Week-end en famille et retrouvailles avec ma belle-soeur.
Récit érotique écrit par Lucyen [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Week-end en famille et retrouvailles avec ma belle-soeur.
Il est temps pour moi de revenir sur un week-end en famille qui a eu lieu il y a quelques semaines maintenant… Nous (ma femme, mes enfants et moi) allions passer le week-end chez ma belle-mère (joie) en compagnie de ma belle-sœur et de sa fille (mais pas de son mari, y’a de l’eau dans le gaz). La dernière fois que nous nous étions réunis, c’était en vacances à la mer et je vous avais déjà raconté ce qu’il s’était alors passé (ma belle-sœur et moi avions un peu échangé et elle m’avait prodigué une superbe masturbation sur la plage).
Bref… Nous voici le samedi en début d’après-midi, après un copieux repas. Tout le monde décide d’aller profiter des derniers jours de beau temps en allant faire une promenade au parc. Tout le monde sauf moi : j’ai apporté mon ordinateur portable et je prétexte du travail en retard pour rester à l’appartement. Pas trop envie de rester en famille, d’autant plus qu’il fait froid et que je ne pourrai même pas en profiter pour reluquer ma belle-sœur sous ses couches de vêtements chauds.
J’allume l’ordinateur et me mets au travail pendant que tout le monde s’affaire et se prépare. Sitôt tout le monde dehors, je me précipite à la fenêtre pour vérifier qu’elles sont bien parties. Dès qu’elles tournent à la première intersection, je vérifie que la porte est bien fermée et je me rends dans la salle de bain où je me mets à fouiller dans le panier de linge sale. Je trouve rapidement ce que je cherche : une petite culotte de belle-maman. Elle n’est pas très sexy (une simple culotte en coton) mais bien odorante avec une trace bien visible. Je renifle ce parfum tout en sortant mon sexe déjà raide. Il m’en faut peu. J’adore cette odeur, différente de celle de ma femme et de celle de ma belle-sœur (j’ai déjà eu accès à ses sous-vêtements aussi). Je suis sûr que je pourrais les reconnaître à l’odeur…
Je commence donc à me branler doucement, le nez dans la culotte, la tête ailleurs… Quand j’entends des bruits de pas sur le palier : quelqu’un rentre plus tôt que prévu ! Ce doit être ma femme qui a oublié un truc. Je range la culotte et mon engin et je sors de la salle de bain, l’air de rien. La porte du salon est en train de se refermer : ce n’est pas ma femme mais ma belle-sœur qui est ici, seule. Elle jette un œil sur mon ordinateur.
_ Tiens ! Tu travailles encore ? Je m’attendais à ce que tu ailles sur un site porno dès qu’on aurait le dos tourné…
_ Tu exagères… Je ne suis tout de même pas un obsédé ! (Un petit mensonge ne fait pas de mal.)
_ Mouais… En même temps, je me demande bien ce que tu fichais dans la salle de bain.
_ J’avais un truc coincé entre les dents, réussis-je à dire en bafouillant un peu. Et toi, que fais-tu là ?
_ J’ai dit aux autres que je rentrais pour me reposer parce que j’avais mal à la tête.
_ Ah ! Zut… (Adieu moments tranquilles !) Je vais essayer de ne pas faire de bruit pour ne pas te déranger alors.
_ C’est ce que j’ai dit mais je leur ai menti. Je suis revenu pour toi. J’ai besoin que tu m’encules.
Là, j’ai failli m’étouffer.
En disant ces derniers mots, elle retira ses chaussures qu’elle lança vers la porte.
_ Comment ça ? Ça va pas non ? Qu’est-ce qui t’arrive ?
_ Il m’arrive que je divorce. Tu es le premier au courant. Cette fois, j’ai la certitude que ce salaud me trompe et qu’il est certainement en train de le faire maintenant. J’ai donc décidé de lancer la procédure de divorce mais je ne veux pas le faire sans lui rendre la monnaie de sa pièce. Il m’a trompé, je le trompe. C’est aussi simple que ça.
Elle retira sa culotte de sous sa robe longue et la jeta sur la table du salon, à côté de mon ordinateur.
_ Et pourquoi moi ?
_ Trois raison : premièrement, il a toujours été jaloux de toi. S’il savait que je te trompe avec lui, il serait encore plus énervé. Deuxièmement, tu n’as pas le choix. Si tu refuses, je dis tout ce qui s’est passé cet été à ma sœur. Troisièmement, j’ai personne d’autre sous la main. Ah ! Et puis si… Je veux me faire enculer parce que c’est quelque chose que je lui ai toujours refusé vu la taille de sa bite. Avec toi, ce sera beaucoup plus raisonnable. On y va ? De toute façon, je te rappelle que tu n’as pas le choix. Et puis tu en as envie de toute manière.
Elle releva sur ces mots sa robe longue jusqu’à la taille, dévoilant sa chatte touffue et ses fesses fermes qui m’ont toujours tant fait fantasmer. Elle se retourna vers la table, écarta les jambes et se pencha en avant.
Je ne me suis jamais senti aussi bête. Je ne vais pas jouer les anges… J’ai déjà trompé ma femme quelques fois. Mais jamais avec quelqu’un d’aussi proche. J’hésitais… Me demandant si ce n’était pas un piège. Et puis il y avait un autre souci qui me gênait…
_ Tu… Tu as des préservatifs ? Je n’en ai pas moi.
_ Ça servirait à rien. Je prends la pilule de toute manière et pour les maladies, je suis sûre de ne rien avoir. Ca fait plus depuis la naissance de ta nièce que j’ai pas baisé et à l’époque j’ai eu toutes les analyses médicales du monde…
_ Et moi ?
_ Je pourrais te dire que j’ai confiance ce qui est en partie vrai mais c’est surtout que j’en ai rien à foutre en fait. Allez ! Viens m’enculer, viens sodomiser ta belle-sœur, t’attends que ça, je te vois bander derrière ton pantalon.
Ce faisant, elle se mit à tortiller du cul ce qui était plus qu’il n’en fallait pour me faire craquer.
Je m’approchais de ses fesses et les caressais longuement. Après m’être penché, je me mis à les embrasser, à les lécher, passant une langue sur sa fente humide.
_ Occupe-toi de mon petit trou, je veux juste que tu m’encules, pas que tu me baises.
Je me remis donc à l’ouvrage en léchant avec application son anus, en y enfonçant un doigt. Elle était serrée, visiblement un peu tendue. Mais petit à petit, j’arrivais à l’assouplir un peu.
N’en tenant plus de mon côté, je faisais tomber mon pantalon sur les chevilles et je plaçais mon gland sur son petit trou. Je commençais alors à pousser mais sans résultat.
_ C’est ta première fois ?
_ Oui.
_ Essaie de te détendre et de pousser, comme si tu allais aux toilettes… Je sais que l’image ne fait pas rêver mais c’est ce qu’il y a de mieux à faire.
Et elle poussa avec application, permettant ainsi à mon gland de rentrer. Bon sang qu’elle était serrée ! Je continuais à pousser doucement, entrant lentement en elle.
_ Oh ! Putain que ça fait mal ! cria-t-elle. Oh ! merde ! Continue, t’arrête pas… Mais putain ça fait mal…
_ Tu es sûre de ne pas vouloir arrêter ?
_ Non, vas-y, encule-moi, vas-y à fond.
Je continuais alors à avancer sous ses cris de douleur, voire ses larmes… Jusqu’à ce que j’arrive au bout, mes cuisses collées contre ses fesses.
_ Ca va toujours.
_ Oui… Continue, enfonce-toi à fond.
_ Euh… C’est fait…
_ Ah ? (Je viens d’en prendre un coup au moral) Pas l’habitude, désolée… J’ai l’habitude d’un bon 30 cm…
_ Désolé…
_ Non, c’est très bien… J’aurais pas pu prendre 30 cm dans le cul de toute manière. Baise-moi le cul maintenant. Mais vas-y doucement.
Je commençais alors de lents vas-et-viens dans son cul serré. Je ne sais pas si c’était à cause de ses dernières paroles, mais je me sentais déculpabilisé et je commençais moi-même à y prendre du plaisir. Du coup, si j’avais commencé doucement, je m’aperçus assez vite que j’avais pris de la vitesse, baisant ce cul étroit sans trop me soucier des gémissements de ma belle-sœur… Je ne me rendis pas compte tout de suite que ceux-ci avaient changé de nature.
_ Oh ! oui ! Baise-moi ! Encule-moi ! Oh ! C’est bon ! Salaud !
_ Oui, c’est bon… Tu aimes ça alors te faire enculer ? Hein salope ?
_ Oui… C’est trop bon ! Continue, défonce-moi le cul !
Je continuais ainsi quelques temps jusqu’à ce que ma belle-sœur fût prise d’un orgasme intense qui la fit se cabrer et se contracter. Je n’y résistai pas et déchargeai mon foutre dans ses entrailles. Nous sommes restés là, pantelant, quelques minutes.
Alors que ma queue retournait au repos, je sortis de ce cul finalement bien accueillant. Du sperme dégoulinait du petit trou et coulait le long de ses cuisses. C’était la première fois que je pénétrais une maitresse sans capote et la vue de mon sperme sortant de la sorte m’excita tellement que, sur une impulsion, je me mis à genoux derrière elle, lécha le sperme sur ses cuisses puis colla ma bouche contre son anus, buvant et aspirant le jus qui s’en échappait.
Quand elle fût bien propre, je me relevai et elle se retourna.
_ Hé ! ben ! Tu aimes ça en tout cas. Finalement j’ai bien aimé la sodomie mais j’avoue que j’ai bien aimé ce que tu m’as fait aussi après…
_ Pas pu résister, tu étais magnifique comme ça.
_ Toi tu es encore tout sale par contre… Tu veux que je te rende la pareille ?
_ Seulement si tu en as envie…
Elle s’assit alors devant moi, sur une chaise, et pris ma bite entre ses lèvres. Elle entreprit alors de me nettoyer la queue avec application. Un peu de dégoût au début mais j’avais l’impression que le fait de transgresser tout ce dont elle avait l’habitude avec un autre que son mari pour se venger de lui lui donnait des ailes…
Ma queue fût bientôt propre et regagna du volume d’autant plus rapidement que la voir la sucer comme une salope alors qu’elle était dans son cul quelques minutes avant avait le don de m’exciter au maximum !
Hélas ! Nous entendîmes le bruit des enfants dehors et nous dûmes arrêter là nos jeux, ma belle-sœur allant se coucher et moi-même retournant travailler à l’ordinateur…
Bref… Nous voici le samedi en début d’après-midi, après un copieux repas. Tout le monde décide d’aller profiter des derniers jours de beau temps en allant faire une promenade au parc. Tout le monde sauf moi : j’ai apporté mon ordinateur portable et je prétexte du travail en retard pour rester à l’appartement. Pas trop envie de rester en famille, d’autant plus qu’il fait froid et que je ne pourrai même pas en profiter pour reluquer ma belle-sœur sous ses couches de vêtements chauds.
J’allume l’ordinateur et me mets au travail pendant que tout le monde s’affaire et se prépare. Sitôt tout le monde dehors, je me précipite à la fenêtre pour vérifier qu’elles sont bien parties. Dès qu’elles tournent à la première intersection, je vérifie que la porte est bien fermée et je me rends dans la salle de bain où je me mets à fouiller dans le panier de linge sale. Je trouve rapidement ce que je cherche : une petite culotte de belle-maman. Elle n’est pas très sexy (une simple culotte en coton) mais bien odorante avec une trace bien visible. Je renifle ce parfum tout en sortant mon sexe déjà raide. Il m’en faut peu. J’adore cette odeur, différente de celle de ma femme et de celle de ma belle-sœur (j’ai déjà eu accès à ses sous-vêtements aussi). Je suis sûr que je pourrais les reconnaître à l’odeur…
Je commence donc à me branler doucement, le nez dans la culotte, la tête ailleurs… Quand j’entends des bruits de pas sur le palier : quelqu’un rentre plus tôt que prévu ! Ce doit être ma femme qui a oublié un truc. Je range la culotte et mon engin et je sors de la salle de bain, l’air de rien. La porte du salon est en train de se refermer : ce n’est pas ma femme mais ma belle-sœur qui est ici, seule. Elle jette un œil sur mon ordinateur.
_ Tiens ! Tu travailles encore ? Je m’attendais à ce que tu ailles sur un site porno dès qu’on aurait le dos tourné…
_ Tu exagères… Je ne suis tout de même pas un obsédé ! (Un petit mensonge ne fait pas de mal.)
_ Mouais… En même temps, je me demande bien ce que tu fichais dans la salle de bain.
_ J’avais un truc coincé entre les dents, réussis-je à dire en bafouillant un peu. Et toi, que fais-tu là ?
_ J’ai dit aux autres que je rentrais pour me reposer parce que j’avais mal à la tête.
_ Ah ! Zut… (Adieu moments tranquilles !) Je vais essayer de ne pas faire de bruit pour ne pas te déranger alors.
_ C’est ce que j’ai dit mais je leur ai menti. Je suis revenu pour toi. J’ai besoin que tu m’encules.
Là, j’ai failli m’étouffer.
En disant ces derniers mots, elle retira ses chaussures qu’elle lança vers la porte.
_ Comment ça ? Ça va pas non ? Qu’est-ce qui t’arrive ?
_ Il m’arrive que je divorce. Tu es le premier au courant. Cette fois, j’ai la certitude que ce salaud me trompe et qu’il est certainement en train de le faire maintenant. J’ai donc décidé de lancer la procédure de divorce mais je ne veux pas le faire sans lui rendre la monnaie de sa pièce. Il m’a trompé, je le trompe. C’est aussi simple que ça.
Elle retira sa culotte de sous sa robe longue et la jeta sur la table du salon, à côté de mon ordinateur.
_ Et pourquoi moi ?
_ Trois raison : premièrement, il a toujours été jaloux de toi. S’il savait que je te trompe avec lui, il serait encore plus énervé. Deuxièmement, tu n’as pas le choix. Si tu refuses, je dis tout ce qui s’est passé cet été à ma sœur. Troisièmement, j’ai personne d’autre sous la main. Ah ! Et puis si… Je veux me faire enculer parce que c’est quelque chose que je lui ai toujours refusé vu la taille de sa bite. Avec toi, ce sera beaucoup plus raisonnable. On y va ? De toute façon, je te rappelle que tu n’as pas le choix. Et puis tu en as envie de toute manière.
Elle releva sur ces mots sa robe longue jusqu’à la taille, dévoilant sa chatte touffue et ses fesses fermes qui m’ont toujours tant fait fantasmer. Elle se retourna vers la table, écarta les jambes et se pencha en avant.
Je ne me suis jamais senti aussi bête. Je ne vais pas jouer les anges… J’ai déjà trompé ma femme quelques fois. Mais jamais avec quelqu’un d’aussi proche. J’hésitais… Me demandant si ce n’était pas un piège. Et puis il y avait un autre souci qui me gênait…
_ Tu… Tu as des préservatifs ? Je n’en ai pas moi.
_ Ça servirait à rien. Je prends la pilule de toute manière et pour les maladies, je suis sûre de ne rien avoir. Ca fait plus depuis la naissance de ta nièce que j’ai pas baisé et à l’époque j’ai eu toutes les analyses médicales du monde…
_ Et moi ?
_ Je pourrais te dire que j’ai confiance ce qui est en partie vrai mais c’est surtout que j’en ai rien à foutre en fait. Allez ! Viens m’enculer, viens sodomiser ta belle-sœur, t’attends que ça, je te vois bander derrière ton pantalon.
Ce faisant, elle se mit à tortiller du cul ce qui était plus qu’il n’en fallait pour me faire craquer.
Je m’approchais de ses fesses et les caressais longuement. Après m’être penché, je me mis à les embrasser, à les lécher, passant une langue sur sa fente humide.
_ Occupe-toi de mon petit trou, je veux juste que tu m’encules, pas que tu me baises.
Je me remis donc à l’ouvrage en léchant avec application son anus, en y enfonçant un doigt. Elle était serrée, visiblement un peu tendue. Mais petit à petit, j’arrivais à l’assouplir un peu.
N’en tenant plus de mon côté, je faisais tomber mon pantalon sur les chevilles et je plaçais mon gland sur son petit trou. Je commençais alors à pousser mais sans résultat.
_ C’est ta première fois ?
_ Oui.
_ Essaie de te détendre et de pousser, comme si tu allais aux toilettes… Je sais que l’image ne fait pas rêver mais c’est ce qu’il y a de mieux à faire.
Et elle poussa avec application, permettant ainsi à mon gland de rentrer. Bon sang qu’elle était serrée ! Je continuais à pousser doucement, entrant lentement en elle.
_ Oh ! Putain que ça fait mal ! cria-t-elle. Oh ! merde ! Continue, t’arrête pas… Mais putain ça fait mal…
_ Tu es sûre de ne pas vouloir arrêter ?
_ Non, vas-y, encule-moi, vas-y à fond.
Je continuais alors à avancer sous ses cris de douleur, voire ses larmes… Jusqu’à ce que j’arrive au bout, mes cuisses collées contre ses fesses.
_ Ca va toujours.
_ Oui… Continue, enfonce-toi à fond.
_ Euh… C’est fait…
_ Ah ? (Je viens d’en prendre un coup au moral) Pas l’habitude, désolée… J’ai l’habitude d’un bon 30 cm…
_ Désolé…
_ Non, c’est très bien… J’aurais pas pu prendre 30 cm dans le cul de toute manière. Baise-moi le cul maintenant. Mais vas-y doucement.
Je commençais alors de lents vas-et-viens dans son cul serré. Je ne sais pas si c’était à cause de ses dernières paroles, mais je me sentais déculpabilisé et je commençais moi-même à y prendre du plaisir. Du coup, si j’avais commencé doucement, je m’aperçus assez vite que j’avais pris de la vitesse, baisant ce cul étroit sans trop me soucier des gémissements de ma belle-sœur… Je ne me rendis pas compte tout de suite que ceux-ci avaient changé de nature.
_ Oh ! oui ! Baise-moi ! Encule-moi ! Oh ! C’est bon ! Salaud !
_ Oui, c’est bon… Tu aimes ça alors te faire enculer ? Hein salope ?
_ Oui… C’est trop bon ! Continue, défonce-moi le cul !
Je continuais ainsi quelques temps jusqu’à ce que ma belle-sœur fût prise d’un orgasme intense qui la fit se cabrer et se contracter. Je n’y résistai pas et déchargeai mon foutre dans ses entrailles. Nous sommes restés là, pantelant, quelques minutes.
Alors que ma queue retournait au repos, je sortis de ce cul finalement bien accueillant. Du sperme dégoulinait du petit trou et coulait le long de ses cuisses. C’était la première fois que je pénétrais une maitresse sans capote et la vue de mon sperme sortant de la sorte m’excita tellement que, sur une impulsion, je me mis à genoux derrière elle, lécha le sperme sur ses cuisses puis colla ma bouche contre son anus, buvant et aspirant le jus qui s’en échappait.
Quand elle fût bien propre, je me relevai et elle se retourna.
_ Hé ! ben ! Tu aimes ça en tout cas. Finalement j’ai bien aimé la sodomie mais j’avoue que j’ai bien aimé ce que tu m’as fait aussi après…
_ Pas pu résister, tu étais magnifique comme ça.
_ Toi tu es encore tout sale par contre… Tu veux que je te rende la pareille ?
_ Seulement si tu en as envie…
Elle s’assit alors devant moi, sur une chaise, et pris ma bite entre ses lèvres. Elle entreprit alors de me nettoyer la queue avec application. Un peu de dégoût au début mais j’avais l’impression que le fait de transgresser tout ce dont elle avait l’habitude avec un autre que son mari pour se venger de lui lui donnait des ailes…
Ma queue fût bientôt propre et regagna du volume d’autant plus rapidement que la voir la sucer comme une salope alors qu’elle était dans son cul quelques minutes avant avait le don de m’exciter au maximum !
Hélas ! Nous entendîmes le bruit des enfants dehors et nous dûmes arrêter là nos jeux, ma belle-sœur allant se coucher et moi-même retournant travailler à l’ordinateur…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Excellent !!!
et raconté de manière très excitante ....
Merci
et raconté de manière très excitante ....
Merci