Yann
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2011 dans la catégorie Plus on est
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Yann
Pour nous il est normal de chercher tous les moyens de prendre du plaisir: depuis notre première
fois, nous avions à peine 19 ans, nous faisons grand cas du plaisir de l’autre. Ce plaisir passe
souvent par des moyens que la morale normale réprouve. Pourtant qu’il est agréable de baiser devant
des personnes qui vous regardent en vous enviant. L’exhibitionnisme est une deuxième nature. Surtout pour Yann.
Ca lui est venu un jour, sans prévenir: nous étions dans un jardin public, la nuit tombait. Il avait
envie de moi. Nous étions assis sur un banc, il me caressait partout sur la robe. Il voulait que je
lui rende ses caresses. Je voulais bien lui toucher la bite par-dessus le pantalon. Pour le calmer,
c’était insuffisant. Il a sorti son membre m’a presque forcée à le prendre. Je n’ai pas pu refuser
de le masturber. Quand je le branle, il sait parfaitement que j’en suis excitée: il mettait une main
sur une de mes cuisses pour monter vers ma chatte. Je savais que le bonheur d’un orgasme était au
bout de ses doigts. Il caressait mon petit bouton lentement. Il avait bien calculé son coup: nous
jouissions ensemble. Le plus dommage était que son sperme s’ écoulait sur le sol. Ce n’est que quand
j’ai ouvert les yeux que j’ai vue que des personnes que je ne connaissait pas nous regardaient avec
insistance: un homme se branlait.
Yann, satisfait d’avoir joui savait depuis le départ qu’il était observé. Je n’en étais pas fière.
La deuxième fois c’était à la plage: nous étions à l’abri des regards quand il insistait pour me
faire l’amour. J’étais bien couchée sur la serviette quand il est venu sur moi. Je sentais sa queue
raide contre mon ventre. Je me laisse toujours avoir par sa queue. Il écarte mon slip pout passer sa
bite. Je suis bien excitée et mouillée. Il me pénètre comme toujours dans la chatte. Cette fois
j’ai envie de changer un peu: il m’a appris la sodomie: je ne vais pas m’en priver. Je sens bien
son gland quand il entre dans l’anus: le moment que je préfère: c’est à ce moment là que je suis la
plus réceptive. Quand il me la met à fond, je ne tiens plus: je jouis toujours en criant. Cette
fois c’est à la mi sodomie que je vois un type à trois pas de nous qui a sorti son engin et sans
honte se branle devant moi puisque je suis la seule à le voir. Je jouis plusieurs fois devant cet
homme qui ne s’en doute pas: il m’excite encore plus.
Si j’osais je lui demanderai de venir me la mettre dans le vagin. Je n’en parle à Yann que quand il
finit de me la mettre. : j’ai eu tord de ne pas le demander il aurait accepter de me baiser avec un
autre.
Les fois suivante je commençais à chercher les endroits propices à une baise en public. Je l’ai
trouvé un jour dans un bus qui nous emmenait en balade.
Nous étions seuls à l’arrière, sur le siège qui peut contenir plus de 4 personnes. J’embêtais Yann
en lui taquinant la pine à travers le pantalon.
Quand je le sentais chaud, que sa bite était dure, je me soulevais un peu pour enlever le string.
J’étais ainsi le cul et la chatte nue, les jambes entrouverte. Je savais que devant nous une jeune
femme nous regardait. Je faisait exprès d’écarter mes cuisses pour lui montrer ma foufoune. Elle
m’examinait sans cesse. Cette fois je le disait à Yann qui bandait depuis que je le touchais. C’est
moi qui lui proposer de baiser en trio. Il me traitait de foldingue: baiser à trois dans un bus ?
Je pense que cette jeune femme m’enviait: c’est pour ça que j’ai sorti la bite de Yann, je l’ai
prise dans la bouche. Il se régalait de mon fellation. Je faisais un signe à la femme qui toute
heureuse pouvait escompter se faire mettre. Quand elle s’est assise à coté de Yann, il ne sait
aperçu de rien. Il l’a su simplement quand la bite a changé de bouche. Il était trop tard pour
râler. J’étais maintenant à la vue du rétroviseur intérieur que le chauffeur regardait de temps en
temps. J’écartais les jambes au maximum pour qu’il voit bien ma chatte et ma main dessus: je me
doigtais à ma façon: deux doigts dans le vagin et un autre dans l’anus. Je regardais le chauffeur,
sa main droite me semblait bien bouger: je suppose, sans en être sure, qu’il se donnait du plaisir,
moi j’en avais.
Yann venait de jouir dans la bouche féminine. Elle devait aimer le sperme puisque je la voyais
avaler lentement la semence de mon mec.
Nous nous y sommes mise à deux pour le faire bander à nouveau. Je lui abandonnais la bite aimée:
elle en avait envie plus que moi. Elle s’est assise sur lui, le dos contre la poitrine.
Je me penchais pour bien voir quand et comment faisait une bite en entrant dans une femme. Je
n’étais pas déçue. Elle s’asseyait lentement en tenant la queue pour la guider vers son vagin.
Ensuite quand elle l’avait au fond, elle remontait. C’était beau. Elle m’excitait salement. Je
recommençais une masturbation. Elle enlevait ma main pour me branler. Pour une première se fut
réussit. Je crois que nous avons joui ensemble.
Arrivés à destination celui qui m’a étonné a été Yann. Il était tellement satisfait de ce que nous
faisions qu’il a insisté pour que la femme reste avec nous. Nous avons pu trouver un endroit plus
que tranquille: cette fois nous n’espérions qu’un chose: baiser en trio seuls sans voyeur. La fille:
Annie, devenait nécessaire pour nous, comme nous lui étions nécessaire. Notre position favorite,
quand Yann était en forme était l’une sur lui embrochée par la bite, devant ou derrière, et l’autre
fille sur sa bouche.
Après la mise KO de Yann nous nous aimions entre filles. Une fois même je l’ai mise sur le lit, les
jambes ouverte à 180°. Je suis venue sur elle comme si j’avais une bite; seules la touchait les
lèvres de ma chatte. Ce n’était pas un plaisir énorme, suffisant en tout cas pour que je la fasse
jouir.
Nous vivons à trois depuis 5 ans, sans problème.
fois, nous avions à peine 19 ans, nous faisons grand cas du plaisir de l’autre. Ce plaisir passe
souvent par des moyens que la morale normale réprouve. Pourtant qu’il est agréable de baiser devant
des personnes qui vous regardent en vous enviant. L’exhibitionnisme est une deuxième nature. Surtout pour Yann.
Ca lui est venu un jour, sans prévenir: nous étions dans un jardin public, la nuit tombait. Il avait
envie de moi. Nous étions assis sur un banc, il me caressait partout sur la robe. Il voulait que je
lui rende ses caresses. Je voulais bien lui toucher la bite par-dessus le pantalon. Pour le calmer,
c’était insuffisant. Il a sorti son membre m’a presque forcée à le prendre. Je n’ai pas pu refuser
de le masturber. Quand je le branle, il sait parfaitement que j’en suis excitée: il mettait une main
sur une de mes cuisses pour monter vers ma chatte. Je savais que le bonheur d’un orgasme était au
bout de ses doigts. Il caressait mon petit bouton lentement. Il avait bien calculé son coup: nous
jouissions ensemble. Le plus dommage était que son sperme s’ écoulait sur le sol. Ce n’est que quand
j’ai ouvert les yeux que j’ai vue que des personnes que je ne connaissait pas nous regardaient avec
insistance: un homme se branlait.
Yann, satisfait d’avoir joui savait depuis le départ qu’il était observé. Je n’en étais pas fière.
La deuxième fois c’était à la plage: nous étions à l’abri des regards quand il insistait pour me
faire l’amour. J’étais bien couchée sur la serviette quand il est venu sur moi. Je sentais sa queue
raide contre mon ventre. Je me laisse toujours avoir par sa queue. Il écarte mon slip pout passer sa
bite. Je suis bien excitée et mouillée. Il me pénètre comme toujours dans la chatte. Cette fois
j’ai envie de changer un peu: il m’a appris la sodomie: je ne vais pas m’en priver. Je sens bien
son gland quand il entre dans l’anus: le moment que je préfère: c’est à ce moment là que je suis la
plus réceptive. Quand il me la met à fond, je ne tiens plus: je jouis toujours en criant. Cette
fois c’est à la mi sodomie que je vois un type à trois pas de nous qui a sorti son engin et sans
honte se branle devant moi puisque je suis la seule à le voir. Je jouis plusieurs fois devant cet
homme qui ne s’en doute pas: il m’excite encore plus.
Si j’osais je lui demanderai de venir me la mettre dans le vagin. Je n’en parle à Yann que quand il
finit de me la mettre. : j’ai eu tord de ne pas le demander il aurait accepter de me baiser avec un
autre.
Les fois suivante je commençais à chercher les endroits propices à une baise en public. Je l’ai
trouvé un jour dans un bus qui nous emmenait en balade.
Nous étions seuls à l’arrière, sur le siège qui peut contenir plus de 4 personnes. J’embêtais Yann
en lui taquinant la pine à travers le pantalon.
Quand je le sentais chaud, que sa bite était dure, je me soulevais un peu pour enlever le string.
J’étais ainsi le cul et la chatte nue, les jambes entrouverte. Je savais que devant nous une jeune
femme nous regardait. Je faisait exprès d’écarter mes cuisses pour lui montrer ma foufoune. Elle
m’examinait sans cesse. Cette fois je le disait à Yann qui bandait depuis que je le touchais. C’est
moi qui lui proposer de baiser en trio. Il me traitait de foldingue: baiser à trois dans un bus ?
Je pense que cette jeune femme m’enviait: c’est pour ça que j’ai sorti la bite de Yann, je l’ai
prise dans la bouche. Il se régalait de mon fellation. Je faisais un signe à la femme qui toute
heureuse pouvait escompter se faire mettre. Quand elle s’est assise à coté de Yann, il ne sait
aperçu de rien. Il l’a su simplement quand la bite a changé de bouche. Il était trop tard pour
râler. J’étais maintenant à la vue du rétroviseur intérieur que le chauffeur regardait de temps en
temps. J’écartais les jambes au maximum pour qu’il voit bien ma chatte et ma main dessus: je me
doigtais à ma façon: deux doigts dans le vagin et un autre dans l’anus. Je regardais le chauffeur,
sa main droite me semblait bien bouger: je suppose, sans en être sure, qu’il se donnait du plaisir,
moi j’en avais.
Yann venait de jouir dans la bouche féminine. Elle devait aimer le sperme puisque je la voyais
avaler lentement la semence de mon mec.
Nous nous y sommes mise à deux pour le faire bander à nouveau. Je lui abandonnais la bite aimée:
elle en avait envie plus que moi. Elle s’est assise sur lui, le dos contre la poitrine.
Je me penchais pour bien voir quand et comment faisait une bite en entrant dans une femme. Je
n’étais pas déçue. Elle s’asseyait lentement en tenant la queue pour la guider vers son vagin.
Ensuite quand elle l’avait au fond, elle remontait. C’était beau. Elle m’excitait salement. Je
recommençais une masturbation. Elle enlevait ma main pour me branler. Pour une première se fut
réussit. Je crois que nous avons joui ensemble.
Arrivés à destination celui qui m’a étonné a été Yann. Il était tellement satisfait de ce que nous
faisions qu’il a insisté pour que la femme reste avec nous. Nous avons pu trouver un endroit plus
que tranquille: cette fois nous n’espérions qu’un chose: baiser en trio seuls sans voyeur. La fille:
Annie, devenait nécessaire pour nous, comme nous lui étions nécessaire. Notre position favorite,
quand Yann était en forme était l’une sur lui embrochée par la bite, devant ou derrière, et l’autre
fille sur sa bouche.
Après la mise KO de Yann nous nous aimions entre filles. Une fois même je l’ai mise sur le lit, les
jambes ouverte à 180°. Je suis venue sur elle comme si j’avais une bite; seules la touchait les
lèvres de ma chatte. Ce n’était pas un plaisir énorme, suffisant en tout cas pour que je la fasse
jouir.
Nous vivons à trois depuis 5 ans, sans problème.
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On se sent immédiatement transféré dans le monde du cul qu'a crée Fabriss. Pas de doutes ni d'arrière-pensée : la cyprine et le foutre sont des mâitres doux de l'histoire marque déposée "fabriss". C