YMCA à NEW YORK
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
YMCA à NEW YORK
Arrivés à l'auberge de jeunesse, YMCA aux States, mon guide demande au réceptionniste :
- Have you places yet in room number 69 ?
(- Avez-vous encore des places, chambres 69 ?)
Je continue le reste en Français. Les phrases en Anglais n'amenant rien à l'histoire.
- La chambre 69 ? Vous êtes un habitué des lieux ! Attendez je regarde...
Vous êtes veinards, mais pas complètement. Il ne reste qu'un lit !
- Oh, ça suffira. Répondit-t-il. C'est pour lui, fit-il en me désignant.
- Ah oui, soupira le réceptionniste pâmé. Je comprends maintenant !
A ma vue son regard s'éclaira. On voyait le désir dans ses yeux.
Quand nous prîmes l'escalier, je sentais son regard sur mon cul.
- Je t'ai choisi une chambre spéciale, dit mon accompagnateur, tu m'en remercieras plus tard.........
Dans la chambre, il y avait trois lits superposés de chaque côté de la porte. Celle-ci s'ouvrait vers l'extérieur, ce qui donnait une vue d'ensemble sur la pièce. Plus tard, je compris pourquoi. Sur les lits, il n'y avait ni draps ni couvertures. Pas d'armoires non plus.
- Comment fait-on pour ses habits et pour les draps ? Demandais-je.
- Je t'ai dit que c'était spécial ! Ici, tout le monde dort nu. Tes vêtements, tu les mets sur un cintre que tu pends sur la barre au fonds de la piaule. Pour les couvertures, il n'y en a pas. Celui qui réclame cette chambre sait que son corps est au service des autres occupants. Quand je l'ai réclamée pour toi, le mec a tout de suite regardé ton cul. Tu t'en es aperçu je crois ! Il viendra peut-être se joindre à la fête. Il est même possible qu'il t'offre la location. Enfin, tu verras....
Au fait, un conseil ! S'ils veulent te baiser, ne refuse pas. lls te violeraient. Remarques que....
Le premier soir, tous les lits, sauf le mien, étaient occupés. Je n'allumai pas la lumière. Celle de la lune éclairait suffisamment pour que je mette mes habits sur le cintre. De plus, je ne voulais pas "réveiller" mes co-locataires. J'allais me coucher en slip quand j'entendis un toussotement. Je me retournai pour voir si quelqu'un s'était réveillé. Il ne semblait pas. Je remis mes mains sur l'échelle pour monter à mon lit.
Le toussotement se fit plus impérieux. J'enlevai mon slip et un soupir accompagna mon geste. Une fois allongée sur mon matelas, je sursautai. Les occupants des autres lits étaient tous en érection. Soit ils faisaient des rêves érotiques, soit ils ne dormaient pas et étaient émus par mon anatomie. Un premier prit son sexe en main et l'agita en guise d'invite. Je voulais dormir et j'ai choisi d'ignorer l'offre en me tournant vers le mur. Un coup de savate sur les fesses me fit me retourner. Le sexe s'agita à nouveau. Je descendis de mon lit et m'approchais. Une main mit la mienne autour du sexe et dirigea mes mouvements de haut en bas, le long de la hampe. Le sexe se tendit encore plus et s'allongea. La main tira sur la mienne, me forçant à me courber davantage. Elle m'agrippa par le cou et approcha ma bouche du sexe. Le gland heurta mes lèvres qui s'ouvrirent instinctivement. La main, posée sur ma nuque, poussa mes lèvres jusque sur les couilles de son propriétaire. Me tenant par les cheveux, il faisait glisser mes lèvres humides, de plus en plus vite. A chaque remontée, j'en profitais pour passer un coup de langue sur la petite fente du gland, ce qui provoquait chez l'occupant de ma bouche, un tressaillement incontrôlable. Un doigt humide s'introduit dans mon cul et s'agita un peu. Je m'agenouillai pour faciliter l'intrusion. Soudain, une autre main attrapa la mienne et m'attira vers le lit opposé.
Le sexe de l'occupant du lit d'en face était dans les mêmes dispositions que celui que je venais de quitter. Je le pris en bouche pour lui offrir la même prestation qu'à l'autre. Le sexe entièrement enfoncé dans ma bouche, ma langue se posa sur ses couilles. C'est le moment que choisit le précédent pour s'enfoncer dans mon cul. Il le fit avec tellement de vigueur, que l'occupant de ma bouche, qui n'en demandait pas tant, s'enfonça dans ma gorge. Il était plus grand que ma cavité buccale. J'ai failli m'étrangler. Deux doigts pincèrent mon nez deux ou trois secondes et le relâchèrent.
Manquant d'air, j'ai instinctivement respiré par le nez. Le gars s'est levé, sa bite toujours dans ma gorge. Il était debout devant moi, ma tête rejetée en arrière. Il me prit par le menton et le releva. Il enfonça complètement sa bite dans ma gorge et quand ses couilles touchèrent mes lèvres, il tira sur les commissures et poussa ses couilles dans ma bouche. Il me regardait avec un sourire goguenard. Il appela un autre qui regardait et lui dit de venir :
Eh ! Regarde où j'en suis ! Je suis sûr qu'on peut y aller à deux.
L'autre descendit de son lit et s'approcha. Le premier se retira et présenta la bite du troisième à mes lèvres. Je l’engloutis immédiatement. Quand elle fut bien lubrifiée, il se retira et les deux glands collés l'un à l'autre, ils les présentèrent à nouveau. Mes lèvres étaient distendues mais les deux sexes étaient dedans.
Celui qui était dans mon cul, s'était probablement dit que si j'en avais deux dans la bouche, je devais certainement pouvoir en prendre autant dans mon cul.
A sa demande, tout le monde se retira. Il s'allongea à terre sur le dos, les jambes écartées. Les deux autres s'allongèrent sur le côté, collés l'un à l'autre, les jambes écartées, chacun tenant sa bite tendue vers le haut. Agenouillé au-dessus du mec seul, je me suis empalé sur sa bite. Penché la tête en avant, je pris les deux bites dressées vers moi, dans ma bouche. Un des derniers occupants se branlait depuis le début. Il s'approcha de moi par derrière, promena quelques secondes son gland le long de ma raie et éjacula. Son sperme servit au dernier de lubrifiant pour s'enfoncer dans mon cul. Mes orifices me faisaient mal mais je ne pouvais pas me plaindre. Mon corps était luisant de sueur. Les mains de mes assaillants glissaient sur ma peau. Ces contacts chauds me faisaient plus d'effet que d'être possédé. J'avais une érection du feu de Dieu. L'onaniste, certainement par reconnaissance pour ma disponibilité, glissa sa tête sous moi et me suça consciencieusement, avalant par deux fois le produit de ma jouissance.
Le lendemain, j'ai reçu plusieurs courriers d'autres auberges de jeunesse, m'offrant une location journalière en échange d'un "job", écrit comme ça.
Mes quinze jours de vacances, je les ai passés à New York. Je suis rentré en France avec un billet de première classe, GRATUIT.
- Have you places yet in room number 69 ?
(- Avez-vous encore des places, chambres 69 ?)
Je continue le reste en Français. Les phrases en Anglais n'amenant rien à l'histoire.
- La chambre 69 ? Vous êtes un habitué des lieux ! Attendez je regarde...
Vous êtes veinards, mais pas complètement. Il ne reste qu'un lit !
- Oh, ça suffira. Répondit-t-il. C'est pour lui, fit-il en me désignant.
- Ah oui, soupira le réceptionniste pâmé. Je comprends maintenant !
A ma vue son regard s'éclaira. On voyait le désir dans ses yeux.
Quand nous prîmes l'escalier, je sentais son regard sur mon cul.
- Je t'ai choisi une chambre spéciale, dit mon accompagnateur, tu m'en remercieras plus tard.........
Dans la chambre, il y avait trois lits superposés de chaque côté de la porte. Celle-ci s'ouvrait vers l'extérieur, ce qui donnait une vue d'ensemble sur la pièce. Plus tard, je compris pourquoi. Sur les lits, il n'y avait ni draps ni couvertures. Pas d'armoires non plus.
- Comment fait-on pour ses habits et pour les draps ? Demandais-je.
- Je t'ai dit que c'était spécial ! Ici, tout le monde dort nu. Tes vêtements, tu les mets sur un cintre que tu pends sur la barre au fonds de la piaule. Pour les couvertures, il n'y en a pas. Celui qui réclame cette chambre sait que son corps est au service des autres occupants. Quand je l'ai réclamée pour toi, le mec a tout de suite regardé ton cul. Tu t'en es aperçu je crois ! Il viendra peut-être se joindre à la fête. Il est même possible qu'il t'offre la location. Enfin, tu verras....
Au fait, un conseil ! S'ils veulent te baiser, ne refuse pas. lls te violeraient. Remarques que....
Le premier soir, tous les lits, sauf le mien, étaient occupés. Je n'allumai pas la lumière. Celle de la lune éclairait suffisamment pour que je mette mes habits sur le cintre. De plus, je ne voulais pas "réveiller" mes co-locataires. J'allais me coucher en slip quand j'entendis un toussotement. Je me retournai pour voir si quelqu'un s'était réveillé. Il ne semblait pas. Je remis mes mains sur l'échelle pour monter à mon lit.
Le toussotement se fit plus impérieux. J'enlevai mon slip et un soupir accompagna mon geste. Une fois allongée sur mon matelas, je sursautai. Les occupants des autres lits étaient tous en érection. Soit ils faisaient des rêves érotiques, soit ils ne dormaient pas et étaient émus par mon anatomie. Un premier prit son sexe en main et l'agita en guise d'invite. Je voulais dormir et j'ai choisi d'ignorer l'offre en me tournant vers le mur. Un coup de savate sur les fesses me fit me retourner. Le sexe s'agita à nouveau. Je descendis de mon lit et m'approchais. Une main mit la mienne autour du sexe et dirigea mes mouvements de haut en bas, le long de la hampe. Le sexe se tendit encore plus et s'allongea. La main tira sur la mienne, me forçant à me courber davantage. Elle m'agrippa par le cou et approcha ma bouche du sexe. Le gland heurta mes lèvres qui s'ouvrirent instinctivement. La main, posée sur ma nuque, poussa mes lèvres jusque sur les couilles de son propriétaire. Me tenant par les cheveux, il faisait glisser mes lèvres humides, de plus en plus vite. A chaque remontée, j'en profitais pour passer un coup de langue sur la petite fente du gland, ce qui provoquait chez l'occupant de ma bouche, un tressaillement incontrôlable. Un doigt humide s'introduit dans mon cul et s'agita un peu. Je m'agenouillai pour faciliter l'intrusion. Soudain, une autre main attrapa la mienne et m'attira vers le lit opposé.
Le sexe de l'occupant du lit d'en face était dans les mêmes dispositions que celui que je venais de quitter. Je le pris en bouche pour lui offrir la même prestation qu'à l'autre. Le sexe entièrement enfoncé dans ma bouche, ma langue se posa sur ses couilles. C'est le moment que choisit le précédent pour s'enfoncer dans mon cul. Il le fit avec tellement de vigueur, que l'occupant de ma bouche, qui n'en demandait pas tant, s'enfonça dans ma gorge. Il était plus grand que ma cavité buccale. J'ai failli m'étrangler. Deux doigts pincèrent mon nez deux ou trois secondes et le relâchèrent.
Manquant d'air, j'ai instinctivement respiré par le nez. Le gars s'est levé, sa bite toujours dans ma gorge. Il était debout devant moi, ma tête rejetée en arrière. Il me prit par le menton et le releva. Il enfonça complètement sa bite dans ma gorge et quand ses couilles touchèrent mes lèvres, il tira sur les commissures et poussa ses couilles dans ma bouche. Il me regardait avec un sourire goguenard. Il appela un autre qui regardait et lui dit de venir :
Eh ! Regarde où j'en suis ! Je suis sûr qu'on peut y aller à deux.
L'autre descendit de son lit et s'approcha. Le premier se retira et présenta la bite du troisième à mes lèvres. Je l’engloutis immédiatement. Quand elle fut bien lubrifiée, il se retira et les deux glands collés l'un à l'autre, ils les présentèrent à nouveau. Mes lèvres étaient distendues mais les deux sexes étaient dedans.
Celui qui était dans mon cul, s'était probablement dit que si j'en avais deux dans la bouche, je devais certainement pouvoir en prendre autant dans mon cul.
A sa demande, tout le monde se retira. Il s'allongea à terre sur le dos, les jambes écartées. Les deux autres s'allongèrent sur le côté, collés l'un à l'autre, les jambes écartées, chacun tenant sa bite tendue vers le haut. Agenouillé au-dessus du mec seul, je me suis empalé sur sa bite. Penché la tête en avant, je pris les deux bites dressées vers moi, dans ma bouche. Un des derniers occupants se branlait depuis le début. Il s'approcha de moi par derrière, promena quelques secondes son gland le long de ma raie et éjacula. Son sperme servit au dernier de lubrifiant pour s'enfoncer dans mon cul. Mes orifices me faisaient mal mais je ne pouvais pas me plaindre. Mon corps était luisant de sueur. Les mains de mes assaillants glissaient sur ma peau. Ces contacts chauds me faisaient plus d'effet que d'être possédé. J'avais une érection du feu de Dieu. L'onaniste, certainement par reconnaissance pour ma disponibilité, glissa sa tête sous moi et me suça consciencieusement, avalant par deux fois le produit de ma jouissance.
Le lendemain, j'ai reçu plusieurs courriers d'autres auberges de jeunesse, m'offrant une location journalière en échange d'un "job", écrit comme ça.
Mes quinze jours de vacances, je les ai passés à New York. Je suis rentré en France avec un billet de première classe, GRATUIT.
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