Weekend à la montagne - Épisode 3 - Arrivée au chalet
Récit érotique écrit par Primaq69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Weekend à la montagne - Épisode 3 - Arrivée au chalet
Weekend à la montagne - Épisode 3 - Arrivée au chalet
Je fus jeté sans ménagement dans la poudreuse. J’étais complètement nu, on m’avait enlevé ma cagoule et mon bâillon. Mes bras étaient attachés dans le dos, mes chevilles étaient à nouveau reliées par une chaine en métal. Lorsque Léa m’avait poussé par la porte latérale de la camionnette, il m’avait été impossible de me réceptionner correctement et je m’étais étalé de tout mon long.
Par chance, une épaisse couche de poudreuse douce comme un nuage me permis d’atterrir délicatement et sans douleur. Par malchance… putain la neige c’est froid. Si vous aviez encore un doute sur le sujet, permettez-moi de vous éduquer de ma modeste expérience en la matière : putain la neige c’est vraiment froid !
J’ouvris la bouche mais aucun son n’en sorti. J’avais le souffle coupé, mes muscles s’étaient tétanisés instantanément, mon plug qui vibrait encore semblait être la seule partie de mon corps encore en vie.
Je me débattis pour tenter de me relever, mais tout ce que je réussis à faire s’est faire entrer de la neige dans des interstices que je ne préfère pas vous décrire. Pauline passa à côté et sembla me prendre en pitié puisqu’elle m’aida à me relever. Elle me guida ensuite en me tenant sous un bras jusqu’au chalet que Léa était en train d’ouvrir.
Mais au dernier moment, elle sembla hésiter.
- « Pauline s’il te plais on peut rentrer, je commence à avoir super froid et je… »
Son regard m’arrêta au milieu de ma phrase. Si elle était en train d’hésiter à prolonger la torture, je venais de la convaincre de continuer. Elle sorti de sa poche un bâillon-boule et, malgré mon regard suppliant, elle me l’enfonça dans la bouche avant de m’orienter vers un coin de la terrasse.
Une chaise couverte d’une couche de 30 bons centimètres de poudreuse se tenait là. Après moins d’une seconde d’hésitation, elle me déséquilibra vers l’arrière et je tombais le cul sur la chaise. Je criais dans mon bâillon mais aucun seul une complainte étouffée en sorti. Mes bourses étaient cachées sous la neige, mon cul était congelé.
Elle prit une luge qui tenait en équilibre contre le mur du chalet. Après l’avoir déposé devant mes pieds gelés, elle s’agenouilla dessus et commença à me prit entièrement en bouche. Le contraste de mon corps en hypothermie et de son traitement buccal générait des sensations contraires en moi. Une seconde, j’étais congelé et le soldat semblait mort au combat. La seconde, la sensation de froid passait temporairement et je ne ressentais que sa langue sur mon sexe. Après plusieurs minutes de ce traitement, j’avais retrouvé de la vigueur.
Elle semblait satisfaite et se releva.
- « Je comptais faire en sorte que notre première jouissance soit commune et uniquement axée sur le plaisir et pas la douleur… mais tu en as décidé autrement lorsque tu as salopé le sol du camion donc je m’adapte ! » me dit-elle de manière énigmatique. Son visage prit un air glacial et autoritaire : « Je préfère te prévenir, si tu jouis je te sodomise avec un stalactite. »
Et sur cette menace pas du tout terrifiante, elle se retourna, baissa son pantalon jusqu’à mi-cuisse et s’empala sur mon membre.
Son vagin était bouillant. Un volcan en éruption, j’ai cru pendant les premières secondes que j’étais en train de me brûler. La sensation de plaisir habituelle de la première entrée était ici remplacée par une souffrance sourde, contraste de mon cul gelé et contracté de manière douloureuse sur mon plug et de ma bite bien au chaud dans son antre.
Elle se mit rapidement à gémir, excitée de la situation dans laquelle elle me mettait. Le fait de me prendre, nu et dans la neige, alors qu’elle était elle-même quasiment complètement habillé et me tournait le dos avait un coté déshumanisant, comme si je n’étais vraiment qu’un objet dont les sensations n’étaient pas à prendre en considération.
Le tableau que nous devions offrir devait être extrêmement déroutant. En regardant par-dessus l’épaule de Pauline, je vis que Léa s’était installée bien confortablement dans le salon. Celui-ci était équipé d’une grande baie vitrée donnant sur la terrasse. Ma seconde tortionnaire s’était installée sur un tapis peau de bête, avait enlevé son manteau et son pantalon mais gardé son corset de cuir mauve et ses escarpins assortis. Elle se tenait face à nous en tournant le dos à un feu de cheminé dans une position plus qu’obscène. Ses cuisses étaient écartées au maximum (et elle était souple), sa bouche était entrouverte, un doigt s’activait énergiquement sur son clitoris en nous regardant.
Pauline et elle semblait d’ailleurs se regarder droit dans les yeux, dans un moment de complicité sexuelle extrêmement érotique.
Le problème avec tout ça, c’est que je commençais à faire abstraction du froid et à prendre sérieusement mon pied. Ça dut s’entendre dans mes grognements étouffés puisque Pauline, entre deux gémissements, me rappela à l’ordre :
- « Je te jure que je le ferais tu sais… je t’attacherais contre un arbre gelé dans la forêt, je te lècherais le cul pour le réchauffer un peu, j’imbiberais une grosse stalactite de lubrifiant et je te la fouterais dans le cul. Je t’enfermerais la bite dans un cage de chasteté faite de neige et de glace et je ne reviendrais pas te libérer avant que Léa m’ai fait jouir. Et elle prendrait son temps crois-moi »
Elle gémissait de plus en plus fort et s’empalait sur moi de plus en plus vite. Clairement ça l’excitait de décrire cette situation, le problème c’est que ça m’excitait au moins autant. Elle continua à décrire l’ensemble des tortures qu’elle allait me faire subir, me fouetter avec des branches de sapin, jouer avec des épines sur mon sexe et mon anus… etc… et dans ce brouillon de douleur et de plaisir, elle cria son orgasme sous le regard excité de Léa qui semblait finir aussi de son côté.
Elle se leva, se retourna et me regarda continuer à donner de ridicules coups de butoirs dans le vide pour essayer d’en finir.
- « J’ai l’impression que tu n’es pas calmé… Si tu veux je peux être généreuse, par contre je devrais te punir plus tard pour rééquilibrer les choses… qu’en penses-tu ? »
J’avais besoin de jouir, je n’en pouvais plus c’était trop excitant, je ne pourrais de toute façon pas tenir longtemps. Je grognais mon approbation en acquiesçant, attendant son aide pour pouvoir enfin me laisser aller.
- « Très bien, ne va pas dire que ta maitresse n’est pas magnanime ! »
Elle me reprit en bouche quelques secondes en me regardant droit dans les yeux. Lorsque j’arrivais au point de bascule, elle lâcha subitement mon sexe et me versa la neige des accoudoirs sur les genoux.
Ma bite était complètement recouverte de neige, seul mon gland dépassait légèrement.
Je hurlais dans mon bâillon. Le contraste de température était énorme. Mon plaisir redescendit d’un coup. Impossible de jouir maintenant. Pauline, dont le sourire sadique semblait figé à jamais sur le visage, se mit à donner de petit coup de langue tout doux sur le dessus du gland.
- « J’aime beaucoup, j’ai l’impression de lécher une glace… »
Ces coups de langue n’avaient cependant absolument pas pour objectif de me rapprocher de la jouissance et, après une minute de ce traitement, j’avais perdu toute ma vigueur.
- « Eh bin voilà tu es calmé maintenant… N’oublie pas que je dois te punir maintenant que je t’ai aidé comme ça ! »
Et c’est complètement abattu que je suis rentré pour la première fois à petits pas gelés dans le chalet de la torture.
A suivre…
Je fus jeté sans ménagement dans la poudreuse. J’étais complètement nu, on m’avait enlevé ma cagoule et mon bâillon. Mes bras étaient attachés dans le dos, mes chevilles étaient à nouveau reliées par une chaine en métal. Lorsque Léa m’avait poussé par la porte latérale de la camionnette, il m’avait été impossible de me réceptionner correctement et je m’étais étalé de tout mon long.
Par chance, une épaisse couche de poudreuse douce comme un nuage me permis d’atterrir délicatement et sans douleur. Par malchance… putain la neige c’est froid. Si vous aviez encore un doute sur le sujet, permettez-moi de vous éduquer de ma modeste expérience en la matière : putain la neige c’est vraiment froid !
J’ouvris la bouche mais aucun son n’en sorti. J’avais le souffle coupé, mes muscles s’étaient tétanisés instantanément, mon plug qui vibrait encore semblait être la seule partie de mon corps encore en vie.
Je me débattis pour tenter de me relever, mais tout ce que je réussis à faire s’est faire entrer de la neige dans des interstices que je ne préfère pas vous décrire. Pauline passa à côté et sembla me prendre en pitié puisqu’elle m’aida à me relever. Elle me guida ensuite en me tenant sous un bras jusqu’au chalet que Léa était en train d’ouvrir.
Mais au dernier moment, elle sembla hésiter.
- « Pauline s’il te plais on peut rentrer, je commence à avoir super froid et je… »
Son regard m’arrêta au milieu de ma phrase. Si elle était en train d’hésiter à prolonger la torture, je venais de la convaincre de continuer. Elle sorti de sa poche un bâillon-boule et, malgré mon regard suppliant, elle me l’enfonça dans la bouche avant de m’orienter vers un coin de la terrasse.
Une chaise couverte d’une couche de 30 bons centimètres de poudreuse se tenait là. Après moins d’une seconde d’hésitation, elle me déséquilibra vers l’arrière et je tombais le cul sur la chaise. Je criais dans mon bâillon mais aucun seul une complainte étouffée en sorti. Mes bourses étaient cachées sous la neige, mon cul était congelé.
Elle prit une luge qui tenait en équilibre contre le mur du chalet. Après l’avoir déposé devant mes pieds gelés, elle s’agenouilla dessus et commença à me prit entièrement en bouche. Le contraste de mon corps en hypothermie et de son traitement buccal générait des sensations contraires en moi. Une seconde, j’étais congelé et le soldat semblait mort au combat. La seconde, la sensation de froid passait temporairement et je ne ressentais que sa langue sur mon sexe. Après plusieurs minutes de ce traitement, j’avais retrouvé de la vigueur.
Elle semblait satisfaite et se releva.
- « Je comptais faire en sorte que notre première jouissance soit commune et uniquement axée sur le plaisir et pas la douleur… mais tu en as décidé autrement lorsque tu as salopé le sol du camion donc je m’adapte ! » me dit-elle de manière énigmatique. Son visage prit un air glacial et autoritaire : « Je préfère te prévenir, si tu jouis je te sodomise avec un stalactite. »
Et sur cette menace pas du tout terrifiante, elle se retourna, baissa son pantalon jusqu’à mi-cuisse et s’empala sur mon membre.
Son vagin était bouillant. Un volcan en éruption, j’ai cru pendant les premières secondes que j’étais en train de me brûler. La sensation de plaisir habituelle de la première entrée était ici remplacée par une souffrance sourde, contraste de mon cul gelé et contracté de manière douloureuse sur mon plug et de ma bite bien au chaud dans son antre.
Elle se mit rapidement à gémir, excitée de la situation dans laquelle elle me mettait. Le fait de me prendre, nu et dans la neige, alors qu’elle était elle-même quasiment complètement habillé et me tournait le dos avait un coté déshumanisant, comme si je n’étais vraiment qu’un objet dont les sensations n’étaient pas à prendre en considération.
Le tableau que nous devions offrir devait être extrêmement déroutant. En regardant par-dessus l’épaule de Pauline, je vis que Léa s’était installée bien confortablement dans le salon. Celui-ci était équipé d’une grande baie vitrée donnant sur la terrasse. Ma seconde tortionnaire s’était installée sur un tapis peau de bête, avait enlevé son manteau et son pantalon mais gardé son corset de cuir mauve et ses escarpins assortis. Elle se tenait face à nous en tournant le dos à un feu de cheminé dans une position plus qu’obscène. Ses cuisses étaient écartées au maximum (et elle était souple), sa bouche était entrouverte, un doigt s’activait énergiquement sur son clitoris en nous regardant.
Pauline et elle semblait d’ailleurs se regarder droit dans les yeux, dans un moment de complicité sexuelle extrêmement érotique.
Le problème avec tout ça, c’est que je commençais à faire abstraction du froid et à prendre sérieusement mon pied. Ça dut s’entendre dans mes grognements étouffés puisque Pauline, entre deux gémissements, me rappela à l’ordre :
- « Je te jure que je le ferais tu sais… je t’attacherais contre un arbre gelé dans la forêt, je te lècherais le cul pour le réchauffer un peu, j’imbiberais une grosse stalactite de lubrifiant et je te la fouterais dans le cul. Je t’enfermerais la bite dans un cage de chasteté faite de neige et de glace et je ne reviendrais pas te libérer avant que Léa m’ai fait jouir. Et elle prendrait son temps crois-moi »
Elle gémissait de plus en plus fort et s’empalait sur moi de plus en plus vite. Clairement ça l’excitait de décrire cette situation, le problème c’est que ça m’excitait au moins autant. Elle continua à décrire l’ensemble des tortures qu’elle allait me faire subir, me fouetter avec des branches de sapin, jouer avec des épines sur mon sexe et mon anus… etc… et dans ce brouillon de douleur et de plaisir, elle cria son orgasme sous le regard excité de Léa qui semblait finir aussi de son côté.
Elle se leva, se retourna et me regarda continuer à donner de ridicules coups de butoirs dans le vide pour essayer d’en finir.
- « J’ai l’impression que tu n’es pas calmé… Si tu veux je peux être généreuse, par contre je devrais te punir plus tard pour rééquilibrer les choses… qu’en penses-tu ? »
J’avais besoin de jouir, je n’en pouvais plus c’était trop excitant, je ne pourrais de toute façon pas tenir longtemps. Je grognais mon approbation en acquiesçant, attendant son aide pour pouvoir enfin me laisser aller.
- « Très bien, ne va pas dire que ta maitresse n’est pas magnanime ! »
Elle me reprit en bouche quelques secondes en me regardant droit dans les yeux. Lorsque j’arrivais au point de bascule, elle lâcha subitement mon sexe et me versa la neige des accoudoirs sur les genoux.
Ma bite était complètement recouverte de neige, seul mon gland dépassait légèrement.
Je hurlais dans mon bâillon. Le contraste de température était énorme. Mon plaisir redescendit d’un coup. Impossible de jouir maintenant. Pauline, dont le sourire sadique semblait figé à jamais sur le visage, se mit à donner de petit coup de langue tout doux sur le dessus du gland.
- « J’aime beaucoup, j’ai l’impression de lécher une glace… »
Ces coups de langue n’avaient cependant absolument pas pour objectif de me rapprocher de la jouissance et, après une minute de ce traitement, j’avais perdu toute ma vigueur.
- « Eh bin voilà tu es calmé maintenant… N’oublie pas que je dois te punir maintenant que je t’ai aidé comme ça ! »
Et c’est complètement abattu que je suis rentré pour la première fois à petits pas gelés dans le chalet de la torture.
A suivre…
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