Weekend à la montagne - Épisode 2 - Le trajet
Récit érotique écrit par Primaq69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Weekend à la montagne - Épisode 2 - Le trajet
Weekend à la montagne - Épisode 2 - Le trajet
- Petite aparté : s'il existe des lectrices dominatrices parmi vous qui souhaiteraient co-construire l'histoire avec moi, n'hésitez pas à m'orienter par messages ou commentaires -
Impossible de dire combien de temps s’était écoulé depuis le début du trajet. Pauline s’était rapidement lassée de me caresser les bourses, à mon plus grand regret (terriblement agréable) et à ma grande satisfaction (douleur dans ma cage de chasteté). Elles avaient finalement décidé de mettre à profit ce trajet pour développer ses talents dans le domaine du bondage.
Les menottes avaient rapidement été remplacées par des cordes qui me maintenaient dans un hogtied assez sévère. Après un épisode de panique prolongé, Pauline m’avait libéré du gode qui s’enfonçait dans ma gorge et l’avait remplacé par un simple ring-gag.
Elle avait par ailleurs eu la brillante idée de me débarrasser de ma cage de chasteté. Après une semaine d’emprisonnement, c’était une libération. Malheureusement, cette véritable libération est rapidement devenue une véritable torture. Elle m’avait en effet plaqué le sexe et les bourses le plus vers l’arrière possible, entre mes fesses entrouvertes. Une fois le hogtied terminé, elle m’avait sanglé à la carcasse métallique de la camionnette immobilisé sur le ventre. J’avais donc les bras croisés et sévèrement attaché dans le dos, le menton levé par une corde qui reliait mon collier et mon plug, et mon sexe plaqué vers l’arrière par mon propre poids.
Lorsqu’elle me caressa le gland du bout de ses doigts gantés de latex, mon sexe qui essayait de se tendre se retrouva plaqué à l’envers dans un combat aussi douloureux que perdu d’avance contre le métal froid de la camionnette.
Elle mit mon plug en mode « vibreur » et bascula côté passager pour discuter avec la conductrice. Étant donné que mon bijou anal m’envoyait des décharges électriques par intermittence depuis le début du voyage, c’était une nette amélioration de ma situation.
C’est à ce moment-là que j’ai perdu la notion du temps. La température dans l’habitacle était douce, j’étais dans une sorte de transe bercé par le son de la route (mon casque qui diffusait des enregistrements de nos sessions précédentes était tombé pendant mon installation en hogtied).
Nous fîmes un arrêt sur une aire d’autoroute, mais pas de pause pipi pour moi semblerait-il. Lorsque nous sommes repartis, j’ai senti une présence devant et autour de moi. Mon masque me fut enlevé et je compris, une fois l’aveuglement passé, que Pauline avait pris le volant.
Léa était là.
Enfin non, pas exactement en fait. Dans mon champ de vision, j’avais la chatte de Léa pour être plus précis. Elle avait conservé son manteau de fourrure et son corset, mais avait enlevé son pantalon de cuir et son string. Les lourds vêtements d’hiver qu’elle portait sur le haut de son corps contrastait d’une manière extrêmement sexy avec la proximité de ses cuisses nues. Celles-ci étaient réparties de part et d’autre de mon visage et les pointes de ses talons aiguilles s’enfonçaient dans la chair de mes deux fesses.
Sans un mot, elle détacha la corde qui reliait mon collier et mon plug ce qui eut pour effet de me faire tomber la tête en avant. Avec le ring-gag, j’avais ses grandes lèvres dans ma bouche pour mon plus grand plaisir. Elle passa la corde autour de sa taille comme une ceinture, puis dans une boucle à l’arrière de ma cagoule en cuir et serra le tout. Mon visage entier vint s’enfoncer entre ses cuisses.
- « Tu sais ce qu’il te reste à faire… »
Je me mis à la tâche en essayant de m’appliquer, mais le ring-gag et le fait d’être autant enfoncé entre ses cuisses m’empêchait de maitriser quoique ce soit. C’était un concert de coups de langue aléatoires, de grognements et de gémissements, mais aussi d’aspiration et d’essoufflements, de brefs moments d’étouffement, de reprise d’air… etc… Je respirais son vagin en manquant de boire la tasse, signe distinctif qu’elle adorait ça.
A posteriori, je me dis que celle pour qui ça devait être une torture, c’est probablement Pauline qui devait se concentrer sur la route.
Mais à ce moment-là, mes seuls soucis consistaient à satisfaire Léa et à ne pas tomber dans les pommes d’asphyxie (ou de noyade). Et après une dizaine de minute de se traitement, elle était prête à jouir. Je le savais et malgré ma situation, je m’efforçais de rester aussi alerte que possible. Je savais d’expérience que Léa prenait son pied à appuyer sa domination au moment de l’orgasme. Et ça n’a pas manqué.
Je sentis Léa basculer son corps vers l’arrière, ce qui eut pour effet de me libérer temporairement le nez de son intimité. Je prenais alors une grande inspiration en continuant à lécher autant que possible son clitoris. Lorsqu’elle jugea que j’avais assez respiré, elle me prit la tête à pleine main et la bascula vers l’avant. J’avais maintenant le nez collé contre son clitoris et ma bouche ouverte écrasée contre son vagin… j’essayais de prendre des inspirations mais là c’était impossible. Je me maintenais donc en apnée et je sentis soudain mon plug venir s’écraser contre ma prostate.
Je poussais un cri sourd dans son vagin et la sentit basculer. Je tentais d’inspirer de grandes gorgées, j’étouffais, je me débattais… et elle continuait inexorablement à taper sur mon plug avec sa chaussure pour l’enfoncer violemment dans mon cul, pendant que son corps tout entier était secoué de spasmes.
Après un temps indéterminable, elle sépara son intimité de ma bouche. Je pris de grandes goulées d’air, je m’étouffais avec ma bave, je recommençais…Elle prit son string qui était dans sa main, s’en servit pour m’essuyer les lèvres et se nettoyer le sexe, puis me l’enfonça dans la bouche. Elle entreprit de me caresser délicatement la tête.
- « C’est bien petit chien, tu as fait du bon travail… Il va être gentil avec nous hein ? »
J’acquiesçais doucement, je commençais à me calmer.
- « Moi du coup je suis hyper frustrée ! » Lança Pauline depuis la cabine, « je risque de vouloir me défouler encore plus en arrivant… »
Merde, il n’y avait décidément aucun moyen de les satisfaire ces deux-là…
Léa s’était relevée au-dessus de moi pour remettre son pantalon.
- « Mais non mais non, on va commencer en douceur on a tout le weekend » répondit-elle alors que l’orgasme l’avait rendue relativement gentille, « on ira progressivement et tout le monde prendra d… mais qu’est-ce qu’il a fait ce con ?! »
Quoi, qu’est-ce que j’ai fait ???
- « Quoi, qu’est-ce qu’il a fait ? » lance Pauline en regardant dans le rétroviseur.
Et avant que Léa ne réponde je compris. Je n’avais même pas réalisé dans ma situation de panique cunilinguiale, mais je le sentais bien maintenant. Une sensation d’apaisement comme je n’en avait pas connu depuis une bonne semaine. Un relâchement des muscles dans tout le corps clairement symptomatique d’une dose de cheval d’endorphine en train de se promener partout dans mon cerveau… J’avais joui.
Le plug vibrant avait dû venir taper de manière répétée contre ma prostate et avoir raison d’une semaine d’abstinence. Mais dans la confusion de la tentative de meurtre par vagin interposé dont j’étais victime à ce moment, je ne l’avais pas peine réalisé.
Or, un homme qui jouit, ça sécrète du… enfin vous voyez quoi, ça en fout partout !
- « Il a éjaculé sans aucune autorisation et en plus, il en a foutu partout !
- IL A QUOI ??! Une semaine que j’anticipe le moment ou je vais le libérer de son abstinence, et ce salaud le fait au bout de 5min sans rien dire à personne… Eh bin il va me le payer ! »
Pauline avait l’air furieusement remontée. Mais qu’est-ce que j’y pouvais moi aussi ?!
- « Tu as de la chance qu’on arrive, sinon je serais sorti à la première aire pour te faire passer l’envie de recommencer… »
En effet, je sentis la voiture s’engager sur un chemin cahoteux, puis après quelques minutes s’arrêter. Pas sûr que j’ai beaucoup de chance d’arriver à ce moment-là non !
A suivre…
- Petite aparté : s'il existe des lectrices dominatrices parmi vous qui souhaiteraient co-construire l'histoire avec moi, n'hésitez pas à m'orienter par messages ou commentaires -
Impossible de dire combien de temps s’était écoulé depuis le début du trajet. Pauline s’était rapidement lassée de me caresser les bourses, à mon plus grand regret (terriblement agréable) et à ma grande satisfaction (douleur dans ma cage de chasteté). Elles avaient finalement décidé de mettre à profit ce trajet pour développer ses talents dans le domaine du bondage.
Les menottes avaient rapidement été remplacées par des cordes qui me maintenaient dans un hogtied assez sévère. Après un épisode de panique prolongé, Pauline m’avait libéré du gode qui s’enfonçait dans ma gorge et l’avait remplacé par un simple ring-gag.
Elle avait par ailleurs eu la brillante idée de me débarrasser de ma cage de chasteté. Après une semaine d’emprisonnement, c’était une libération. Malheureusement, cette véritable libération est rapidement devenue une véritable torture. Elle m’avait en effet plaqué le sexe et les bourses le plus vers l’arrière possible, entre mes fesses entrouvertes. Une fois le hogtied terminé, elle m’avait sanglé à la carcasse métallique de la camionnette immobilisé sur le ventre. J’avais donc les bras croisés et sévèrement attaché dans le dos, le menton levé par une corde qui reliait mon collier et mon plug, et mon sexe plaqué vers l’arrière par mon propre poids.
Lorsqu’elle me caressa le gland du bout de ses doigts gantés de latex, mon sexe qui essayait de se tendre se retrouva plaqué à l’envers dans un combat aussi douloureux que perdu d’avance contre le métal froid de la camionnette.
Elle mit mon plug en mode « vibreur » et bascula côté passager pour discuter avec la conductrice. Étant donné que mon bijou anal m’envoyait des décharges électriques par intermittence depuis le début du voyage, c’était une nette amélioration de ma situation.
C’est à ce moment-là que j’ai perdu la notion du temps. La température dans l’habitacle était douce, j’étais dans une sorte de transe bercé par le son de la route (mon casque qui diffusait des enregistrements de nos sessions précédentes était tombé pendant mon installation en hogtied).
Nous fîmes un arrêt sur une aire d’autoroute, mais pas de pause pipi pour moi semblerait-il. Lorsque nous sommes repartis, j’ai senti une présence devant et autour de moi. Mon masque me fut enlevé et je compris, une fois l’aveuglement passé, que Pauline avait pris le volant.
Léa était là.
Enfin non, pas exactement en fait. Dans mon champ de vision, j’avais la chatte de Léa pour être plus précis. Elle avait conservé son manteau de fourrure et son corset, mais avait enlevé son pantalon de cuir et son string. Les lourds vêtements d’hiver qu’elle portait sur le haut de son corps contrastait d’une manière extrêmement sexy avec la proximité de ses cuisses nues. Celles-ci étaient réparties de part et d’autre de mon visage et les pointes de ses talons aiguilles s’enfonçaient dans la chair de mes deux fesses.
Sans un mot, elle détacha la corde qui reliait mon collier et mon plug ce qui eut pour effet de me faire tomber la tête en avant. Avec le ring-gag, j’avais ses grandes lèvres dans ma bouche pour mon plus grand plaisir. Elle passa la corde autour de sa taille comme une ceinture, puis dans une boucle à l’arrière de ma cagoule en cuir et serra le tout. Mon visage entier vint s’enfoncer entre ses cuisses.
- « Tu sais ce qu’il te reste à faire… »
Je me mis à la tâche en essayant de m’appliquer, mais le ring-gag et le fait d’être autant enfoncé entre ses cuisses m’empêchait de maitriser quoique ce soit. C’était un concert de coups de langue aléatoires, de grognements et de gémissements, mais aussi d’aspiration et d’essoufflements, de brefs moments d’étouffement, de reprise d’air… etc… Je respirais son vagin en manquant de boire la tasse, signe distinctif qu’elle adorait ça.
A posteriori, je me dis que celle pour qui ça devait être une torture, c’est probablement Pauline qui devait se concentrer sur la route.
Mais à ce moment-là, mes seuls soucis consistaient à satisfaire Léa et à ne pas tomber dans les pommes d’asphyxie (ou de noyade). Et après une dizaine de minute de se traitement, elle était prête à jouir. Je le savais et malgré ma situation, je m’efforçais de rester aussi alerte que possible. Je savais d’expérience que Léa prenait son pied à appuyer sa domination au moment de l’orgasme. Et ça n’a pas manqué.
Je sentis Léa basculer son corps vers l’arrière, ce qui eut pour effet de me libérer temporairement le nez de son intimité. Je prenais alors une grande inspiration en continuant à lécher autant que possible son clitoris. Lorsqu’elle jugea que j’avais assez respiré, elle me prit la tête à pleine main et la bascula vers l’avant. J’avais maintenant le nez collé contre son clitoris et ma bouche ouverte écrasée contre son vagin… j’essayais de prendre des inspirations mais là c’était impossible. Je me maintenais donc en apnée et je sentis soudain mon plug venir s’écraser contre ma prostate.
Je poussais un cri sourd dans son vagin et la sentit basculer. Je tentais d’inspirer de grandes gorgées, j’étouffais, je me débattais… et elle continuait inexorablement à taper sur mon plug avec sa chaussure pour l’enfoncer violemment dans mon cul, pendant que son corps tout entier était secoué de spasmes.
Après un temps indéterminable, elle sépara son intimité de ma bouche. Je pris de grandes goulées d’air, je m’étouffais avec ma bave, je recommençais…Elle prit son string qui était dans sa main, s’en servit pour m’essuyer les lèvres et se nettoyer le sexe, puis me l’enfonça dans la bouche. Elle entreprit de me caresser délicatement la tête.
- « C’est bien petit chien, tu as fait du bon travail… Il va être gentil avec nous hein ? »
J’acquiesçais doucement, je commençais à me calmer.
- « Moi du coup je suis hyper frustrée ! » Lança Pauline depuis la cabine, « je risque de vouloir me défouler encore plus en arrivant… »
Merde, il n’y avait décidément aucun moyen de les satisfaire ces deux-là…
Léa s’était relevée au-dessus de moi pour remettre son pantalon.
- « Mais non mais non, on va commencer en douceur on a tout le weekend » répondit-elle alors que l’orgasme l’avait rendue relativement gentille, « on ira progressivement et tout le monde prendra d… mais qu’est-ce qu’il a fait ce con ?! »
Quoi, qu’est-ce que j’ai fait ???
- « Quoi, qu’est-ce qu’il a fait ? » lance Pauline en regardant dans le rétroviseur.
Et avant que Léa ne réponde je compris. Je n’avais même pas réalisé dans ma situation de panique cunilinguiale, mais je le sentais bien maintenant. Une sensation d’apaisement comme je n’en avait pas connu depuis une bonne semaine. Un relâchement des muscles dans tout le corps clairement symptomatique d’une dose de cheval d’endorphine en train de se promener partout dans mon cerveau… J’avais joui.
Le plug vibrant avait dû venir taper de manière répétée contre ma prostate et avoir raison d’une semaine d’abstinence. Mais dans la confusion de la tentative de meurtre par vagin interposé dont j’étais victime à ce moment, je ne l’avais pas peine réalisé.
Or, un homme qui jouit, ça sécrète du… enfin vous voyez quoi, ça en fout partout !
- « Il a éjaculé sans aucune autorisation et en plus, il en a foutu partout !
- IL A QUOI ??! Une semaine que j’anticipe le moment ou je vais le libérer de son abstinence, et ce salaud le fait au bout de 5min sans rien dire à personne… Eh bin il va me le payer ! »
Pauline avait l’air furieusement remontée. Mais qu’est-ce que j’y pouvais moi aussi ?!
- « Tu as de la chance qu’on arrive, sinon je serais sorti à la première aire pour te faire passer l’envie de recommencer… »
En effet, je sentis la voiture s’engager sur un chemin cahoteux, puis après quelques minutes s’arrêter. Pas sûr que j’ai beaucoup de chance d’arriver à ce moment-là non !
A suivre…
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