X-Acto - 11
Récit érotique écrit par TheWall79 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2024 dans la catégorie Plus on est
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X-Acto - 11
Les jours suivants cette séance impromptue de baise dans le bar, Clèm me dit le plaisir intense qu’elle a ressenti à s’exhiber et se faire prendre par Vincent.
- Mon chéri, ça m’a rendue folle d’excitation d’obéir à ses demandes et de m’exhiber devant son objectif. Lorsqu’il m’a touché les seins en me traitant de salope devant toi, je me suis mise à couler comme une fontaine.
- Je me suis vite rendu compte de ton état et cela m’a bien excité aussi, et de te voir te faire prendre par un sexe de cette taille m’a fait bander comme jamais.
- Ah oui, qu’est-ce qu’il m’a mis. Tu as aimé me voir baisée comme une salope ?
- J’ai adoré et j’espère te voir encore dans des situations similaires dès que possible.
- Je t’avoue, qu’en plus, être matée par le patron du bar en train de me faire baiser m’a propulsé dans un orgasme délirant.
- Il a bien profité celui-là avant de disparaître. Il ne s’est pas montré lorsqu’on a quitté le bar.
- Il doit me prendre pour une sacrée salope.
- Ça te dérange ?
- Pas vraiment.
- Tu es prête à renouveler une rencontre avec Vincent ? Tu te souviens qu’il souhaite te proposer une soirée « vide-couilles » comme il l’a annoncé ?
- Huummm, ça me tente bien, je suis assez impatiente de le revoir. Je serai bien cochonne pour te plaire.
Une quinzaine passe. Vincent nous appelle et nous demande si nous sommes disponibles pour le lendemain soir. Il souhaite nous emmener au restaurant dans une petite ville voisine et poursuivre dans un endroit très particulier où nous pourront nous éclater, surtout Clèm, selon lui. Nous voulons en savoir un peu plus avant de donner notre accord.
- Je vous emmène dans un club libertin de ma connaissance, qui normalement est fermé ce jour-là, pour une séance photos et plus si Clémence y est disposée. Le patron est un ami et je l’ai convaincu de nous accueillir, assez facilement d’ailleurs, lorsque je lui ai montré une photo de Clémence. Je vous propose un jeu très « chaud » qui je pense devrait pleinement satisfaire la gourmandise de votre épouse, mais bien entendu selon ses réactions vous pourrez tout arrêter si vous le désirez.
- Bien, ces conditions nous semblent raisonnables. D’accord pour demain soir.
- Très bien, je passe vous prendre vers 19h00 devant le café de l’autre jour. Faites en sorte que Clémence ne soit pas trop habillée.
- Pas de souci Vincent à demain.
Nous avons passé un excellent moment au restaurant. Nous avons bien sûr évoqué nos conceptions du plaisir et des relations sexuelles. Clèm comme moi faisant bien la part entre le sexe et notre amour. Vincent très hédoniste abonde dans notre sens et trouve que nous sommes vraiment exceptionnels dans notre approche du plaisir et des sentiments. A l’issue de cet excellent repas, Vincent nous glisse une enveloppe. Celle-ci contient le tirage des photos prises lors de notre rencontre avec les négatifs, les clichés sont très chauds et particulièrement explicites. De se voir ainsi exposée, les seins à l’air et l’énorme bite de Vincent dans la bouche ou dans la chatte, Clèm rosit un peu, se mord la lèvre en me pressant la main. Je la sens très excitée. Nous rangeons l’enveloppe et remercions Vincent. Il nous assure n’avoir gardé par devers lui que quelques photos où le visage de Clémence n’apparait pas et qu’il n’en fera pas diffusion sans notre accord. Vincent suggère de passer au second volet de la soirée. Clèm voit mon œil briller, elle se doute que la soirée va prendre une autre tournure pour elle.
En sortant du restaurant, nous prenons une petite rue sur la gauche et nous dirigeons vers une bâtisse ancienne avec une porte de style médiéval. Avant d’entrer Vincent sort un bandeau de sa poche et demande à Clèm de le poser sur ses yeux. Elle se prête au jeu et se laisse aveugler, on lui prend chacun une main et frappons à la porte qui s’ouvre de suite laissant entendre une musique d’ambiance assez forte et rythmée. Nous entrons et sans qu’un mot ne soit échangé, nous passons devant un bar pour atteindre une pièce au fond du local. Celle-ci, plongée dans la pénombre, est équipée de spots dirigés vers un grand lit et sur une croix de Saint-André. Une large vitre peut être occultée si les personnes à l’intérieur ne souhaitent pas que des spectateurs extérieurs puissent voir ce qui se passe.
En fait, Vincent a laissé entendre à Louis, le propriétaire, que la femme est une bonne salope. Ce dernier a bien l’intention de vérifier par lui-même et s’est aussi assuré du concours de deux gros queutards qui pourront intervenir. La soirée va être très chaude.
On adosse Clèm à la croix de Saint-André en la pelotant sans vergogne.
- Où sommes-nous ? demande t-elle.
- Dans une pièce emménagée pour le plaisir ma chérie.
Nous commençons à la tripoter, les mains se glissent sous les vêtements caressent les fesses et la poitrine. Des lèvres se posent sur sa bouche et dans son cou. Elle commence à se laisser aller.
- Huummm c’est bon ! Continuez !
Vincent qui a prit son appareil photographique, commence à flasher.
- Laissez-vous aller Clémence, exhibez-vous ! Je vais faire de superbes photos.
Nous sentons Clèm s’abandonner progressivement et en profitons pour la soulager de son cache-cœur et de sa jupe. Sublime, elle apparait quasi à poil, juste avec un string. Nous lui prenons les mains et les attachons en haut de chaque montant avec des bracelets de cuir, ce mouvement d’étirement lui fait gonfler la poitrine et met ses seins lourds en valeur, les projetant en avant. Vincent poursuit ses prises de vues tout en attachant les jambes bien écartées sur les montants de la croix. Clèm se retrouve immobilisée avec juste son petit string transparent qui ne cache rien de sa chatte aux lèvres bien visibles justes surmontées d’un petit ticket de métro. Elle se trouve totalement livrée à notre bon vouloir. Nos mains passent sur tout son corps, remontent entre ses cuisses jusqu’à l’orée du sexe. Nous léchons chacun un sein.
- Tu aimes ça, mon amour ! tes bouts sont complètement raides. Ce soir on va te baiser comme une grosse salope.
- Ouiii, j’aime ce que vous me faites, continuez.
Privée de la vue, les sensations de Clèm sont décuplées. Les caresses, les sucions sur ses mamelons l’excitent énormément.
- Putain j’adore vraiment ses nichons, ils sont superbes dans cette position. Regardez Axel elle trempe son string cette salope.
Il se recule pour prendre un tas de photos sous tous les angles.
Le propriétaire et ses deux potes se régalent les yeux en matant par la vitre non occultée. Vincent me fait un clin d’œil et nous faisons signe aux trois mecs à l’extérieur de venir nous rejoindre mais en observant le silence le plus complet pendant que nous continuons à nous occuper de Clèm qui se tord dans ses liens et commence à gémir sous les attouchements.
Les trois entrent après s’être déshabillés, ils bandent tous et possèdent de belles queues. Avec Vincent nous faisons en sorte de nous écarter doucement et laissons les mecs s’approcher. Les mains de deux des types remplacent les nôtres sur le corps en ébullition de Clèm. Elle ne semble pas s’apercevoir du changement. Ils malaxent ses seins tirent sur les tétons, Ils se positionnent près de Clèm et frottent leurs pines sur corps de la belle.
Libre de ses mouvements, Vincent mitraille littéralement la scène.
- Huumm oui elles sont bonnes vos bites, détachez-moi que je puisse vous pomper.
- Non, c’est encore trop tôt, on te détachera plus tard, tu aimes ce que l’on te fait subir mon amour ? dis-je en regardant les deux types qui profitent de ma femme toujours en silence.
- Oh oui j’adore, tu le sais bien
- Oui je le sais, tu es superbe mon amour, je crois que ce soir on va te transformer en putain, la plus grosse salope de la région, qu’en penses-tu ?
- - Oui, oui, oui, faites de moi ce que vous voulez. Je suis une salope, une grosse salope bonne à baiser.
A ces mots, je fais signe au troisième d’entrer en jeu. Celui-ci avance la main vers la chatte trempée et glisse sa main dans le string, il parcoure la fente et au final enfonce un doigt au fond de la moule bien ouverte. Clèm se rend compte qu’ils ne sont pas que tous les trois.
- Axel, Vincent, qu’est-ce qui se passe, libérez-moi ?
- Tais-toi, salope. Répond le propriétaire. Tu viens de nous avouer que tu es une grosse putain alors tu vas nous sucer la bite et nous lécher les couilles avant qu’on te tire.
- Laisse-toi aller ma chérie, je te promets que tu ne risques rien.
Elle cherche vainement à échapper aux mains qui la fouillent. Vincent lui retire le bandeau pour lui rendre la vue. Après quelques instants d’acclimatation à la lumière tamisée, elle découvre les 3 hommes qui s’occupent d’elle, leurs sexes bandés dressés contre elle, elle voit surtout la grosse queue du troisième.
- Non, je ne veux pas, détachez-moi…
- Allons, tu mouilles comme une chienne en chaleur on voit bien que tu adores la bite. Dit le mec à la grosse pine, en agitant toujours un doigt dans le vagin, son pouce écrase le clito.
Un jet de mouille inonde sa chatte, la perversité de la situation lui fait perdre pied.
- Tu ne risques rien, on ne te fera pas de mal et si tu veux vraiment arrêter là, nous cessons immédiatement.
Rassurée par ces paroles, elle me lance un regard et nous voit Vincent et moi. Nous sommes nous aussi à poil la bite à la main et lui sourions afin de la rassurer définitivement.
- Continue ma chérie, fais toi baiser, fais bien ta salope, je suis sûr que tu vas adorer mon Amour.
- Clémence soyez salope, je vais immortaliser ces instants. Rajoute Vincent en agitant son appareil photo. C’est votre soirée « vide-couilles » qui commence.
Toujours écartelée dans ses liens, Clèm se relâche et rejette la tête en arrière en signe de consentement pour le plus grand plaisir des libertins, qui alternent pour enfoncer leurs doigts dans la chatte de la gourmande tout en lui tripotant les seins. Elle me racontera s’être complètement plongée dans son fantasme où elle s’imagine livrée aux délires de mecs qui abuseraient d’elle.
Le second commence à lui gifler les seins, pour bien les faire bouger.
- Superbe paire de loches salope, de vrais nibards de porno-star. Regardez, les gars même forme et grosseur que Brigitte L., un régal. J’adore, ils sont bien sensibles on dirait.
Il tire sur les tétons, les tord et pétrit les beaux nichons assez fortement, alternant avec de petites gifles, pour faire encore monter l’excitation si besoin en est. Clèm commence à s’épancher verbalement.
- Huuumm ouiiiii c’est ça, c’est booooooooon ! baisez-moi ! baisez-moi, je suis une grosse pute.
- Tu as raison, une grosse pute, on va te défoncer salope !
Les liens de Clèm sont détachés et nous l’allongeons sur le lit. Le troisième larron qui n’attend que ça, la fait glisser vers le bord de la couche, il crochète le string trempé et tire dessus pour le déchirer, la ficelle craque sans difficulté. Il prend sa queue à pleine main et après avoir frotté son gros nœud sur la moule dégoulinante de cyprine, il entame une pénétration de la chatte. Clèm en a le souffle coupé. Bien lubrifiée, sa moule s’ouvre lentement et absorbe progressivement la bite qui lui distend les parois. Le mec la tient par les hanches et se met à la piner en profondeur en la traitant de tous les noms.
- Salope, roulure, grosse pute, t’aimes çà te faire fourrer comme une chienne. Allez suce mes potes pétasse.
- On va te tous te niquer salope.
Clèm halète sous les coups de pine, pendant que Vincent poursuit son reportage licencieux. Elle prend les queues à sa portée dans chaque main et les porte à ses lèvres, elle suce les glands avec fougue, entoure la hampe des bites avec sa langue. Avale profondément, prend les boules dans sa bouche. Les types adorent et moi aussi.
- Vas-y la goulue, t’es vraiment une sacrée suceuse.
Les trois se mettent à tourner passant de la bouche à la chatte à tour de rôle.
- On peut t’enculer salope ?
- Humm oui mais doucement.
- Super, on va te faire tous les trous ma garce.
Celui qui la nique s’enfonce en elle et roule sur le coté en l’entrainant pour qu’elle se retrouve sur lui, la bite toujours au fond. Il assure sa position, il la colle contre lui et lui bouffe les nichons. Pendant que « grosse bite » se fait sucer, le troisième s’enduit de gel et lui enfonce son index dans le cul, il commence à ramoner le conduit, puis il se positionne et appuie son gland sur la rosette pour forcer le sphincter petit à petit. Elle grimace sous la douleur, mais bien vite celle-ci s’estompe et elle va d’elle-même au devant de la bite qui lui fore le cul. Le type arrive à lui mettre toute sa longueur et se met à aller et venir de plus belle.
- Putain, il est bon ton cul. Je vais bien te fourrer ma salope.
La voir se faire prendre par les trois trous en même temps, je n’en reviens pas de l’excitation qui me gagne, ma bite fait des soubresauts sans que je me touche.
- Qu’est-ce quelle est bonne, les mecs.
Je me joins aux gars pour la partouzer. On tourne et on change d’orifice, utilisant Clèm selon notre bon vouloir. Elle prend de la bite sans faiblir et au final, c’est « grosse bite » qui lui fait le cul. A ce moment, Clèm qui a déjà eu plusieurs orgasmes depuis le début de la soirée, part dans une jouissance monstrueuse, les yeux révulsés, elle hurle son plaisir, avant de s’effondrer. Tous se retirent et on se place tous les cinq autour d’elle et on se branle à fond. On se vide tous les couilles sur son visage et ses seins, en la traitant de tous les noms pour son plus grand plaisir. Elle est couverte de paquets de sperme qui s’accrochent à ses tétons. Deux mains lui étalent le foutre sur le corps, rendant les seins complètement luisants de crème. Vincent prend les derniers clichés de la soirée.
- Oui, c’est ça Clémence, regardez l’objectif, montrez-moi bien vos seins et votre chatte.
- Wouahh qu’est ce que vous m’avez mis. Dit-elle en se caressant la poitrine complètement engluée.
Après une telle partie, tout ce beau monde se rhabille, Louis propose une douche. Clèm partiellement remise, refuse et enfile sa jupe et passe son cache-cœur sans le refermer. Elle nous rejoint au bar pour prendre un verre avant de rentrer. Tous la complimentent pour sa plastique généreuse et son goût manifeste pour la queue. Vincent se tourne vers Louis le proprio :
- Merci Louis d’avoir ouvert l’accès à ton club juste pour nous, c’est vraiment très sympa.
- Pas de quoi, mon ami et ce fut un réel plaisir. J’en vois des salopes ici, mais toi, t’est vraiment une bonne, ton cul est un régal. Je suis certain que mes amis auront plaisir à y goûter si vous souhaitez revenir. Ajoute-t-il à notre intention.
Nous quittons le club vers 1h00 du matin et rejoignons le véhicule de Vincent.
- Alors Clémence, cette soirée « vide-couilles » vous a plu ?
- Pour ne rien vous cacher, je ne me suis jamais sentie aussi salope que ce soir. Merci Vincent et surtout merci à toi mon chéri.
- Puis-je vous demander une faveur ?
- Oui bien sûr
- Nous avons une bonne heure de route, j’aimerai beaucoup qu’Axel prenne le volant pour le retour et que vous montiez à l’arrière avec moi.
- Pas de problème, si Axel est d’accord.
Dès que je prends la route, Vincent sort son énorme bite et dit à Clèm en abandonnant le vouvoiement :
- Allez Salope fous-toi à poil, je veux profiter de tes beaux nichons et me faire branler entre eux.
Comprenant que la soirée n’est pas terminée, Clèm s’exécute, se contorsionne pour retirer sa jupe, enlève son haut et jette le tout sur le siège avant. Elle se tourne vers Vincent et prend la grosse bite à pleine main pour commencer à la caresser, se penche sur la queue pour l’attaquer de sa bouche. Elle lèche la hampe sur toute sa longueur, des couilles au gland, passe sa langue tout autour, enserre le bout de ses lèvres, aspire en poussant des gémissements.
- Vas-y suce-moi la bite, fais-moi voir la belle petite putain qui est en toi. Je vais te niquer avant de me vider sur toi.
Pris par ma conduite je ne peux regarder mais j’entends les bruits humides de succion et surtout les harangues de Vincent qui m’excitent au plus haut point. Je me débrouille pour libérer ma queue qui me fait mal tellement je bande.
A l’approche d’une grosse bourgade, Vincent me demande de ralentir. Il recule au maximum le siège passager avant et de le passer en position couchette. Il vient s’allonger sur le siège, la bite dressée. Il dirige Clèm :
- Viens t’assoir sur moi, place-toi à genoux sur le siège, écarte les jambes et appuis-toi sur le tableau de bord que je puisse te baiser la chatte.
Elle l’enjambe, se met à quatre pattes sur le siège, tournée vers l’avant et pose les mains sur le tableau de bord. Dans cette position, ses beaux nichons pendent et sont animés par les mouvements du véhicule. Nous arrivons dans une zone très bien éclairée. Vincent frotte son gros pieu sur la fente trempée de ma petite garce, il insiste bien pour écarter les petites lèvres déjà rougies et gluantes de cyprine. Elle s’enfonce elle-même le gros dard dans la moule et bien qu’elle l’ait déjà pris, ne peut s’empêcher de pousser un cri. Vincent entame des va-et-vient puissants, il la bourre en lui imposant de monter et descendre sur son poteau.
- Salope, je ne peux pas t’enculer avec ma grosse queue mais je vais quand même m’occuper de ton trou du cul. Suce mon pouce, lubrifie-le bien.
Clèm prend le doigt dans la bouche et l’enduit de salive en me fixant avec son regard de chienne. Comme d’habitude se faire mettre devant moi l’excite particulièrement.
Tout en continuant à aller et venir dans la chatte, Vincent lui caresse la rondelle et fait entrer inexorablement son pouce dans le cul, ce qui ne manque pas de faire redresser la tête de la belle et d’accentuer les balancements de sa poitrine. Quelle vision elle m’offre.
- Ouiiii vas-y, c’est bonnnn, c’est booonnn !
Vincent malgré son âge est particulièrement résistant et fait profiter la cochonne de toute la longueur et l’épaisseur de sa queue. Je n’en peux plus d’assister à la baise hors norme de ma femme sans pouvoir participer, de plus l’habitacle sent vraiment la bite et la chatte en chaleur. Alors que nous sommes encore en pleine ville, je ralentis et m’arrête sur le bord de la route, je prends ma queue en main et commence à me branler en me concentrant sur l’accouplement.
Soudain deux visages d’hommes se collent à la vitre passager et regardent la scène éberlués. Imperturbable Vincent continue de limer.
- Regarde salope ! tu as des admirateurs. Baisse un peu la vitre Axel qu’ils puissent bien en profiter.
Clèm toujours dans la même position, tourne la tête vers les types alors que la vitre se baisse et livre l’intégralité de son corps au regard des deux types.
- Pierre ! tu as vu ce qu’elle prend !
- Ouais, qu’est-ce qu’elle est belle.
- Alors elle vous plait ?
- Ah oui, c’est pas souvent qu’on a l’occasion de mater un canon pareil. C’est une pute ?
- Une vraie putain bonne à défoncer comme vous le voyez. Poursuit Vincent en continuant à limer. Avec mon copain on veut bien vous laisser lui peloter les seins. Vous avez vu comme ils bougent bien quand on la baise.
Ces paroles déclenchent chez Clèm une nouvelle coulée de mouille qui trempe les couilles du baiseur.
- Salauds, vous êtes des salauds. Huummm c’est boonnnn
- Qu’est-ce que tu mouilles salope.
Les mains des deux types se relaient sur les seins, les mecs sortent leurs pines et se branlent, tout heureux de pouvoir tripoter une si belle paire de nichons.
Vincent sort sa queue de la chatte éclatée et se déplace vers la banquette arrière, dans ce mouvement il attire Clèm à la place qu’il occupait. Celle-ci se retrouve allongée sur le dos, la poitrine et la chatte livrées aux pelotages des deux mecs qui ne se privent pas de lui mettre des doigts en la traitant de salope, de trou à bites, de grosse pute. Complètement partie, Clèm débordée par la situation, laisse exploser sa jouissance sous les doigts de ces inconnus.
- Ahhhhh, je jouiiis, ouiiiii je jouiiis !
Je n’ai pas cessé de me branler et largue des jets de sperme à n’en plus finir, je suis sonné par l’intensité du moment. Vincent quant à lui demande aux deux gars de se reculer un peu le temps qu’il s’installe sur la femelle et comme il l’avait annoncé dès le départ il cale son gros chibre entre les seins de Clèm, les enduisant du jus recueillit dans la moule pendant la baise.
- Allez grosse salope branle-moi avec tes nibards fais moi juter dessus.
Clèm resserre ses nichons autour de l’énorme pine, Vincent bouge entre les deux masses luisantes du jus de chatte. Lui aussi arrive au bout et se met à gicler, après quelques allers-retours, une quantité impressionnante de foutre. Clèm en a partout sur le visage et de gros paquets coulent sur ses seins. Les deux spectateurs ont juté pendant ce temps là.
J’en profite pour remonter la vitre et redémarrer. Nous récupérons petit à petit.
Un peu plus loin, Vincent reprend le volant de son véhicule, il nous dépose au parking où nous avions laissé notre propre voiture. Nous regagnons notre domicile et passons nous rafraichir avant de nous coucher en nous enlaçant encore ivres de sexe et de jouissance. On s’endort, en revivant par la pensée toutes les perversions auxquelles nous nous sommes adonnés cette nuit.
- Mon chéri, ça m’a rendue folle d’excitation d’obéir à ses demandes et de m’exhiber devant son objectif. Lorsqu’il m’a touché les seins en me traitant de salope devant toi, je me suis mise à couler comme une fontaine.
- Je me suis vite rendu compte de ton état et cela m’a bien excité aussi, et de te voir te faire prendre par un sexe de cette taille m’a fait bander comme jamais.
- Ah oui, qu’est-ce qu’il m’a mis. Tu as aimé me voir baisée comme une salope ?
- J’ai adoré et j’espère te voir encore dans des situations similaires dès que possible.
- Je t’avoue, qu’en plus, être matée par le patron du bar en train de me faire baiser m’a propulsé dans un orgasme délirant.
- Il a bien profité celui-là avant de disparaître. Il ne s’est pas montré lorsqu’on a quitté le bar.
- Il doit me prendre pour une sacrée salope.
- Ça te dérange ?
- Pas vraiment.
- Tu es prête à renouveler une rencontre avec Vincent ? Tu te souviens qu’il souhaite te proposer une soirée « vide-couilles » comme il l’a annoncé ?
- Huummm, ça me tente bien, je suis assez impatiente de le revoir. Je serai bien cochonne pour te plaire.
Une quinzaine passe. Vincent nous appelle et nous demande si nous sommes disponibles pour le lendemain soir. Il souhaite nous emmener au restaurant dans une petite ville voisine et poursuivre dans un endroit très particulier où nous pourront nous éclater, surtout Clèm, selon lui. Nous voulons en savoir un peu plus avant de donner notre accord.
- Je vous emmène dans un club libertin de ma connaissance, qui normalement est fermé ce jour-là, pour une séance photos et plus si Clémence y est disposée. Le patron est un ami et je l’ai convaincu de nous accueillir, assez facilement d’ailleurs, lorsque je lui ai montré une photo de Clémence. Je vous propose un jeu très « chaud » qui je pense devrait pleinement satisfaire la gourmandise de votre épouse, mais bien entendu selon ses réactions vous pourrez tout arrêter si vous le désirez.
- Bien, ces conditions nous semblent raisonnables. D’accord pour demain soir.
- Très bien, je passe vous prendre vers 19h00 devant le café de l’autre jour. Faites en sorte que Clémence ne soit pas trop habillée.
- Pas de souci Vincent à demain.
Nous avons passé un excellent moment au restaurant. Nous avons bien sûr évoqué nos conceptions du plaisir et des relations sexuelles. Clèm comme moi faisant bien la part entre le sexe et notre amour. Vincent très hédoniste abonde dans notre sens et trouve que nous sommes vraiment exceptionnels dans notre approche du plaisir et des sentiments. A l’issue de cet excellent repas, Vincent nous glisse une enveloppe. Celle-ci contient le tirage des photos prises lors de notre rencontre avec les négatifs, les clichés sont très chauds et particulièrement explicites. De se voir ainsi exposée, les seins à l’air et l’énorme bite de Vincent dans la bouche ou dans la chatte, Clèm rosit un peu, se mord la lèvre en me pressant la main. Je la sens très excitée. Nous rangeons l’enveloppe et remercions Vincent. Il nous assure n’avoir gardé par devers lui que quelques photos où le visage de Clémence n’apparait pas et qu’il n’en fera pas diffusion sans notre accord. Vincent suggère de passer au second volet de la soirée. Clèm voit mon œil briller, elle se doute que la soirée va prendre une autre tournure pour elle.
En sortant du restaurant, nous prenons une petite rue sur la gauche et nous dirigeons vers une bâtisse ancienne avec une porte de style médiéval. Avant d’entrer Vincent sort un bandeau de sa poche et demande à Clèm de le poser sur ses yeux. Elle se prête au jeu et se laisse aveugler, on lui prend chacun une main et frappons à la porte qui s’ouvre de suite laissant entendre une musique d’ambiance assez forte et rythmée. Nous entrons et sans qu’un mot ne soit échangé, nous passons devant un bar pour atteindre une pièce au fond du local. Celle-ci, plongée dans la pénombre, est équipée de spots dirigés vers un grand lit et sur une croix de Saint-André. Une large vitre peut être occultée si les personnes à l’intérieur ne souhaitent pas que des spectateurs extérieurs puissent voir ce qui se passe.
En fait, Vincent a laissé entendre à Louis, le propriétaire, que la femme est une bonne salope. Ce dernier a bien l’intention de vérifier par lui-même et s’est aussi assuré du concours de deux gros queutards qui pourront intervenir. La soirée va être très chaude.
On adosse Clèm à la croix de Saint-André en la pelotant sans vergogne.
- Où sommes-nous ? demande t-elle.
- Dans une pièce emménagée pour le plaisir ma chérie.
Nous commençons à la tripoter, les mains se glissent sous les vêtements caressent les fesses et la poitrine. Des lèvres se posent sur sa bouche et dans son cou. Elle commence à se laisser aller.
- Huummm c’est bon ! Continuez !
Vincent qui a prit son appareil photographique, commence à flasher.
- Laissez-vous aller Clémence, exhibez-vous ! Je vais faire de superbes photos.
Nous sentons Clèm s’abandonner progressivement et en profitons pour la soulager de son cache-cœur et de sa jupe. Sublime, elle apparait quasi à poil, juste avec un string. Nous lui prenons les mains et les attachons en haut de chaque montant avec des bracelets de cuir, ce mouvement d’étirement lui fait gonfler la poitrine et met ses seins lourds en valeur, les projetant en avant. Vincent poursuit ses prises de vues tout en attachant les jambes bien écartées sur les montants de la croix. Clèm se retrouve immobilisée avec juste son petit string transparent qui ne cache rien de sa chatte aux lèvres bien visibles justes surmontées d’un petit ticket de métro. Elle se trouve totalement livrée à notre bon vouloir. Nos mains passent sur tout son corps, remontent entre ses cuisses jusqu’à l’orée du sexe. Nous léchons chacun un sein.
- Tu aimes ça, mon amour ! tes bouts sont complètement raides. Ce soir on va te baiser comme une grosse salope.
- Ouiii, j’aime ce que vous me faites, continuez.
Privée de la vue, les sensations de Clèm sont décuplées. Les caresses, les sucions sur ses mamelons l’excitent énormément.
- Putain j’adore vraiment ses nichons, ils sont superbes dans cette position. Regardez Axel elle trempe son string cette salope.
Il se recule pour prendre un tas de photos sous tous les angles.
Le propriétaire et ses deux potes se régalent les yeux en matant par la vitre non occultée. Vincent me fait un clin d’œil et nous faisons signe aux trois mecs à l’extérieur de venir nous rejoindre mais en observant le silence le plus complet pendant que nous continuons à nous occuper de Clèm qui se tord dans ses liens et commence à gémir sous les attouchements.
Les trois entrent après s’être déshabillés, ils bandent tous et possèdent de belles queues. Avec Vincent nous faisons en sorte de nous écarter doucement et laissons les mecs s’approcher. Les mains de deux des types remplacent les nôtres sur le corps en ébullition de Clèm. Elle ne semble pas s’apercevoir du changement. Ils malaxent ses seins tirent sur les tétons, Ils se positionnent près de Clèm et frottent leurs pines sur corps de la belle.
Libre de ses mouvements, Vincent mitraille littéralement la scène.
- Huumm oui elles sont bonnes vos bites, détachez-moi que je puisse vous pomper.
- Non, c’est encore trop tôt, on te détachera plus tard, tu aimes ce que l’on te fait subir mon amour ? dis-je en regardant les deux types qui profitent de ma femme toujours en silence.
- Oh oui j’adore, tu le sais bien
- Oui je le sais, tu es superbe mon amour, je crois que ce soir on va te transformer en putain, la plus grosse salope de la région, qu’en penses-tu ?
- - Oui, oui, oui, faites de moi ce que vous voulez. Je suis une salope, une grosse salope bonne à baiser.
A ces mots, je fais signe au troisième d’entrer en jeu. Celui-ci avance la main vers la chatte trempée et glisse sa main dans le string, il parcoure la fente et au final enfonce un doigt au fond de la moule bien ouverte. Clèm se rend compte qu’ils ne sont pas que tous les trois.
- Axel, Vincent, qu’est-ce qui se passe, libérez-moi ?
- Tais-toi, salope. Répond le propriétaire. Tu viens de nous avouer que tu es une grosse putain alors tu vas nous sucer la bite et nous lécher les couilles avant qu’on te tire.
- Laisse-toi aller ma chérie, je te promets que tu ne risques rien.
Elle cherche vainement à échapper aux mains qui la fouillent. Vincent lui retire le bandeau pour lui rendre la vue. Après quelques instants d’acclimatation à la lumière tamisée, elle découvre les 3 hommes qui s’occupent d’elle, leurs sexes bandés dressés contre elle, elle voit surtout la grosse queue du troisième.
- Non, je ne veux pas, détachez-moi…
- Allons, tu mouilles comme une chienne en chaleur on voit bien que tu adores la bite. Dit le mec à la grosse pine, en agitant toujours un doigt dans le vagin, son pouce écrase le clito.
Un jet de mouille inonde sa chatte, la perversité de la situation lui fait perdre pied.
- Tu ne risques rien, on ne te fera pas de mal et si tu veux vraiment arrêter là, nous cessons immédiatement.
Rassurée par ces paroles, elle me lance un regard et nous voit Vincent et moi. Nous sommes nous aussi à poil la bite à la main et lui sourions afin de la rassurer définitivement.
- Continue ma chérie, fais toi baiser, fais bien ta salope, je suis sûr que tu vas adorer mon Amour.
- Clémence soyez salope, je vais immortaliser ces instants. Rajoute Vincent en agitant son appareil photo. C’est votre soirée « vide-couilles » qui commence.
Toujours écartelée dans ses liens, Clèm se relâche et rejette la tête en arrière en signe de consentement pour le plus grand plaisir des libertins, qui alternent pour enfoncer leurs doigts dans la chatte de la gourmande tout en lui tripotant les seins. Elle me racontera s’être complètement plongée dans son fantasme où elle s’imagine livrée aux délires de mecs qui abuseraient d’elle.
Le second commence à lui gifler les seins, pour bien les faire bouger.
- Superbe paire de loches salope, de vrais nibards de porno-star. Regardez, les gars même forme et grosseur que Brigitte L., un régal. J’adore, ils sont bien sensibles on dirait.
Il tire sur les tétons, les tord et pétrit les beaux nichons assez fortement, alternant avec de petites gifles, pour faire encore monter l’excitation si besoin en est. Clèm commence à s’épancher verbalement.
- Huuumm ouiiiii c’est ça, c’est booooooooon ! baisez-moi ! baisez-moi, je suis une grosse pute.
- Tu as raison, une grosse pute, on va te défoncer salope !
Les liens de Clèm sont détachés et nous l’allongeons sur le lit. Le troisième larron qui n’attend que ça, la fait glisser vers le bord de la couche, il crochète le string trempé et tire dessus pour le déchirer, la ficelle craque sans difficulté. Il prend sa queue à pleine main et après avoir frotté son gros nœud sur la moule dégoulinante de cyprine, il entame une pénétration de la chatte. Clèm en a le souffle coupé. Bien lubrifiée, sa moule s’ouvre lentement et absorbe progressivement la bite qui lui distend les parois. Le mec la tient par les hanches et se met à la piner en profondeur en la traitant de tous les noms.
- Salope, roulure, grosse pute, t’aimes çà te faire fourrer comme une chienne. Allez suce mes potes pétasse.
- On va te tous te niquer salope.
Clèm halète sous les coups de pine, pendant que Vincent poursuit son reportage licencieux. Elle prend les queues à sa portée dans chaque main et les porte à ses lèvres, elle suce les glands avec fougue, entoure la hampe des bites avec sa langue. Avale profondément, prend les boules dans sa bouche. Les types adorent et moi aussi.
- Vas-y la goulue, t’es vraiment une sacrée suceuse.
Les trois se mettent à tourner passant de la bouche à la chatte à tour de rôle.
- On peut t’enculer salope ?
- Humm oui mais doucement.
- Super, on va te faire tous les trous ma garce.
Celui qui la nique s’enfonce en elle et roule sur le coté en l’entrainant pour qu’elle se retrouve sur lui, la bite toujours au fond. Il assure sa position, il la colle contre lui et lui bouffe les nichons. Pendant que « grosse bite » se fait sucer, le troisième s’enduit de gel et lui enfonce son index dans le cul, il commence à ramoner le conduit, puis il se positionne et appuie son gland sur la rosette pour forcer le sphincter petit à petit. Elle grimace sous la douleur, mais bien vite celle-ci s’estompe et elle va d’elle-même au devant de la bite qui lui fore le cul. Le type arrive à lui mettre toute sa longueur et se met à aller et venir de plus belle.
- Putain, il est bon ton cul. Je vais bien te fourrer ma salope.
La voir se faire prendre par les trois trous en même temps, je n’en reviens pas de l’excitation qui me gagne, ma bite fait des soubresauts sans que je me touche.
- Qu’est-ce quelle est bonne, les mecs.
Je me joins aux gars pour la partouzer. On tourne et on change d’orifice, utilisant Clèm selon notre bon vouloir. Elle prend de la bite sans faiblir et au final, c’est « grosse bite » qui lui fait le cul. A ce moment, Clèm qui a déjà eu plusieurs orgasmes depuis le début de la soirée, part dans une jouissance monstrueuse, les yeux révulsés, elle hurle son plaisir, avant de s’effondrer. Tous se retirent et on se place tous les cinq autour d’elle et on se branle à fond. On se vide tous les couilles sur son visage et ses seins, en la traitant de tous les noms pour son plus grand plaisir. Elle est couverte de paquets de sperme qui s’accrochent à ses tétons. Deux mains lui étalent le foutre sur le corps, rendant les seins complètement luisants de crème. Vincent prend les derniers clichés de la soirée.
- Oui, c’est ça Clémence, regardez l’objectif, montrez-moi bien vos seins et votre chatte.
- Wouahh qu’est ce que vous m’avez mis. Dit-elle en se caressant la poitrine complètement engluée.
Après une telle partie, tout ce beau monde se rhabille, Louis propose une douche. Clèm partiellement remise, refuse et enfile sa jupe et passe son cache-cœur sans le refermer. Elle nous rejoint au bar pour prendre un verre avant de rentrer. Tous la complimentent pour sa plastique généreuse et son goût manifeste pour la queue. Vincent se tourne vers Louis le proprio :
- Merci Louis d’avoir ouvert l’accès à ton club juste pour nous, c’est vraiment très sympa.
- Pas de quoi, mon ami et ce fut un réel plaisir. J’en vois des salopes ici, mais toi, t’est vraiment une bonne, ton cul est un régal. Je suis certain que mes amis auront plaisir à y goûter si vous souhaitez revenir. Ajoute-t-il à notre intention.
Nous quittons le club vers 1h00 du matin et rejoignons le véhicule de Vincent.
- Alors Clémence, cette soirée « vide-couilles » vous a plu ?
- Pour ne rien vous cacher, je ne me suis jamais sentie aussi salope que ce soir. Merci Vincent et surtout merci à toi mon chéri.
- Puis-je vous demander une faveur ?
- Oui bien sûr
- Nous avons une bonne heure de route, j’aimerai beaucoup qu’Axel prenne le volant pour le retour et que vous montiez à l’arrière avec moi.
- Pas de problème, si Axel est d’accord.
Dès que je prends la route, Vincent sort son énorme bite et dit à Clèm en abandonnant le vouvoiement :
- Allez Salope fous-toi à poil, je veux profiter de tes beaux nichons et me faire branler entre eux.
Comprenant que la soirée n’est pas terminée, Clèm s’exécute, se contorsionne pour retirer sa jupe, enlève son haut et jette le tout sur le siège avant. Elle se tourne vers Vincent et prend la grosse bite à pleine main pour commencer à la caresser, se penche sur la queue pour l’attaquer de sa bouche. Elle lèche la hampe sur toute sa longueur, des couilles au gland, passe sa langue tout autour, enserre le bout de ses lèvres, aspire en poussant des gémissements.
- Vas-y suce-moi la bite, fais-moi voir la belle petite putain qui est en toi. Je vais te niquer avant de me vider sur toi.
Pris par ma conduite je ne peux regarder mais j’entends les bruits humides de succion et surtout les harangues de Vincent qui m’excitent au plus haut point. Je me débrouille pour libérer ma queue qui me fait mal tellement je bande.
A l’approche d’une grosse bourgade, Vincent me demande de ralentir. Il recule au maximum le siège passager avant et de le passer en position couchette. Il vient s’allonger sur le siège, la bite dressée. Il dirige Clèm :
- Viens t’assoir sur moi, place-toi à genoux sur le siège, écarte les jambes et appuis-toi sur le tableau de bord que je puisse te baiser la chatte.
Elle l’enjambe, se met à quatre pattes sur le siège, tournée vers l’avant et pose les mains sur le tableau de bord. Dans cette position, ses beaux nichons pendent et sont animés par les mouvements du véhicule. Nous arrivons dans une zone très bien éclairée. Vincent frotte son gros pieu sur la fente trempée de ma petite garce, il insiste bien pour écarter les petites lèvres déjà rougies et gluantes de cyprine. Elle s’enfonce elle-même le gros dard dans la moule et bien qu’elle l’ait déjà pris, ne peut s’empêcher de pousser un cri. Vincent entame des va-et-vient puissants, il la bourre en lui imposant de monter et descendre sur son poteau.
- Salope, je ne peux pas t’enculer avec ma grosse queue mais je vais quand même m’occuper de ton trou du cul. Suce mon pouce, lubrifie-le bien.
Clèm prend le doigt dans la bouche et l’enduit de salive en me fixant avec son regard de chienne. Comme d’habitude se faire mettre devant moi l’excite particulièrement.
Tout en continuant à aller et venir dans la chatte, Vincent lui caresse la rondelle et fait entrer inexorablement son pouce dans le cul, ce qui ne manque pas de faire redresser la tête de la belle et d’accentuer les balancements de sa poitrine. Quelle vision elle m’offre.
- Ouiiii vas-y, c’est bonnnn, c’est booonnn !
Vincent malgré son âge est particulièrement résistant et fait profiter la cochonne de toute la longueur et l’épaisseur de sa queue. Je n’en peux plus d’assister à la baise hors norme de ma femme sans pouvoir participer, de plus l’habitacle sent vraiment la bite et la chatte en chaleur. Alors que nous sommes encore en pleine ville, je ralentis et m’arrête sur le bord de la route, je prends ma queue en main et commence à me branler en me concentrant sur l’accouplement.
Soudain deux visages d’hommes se collent à la vitre passager et regardent la scène éberlués. Imperturbable Vincent continue de limer.
- Regarde salope ! tu as des admirateurs. Baisse un peu la vitre Axel qu’ils puissent bien en profiter.
Clèm toujours dans la même position, tourne la tête vers les types alors que la vitre se baisse et livre l’intégralité de son corps au regard des deux types.
- Pierre ! tu as vu ce qu’elle prend !
- Ouais, qu’est-ce qu’elle est belle.
- Alors elle vous plait ?
- Ah oui, c’est pas souvent qu’on a l’occasion de mater un canon pareil. C’est une pute ?
- Une vraie putain bonne à défoncer comme vous le voyez. Poursuit Vincent en continuant à limer. Avec mon copain on veut bien vous laisser lui peloter les seins. Vous avez vu comme ils bougent bien quand on la baise.
Ces paroles déclenchent chez Clèm une nouvelle coulée de mouille qui trempe les couilles du baiseur.
- Salauds, vous êtes des salauds. Huummm c’est boonnnn
- Qu’est-ce que tu mouilles salope.
Les mains des deux types se relaient sur les seins, les mecs sortent leurs pines et se branlent, tout heureux de pouvoir tripoter une si belle paire de nichons.
Vincent sort sa queue de la chatte éclatée et se déplace vers la banquette arrière, dans ce mouvement il attire Clèm à la place qu’il occupait. Celle-ci se retrouve allongée sur le dos, la poitrine et la chatte livrées aux pelotages des deux mecs qui ne se privent pas de lui mettre des doigts en la traitant de salope, de trou à bites, de grosse pute. Complètement partie, Clèm débordée par la situation, laisse exploser sa jouissance sous les doigts de ces inconnus.
- Ahhhhh, je jouiiis, ouiiiii je jouiiis !
Je n’ai pas cessé de me branler et largue des jets de sperme à n’en plus finir, je suis sonné par l’intensité du moment. Vincent quant à lui demande aux deux gars de se reculer un peu le temps qu’il s’installe sur la femelle et comme il l’avait annoncé dès le départ il cale son gros chibre entre les seins de Clèm, les enduisant du jus recueillit dans la moule pendant la baise.
- Allez grosse salope branle-moi avec tes nibards fais moi juter dessus.
Clèm resserre ses nichons autour de l’énorme pine, Vincent bouge entre les deux masses luisantes du jus de chatte. Lui aussi arrive au bout et se met à gicler, après quelques allers-retours, une quantité impressionnante de foutre. Clèm en a partout sur le visage et de gros paquets coulent sur ses seins. Les deux spectateurs ont juté pendant ce temps là.
J’en profite pour remonter la vitre et redémarrer. Nous récupérons petit à petit.
Un peu plus loin, Vincent reprend le volant de son véhicule, il nous dépose au parking où nous avions laissé notre propre voiture. Nous regagnons notre domicile et passons nous rafraichir avant de nous coucher en nous enlaçant encore ivres de sexe et de jouissance. On s’endort, en revivant par la pensée toutes les perversions auxquelles nous nous sommes adonnés cette nuit.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Elle a pris beaucoup de risques.
Alors pourquoi l’insulter de pute. Les mecs sont toujours aussi pourri.
Alors pourquoi l’insulter de pute. Les mecs sont toujours aussi pourri.
Lectrice, je n'ai pas vu un échange d'argent dans le texte, elle fait la salope, pas la pute
Il n’y a que les bourgeoises pour être assez conne pour avoir le fantasme de faire la pute.
La pute nique pour l’argent la mafia ou 1 mac.
La femme libre nique pour le plaisir.
La pute nique pour l’argent la mafia ou 1 mac.
La femme libre nique pour le plaisir.