Week-end de découvertes bisexuelles: Une gloutonne de bites
Récit érotique écrit par Bi-Tonio [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2008 dans la catégorie Plus on est
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Week-end de découvertes bisexuelles: Une gloutonne de bites
<p>Je n’en reviens pas du pot que j’ai ces temps ci.
Tout d’abord de tomber sur Cécile et Gilles, puis maintenant de passer un long week-end avec eux dans la villa de ce couple d’amis de mes parents.
Ca ne fait pas longtemps qu’on baise ensemble, mais j’en ai plus appris avec eux qu’avec toutes les filles que j’ai connu avant.
Il faut dire que ça a tout de suite démarré fort la première fois qu’on s’est vu. C’était à une soirée bien arrosée chez un copain. J’ai tout de suite flashé sur elle. Une plante magnifique, hyper sensuelle avec une super classe, sa longue chevelure marron répandue sur ses épaules dénudées. Elle était avec ce beau noiraud balèze, Gilles, qui lui caressait les cuisses, et moi j’étais seul. Elle m’a déshabillé du regard quand je me suis assis près d’eux et ce qu’elle a imaginé à dû lui plaire car son expression était sans équivoque quand nos regards se sont croisés. Il faut dire que je suis plutôt beau gosse, plutôt baraqué, bien pourvu coté bite, et quand je bande, c’est difficile à dissimuler dans un jean moulant. Je l’ai bouffée des yeux le reste de la soirée et elle me le rendait bien.
J’ai avalé de travers quand elle m’a dit, assez fort pour que son copain l’entende, qu’elle avait besoin de deux queues pour jouir cette nuit et comme j’avais l’air bien monté, qu’elle avait envie d’essayer la mienne. Je ne sais pas ce que j’ai marmonné en réponse, mais ma gaule a encore doublé de volume et je les ai suivis de peu quand ils sont montés à l’étage.
Quand je suis entré dans la chambre faiblement éclairée, le gars était déjà couché sur le lit, pieds sur le tapis, complètement à poil, son grand corps musculeux mis en valeur par une monumentale érection. Il aidait Cécile à dégrafer son soutif d’où s’échappa la plus belle paire de seins que ma jeune carrière sexuelle m’ait donné à voir: oblongs et fermes au galbe parfait. Pendant qu’il la libérait de son slip, découvrant son cul d’enfer et me laissant entrevoir les lèvres saumonées de son sexe ourlé de poils bouclés, Cécile m’attira à sa portée et déboutonna fébrilement mon jean d’ou jaillit mon massif engin bandé à mort. Elle me fit m’agenouiller la queue en étendard entre les jambes écartées du mec, s’empara de nos deux manches turgescents et se mit à les branler doucement ensemble, les pressant gentiment avant d’y appliquer ses lèvres satinées. Expérience nouvelle de sentir battre les veines d’une autre queue contre la mienne, mes balloches roulant sur les couilles d’un autre mec, pendant que je me faisais sucer la bite par cette superbe femelle dont les cheveux me caressait les parties. Je n’ai pas résisté à effleurer au passage la poitrine musclée aux poils blonds de ce beau mâle, avant de m’emparer des seins magnifiques de Cécile dont je couvris de baisers mouillés de salive les bouts contractés. Le beau blond avait glissé un doigt explorateur dans sa chatte pulpeuse et lui massait le clitoris d’un pouce expert.
Lorsque Cécile s’est dégagée pour venir enfourcher Gilles et se coucher dos sur son ventre, j’ai pensé que je devrais attendre mon tour pour la baiser, mais les deux m’ont retenu en place et elle s’est enfournée nos deux biroutes dans son vagin dilaté à l’extrême. Sentir nos mastards accolés distendre les parois de cet espace moelleux qui avait peine à les contenir m’a tellement excité que j’ai déjà déchargé ma purée après trois bourrées de queue, irrigant du même coup la grotte où coulissait de concert nos grosses pines maintenant lubrifiées de mon sperme. Nous avons continué à limer ensemble et j’ai bientôt ressenti le long de ma bite la montée de sève dans celle du mec archi tendu, et la giclée de son foutre qui nous a tous inondé en rafales. Cécile s’est mise à pousser de petits gémissements affolés, elle a serré les cuisses, étreignant nos deux queues et a lâché une puissante rasade de jus dont le jet impressionnant a giclé mon nombril et ruisselé sur mon bas-ventre.
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Tout d’abord de tomber sur Cécile et Gilles, puis maintenant de passer un long week-end avec eux dans la villa de ce couple d’amis de mes parents.
Ca ne fait pas longtemps qu’on baise ensemble, mais j’en ai plus appris avec eux qu’avec toutes les filles que j’ai connu avant.
Il faut dire que ça a tout de suite démarré fort la première fois qu’on s’est vu. C’était à une soirée bien arrosée chez un copain. J’ai tout de suite flashé sur elle. Une plante magnifique, hyper sensuelle avec une super classe, sa longue chevelure marron répandue sur ses épaules dénudées. Elle était avec ce beau noiraud balèze, Gilles, qui lui caressait les cuisses, et moi j’étais seul. Elle m’a déshabillé du regard quand je me suis assis près d’eux et ce qu’elle a imaginé à dû lui plaire car son expression était sans équivoque quand nos regards se sont croisés. Il faut dire que je suis plutôt beau gosse, plutôt baraqué, bien pourvu coté bite, et quand je bande, c’est difficile à dissimuler dans un jean moulant. Je l’ai bouffée des yeux le reste de la soirée et elle me le rendait bien.
J’ai avalé de travers quand elle m’a dit, assez fort pour que son copain l’entende, qu’elle avait besoin de deux queues pour jouir cette nuit et comme j’avais l’air bien monté, qu’elle avait envie d’essayer la mienne. Je ne sais pas ce que j’ai marmonné en réponse, mais ma gaule a encore doublé de volume et je les ai suivis de peu quand ils sont montés à l’étage.
Quand je suis entré dans la chambre faiblement éclairée, le gars était déjà couché sur le lit, pieds sur le tapis, complètement à poil, son grand corps musculeux mis en valeur par une monumentale érection. Il aidait Cécile à dégrafer son soutif d’où s’échappa la plus belle paire de seins que ma jeune carrière sexuelle m’ait donné à voir: oblongs et fermes au galbe parfait. Pendant qu’il la libérait de son slip, découvrant son cul d’enfer et me laissant entrevoir les lèvres saumonées de son sexe ourlé de poils bouclés, Cécile m’attira à sa portée et déboutonna fébrilement mon jean d’ou jaillit mon massif engin bandé à mort. Elle me fit m’agenouiller la queue en étendard entre les jambes écartées du mec, s’empara de nos deux manches turgescents et se mit à les branler doucement ensemble, les pressant gentiment avant d’y appliquer ses lèvres satinées. Expérience nouvelle de sentir battre les veines d’une autre queue contre la mienne, mes balloches roulant sur les couilles d’un autre mec, pendant que je me faisais sucer la bite par cette superbe femelle dont les cheveux me caressait les parties. Je n’ai pas résisté à effleurer au passage la poitrine musclée aux poils blonds de ce beau mâle, avant de m’emparer des seins magnifiques de Cécile dont je couvris de baisers mouillés de salive les bouts contractés. Le beau blond avait glissé un doigt explorateur dans sa chatte pulpeuse et lui massait le clitoris d’un pouce expert.
Lorsque Cécile s’est dégagée pour venir enfourcher Gilles et se coucher dos sur son ventre, j’ai pensé que je devrais attendre mon tour pour la baiser, mais les deux m’ont retenu en place et elle s’est enfournée nos deux biroutes dans son vagin dilaté à l’extrême. Sentir nos mastards accolés distendre les parois de cet espace moelleux qui avait peine à les contenir m’a tellement excité que j’ai déjà déchargé ma purée après trois bourrées de queue, irrigant du même coup la grotte où coulissait de concert nos grosses pines maintenant lubrifiées de mon sperme. Nous avons continué à limer ensemble et j’ai bientôt ressenti le long de ma bite la montée de sève dans celle du mec archi tendu, et la giclée de son foutre qui nous a tous inondé en rafales. Cécile s’est mise à pousser de petits gémissements affolés, elle a serré les cuisses, étreignant nos deux queues et a lâché une puissante rasade de jus dont le jet impressionnant a giclé mon nombril et ruisselé sur mon bas-ventre.
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