X-Acto - 6
Récit érotique écrit par TheWall79 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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X-Acto - 6
Le travail a repris et les folies sexuelles ralentissent de fait. Le temps passe. Toutefois, les expériences passées continuent à alimenter et exacerber notre libido. Nous sommes, l’un comme l’autre, impatients d’en vivre de nouvelles. Clèm ne porte plus de soutifs, ou très rarement, elle apprécie de sentir les oscillations de sa poitrine et d’avoir les bouts dressés en permanence par le frottement des vêtements. Elle sait combien cela me plait, de plus les regards appréciateurs qu’elle capte la rassurent sur sa féminité et son pouvoir de séduction.
Moi, je rêve de voir ma femme se prendre une bonne bite dans le petit trou pour parachever son statut de salope. Je ne manque pas une occasion lors de nos jeux de lui glisser un doigt dans le cul et de la traiter de petite enculée afin de l’exciter.
Je lui fais part de mon désir de la voir à nouveau baisée devant moi. Clèm est plus que partante, reste à déterminer quand, où et qui. Quand ? Nous sommes d’accord, le plus tôt possible ; Où ? Peu importe, l’exhibitionnisme de Clèm s’accommode de toutes les situations. Reste Qui ? En fait, nous n’avons pas eu à réfléchir longtemps sur ce dernier point.
Loïc, un très bon copain, m’a téléphoné pour savoir si nous étions en mesure de l’héberger pendant la semaine de stage qu’il doit effectuer près de chez nous. Interrogée, Clèm est d’accord, elle l’a déjà rencontré à plusieurs reprises lors de fiestas et a gardé le souvenir d’un grand black sympa et toujours souriant. Lorsque je lui propose que Loïc soit l’élu, Clèm objecte que ce n’est peut-être pas raisonnable de choisir parmi nos connaissances.
- Je ne suis pas sûre que ce soit un bon choix, je ne veux pas me traîner une réputation de salope auprès de nos amis et puis je ne lui plais peut-être pas, je l’ai rencontré juste quelquefois et il n’a pas montré d’intérêt particulier pour moi.
- Ça c’est ce que tu crois, il m’a souvent dit que j’avais de la chance d’avoir une si belle femme.
- Ah bon ?
- J’ai une parfaite confiance en lui et en sa discrétion. ça te gêne qu’il soit black ?
- Pas du tout, j’ai déjà sucé quelques bites noires et j’ai toujours apprécié.
- Alors tu vois, tu es une salope qui va se faire baiser par un beau black.
- Ben faut réfléchir, mais c’est vrai que l’idée m’excite bien.
- Écoute, il arrive lundi soir, je suggère de ne pas précipiter les choses. Cela fait presque un an que nous ne l’avons pas vu, il est peut-être avec quelqu’un depuis. Tu l’allumes gentiment pendant un où deux soirs et on voit comment il réagit.
- D’accord pour prendre notre temps et pour l’allumer, tu peux me faire confiance s’il me plait.
Le lundi soir, Loïc se présente à notre domicile après sa première journée de stage. Les retrouvailles sont chaleureuses. Clèm, sans être provocante, est habillée assez sexy avec une jupe relativement sage et un chemisier ne laissant pas de doute sur l’absence de soutif.
Ce premier soir, Loïc prend ses quartiers et nous dînons tous les trois en papotant sur nos boulots respectifs et sur des sujets généraux. Clèm trouve décidément Loïc bien sympathique et me le fait comprendre en dégrafant deux boutons à son chemisier, ce qui ouvre une belle perspective sur son décolleté. Huum, la garce sait mettre ses atouts en valeur.
Lorsque nous sommes au lit elle me confirme que non seulement Loïc est à son goût mais qu’elle a bien vu qu’elle le faisait bander. Elle envisage sérieusement jouer la salope avec lui et de faire en sorte d’attirer un peu plus le regard de notre convive.
Le lendemain, elle porte sa petite robe noire très ajustée en bas mais avec ce décolleté très fluide donnant une vue imprenable sur sa poitrine dès qu’elle se penche. Et ce soir elle se penche souvent.
Loïc à de plus en plus de mal à dissimuler son intérêt pour ce qui lui est si généreusement montré. Clèm, comme moi, se rend compte qu’il bande et qu’il a du mal à cacher son émotion, ce qui ne peut que la conforter dans son approche exhibitionniste. Lorsque nous allons nous coucher, Clèm est très excitée d’avoir fait bander Loïc tout au long de la soirée.
- Si tu savais ce que ça me fait mouiller de m’exhiber devant lui, il n’a pas lâché mes seins des yeux de la soirée. J’ai trop envie, baise-moi.
Je profite pleinement de ma petite salope et la prend virilement très excité moi aussi de l’avoir regardé user de ses charmes sur mon ami. Après nos ébats on décide de passer dès le lendemain à la réalisation de notre envie. Clèm doit se montrer très exhib pour le chauffer au maximum et moi me charger de décider Loïc à entrer dans notre jeu.
Ce mercredi lorsque Loïc rentre, nous lui proposons un apéro dînatoire. On s’installe au salon, Clèm fait très fort dans la provoc, elle porte juste une chemise en jean à pression, assez longue pour cacher ses fesses et masquer l’absence de culotte, maintenue par une ceinture qui souligne la taille. Les pressions du haut sont ouvertes et livrent une vision paradisiaque sur ses seins. Loïc entre en érection instantanément dès qu’il l’aperçoit. Je fais le service, au passage j’en profite pour faire sauter une autre pression de la chemise de Clèm, celle-ci fait comme si elle n’avait rien remarqué. A contrario, le geste n’a pas échappé à Loïc qui sent sa queue durcir encore un peu plus. Nous trinquons et buvons en grignotant quelques amuse-gueules. Clèm assise sur un coin de canapé, laisse ses jambes se disjoindre et révèle son absence de culotte à Loïc qui manque de s’étouffer. Elle se lève en souriant et s’absente pour préparer la suite des plateaux, Loïc ne peut s’empêcher de la suivre des yeux. J’en profite pour l’attaquer :
- Alors, que penses-tu de Clèm ?
- Euh, que veux-tu dire ? répond-il déstabilisé par la question, je la trouve très sympa et très jolie.
- Pas plus que ça ? allons lâche toi, ça fait trois soirées que tu bandes en la matant.
- Euh, ok, ok, tu me gênes mais c’est vrai que je ne peux m’empêcher de la regarder, il faut dire qu’elle s’habille de façon très…. décontractée.
- Oui, elle adore s’exhiber et surtout susciter le désir.
- Et ça ne te dérange pas ?
- Pas du tout, je dirais même au contraire. Tu aimerais la baiser ?
- Écoute, là tu fais plus que me gêner, je….
- Ne t’angoisses pas, tu triques comme un malade en la regardant et nous on aime bien les jeux chauds, alors il n’y a pas de souci. Je te repose la question : tu as envie de la baiser ?
- Euh, murmure t’il dans un souffle, qui n’aurait pas envie de la baiser, elle agite ses seins sous mon nez depuis que je suis arrivé, elle n’a pas de culotte et elle est plus que bandante. Alors oui, je l’avoue Clèm est loin de me laisser indifférent.
- Je pense qu’elle aussi tu ne la laisses pas indifférente et qu’elle espère satisfaire son goût pour la bite avec nous deux.
- C’est la première fois que je suis confronté à une telle situation et je ne sais pas trop quelle attitude adopter.
- Nous avons eu quelques expériences très chaudes et nous avons toujours réussi à prendre le maximum de plaisir. Pour info, ne te choques pas, mais nous adorons utiliser un langage cru dans ces circonstances, alors si tu aimes ça aussi, lâche-toi.
A cet instant, Clèm arrive avec deux plateaux de petits fours et tapas. Elle se glisse entre nous avant de poser les plateaux sur la table basse, aguicheuse, bien entendu son décolleté très ouvert découvre avantageusement sa poitrine.
- De quoi parliez-vous ?
- De toi mon amour. Loïc me disait qu’il appréciait énormément ce que tu laisses entrevoir, il te trouve bandante et il aimerait en voir plus.
Dans le même temps, je prends Clèm par les épaules la tourne légèrement vers notre invité et ouvre complètement la chemise exposant les gros seins que je prends à pleines mains. Je les soupèse en les offrant au regard de Loïc qui n’en croit pas ses yeux. Clèm gonfle sa poitrine accentuant l’offrande.
- Vois-tu Loïc ma chérie adore la bite et je suis sûr qu’elle ne pense en ce moment qu’à s’occuper de la tienne.
Je lâche un sein pour glisser ma main entre les cuisses de Clèm. Je lui prends la chatte à pleine main. La garce est trempée.
Loïc n’en peut plus, il tend la main pour prendre le sein libéré, un sein bien lourd et ferme dont le téton se dresse instantanément. Le contraste de cette main noire sur le sein blanc de ma femme ajoute à mon excitation et je laisse le second sein aux mains de mon pote. Loïc se penche vers Clèm et lui roule une pelle en triturant les mamelons et en tirant les bouts.
- Putain, ce que tu m’as chauffé depuis mon arrivée, j’ai une gaule d’enfer.
- Huumm, j’ai hâte de voir ça ! Dit-elle en posant une main sur le renflement du pantalon et en commençant à en ouvrir la braguette.
Je murmure à l’oreille de ma femme en sentant la chatte bien juteuse inonder ma main :
- Alors ça te plait, Salope ?
- Huummm Oui beaucoup, et toi ? tu aimes ?
- Bien sûr, tu le sais parfaitement. Je suis impatient de te voir à l’œuvre. Allez, à poil cochonne et montre à Loïc tes talents de suceuse avant qu’on te défonce comme une chienne.
Clèm ôte sa ceinture et laisse tomber sa chemise. Entièrement nue, elle plonge la main dans le boxer de Loïc pour en retirer une queue bien dure, circoncise, noire au gland violacé, complètement débarrassée de tous poils.
Je la regarde se jeter dessus et gober le gland en branlant la hampe. Sucer cette bite noire semble la transcender. Elle la prend presque en gorge profonde. Elle la ressort pour lécher les couilles et les prendre aussi une à une en bouche. Loïc a du mal à se contenir, ma petite garce nous regarde avec un regard de chienne en chaleur, sa langue est vraiment diabolique sur sa bite. Je lui bourre la chatte avec mes doigts. Tout cela contribue à augmenter la tension sexuelle du moment. Loïc finit par prendre la tête de Clèm et lui enfonce sa queue comme s’il lui baisait la bouche. Je me place derrière elle et commence à lui piner la moule pendant qu’elle suce.
- Hummm, c’est bon, continue chéri, elles sont bonnes vos queues.
Qu’est ce que j’aime la regarder dans ces situations. Dans cette position ses nichons bougent sous elle avec des mouvements des plus sensuels. Loïc se retire avant d’exploser. Il se met nu à son tour et s’installe sur le canapé, il branle son manche en nous regardant en train de forniquer. Mais Clèm veut vraiment cette belle pine ; elle se détache de moi enjambe Loïc et se laisse tomber sur la bite dressée en poussant un cri de satisfaction,
- Ahhhh, ouiiii.
Loïc la prend par les hanches et la fourre en léchant les tétons qui passent à sa portée. La cyprine coule à flot et trempe les couilles de son baiseur. La bite à la main, je la regarde et bande encore plus si cela est possible en voyant ses mamelons luire de salive.
Je m’approche derrière les deux amants et profite de la position de Clèm pour coller ma bite à celle de Loïc afin de tenter de pénétrer la chatte déjà bien remplie. Clèm sursaute :
- Non pas ça, tu vas me déchirer, vous êtes trop gros.
- Laisse-toi faire ma chérie, Loïc maintient-la, Je vais y aller en douceur, tu vas te prendre une bonne double Salope.
Je force doucement alors que Loïc a cessé tout mouvement. Le contact de ma queue ne semble pas le déranger. Plusieurs fois le gland glisse et va buter sur le trou du cul humide de la belle, J’hésite entre l’enculer ou poursuivre sur une tentative de double vaginale, mais enfin je trouve le bon angle et mon gland rejoint la bite de Loïc dans la moule trempée. C’est la première expérience de ce type pour nous trois, cela ajoute encore à l’aspect transgressif de la pratique. Je commence à limer doucement, la sensation de mes couilles qui battent sur celles de l’autre est étrange mais pas désagréable. Clèm pousse des gémissements qui montrent son acceptation et son excitation.
- Huuummm, doucement, s’il vous plait, aaahhh ouiiii, salauds, c’est énooorme.
- Alors Loïc tu en penses quoi de ma petite pute, elle est bonne non ?
- Je me suis branlé un paquet de fois en pensant à elle, mais je n’aurais jamais pensé pouvoir la tirer un jour, putain oui elle est vraiment bonne ta salope, et ses nichons je ne m’en lasse pas. Je voudrais les tripoter toute la soirée.
Nous réussissons à synchroniser nos mouvements pour baiser bien profondément la chatte distendue par nos pines. Après quelques minutes de ce régime, Clèm part dans un orgasme grandiose, elle mord l’épaule de Loïc tant la jouissance est forte. Celui-ci éjacule au fond de la moule, je continue de la pilonner jusqu’à exploser aussi en elle. Je me retire, on se relève pour regarder la chatte ouverte d’où le sperme s’écoule en abondance.
- Tu es vraiment une sacrée salope mon amour, je t’adore. Partante pour continuer ? Lui dis-je en l’embrassant.
- Ah oui, bien sûr, mais vous m’avez crevée. Laissez-moi récupérer un peu.
Nous restons à poil sur le canapé. Loïc en profite pour satisfaire son goût pour les nibards de son hôtesse, il les pelote, suce les bouts dès qu’il peut.
- Je vois que décidément mes seins te plaisent. Surtout ne te prives pas, j’adore qu’on s’occupe d’eux. Huuummm, mes salauds vous m’avez explosée la chatte, mais qu’est-ce que c’est bon.
- Si j’avais pu me douter que vous étiez aussi « libérés » je crois que j’aurais tenté ma chance plus tôt.
- Cela fait peu de temps que nous sommes devenus libertins et notre recherche du plaisir s’accorde parfaitement avec nos envies communes.
- Et toi, Clèm, te faire traiter de salope, de putain ou de chienne, cela ne te gêne pas ?
- Au contraire, cela contribue à mon, à notre, excitation, c’est toujours une question de contexte. Axel m’a fait découvrir ce plaisir et depuis je mouille encore plus dès que l’on emploie un langage très cru. C’est comme pour ma poitrine, dit-elle en riant, continue à me la caresser, cela me stimule de façon incroyable, surtout quand je me fais peloter devant Axel.
- Et ça t’arrive souvent de te faire peloter devant lui ?
- Quelques fois, mais je pense que vu son excitation cela va arriver de plus en plus fréquemment. N’est-ce pas chéri, tu aimes me voir me conduire comme une grosse salope ?
- Je ne trouve rien de plus excitant. Plus tu te conduis comme une salope, plus je bande pour toi.
Pendant ces échanges, les bites se redressent, les mains continuent de courir sur le corps de Clèm. Tout en lui tripotant un sein Loïc se penche sur la chatte de Clèm et donne de petits coups de langue sur le clito. Je m’occupe de l’autre nichon et pousse ma bite vers les lèvres de ma femme, elle me suce avec ferveur en me pressant bien les couilles. Sa langue fait des merveilles sur ma bite. De plus la voir pelotée et léchée par mon pote fait que je ne peux tenir longtemps, je me retire et lui jute sur les seins, je lui masse les nichons avec mon foutre pendant que Loïc accentue le léchage de la moule baveuse d’où la mouille s’écoule en abondance. Elle ondule du bassin sous l’efficacité de la langue qui la fouille et pousse des gémissements de plaisir jusqu’à jouir sous la bouche gourmande de Loïc. Celui-ci se redresse et se branle au-dessus d’elle, il se répand généreusement lui aussi sur les beaux seins luisants en se lâchant verbalement :
- Ouuiiii, trop bonne, t’es vraiment une grosse salope…
- Je te l’avais dit qu’elle aimait ça ma belle cochonne.
Suite à ces débordements Clèm part prendre une douche, nous la suivons. On se retrouve au salon, toujours à poil et émoustillés par l’exhibition permanente de Clèm et les mouvements de sa poitrine dont on ne peut détourner ni le regard, ni les mains. Elle se laisse d’ailleurs complaisamment tripoter le cul, la chatte et les seins toute la soirée. Avant de nous séparer pour rejoindre nos chambres Loïc lance une invitation pour le lendemain :
- Demain, c’est ma dernière soirée avec vous, si vous êtes d’accord j’aimerai beaucoup vous inviter dans un restau très sympa à quelques kilomètres d’ici. Si cela vous convient on se retrouve sur place, venez en taxi, cela nous laissera libres de boire quelques verres.
- Pourquoi pas, qu’en penses-tu chérie ?
- Que du bien, c’est d’accord pour moi.
Vautrés sur notre lit, nous discutons de la soirée passée :
- Humm, vous m’avez vraiment baisée comme une chienne, j’ai bien cru que tu allais m’enculer tout à l’heure.
- J’aurai bien aimé mais je ne veux rien précipiter et puis je trouvais cela tellement pervers de te mettre deux bites dans la chatte.
- Oh oui c’était très pervers. Vous m’avez défoncée mes salauds mais qu’est ce que c’était bon, J’ai adoré, je n’ai jamais été remplie comme ça.
- Mais c’est vrai j’ai hésité, j’ai tellement envie de ton petit cul.
Je tiens mon épouse dans mes bras, collé à elle par derrière et lui caresse sa belle paire de nibards depuis quelques minutes et notre discussion me redonne de la raideur. Je frotte ma queue entre les cuisses de Clèm, la tête du gland passe et repasse dans sa fente toujours bien humide. Elle commence à bouger du bassin et me lâche :
- Les sensations de ce soir étaient incroyables, je crois bien que j’aimerai tenter la sodomie,
Interloqué mais très heureux de cette décision, j’accentue les va-et-vient de ma queue tout en assurant une bonne prise de ses seins. Elle poursuit :
- J’ai envie de sentir vos bites dans tous mes trous et l’idée de me faire enculer devant toi m’excite au plus haut point mais j’appréhende toujours d’avoir mal. je souhaite que ça soit toi mon amour qui me prenne par là en premier. Il va falloir faire doucement car ta queue est moins longue mais plus large que la sienne. Tu es d’accord ?
Un peu oui que je suis d’accord. Je lui roule une pelle enfiévrée en guise d’acceptation en redoublant le tripotage des nichons.
- Humm tu es vraiment devenue une grosse pute. En gros tu acceptes que je t’encule pour mieux te faire défoncer la rondelle par Loïc ?
- C’est toi qui me rends pute
- Et bien ok, cette proposition m’excite trop, tu sens l’effet que ça me fait ?
- Oui tu as une sacrée trique. Viens essaie de me la mettre mais fait doucement.
- Mets-toi en levrette.
Clèm obtempère, je me place derrière elle et lui écarte les fesses, me penche sur le cul sublime pour lui lécher la raie, dans le même temps je rentre deux doigts profondément dans le vagin, je passe ma langue sur le petit trou, l’enduis de salive et durcis le bout de ma langue pour le pénétrer comme le ferait une petite bite.
Après de longues minutes de ce traitement au cours duquel Clèm trémousse son cul et sent le plaisir la gagner. Je retire mes doigts de la moule pour les appuyer sur la pastille. Un doigt rentre, un second le rejoint ; je les enfonce progressivement. Clèm, la tête dans l’oreiller, accompagne les doigts qui écartèlent patiemment son fondement puis je plante ma queue dans la chatte pour bien la lubrifier, je me retire et prenant mon manche à pleine main, je frotte le gland sur le trou et me mets à pousser par petits coups. Le sphincter résiste, Clèm se mord les lèvres mais va au devant de la bite, enfin le gland entre, la brûlure ressentie semble forte. Je marque une pause, je ressens carrément les palpitations du muscle autour de ma bite. Elle m’encourage :
- Viens continue ne t’arrête pas.
Je reprends la pénétration et doucement entame un va-et-vient. Toujours le cul levé, Clèm se redresse sur ses bras se tourne vers moi :
- Vas-y baise moi le cul salaud, ça monte, ça fait bizarre mais c’est jouissif.
J’accentue l’ampleur de mes mouvements et finis par lui mettre la totalité de ma bite dans le cul. Accroché à ses hanches, je fais coulisser le membre assez lentement pendant un bon moment, je me régale la bite et progressivement, je la bourre de plus en plus violemment. Elle ouvre la bouche et étouffe un cri.
- Huuummm, ouiiii !!
- Putain, c’est trop bon depuis le temps que tu me refusais ton cul, je vais te le défoncer, si tu voyais ton trou complètement éclaté, quel pied.
- Je vais jouir, vas-y défonce ta salope, je vais jouir par le cul, c’est trop fort. Aaahhhh, huuumm, ouiiiii !!
Nous partons dans un formidable orgasme simultané. On s’effondre sur le lit, ma queue glisse hors du cul de ma femme, je me recule et regarde le trou encore béant qui se referme petit à petit. Elle passe un doigt sur sa rosette encore sensibilisée par le traitement subi. Nous reprenons notre souffle et on se serre dans les bras l’un de l’autre avec passion et un amour débordant.
- Qu’est ce que tu m’as mis, ça me chauffe encore. Je ne sais pas si je serais praticable demain.
- Je n’ai pas beaucoup d’inquiétude à ce sujet mon amour, je te connais trop, tu vas te faire enculer sous mes yeux dès que tu en auras l’occasion et je vais adorer voir ça. Tu es une vraie petite catin, doublée d’une belle enculée maintenant.
Nous nous endormons en nous câlinant, épuisés par notre soirée, en nous confiant notre plaisir partagé dans ces situations scabreuses et tout notre amour.
Moi, je rêve de voir ma femme se prendre une bonne bite dans le petit trou pour parachever son statut de salope. Je ne manque pas une occasion lors de nos jeux de lui glisser un doigt dans le cul et de la traiter de petite enculée afin de l’exciter.
Je lui fais part de mon désir de la voir à nouveau baisée devant moi. Clèm est plus que partante, reste à déterminer quand, où et qui. Quand ? Nous sommes d’accord, le plus tôt possible ; Où ? Peu importe, l’exhibitionnisme de Clèm s’accommode de toutes les situations. Reste Qui ? En fait, nous n’avons pas eu à réfléchir longtemps sur ce dernier point.
Loïc, un très bon copain, m’a téléphoné pour savoir si nous étions en mesure de l’héberger pendant la semaine de stage qu’il doit effectuer près de chez nous. Interrogée, Clèm est d’accord, elle l’a déjà rencontré à plusieurs reprises lors de fiestas et a gardé le souvenir d’un grand black sympa et toujours souriant. Lorsque je lui propose que Loïc soit l’élu, Clèm objecte que ce n’est peut-être pas raisonnable de choisir parmi nos connaissances.
- Je ne suis pas sûre que ce soit un bon choix, je ne veux pas me traîner une réputation de salope auprès de nos amis et puis je ne lui plais peut-être pas, je l’ai rencontré juste quelquefois et il n’a pas montré d’intérêt particulier pour moi.
- Ça c’est ce que tu crois, il m’a souvent dit que j’avais de la chance d’avoir une si belle femme.
- Ah bon ?
- J’ai une parfaite confiance en lui et en sa discrétion. ça te gêne qu’il soit black ?
- Pas du tout, j’ai déjà sucé quelques bites noires et j’ai toujours apprécié.
- Alors tu vois, tu es une salope qui va se faire baiser par un beau black.
- Ben faut réfléchir, mais c’est vrai que l’idée m’excite bien.
- Écoute, il arrive lundi soir, je suggère de ne pas précipiter les choses. Cela fait presque un an que nous ne l’avons pas vu, il est peut-être avec quelqu’un depuis. Tu l’allumes gentiment pendant un où deux soirs et on voit comment il réagit.
- D’accord pour prendre notre temps et pour l’allumer, tu peux me faire confiance s’il me plait.
Le lundi soir, Loïc se présente à notre domicile après sa première journée de stage. Les retrouvailles sont chaleureuses. Clèm, sans être provocante, est habillée assez sexy avec une jupe relativement sage et un chemisier ne laissant pas de doute sur l’absence de soutif.
Ce premier soir, Loïc prend ses quartiers et nous dînons tous les trois en papotant sur nos boulots respectifs et sur des sujets généraux. Clèm trouve décidément Loïc bien sympathique et me le fait comprendre en dégrafant deux boutons à son chemisier, ce qui ouvre une belle perspective sur son décolleté. Huum, la garce sait mettre ses atouts en valeur.
Lorsque nous sommes au lit elle me confirme que non seulement Loïc est à son goût mais qu’elle a bien vu qu’elle le faisait bander. Elle envisage sérieusement jouer la salope avec lui et de faire en sorte d’attirer un peu plus le regard de notre convive.
Le lendemain, elle porte sa petite robe noire très ajustée en bas mais avec ce décolleté très fluide donnant une vue imprenable sur sa poitrine dès qu’elle se penche. Et ce soir elle se penche souvent.
Loïc à de plus en plus de mal à dissimuler son intérêt pour ce qui lui est si généreusement montré. Clèm, comme moi, se rend compte qu’il bande et qu’il a du mal à cacher son émotion, ce qui ne peut que la conforter dans son approche exhibitionniste. Lorsque nous allons nous coucher, Clèm est très excitée d’avoir fait bander Loïc tout au long de la soirée.
- Si tu savais ce que ça me fait mouiller de m’exhiber devant lui, il n’a pas lâché mes seins des yeux de la soirée. J’ai trop envie, baise-moi.
Je profite pleinement de ma petite salope et la prend virilement très excité moi aussi de l’avoir regardé user de ses charmes sur mon ami. Après nos ébats on décide de passer dès le lendemain à la réalisation de notre envie. Clèm doit se montrer très exhib pour le chauffer au maximum et moi me charger de décider Loïc à entrer dans notre jeu.
Ce mercredi lorsque Loïc rentre, nous lui proposons un apéro dînatoire. On s’installe au salon, Clèm fait très fort dans la provoc, elle porte juste une chemise en jean à pression, assez longue pour cacher ses fesses et masquer l’absence de culotte, maintenue par une ceinture qui souligne la taille. Les pressions du haut sont ouvertes et livrent une vision paradisiaque sur ses seins. Loïc entre en érection instantanément dès qu’il l’aperçoit. Je fais le service, au passage j’en profite pour faire sauter une autre pression de la chemise de Clèm, celle-ci fait comme si elle n’avait rien remarqué. A contrario, le geste n’a pas échappé à Loïc qui sent sa queue durcir encore un peu plus. Nous trinquons et buvons en grignotant quelques amuse-gueules. Clèm assise sur un coin de canapé, laisse ses jambes se disjoindre et révèle son absence de culotte à Loïc qui manque de s’étouffer. Elle se lève en souriant et s’absente pour préparer la suite des plateaux, Loïc ne peut s’empêcher de la suivre des yeux. J’en profite pour l’attaquer :
- Alors, que penses-tu de Clèm ?
- Euh, que veux-tu dire ? répond-il déstabilisé par la question, je la trouve très sympa et très jolie.
- Pas plus que ça ? allons lâche toi, ça fait trois soirées que tu bandes en la matant.
- Euh, ok, ok, tu me gênes mais c’est vrai que je ne peux m’empêcher de la regarder, il faut dire qu’elle s’habille de façon très…. décontractée.
- Oui, elle adore s’exhiber et surtout susciter le désir.
- Et ça ne te dérange pas ?
- Pas du tout, je dirais même au contraire. Tu aimerais la baiser ?
- Écoute, là tu fais plus que me gêner, je….
- Ne t’angoisses pas, tu triques comme un malade en la regardant et nous on aime bien les jeux chauds, alors il n’y a pas de souci. Je te repose la question : tu as envie de la baiser ?
- Euh, murmure t’il dans un souffle, qui n’aurait pas envie de la baiser, elle agite ses seins sous mon nez depuis que je suis arrivé, elle n’a pas de culotte et elle est plus que bandante. Alors oui, je l’avoue Clèm est loin de me laisser indifférent.
- Je pense qu’elle aussi tu ne la laisses pas indifférente et qu’elle espère satisfaire son goût pour la bite avec nous deux.
- C’est la première fois que je suis confronté à une telle situation et je ne sais pas trop quelle attitude adopter.
- Nous avons eu quelques expériences très chaudes et nous avons toujours réussi à prendre le maximum de plaisir. Pour info, ne te choques pas, mais nous adorons utiliser un langage cru dans ces circonstances, alors si tu aimes ça aussi, lâche-toi.
A cet instant, Clèm arrive avec deux plateaux de petits fours et tapas. Elle se glisse entre nous avant de poser les plateaux sur la table basse, aguicheuse, bien entendu son décolleté très ouvert découvre avantageusement sa poitrine.
- De quoi parliez-vous ?
- De toi mon amour. Loïc me disait qu’il appréciait énormément ce que tu laisses entrevoir, il te trouve bandante et il aimerait en voir plus.
Dans le même temps, je prends Clèm par les épaules la tourne légèrement vers notre invité et ouvre complètement la chemise exposant les gros seins que je prends à pleines mains. Je les soupèse en les offrant au regard de Loïc qui n’en croit pas ses yeux. Clèm gonfle sa poitrine accentuant l’offrande.
- Vois-tu Loïc ma chérie adore la bite et je suis sûr qu’elle ne pense en ce moment qu’à s’occuper de la tienne.
Je lâche un sein pour glisser ma main entre les cuisses de Clèm. Je lui prends la chatte à pleine main. La garce est trempée.
Loïc n’en peut plus, il tend la main pour prendre le sein libéré, un sein bien lourd et ferme dont le téton se dresse instantanément. Le contraste de cette main noire sur le sein blanc de ma femme ajoute à mon excitation et je laisse le second sein aux mains de mon pote. Loïc se penche vers Clèm et lui roule une pelle en triturant les mamelons et en tirant les bouts.
- Putain, ce que tu m’as chauffé depuis mon arrivée, j’ai une gaule d’enfer.
- Huumm, j’ai hâte de voir ça ! Dit-elle en posant une main sur le renflement du pantalon et en commençant à en ouvrir la braguette.
Je murmure à l’oreille de ma femme en sentant la chatte bien juteuse inonder ma main :
- Alors ça te plait, Salope ?
- Huummm Oui beaucoup, et toi ? tu aimes ?
- Bien sûr, tu le sais parfaitement. Je suis impatient de te voir à l’œuvre. Allez, à poil cochonne et montre à Loïc tes talents de suceuse avant qu’on te défonce comme une chienne.
Clèm ôte sa ceinture et laisse tomber sa chemise. Entièrement nue, elle plonge la main dans le boxer de Loïc pour en retirer une queue bien dure, circoncise, noire au gland violacé, complètement débarrassée de tous poils.
Je la regarde se jeter dessus et gober le gland en branlant la hampe. Sucer cette bite noire semble la transcender. Elle la prend presque en gorge profonde. Elle la ressort pour lécher les couilles et les prendre aussi une à une en bouche. Loïc a du mal à se contenir, ma petite garce nous regarde avec un regard de chienne en chaleur, sa langue est vraiment diabolique sur sa bite. Je lui bourre la chatte avec mes doigts. Tout cela contribue à augmenter la tension sexuelle du moment. Loïc finit par prendre la tête de Clèm et lui enfonce sa queue comme s’il lui baisait la bouche. Je me place derrière elle et commence à lui piner la moule pendant qu’elle suce.
- Hummm, c’est bon, continue chéri, elles sont bonnes vos queues.
Qu’est ce que j’aime la regarder dans ces situations. Dans cette position ses nichons bougent sous elle avec des mouvements des plus sensuels. Loïc se retire avant d’exploser. Il se met nu à son tour et s’installe sur le canapé, il branle son manche en nous regardant en train de forniquer. Mais Clèm veut vraiment cette belle pine ; elle se détache de moi enjambe Loïc et se laisse tomber sur la bite dressée en poussant un cri de satisfaction,
- Ahhhh, ouiiii.
Loïc la prend par les hanches et la fourre en léchant les tétons qui passent à sa portée. La cyprine coule à flot et trempe les couilles de son baiseur. La bite à la main, je la regarde et bande encore plus si cela est possible en voyant ses mamelons luire de salive.
Je m’approche derrière les deux amants et profite de la position de Clèm pour coller ma bite à celle de Loïc afin de tenter de pénétrer la chatte déjà bien remplie. Clèm sursaute :
- Non pas ça, tu vas me déchirer, vous êtes trop gros.
- Laisse-toi faire ma chérie, Loïc maintient-la, Je vais y aller en douceur, tu vas te prendre une bonne double Salope.
Je force doucement alors que Loïc a cessé tout mouvement. Le contact de ma queue ne semble pas le déranger. Plusieurs fois le gland glisse et va buter sur le trou du cul humide de la belle, J’hésite entre l’enculer ou poursuivre sur une tentative de double vaginale, mais enfin je trouve le bon angle et mon gland rejoint la bite de Loïc dans la moule trempée. C’est la première expérience de ce type pour nous trois, cela ajoute encore à l’aspect transgressif de la pratique. Je commence à limer doucement, la sensation de mes couilles qui battent sur celles de l’autre est étrange mais pas désagréable. Clèm pousse des gémissements qui montrent son acceptation et son excitation.
- Huuummm, doucement, s’il vous plait, aaahhh ouiiii, salauds, c’est énooorme.
- Alors Loïc tu en penses quoi de ma petite pute, elle est bonne non ?
- Je me suis branlé un paquet de fois en pensant à elle, mais je n’aurais jamais pensé pouvoir la tirer un jour, putain oui elle est vraiment bonne ta salope, et ses nichons je ne m’en lasse pas. Je voudrais les tripoter toute la soirée.
Nous réussissons à synchroniser nos mouvements pour baiser bien profondément la chatte distendue par nos pines. Après quelques minutes de ce régime, Clèm part dans un orgasme grandiose, elle mord l’épaule de Loïc tant la jouissance est forte. Celui-ci éjacule au fond de la moule, je continue de la pilonner jusqu’à exploser aussi en elle. Je me retire, on se relève pour regarder la chatte ouverte d’où le sperme s’écoule en abondance.
- Tu es vraiment une sacrée salope mon amour, je t’adore. Partante pour continuer ? Lui dis-je en l’embrassant.
- Ah oui, bien sûr, mais vous m’avez crevée. Laissez-moi récupérer un peu.
Nous restons à poil sur le canapé. Loïc en profite pour satisfaire son goût pour les nibards de son hôtesse, il les pelote, suce les bouts dès qu’il peut.
- Je vois que décidément mes seins te plaisent. Surtout ne te prives pas, j’adore qu’on s’occupe d’eux. Huuummm, mes salauds vous m’avez explosée la chatte, mais qu’est-ce que c’est bon.
- Si j’avais pu me douter que vous étiez aussi « libérés » je crois que j’aurais tenté ma chance plus tôt.
- Cela fait peu de temps que nous sommes devenus libertins et notre recherche du plaisir s’accorde parfaitement avec nos envies communes.
- Et toi, Clèm, te faire traiter de salope, de putain ou de chienne, cela ne te gêne pas ?
- Au contraire, cela contribue à mon, à notre, excitation, c’est toujours une question de contexte. Axel m’a fait découvrir ce plaisir et depuis je mouille encore plus dès que l’on emploie un langage très cru. C’est comme pour ma poitrine, dit-elle en riant, continue à me la caresser, cela me stimule de façon incroyable, surtout quand je me fais peloter devant Axel.
- Et ça t’arrive souvent de te faire peloter devant lui ?
- Quelques fois, mais je pense que vu son excitation cela va arriver de plus en plus fréquemment. N’est-ce pas chéri, tu aimes me voir me conduire comme une grosse salope ?
- Je ne trouve rien de plus excitant. Plus tu te conduis comme une salope, plus je bande pour toi.
Pendant ces échanges, les bites se redressent, les mains continuent de courir sur le corps de Clèm. Tout en lui tripotant un sein Loïc se penche sur la chatte de Clèm et donne de petits coups de langue sur le clito. Je m’occupe de l’autre nichon et pousse ma bite vers les lèvres de ma femme, elle me suce avec ferveur en me pressant bien les couilles. Sa langue fait des merveilles sur ma bite. De plus la voir pelotée et léchée par mon pote fait que je ne peux tenir longtemps, je me retire et lui jute sur les seins, je lui masse les nichons avec mon foutre pendant que Loïc accentue le léchage de la moule baveuse d’où la mouille s’écoule en abondance. Elle ondule du bassin sous l’efficacité de la langue qui la fouille et pousse des gémissements de plaisir jusqu’à jouir sous la bouche gourmande de Loïc. Celui-ci se redresse et se branle au-dessus d’elle, il se répand généreusement lui aussi sur les beaux seins luisants en se lâchant verbalement :
- Ouuiiii, trop bonne, t’es vraiment une grosse salope…
- Je te l’avais dit qu’elle aimait ça ma belle cochonne.
Suite à ces débordements Clèm part prendre une douche, nous la suivons. On se retrouve au salon, toujours à poil et émoustillés par l’exhibition permanente de Clèm et les mouvements de sa poitrine dont on ne peut détourner ni le regard, ni les mains. Elle se laisse d’ailleurs complaisamment tripoter le cul, la chatte et les seins toute la soirée. Avant de nous séparer pour rejoindre nos chambres Loïc lance une invitation pour le lendemain :
- Demain, c’est ma dernière soirée avec vous, si vous êtes d’accord j’aimerai beaucoup vous inviter dans un restau très sympa à quelques kilomètres d’ici. Si cela vous convient on se retrouve sur place, venez en taxi, cela nous laissera libres de boire quelques verres.
- Pourquoi pas, qu’en penses-tu chérie ?
- Que du bien, c’est d’accord pour moi.
Vautrés sur notre lit, nous discutons de la soirée passée :
- Humm, vous m’avez vraiment baisée comme une chienne, j’ai bien cru que tu allais m’enculer tout à l’heure.
- J’aurai bien aimé mais je ne veux rien précipiter et puis je trouvais cela tellement pervers de te mettre deux bites dans la chatte.
- Oh oui c’était très pervers. Vous m’avez défoncée mes salauds mais qu’est ce que c’était bon, J’ai adoré, je n’ai jamais été remplie comme ça.
- Mais c’est vrai j’ai hésité, j’ai tellement envie de ton petit cul.
Je tiens mon épouse dans mes bras, collé à elle par derrière et lui caresse sa belle paire de nibards depuis quelques minutes et notre discussion me redonne de la raideur. Je frotte ma queue entre les cuisses de Clèm, la tête du gland passe et repasse dans sa fente toujours bien humide. Elle commence à bouger du bassin et me lâche :
- Les sensations de ce soir étaient incroyables, je crois bien que j’aimerai tenter la sodomie,
Interloqué mais très heureux de cette décision, j’accentue les va-et-vient de ma queue tout en assurant une bonne prise de ses seins. Elle poursuit :
- J’ai envie de sentir vos bites dans tous mes trous et l’idée de me faire enculer devant toi m’excite au plus haut point mais j’appréhende toujours d’avoir mal. je souhaite que ça soit toi mon amour qui me prenne par là en premier. Il va falloir faire doucement car ta queue est moins longue mais plus large que la sienne. Tu es d’accord ?
Un peu oui que je suis d’accord. Je lui roule une pelle enfiévrée en guise d’acceptation en redoublant le tripotage des nichons.
- Humm tu es vraiment devenue une grosse pute. En gros tu acceptes que je t’encule pour mieux te faire défoncer la rondelle par Loïc ?
- C’est toi qui me rends pute
- Et bien ok, cette proposition m’excite trop, tu sens l’effet que ça me fait ?
- Oui tu as une sacrée trique. Viens essaie de me la mettre mais fait doucement.
- Mets-toi en levrette.
Clèm obtempère, je me place derrière elle et lui écarte les fesses, me penche sur le cul sublime pour lui lécher la raie, dans le même temps je rentre deux doigts profondément dans le vagin, je passe ma langue sur le petit trou, l’enduis de salive et durcis le bout de ma langue pour le pénétrer comme le ferait une petite bite.
Après de longues minutes de ce traitement au cours duquel Clèm trémousse son cul et sent le plaisir la gagner. Je retire mes doigts de la moule pour les appuyer sur la pastille. Un doigt rentre, un second le rejoint ; je les enfonce progressivement. Clèm, la tête dans l’oreiller, accompagne les doigts qui écartèlent patiemment son fondement puis je plante ma queue dans la chatte pour bien la lubrifier, je me retire et prenant mon manche à pleine main, je frotte le gland sur le trou et me mets à pousser par petits coups. Le sphincter résiste, Clèm se mord les lèvres mais va au devant de la bite, enfin le gland entre, la brûlure ressentie semble forte. Je marque une pause, je ressens carrément les palpitations du muscle autour de ma bite. Elle m’encourage :
- Viens continue ne t’arrête pas.
Je reprends la pénétration et doucement entame un va-et-vient. Toujours le cul levé, Clèm se redresse sur ses bras se tourne vers moi :
- Vas-y baise moi le cul salaud, ça monte, ça fait bizarre mais c’est jouissif.
J’accentue l’ampleur de mes mouvements et finis par lui mettre la totalité de ma bite dans le cul. Accroché à ses hanches, je fais coulisser le membre assez lentement pendant un bon moment, je me régale la bite et progressivement, je la bourre de plus en plus violemment. Elle ouvre la bouche et étouffe un cri.
- Huuummm, ouiiii !!
- Putain, c’est trop bon depuis le temps que tu me refusais ton cul, je vais te le défoncer, si tu voyais ton trou complètement éclaté, quel pied.
- Je vais jouir, vas-y défonce ta salope, je vais jouir par le cul, c’est trop fort. Aaahhhh, huuumm, ouiiiii !!
Nous partons dans un formidable orgasme simultané. On s’effondre sur le lit, ma queue glisse hors du cul de ma femme, je me recule et regarde le trou encore béant qui se referme petit à petit. Elle passe un doigt sur sa rosette encore sensibilisée par le traitement subi. Nous reprenons notre souffle et on se serre dans les bras l’un de l’autre avec passion et un amour débordant.
- Qu’est ce que tu m’as mis, ça me chauffe encore. Je ne sais pas si je serais praticable demain.
- Je n’ai pas beaucoup d’inquiétude à ce sujet mon amour, je te connais trop, tu vas te faire enculer sous mes yeux dès que tu en auras l’occasion et je vais adorer voir ça. Tu es une vraie petite catin, doublée d’une belle enculée maintenant.
Nous nous endormons en nous câlinant, épuisés par notre soirée, en nous confiant notre plaisir partagé dans ces situations scabreuses et tout notre amour.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C’est le meilleur moyen de ramener 1 merde Didier.
Être l’impératrice des salopes oui prendre des risques et tomber malade non.
Être l’impératrice des salopes oui prendre des risques et tomber malade non.
Madame "la lectrice" vous n'aviez pas compris ça depuis le début ? Moi, j'ai beaucoup apprécié qu'elle le suce "à cru" !Didier
Donc la fille nique comme ça sans capotes et avale !!!