Weekend à la montagne - Épisode 8 - Comme les inquisiteurs espagnols...
Récit érotique écrit par Primaq69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Weekend à la montagne - Épisode 8 - Comme les inquisiteurs espagnols...
Weekend à la montagne - Épisode 8 - Comme les inquisiteurs espagnols...
Petite aparté : j’avoue humblement que ces récits, qui partaient pourtant d’une base réelle dans les 1ers épisodes, sont issus à 99% de mon esprit ou le masochisme non révélé côtoie le conformisme sexuel dans une danse schizophrénique quotidienne. J’apprécie donc particulièrement les retours d’expériences, les encouragements et autres expressions de satisfactions (je préciserais bien de la gente féminine en particulier mais vous vous en doutez probablement). Sur ce, je doute que vous soyez là pour lire mes mémoires donc revenons à nos moutons…
J’aimerais pouvoir commencer comme d’habitude en vous disant que je ne sais pas combien de temps c’était écoulé depuis qu’on m’avait écartelé au milieu de la pièce. Mais la vérité, c’est qu’elles m’avaient orienté face à une horloge d’un mètre de diamètre. Impossible de louper la petite aiguille qui tournait lentement, si lentement…
Ça faisait une bonne ½ heure que j’étais en place. Mon corps entier me faisait souffrir le martyr quand j’entendis les filles revenir en rigolant. J’essayais de me retourner pour les voir entrer dans la pièce mais je revenais vite sur l’idée : impossible de bouger sans avoir l’impression que j’allais imploser.
- « Ah bin voilà il est tout sec ! »
Léa s’était installée sous l’horloge, dans mon champ de vision. Elle ne portait qu’un corset mauve, de longues bottes en cuir noir qui lui arrivaient mi-cuisse et son éternel tresse tenue par un nœud violet. Son intimité était complètement exposée, je pouvais voir le reflet de sa mouille depuis mon perchoir… Dire que la situation l’excitait serait un euphémisme.
Pauline s’installa à côté. Elle avait opté pour une mini-jupe verte, de longs gants en satin assortis, des bas ouvragés montés sur de simples escarpins et un serre taille noir mat… Le tout chapeauté par un chignon sévère tenu par un nœud vert pomme. Sa poitrine exposée me permettait de voir ses tétons pointés, témoin indiscutable de son excitation.
Elles m’observaient toutes les deux avec le sourire.
- « ça va, tu es bien installé ? »
Je n’avais même plus la force de crier. Ma mâchoire, comme le reste, était écartelé depuis ½ heure. Je n’attendais que le moment où elles allaient me faire redescendre.
- « Viens, on va jouer un peu »
Moment qui n’avait pas l’air de se profiler. Je sanglotais doucement en attendant la nouvelle torture qui risquait de suivre.
Les deux filles disparurent de mon champ de vision et pendant un temps, rien ne se passa. Puis, je sentis une caresse toute douce sous mes bourses. Mon périnée écartelé était complètement exposé et Pauline, armée d’une plume, jouait sur chaque mm2 de peau. Au bout de quelques seconde, la caresse devint chatouille et la situation se corsa. Mon premier réflexe fut de m’agiter mais, mon plug me tiraillant l’intérieur à chaque mouvement, je dus rapidement m’astreindre à l’immobilité. Ce qui n’étais pas une mince affaire. A la place, j’essayais d’extérioriser ma frustration grandissante en criant dans mon bâillon. Puis après une éternité, la caresse s’arrêta. Elle fut cependant remplacée par une autre sensation désagréable : Léa, armée d’une branche de sapin, me piquait les bourses avec les épines. C’était trop pour moi.
Je me mis à pleurer et à m’agiter ouvertement. Merde à la corde qui me tirait les bourses. Merde au plug grand ouvert dans mon fondement qui refusait de céder le moindre millimètre. Merde au bâillon, merde aux cordes, merde aux salopes tortionnaires. Je craque.
Craquage qui ne les fit pas arrêter du tout, bien au contraire. En même temps, Pauline m’avait prévenu : pas de safeword, pas de pitié. Elles continuèrent à alterner pendant de longues minutes, sans aucune cohérence dans les durées, parfois sans me toucher, parfois les deux tortures en même temps…
Elles finirent cependant par se lasser. De mon côté, j’étais à bout de souffle, le visage ravagé, le corps en morceau.
- « Bon on va peut-être le faire descendre… »
Léa fit mine d’hésiter, mais acquiesça. Je n’avais même plus la force de montrer de la gratitude… ou même la moindre émotion. Pendant que Léa faisait le tour de la pièce pour enlever les cordes une par une, Pauline s’était glissée sous moi. Avec un petit tabouret. De cette manière, ça tête arrivait juste entre mes cuisses. Elle fit alors glisser doucement sa langue sur la zone rougie par leur jeu pour apaiser les douleurs. Elle s’attaqua au périnée, puis lorsque toutes les cordes étaient tombées et que mes jambes était refermé, au-dessous des bourses.
Quand Léa me fit descendre au sol. Pauline m’accompagna à genou. Mes jambes ne pouvaient pas me porter. Elle sécha mes larmes avec ses caresses et sa langue en me chuchotant des encouragements, en me répétant qu’elle était fière de moi. Puis, les deux filles me firent face et je sus que la scène n’était pas finie.
Je me mis à sangloter doucement.
- « Arrête ton cinéma » attaqua Pauline, « tu ne sais même pas la suite du programme »
Elles attendirent une bonne minute que j’arrive à me reprendre, puis Léa pris à son tour la parole.
- « Voilà le deal sunshine, tu vas choisir l’une d’entre nous. Celle-ci sera soumise avec toi pour la suite des évènements. L’avantage pour elle, c’est que c’est la seule de nous deux qui pourra jouir. L’inconvénient, c’est que l’autre risque d’être un peu frustrée, donc un tantinet sadique. »
Pause, sourire carnassier. Pauline prit le relai :
- « C’est à toi de décider. Sache aussi une chose. Tu as à l’heure actuelle 2 cadenas sur toi. L’un verrouille ta cage, l’autre ton plug. »
Je les regardais et devinais la suite : chacune portait une petite clé dorée autour du cou.
- « Tu ne sais pas quelle clé ouvre quoi, mais tu pourras avoir soit le sexe libre, soit le cul… pas les deux »
Je les regardais, l’une après l’autre, le regard perdu.
- « Bon après si tu ne veux pas choisir on peut aussi te remettre dans la position précédente une petite heure que tu ais le temps de te décider. Ça te tente ? »
Sans réfléchir, j’avançais à quatre pattes jusqu’à Pauline. Elle me regarda avec un petit sourire et solennellement, dénoua son chignon. Léa passa derrière elle et lui attacha un collier. Puis, elle se pencha sur moi et entreprit de me libérer le sexe.
Dans un premier temps, je m’estimais chanceux. Après réflexion, un peu moins… Connaissant Léa, ce n’était pas parce que mon sexe était libre que j’allais pouvoir en profiter. Par contre, le moindre mouvement continuerait de me coûter avec l’autre objet de malheur dans le fondement.
Léa entreprit aussi de me libérer les poignets et la bouche. Je me massais doucement les mains et le haut des bras, la bouche bloquée dans une position entrouverte et un filet de bave qui coulait par terre.
- « Merde il est vraiment pas propre » Léa se tourna vers Pauline « va chercher une cagoule dans la chambre… non réflexion faite, ramène le sac entier »
Pauline s’exécuta en gardant la tête baissée. Elle revint vers moi et, après un bref hochement de tête de notre maitresse, entreprit de m’enserrer la tête dans l’accessoire en cuir. Léa prit tout de même le temps d’enlever le string trempé de ma compagne pour me le mettre dans la bouche avant qu’elle soit bloquée en position fermée par la cagoule.
Décidément, elle ne faisait clairement pas appel à moi pour ma conversation ! Quand ma bouche n’est pas bloquée en position ouverte, elle l’est en position fermée… Au moins, je ne risquais pas de dire une connerie qui aggraverait mon cas !
- « À genoux, tous les deux, l’un en face de l’autre, les mains derrière la tête »
L’ordre claquait encore dans l’air quand Léa quitta la pièce. Nous nous installâmes donc comme indiqué, nos deux visages à quelques millimètres l’un de l’autre. Entre la bombe sexuelle soumise juste devant moi et le goût de sa mouille dans ma bouche, ma queue commençait rapidement à prendre conscience de sa liberté et à prendre de l’ampleur. En conséquence, elle accrocha en s’élevant un pan de la jupe de ma co-soumise et l’entraina avec elle, exposant partiellement sa chatte à la caresse de l’air.
Pauline avait la bouche entrouverte juste devant moi, me regardait droit dans les yeux avec une expression d’excitation intense imprimée au fond des prunelles. Puis, défiant l’autorité de Léa, elle m’embrassa à travers ma cagoule en cuir.
Bien évidemment, c’est ce moment-là que choisit Léa pour se racler la gorge derrière moi. Elle ne fit aucun commentaire, mais nous la connaissions suffisamment pour savoir qu’un affront même aussi mineur ne resterait pas impayé.
Léa installa à côté de nous 2 éléments distincts : le premier, une simple chaise percée. Le second, une structure métallique que nous connaissions maintenant bien, visant à immobiliser une victime en position « levrette ».
Une fois son travail achevé, elle me souleva par le bras sans ménagement et me posa sur la chaise. Me jeta plus que me posa pour être exact. Elle entreprit alors de m’y attacher avec un sadisme comme seul un esprit dérangé comme le sien pouvait concevoir. Par le trou de la chaise ressortait la boucle de mon plug de malheur. Léa me lia donc les deux chevilles ensemble, les tira en arrière, passa la corde dans la boucle avant d’attacher solidement mes poignets avec le bout restant. Ainsi harnaché, aucune corde ne me tenait bloqué sur la chaise en elle-même… Cependant, impossible de faire le moindre mouvement sans être tiraillé de l’intérieur. Elle poussa le vice jusqu’à caller un petit vibro dans la boucle et à l’enclencher, faisant vibrer la fleur ouverte dans mon cul. Je poussais un long gémissement dont Léa parue extrêmement satisfaite. Elle se retourna alors vers Pauline avec son éternel sourire carnassier : c’était son tour.
La structure métallique fut installée juste en face de moi et la seconde victime de cet épisode fut progressivement harnachée.
Tout d’abord, Pauline s’installa à 4 pattes le long de l’axe principal. Au niveau de ses mains, de ses genoux et de ses pieds, un axe perpendiculaire partait de la structure centrale avec à son bout une menotte en cuir. Léa entreprit donc d’attacher progressivement les poignets, les genoux et les chevilles de Pauline, dont un filet de mouille commençait à courir le long de la cuisse d’être traitée de la sorte. Léa le préleva d’un doigt et l’enfonça dans la bouche de sa soumise qui suça avidement. Puis, elle lui fit lécher un crochet qui se terminait par une boule assez volumineuse… il rentrait à peine dans sa bouche !
En vint ensuite s’installer derrière elle et, après lui avoir patiemment travaillé la rondelle avec ses doigts en utilisant sa mouille qui débordait, y enfonça sans ménagement le crochet.
J’étais scotché, je ne pense pas avoir déjà vu Pauline prendre quelque chose d’aussi gros dans le cul. Celle-ci avait semblé en difficulté pendant toute l’opération, mais une expression de soulagement intense éclata sur son visage lorsque la boule finie par être en place.
Léa tendit ensuite une corde entre un nœud dans ses cheveux et son crochet pour lui tirer la tête vers le haut. Elle finalisa ce tableau en enfonçant un Rabbit dans le vagin encore ouvert de sa soumise qui poussa un long soupir de satisfaction. Elle le maintint en place, la partie vibrante écrasée contre son clitoris, avec une dernière cordelette qui partait de l’arrière de son collier et revenait vers l’avant.
Satisfaite, elle fit un pas en arrière pour nous observer. Je bandais vers le plafond à m’en faire mal aux bourses, Pauline haletait sur place comme une chienne en chaleur… nous étions près.
- « Nous allons donc pouvoir commencer ! »
Elle alluma le rabbit qui s’activa instantanément : vibration sur son clitoris, vibration dans son vagin, mouvement rotatifs, mouvement glissant… Pauline poussa un cri de surprise. Elle était tellement excitante avec sa petite tenue d’écolière, ses escarpins, sa jupe, ses seins à l’air…
Léa approcha ma chaise à quelques millimètres du visage de ma co-soumise.
- « Pauline, je te conseille de trouver quelque chose pour remplir ton trou à gémissement parce que je veux plus vous entendre… »
Et elle s’installa dans le canapé et commença à lire un livre.
A suivre...
Petite aparté : j’avoue humblement que ces récits, qui partaient pourtant d’une base réelle dans les 1ers épisodes, sont issus à 99% de mon esprit ou le masochisme non révélé côtoie le conformisme sexuel dans une danse schizophrénique quotidienne. J’apprécie donc particulièrement les retours d’expériences, les encouragements et autres expressions de satisfactions (je préciserais bien de la gente féminine en particulier mais vous vous en doutez probablement). Sur ce, je doute que vous soyez là pour lire mes mémoires donc revenons à nos moutons…
J’aimerais pouvoir commencer comme d’habitude en vous disant que je ne sais pas combien de temps c’était écoulé depuis qu’on m’avait écartelé au milieu de la pièce. Mais la vérité, c’est qu’elles m’avaient orienté face à une horloge d’un mètre de diamètre. Impossible de louper la petite aiguille qui tournait lentement, si lentement…
Ça faisait une bonne ½ heure que j’étais en place. Mon corps entier me faisait souffrir le martyr quand j’entendis les filles revenir en rigolant. J’essayais de me retourner pour les voir entrer dans la pièce mais je revenais vite sur l’idée : impossible de bouger sans avoir l’impression que j’allais imploser.
- « Ah bin voilà il est tout sec ! »
Léa s’était installée sous l’horloge, dans mon champ de vision. Elle ne portait qu’un corset mauve, de longues bottes en cuir noir qui lui arrivaient mi-cuisse et son éternel tresse tenue par un nœud violet. Son intimité était complètement exposée, je pouvais voir le reflet de sa mouille depuis mon perchoir… Dire que la situation l’excitait serait un euphémisme.
Pauline s’installa à côté. Elle avait opté pour une mini-jupe verte, de longs gants en satin assortis, des bas ouvragés montés sur de simples escarpins et un serre taille noir mat… Le tout chapeauté par un chignon sévère tenu par un nœud vert pomme. Sa poitrine exposée me permettait de voir ses tétons pointés, témoin indiscutable de son excitation.
Elles m’observaient toutes les deux avec le sourire.
- « ça va, tu es bien installé ? »
Je n’avais même plus la force de crier. Ma mâchoire, comme le reste, était écartelé depuis ½ heure. Je n’attendais que le moment où elles allaient me faire redescendre.
- « Viens, on va jouer un peu »
Moment qui n’avait pas l’air de se profiler. Je sanglotais doucement en attendant la nouvelle torture qui risquait de suivre.
Les deux filles disparurent de mon champ de vision et pendant un temps, rien ne se passa. Puis, je sentis une caresse toute douce sous mes bourses. Mon périnée écartelé était complètement exposé et Pauline, armée d’une plume, jouait sur chaque mm2 de peau. Au bout de quelques seconde, la caresse devint chatouille et la situation se corsa. Mon premier réflexe fut de m’agiter mais, mon plug me tiraillant l’intérieur à chaque mouvement, je dus rapidement m’astreindre à l’immobilité. Ce qui n’étais pas une mince affaire. A la place, j’essayais d’extérioriser ma frustration grandissante en criant dans mon bâillon. Puis après une éternité, la caresse s’arrêta. Elle fut cependant remplacée par une autre sensation désagréable : Léa, armée d’une branche de sapin, me piquait les bourses avec les épines. C’était trop pour moi.
Je me mis à pleurer et à m’agiter ouvertement. Merde à la corde qui me tirait les bourses. Merde au plug grand ouvert dans mon fondement qui refusait de céder le moindre millimètre. Merde au bâillon, merde aux cordes, merde aux salopes tortionnaires. Je craque.
Craquage qui ne les fit pas arrêter du tout, bien au contraire. En même temps, Pauline m’avait prévenu : pas de safeword, pas de pitié. Elles continuèrent à alterner pendant de longues minutes, sans aucune cohérence dans les durées, parfois sans me toucher, parfois les deux tortures en même temps…
Elles finirent cependant par se lasser. De mon côté, j’étais à bout de souffle, le visage ravagé, le corps en morceau.
- « Bon on va peut-être le faire descendre… »
Léa fit mine d’hésiter, mais acquiesça. Je n’avais même plus la force de montrer de la gratitude… ou même la moindre émotion. Pendant que Léa faisait le tour de la pièce pour enlever les cordes une par une, Pauline s’était glissée sous moi. Avec un petit tabouret. De cette manière, ça tête arrivait juste entre mes cuisses. Elle fit alors glisser doucement sa langue sur la zone rougie par leur jeu pour apaiser les douleurs. Elle s’attaqua au périnée, puis lorsque toutes les cordes étaient tombées et que mes jambes était refermé, au-dessous des bourses.
Quand Léa me fit descendre au sol. Pauline m’accompagna à genou. Mes jambes ne pouvaient pas me porter. Elle sécha mes larmes avec ses caresses et sa langue en me chuchotant des encouragements, en me répétant qu’elle était fière de moi. Puis, les deux filles me firent face et je sus que la scène n’était pas finie.
Je me mis à sangloter doucement.
- « Arrête ton cinéma » attaqua Pauline, « tu ne sais même pas la suite du programme »
Elles attendirent une bonne minute que j’arrive à me reprendre, puis Léa pris à son tour la parole.
- « Voilà le deal sunshine, tu vas choisir l’une d’entre nous. Celle-ci sera soumise avec toi pour la suite des évènements. L’avantage pour elle, c’est que c’est la seule de nous deux qui pourra jouir. L’inconvénient, c’est que l’autre risque d’être un peu frustrée, donc un tantinet sadique. »
Pause, sourire carnassier. Pauline prit le relai :
- « C’est à toi de décider. Sache aussi une chose. Tu as à l’heure actuelle 2 cadenas sur toi. L’un verrouille ta cage, l’autre ton plug. »
Je les regardais et devinais la suite : chacune portait une petite clé dorée autour du cou.
- « Tu ne sais pas quelle clé ouvre quoi, mais tu pourras avoir soit le sexe libre, soit le cul… pas les deux »
Je les regardais, l’une après l’autre, le regard perdu.
- « Bon après si tu ne veux pas choisir on peut aussi te remettre dans la position précédente une petite heure que tu ais le temps de te décider. Ça te tente ? »
Sans réfléchir, j’avançais à quatre pattes jusqu’à Pauline. Elle me regarda avec un petit sourire et solennellement, dénoua son chignon. Léa passa derrière elle et lui attacha un collier. Puis, elle se pencha sur moi et entreprit de me libérer le sexe.
Dans un premier temps, je m’estimais chanceux. Après réflexion, un peu moins… Connaissant Léa, ce n’était pas parce que mon sexe était libre que j’allais pouvoir en profiter. Par contre, le moindre mouvement continuerait de me coûter avec l’autre objet de malheur dans le fondement.
Léa entreprit aussi de me libérer les poignets et la bouche. Je me massais doucement les mains et le haut des bras, la bouche bloquée dans une position entrouverte et un filet de bave qui coulait par terre.
- « Merde il est vraiment pas propre » Léa se tourna vers Pauline « va chercher une cagoule dans la chambre… non réflexion faite, ramène le sac entier »
Pauline s’exécuta en gardant la tête baissée. Elle revint vers moi et, après un bref hochement de tête de notre maitresse, entreprit de m’enserrer la tête dans l’accessoire en cuir. Léa prit tout de même le temps d’enlever le string trempé de ma compagne pour me le mettre dans la bouche avant qu’elle soit bloquée en position fermée par la cagoule.
Décidément, elle ne faisait clairement pas appel à moi pour ma conversation ! Quand ma bouche n’est pas bloquée en position ouverte, elle l’est en position fermée… Au moins, je ne risquais pas de dire une connerie qui aggraverait mon cas !
- « À genoux, tous les deux, l’un en face de l’autre, les mains derrière la tête »
L’ordre claquait encore dans l’air quand Léa quitta la pièce. Nous nous installâmes donc comme indiqué, nos deux visages à quelques millimètres l’un de l’autre. Entre la bombe sexuelle soumise juste devant moi et le goût de sa mouille dans ma bouche, ma queue commençait rapidement à prendre conscience de sa liberté et à prendre de l’ampleur. En conséquence, elle accrocha en s’élevant un pan de la jupe de ma co-soumise et l’entraina avec elle, exposant partiellement sa chatte à la caresse de l’air.
Pauline avait la bouche entrouverte juste devant moi, me regardait droit dans les yeux avec une expression d’excitation intense imprimée au fond des prunelles. Puis, défiant l’autorité de Léa, elle m’embrassa à travers ma cagoule en cuir.
Bien évidemment, c’est ce moment-là que choisit Léa pour se racler la gorge derrière moi. Elle ne fit aucun commentaire, mais nous la connaissions suffisamment pour savoir qu’un affront même aussi mineur ne resterait pas impayé.
Léa installa à côté de nous 2 éléments distincts : le premier, une simple chaise percée. Le second, une structure métallique que nous connaissions maintenant bien, visant à immobiliser une victime en position « levrette ».
Une fois son travail achevé, elle me souleva par le bras sans ménagement et me posa sur la chaise. Me jeta plus que me posa pour être exact. Elle entreprit alors de m’y attacher avec un sadisme comme seul un esprit dérangé comme le sien pouvait concevoir. Par le trou de la chaise ressortait la boucle de mon plug de malheur. Léa me lia donc les deux chevilles ensemble, les tira en arrière, passa la corde dans la boucle avant d’attacher solidement mes poignets avec le bout restant. Ainsi harnaché, aucune corde ne me tenait bloqué sur la chaise en elle-même… Cependant, impossible de faire le moindre mouvement sans être tiraillé de l’intérieur. Elle poussa le vice jusqu’à caller un petit vibro dans la boucle et à l’enclencher, faisant vibrer la fleur ouverte dans mon cul. Je poussais un long gémissement dont Léa parue extrêmement satisfaite. Elle se retourna alors vers Pauline avec son éternel sourire carnassier : c’était son tour.
La structure métallique fut installée juste en face de moi et la seconde victime de cet épisode fut progressivement harnachée.
Tout d’abord, Pauline s’installa à 4 pattes le long de l’axe principal. Au niveau de ses mains, de ses genoux et de ses pieds, un axe perpendiculaire partait de la structure centrale avec à son bout une menotte en cuir. Léa entreprit donc d’attacher progressivement les poignets, les genoux et les chevilles de Pauline, dont un filet de mouille commençait à courir le long de la cuisse d’être traitée de la sorte. Léa le préleva d’un doigt et l’enfonça dans la bouche de sa soumise qui suça avidement. Puis, elle lui fit lécher un crochet qui se terminait par une boule assez volumineuse… il rentrait à peine dans sa bouche !
En vint ensuite s’installer derrière elle et, après lui avoir patiemment travaillé la rondelle avec ses doigts en utilisant sa mouille qui débordait, y enfonça sans ménagement le crochet.
J’étais scotché, je ne pense pas avoir déjà vu Pauline prendre quelque chose d’aussi gros dans le cul. Celle-ci avait semblé en difficulté pendant toute l’opération, mais une expression de soulagement intense éclata sur son visage lorsque la boule finie par être en place.
Léa tendit ensuite une corde entre un nœud dans ses cheveux et son crochet pour lui tirer la tête vers le haut. Elle finalisa ce tableau en enfonçant un Rabbit dans le vagin encore ouvert de sa soumise qui poussa un long soupir de satisfaction. Elle le maintint en place, la partie vibrante écrasée contre son clitoris, avec une dernière cordelette qui partait de l’arrière de son collier et revenait vers l’avant.
Satisfaite, elle fit un pas en arrière pour nous observer. Je bandais vers le plafond à m’en faire mal aux bourses, Pauline haletait sur place comme une chienne en chaleur… nous étions près.
- « Nous allons donc pouvoir commencer ! »
Elle alluma le rabbit qui s’activa instantanément : vibration sur son clitoris, vibration dans son vagin, mouvement rotatifs, mouvement glissant… Pauline poussa un cri de surprise. Elle était tellement excitante avec sa petite tenue d’écolière, ses escarpins, sa jupe, ses seins à l’air…
Léa approcha ma chaise à quelques millimètres du visage de ma co-soumise.
- « Pauline, je te conseille de trouver quelque chose pour remplir ton trou à gémissement parce que je veux plus vous entendre… »
Et elle s’installa dans le canapé et commença à lire un livre.
A suivre...
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