X-Acto - 14
Récit érotique écrit par TheWall79 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 15 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de TheWall79 ont reçu un total de 56 256 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 399 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
X-Acto - 14
En rentrant à la maison après une bonne journée de boulot, je retrouve Clèm qui parait préoccupée.
- Quelque chose ne va pas, mon amour ? Ta journée s’est mal passée ?
- Non c’est pas ça, enfin … il m’est arrivé un truc spécial.
- Ah ! tu me racontes.
- Et bien comme tu sais, Eugène mon boss nous a offert un pot à toute l’équipe et à quelques invités pour arroser sa promo et son départ. Il prend un poste de directeur d’agence à Strasbourg sous huit jours, sa femme et ses deux gosses sont déjà installés là-bas.
- Et c’est ça qui te tracasse ?
- Pas du tout !
Et Clèm me raconte que pendant le pot, elle s’est absentée pour passer un coup de fil à un client. Là, elle a entendu des bribes de conversation dans le bureau d’Eugène qui jouxte le sien. Un invité, Nicolas B., que je connais bien et qui à quitté la région depuis deux ans environ, semble montrer un livre à Eugène :
- Allons mon ami, ne me dis pas que tu ne la baises pas. C’est une bombe cette nana.
- Non, je te jure, moi c’est toujours « no zob in job ». Mais c’est vrai qu’elle est sexy.
- Sexy ? seulement ? regarde ces photos…
- Attend, qu’est-ce qui te fait dire qu’il s’agit d’elle. On ne voit pas son visage.
- Ecoute, moi aussi j’étais sceptique. Lorsque mon pote Vincent (l’auteur et photographe de l’ouvrage) m’a offert cet exemplaire, j’ai juste jeté un œil distrait sur les différentes gonzesses photographiées à poil. Et puis, j’ai été intrigué, par cette C. qui ne montrait pas son visage, contrairement aux autres. J’ai posé la question à Vincent qui n’a jamais voulu me dire de qui il s’agissait.
Là, Clèm s’est rendue compte que c’était d’elle que Nicolas parlait avec son patron. Elle est restée abasourdie d’avoir été identifiée. Puis elle s’est reprise et a continué à écouter.
- Tu sais que j’étais une très proche relation de son mari, on a beaucoup fait de sport ensemble et si nous nous voyons moins, j’ai eu l’occasion de croiser son épouse, ta collaboratrice si « sexy », à maintes occasions. Elle m’a toujours fait bander celle-là. Et là j’ai eu une sorte de flash en examinant les photos plus en détail. Sur la première, si tu regardes bien les mains qui tiennent les seins, on distingue bien une chevalière qui est semblable à celle d’Axel. Puis sur deux autres photos, celle où elle est allongée seins et chatte à l’air et l’autre, ici, où elle se prend trois bites, tu aperçois un petit tatouage sur la cheville de la fille. Même si c’est flou, je suis prêt à parier que le motif est similaire à celui de Clémence.
- Putain, oui, tu me colles le doute.
- Eh oui, ta jolie collaboratrice « sexy » est en fait une bonne salope qui prend des bites avec le consentement et la participation de son mari.
Clèm me dit :
- De me savoir découverte m’a pétrifiée, puis les premiers moments de sidération passés, une bouffée de chaleur m’a gagnée et je me suis mise à mouiller comme une folle. Pour un peu, je me serais branlée sur place. Eux ont continué à parler de moi…
- Moi c’est clair, je la baiserai bien. Tu as vu les autres photos ? Elle est vraiment bonne et ne doit pas être très farouche si j’en juge par la présentation qui en est faite : elle y est décrite comme « une exhibitionniste » qui se considère elle-même comme « une salope » et regarde celle-ci, à poil couverte de foutre, commentaire : « vide-couilles ». Putain quelle salope !
- C’est vrai que ça me file une bonne gaule de savoir que c’est Clémence sur ces photos. Même si je n’ai jamais rien tenté, comme je te l’ai dit je n’ai jamais mélangé boulot et cul, elle m’a souvent fait bander en venant bosser sans soutif.
- Bon, là, tu pars d’ici huit jours alors qu’est que tu risques si ce n’est un refus ? Moi je n’ai aucun moyen de la rencontrer en extérieur rapidement, mais toi, tu peux aisément la recevoir dans ton bureau la semaine prochaine, en ma présence sous un prétexte professionnel quelconque et on voit si on peut provoquer quelque chose. Ça serait bon de la baiser à deux, non ? Tu en penses quoi ?
- Ecoute, je vais y réfléchir, mais il est hors de question de lui imposer quoi que ce soit. Pour l’instant il est temps de retrouver les autres.
- C’est cela, allons voir si la salope est là !!!
Clèm s’est empressée de rejoindre ses collègues autour du pot. Les deux autres sont arrivés juste après.
- Ils se sont rapidement rapprochés de moi pour discuter et surtout me mater. Je n’avais jamais vu cette lueur lubrique dans le regard d’Eugène. Ça m’a excitée encore plus. Je me suis éloignée rapidement pour rejoindre le groupe.
- Eh bien mon amour, effectivement je comprends ton embarras. Mais apparemment la situation t’excite bien.
- Je me suis branlée en arrivant à la maison.
- Huumm, fais voir !
Clèm relève sa jupe et me montre sa chatte libre de tout sous-vêtement. Je lui glisse la main et constate qu’en effet elle est trempée, son clito complètement dressé. Je la branle. Elle fait des mouvements du bassin pour bien sentir mes doigts.
- Ils ont raison, tu es une grosse salope. Je suis sûr que tu te laisserais bien baiser par les deux lascars !
- Tu sais bien que oui et que ce qui m’excite le plus ce serait le faire en ta présence.
- Cela ne me déplairait pas de te regarder te faire niquer au bureau.
- Tu es vraiment un salaud.
- Normal avec une belle salope comme toi.
- C’est sûr, ils vont tenter le coup la semaine prochaine… Mais je ne vois pas comment faire pour que tu sois là.
- On peut arranger ça, il faut juste reprendre la main sur les évènements, si tu es d’accord ?
Bien sûr elle est d’accord. Je commence par la mettre nue, je la penche sur le canapé et lui enfonce ma bite dans la chatte. Je lime doucement et lui dis :
- Appelle Eugène pendant que je te baise. Convaincs-le de passer à la maison ce soir.
Elle attrape le téléphone et compose le numéro tout en prenant des coups de bites. Quelques sonneries et ça décroche.
- Allo ?
- Oui bonsoir Eugène, c’est Clèm. Avec Axel on se disait que ce serait sympa que tu viennes boire un verre à la maison ce soir, si tu n’as rien d’autre de prévu bien entendu et comme ta famille est déjà à Strasbourg plutôt que de rester seul …
- Avec plaisir, vous voulez pour quelle heure ?
Je continue de piner ma belle pendant cet échange.
- Vers 20h si ça te convient.
- Ok, j’emmène le champagne.
Il raccroche, manifestement enthousiaste à l’idée de venir.
- Eh bien, il ne se fait pas prier.
- Huumm tu vois, c’est pas difficile, tu vas pouvoir nous faire de belles exhibs et peut-être te prendre de la bite ce soir.
- Oh Ouiii continue comme ça, baise-moi bien ! Je vais être très salope ce soir.
J’accélère mes coups de queue et la secoue de plus en plus fort. Elle se met à jouir et m’inonde les couilles. Je m’épanche en elle et lui remplie la chatte. Quel pied et quelle soirée en perspective.
Clèm se prépare pour recevoir Eugène, elle se décide pour un ensemble de sous-vêtements noirs en dentelle très ajourée et complète sa tenue par la robe qu’elle portait sur les trois premières photos publiées par Vincent. Elle est sûre qu’Eugène ne manquera pas de le remarquer.
Eugène arrive à l’heure dite, nous l’accueillons et nous installons dans le salon pour l’apéro. La discussion va bon train, même s’il a du mal à quitter Clèm des yeux, il a manifestement reconnu la robe des photos et cherche à plonger dans le décolleté généreux qu’elle lui offre. On aperçoit bien la dentelle du soutif et elle fait en sorte de bien lui mettre sous le nez.
Elle se lève pour passer dans la cuisine et se trouve ainsi derrière moi et face à Eugène. Alors que nous discutons de sa future installation à Strasbourg, son regard se fige au-dessus de mes épaules. Je n’ai pas besoin de me retourner pour voir ce qu’il en est, je vois le reflet de mon épouse dans la vitre d’un meuble du salon.
La salope a ouvert son corsage et retiré son soutif, elle se saisit d’un sein pour bien l’exposer et se passe la langue sur les lèvres en fixant Eugène qui semble victime d’un coup de chaleur.
- Quelque chose ne va pas Eugène ?
- Non, non, rien ! tout va bien ! au contraire.
Lâche-t-il dans un souffle, persuadé que tout se passe sans que je m’en rende compte. A voir son embarras et ses mouvements pour tenter de cacher une subite érection, je sais que Clèm a atteint son but et que cela la fait mouiller.
- Si cela ne te dérange pas je vais finir de préparer les plateaux pour l’apèro et libérer Clèm de cette corvée.
- Euh oui, ok.
Je rejoins Clèm dans la cuisine, son soutif est posé négligemment sur une chaise et elle a accentué l’ouverture de sa robe. Elle me glisse :
- Laisse-moi 5 minutes avec lui stp, je vais finir de le chauffer, après il ne pourra refuser ta participation.
- Huumm tu es vraiment redoutable ma chérie.
Je me place dans l’axe du salon pour la voir œuvrer. Elle se rapproche d’Eugème qui semble un peu perdu par ce qui se passe. Elle se place face à lui et, un sourire aux lèvres, elle relève tranquillement sa robe. Devant les yeux exorbités de son patron, elle glisse une main dans sa culotte et se touche devant lui. Elle retire ses doigts trempés de mouille et les tend à Eugène en se penchant vers lui. Elle lui murmure :
- Goûte ! suce-les !
- Euhhh, qu’est-ce que …
- Chut ! Suce et dis-moi si j’ai bon goût !
Complètement rougissant, il prend les doigts dans sa bouche et les nettoie du jus qui les recouvre. Elle continue à lui parler :
- J’ai surpris ta conversation avec Nicolas cet après-midi. Ça m’a excitée que tu aies découvert les photos, et encore, tu n’as pas vu les plus torrides.
- Euhh et tu as tout entendu ? C’était surtout un fantasme …
- Tss, Tss, Tss, ne te défausse pas, vous avez prévu de me baiser la semaine prochaine et... je suis d’accord.
- Ah bon, mais…
- Pas de mais. Juste une condition…
Elle lui caresse la queue par-dessus son pantalon.
- Putain, tu bandes bien mon salaud
- Quelle condition ? Dit-il au bord d’éclater
- Qu’Axel puisse assister.
- Euh, tu crois que…
- Il n’attend que ça ! Et je vais te le prouver. Sors ta bite et touche-moi les seins.
Il ouvre son pantalon et sort son sexe bien dressé. Il glisse une main dans le décolleté et prend un sein à pleine main. Clèm lui caresse le manche et m’appelle.
- Axel, viens voir ce que je vais sucer.
Et elle se penche encore plus pour le prendre en bouche et entame une bonne pipe comme elle aime.
Je rentre dans le salon à mon tour et vois Eugène complètement abasourdi par l’évolution de la situation, mais bandant à fond entre les lèvres de ma cochonne.
- Alors Eugène, elle suce bien ma salope ? Je vais lui fourrer la chatte pendant qu’elle te pompe.
Je retire la robe et la culotte de Clèm qui se retrouve à poil entre nous deux et lui met ma queue dans sa moule trempée. Je lime doucement. Eugène s’occupe des nichons de la garce et commence à montrer des signes d’excitation extrême. Clèm sort la queue de sa bouche et sans cesser de le branler lui dit :
- Ce soir tu n’auras pas plus, juste le droit de te vider sur moi. Tu devras attendre la semaine prochaine pour me sauter avec Nicolas. Fais en sorte qu’Axel puisse assister à tout et tu verras quelle pute je peux être.
Totalement dépassé par les évènements et excité au plus haut point par le discours de la belle, Eugène laisse éclater sa jouissance et répand son foutre sur les seins de Clèm. Je me mets à la baiser plus fortement, jusqu’à provoquer notre jouissance à nous aussi.
On se remet doucement de ce moment intense. Eugène et moi nous nous rajustons, Clèm quant à elle préfère rester nue et nous offrir la vision de ses appâts.
- Eh bien, si je m’attendais ! Quelle soirée vous m’offrez tous les deux
- Eugène, tu as eu un aperçu des bonnes dispositions de Clèm. Elle n’a jamais baisé au bureau mais je sais que c’est un de ses fantasmes. Alors la semaine prochaine, il va falloir être performant et directif aussi si tu veux en bénéficier à nouveau.
- Pas de souci, viens lundi en fin d’après-midi, je ferai en sorte que tu sois aux premières loges.
On se quitte peu après. Clèm et moi entamons notre troisième partie de cul avant d’aller nous coucher.
- Quelque chose ne va pas, mon amour ? Ta journée s’est mal passée ?
- Non c’est pas ça, enfin … il m’est arrivé un truc spécial.
- Ah ! tu me racontes.
- Et bien comme tu sais, Eugène mon boss nous a offert un pot à toute l’équipe et à quelques invités pour arroser sa promo et son départ. Il prend un poste de directeur d’agence à Strasbourg sous huit jours, sa femme et ses deux gosses sont déjà installés là-bas.
- Et c’est ça qui te tracasse ?
- Pas du tout !
Et Clèm me raconte que pendant le pot, elle s’est absentée pour passer un coup de fil à un client. Là, elle a entendu des bribes de conversation dans le bureau d’Eugène qui jouxte le sien. Un invité, Nicolas B., que je connais bien et qui à quitté la région depuis deux ans environ, semble montrer un livre à Eugène :
- Allons mon ami, ne me dis pas que tu ne la baises pas. C’est une bombe cette nana.
- Non, je te jure, moi c’est toujours « no zob in job ». Mais c’est vrai qu’elle est sexy.
- Sexy ? seulement ? regarde ces photos…
- Attend, qu’est-ce qui te fait dire qu’il s’agit d’elle. On ne voit pas son visage.
- Ecoute, moi aussi j’étais sceptique. Lorsque mon pote Vincent (l’auteur et photographe de l’ouvrage) m’a offert cet exemplaire, j’ai juste jeté un œil distrait sur les différentes gonzesses photographiées à poil. Et puis, j’ai été intrigué, par cette C. qui ne montrait pas son visage, contrairement aux autres. J’ai posé la question à Vincent qui n’a jamais voulu me dire de qui il s’agissait.
Là, Clèm s’est rendue compte que c’était d’elle que Nicolas parlait avec son patron. Elle est restée abasourdie d’avoir été identifiée. Puis elle s’est reprise et a continué à écouter.
- Tu sais que j’étais une très proche relation de son mari, on a beaucoup fait de sport ensemble et si nous nous voyons moins, j’ai eu l’occasion de croiser son épouse, ta collaboratrice si « sexy », à maintes occasions. Elle m’a toujours fait bander celle-là. Et là j’ai eu une sorte de flash en examinant les photos plus en détail. Sur la première, si tu regardes bien les mains qui tiennent les seins, on distingue bien une chevalière qui est semblable à celle d’Axel. Puis sur deux autres photos, celle où elle est allongée seins et chatte à l’air et l’autre, ici, où elle se prend trois bites, tu aperçois un petit tatouage sur la cheville de la fille. Même si c’est flou, je suis prêt à parier que le motif est similaire à celui de Clémence.
- Putain, oui, tu me colles le doute.
- Eh oui, ta jolie collaboratrice « sexy » est en fait une bonne salope qui prend des bites avec le consentement et la participation de son mari.
Clèm me dit :
- De me savoir découverte m’a pétrifiée, puis les premiers moments de sidération passés, une bouffée de chaleur m’a gagnée et je me suis mise à mouiller comme une folle. Pour un peu, je me serais branlée sur place. Eux ont continué à parler de moi…
- Moi c’est clair, je la baiserai bien. Tu as vu les autres photos ? Elle est vraiment bonne et ne doit pas être très farouche si j’en juge par la présentation qui en est faite : elle y est décrite comme « une exhibitionniste » qui se considère elle-même comme « une salope » et regarde celle-ci, à poil couverte de foutre, commentaire : « vide-couilles ». Putain quelle salope !
- C’est vrai que ça me file une bonne gaule de savoir que c’est Clémence sur ces photos. Même si je n’ai jamais rien tenté, comme je te l’ai dit je n’ai jamais mélangé boulot et cul, elle m’a souvent fait bander en venant bosser sans soutif.
- Bon, là, tu pars d’ici huit jours alors qu’est que tu risques si ce n’est un refus ? Moi je n’ai aucun moyen de la rencontrer en extérieur rapidement, mais toi, tu peux aisément la recevoir dans ton bureau la semaine prochaine, en ma présence sous un prétexte professionnel quelconque et on voit si on peut provoquer quelque chose. Ça serait bon de la baiser à deux, non ? Tu en penses quoi ?
- Ecoute, je vais y réfléchir, mais il est hors de question de lui imposer quoi que ce soit. Pour l’instant il est temps de retrouver les autres.
- C’est cela, allons voir si la salope est là !!!
Clèm s’est empressée de rejoindre ses collègues autour du pot. Les deux autres sont arrivés juste après.
- Ils se sont rapidement rapprochés de moi pour discuter et surtout me mater. Je n’avais jamais vu cette lueur lubrique dans le regard d’Eugène. Ça m’a excitée encore plus. Je me suis éloignée rapidement pour rejoindre le groupe.
- Eh bien mon amour, effectivement je comprends ton embarras. Mais apparemment la situation t’excite bien.
- Je me suis branlée en arrivant à la maison.
- Huumm, fais voir !
Clèm relève sa jupe et me montre sa chatte libre de tout sous-vêtement. Je lui glisse la main et constate qu’en effet elle est trempée, son clito complètement dressé. Je la branle. Elle fait des mouvements du bassin pour bien sentir mes doigts.
- Ils ont raison, tu es une grosse salope. Je suis sûr que tu te laisserais bien baiser par les deux lascars !
- Tu sais bien que oui et que ce qui m’excite le plus ce serait le faire en ta présence.
- Cela ne me déplairait pas de te regarder te faire niquer au bureau.
- Tu es vraiment un salaud.
- Normal avec une belle salope comme toi.
- C’est sûr, ils vont tenter le coup la semaine prochaine… Mais je ne vois pas comment faire pour que tu sois là.
- On peut arranger ça, il faut juste reprendre la main sur les évènements, si tu es d’accord ?
Bien sûr elle est d’accord. Je commence par la mettre nue, je la penche sur le canapé et lui enfonce ma bite dans la chatte. Je lime doucement et lui dis :
- Appelle Eugène pendant que je te baise. Convaincs-le de passer à la maison ce soir.
Elle attrape le téléphone et compose le numéro tout en prenant des coups de bites. Quelques sonneries et ça décroche.
- Allo ?
- Oui bonsoir Eugène, c’est Clèm. Avec Axel on se disait que ce serait sympa que tu viennes boire un verre à la maison ce soir, si tu n’as rien d’autre de prévu bien entendu et comme ta famille est déjà à Strasbourg plutôt que de rester seul …
- Avec plaisir, vous voulez pour quelle heure ?
Je continue de piner ma belle pendant cet échange.
- Vers 20h si ça te convient.
- Ok, j’emmène le champagne.
Il raccroche, manifestement enthousiaste à l’idée de venir.
- Eh bien, il ne se fait pas prier.
- Huumm tu vois, c’est pas difficile, tu vas pouvoir nous faire de belles exhibs et peut-être te prendre de la bite ce soir.
- Oh Ouiii continue comme ça, baise-moi bien ! Je vais être très salope ce soir.
J’accélère mes coups de queue et la secoue de plus en plus fort. Elle se met à jouir et m’inonde les couilles. Je m’épanche en elle et lui remplie la chatte. Quel pied et quelle soirée en perspective.
Clèm se prépare pour recevoir Eugène, elle se décide pour un ensemble de sous-vêtements noirs en dentelle très ajourée et complète sa tenue par la robe qu’elle portait sur les trois premières photos publiées par Vincent. Elle est sûre qu’Eugène ne manquera pas de le remarquer.
Eugène arrive à l’heure dite, nous l’accueillons et nous installons dans le salon pour l’apéro. La discussion va bon train, même s’il a du mal à quitter Clèm des yeux, il a manifestement reconnu la robe des photos et cherche à plonger dans le décolleté généreux qu’elle lui offre. On aperçoit bien la dentelle du soutif et elle fait en sorte de bien lui mettre sous le nez.
Elle se lève pour passer dans la cuisine et se trouve ainsi derrière moi et face à Eugène. Alors que nous discutons de sa future installation à Strasbourg, son regard se fige au-dessus de mes épaules. Je n’ai pas besoin de me retourner pour voir ce qu’il en est, je vois le reflet de mon épouse dans la vitre d’un meuble du salon.
La salope a ouvert son corsage et retiré son soutif, elle se saisit d’un sein pour bien l’exposer et se passe la langue sur les lèvres en fixant Eugène qui semble victime d’un coup de chaleur.
- Quelque chose ne va pas Eugène ?
- Non, non, rien ! tout va bien ! au contraire.
Lâche-t-il dans un souffle, persuadé que tout se passe sans que je m’en rende compte. A voir son embarras et ses mouvements pour tenter de cacher une subite érection, je sais que Clèm a atteint son but et que cela la fait mouiller.
- Si cela ne te dérange pas je vais finir de préparer les plateaux pour l’apèro et libérer Clèm de cette corvée.
- Euh oui, ok.
Je rejoins Clèm dans la cuisine, son soutif est posé négligemment sur une chaise et elle a accentué l’ouverture de sa robe. Elle me glisse :
- Laisse-moi 5 minutes avec lui stp, je vais finir de le chauffer, après il ne pourra refuser ta participation.
- Huumm tu es vraiment redoutable ma chérie.
Je me place dans l’axe du salon pour la voir œuvrer. Elle se rapproche d’Eugème qui semble un peu perdu par ce qui se passe. Elle se place face à lui et, un sourire aux lèvres, elle relève tranquillement sa robe. Devant les yeux exorbités de son patron, elle glisse une main dans sa culotte et se touche devant lui. Elle retire ses doigts trempés de mouille et les tend à Eugène en se penchant vers lui. Elle lui murmure :
- Goûte ! suce-les !
- Euhhh, qu’est-ce que …
- Chut ! Suce et dis-moi si j’ai bon goût !
Complètement rougissant, il prend les doigts dans sa bouche et les nettoie du jus qui les recouvre. Elle continue à lui parler :
- J’ai surpris ta conversation avec Nicolas cet après-midi. Ça m’a excitée que tu aies découvert les photos, et encore, tu n’as pas vu les plus torrides.
- Euhh et tu as tout entendu ? C’était surtout un fantasme …
- Tss, Tss, Tss, ne te défausse pas, vous avez prévu de me baiser la semaine prochaine et... je suis d’accord.
- Ah bon, mais…
- Pas de mais. Juste une condition…
Elle lui caresse la queue par-dessus son pantalon.
- Putain, tu bandes bien mon salaud
- Quelle condition ? Dit-il au bord d’éclater
- Qu’Axel puisse assister.
- Euh, tu crois que…
- Il n’attend que ça ! Et je vais te le prouver. Sors ta bite et touche-moi les seins.
Il ouvre son pantalon et sort son sexe bien dressé. Il glisse une main dans le décolleté et prend un sein à pleine main. Clèm lui caresse le manche et m’appelle.
- Axel, viens voir ce que je vais sucer.
Et elle se penche encore plus pour le prendre en bouche et entame une bonne pipe comme elle aime.
Je rentre dans le salon à mon tour et vois Eugène complètement abasourdi par l’évolution de la situation, mais bandant à fond entre les lèvres de ma cochonne.
- Alors Eugène, elle suce bien ma salope ? Je vais lui fourrer la chatte pendant qu’elle te pompe.
Je retire la robe et la culotte de Clèm qui se retrouve à poil entre nous deux et lui met ma queue dans sa moule trempée. Je lime doucement. Eugène s’occupe des nichons de la garce et commence à montrer des signes d’excitation extrême. Clèm sort la queue de sa bouche et sans cesser de le branler lui dit :
- Ce soir tu n’auras pas plus, juste le droit de te vider sur moi. Tu devras attendre la semaine prochaine pour me sauter avec Nicolas. Fais en sorte qu’Axel puisse assister à tout et tu verras quelle pute je peux être.
Totalement dépassé par les évènements et excité au plus haut point par le discours de la belle, Eugène laisse éclater sa jouissance et répand son foutre sur les seins de Clèm. Je me mets à la baiser plus fortement, jusqu’à provoquer notre jouissance à nous aussi.
On se remet doucement de ce moment intense. Eugène et moi nous nous rajustons, Clèm quant à elle préfère rester nue et nous offrir la vision de ses appâts.
- Eh bien, si je m’attendais ! Quelle soirée vous m’offrez tous les deux
- Eugène, tu as eu un aperçu des bonnes dispositions de Clèm. Elle n’a jamais baisé au bureau mais je sais que c’est un de ses fantasmes. Alors la semaine prochaine, il va falloir être performant et directif aussi si tu veux en bénéficier à nouveau.
- Pas de souci, viens lundi en fin d’après-midi, je ferai en sorte que tu sois aux premières loges.
On se quitte peu après. Clèm et moi entamons notre troisième partie de cul avant d’aller nous coucher.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par TheWall79
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ouiiiiiiii on attend la suite avec impatience
Belle histoire bien racontée y'a t’il une suite dans le bureau d’Eugène ?