Wouah le mec !

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Wouah le mec ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Wouah le mec !
Wouah le mec !


Une soirée en boite des plus banale. Fred, la tafiole du coin se faisait remarquer comme d'habitude, il dansait torse nue au milieu de la piste et jouait les gogo danseurs. Un couple se pelotait, ils étaient torse nue et n'avaient pas remarqué que la séquence slow était terminée … C'est beau l'amour …
Et c'est à ce moment qu'il est entré, tous les regards se sont dirigés vers lui, sauf toujours les deux amoureux qui continuaient à danser le slow en plein milieu d'un bon vieux rock. Eux, ils n'ont rien vu.

Il était habillé tout en jeans, le pantalon bien sûr, la chemise, la veste et le chapeau, les santiags devait être en cuir, je précise parce que j'avais dit tout en jeans … Bref il avait de l'allure.

Ou je sais, une telle tenue avait tout pour être ridicule mais lui, ça lui allait bien, il avait de l'allure, il était beau comme un cow-boy à la télé, plus beau que Montgomery clift et plus viril que John Wayne, c'est tout dire, si vous voyez de quoi je parle …
On devinait que le monsieur n'était pas du genre gras du bide, il avait une silhouette droite, élégante et mince. Son pantalon lui moulait les fesses et lui faisait un cul, on en aurait mangé et vu de face, il ne cachait pas une belle bosse qui faisait envie et sur laquelle toute la boite de nuit louchait.

Son visage volontaire parcourait la salle, presque plus personne ne dansait, sauf toujours ce couple torse nue qui continuait son slow, ils était tous les deux perdus dans leur monde, c'est quand même beau l'amour.

Je disais donc, son visage volontaire parcourait la salle et c'est sur moi que son regard se posait, j'ai vu ses yeux me regarder de haut en bas, j'étais en sueur, j'étais débraillé, j'étais pas au mieux de ma forme mais je me sentais beau sous son regard. Je devais être son genre, en tous cas je vous jure que lui pourrait facilement être le mien. Il me saluait, j'ai failli tomber par terre et tout le monde me regardait, l'air un peu dépité pour certains.

Il s'approchait de moi, me regardait dans les yeux, je revois le sourire qu'il me lançait, il posait son chapeau sur ma tête, j'avais l'impression que quelqu'un avait appuyé sur le bouton pause puis il commençait à danser lui aussi et là tout le monde bougeait et dansait autour de moi, on avait sans doute appuyé sur le bouton marche.

J'étais retourné, j'étais content, séduit mais retourné. Il devait y avoir deux ou trois mille personnes dans la salle, enfin peut être pas mais disons cent cinquante, et c'est sur moi qu'il avait jeté son dévolu.

Il tendait les bras vers moi, je m'approchais, il me caressait le torse, j'avais ma chemise grande ouverte. Je m'approchais de lui, il me tirais vers lui et m'embrassait. On se retrouvait comme l'autre couple d'abrutis qui étaient toujours en plein milieu de leur slow alors que pourtant, ça faisait longtemps que les slows étaient finis. On se retrouvait enlacés tendrement, passionnément, et avec une infinie douceur on dansait lentement en se serrant fort dans nos bras, nos deux corps se caressaient, il avait son blouson ouvert et sa chemise en coton était douce.

Ses muscles étaient fermes, ses mains étaient douces et ses lèvres étaient suaves. Je sentais quelque chose de dur dans son pantalon, et je frétillais intérieurement comme une sardine qu'on fait frire.

Nous avons fait connaissance, il s'appelait Johnny, enfin c'était le prénom qu'il m'a donné. Moi je lui ai donné mon vrai prénom, Charly. On a bu quelques verres, on est retourné danser, il y avait toujours ce couple d'amoureux dans leur slow. On ne se lâchait plus et je vous jure que si on ne s'est pas enfilé l'un l'autre comme des bêtes c'est uniquement parce qu'on nous regardait.

Il avait fini par porter son blouson et son chapeau au vestiaire, je l'avais suivi, je ne voulais pas qu'on me le pique celui-là. Je crois que j'ai bien fait, tout le monde regardait son cul et son entre-jambe.

C'est là que j'ai vraiment pu y toucher, ma main distraitement s'égarait et se glissait entre deux boutons de sa chemise. Il ne voulait pas laisser descendre en dessous de la ceinture. Un reste de pruditude ? Ou alors c'est parce qu'il y avait du monde ? De toutes façons, je ne serait pas allé bien loin de ce côté, il y avait vraiment beaucoup de monde autour de nous.

Une nouvelle séance de slows arrivait et le couple qui depuis un long moment continuait à danser, visiblement sans voir, toujours sans voir la différence. Ils étaient toujours aussi beaux, torse nue toujours, et chacun caressait le corps de l'autre avec passion.

Avec mon cow-boy c'était la même tendresse, c'étaient les même câlins sauf que de nous deux, j'étais le seul torse nue. Mais c'est sa peau que je caressais maintenant, et elle était douce.

La soirée avançait lentement et mon désir montait chaque heure, chaque minute un peu plus. La boite finissait par se vider lentement, imperceptiblement. Il n'y avait plus grand monde sur la piste de danse. Mon Cow-boy et moi quelques couples, et toujours de couple inséparable qui continuait son slow. Ils étaient dans leur tendresse dans leurs câlins. C'est ensemble qu'il prenaient la direction de la sortie, ils se couvraient. Je me couvrais et suivait mon cow-boy vers la sortie également.

Je m'attendais à voir sa monture, une moto gros cylindré qui peut fendre la route, disperser le vent et casser les oreilles des voisins quand on se stationne … Il était venu en Austin Mini …
Je l'ai suivi jusque chez lui, un peu de route à cette heure si matinale c'était pas le meilleur moment de la soirée mais, bon nous étions sobres. Il arrivait un endroit isolé, en retrait d'un petit village. J'étais perdu et je ne savais plus ou j'étais, mais ça ne m'inquiétait pas du tout.

On rentrait chez lui en passant par son jardin, et de nouveau on se prenait dans les bras, et de nouveau je le caressait mais il m'interdisait toujours en retenant ma main de le toucher en dessous de la ceinture. Là je commençais à m'inquiéter.

On entrait et on commençait à se déshabiller l'un l'autre. Ma chemise tombait, la sienne suivait. Torse nue on s'enlaçait et on prenait le temps d'apprécier de la douceur de la peau de l'autre, la douceur de la peau contre la peau. Là enfin il me laissait ouvrir son ceinturon.

Je lui ouvrais la braguette puis prenait le temps, je ne fonçais pas sur son sexe, je glissait d'abord mes mains sur ses fesses puis les faisais glisser sur ses cuisses j'entraînais son pantalon en même temps. Mon cœur battait très fort, je sentais le sien, on continuait à s'embrasser et à se caresser avec la peau de l'autre.

Son pantalon glissait et je m'attendais à voir se relever une belle grosse bite qui devait si on se fiait à la bosse qu'il affichait être tout à fait prometteuse. Mais rien ne se passait, je baissais les yeux et là, je constatais qu'il portait une cage de chasteté. Je n'arrivais pas à y croire aussi, pour être bien sûr, je lui tripotais les couilles, elles formaient deux belles petites boules bien fermes, et juste au dessus, un dispositif de petite taille.

Ça m'a calmé tout de suite.

Il y avait toujours ses baisers, sa peau chaude et douce mais …
C'est lui qui maintenant devenait entreprenant, c'est lui qui m'ouvrait mon ceinturon. J'ai pas de costume de cow-boy moi mais j'ai une ceinture tout de même. Il m'ouvrait mon ceinturon, il prenait son temps, il laissait monter le désire, surtout que maintenant il s'était mis à nu devant moi. Il évitait de me caresser directement le sexe, il ouvrait mon pantalon et le faisait glisser …
Quand il a vu que moi aussi je portais un dispositif de chasteté il est resté en arrêt. Il a buggé !

Bein nous voilà bien ! Et on fait quoi maintenant ? Lui demandais-je.
On ne va pas en rester là. Me répondait-il.

Il se relevait et me prenait dans ses bras, on reprenait nos câlins mais là on ne se retenait plus de nous tripoter les couilles, les pantalons restaient sur place et presque nus, oui presque à cause du petit truc qu'on portait tous les deux sur nos bites, on se retrouvait allongé sur son lit.

Nos bras se promenaient sur tout le corps de l'autre, on s'était un peu retenu jusque là. Nos mains glissaient dans les recoins les plus privés de partenaire et quand je lui glissait un doigt dans le cul il ne tardait pas à faire de même.

Je lui léchait les couilles, il me gobait les miennes. Ça devenait frustrant, tous les deux nous avions attendu ce moment en espérant se faire défoncer le cul. Et tous les deux nous comprenions que rien ne se passerait comme prévu. Il avait les couilles parfaitement lisses, parfaitement épilées. Je me disais que j'avais bien fait de m'épiler également.

On se retrouvait face à face et pour reprendre cette position on ne se retenait pas d'embrasser, de lécher et de mordiller le corps du partenaire en s'attardant longuement sur ses tétons. Je tremblais de plaisir pas autant que de désir mais je tremblais.

C'est frustrant tout de même ! Disais-je.
Ne bouge pas, on ne va pas en rester là.

Il tendait le bras vers sa table de nuit, et sortait du tiroir un gadget diabolique. Vingt deux centimètre de long, plus de six centimètre de diamètre et quatre ceintures pour accrocher l'ensemble. C'était un beau gode ceinture. Il se glissait dedans, je l'aidais à ajuster les ceintures puis je l'admirais, nous étions à genoux sur le lit, lui avec une belle érection artificielle et moi avec une belle frustration qui commençait à me rendre fous de désir.

Tu ne me suces pas là. Il faisait non de la tête.
C'est du plastic, beurk.
Je suis d'accord, on ne suce pas un gode c'est sans intérêt.

Il n'avait pas terminé sa phrase qu'il me sautait dessus, je le laissais faire et de nouveau nos deux corps se caressaient l'un l'autre mais là on avait un but. Il me retournait et me retournait dans ses bras, me caressait, je lui rendait chacune des ses caresses sans oublier de lui tripoter les couilles.

Il me tirait sur le dos, me relevait les jambes et mes chevilles sur ses épaules il prenait position. Il me lubrifiait longuement le cul en me massant la prostate. Je gémissais de plaisir, il prenait position et enfonçait sa bite, sa fausse bite dans mon cul. Là je hurlais de plaisir.

J'étais chaud, on avait bien fait monté le désir et le plaisir venait sans attendre. Il procédait avec force et douceur. Je sentais son gode glisser dans mes entrailles, c'était bon, c'était vraiment bon, je gardais la bouche ouverte mais aucun son n'en sortait. Je respirais fort, et je voyais sur moi son visage grave et concentré. Il surveillait la moindre de mes réactions, il se concentrait sur mon plaisir. Lui ne sentait rien mais moi je vous jure.

Quand je dis qu'il ne sentait rien, c'était au niveau de sa queue uniquement. Mais sa peau semblait particulièrement sensible au contact et la mienne tout autant à son contact. Il me serrait contre lui, il se laissait tomber sur moi et nos deux corps se caressaient avec tellement de chaleur.

Il me limait avec une certaine retenue, bien à fond, puis il ressortait. Régulièrement il lubrifiait et son gode finissait par glisser tellement que je ne contrôlais plus rien. Je me sentais bien remplis puis soudainement vidé. Son ventre s'écrasait sur mes fesses et il m'arrachait des cris de plaisir, des cris de panique, des cris d'un peu de douleur. C'est vrai que son gode était de grosse taille.

Le plaisir montait, et la panique avec. J'avais peur qu'il ne me blesse, pourtant j'avais déjà essayé des godes de cette taille mais à chaque fois c'est moi qui contrôlait. Là je subissais et je n'étais pas à l'abri d'un coup plus violent qui pourrait me blesser, je paniquais dans un plaisir infini.

Il faisait des pauses, il me faisait monter haut, très haut vers l'orgasme. Je tremblais de plaisir, tout mon corps tremblait, mon ventre se contractait et tentais de le repousser, de le rejeter. Il n'en tenait pas compte tout de suite, puis voyant que je ne contrôlais plus mes gestes, il se penchait sur moi, je sentais son corps chaud et lourd contre moi, il m'embrassait puis se retirait lentement. Là j'ai joui encore plus fort, j'ai éjaculé, je balançais trois giclées de sperme que je recevais sur mon visage, plusieurs autres suivaient moins importantes qui atterrissaient je ne sais pas ou.

J'avais le souffle court. Son visage était au dessus du mien, il me souriait il était content de lui, j'étais tout mou, mes muscles n'avaient plus de force, je me sentais bien, j'étais presque mort d'asphyxie.

Il se laissait tomber sur le dos, juste à côté de moi, lui aussi était essoufflé. Son cœur aussi battait fort, très fort et quand je l'ai touché, j'ai remarqué qu'il tremblait, ou alors c'est moi qui tremblait.

Ma frustration avait disparue. Je me sentais bien, je ne regrettais plus d'avoir gardé mon dispositif, au contraire je me sentais heureux et fier de ne pas avoir conservé la clé. On ne s'était même pas concerté sur le sujet.

Nous sommes resté là, immobiles, il tirait la couette sur nous, après avoir transpiré je commençais à avoir froid. Je me suis endormi. Oh pas bien longtemps, juste le temps de récupérer.

Quand je me suis réveillé, il était penché sur moi, je pouvais voir sa frustration dans ses yeux. Il m'avait donné un plaisir intense, il n'avait rien reçu en échange et il me souriait. Il avait retiré son gode. Je le trouvais rapidement avec ma main et c'est avec un petit sourire qui se voulait vicieux que je le lui montrait.

Il m'a bien sûr aidé à l'enfiler … Enfiler le gode ceinture , l'enfiler lui ensuite avec le gode ceinture … Chacun son tour .



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