X-Acto - 15
Récit érotique écrit par TheWall79 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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X-Acto - 15
Le lundi matin, Clèm se prépare pour se rendre au travail. Elle enfile une parure de lingerie très transparente assez coquine, ses seins et sa chatte sont parfaitement visibles. Elle complète sa tenue avec un joli chemisier qui lui autorise un décolleté ravageur et un ensemble tailleur assez classe constitué d’une petite jupe et d’une veste bien ouverte. Elle est sexy sans être trop provocante, bien qu’elle ait la ferme intention de prendre le maximum de plaisir au cours de cette journée.
En fait rien ne s’est déroulé comme prévu. En ce qui me concerne, je n’ai pas pu me libérer pour rejoindre Clèm à son bureau comme cela était initialement envisagé. La journée s’annonçait particulièrement longue pour moi. J’ai téléphoné à Clèm pour l’en avertir, elle m’a annoncé que de son coté après un début de matinée prometteur (elle me racontera cela à la maison) Eugène a lui aussi été retenu par des réunions imprévues liées à sa mutation et le fameux Nicolas était reparti ce week-end, ne pouvant prolonger son séjour.
Le soir, je regagne mon domicile, impatient de retrouver Clèm. Lorsque je pénètre dans le salon, elle est quasi nue avec juste son chemisier entièrement ouvert, en train de se masturber dans le canapé, manifestement bien excitée par sa journée. Je me penche sur elle, l’embrasse, elle répond à mes baisers et se met à me toucher la bite en me disant :
- Huummm, mon chéri, touche-moi aussi, je mouille comme une dingue.
Je glisse une main sur sa chatte. Effectivement elle est trempée.
- Eh bien, mon amour, ça dû être chaud pour te mettre dans cet état !
- Ah oui, alors.
Je continue à lui cajoler la chatte en l’encourageant à me raconter.
- Alors, que s’est-il passé ?
- Je suis arrivée très tôt mais Eugène était déjà là. Il m’a accueilli en me demandant de le suivre dans son bureau. Il m’a fait asseoir et m’a dit : « Putain tu m’as chauffé l’autre soir. J’ai bandé et me suis branlé tout le week-end en repensant au numéro de salope que tu m’as servi. Je sais que tu ne veux pas baiser hors de la présence d’Axel, mais j’aimerai bien profiter de ma superbe salope de collaboratrice au cours des deux jours qui me restent à passer ici. Alors, fais-moi voir ta chatte salope, je ne te toucherai pas sauf si tu le demandes. »
- J’ai relevé ma jupe pour bien montrer mon string. Avec un grand sourire j’ai aussi ouvert mon chemisier lui donnant accès à la vision de mon soutif bien rempli. Eugène s’est appuyé contre son bureau et a sorti son sexe déjà raide pour l’astiquer sous mes yeux et, comme je l’avais fait à la maison, j’ai glissé ma main dans mon string et commencé à me caresser la chatte devant lui. Ce jeu m’excitait et la situation me faisait couler, j’ai bien écarté bien les cuisses, il ne pouvait ignorer les doigts que je me suis mis. Il a continué : « Humm si j’avais su que tu étais aussi chaude, j’aurais tenté de te baisser depuis longtemps. Refais-moi goûter ton jus salope ! »
- Je lui tends mes doigts, il suce en se branlant de plus en plus rapidement, il rajoute : « Tu es vraiment superbe et j’ai encore envie de sentir ta bouche sur ma queue, tu veux bien me sucer comme l’autre soir ? »
- Je pose ma main sur ses couilles et m’apprête à le sucer, mais des bruits dans le couloir viennent nous interrompre. Ce sont les collègues qui arrivent au travail. On s’est rajusté rapidement. Moi comme lui, frustrés de ne pas avoir jouis. Et depuis ce matin, je n’ai pas cessé de mouiller.
- J’adore quand tu me racontes tes frasques, tu veux que je te fasse jouir ?
- Huumm, ouiiii, baise-moi, je veux sentir une queue, ta queue, me défoncer.
Je me dessape, m’agenouille devant le canapé et attire Clèm au bord, elle s’impatiente et me prend la bite pour se l’enfoncer dans le con. Trempée comme elle est, pas besoin de préliminaire.
- Vas-y, nique-moi, baise-moi comme une chienne.
Je la bourre de plus en plus fort en la traitant de bonne pute. Ses seins bougent de façon hypnotique sous mes coups de pine. J’adore et je lui suce les bouts.
- Oui, tu as raison, je suis une pute et je suis sûre qu’Eugène va vouloir plus demain. Qu’est-ce que je dois faire ?
- La salope, tu dois faire la salope… Même si je ne peux être présent, fais-toi plaisir et soit la pire des salopes. Il part demain soir tu ne seras pas appelée à le revoir, alors profite au maximum pour t’envoyer en l’air et surtout raconte-moi tout en rentrant. Je vais bander toute la journée en imaginant ta débauche et je vais te défoncer pendant que tu me raconteras.
- Huumm, ça m’excite ça ! t’es vraiment un salaud.
- Comment faire autrement avec une cochonne comme toi !
Très échauffés, on a fini par jouir assez rapidement, je lui ai rempli la chatte en lui tripotant les seins comme elle aime.
Donc, le lendemain soir lorsqu’elle regagne le domicile, c’est moi qui l’attends à poil sur le canapé, la bite à la main, déjà raide. Dès qu’elle me voit, elle retire ses vêtements pour me rejoindre. Là je comprends pourquoi j’ai trouvé un slip et un soutif sur la petite table dans l’entrée : la salope était partie sans dessous. Nous nous roulons des pelles en nous tripotant. La garce est trempée, sa chatte, son cul et ses seins portent encore des traces d’avoir été fortement manipulés ou visités.
- Alors dis-moi, on dirait que tu as passé une bonne journée mon amour ?
- Très bonne mon chéri, je me suis éclatée.
- Huuumm, raconte-moi ça, je suis impatient de t’entendre.
- Ok, mets-moi ta queue et je te dis tout.
Particulièrement excité, je la retourne pour la placer en levrette, fais quelques allers-retours avec mon nœud sur sa moule avant de la pénétrer profondément. Je lime doucement en lui prenant les seins à pleines mains.
- Ce matin, je suis arrivée encore plus tôt qu’hier, Eugène, tu penses bien, était déjà là. Il est venu dans mon bureau et s’est tout de suite rendu compte que je n’avais pas de soutif. Il m’a dit : « Bonjour salope, putain mais t’as pas de soutif aujourd’hui. Allez, seins à l’air ma cochonne »
- J’ai retiré ma veste et mon chemisier, lui avait sorti sa queue et commencé à se pignoler. « Huuumm j’adore tes nichons, approche un peu que je te les lèche. Tu aimes ça te les faire sucer ? »
- Je lui réponds que oui et surtout devant mon mari.
Tout ça me faisait bander encore plus fort. Clèm le sentait.
- Retiens toi mon chéri, ne gicle pas je n’ai pas fini de te raconter.
J’ai ralenti le rythme pour ne pas exploser.
- Eugène a continué à s’occuper de mes seins et a passé une main entre mes cuisses, lorsqu’il s’est rendu compte que j’avais la chatte nue, il m’a dit : « putain, t’as aussi la chatte à l’air, ôte ta jupe que je m’occupe de ton clito ».
- J’ai retiré ma jupe et me suis retrouvée à poil dans le bureau, il s’est mis à me triturer mon bouton avec frénésie. Je lui fais remarquer que l’on avait peu de temps avant l’arrivée des collègues. « je ne vais pas avoir le temps de te baiser, mais écarte les cuisses que je te mette mes doigts, t’es vraiment trop bonne ». J’étais debout, à poil au milieu de mon bureau, avec mon patron qui m’enfilait trois doigts en se branlant et en me disant que je coulais comme une chienne. Il m’a même mis un doigt dans le cul en me traitant de salope. Là encore nous avons dû interrompre nos ébats afin de ne pas être surpris par nos collègues. Encore un gros moment de frustration.
Huumm, ma femme s’était comportée comme une vraie petite pute en chaleur.
- Eh bien ma cochonne, je regrette de ne pas avoir assisté à tout ça.
- Et puis tout au long de la journée, Eugène a fait des apparitions dans mon bureau pour me toucher les seins ou me mater la chatte. Tu penses bien qu’avec ce petit jeu, j’ai passé une journée à me branler au boulot.
Pendant toute sa narration, je l’ai prise et pelotée dans tout les sens, elle répond à mes coups de bite en venant au devant et en gémissant de plaisir. Je reprends progressivement à la pénétrer de plus en plus profondément, je sens que nous n’allons pas tarder à jouir ensemble. C’est à ce moment qu’elle se dégage en me disant :
- Huummm même si j’ai très envie de poursuivre, il faut patienter…
- Euh pourquoi ?
- Parce-que j’ai fantasmé toute la journée de me prendre deux bites, alors j’ai demandé à Eugène de passer ce soir. Je lui ai dis qu’il pourrait me baiser par tous les bouts devant toi et avec ta participation. Il était tellement excité qu’il en a éjaculer dans son pantalon.
- Mais quelle grosse salope !!!
- Il doit arriver vers 20h30 on a juste le temps de grignoter un morceau.
Nous n’avons même pas pris la peine de nous rhabiller, nous sommes restés nus toute la soirée. Effectivement vers 20h30, la sonnette d’entrée a retenti. Avec un grand sourire vers moi, c’est totalement nue que Clèm est allée ouvrir à son visiteur qui n’a pu cacher sa stupéfaction dès qu’il l’a découvert. D’emblée elle se colle à lui en lui roulant une pelle d’enfer, il laisse ses mains courir sur le corps de la belle, lui prenant un sein, lui touchant la chatte. Elle se laisse complaisamment aller. Tout en restant collée à lui elle se tourne vers moi et se frotte contre son invité, il lui prend les deux nichons à pleines mains. Elle me lance :
- Viens voir chéri, ma deuxième bite est arrivée. Hummm, continue Eugène, caresse-moi les seins devant mon mari, il adore ça et moi aussi !!!
- Putain tu me chauffes ma garce, j’ai encore la gaule !
Dit-il en se callant contre son cul. Il la pelote sous toutes les coutures et elle l’encourage à bien en profiter en lui agrippant le sexe à travers son pantalon.
- Ah ouiiii, je vois que tu es bien dur, viens ! tu vas me baiser devant mon salaud de mari. J’ai trop envie de deux queues ce soir.
Eugène s’est dévêtu rapidement, Clèm s’est placée entre nous deux pour prendre une queue dans chaque main et nous sucer à tour de rôle. Putain, elle fait des merveilles avec ses lèvres et ça me fait toujours autant d’effets de la voir pomper devant moi. A la façon dont elle engouffre nos membres, on se rend compte de tout le plaisir qu’elle prend à cette pratique. Comme d’habitude, je vois ses seins se gonfler, ses tétons se dresser et se rétracter par l’excitation, elle nous caresse les couilles en nous jetant des regards de chienne avide de sexe. J’ai du mal à contenir ma propre excitation et Eugène est aussi au bord de l’éjaculation.
- Vas-y Eugène et toi aussi mon amour, jouissez dans ma bouche, je vais tout avaler.
Eugène s’écrie en jouissant :
- Putain, mais quelle pute, quelle pute, j’ai jamais été sucé comme ça.
Je me vide également dans la bouche de ma salope, qui passe sa langue sur ses lèvres pour être sûre de recueillir tout le jus qui déborde.
On marque une pause pour prendre un verre et récupérer, la cochonne ne cesse de nous aguicher. Elle se caresse la poitrine et se branle gentiment en écartant les cuisses et en exposant sa moule trempée de cyprine. Elle nous dit :
- Je veux de la bite, je veux vous sentir dans tous mes trous. Allez, rebandez vite, venez me prendre.
- Euhh, tu veux dire que tu veux te faire enculer ?
- Oh oui Eugène, tu m’as bien mis un doigt dans le cul ce matin ! Alors ça ne te tente pas ?
- Ah que si, ça me dit. Putain te faire le cul je n’aurais jamais imaginé.
Sur ces mots, Clèm se positionne à quatre pattes sur le tapis devant le canapé, elle se caresse la chatte et les seins d’une main.
- Chéri approche que je te suce un peu et toi Eugène prépare moi si tu veux mon cul.
Eugène se place derrière elle, lui écarte les fesses et plonge sa langue dans le trou pour bien l’humidifier et le détendre. Ma bite dans sa bouche, elle me regarde avec ce regard enfiévré de chaudasse qui va s’en prendre une bonne dans le cul. Eugène continue à lui assouplir la rondelle avec l’aide de ses doigts et quand il pense qu’elle est prête, il prend son manche en main, le glisse dans la moule pour bien l’enduire de mouille avant de venir placer son nœud à l’entrée du sphincter. Il pousse légèrement puis plus fortement.
- Huuummm, mets la moi Eugène, encule-moi devant Axel.
Il ne se fait pas prier et entre la totalité de son gourdin dans le cul offert. Je me retire de sa bouche pour la regarder quelques instants se faire bourrer le cul. Elle se relève sur les mains pour bien exposer ses seins qui ballotent sous elle.
- Chéri, c’est vraiment trop bon ce qu’il me fait. Je ne vais pas tarder à jouir.
- Eugène, défonce lui bien le cul à ma salope, je lui ferai la chatte après.
Eugène accélère et lui bourre le fion pendant que je me régale à la voir prendre son pied. Elle éclate d’un seul coup en gueulant son plaisir.
- Ouiiii, ouiiii, encoooore, c’est bon, fourre-moi, vide-toi sur moiiiii.
Eugène sort du cul, retourne Clèm et se vide les couilles sur son visage et ses nichons. Il y a la dose elle en a partout. Alors qu’elle est encore sous le coup de sa jouissance, je lui écarte les cuisses et lui plante ma bite dans la chatte. Je suis tellement excité que je ne mets pas longtemps à exploser aussi et à lui enfoutrer la moule en la traitant de tous les noms. Elle reste un bon moment allongée par terre, chatte et cul bien ouverts devant nous.
Le calme revient progressivement après cette débauche de sexe et de perversité. Eugène comprend qu’il est temps pour lui de partir.
- Les amis, bien que je le regrette après une telle journée, je vais vous laisser. Vous m’avez ouvert des perspectives que je me refusais à explorer jusqu’alors.
- Que veux-tu dire ?
- Je vais vous confier quelque chose de très privé. Je pensais que ma femme était la plus grosse salope que je connaisse. Sans qu’elle le sache, je l’ai si souvent vu se faire mettre par Nicolas, dès qu’elle pensait que j’avais le dos tourné, elle l’appelait pour se faire baiser comme la dernière des putes. Je l’aime et n’ai jamais voulu lui dire que j’avais été le témoin à plusieurs reprises de ses turpitudes. Mais vous m’avez prouvé qu’il est possible de vivre et partager le sexe le plus hard en osmose avec sa partenaire. Vous m’avez donné envie de vivre de tels instants avec mon épouse. Je ne vous en remercierai jamais assez.
Un peu étonnés par cet aveu, nous avons raccompagné Eugène à notre porte, nus bien sûr. Il n’a pas manqué de peloter encore un peu les seins de Clémence ni de se rincer les yeux avant de nous quitter. Cette journée est restée dans nos souvenirs comme un moment très particulier qui, lui aussi, contribue encore à alimenter notre libido.
En fait rien ne s’est déroulé comme prévu. En ce qui me concerne, je n’ai pas pu me libérer pour rejoindre Clèm à son bureau comme cela était initialement envisagé. La journée s’annonçait particulièrement longue pour moi. J’ai téléphoné à Clèm pour l’en avertir, elle m’a annoncé que de son coté après un début de matinée prometteur (elle me racontera cela à la maison) Eugène a lui aussi été retenu par des réunions imprévues liées à sa mutation et le fameux Nicolas était reparti ce week-end, ne pouvant prolonger son séjour.
Le soir, je regagne mon domicile, impatient de retrouver Clèm. Lorsque je pénètre dans le salon, elle est quasi nue avec juste son chemisier entièrement ouvert, en train de se masturber dans le canapé, manifestement bien excitée par sa journée. Je me penche sur elle, l’embrasse, elle répond à mes baisers et se met à me toucher la bite en me disant :
- Huummm, mon chéri, touche-moi aussi, je mouille comme une dingue.
Je glisse une main sur sa chatte. Effectivement elle est trempée.
- Eh bien, mon amour, ça dû être chaud pour te mettre dans cet état !
- Ah oui, alors.
Je continue à lui cajoler la chatte en l’encourageant à me raconter.
- Alors, que s’est-il passé ?
- Je suis arrivée très tôt mais Eugène était déjà là. Il m’a accueilli en me demandant de le suivre dans son bureau. Il m’a fait asseoir et m’a dit : « Putain tu m’as chauffé l’autre soir. J’ai bandé et me suis branlé tout le week-end en repensant au numéro de salope que tu m’as servi. Je sais que tu ne veux pas baiser hors de la présence d’Axel, mais j’aimerai bien profiter de ma superbe salope de collaboratrice au cours des deux jours qui me restent à passer ici. Alors, fais-moi voir ta chatte salope, je ne te toucherai pas sauf si tu le demandes. »
- J’ai relevé ma jupe pour bien montrer mon string. Avec un grand sourire j’ai aussi ouvert mon chemisier lui donnant accès à la vision de mon soutif bien rempli. Eugène s’est appuyé contre son bureau et a sorti son sexe déjà raide pour l’astiquer sous mes yeux et, comme je l’avais fait à la maison, j’ai glissé ma main dans mon string et commencé à me caresser la chatte devant lui. Ce jeu m’excitait et la situation me faisait couler, j’ai bien écarté bien les cuisses, il ne pouvait ignorer les doigts que je me suis mis. Il a continué : « Humm si j’avais su que tu étais aussi chaude, j’aurais tenté de te baisser depuis longtemps. Refais-moi goûter ton jus salope ! »
- Je lui tends mes doigts, il suce en se branlant de plus en plus rapidement, il rajoute : « Tu es vraiment superbe et j’ai encore envie de sentir ta bouche sur ma queue, tu veux bien me sucer comme l’autre soir ? »
- Je pose ma main sur ses couilles et m’apprête à le sucer, mais des bruits dans le couloir viennent nous interrompre. Ce sont les collègues qui arrivent au travail. On s’est rajusté rapidement. Moi comme lui, frustrés de ne pas avoir jouis. Et depuis ce matin, je n’ai pas cessé de mouiller.
- J’adore quand tu me racontes tes frasques, tu veux que je te fasse jouir ?
- Huumm, ouiiii, baise-moi, je veux sentir une queue, ta queue, me défoncer.
Je me dessape, m’agenouille devant le canapé et attire Clèm au bord, elle s’impatiente et me prend la bite pour se l’enfoncer dans le con. Trempée comme elle est, pas besoin de préliminaire.
- Vas-y, nique-moi, baise-moi comme une chienne.
Je la bourre de plus en plus fort en la traitant de bonne pute. Ses seins bougent de façon hypnotique sous mes coups de pine. J’adore et je lui suce les bouts.
- Oui, tu as raison, je suis une pute et je suis sûre qu’Eugène va vouloir plus demain. Qu’est-ce que je dois faire ?
- La salope, tu dois faire la salope… Même si je ne peux être présent, fais-toi plaisir et soit la pire des salopes. Il part demain soir tu ne seras pas appelée à le revoir, alors profite au maximum pour t’envoyer en l’air et surtout raconte-moi tout en rentrant. Je vais bander toute la journée en imaginant ta débauche et je vais te défoncer pendant que tu me raconteras.
- Huumm, ça m’excite ça ! t’es vraiment un salaud.
- Comment faire autrement avec une cochonne comme toi !
Très échauffés, on a fini par jouir assez rapidement, je lui ai rempli la chatte en lui tripotant les seins comme elle aime.
Donc, le lendemain soir lorsqu’elle regagne le domicile, c’est moi qui l’attends à poil sur le canapé, la bite à la main, déjà raide. Dès qu’elle me voit, elle retire ses vêtements pour me rejoindre. Là je comprends pourquoi j’ai trouvé un slip et un soutif sur la petite table dans l’entrée : la salope était partie sans dessous. Nous nous roulons des pelles en nous tripotant. La garce est trempée, sa chatte, son cul et ses seins portent encore des traces d’avoir été fortement manipulés ou visités.
- Alors dis-moi, on dirait que tu as passé une bonne journée mon amour ?
- Très bonne mon chéri, je me suis éclatée.
- Huuumm, raconte-moi ça, je suis impatient de t’entendre.
- Ok, mets-moi ta queue et je te dis tout.
Particulièrement excité, je la retourne pour la placer en levrette, fais quelques allers-retours avec mon nœud sur sa moule avant de la pénétrer profondément. Je lime doucement en lui prenant les seins à pleines mains.
- Ce matin, je suis arrivée encore plus tôt qu’hier, Eugène, tu penses bien, était déjà là. Il est venu dans mon bureau et s’est tout de suite rendu compte que je n’avais pas de soutif. Il m’a dit : « Bonjour salope, putain mais t’as pas de soutif aujourd’hui. Allez, seins à l’air ma cochonne »
- J’ai retiré ma veste et mon chemisier, lui avait sorti sa queue et commencé à se pignoler. « Huuumm j’adore tes nichons, approche un peu que je te les lèche. Tu aimes ça te les faire sucer ? »
- Je lui réponds que oui et surtout devant mon mari.
Tout ça me faisait bander encore plus fort. Clèm le sentait.
- Retiens toi mon chéri, ne gicle pas je n’ai pas fini de te raconter.
J’ai ralenti le rythme pour ne pas exploser.
- Eugène a continué à s’occuper de mes seins et a passé une main entre mes cuisses, lorsqu’il s’est rendu compte que j’avais la chatte nue, il m’a dit : « putain, t’as aussi la chatte à l’air, ôte ta jupe que je m’occupe de ton clito ».
- J’ai retiré ma jupe et me suis retrouvée à poil dans le bureau, il s’est mis à me triturer mon bouton avec frénésie. Je lui fais remarquer que l’on avait peu de temps avant l’arrivée des collègues. « je ne vais pas avoir le temps de te baiser, mais écarte les cuisses que je te mette mes doigts, t’es vraiment trop bonne ». J’étais debout, à poil au milieu de mon bureau, avec mon patron qui m’enfilait trois doigts en se branlant et en me disant que je coulais comme une chienne. Il m’a même mis un doigt dans le cul en me traitant de salope. Là encore nous avons dû interrompre nos ébats afin de ne pas être surpris par nos collègues. Encore un gros moment de frustration.
Huumm, ma femme s’était comportée comme une vraie petite pute en chaleur.
- Eh bien ma cochonne, je regrette de ne pas avoir assisté à tout ça.
- Et puis tout au long de la journée, Eugène a fait des apparitions dans mon bureau pour me toucher les seins ou me mater la chatte. Tu penses bien qu’avec ce petit jeu, j’ai passé une journée à me branler au boulot.
Pendant toute sa narration, je l’ai prise et pelotée dans tout les sens, elle répond à mes coups de bite en venant au devant et en gémissant de plaisir. Je reprends progressivement à la pénétrer de plus en plus profondément, je sens que nous n’allons pas tarder à jouir ensemble. C’est à ce moment qu’elle se dégage en me disant :
- Huummm même si j’ai très envie de poursuivre, il faut patienter…
- Euh pourquoi ?
- Parce-que j’ai fantasmé toute la journée de me prendre deux bites, alors j’ai demandé à Eugène de passer ce soir. Je lui ai dis qu’il pourrait me baiser par tous les bouts devant toi et avec ta participation. Il était tellement excité qu’il en a éjaculer dans son pantalon.
- Mais quelle grosse salope !!!
- Il doit arriver vers 20h30 on a juste le temps de grignoter un morceau.
Nous n’avons même pas pris la peine de nous rhabiller, nous sommes restés nus toute la soirée. Effectivement vers 20h30, la sonnette d’entrée a retenti. Avec un grand sourire vers moi, c’est totalement nue que Clèm est allée ouvrir à son visiteur qui n’a pu cacher sa stupéfaction dès qu’il l’a découvert. D’emblée elle se colle à lui en lui roulant une pelle d’enfer, il laisse ses mains courir sur le corps de la belle, lui prenant un sein, lui touchant la chatte. Elle se laisse complaisamment aller. Tout en restant collée à lui elle se tourne vers moi et se frotte contre son invité, il lui prend les deux nichons à pleines mains. Elle me lance :
- Viens voir chéri, ma deuxième bite est arrivée. Hummm, continue Eugène, caresse-moi les seins devant mon mari, il adore ça et moi aussi !!!
- Putain tu me chauffes ma garce, j’ai encore la gaule !
Dit-il en se callant contre son cul. Il la pelote sous toutes les coutures et elle l’encourage à bien en profiter en lui agrippant le sexe à travers son pantalon.
- Ah ouiiii, je vois que tu es bien dur, viens ! tu vas me baiser devant mon salaud de mari. J’ai trop envie de deux queues ce soir.
Eugène s’est dévêtu rapidement, Clèm s’est placée entre nous deux pour prendre une queue dans chaque main et nous sucer à tour de rôle. Putain, elle fait des merveilles avec ses lèvres et ça me fait toujours autant d’effets de la voir pomper devant moi. A la façon dont elle engouffre nos membres, on se rend compte de tout le plaisir qu’elle prend à cette pratique. Comme d’habitude, je vois ses seins se gonfler, ses tétons se dresser et se rétracter par l’excitation, elle nous caresse les couilles en nous jetant des regards de chienne avide de sexe. J’ai du mal à contenir ma propre excitation et Eugène est aussi au bord de l’éjaculation.
- Vas-y Eugène et toi aussi mon amour, jouissez dans ma bouche, je vais tout avaler.
Eugène s’écrie en jouissant :
- Putain, mais quelle pute, quelle pute, j’ai jamais été sucé comme ça.
Je me vide également dans la bouche de ma salope, qui passe sa langue sur ses lèvres pour être sûre de recueillir tout le jus qui déborde.
On marque une pause pour prendre un verre et récupérer, la cochonne ne cesse de nous aguicher. Elle se caresse la poitrine et se branle gentiment en écartant les cuisses et en exposant sa moule trempée de cyprine. Elle nous dit :
- Je veux de la bite, je veux vous sentir dans tous mes trous. Allez, rebandez vite, venez me prendre.
- Euhh, tu veux dire que tu veux te faire enculer ?
- Oh oui Eugène, tu m’as bien mis un doigt dans le cul ce matin ! Alors ça ne te tente pas ?
- Ah que si, ça me dit. Putain te faire le cul je n’aurais jamais imaginé.
Sur ces mots, Clèm se positionne à quatre pattes sur le tapis devant le canapé, elle se caresse la chatte et les seins d’une main.
- Chéri approche que je te suce un peu et toi Eugène prépare moi si tu veux mon cul.
Eugène se place derrière elle, lui écarte les fesses et plonge sa langue dans le trou pour bien l’humidifier et le détendre. Ma bite dans sa bouche, elle me regarde avec ce regard enfiévré de chaudasse qui va s’en prendre une bonne dans le cul. Eugène continue à lui assouplir la rondelle avec l’aide de ses doigts et quand il pense qu’elle est prête, il prend son manche en main, le glisse dans la moule pour bien l’enduire de mouille avant de venir placer son nœud à l’entrée du sphincter. Il pousse légèrement puis plus fortement.
- Huuummm, mets la moi Eugène, encule-moi devant Axel.
Il ne se fait pas prier et entre la totalité de son gourdin dans le cul offert. Je me retire de sa bouche pour la regarder quelques instants se faire bourrer le cul. Elle se relève sur les mains pour bien exposer ses seins qui ballotent sous elle.
- Chéri, c’est vraiment trop bon ce qu’il me fait. Je ne vais pas tarder à jouir.
- Eugène, défonce lui bien le cul à ma salope, je lui ferai la chatte après.
Eugène accélère et lui bourre le fion pendant que je me régale à la voir prendre son pied. Elle éclate d’un seul coup en gueulant son plaisir.
- Ouiiii, ouiiii, encoooore, c’est bon, fourre-moi, vide-toi sur moiiiii.
Eugène sort du cul, retourne Clèm et se vide les couilles sur son visage et ses nichons. Il y a la dose elle en a partout. Alors qu’elle est encore sous le coup de sa jouissance, je lui écarte les cuisses et lui plante ma bite dans la chatte. Je suis tellement excité que je ne mets pas longtemps à exploser aussi et à lui enfoutrer la moule en la traitant de tous les noms. Elle reste un bon moment allongée par terre, chatte et cul bien ouverts devant nous.
Le calme revient progressivement après cette débauche de sexe et de perversité. Eugène comprend qu’il est temps pour lui de partir.
- Les amis, bien que je le regrette après une telle journée, je vais vous laisser. Vous m’avez ouvert des perspectives que je me refusais à explorer jusqu’alors.
- Que veux-tu dire ?
- Je vais vous confier quelque chose de très privé. Je pensais que ma femme était la plus grosse salope que je connaisse. Sans qu’elle le sache, je l’ai si souvent vu se faire mettre par Nicolas, dès qu’elle pensait que j’avais le dos tourné, elle l’appelait pour se faire baiser comme la dernière des putes. Je l’aime et n’ai jamais voulu lui dire que j’avais été le témoin à plusieurs reprises de ses turpitudes. Mais vous m’avez prouvé qu’il est possible de vivre et partager le sexe le plus hard en osmose avec sa partenaire. Vous m’avez donné envie de vivre de tels instants avec mon épouse. Je ne vous en remercierai jamais assez.
Un peu étonnés par cet aveu, nous avons raccompagné Eugène à notre porte, nus bien sûr. Il n’a pas manqué de peloter encore un peu les seins de Clémence ni de se rincer les yeux avant de nous quitter. Cette journée est restée dans nos souvenirs comme un moment très particulier qui, lui aussi, contribue encore à alimenter notre libido.
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