Weekends: Erwann et Félix (2)
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Weekends: Erwann et Félix (2)
Félix et Erwann étaient allongés sur le lit de leur petite chambre. Erwann avait décidé de raconter à son amant l’histoire de Karine, une collègue qui avait flash sur lui et était à la limite du harcèlement.
— Ça a commencé par des petits mots gentils, sans conséquence, des compliments, des trucs que l’on peut se dire entre collègues. Puis elle a commencé à être plus tactile, elle me touchait l’épaule, le bras. Je n’ai rien dit, je ne trouvais pas ça grave. Ni inquiétant. Un soir on est sorti entre collègues, boire un verre. Il faisait beau, on s’est installé à une terrasse et on a discuté tranquillement. Je suis allé aux toilettes et elle m’a suivi, elle est entrée dans les w.c. des mecs, et elle m’a plaqué contre un mur pour m’embrasser. Je l’ai repoussée. Elle m’a demandé si je ne la trouvais pas jolie, alors je lui ai dit que si, mais que j’étais gay, et que j’avais un mec. Ça l’a surpris, elle a fait un pas en arrière et elle est partie. Quand je suis remonté, elle n’était plus là. Les autres m’ont dit qu’elle était rentrée.
Je pensais que c’était fini. Au boulot sans être froide, elle se montrait plus réservée à mon encontre. Polie, mais c’est tout. Un soir, on était les derniers à fermer, quand j’ai eu fini de tout ranger, je suis allé aux vestiaires. Elle était là, à moitié à poil, elle m’attendait. « Je ne peux pas croire que tu n’as pas envie de ça, me dit-elle en se caressant la chatte au travers de sa culotte ». Je lui ai dit de s’habiller, de me foutre la paix, mais elle s’est jetée sur moi, sur ma braguette, elle a sorti mon sexe et a voulu me sucer. Je me suis reculé, je l’ai engueulé, et je suis parti, la laissant là, en larmes.
Le lendemain dans mon casier j’ai trouvé une lettre d’elle. Pas une lettre d’amour, mais une lettre où elle décrivait ce qu’elle voulait faire avec moi.
Erwann se leva, et alla chercher la lettre en question. Il se mit à la lire à Félix
« Tu ne peux rien contre le destin, et entre mes bras tu oublieras tous les autres hommes. Je vais te sucer la bite comme une déesse, ma bouche aux lèvres de velours va te prendre tout entier en elle. Ma langue goutera ton jus, lécheras tes couilles, fera vibrer ta peau, te donnera des frissons que tu ne croyais pas exister. Je mangerais cette bite avec dévotion, la pomperais jusqu’à ce que tu m’offres son nectar chaud, que j’avalerais comme de l’ambroisie, cette liqueur divine.
Tu sentiras alors l’odeur de mon sexe brulant, cette odeur enivrante qui te rendra fou de désir. Je te guiderais vers mon antre, te glisserais en moi, t’offrant ma moiteur réconfortante. Alors débordant de désir tu me baiseras comme la chienne que je suis. Me défonceras les entrailles en m’arrachant des cris de plaisir. Mon corps entier sera tendu vers ton plaisir. Mon sexe serré autour du tien, je te ferais rendre les armes, jouir encore et encore en moi.
Je te demanderais d’aller lécher dans mon sexe ouvert ton foutre chaud mélangé avec ma mouille. Tu obéiras, car tu aimes le sperme, tu aimes boire cette liqueur visqueuse à la source, sucer des bites et faire prendre le cul par des mecs. Je te regarderais faire, te délecter de ce cocktail.
Enfin, en récompense ultime je t’offrirais mon cul. Tu me dépucèleras la rondelle. Tu seras le premier à m’enculer. Tu pousseras ta belle queue dans mon antre secret. Tu me feras crier de douleur sous les coups de ta bite bien dure. Je pleurerais, mais tu t’en foutras parce que tu n’auras jamais baise un aussi mon cul. De tous ceux que tu auras enfilés le mien restera à jamais le meilleur, le plus chaud, le plus étroit, le plus confortable. Tu inonderas mon petit trou de ta semence. Tu jouiras si fort que tu ne pourras plus jamais me quitter »
Erwann reposa la lettre sur le lit. Félix le regarda en souriant.
— C’est une folle, une folle furieuse, dit-il. Mais elle a une belle imagination, elle plairait aux autres, et même à moi. Tu n’as pas son numéro qu’elle vienne s’amuser avec nous ?
Erwann se jeta sur lui en riant. Ils s’embrassèrent. Se caressèrent, leurs sexes reprirent force. Félix prit Erwann dans sa bouche, faisant durcir au maximum sa bite avant de lui tendre son cul.
— Elle peut te proposer tout ce qu’elle veut cette folle, mais jamais elle ne te sucera comme moi, jamais elle n’aura un cul aussi accueillant que le mien…
— Et jamais elle n’aura une aussi grosse bite que toi.
Erwan se glissa derrière son amant, pressa contre son trou et le sodomisa. Il jouit en lui sans attendre que son amant en fasse autant. Pour se faire pardonner, il vint le sucer et avala son sperme.
Ils s’endormirent dans les bras l’un de l’autre.
— Ça a commencé par des petits mots gentils, sans conséquence, des compliments, des trucs que l’on peut se dire entre collègues. Puis elle a commencé à être plus tactile, elle me touchait l’épaule, le bras. Je n’ai rien dit, je ne trouvais pas ça grave. Ni inquiétant. Un soir on est sorti entre collègues, boire un verre. Il faisait beau, on s’est installé à une terrasse et on a discuté tranquillement. Je suis allé aux toilettes et elle m’a suivi, elle est entrée dans les w.c. des mecs, et elle m’a plaqué contre un mur pour m’embrasser. Je l’ai repoussée. Elle m’a demandé si je ne la trouvais pas jolie, alors je lui ai dit que si, mais que j’étais gay, et que j’avais un mec. Ça l’a surpris, elle a fait un pas en arrière et elle est partie. Quand je suis remonté, elle n’était plus là. Les autres m’ont dit qu’elle était rentrée.
Je pensais que c’était fini. Au boulot sans être froide, elle se montrait plus réservée à mon encontre. Polie, mais c’est tout. Un soir, on était les derniers à fermer, quand j’ai eu fini de tout ranger, je suis allé aux vestiaires. Elle était là, à moitié à poil, elle m’attendait. « Je ne peux pas croire que tu n’as pas envie de ça, me dit-elle en se caressant la chatte au travers de sa culotte ». Je lui ai dit de s’habiller, de me foutre la paix, mais elle s’est jetée sur moi, sur ma braguette, elle a sorti mon sexe et a voulu me sucer. Je me suis reculé, je l’ai engueulé, et je suis parti, la laissant là, en larmes.
Le lendemain dans mon casier j’ai trouvé une lettre d’elle. Pas une lettre d’amour, mais une lettre où elle décrivait ce qu’elle voulait faire avec moi.
Erwann se leva, et alla chercher la lettre en question. Il se mit à la lire à Félix
« Tu ne peux rien contre le destin, et entre mes bras tu oublieras tous les autres hommes. Je vais te sucer la bite comme une déesse, ma bouche aux lèvres de velours va te prendre tout entier en elle. Ma langue goutera ton jus, lécheras tes couilles, fera vibrer ta peau, te donnera des frissons que tu ne croyais pas exister. Je mangerais cette bite avec dévotion, la pomperais jusqu’à ce que tu m’offres son nectar chaud, que j’avalerais comme de l’ambroisie, cette liqueur divine.
Tu sentiras alors l’odeur de mon sexe brulant, cette odeur enivrante qui te rendra fou de désir. Je te guiderais vers mon antre, te glisserais en moi, t’offrant ma moiteur réconfortante. Alors débordant de désir tu me baiseras comme la chienne que je suis. Me défonceras les entrailles en m’arrachant des cris de plaisir. Mon corps entier sera tendu vers ton plaisir. Mon sexe serré autour du tien, je te ferais rendre les armes, jouir encore et encore en moi.
Je te demanderais d’aller lécher dans mon sexe ouvert ton foutre chaud mélangé avec ma mouille. Tu obéiras, car tu aimes le sperme, tu aimes boire cette liqueur visqueuse à la source, sucer des bites et faire prendre le cul par des mecs. Je te regarderais faire, te délecter de ce cocktail.
Enfin, en récompense ultime je t’offrirais mon cul. Tu me dépucèleras la rondelle. Tu seras le premier à m’enculer. Tu pousseras ta belle queue dans mon antre secret. Tu me feras crier de douleur sous les coups de ta bite bien dure. Je pleurerais, mais tu t’en foutras parce que tu n’auras jamais baise un aussi mon cul. De tous ceux que tu auras enfilés le mien restera à jamais le meilleur, le plus chaud, le plus étroit, le plus confortable. Tu inonderas mon petit trou de ta semence. Tu jouiras si fort que tu ne pourras plus jamais me quitter »
Erwann reposa la lettre sur le lit. Félix le regarda en souriant.
— C’est une folle, une folle furieuse, dit-il. Mais elle a une belle imagination, elle plairait aux autres, et même à moi. Tu n’as pas son numéro qu’elle vienne s’amuser avec nous ?
Erwann se jeta sur lui en riant. Ils s’embrassèrent. Se caressèrent, leurs sexes reprirent force. Félix prit Erwann dans sa bouche, faisant durcir au maximum sa bite avant de lui tendre son cul.
— Elle peut te proposer tout ce qu’elle veut cette folle, mais jamais elle ne te sucera comme moi, jamais elle n’aura un cul aussi accueillant que le mien…
— Et jamais elle n’aura une aussi grosse bite que toi.
Erwan se glissa derrière son amant, pressa contre son trou et le sodomisa. Il jouit en lui sans attendre que son amant en fasse autant. Pour se faire pardonner, il vint le sucer et avala son sperme.
Ils s’endormirent dans les bras l’un de l’autre.
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