamment les fesses, son autre main agrippée à sa crinière blonde ébouriffée.
Spectateur complètement en rut de cette scène, je ne peux me contenter de me branler comme je le fais depuis un moment. Il faut que ma verge orpheline trouve aussi un orifice où s’épanouir. Je viens m’accroupir derrière le beau Gilles, j’écarte à deux mains ses fesses tendues, lâche un long filet de bave qui coule le long de la raie de son cul et vient humecter la fleur rosée de son anus à peine ouvert, et prenant en main mon vit impatient, je l’embroche en une poussée douloureuse qui m’amène au fonds de son derche étriqué. Nous limons tous quatre en un même élan qui fait osciller le plongeoir à grande amplitude. Je bande tellement que j’ai l’impression que c’est aussi mon braquemart démesuré qui coulisse en enfilade dans le cul d’Angel et la moule de Cécile. Les mains bien à plat sur les épaules charpentées de ma monture, je suis le dessin de ses muscles dorsaux qui saillent sous la peau bronzée, jusqu’à atteindre les reins et palper ses fesses musclées. Défoncer ce rectum nerveux est une expérience bien différente et plus bestiale que de baiser le cul voluptueusement charnu de Cécile.
Le jeune puceau brame comme un cerf en rut. Il lui faut très peu de temps pour atteindre le point de non-retour, décharger bruyamment dans une série de spasmes qui nous secouent tous les trois et fait vibrer la planche, et s’écrouler sur la fille qui l’enserre dans ses bras. Aux contractions de ses muscles fessiers, je sens que Gilles lâche lui aussi sa purée et baptise le trou de balle de l’ado maintenant doublement dépucelé et qui s’écroule sur Cécile. Je suis au comble de l’excitation, redouble mes coups de piston et éjacule à mon tour avec des râles de plaisir pervers en un feu d’artifice qui tapisse de foutre le fondement relâché de Gilles qui s’est affalé sur le dos d’Angel. Je me retire et laisse dégorger mon mandrin baveux au creux de ses reins. Au vu de la mare qui inonde la planche maintenant immobile, Cécile a aussi pris son pied à dépuceler l’éphèbe.
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En ressortant la tête de l’eau, je découvre que le plongeoir est occupé. Le jeune gars qui s’occupe de l’entretien du jardin et de la piscine quand les propriétaires sont absents y est allongé nu, en train de se branler avec délectation, les yeux fermés. Les écouteurs de son ipod sur les oreilles, il ne nous a pas entendus arriver. Je fais vibrer la planche du plongeoir du plat de la main et il manque en tomber en sursautant. Il se redresse, nous jette un regard affolé, et essaie vainement de cacher son érection carabinée sous ses paluches. Il est super gêné. Il nous explique qu’il ne nous attendait que dans l’après-midi, et qu’il a l’habitude de …se sécher au soleil sur le plongeoir après les 50 bassins qu’il nage chaque matin. De nous voir aussi à poil le rassure sans doute un peu.
J’avais déjà rencontré Angel lors de mon premier séjour. C’est un jeune éphèbe très sympa, pas Einstein, mais démerde, qui se fait un pécule pendant l’été. En habits de travail, je n’avais remarqué que sa belle gueule auréolée de longs cheveux en broussaille, mais son corps juvénile bronzé aux longs muscles saillants est très harmonieux et ne laisse pas indifférente Cécile qui fend l’eau jusqu’au plongeoir et se hisse ruisselante au côté du grand ado. Gilles et moi nous sommes assis jambes dans l’eau sur la margelle qui lui fait face.
Elle le prend par l’épaule et le force à se recoucher, puis lui caresse l’aine du revers de la main et lui commande doucement de continuer à se branler devant nous en la regardant se caresser les seins. Il nous jette un regard incrédule puis émoustillé et reprend lentement ses caresses solitaires, les yeux rivés sur les seins somptueux de Cécile qui lui demande s’il est encore puceau. «Ben, j’ai jamais baisé avec une fille, mais mon grand frère m’a prêté son cul quelques fois». Cécile lui promet qu’elle va lui ouvrir ses cuisses et se charger de le déniaiser avant la fin de la matinée.
En entendant ça, une vague de désir monte en un délicieux picotement dans mes couilles et je vois ma verge gonfler en se dressant entre mes jambes écartées. Gilles se prend lui aussi une trique monumentale. Cécile, s’allonge sur la planche le long du corps du branleur, les poils du pubis collés à sa hanche, une jambe passée sur sa cuisse, et explore de ses mains baladeuses son sexe, ses abdos, sa poitrine et s’arrête aux tétons, qu’elle pince et tire entre ses doigts. D’une main Il s’empare des seins qui pointent devant lui et les presse contre ses lèvres pendant que son autre poignet accélère le rythme de sa masturbation.
Gilles se laisse glisser dans l’eau et rejoint le plongeoir. Je le suis et nous nous hissons sur le bord de la piscine de part et d’autre de la planche.
Du côté ou je suis, j’ai le fessier écarté de Cécile devant les yeux, la rosace de son cul bien épanouie, la vulve gonflée affleurant des poils pressés contre la cuisse du jeune. Comme aimanté, je me penche entre ces fesses alléchantes, colle ma langue aux lèvres entrouvertes de son vagin qui s’y infiltre et lèche la ciprine qui en suinte déjà, mes mains caressant la peau de pêche de son fessier charnu.
Agenouillé de l’autre côté du plongeoir, Gilles détourne le poignet d’Angel vers sa bite à lui pour qu’il le branle pendant qu’il se penche sur l’ado et aspire sa biroute à pleine bouche pour la pomper à grandes succions bruyantes, les mains bien actives à lui masser les burnes.
Mais Cécile, reprenant l’initiative, renverse Angel sur elle en se mettant à plat dos, cuisses écartées, les jambes pendant de chaque côté de la planche, s’emmanche son phallus visqueux de salive dans sa chatte ruisselante, et commence un lent va et vient qui fait ployer le plongeoir en cadence.
Gilles, que je découvre attiré par la chair fraîche mâle, a contourné la tête du plongeoir, et toujours à genoux, dirige d’une main ferme son dard turgescent qu’il enfonce lentement entre les fesses d’Angel déjà bien écartées. Le jeune étalon accuse le coup d’un râle de molle protestation avant de reprendre sa besogne maintenant cadencée par les coups de boutoir de Gilles qui lui claque en plus méchamment les fesses, son autre main agrippée à sa crinière blonde ébouriffée.
Spectateur complètement en rut de cette scène, je ne peux me contenter de me branler comme je le fais depuis un moment. Il faut que ma verge orpheline trouve aussi un orifice où s’épanouir. Je viens m’accroupir derrière le beau Gilles, j’écarte à deux mains ses fesses tendues, lâche un long filet de bave qui coule le long de la raie de son cul et vient humecter la fleur rosée de son anus à peine ouvert, et prenant en main mon vit impatient, je l’embroche en une poussée douloureuse qui m’amène au fonds de son derche étriqué. Nous limons tous quatre en un même élan qui fait osciller le plongeoir à grande amplitude. Je bande tellement que j’ai l’impression que c’est aussi mon braquemart démesuré qui coulisse en enfilade dans le cul d’Angel et la moule de Cécile. Les mains bien à plat sur les épaules charpentées de ma monture, je suis le dessin de ses muscles dorsaux qui saillent sous la peau bronzée, jusqu’à atteindre les reins et palper ses fesses musclées. Défoncer ce rectum nerveux est une expérience bien différente et plus bestiale que de baiser le cul voluptueusement charnu de Cécile.
Le jeune puceau brame comme un cerf en rut. Il lui faut très peu de temps pour atteindre le point de non-retour, décharger bruyamment dans une série de spasmes qui nous secouent tous les trois et fait vibrer la planche, et s’écrouler sur la fille qui l’enserre dans ses bras. Aux contractions de ses muscles fessiers, je sens que Gilles lâche lui aussi sa purée et baptise le trou de balle de l’ado maintenant doublement dépucelé et qui s’écroule sur Cécile. Je suis au comble de l’excitation, redouble mes coups de piston et éjacule à mon tour avec des râles de plaisir pervers en un feu d’artifice qui tapisse de foutre le fondement relâché de Gilles qui s’est affalé sur le dos d’Angel. Je me retire et laisse dégorger mon mandrin baveux au creux de ses reins. Au vu de la mare qui inonde la planche maintenant immobile, Cécile a aussi pris son pied à dépuceler l’éphèbe.
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