Weekend en France - 2

- Par l'auteur HDS Zoorg35 -
Récit érotique écrit par Zoorg35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Weekend en France - 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-07-2011 dans la catégorie Plus on est
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Weekend en France - 2
Bonjour, voici le deuxième épisode d'un récit écrit conjointement avec Jenna : http://www.histoires-de-sexe.net/fiche.php?auteur=Jennashoes

Après avoir réajustée ma tenue et un peu remise de mes émotions je pris la direction du manoir, Marc et sa femme étaient prêts, ils m'attendaient. Il me présenta Anne, sa femme, elle était un peu plus jeune que lui, elle devait avoir 35 ans alors que Marc avait le même age que moi. Son épouse était charmante, une belle brune plantureuse avec une coupe au carré et de jolies lèvres pulpeuses. Elle portait une robe noire qui arrivait un peu au dessus du genou. Ses jambes était parées d'un collant ou de bas noirs et elle arborait une paire de talons-aiguilles vertigineux.

Nous passâmes à table, j'eus la désagréable surprise de voir que c'est le jardinier qui faisait le service, Marc dut le remarquer et m'expliqua alors que Georges était l'homme à tout faire de la maison, c'était un militaire à la retraite et il savait à peu près tout faire.

A la fin du repas, Marc me demanda si j'avais fait le tour de la propriété en arrivant. Je lui répondis par l'affirmative et que j'avais fait un tout du parc tout à l'heure. Le plus naturellement du monde, il me demanda si c'était avant ou après que Georges m'ait baisée dans la grange. Je ne savais plus quoi répondre, j'étais rouge de honte et de confusion, leur domestique avait été se vanter de ses exploits. Pour remuer encore plus le couteau dans la plaie, il me fit remarquer que d'après Georges je m'étais faite un peu prier au début, mais que finalement j'avais du apprécier puisque j'avais joui plusieurs fois.

J'étais complètement anéanti et humiliée, j'avais envie de disparaitre, ce week-end qui devait être un moment agréable était en train de se transformer en un véritable calvaire. Marc m'asséna alors le coup de grâce : Tu sais caroline, il va falloir être docile sinon tes collègues pourraient bien finir par apprendre comment tu te comportes lors de tes déplacements.

Je ne savais plus quoi dire, un misérable "Pitié" sortit de ma bouche, Marc me répondit juste de sucer Georges qui pendant ce temps avait sorti son sexe qui était à déjà moitié en érection. J'avais les larmes au yeux, Georges me fourra sa queue dans la bouche et prit ma main qu'il posa sur sa tige. Je me retrouvais donc en train de sucer cette énorme tige devant Marc et sa femme qui ne me quittaient pas des yeux. Sous l'effet des caresses de ma langue, le sexe avait atteint sa taille maximale, il était tellement gros que je ne pouvais guère prendre un peu plus que le gland dans ma bouche.

L'excitation commençait à s'emparer de moi, à ce moment là je me mis à me détester, j'étais humiliée et forcée de faire une fellation à un vulgaire domestique devant un ancien collègue et sa femme. Malgré ça ma chatte commençait à s'humidifier, quelle genre de femme étais je donc en train de devenir ?

Je m'appliquais à sucer cette queue du mieux possible malgré sa taille plus qu'imposante, je concentrais mes efforts sur le gland, l'emprisonnant avec mes lèvres et le flattant avec ma langue. Je me prenais au jeu et regardais le domestique droit dans les yeux pendant que je m'occupais de sa bite. Je mouillais maintenant comme une folle et pompais de plus en plus vite le dard que j'avais de planté dans ma bouche. Marc finit par se lever et me présenta sa bite déjà en érection, la sienne était d'une taille tout à fait honorable mais beaucoup moins grosse que celle de Georges. J'avalais donc la queue de Marc tout en masturbant l'autre. Je suçais alternativement les deux sexes qui m'étaient offerts, je prenais également un malin plaisir à les fixer de la manière la plus provocante possible. Parfois j'accolais même leurs sexes pour laper les deux glands en même temps.

Pendant ce temps là, Anne avait positionné sa chaise face à nous, avait relevé sa jupe et enlevé son string. Elle passait sa main sur son sexe imberbe tout en me regardant fixement sucer ces deux queues. Marc me fit me mettre de bout et commença à me déshabiller. Je me retrouvais très vite à moitié nue, il ne me restait plus que mon bustier, mes bas et mes bottes. Marc m'indiqua ensuite de me mettre à quatre pattes, offrant ainsi ma croupe de manière indécente aux regards de tous. Il vint se placer derrière moi et m'enfila sa bite d'un seul coup, quant à son domestique il prit possession de ma bouche avec son énorme chibre.

Mon ancien collègue me baisait d'une manière régulière, mes gémissements étaient étouffés par la queue qui me déformait la mâchoire. Marc ôta sa ceinture en cuir, me la passa autour du cou et la resserra, le salaud me tenait en laisse comme une vulgaire chienne pendant qu'il me défonçait. Cela faisait maintenant plusieurs minutes que Marc me pistonnait et que je suçais Georges, mon sexe était chauffé à blanc, je sentais l'orgasme arriver. Anne était toujours sur sa chaise et continuait de caresser son sexe qui lui aussi dégoulinait d'envie.

Elle se leva et vint se mettre à genoux à coté de son mari et commença à l'embrasser, puis je sentis sa main passer sous mon ventre et aller jusqu'à ma fente, très vite elle trouva mon clitoris qu'elle commença à titiller. Elle savait y faire, et rapidement un orgasme vint me terrasser, j'arrêtais de sucer le domestique pour pousser des longs gémissements. Marc et Georges en profitèrent pour échanger leur place, l'énorme queue du domestique vint de nouveau m'écarter ma petite chatte, excitée comme je l'étais, j'apprécia immédiatement cette présence en moi. Son énorme bite me labourait littéralement le ventre et m'écartait les chairs, j'avais l'impression qu'il remplissait mon vagin et les sensations qu'il faisait naitre au plus profond de mon être étaient indescriptibles.

Georges tirait sur la ceinture pour que ma chatte vienne s'empaler sur son sexe, il me tenait ainsi en laisse comme si je n'étais qu'un vulgaire animal de compagnie. En fait ils avaient fait de moi leur chose, et bien que cela m'humiliait et me rabaissait au plus haut point, cela m'excitait incroyablement.

J'essayais de sucer Marc de mieux que je pouvais malgré les coups de boutoir que m'assénait son employé, sa queue étant d'une taille normale, cela me rendait la tache plus facile. En la prenant dans ma bouche, je me rendis compte que son passage dans ma chatte lui avait donné une saveur particulière, c'était étrange et troublant comme sensation. Pendant ce temps, la maitresse de maison promenait ses mains partout sur mon corps, elle caressait mes cuisses gainées de mes bas et me palpait aussi les seins, me pinçant parfois les tétons.

Je sentis bientôt Marc se raidir, il m'envoya alors plusieurs giclées de sperme au fond du palais. Docilement j'avalais sa semence , nettoyais sommairement sa queue et me concentrait maintenant sur celle qui me défonçait la chatte. Marc se leva et alla s'asseoir. Anne vint vers moi et à ma grande surprise m'embrassa à pleine bouche, elle voulait sans doute venir gouter à la semence de son mari. Nos lèvres finirent par se séparer et je l'entendis quitter la pièce.

Georges se retira, s'allongea sur le dos, me tira par ma "laisse" et me fit m'asseoir sur lui. Je me mis donc à le chevaucher et m'empaler sur cette énorme bite. Ma chatte était brulante, jamais un sexe masculin ne m'avait fait autant d'effet, je couinais de plaisir comme une vulgaire trainée. Lui s'amusait avec mes seins les caressant, les pétrissant et faisant également rouler mes tétons entre ses doigts.

Il tira ensuite sur la ceinture pour me plaquer contre son torse, je sentis alors Anne qui commençait à m'appliquer du lubrifiant sur la rondelle, je me disais qu'elle était en train de me préparer pour son mari, mais je me trompais, c'est elle qui allait m'enculer car elle arborait un gode ceinture de bonne taille. Elle prit ma laisse des mains de Georges, tira un peu dessus pour me faire cambrer les fesses et elle commença doucement mais surement à s'immiscer dans mes entrailles. Je me retrouvais rapidement avec le totalité du gode dans mon cul, à partir de ce moment là, ils se mirent à me défoncer comme la dernière des salopes, ils avaient accordé leur rythme et je sentais les deux sexes coulisser à un rythme effréné dans mes mes orifices.

J'étais en sueur et complètement ailleurs, une sensation de chaleur et de désir émanait de mes deux orifices et se répandait dans tout mon corps, je gémissais au rythme des coups de reins que m'assenaient Georges et Anne. Cette dernière ne manquait d'ailleurs pas de me rabaisser : Alors espèce de chienne, tu fais moins la prétentieuse avec ce que je te mets dans le cul.
Puis elle délaissa ma laisse pour s'accrocher à mes hanches et se mit et me donner de grands et amples coups de reins. J'étais sous l'emprise de ces deux "sexes" depuis trop longtemps et je m'affalais sur le buste de Georges vaincue par un second orgasme.

Anne délaissa mon cul et alla sucer Marc qui en me voyant prise ainsi arborait de nouveau une belle érection. Georges me remit à quatre pattes et présenta son gland à l'entrée de ma porte de derrière. Je protestai mais n'avait plus la force ni la volonté de lui interdire l'accès. il poussait tout doucement et je sentais mon anus se dilater petit à petit, je criais de douleur, car malgré la réparation d'Anne et de son gode, son sexe était vraiment gigantesque et avait du mal à se frayer un chemin dans mon petit cul serré. Une fois son gland rentré, il le fit ressortir entièrement, m'arrachant un nouveau soupir de douleur. Puis je sentis qu'il me remettait du lubrifiant sur ma rondelle, le faisant bien rentrer avec ses doigts.

Il posa une nouvelle fois sa queue sur mon œillet et recommença et m'écarter l'anus, il eut moins difficulté et cela me fit moins mal. Il répéta l'opération plusieurs, me lubrifiant et s'insinuant un peu plus loin à chaque fois. Cela n'était presque plus douloureux et je commençais maintenant à me prendre du plaisir. Il allait et venait dans mon cul, augmentant le rythme petit à petit. Il était conscient de la taille de mon engin et faisait très attention à ne pas me faire mal, j'étais un peu étonné de tant d'attention, j'eus très vite l'explication quand il me dit : "Tu vas voir petite salope, je vais te faire jouir en t'enculant, tu vas prendre ton pied comme jamais."

Puis il commença à me pistonner de plus en plus vite, je couinais de plus en plus fort, haletant sous ses puissants coups de rein. Marc, toujours en train de se faire sucer par sa femme me regardait me faire enculer avec un sourire pervers. L'image que je devais renvoyer devait être très excitante pour lui puisqu'il se raidit et se vida dans la bouche de sa femme. Anne se releva et vint de nouveau m'embrasser à pleine bouche, déversant en même temps dans mon palais la liqueur de son mari. Nos langues délayèrent sa semence quelques instants, puis elle abandonna ma bouche m'obligeant à tout avaler.

Elle vint ensuite se placer à coté de moi pour me flatter une nouvelle fois le clitoris. C'en était de trop, je délirais et suppliais Georges de me prendre le cul encore plus fort, je gémissais et criais comme la dernière des trainés. Un troisième orgasme finit de me briser. Le domestique se retira et m'abandonna sur le sol, j'étais allongée sur le coté et le voyais se masturber au dessus de mes jambes. Il envoya plusieurs giclées qui atterrirent sur mes bottes et mes bas. Il étala ensuite sa semence sur mes jambes avec le bout de sa queue, Puis il la plongea sa dans mon bas, entre le tissu et ma cuisse pour nettoyer sa bite et y effacer toute trace de sperme.

Georges quitta la pièce, puis Marc et Anne se levèrent, Marc me dit : "Je savais bien que sous tes airs de petite bourgeoise BCBG se cachait une vraie salope en qui se fait sauter par la première bite venue. Tu ferais bien d'aller te coucher car demain une dure journée nous attend."

Je regagnais ma péniblement ma chambre, le cul endolori et mes sous-vêtements imprégnés du sperme de Georges. Je pris une douche réparatrice et me demandais si je devais quitter ce manoir au plus vite ou au contraire continuer à me laisser aller comme une vulgaire trainée. J'avais envie de partir mais l'énorme sexe du domestique ne quittait pas mes pensées, il me fascinait et m'excitait. Quand il était en moi, c'est comme si j'étais coupé du monde, plus rien ne comptait. Finalement je me couchais, en repensant à la manière dont ils m'avaient baisé et me demandant ce qui m'attendait le lendemain.

Le matin, je descendis prendre le petit déjeuner en chemise de nuit, il n'y avait que Marc, celui ne manqua pas de me reluquer mais ne tenta rien. L'ambaince était assez surréaliste, nous étions en train de discuter comme si rien ne s'était passé. Il me dit nous irions faire une ballade à cheval afin qu'il me fasse faire le tour de la propriété et que nous ferions un pique-nique pour le déjeuner. Je lui dis que cela allait être compliqué car je n'avais que des jupes dans ma valise. Il me dit que c'était pas grave, il allait demander à Francis le palefrenier de préparer l'attelage. cela me rassura car mon cul me faisait encore un peu mal et je ne sais pas s'il aurait supporté la dureté d'une selle de cheval.

Je me préparais donc pour cette sortie, je me dis que je devais mettre quelque chose de confortable mais également sexy sachant qu'à un moment ils allaient sans doute encore essayer de me pervertir et de me prendre une nouvelle fois par tous les trous. Cette pensée me rappela une fois de plus la bite majestueuse de Georges et mon sexe se remit à dégouliner. Sous mes airs de femme distinguée, j'étais vraiment en train de devenir une vraie nymphomane qui ne pense qu'à se faire prendre par le premier venu. J'étais vraiment complétement désorientée et sous l'emprise de mes pulsions sexuelles. Je tentais donc le diable et choisit des dessous particulièrement aguichants, je décidais de mettre un ensemble blanc composé d'un string, d'un soutien gorge et d'un porte-jarretelles auquel je vins accrocher une paire de bas beiges. J'enfilais par dessus un pull rouge moulant à col roulé qui faisait ressortir et mettait en valeur mon opulente poitrine. Je mis également une jupe écossaise rouge et noire qui m'arrivait au dessous du genou, une veste en cuir marron et mes bottes marrons style western aux talons de 7cm. Pour finir je plongeais mes mains dans une paire de gants en cuir marron. J'étais fin prête pour cette virée dans la campagne française.

Lorsque je sortis, Marc et Georges étaient déjà montés sur deux magnifiques chevaux. Anne m'attendait avec Francis le palefrenier à coté de l'attelage, ils m'invitèrent à monter à bord. La marche était haute pour grimper à l'intérieur et Francis m'aida à embarquer, il ne se priva pas à l'occasion de peloter ma croupe avec ses mains calleuses. Je me retournais et le fusillais du regard, lui se contentait d'afficher un sourire vicelard, je compris alors qu'il devait être au courant de mes exploits d'hier et je me mis à rougir de honte et de confusion.

Lors de la ballade, les hommes qui étaient à cheval nous précédaient, Francis quant à lui conduisait l'attelage dans lequel je me trouvais avec Anne. Nous discutions de choses et d'autres. Anne était habillée pour l'occasion, elle avait des bottes, le pantalon et la tenue d'équitation. Cela lui allait bien et lui donnait un certain style. Comme son pantalon était très près du corps, il me semblait deviner la jarretière de bas auto-fixant sous le tissu, je me dis alors qu'elle était un peu comme moi et tenait à soigner sa tenue. Francis ne disait pas un mot, il se contentait de "piloter" notre carriole. Petit et maigre, il devait avoir la quarantaine, je pense que c'était un ancien jockey, il en avait en tout cas l'allure.

Il était un peu plus de midi, nous arrivions vers un espèce de vieil hangar ou étaient stockées de grandes meules de foin, Marc indiqua que nous allions nous arrêter ici afin de déjeuner. Les hommes enlevèrent les selles des chevaux et les posèrent sur des petites tréteaux en bois assez bas qui devaient sans doute être la exprès. Francis s'occupa de donner de l'eau et de la paille à nos montures. Anne sortit une grande couverture de son panier et nous l'entendirent sur le sol à l'intérieur du hangar.

Georges s'adressa à Marc et lui demanda : "Monsieur, et si on commençait par le dessert ?"
Marc regarda sa femme qui lui fit un signe d'approbation, il répondit à son domestique : "Si tu veux, cela va nous ouvrir l'appétit."

Marc avait enfin donné le signal, Georges et Francis se dirigèrent vers moi et commencèrent à flatter palper mon corps avec leurs mains. En bonne petite allumeuse, je les repoussais timidement et feignais l'indignation et poussait quelques objections : "Non mais ça ne va pas, qu'est ce qui vous prend ?

Les deux hommes ignoraient mes doléances, je me tus rapidement et me contentait d'apprécier le contact de ces quatre mains sur mon corps. Anne et Marc s'étaient assis sur une botte de pailles et profitaient du spectacle. Très vite les caresses des deux hommes se firent de plus en plus pressantes, Georges s'était collé derrière moi il m'embrassait sauvagement dans le cou et pétrissait mes seins par dessus mon pull, je commençais à sentir sa grosse queue grossir au chaud dans le creux de mes fesses. Francis quant à lui me caressait l'entrejambe par dessus ma jupe. Ces deux salauds m'excitaient terriblement, ma chatte commençait à ruisseler sous l'effet de leurs caresses. Georges devait également être excitée par ma lourde poitrine car je sentais maintenant que se bite, bien calée entre mes fesses, avait atteint sa taille maximale. Il avait ôté ma veste en cuir et relevé mon pull et fait jaillir mes deux globes de leur étui, il les caressait et jouait avec mes tétons. Avec sa langue continuait de me manger le cou.

Francis avait maintenant relevé le devant de ma jupe, il était subjugué par mes dessous affriolants, il ne devait pas voir tous les jours de tels atouts. Il avait arrêté ses caresses et scrutait chaque détail de ma lingerie. Georges lui lança : "Tu as vu, je te l'avais dit qu'elle était sapée comme une trainée sous ses airs de petite bourgeoise."

Francis se remit à me caresser, il était fasciné par mes bas et n'arrêtait pas de caresser mes jambes. Au bout du moment il les délaissa et commencer à flatter ma chatte par dessus mon string. Je commençais à soupirer de plaisir, j'avais envie de plonger mes mains dans leur pantalon et de saisir leurs queues, mais je luttais et essayais de me contrôler afin de rester passive. Je préférais attendre que ce soit eux qui prennent l'initiative et me soumettent à leurs exigences et à leurs désirs.

Francis fit descendre mon string le long de mes cuisses jusqu'au sol et me fit lever chacune de mes jambes pour me l'ôter. Puis il passa son doigt sur ma fente et dit en rigolant à Georges : "Tu avais raison, c'est une vraie salope, elle est déjà toute mouillée."
Puis il dit à Marc : "Et bien Monsieur, c'est une sacrée pouliche que vous avez dégotté !!!"

Ce dernier afficha un large sourire mais ne dit rien, trop occupée à apprécier les caresses de sa femme qui commençait à flatter la bosse qui déformait son pantalon.

Il commença alors fouiller mon intimité avec plusieurs doigts, il était rustre et brutal, il me masturbait sans aucun ménagement, tout en faisant ça, il me parlait très crument : "Tu vas voir petite trainée, on va te défoncer et te fourrer par tous les trous."

Quant à moi je gémissais de plus en plus, je ne savais même plus si c'était de douleur ou de plaisir, ce rustre me labourait les chairs avec ses doigts, mais cela avait le don de m'exciter et de me faire mouiller encore plus. Georges avait fait tomber son pantalon et relevé l'arrière de ma jupe, il était en train de se branler entre mes fesses, je sentais son énorme tige coulisser dans ma raie. Il continuait également de caresser mes seins qui étaient littéralement en fusion, toutes ces caresses les avaient rendu extrêmement sensibles.

Anne de son coté avait extrait la bite de son mari de son pantalon et la branlait doucement. Tous les deux continuaient de me fixer en train de me faire peloter sans ménagement par leurs employés.

Georges n'en pouvait plus : "Viens par là ma petite trainée, tu me donnes trop envie, je vais te baiser tout de suite."
Il s'allongea sur le dos sur la couverture, puis il me fit descendre en m'accroupissant sur sa queue. Petit à petit je sentis cette énorme colonne de chair s'immiscer dans mon sexe si serré. Je poussai un long soupir, sa queue m'écartait la chatte. Il me fourra ainsi la totalité de son membre dans mon intimité, intérieurement je jubilais de bonheur. J'avais repensé toute la nuit à ce phallus immense, je le sentais enfin vibrer à l'intérieur de mon corps. Une fois de plus en bonne petite garce, je lançais quelques plaintes :" Ah non, tu es trop gros espèce de salaud, tu vas encore me déchirer."

Il me prit les hanches et commença à faire coulisser sa bite dans ma fente, il me donnait des grands coups de rein, mes seins bougeaient au rythme de son bassin. Francis sortit son sexe de son pantalon et me le colla dans la bouche, j'étais plutôt surprise de la taille de son engin, il était surdimensionné par rapport à la corpulence de son propriétaire, néanmoins il était loin d'attendre la taille de celui de Georges.
Il me lança : "Suce moi la bite salope."

C'était plus lui qui me baisait la bouche que moi qui le suçait, il avait passé une main derrière ma tête et enfonçait son sexe au fond de ma gorge. Plusieurs fois je crus que j'allais vomir tellement il l'enfonçait loin. C'était vraiment un rustre et il maltraitait ma bouche avec son pieu. Jamais je n'avais été prise avec aussi peu de considération, c'était extrêmement dégradant mais également très jouissif. J'essayais de masquer mes émotions mais ces deux hommes et surtout leurs sexes étaient en train de me transformer en une créature assoiffée de sexe.

Francis arrêta de me baiser la bouche et me dit: "Suce moi maintenant, montre moi ce que tu sais faire avec ta langue."

Je pris sa tige dans ma main et la branlait vigoureusement, pendant ce temps j'emprisonnais son gland entre mes lèvres et le flattais avec ma langue. De mon autre main je lui caressais et malaxais les couilles. Il poussait de longs soupirs de plaisir, il n'y avait pas de doutes possibles, il appréciait la fellation que j'étais en train de lui faire. Je continuais de le lécher pendant plusieurs minutes, je jouais littéralement avec sa bite tout en le regardant droit dans les yeux comme le font les actrices dans les films pornographiques. Pendant ce temps Georges me ramonait toujours la chatte avec son énorme queue, il me perforait et déchirait mon sexe, je sentais l'orgasme monter en moi. Ils choisirent ce moment là pour changer de place et me laissèrent ainsi quelques minutes de répit.

Francis s'allongea et je vins m'embrocher sur son sexe face à lui, il s'activa aussitôt et me remplissait mon sexe avec son membre. je sentis comme un manque par rapport à celui de Georges, mais néanmoins c'était quand même agréable et en bonne petite salope j'appréciais cette bite à l'intérieur de mon être. Georges vint sur le coté et me présenta son sexe qui sortait tout juste de ma chatte. Je le gobais aussitôt, et suçait le gland avidement, il faut dire que vu la taille de sa queue, je ne pouvais mettre guère plus dans ma bouche. Parfois j'abandonnais son gland pour lécher soigneusement sa tige et ses couilles qui étaient vierges de toute pilosité. Lui aussi soupirait de plaisir sous l'impulsion de mes caresses.

Peu après Georges me dit : "Maintenant que je suis bien dur, je vais pouvoir éclater ton petit cul de bourgeoise."

Quand j'entendis ses paroles, mon corps de mit à trembler, je ne sais pas si c'était de peur ou de plaisir, je me remémorais la douleur que j'avais éprouvé la première fois mais aussi le plaisir qui suivit après.

Une fois de plus, je protestai pour la forme, et une fois de plus ma requête fut ignorée. Je sentis alors son gland contre mon anus, doucement l'anneau de ma rondelle se dilatait pour laisser entrer ce corps étranger dans mes entrailles. Je criais de douleur. Mon œillet se referma et emprisonna le gland. Il se retira de moi, m'écartant une fois de plus la rondelle. Il recommença plusieurs fois jusqu'à ce que mon œillet soit bien dilaté, puis il envoya un jet de salive dans mont petit trou et y replongea sa queue pour cette fois la maintenir dans mon fondement. Il commença alors progressivement à coulisser dans mon cul, il y allait progressivement, augmentant la cadence petit à petit. je criais toujours, mais la douleur diminuait et laissait place à une trainée de chaleur qui se répandait dans mon corps. Enculée et baisée de la sorte, j'eus rapidement un orgasme et m'écroulais sur Francis.

Ils me laissèrent quelques instants de répit et me firent me redresser, j'étais accroupie sur la couverture. Ils vinrent face à moi et commencèrent à se masturber à quelques centimètres de mon buste. Puis l'un après l'autre se vidèrent sur mes seins maculant au passage mon pull avec leur semence. Puis il me demandèrent de me caresser les seins afin de tout étaler, en bonne salope docile, je m'exécutais sans broncher.

Marc qui était maintenant en train de se faire sucer par Anne dit à ses employés : Attachez là à la selle, je vais venir la baiser.

Francis et Georges me relevèrent, ils me basculèrent sur un des selles qui était posé sur un tréteau, puis il m'écartèrent un peu les jambes et les attachèrent avec des cordes. J'étais ainsi mise à disposition de Marc, la croupe bien en évidence, attendant de me faire saillir par le premier étalon venu. Marc et Anne s'approchèrent de moi, je pensais qu'il allait me prendre tout de suite, mais non. Sa femme s'agenouilla et le reprit en bouche, son mari lui dit : "Suce moi bien ma chérie, que je sois bien dur pour la baiser cette chienne."
Anne continuait sa fellation, mes orifices quant à eux commençaient à s'impatienter. Elle abandonna finalement le sexe de son époux et lui dit : "Attends mon chéri, je vais te la préparer."

Je sentis alors une langue parcourir ma fente, la salope, elle en profitait, vu comment Francis et Georges m'avaient culbuté, je n'avais besoin d'aucune préparation. Je n'avais jamais été attirée par les femmes, mais je dois reconnaitre qu'elle savait y faire la garce. Sa bouche était collée à mon sexe, elle aspirait littéralement mon clitoris et le faisait vibrer sous sa langue. Elle délaissa un moment mon petit bouton pour venir me faire une délicieuse feuille de rose, puis elle retourna s'occuper de ma vulve Elle avait rallumé le feu dans mon ventre, mon bassin allait à la rencontre de ses lèvres. Elle arrêta alors et dit à malicieusement son mari : "Elle est prête mon chéri."

Aussitôt il m'enfila sa bite dans la chatte, je poussai un petit cri de surprise, puis très vite il accéléra la cadence et se mit à me pilonner comme un fou, son bassin venait claquer de plus en plus fort contre mes fesses. Je me mis à très vite à crier et couiner de plaisir tellement il besognait. Mes seins qui étaient toujours sorti de mon pull remuaient dans tous les sens. Anne vint devant nous, elle tira Georges et Francis par la main, elle se mit à genou et prit une queue dans chaque main, elle me dit : "Je vais leur redonner de la vigueur pour qu'ils viennent te baiser encore une fois." Elle avala alors la bite de Francis et se mit à branler celle de Georges.

Marc s'interrompit, il sortit de ma chatte et prit aussitôt possession de mon cul. Sa queue écarta un peu mon anneau mais n'eut aucun mal à investir mon petit trou vu comment Georges l'avait élargi. Je me mis de nouveau à gémir de plaisir au rythme de sa bite qui me perforait le cul. Le salaud me possédait j'étais à sa merci. Anne de son coté continuait de sucer alternativement les deux sexes, elle me fixait et me regardait me faire sauvagement enculer par son mari. Elle me dit : "Petite salope, ma minette n'en peut plus, depuis le temps que je te regarde te faire baiser, moi aussi j'en envie d'une bite."

Elle se leva et ordonna à Georges de s'allonger, elle baissa ensuite son pantalon et son boxer blanc jusqu'à ses bottes, dévoilant une paire de bas couleur chaire avec une large bande de dentelle. Elle enjamba tant bien que mal Georges, les jambes entravées par son pantalon et vint s'empaler sur sa grosse bite en lui tournant le dos et en me faisant face. Tout en continuant à me faire défoncer le cul je voyais le sexe imberbe d'Anne aller et venir sur le mandrin de Georges. Une fois habituée à cette présence en elle, elle reprit en bouche la queue de Francis et se remit à le sucer.

Pendant que Marc continuait de se déchainer sur mon cul, je ne pouvais quitter du regard la bite de Georges qui allait et venait dans le sexe imberbe d'Anne. A cet instant j'aurais aimé être à sa place et avoir cet énorme pieu plantée dans mon intimité. Nos gémissements se mêlaient et résonnaient dans le vieux hangar. Anne s'agitait comme une folle sur la bite de son domestique, elle faisait claquer ses fesses contre le ventre du jardinier, tandis qu'elle essayait tant bien que mal de sucer le sexe de Francis.

Sans doute excitée par la vision de sa femme en train de se faire elle aussi baiser, Marc accéléra la cadence, ses couilles venaient taper contre ma chatte. Il se crispa d'un seul coup et je sentis sa semence se répandre dans mes entrailles puis il sortit de mon cul et alla s'asseoir épuisé. Je sentis sa semence s'échapper de mon fondement et dégouliner le long de mes cuisses pour être finalement stoppée par la lisière de mes bas.

Voyant que son mari en avait fini avec moi, Anne sortit la bite de Francis de sa bouche et lui dit : "Va la baiser cette salope."
Elle se leva ensuite et se plaça à quatre pattes, offrant sa croupe à mon regard et celui de son mari. Georges vint se placer derrière elle,replongea son sexe dans celui de sa patronne et se mit à la pistonner comme un forcené. Aussitôt, Anne se remit à hurler de plaisir sous les coups de boutoir du jardinier.

Francis quant à lui vint derrière moi et le salaud m'encula tout de suite, il me dit : "J'ai déjà gouté à ta chatte, j'ai envie de ton cul de salope maintenant."
Il posa son gland sur mon anus et en força le passage. Mon anneau dont l'élasticité s'améliore à chacune de mes parties de jambes en l'air, avala le sexe sans problème. Il pénétra facilement au plus profond de mon anus, qui pour l'occasion était bien lubrifié par la semence de Marc. Il agrippa ensuite les hanches avec ses mains calleuses et me donna de brusques et grands coup de bite. Quel salaud, il était vraiment brutal et m'arrachait des cris de douleur. Mais il n'en avait cure et continuait de se déchainer sur mon petit trou continuant de me faire hurler. Anne appréciait le traitement que Francis était en train de m'administrer, entre deux coups de queue de Georges, elle trouva le moyen de me dire : "C'est bien éclate lui le cul à cette salope. Fringuée comme elle l'était, elle n'attendait que ça."
Francis lui répondit: " Bien Madame, en plus je suis rentré tout seul dans son cul, elle doit se faire mettre par là tous les jours cette sale trainée."

Mon cul s'habituait à cette démolition en règle, la douleur se transforma petit à petit en plaisir et je me mis bientôt à gémir de plaisir, suppliant le palefrenier de m'enculer encore plus fort. Le salaud ne tarda pas à déclencher en moi un nouvel orgasme, je m'effondrai sur la selle tandis qu'il continuait à s'acharner sur mon petit cul. Je l'entendis grogner et me traiter une nouvelle fois de salope, puis il se retira et je sentis plusieurs jets de sperme s'écraser sur ma fente et mon anus.

Vidé, il alla s'asseoir à coté de Marc. Anne se releva, renfila son pantalon et vint s'agenouiller derrière ma croupe, puis elle dit à Georges : "Quel cochon se Francis, il lui en a mis partout, je vais la nettoyer avant que tu ne viennes la défoncer."

Cette petite garce trouvait encore une excuse pour venir gouter à ma chatte. Sa langue commença alors un nettoyage un règle de ma fente, elle en lapait chaque centimètre carré. Elle en profita pour me mettre un doigt en même temps qu'elle me léchait. Elle ne tarda pas à faire renaitre un incendie dans mon bas ventre, il n'y avait pas à dire, elle savait vraiment y faire et était très douée avec sa langue. Elle m'aurait presque donné envie de devenir lesbienne. Enfin presque, je n'attendais maintenant qu'une chose, qu'elle délaisse ma fente pour que Georges vienne y planter son énorme bite. Mais elle faisait durer le plaisir, elle continuait de remuer mes chairs avec sa langue agile, malgré que ses paroles aient été très crues avec moi, elle était très douce et attentionné avec ma chatte. De mon coté j'avais de nouveau les lèvres en feu, et recommençais à roucouler sous les caresses buccales d'Anne.

Enfin elle s'arrêta et je sentis la queue de Georges commencer à m'écarter les lèvres, je poussai en long soupir de plaisir et de soulagement. J'étais de nouveau possédée par ce sexe qui m'avait envouté. Ce dernier s'insinua complètement dans mon intimité, il était si gros et si long, c'était tellement bon. Il se mit très vite à faire coulisser son mandrin de plus en plus rapidement, c'était délicieux, il m'écartait complètement les chairs, il me remplissait divinement. J'étais en sueur et complètement en transe, je couinais au rythme des coups de rein du jardinier. J'en réclamai encore, le suppliant de continuer et de me baiser encore plus fort. Il répondit en quelque sorte à ma demande en quittant le douceur de ma fente pour rejoindre ma petite grotte.

Il poussa un peu et son gland força le passage assez facilement, c'est à ce moment que je me dis que mon anus commençait vraiment à s'habituer à la sodomie, notamment celles avec des gros calibres. Puis il monta en puissance, accélérant progressivement la cadence. Mes gémissements étaient calqués sur ses coups de boutoir, un cri s'échappait de ma bouche à chaque fois que sa bite me perforait. Mes jambes ne me portaient presque plus, j'étais en age, complètement épuisé et brisée. je sentais un nouvel orgasme monter en moi.

J'entendis d'un seul coup des voix inhabituelles derrière moi. J'entendais Marc discuter avec un homme dont la voix me faisait penser qu'elle ne devait pas être toute jeune. Je tournais la tête pour voir de qui il s'agissait, je voyais deux hommes avec des fusils de chasse, l'un devait avoir la soixantaine, l'autre était très jeune et devait avoir une vingtaine d'années. Marc leur expliquait sans gène que j'étais leur invité pour le week-end et qu'ils avaient découvert que sous mes airs de petite bourgeoise bien sages se cachaient une vraie salope assoiffée de sexe.

J'entendais les commentaires salaces du plus jeune d'entre eux : "Tu as vu Papy comment elle se fait sauter la salope, tu as vu les dessous qu'elle a en plus, comme dans les films porno, j'en avais jamais vu en vrai."

Marc lui dit : "Si vous voulez, vous pourrez en profiter un peu quand Georges en aura fini avec elle."

Le grand père se faisait un peu prier, mais devant les requêtes insistantes de son petit fils, il finit par céder :" Bon d'accord, mais pas un mot de tout ça, si tes parents savaient que je t'ai autorisé à te taper une prostituée, tu te rends compte."

j'étais au comble de l'humiliation, cet honorable grand-père me prenait pour un vulgaire pute. Il faut dire que le tableau était peu flatteur pour moi. J'avais la poitrine qui pendouillait au dessus de la selle, mes pieds étaient attachées à la barrière, j'avais la jupe relevé, je portais des dessous incroyablement chics et sexys et j'étais en train de me faire copieusement sodomiser par un domestique. J'étais honteuse mais complètement surexcitée.

Marc dit même au vieil homme : "Mais vous pouvez en profiter aussi, ce n'est pas que pour votre petit-fils."
Ce dernier un peu embarrassé accepta malgré tout la proposition, quel homme normalement constitué aurait refusé une telle offrande ...

Alors qu'il continuait de discuter et encourageait tous Georges dans sa folle chevauchée, je commençais à sentir que pour lui la fin était proche, il soufflait de plus en fort, et l'étroitesse de mon cul allait bientôt avoir raison de son endurance. Mais avant de rompre, il m'arracha un dernier orgasme. Qu'étais je devenue, en quelques minutes rien qu'en m'enculant il avait réussi à me faire jouir.

Je sentais ses mains se crisper sur mes hanches. J'étais résignée et me dit que lui aussi allait se vider dans mes entrailles, mais au lieu de ça, il sortit son sexe de mon fondement, il prit mon bas droit qu'il écarta de ma cuisse et envoya toute sa semence sur ma cuisse. Puis il relâcha mon bas qui vint recouvrir et emprisonner sa sève. Il me dit ensuite : "Tu m'excitais trop avec ton porte-jarretelles et tes bas.

Il ramassa ensuite mon string qui était par terre et y essuya son énorme mandrin. Il vint ensuite me détacher et je tombai à genoux sur la couverture, épuisée et en sueur.

les deux nouveaux venus me laissèrent souffler quelques secondes, puis virent me présenter sans aucune gène leurs sexes qu'ils voulurent me mettre dans la bouche. C'était l'humiliation de trop, je détournai la tête et essayait de repousser tant bien que mal leurs verges.

Marc me dit : "Arrête de te faire prier et suce les tout de suite, sinon on va t'attacher et ils pourront te baiser la bouche comme ils le veulent."

Vaincue j'empoignais les deux queues, celle du jeune homme bien qu'un peu en dessous la moyenne était pleine de vigueur, l'autre était plus longue et grosse mais flasque et fripée. Je décidais de prendre cette dernière en bouche afin de lui redonner de la vigueur. Mes coups de langue arrivèrent à leur fin, et tenait maintenant une bite qui avait presque fière allure. Je la branlais rapidement pour la garder en bonne forme et prit celle du jeune homme en bouche, j' ne l'avais pas depuis une minute en bouche, qu'il se vida sans me prévenir au fond de ma gorge, surprise je recrachais son sperme qui s'écraser sur mon pull et mes seins. le jeune homme recula piteux en bredouillant je ne sais quoi.

Anne s'approcha de lui et lui demanda gentiment : "C'était la première fois qu'une femme te faisait ça ?"
Il hocha la tête en signe d'approbation. Puis cette salope pris son sexe et se mit à le secouer à son tour et lui dit: "Ce n'est pas grave mon grand, je vais te remettre d'aplomb pour que tu puisses la prendre."
Puis elle se mit à sucer le jeune alors que je suçais le vieux. Puis elle dit au vieil homme : "Allongez vous Monsieur, elle va venir s'empaler sur vous."

Il s'allongea et je vins face à lui m'embrocher sur sa queue à moitié dure, c'était bizarre comme sensation d'avoir en soi quelqu'un qui ne bande qu'à moitié, je m'activais néanmoins sur sa colonne de chair pour lui redonner de la vigueur. Petit à petit je sentis qu'il regagnait en vigueur.
Anne toujours en train de sucer le jeune homme, lui demanda, as tu déjà sodomisé une femme ?
Il lui répondit que non.
Anne : "Et bien aujourd'hui tu vas découvrir ce que c'est."

Puis elle guida la queue du jeune homme jusqu'à mon petit trou et l'aida à me pénétrer.

Pour ma part je sentis bien une présence en moi mais je ne le sentis même pas forcer ma rondelle, celle ci devait encore être distendue par le mandrin de Georges.

Une fois à l'intérieur de mes entrailles, Anne lui demanda comment c'était.

Il répondit : "C'est bizarre ..."

Puis Anne lui dit que c'était le moment et il commença alors comme un jeune chien fou à me baiser de manière désordonnée. Même si Georges m'avait bien ouvert le cul, mon conduit serrait la queue du jeune homme et son inexpérience allait de nouveau le trahir car je ne tardai pas à le sentir se crisper. je lui criais alors: "Non pas dans mes fesses s'il te plait."

Paniqué il sortit de mon cul, Anne lui empoigna alors la bite, le masturba et plusieurs jets de sperme vinrent s'écraser sur mes fesses et mon porte-jarretelles.

Le jeune homme se leva encore un peu penaud, Anne lui tendit mon string pour qu'il s'essuie son sexe.

Anne me dit ensuite : "Mets sa bite dans ton cul."

Comme une chienne docile, j'obéissais et soulevais mon bassin, je pris le sexe et le dirigea vers mon œillet. Puis je fis redescendre mon bassin pour que mon cul avale cette nouvelle queue. Une fois le sexe bien calé, je me mis à le chevaucher comme une amazone, mes seins ballotaient au dessus de son visage, il essaya de les lécher. je descendis un peu mon buste pour qu'il puisse en attraper un un. Il commença à me lâcher et mordiller le téton alors que je faisais toujours aller sa queue dans mon cul.

A son tour il commença à se crisper, je sortis son sexe de mon cul et m'assis sur le haut de ses cuisses. Je me mis à le branler très fort et plusieurs jets de sperme atterrirent sur mon bas-ventre.

Le vieil homme et son fils se rhabillèrent, remercièrent chaleureusement Marc et sa femme et repartirent aussi vite qu'ils étaient venus. Quant moi, je restais immobile sur la couverture, le regard vide, me demandant simplement ce qui était en train de m'arriver ...

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Texte coquin : Weekend en France - 2
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