X-Acto - 10 - histoire érotique

Les semaines passent. Un soir, je propose de regarder les annonces publiées dans une revue spécialisée afin de trouver des personnes qui nous conviennent. On s’est mis d’accord pour rechercher un profil plutôt d’un certain âge et d’éviter les jeunes. Une annonce retient notre attention à l’un comme à l’autre : « H mûr, tbm, photographe, ch. f. exhib, salope appréciée. Couple hétéro bienvenu » suivait un numéro de téléphone pour un contact direct. Je demande à Clèm :
- Huumm « femme exhibitionniste, salope appréciée » ! Qu’en penses-tu ? on tente ?
- Pourquoi pas, on peut toujours téléphoner, on verra bien.
Je compose le numéro, après quelques sonneries, ça décroche.
- Allo, bonjour, je vous téléphone au sujet de l’annonce passée dans la revue « Xxx », vous en êtes bien l’auteur ?
Une voie chaude et assurée répond,
- Oui tout à fait.
- Je suis avec mon épouse, nous aimerions en savoir plus sur ce que vous proposez et vous rencontrer si cela nous convient.
Il confirme rechercher une femme prête à s’exhiber devant son objectif et comme on dit : voire plus si affinités… La discussion qui s’ensuit, nous permet de conforter notre première bonne impression et nous convenons, après avoir échangé nos prénoms, de nous retrouver dès cet après-midi en terrain neutre afin de confirmer si nous sommes intéressés pour aller plus loin. Le rendez-vous est fixé à 15h00 dans un bar connu du centre ville.
L’endroit est plutôt chic. À notre arrivée, nous trouvons Vincent qui nous attend au pied de l’escalier. Il nous conduit au premier étage, avant de fermer le passage par une chaîne interdisant la montée. Le lieu, complètement désert à cette heure, est organisé en box séparés, on s’installe dans un coin cosy où une bouteille de champagne trône dans un seau à glace posé sur la table basse devant les sièges. Vincent s’avère être un très bel homme, approchant la soixantaine certes mais avec un charme certain et un regard rieur. Il entame la conversation en nous servant une coupe. Nous faisons connaissance, évoquons divers sujets sans aborder dans un premier temps la raison de notre rencontre. Puis Vincent enchaîne :
- Je suis heureux que vous soyez venus, il y a tellement de personnes qui se désistent au dernier moment. Clémence permettez moi de vous complimenter, vous êtes une bien belle femme. Comme vous le savez je suis photographe – dit-il en montrant un appareil photo posé près de lui - et quelle que soit l’issue de notre rencontre j’aimerai vous proposer de me servir de modèle, je serai vraiment heureux si vous étiez tentée de faire quelques photos.
- Tentée, pourquoi pas, mais avant d’accepter, j’aimerai avoir quelques informations sur la nature des photos que vous souhaitez prendre, par exemple, sur l’usage que vous voulez en faire.
- Vos interrogations sont légitimes. Je vais y répondre mais vous me permettrez de vous poser aussi quelques questions ? Ajoute t-il avec un sourire malicieux et charmeur.
- Pas de problème.
- Donc je souhaiterai faire des photos très « sexy », disons en situation, seule, avec un homme, Axel par exemple, et même plusieurs hommes si vous et Axel êtes partants. Quant au devenir des photos cela sera selon votre décision, elles peuvent rester confidentielles ou être publiées dans des revues spécialisées. Je m’engage à respecter votre décision sur ce sujet.
Nous sommes un instant décontenancés.
- Tout ça est plutôt surprenant. Dis-je. Tu en penses quoi Chérie ? Tu continues ou on arrête là ?
Je vois mon épouse se mordre la lèvre et son regard se voiler, signes d’excitation. Je la connais parfaitement et sais qu’en ce moment elle mouille. Vincent reprend :
- Clémence, je pense que si vous êtes ici aujourd’hui c’est aussi parce que vous avez un fort penchant exhibitionniste et que la perspective de faire des photos plus ou moins « dénudées » devant un tiers vous excite tous les deux.
J’interviens :
- Oui Vincent, c’est vrai. Clèm est devenue de plus en plus « chaude » au fil du temps et nous avons versé dans le libertinage progressivement. Nous avons eu quelques aventures et comme vous pouvez le constater notre couple est assez « ouvert ».
Il ajoute :
- Je vais être très direct, j’ai bien compris aussi que l’usage d’un langage vert ne vous effraie pas, bien au contraire puisque comme je l’ai indiqué dans l’annonce j’ai précisé que si je cherche une femme exhibitionniste, je souhaite surtout une vraie « salope ». Mon expérience de ces situations me fait penser que cela vous plait et vous excite, si cela vous avait déplu vous ne seriez pas ici, n’est-ce pas ?
Ça y est il a lâché le mot sésame pour elle : « Salope ». Cela déclenche une coulée de mouille chez Clémence (comme elle me le confiera plus tard) et une érection chez moi.
- Dès votre arrivée j’ai remarqué que vous ne deviez pas avoir grand-chose sous votre petite robe, votre poitrine bouge librement et depuis quelques minutes je me suis rendu compte que vos tétons pointent insolemment au travers du tissu. Voulez-vous me la montrer ?
- Euh, ici ?
- Oui ici. Je voudrai en faire quelques photos. Dit-il en saisissant son appareil
Clèm baisse les yeux. Après une brève hésitation et un regard vers moi, elle ouvre le haut de sa robe-portefeuille, en écarte les pans et exhibe sa poitrine. Vincent commente :
- Vraiment très beaux seins, j’étais sûr qu’ils étaient parfaits, j’aime beaucoup leur forme, un beau galbe. Manifestement lourds et fermes à la fois, de beaux tétons bien dressés, j’adore. Faite-les bouger.
Elle remue son buste pour faire osciller sa poitrine de façon très sensuelle.
- Hummm génial, continuez comme ça je prends encore quelques photos.
Lorsqu’il s’arrête, Clèm va pour refermer sa robe, Vincent intervient :
- Non, non, ma chère, laissez-nous cette vue si agréable et parlez-moi de vos « expériences ». Décrivez-moi ce qui vous excite et ce qui vous fait mouiller. Convainquez-moi que vous êtes bien la « salope » exhibitionniste que je recherche.
Clém reste les seins exposés à nos regards, ses tétons complètement durcis par l’excitation qui continue de grimper en elle. Vincent prend encore plusieurs clichés en se rapprochant et en zoomant sur la poitrine. Je reste en retrait et apprécie le spectacle que livre ma femme, je bande à en avoir mal.
- Si cela peut vous aider, je vais vous poser des questions.
- D’accord.
- Je n’avais pas prévu que notre rencontre se passe comme cela, mais vous me donnez envie d’aller plus loin. Quelle est votre pratique favorite Clémence ?
- Sucer.
- Et beaucoup d’hommes ont eu le plaisir de se faire tailler des pipes par une aussi jolie bouche ?
- Oui.
Tout en entretenant la conversation, il tourne autour de Clèm en continuant à prendre des photos.
- Axel, prenez-lui les seins à pleine main et présentez-les-moi.
Je m’exécute, je me place derrière Clèm et passe les bras autour d’elle pour empaumer les globes, les soulever et les mettre en valeur sous l’objectif de Vincent qui prend photo sur photo.
- Parfait, tirez-lui sur les bouts, pincez-les, faites-les dresser encore plus. Voilà, comme ça !
- Vous aimez ce qu’il vous fait Clémence ? Vous aimez que je prenne des photos de vos seins ?
- Huummm ouiiii
- Je suppose que votre mari aime vous regarder sucer une bonne bite.
- C’est aussi cela qui nous excite et qui nous rapproche.
- Vous pratiquez la sodomie ?
- Euh oui, depuis peu.
- Vous appréciez de vous faire enculer ?
- De plus en plus.
- Cela vous excite-t-il si je vous traite de salope ?
- Oui, énormément.
- Vos seins se sont encore gonflés depuis le début de notre conversation, êtes-vous sensible des seins ?
- C’est un de mes points faibles, dès qu’on les touche je ne m’appartiens plus.
- Voulez-vous que je m’occupe de votre belle poitrine de salope Clémence ?
- J’en meure d’envie.
Vincent s’approche, tend la main et prend un sein à pleine main, le soupèse, le caresse, passe son pouce sur le téton érigé, presse le mamelon. Il applique le même traitement au second. Clèm se retrouve en train de se faire peloter dans un lieu public exposée à de potentiels regards indiscrets, sa respiration s’accélère marquant son excitation.
Le sein toujours peloté par la main de Vincent, sa chatte coule littéralement maintenant.
- Superbe, vraiment bien ferme, chaude et douce. Si j’en juge par ce je tiens dans la main et que vous m’offrez si généreusement, je pense que vous êtes bien une bonne salope.
J’interviens à nouveau :
- Elle n’a pas beaucoup hésité à s’exhiber devant vous. Je suis sûr que ma chérie va s’éclater à poser pour vous et à répondre à vos demandes.
- J’espère que nous verrons cela. Ajoute Vincent en continuant de caresser la poitrine.
- Vous êtes magnifique ma chère, je vais vraiment faire des photos sublimes avec vous. Rassurez-moi, vous aimez prendre de la bite n’est ce pas ?
- Oui, oui j’aime. Dit-elle en fermant les yeux tout en effectuant des mouvements du bassin pour croiser les jambes et tenter de contrôler son excitation.
- Axel votre épouse tient toutes ses promesses. C’est vraiment une grosse salope que vous avez là. Confirmez-le moi Clémence, vous êtes bien une grosse salope ?
La voix basse, rauque de Vincent, son vouvoiement et les propos tenus la portent à un niveau de stimulation impressionnant, j’ai rarement vu Clèm dans cet état. Elle lâche dans un soupir :
- Oui, je suis une grosse salope.
- Très bien, une belle salope qui maintenant va nous monter sa chatte.
Toujours directif, il lui intime de s’assoir sur le rebord de la table et d’écarter les cuisses.
Clèm obtempère, s’assoie face à nous et écarte le bas de sa robe pour nous montrer sa moule entièrement dénudée et ouverte.
- Huumm, pas de sous-vêtement, décidément vous êtes parfaite ma chère. ça vous arrive souvent de sortir cul nu ?
- Assez souvent, je sais que mon mari adore.
Vincent approche, se place entre les cuisses de Clém et prend plusieurs clichés de la chatte offerte et déjà bien humide.
- Penchez-vous en arrière, appuyez-vous sur les coudes. Dégagez vos seins, voilà comme ça, laissez votre robe tomber de vos épaules.
Clém est maintenant semi-allongée sur la table dans une pose assez lascive. Elle repose sur ses coudes, la chatte et les seins exposés, les jambes pendantes et bien ouvertes.
- Votre épouse a vraiment une superbe paire de nichons. Dit-il en continuant à mitrailler avec son appareil photo.
- L’exhibition vous excite. Placez une main sur votre fente. Ecartez-bien vos lèvres que je puisse voir si vous mouillez.
Je me suis rapproché de la table et reprends la caresse d’un sein. Sa poitrine se soulève de plus en plus rapidement. Les tétons sont complètement durs. Vincent continue à donner ses directives en photographiant :
- Touchez-vous, branlez-vous un peu.
Elle passe ses doigts dans sa fente et cajole doucement son clito complètement dressé.
- Mettez-vous un doigt, oui comme ça. Rajoutez en un second.
Elle se plonge deux doigts bien profondément et les fait aller et venir pendant quelques instants. Il prend photo sur photo.
- Alors, Clémence, est-ce que vous vous sentez bien salope ici, à poil, à vous branler dans un bar en pleine journée ?
- Huummm ouiii !
- Continuez, branlez-vous. Vous voulez que j’appelle le patron pour qu’il vienne vous mater ?
- Nooonn, arrêteeez, je vais jouir ! Clame-t-elle en accélérant sa masturbation.
J’adore la regarder faire, quelle salope. Je crève d’amour pour elle.
- Retirez vos doigts et faite-moi goûter votre jus de salope.
Elle lui tend ses doigts trempés de cyprine, il les lèche avec gourmandise.
- Huumm excellent, j’adore ! Remettez-les bien au chaud.
Il ouvre son pantalon et laisse apparaître une bite impressionnante complètement dressée. Clèm pose le regard dessus et écarquille les yeux devant la taille de l’engin.
- Wouah quel morceau, chéri il est monté comme un âne.
- Axel, votre épouse me fait trop bander. Si vous n’y voyez pas d’inconvénient, j’apprécierai qu’elle me suce.
Clèm descend de la table et se penche sur la queue directement pour passer sa langue tout autour du gland en branlant légèrement le manche qu’elle tient dans ses mains. Puis tout en prenant les couilles d’une main, elle commence à faire pénétrer cette grosse bite dans sa bouche. Elle salive dessus et tente d’en prendre le plus possible en se déformant la mâchoire, c’est vraiment énorme elle se rend compte qu’elle ne pourra pas faire durer trop longtemps cette pipe monstrueuse.
Je n’en peux plus de regarder ma femme quasiment à poil en plein après-midi en train de se goinfrer de l’énorme queue de Vincent. Je sors moi aussi mon sexe tendu. Vincent rythme les va-et-vient de Clèm en lui appuyant sur la tête et par des mouvements du bassin. Il profite pour faire quelques photos de sa bite allant et venant entre les lèvres de la cochonne
- Qu’est ce qu’elle suce bien cette salope. Approchez Axel relayez-moi dans la bouche de votre épouse, venez vous faire pomper. Moi je ne tiens plus, avec votre accord il faut que je la baise.
Vincent sort son mandrin couvert de salive et me laisse la place, Clèm se penche sur moi avec un regard incroyable de chienne en chaleur. Vincent la regarde quelques instants me sucer goulument. Il se positionne derrière elle, prend les pans de la robe pour dégager son cul et livrer la chatte trempée aux frottements de sa queue, il passe et repasse son gros gland sur la moule liquéfiée en donnant de petits coups pour commencer à la pénétrer. Clèm oscille entre l’envie de se faire mettre et l’appréhension de se faire éclater par une si grosse bite. Enfin, Vincent pousse son mandrin et commence à ramoner la chatte à sa disposition en prenant la belle par les hanches pour bien la baiser. Les yeux de Clèm se révulsent lors de l’entrée de l’engin, elle relâche la pression de ses lèvres sur ma queue pour pousser un soupir de satisfaction.
- Huummm, chéri c’est énorme, même quand vous m’avez prise en double avec Loïc je ne me suis pas sentie aussi remplie.
- Vas-y mon amour fais toi limer à fond, profite bien de cette bite exceptionnelle.
- Votre chatte est vraiment délicieuse. Je vais vous baiser comme vous le méritez. Vraiment Axel votre jolie épouse est parfaite, une superbe petite pute. N’est-ce pas Clémence que vous êtes une pute ?
Il bourre la chatte de plus en plus fortement, donne de grands coups de bite qui accentuent le balancement des beaux nichons totalement libres et gonflés par le désir, ce qui ne manque pas de contribuer fortement au plaisir de Clèm.
- Huumm oui je suis une pute, vous me rendez pute…Huummm
Il s’arrête, sort sa bite pour disposer Clèm dans la position précédente, allongée sur le dos, sur la table. Il se replace entre ses cuisses, la pénètre à nouveau sans grande difficulté et recommence à la limer :
- Redressez-vous un peu Clémence, regardez comment ma bite vous prend la chatte.
- Huummm oui c’est booonn.
Vincent saisit son appareil photo et prend pas mal de clichés de sa queue explosant la moule de Clém. Tout en continuant à la baiser il rajoute :
- Prenez vos seins, caressez-les pendant que je vous baise.
Elle s’exécute, tout en donnant des coups de langue sur mon sexe.
- Ça vous excite salope de vous faire ramoner la chatte devant votre mari ?
- Huuummm, oui j’adore et lui aussi.
- Vous ne voulez toujours pas que je demande au patron de venir vous mater ?
Au bord de l’orgasme sous les coups de pine, elle lâche :
- Ouiiii, ouiiii, ce que vous voulez mais baisez-moi.
- Et bien soyez satisfaite, cela fait bien 10 minutes qu’il se pignole en vous regardant vous faire défoncer. Jetez un œil à droite, il est en haut de l’escalier, la bite à la main.
Clèm et moi nous retournons pour constater qu’en effet un type se branle comme un malade en la regardant prendre de la queue. Se voyant découvert, il jute avant de disparaitre dans l’escalier.
- Huuumm, salauds vous êtes des salauds.
A ces mots je gicle sur le visage de ma femme, une coulée atteint ses seins. Ce spectacle amène Vincent à pilonner la cochonne qui éclate de jouissance à son tour. Dès lors, il ne retient pas son plaisir, retire sa bite de la moule et l’arrose copieusement d’une belle quantité de sperme.
La pression retombe un peu, Vincent et moi nous rajustons, Clèm s’essuie comme elle le peut avec la serviette posée sur le seau à champagne, elle referme partiellement son vêtement, cachant sa chatte mais laisse un décolleté très ouvert donnant une vue complète sur ses seins.
Vincent s’absente quelques instants. Complices, on en profite pour se rouler une méga pelle et se déclarer le pied qu’on a mutuellement pris pendant ce moment hors du temps. Je redis une énième fois à ma femme en l’embrassant combien j’adore la voir dans cet état de salope.
Vincent nous rejoint, avec une nouvelle bouteille de champagne.
- Ecoutez, comme je vous l’ai dit tout à l’heure, je n’avais pas forcement prévu que cette rencontre se déroule de cette façon, mais la sensualité et le tempérament de Clèm m’ont vraiment séduit. Je n’ai pu résister tant vous m’avez fait bander.
- Je comprends, dis-je, elle me fait cet effet en permanence.
- Vous m’avez aussi bien chauffée tous les deux. Ajoute Clèm. Vincent, je n’avais jamais vu une bite comme la vôtre.
- Pourtant elle en a sucé des queues…
- Ma chère vous êtes une somptueuse salope et c’est un réel compliment. Compte tenu de vos bonnes dispositions et si vous le souhaitez tous les deux, je peux vous proposer quelques situations insolites où elle pourra donner libre cours à son côté salope et même servir de vide-couilles. Cela vous tente Clémence ? je suis sûr que la perspective d’être traitée de vide-couilles et d’être couverte de foutre ne vous laisse pas indifférente, n’est-ce pas ?
- Euh, il faut voir. Répond-elle.
Vincent nous demande donc si nous souhaitons qu’il organise une sortie prochainement où elle pourra explorer de nouveaux horizons. Après une telle partie de baise, encore sous le coup du plaisir ressenti, nous donnons notre assentiment pour revoir Vincent. Celui-ci promet de nous contacter rapidement.