Woué c'est Philippe 02
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Woué c'est Philippe 02
Woué c'est Philippe 02
Il restait hésitant pendant un moment. Je me mettais à poil, c'était rapide je n'avais passé qu'un pantalon de jogging et un T-shirt. Il me regardait des pieds à la tête, même s'il s'attardait sur ma cage de chasteté.
– On peut toucher ? Me demandait-il.
Mais c'est sans attendre la réponse qu'il tendait la main. Il avait l'air un peu intimidé par moi ou par ce qu'il faisait. Je pense que ce devait être par ce qu'il faisait. Je ne lui avais jamais vu une telle expression sur le visage, il semblait fasciné.
Avec sa main il me caressait les couilles, esquissait un léger sourire puis me tripotait ma cage. Il glissait bien ses doigts partout, au niveau de l'anneau, puis un doigts dans une des fente, il n'arrivait pas à le faire rentrer mais continuait à jouer avec ma cage, à la remuer et même à la secouer.
– On dirait que ça t'amuse. Faisais-je remarquer .
– Excuse moi mais.
– Ne t'excuse pas, tu peux continuer si tu veux.
J'étais debout devant lui, entièrement nu. Lui était assis sur le fauteuil, le bras tendu dans ma direction, il avait mes couilles dans mains et me les tripotait avec détermination.
– Tu l'as déjà fait ? Demandais-je.
– Quoi ?
– Avec un mec …– Non mais c'est vrai que j'y ai pensé plus d'une fois.
– Non avec un mec ou non avec un mec qui porte une cage à bite ?
– Non, les deux.
Il me tripotait les couilles avec force et je commençais à gémir de plaisir.
– Je te fais pas mal ? Demandait-il.
– Ça va, un tout petit peu mais tu peux continuer.
C'est ce qu'il faisait.
– Il ne faudra pas le répéter. Me demandait-il.
– Quoi tu veux pas que je diffuse les photos ou tu m'encules joyeusement ?
– T'es con, je ne répondrai même pas.
Comme il avait l'air de ne pas se décider je prenais l'initiative et lui retirais sa chemise et son T-shirt. Il ne faisait pas froid chez moi. Il retirait alors son pantalon. Je le prenais dans mes bras, il continuait à me tripoter les couilles et s'amusait à m'écraser les couilles avec sa main.
– Tu veux que je t'encule. Me questionnait-il.
Je faisais oui de la tête.
– J'ai peur de te faire mal. Rajoutait-il.
– C'est pour ça que tu m'écrases les couilles depuis un moment.
– Je te fais pas mal ?
– Un peu mais ça va.
– Je veux dire quand je vais t'enculer, j'ai rien contre l'idée tu sais, quand je vais t'enculer j'ai peur de te faire mal.
Je rigolais en lui répondant.
– Vas y fait moi mal...
J'avais loupé une occasion de me taire, c'est ce qu'il a fait. Il serrait les couille de plus en plus fort. Ça devenait douloureux et je sentais ma queue qui gonflait autant qu'elle le pouvait dans ma cage. Il me relâchait les couilles puis refermait de nouveau sa main dessus, à chaque fois il serrait plus fort.
– Ça va ?
– Si tu continues tu vas me faire jouir, ça va, mais là tu commence à me faire mal.
Je ne lui avais pas dit d'arrêter aussi il continuait.
– Je vais vraiment te faire jouir ?
Il serrait de plus en plus fort et là il me faisait vraiment mal. Avec ma main je retenais son poignet. Ça ne servait pas à grand chose, il ne me tirait pas sur les couilles il mes les écrasait, c'est tout. Je commençais à couiner de douleur. Il relâchait puis de nouveau il refermait sa main sur mes couilles. Et ce qui devait arriver est arriver. Il a franchi les limites et là je ne contrôlais plus rien.
J'ai déchargé, une belle giclée de sperme est passée entre les barreaux, par l'ouverture avant. Elle était suivie par une seconde puis une troisième. J'ai pris mon pied je ne vous dis pas, c'était génial. Ça faisait plusieurs semaines que je n'avais pas éjaculé, dix ou douze je ne sais plus, je me souviens seulement que ça faisait un moment.
Au moment de ma dernière éjaculation il me faisait vraiment mal et c'est seulement à ce moment que je lui ai demandé de me lâché. Il a traîné encore quelques instants puis m'a lâché.
– Et ça faisait combien de temps que tu n'avais pas joui comme ça ?
– Je ne sais pas deux ou trois mois …– Ah ouai ! Tu veux toujours que je t'encule .
– Je te laisse décider.
– Si tu m'avais dit non, je crois que je t'aurais violé.
Ça m'a fait un bien fou quand ça s'est arrêté, je veux dire quand il m'a lâché. Il me caressait le torse, il était hésitant et ne savait plus quoi dire ou quoi faire. Je me retournais alors me penchais en avant et lui donnait un tube de gel.
Je dirigeais l'opération, je me lubrifiais le cul pendant que lui se lubrifiait la bite. Elle était de belle taille, je venais de jouir et mon désir retombait. Mais on était parti et bien parti. J'aurais voulu tout arrêté mais je n'en faisais rien.
– Tu me dis si je te fait mal …– Oui vas y défonce moi le cul !
– Oui OK mais …– Vas y fait moi mal …
J'aurais mieux fait de me taire là encore. Il a pris position, la queue bien dans l'axe et à poussé avec force. Il n'a pas prévenu, ça résistait il forçait et il ne lui a fallut que quelques secondes pour que sa queue se loge bien à fond dans mon cul. J'ai hurlé, là il m'a vraiment fait mal.
– C'est toi qui a demandé ! Faisait-il remarquer sur le ton ' C'est pas moi qui l'ai fait !'.
– Tu es un enfoiré.
– C'est toi qui a voulu. Rajoutait-il avant de se retirer et de revenir aussitôt à fond, bien à fond.
Il m’arrachait de nouveau cris et semblait s'en amuser. J'aurais du lui expliquer qu'il faut y aller doucement, surtout avec la grosse matraque qu'il a le mec. Je gémissais, je n'arrivais même plus à articuler correctement il me limait, je vous jure que là il n'avait plus du tout peur de me faire mal.
Il se retirait avec vigueur et revenait bien à fond avec force, il alternait avec de plus en plus de vitesse. Il se retirait, faisait une pause, se mettait une bonne dose de gel et reprenait. Si au début il m'avait arraché des cris de douleurs, il ne m'arrachait plus maintenant que des râles de plaisir.
– Je ne te fais pas trop mal là ?
– Du tout, vas y, défonce moi le cul, c'est bon …
Ma réponse l'avait surpris mais il ne cherchait pas à comprendre et il en profitait. Il s'en donnait à cœur joie et moi je prenais mon pied. Il ne me faisait plus mal mais ça ne voulait pas dire que je ne ressentais rien. Le plaisir commençait à rayonner dans tout mon ventre. C'était le pied.
– Ma femme n'a jamais voulu me donner ce plaisir. Mais c'est que j'adore ça moi.
Il continuait à me limer le cul. Le plaisir m'avait totalement envahi, mon cul bien sûr mais pas que, c'était un plaisir total qui me prenait partout. Même mes bras, je perdais le contrôle des mes gestes, je tremblais et je tendais de m'accrocher à ce que je trouvais. Un coussin est totalement inutile dans cette situation, mais je le serrait fort contre moi, je n'avais rien d'autre sous la main.
Il me cramponnait par les hanches, me tirait vers lui en même temps qu'il me balançait des coups de bite, de grosse bite et je n'arrivais même plus à gueuler. Par moment je laissais échapper des râles, je ne m'en rendais plus compte.
J'avais l'impression d'éjaculer, je venais juste d'éjaculer et j'avais l'impression de recommencer mais c'était un orgasme qui durait dans le temps, qui durait et qui durait. En fait je ne sais pas si je jutais mais je jouissais sans interruption pendant de longue, de très longue minutes et quand le plaisir venait à baisser, c'était le moment ou il se calmais lui aussi, le moment ou il faisait une pause et à la seconde ou il recommençait à me limer le plaisir revenait avec encore plus de force.
Sa femme ne savait pas ce qu'elle avait loupé.
– Je te fais pas mal tu es sûr. Me demandait-il pendant un moment de pause.
– Pourquoi tu demande, tu t'en fou et de toutes façons ça ne te calmerait pas.
– Non mais si je te fais pas mal je peux faire ça alors.
Il me balançait alors des coups particulièrement violents, son ventre claquait en frappant mes fesses. Je me cramponnais encore plus fort mais que voulez vous que je fasse avec un coussin dans mes bras. C'est pas lui qui allait me maintenir en place.
J'étais balancé d'un côté sur l'autre. Je ne comprenait plus rien, j'en prenais plein le cul et j'aimais ça. C'est lui qui râlait de plaisir maintenant, les derniers coups de bassin qu'il me donnait était très violents et ses gémissements m'indiquaient qu'il jouissait.
Ensuite il me prenait dans ses bras, il se penchait sur moi et me serrait fort contre lui. C'était un énorme câlin qu'il me faisait, il me caressait le torse, sa main descendait jusqu'à mes couilles, il me tripotait mes couilles encore une fois. Mais il insistait moins que la première fois.
Il me poussait en avant et je m'écroulais sur le canapé. Il se laissait tomber sur moi. Il ne débandait pas encore et il était toujours en moi. Il ne se retirait que quelques minutes plus tard en me laissant une sensation de vide totalement jouissive. Et de nouveau je jouissais.
Ma queue se contractait comme pour éjaculer mais rien ne sortait, j'en tirais encore un plaisir intense. J'avais encore l'impression de le sentir dans mon cul. Ce n'était qu'une impression.
Je me suis retourné sur le dos, il s'est alors allongé sur moi et c'est à ce moment qu'il m'a embrassé. Je ne m'y attendais pas, déjà ce qu'il venait de m'arriver était au delà de mes espoirs et en plus il embrasse bien.
On est resté ainsi immobile, enlacé, à se câliner.
– Tu sais Charly, je ne savais pas que ça pouvait être aussi bon avec un mec.
– Tu voudras qu'on recommence ?
– Ah ça oui ! Mais tu garderas ton truc là sur ta bite. Ta bite elle ne m'intéresse pas alors on la garde sous clé.
– Ok mais tu es sûr de ne pas vouloir essayer ?
– C'est moi qui ferai l'homme.
– Si tu me donnes toujours autant de plaisir c'est comme tu veux, quand tu veux, si tu veux, moi je suis partant !
– Par contre, tu ne le racontes à personne.
Je lui répondait par un baiser furtif.
On s'est retrouvé sous la douche à se laver l'un l'autre.
C'était une rencontre inattendue, enfin la manière dont cette rencontre avait dégénéré était inattendue. On s'est bien sûr revu, souvent, il venait régulièrement me voir, il emportait un pack de bière et, on en buvait plusieurs. On ne faisait pas que ça mais on buvait aussi quelques bières.
Par discrétion je n'ai bien sûr pas donné son vrai nom, je lui ai inventé un prénom pour cette histoire imaginaire …
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Il restait hésitant pendant un moment. Je me mettais à poil, c'était rapide je n'avais passé qu'un pantalon de jogging et un T-shirt. Il me regardait des pieds à la tête, même s'il s'attardait sur ma cage de chasteté.
– On peut toucher ? Me demandait-il.
Mais c'est sans attendre la réponse qu'il tendait la main. Il avait l'air un peu intimidé par moi ou par ce qu'il faisait. Je pense que ce devait être par ce qu'il faisait. Je ne lui avais jamais vu une telle expression sur le visage, il semblait fasciné.
Avec sa main il me caressait les couilles, esquissait un léger sourire puis me tripotait ma cage. Il glissait bien ses doigts partout, au niveau de l'anneau, puis un doigts dans une des fente, il n'arrivait pas à le faire rentrer mais continuait à jouer avec ma cage, à la remuer et même à la secouer.
– On dirait que ça t'amuse. Faisais-je remarquer .
– Excuse moi mais.
– Ne t'excuse pas, tu peux continuer si tu veux.
J'étais debout devant lui, entièrement nu. Lui était assis sur le fauteuil, le bras tendu dans ma direction, il avait mes couilles dans mains et me les tripotait avec détermination.
– Tu l'as déjà fait ? Demandais-je.
– Quoi ?
– Avec un mec …– Non mais c'est vrai que j'y ai pensé plus d'une fois.
– Non avec un mec ou non avec un mec qui porte une cage à bite ?
– Non, les deux.
Il me tripotait les couilles avec force et je commençais à gémir de plaisir.
– Je te fais pas mal ? Demandait-il.
– Ça va, un tout petit peu mais tu peux continuer.
C'est ce qu'il faisait.
– Il ne faudra pas le répéter. Me demandait-il.
– Quoi tu veux pas que je diffuse les photos ou tu m'encules joyeusement ?
– T'es con, je ne répondrai même pas.
Comme il avait l'air de ne pas se décider je prenais l'initiative et lui retirais sa chemise et son T-shirt. Il ne faisait pas froid chez moi. Il retirait alors son pantalon. Je le prenais dans mes bras, il continuait à me tripoter les couilles et s'amusait à m'écraser les couilles avec sa main.
– Tu veux que je t'encule. Me questionnait-il.
Je faisais oui de la tête.
– J'ai peur de te faire mal. Rajoutait-il.
– C'est pour ça que tu m'écrases les couilles depuis un moment.
– Je te fais pas mal ?
– Un peu mais ça va.
– Je veux dire quand je vais t'enculer, j'ai rien contre l'idée tu sais, quand je vais t'enculer j'ai peur de te faire mal.
Je rigolais en lui répondant.
– Vas y fait moi mal...
J'avais loupé une occasion de me taire, c'est ce qu'il a fait. Il serrait les couille de plus en plus fort. Ça devenait douloureux et je sentais ma queue qui gonflait autant qu'elle le pouvait dans ma cage. Il me relâchait les couilles puis refermait de nouveau sa main dessus, à chaque fois il serrait plus fort.
– Ça va ?
– Si tu continues tu vas me faire jouir, ça va, mais là tu commence à me faire mal.
Je ne lui avais pas dit d'arrêter aussi il continuait.
– Je vais vraiment te faire jouir ?
Il serrait de plus en plus fort et là il me faisait vraiment mal. Avec ma main je retenais son poignet. Ça ne servait pas à grand chose, il ne me tirait pas sur les couilles il mes les écrasait, c'est tout. Je commençais à couiner de douleur. Il relâchait puis de nouveau il refermait sa main sur mes couilles. Et ce qui devait arriver est arriver. Il a franchi les limites et là je ne contrôlais plus rien.
J'ai déchargé, une belle giclée de sperme est passée entre les barreaux, par l'ouverture avant. Elle était suivie par une seconde puis une troisième. J'ai pris mon pied je ne vous dis pas, c'était génial. Ça faisait plusieurs semaines que je n'avais pas éjaculé, dix ou douze je ne sais plus, je me souviens seulement que ça faisait un moment.
Au moment de ma dernière éjaculation il me faisait vraiment mal et c'est seulement à ce moment que je lui ai demandé de me lâché. Il a traîné encore quelques instants puis m'a lâché.
– Et ça faisait combien de temps que tu n'avais pas joui comme ça ?
– Je ne sais pas deux ou trois mois …– Ah ouai ! Tu veux toujours que je t'encule .
– Je te laisse décider.
– Si tu m'avais dit non, je crois que je t'aurais violé.
Ça m'a fait un bien fou quand ça s'est arrêté, je veux dire quand il m'a lâché. Il me caressait le torse, il était hésitant et ne savait plus quoi dire ou quoi faire. Je me retournais alors me penchais en avant et lui donnait un tube de gel.
Je dirigeais l'opération, je me lubrifiais le cul pendant que lui se lubrifiait la bite. Elle était de belle taille, je venais de jouir et mon désir retombait. Mais on était parti et bien parti. J'aurais voulu tout arrêté mais je n'en faisais rien.
– Tu me dis si je te fait mal …– Oui vas y défonce moi le cul !
– Oui OK mais …– Vas y fait moi mal …
J'aurais mieux fait de me taire là encore. Il a pris position, la queue bien dans l'axe et à poussé avec force. Il n'a pas prévenu, ça résistait il forçait et il ne lui a fallut que quelques secondes pour que sa queue se loge bien à fond dans mon cul. J'ai hurlé, là il m'a vraiment fait mal.
– C'est toi qui a demandé ! Faisait-il remarquer sur le ton ' C'est pas moi qui l'ai fait !'.
– Tu es un enfoiré.
– C'est toi qui a voulu. Rajoutait-il avant de se retirer et de revenir aussitôt à fond, bien à fond.
Il m’arrachait de nouveau cris et semblait s'en amuser. J'aurais du lui expliquer qu'il faut y aller doucement, surtout avec la grosse matraque qu'il a le mec. Je gémissais, je n'arrivais même plus à articuler correctement il me limait, je vous jure que là il n'avait plus du tout peur de me faire mal.
Il se retirait avec vigueur et revenait bien à fond avec force, il alternait avec de plus en plus de vitesse. Il se retirait, faisait une pause, se mettait une bonne dose de gel et reprenait. Si au début il m'avait arraché des cris de douleurs, il ne m'arrachait plus maintenant que des râles de plaisir.
– Je ne te fais pas trop mal là ?
– Du tout, vas y, défonce moi le cul, c'est bon …
Ma réponse l'avait surpris mais il ne cherchait pas à comprendre et il en profitait. Il s'en donnait à cœur joie et moi je prenais mon pied. Il ne me faisait plus mal mais ça ne voulait pas dire que je ne ressentais rien. Le plaisir commençait à rayonner dans tout mon ventre. C'était le pied.
– Ma femme n'a jamais voulu me donner ce plaisir. Mais c'est que j'adore ça moi.
Il continuait à me limer le cul. Le plaisir m'avait totalement envahi, mon cul bien sûr mais pas que, c'était un plaisir total qui me prenait partout. Même mes bras, je perdais le contrôle des mes gestes, je tremblais et je tendais de m'accrocher à ce que je trouvais. Un coussin est totalement inutile dans cette situation, mais je le serrait fort contre moi, je n'avais rien d'autre sous la main.
Il me cramponnait par les hanches, me tirait vers lui en même temps qu'il me balançait des coups de bite, de grosse bite et je n'arrivais même plus à gueuler. Par moment je laissais échapper des râles, je ne m'en rendais plus compte.
J'avais l'impression d'éjaculer, je venais juste d'éjaculer et j'avais l'impression de recommencer mais c'était un orgasme qui durait dans le temps, qui durait et qui durait. En fait je ne sais pas si je jutais mais je jouissais sans interruption pendant de longue, de très longue minutes et quand le plaisir venait à baisser, c'était le moment ou il se calmais lui aussi, le moment ou il faisait une pause et à la seconde ou il recommençait à me limer le plaisir revenait avec encore plus de force.
Sa femme ne savait pas ce qu'elle avait loupé.
– Je te fais pas mal tu es sûr. Me demandait-il pendant un moment de pause.
– Pourquoi tu demande, tu t'en fou et de toutes façons ça ne te calmerait pas.
– Non mais si je te fais pas mal je peux faire ça alors.
Il me balançait alors des coups particulièrement violents, son ventre claquait en frappant mes fesses. Je me cramponnais encore plus fort mais que voulez vous que je fasse avec un coussin dans mes bras. C'est pas lui qui allait me maintenir en place.
J'étais balancé d'un côté sur l'autre. Je ne comprenait plus rien, j'en prenais plein le cul et j'aimais ça. C'est lui qui râlait de plaisir maintenant, les derniers coups de bassin qu'il me donnait était très violents et ses gémissements m'indiquaient qu'il jouissait.
Ensuite il me prenait dans ses bras, il se penchait sur moi et me serrait fort contre lui. C'était un énorme câlin qu'il me faisait, il me caressait le torse, sa main descendait jusqu'à mes couilles, il me tripotait mes couilles encore une fois. Mais il insistait moins que la première fois.
Il me poussait en avant et je m'écroulais sur le canapé. Il se laissait tomber sur moi. Il ne débandait pas encore et il était toujours en moi. Il ne se retirait que quelques minutes plus tard en me laissant une sensation de vide totalement jouissive. Et de nouveau je jouissais.
Ma queue se contractait comme pour éjaculer mais rien ne sortait, j'en tirais encore un plaisir intense. J'avais encore l'impression de le sentir dans mon cul. Ce n'était qu'une impression.
Je me suis retourné sur le dos, il s'est alors allongé sur moi et c'est à ce moment qu'il m'a embrassé. Je ne m'y attendais pas, déjà ce qu'il venait de m'arriver était au delà de mes espoirs et en plus il embrasse bien.
On est resté ainsi immobile, enlacé, à se câliner.
– Tu sais Charly, je ne savais pas que ça pouvait être aussi bon avec un mec.
– Tu voudras qu'on recommence ?
– Ah ça oui ! Mais tu garderas ton truc là sur ta bite. Ta bite elle ne m'intéresse pas alors on la garde sous clé.
– Ok mais tu es sûr de ne pas vouloir essayer ?
– C'est moi qui ferai l'homme.
– Si tu me donnes toujours autant de plaisir c'est comme tu veux, quand tu veux, si tu veux, moi je suis partant !
– Par contre, tu ne le racontes à personne.
Je lui répondait par un baiser furtif.
On s'est retrouvé sous la douche à se laver l'un l'autre.
C'était une rencontre inattendue, enfin la manière dont cette rencontre avait dégénéré était inattendue. On s'est bien sûr revu, souvent, il venait régulièrement me voir, il emportait un pack de bière et, on en buvait plusieurs. On ne faisait pas que ça mais on buvait aussi quelques bières.
Par discrétion je n'ai bien sûr pas donné son vrai nom, je lui ai inventé un prénom pour cette histoire imaginaire …
Fin
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