Yves 3
Récit érotique écrit par Laurencec [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Yves 3
Je suis au bureau lorsque Yves m’appelle ! Il est disponible toute l’après-midi et a, comme souvent, une forte envie de me voir. Je ne suis pourtant pas trop chaude, ma journée est organisée et mon mari à la maison. Yves me demande alors la permission d’échanger par SMS aux heures où il me sait seule, il y met du sien depuis nos retrouvailles et je n’ai pas le cœur à lui refuser, lui précisant que si je ne réponds pas il est inutile d’insister, c’est que je suis tout simplement occupée.
Le travail ne déborde pas et je me suis donc mise à échanger des SMS plus ou moins osés avec lui. Moi qui, quinze jours auparavant, craignais de retomber dans ses filets ! Je lui réponds tout en provocation, cherchant clairement à le chauffer. Il n’est pas en reste puisqu’à l'arrivée, si le matin j’étais clairement décidée à ne pas le voir, le midi en rentrant à la maison j’étais, avouons-le, excitée à l’idée de lui céder une nouvelle fois. Étrange, cette façon de réagir de ma part ! Je pensais être heureuse de passer une journée paisible et un appel de sa part bouleverse mes plans. Je suis Salope au point de me faire baiser vite fait. Par deux fois déjà ce sentiment m’a submergée et je m'excite comme une folle à l’idée de remettre cela.
Pour aller au bout des faits, j'ai été jusqu’à inventer une réunion le soir, repoussant mon retour à la maison d'une bonne heure, assurant ainsi une hypothétique visite de Yves. Me préparant au pire, j’ai saisi l'occasion lorsque mon mari est sorti fumer sa cigarette sur la terrasse pour, vite fait, prendre discrètement une jupe courte et un string de rechange que je me suis empressée de mettre dans la voiture. Un petit coup de frais dans la salle de bains et j’embrassai mon mari avant de reprendre la route du bureau.
Dès le début d’après-midi, je repris mes échanges avec Yves lui laissant entendre que je ferai la fermeture de l'agence et que donc je serai seule dans les locaux. En parallèle, je m'arrangeai avec ma collègue devant normalement faire la fermeture, lui disant que j'avais une course à faire dans le centre ville après dix-neuf heures et que, plutôt que de repartir chez moi, j’aurais préféré rester sur place prenant ainsi son tour de fermeture (un peu compliqué, je l’admets).
Mon stratagème mis en place, je piaffais d'impatience ! J'ai relancé X, lui précisant que j’avais enfilé des bas et une mini jupe pour le recevoir, des arguments qui le motivent, à n’en pas douter ! J’ai passé le reste de ma journée à me morfondre, mordillant mon stylo, cherchant où j’aimerais que Yves me prenne. Mon bureau ? Du déjà vu. Je cherchai l'endroit idéal avec l'envie et la ferme intention de me montrer on ne peut plus Salope.
Ma collègue a quitté l’agence vers dix-huit heures trente. Je me suis précipitée dans le sous-sol récupérer ma petite jupe courte. J'ai coupé les lumières de mon bureau car celui-ci donne sur la route et, à cette heure, avec l'obscurité extérieure et la lumière intérieure, nous sommes vus comme en plein jour. Quel délice de se changer sur son lieu de travail. Troublant, en petite culotte, assise sur le bord de mon siège de bureau, enfilant mes bas avec soin, mes souliers et enfin ma petite jupe, soigner les détails en me regardant dans la grande vitre séparant mon bureau de l'agence. Prête, je taquine à nouveau mon amant qui me répond être sur la route.
Lorsque j’ai vu sa silhouette à la vitrine, il collait les deux mains sur la vitre, cherchant à voir l’intérieur. Un petit signe de la main et il entra. Je m’empressai alors de verrouiller la porte d’entrée avant de l’emmener par la main dans mon bureau. Je posai les fesses sur le plan de travail et me pendis à son cou pour un long baiser langoureux. Il était en forme comme toujours. Il me pétrit les seins grognant qu’il avait envie de moi, ses mains parcoururent mon corps, j’ouvris déjà les cuisses lui permettant de me masser l'entrecuisse. Il eut vite fait de comprendre que j’étais en forme. Je me laissais déjà aller, cambrée, seins tendus, je me frottais à sa bouche gourmande, chemisier quasiment ouvert. Il extirpa mes seins de leurs nids que forment les balconnets de mon soutien-gorge et les tritura, les mordilla. J’étais aux anges, les fesses sur mon bureau, entreprise par mon amant qui, sous peu, allait me baiser avec passion, cette passion que j’aime tant chez lui, le « ho putain, que tu es belle ! », à la vue de mes bas. Sentir ses baisers descendre sur mes jambes, je fondis ! Je me cambrai, le corps en feu, me laissant tomber en arrière et envoyant, dans ce geste, un dossier au sol ! Je m’en fichai et ne me souciai plus de rien si ce n’est de mon plaisir. Toujours cambrée, les fesses sur le bord du bureau, je levai les jambes en V, le laissant se nourrir à ma source. Ses doigts nerveux écartèrent ma petite culotte, puis cette langue brûlante me lapa la chatte… je ne pus me retenir de gémir en lui attrapant les cheveux, l’attirant en moi. Quel bonheur ! Dans un silence de mort, seuls nos gémissements résonnaient dans la pièce, dans l’agence entière, j'imagine. Un, puis deux doigts me fouillèrent, accompagnant sa langue ravageuse. Cambrée, les yeux clos, je me délectai de ses grondements, de son excitation tellement palpable. Je me sentis littéralement transportée au rythme de ses doigts qui s'agitaient en moi telle une belle bite allant et venant. Je lâchai prise, de longs spasmes me transpercèrent le corps, ce salaud me fit jouir sans même me prendre ; il le savait et insistait, me labourant le ventre de ses doigts tout en me mordant la chatte. Des cris m’échappèrent, les doigts agrippés à ses cheveux. Mon corps fit deux ou trois soubresauts incontrôlés, j’eus l’impression de me vider en lui.
Yves a bien compris qu’il m’avait donné un bel orgasme, il relâchait la pression, me laissant respirer un peu sans cesser de me caresser le bas-ventre. Il me taquinait, me disant bien en forme et certainement très en manque ! Je me redressai, ces quelques mots me firent redescendre de mon nuage et je lui dis oui, lui confirmant que j étais très excitée depuis le début de la journée. Il me répondit qu’il aimait me voir jouir ainsi, avant de m’embrasser tendrement. C’est vrai qu’il est très habile, il sait s'y prendre. L’envie soudaine de lui faire plaisir à mon tour me passa par la tête et, sans calculer, connaissant ses envies, je me levai et le poussai sur mon siège de bureau.
Il se laissa tomber sans retenue et me fixa des yeux. Le regard gourmand, j’écartai ses pieds du bout de mes escarpins et me penchai, lui donnant un doux baiser. En appui sur les accoudoirs de mon siège, j’eus, d’un coup, l'impression de dominer la situation ! Je me sentis forte et, avec Yves, c’était une première ! J'ai joui bien fort et, doucement, je sentis naître en moi comme un second souffle. Malgré la pénombre, je sentis, je vis son regard avide. Je me sentis pousser des ailes et je roulai des fesses, plantée face à lui.
Je me redressai alors, quittant sa bouche tout en enlevant ma pince à cheveux. Quelques mouvements vifs, de gauche à droite, pour permettre à ma longue chevelure blonde de retomber sur mes épaules, et tout cela sans cesser de me déhancher face à lui. Souriante, je m'accroupis, finissant de déboutonner son jeans. Yves était sous mon charme, il levait les fesses et m'aidait à baisser son pantalon de moitié. Je perdis la tête, mais cette envie folle était insurmontable ! J'en rêvais depuis si longtemps, je pensais déjà au moment où il se lâcherait dans ma bouche… à la quantité de foutre impressionnante qu’il déverserait entre mes cuisses !
Je le fixai du regard, un petit sourire envieux aux lèvres et redressai alors sa queue du bout des doigts, le masturbant doucement et faisant jaillir son gland ; je le sentais aux anges ! Le regard flou, il ronronnait déjà de plaisir. Je maintins alors la hampe de chair à sa base, bien tendue, et approchai lentement le visage, un petit coup de langue bien appuyé, le fixant dans les yeux avant de reprendre doucement la masturbation. Devant son regard de chien battu, ses soupirs et sa voix tremblante, qui me murmurait que je suis une déesse, je me sentais Salope, et l’envie de cette queue me rendait folle.
Je plongeai alors sur sa tige, la tirant vers moi pour me permettre de ne pas le lâcher du regard ; une, puis deux… un léger goût salé m’emplit les papilles. Qu’il est bon d’être adulé de la sorte. Yves gémit, poussa sur ses fesses comme pour me pénétrer la bouche, mais c’est bien moi qui gérais ! Je me mis à pomper avec passion ce vérin, qui durcit de plus belle ! Je me déchaînai avec passion, tournant le poignet autour de sa superbe queue. J’alternais profondeur et vitesse avant de freiner le mouvement quelques instants. Je repris de plus belle, le sentant se tendre sous l’effet de ma langue, de mes lèvres. Durant près de dix minutes, je m’affairai sur cette bite que, sournoisement, j’espérais faire jouir ! Yves râla, grogna. Ses doigts me caressaient le crâne en affirmant que je suçais bien. J’étais au paradis du sexe. De ma main libre, je lui caressais les testicules en les roulant entre mes doigts, je m’empalais avec folie, m’étouffant même à deux reprises. Ce fut l’extase lorsque je l’entendis me crier :
– Non chérie, arrête, je vais craquer.
Je repoussai cette main qui, un instant, tentait faiblement de me repousser et me déchaînai de plus belle. Je n’étais plus moi-même, je lâchai ma prise juste le temps de lui répondre :
– Laisse-moi faire.
Et, sans attendre de réponse, je repris mes va-et-vient sur sa queue. Un long gémissement, deux secousses et oups ! son foutre m’envahit la bouche. Je ne cessai de pomper, cherchant à avaler en remontant mais, déjà, un second jet m’emplit la bouche. Le sperme m’échappa, encore un jet, j’avalai ce que je pus, mais la quantité fut telle qu’une bonne partie m’échappa et lui coula le long de la queue. Il soupira, grinça des dents, grognant que j’étais la meilleure. Enfin, j’arrivai à déglutir et me délectai du reste, le suçant plus lentement. Je ris, tout en lui essuyant la queue de la paume de ma main.
– Ta femme ne te fait pas cela, hein ?
– Salope, tu es terrible ! Jamais une femme ne m’avait sucé aussi bien !
Voilà une parole qui m’enchanta ! Je suis montée dans ma voiture dix minutes plus tard avec encore le goût acre de son foutre en bouche, les fesses trempées et heureuse de me sentir aussi Salope.
Le travail ne déborde pas et je me suis donc mise à échanger des SMS plus ou moins osés avec lui. Moi qui, quinze jours auparavant, craignais de retomber dans ses filets ! Je lui réponds tout en provocation, cherchant clairement à le chauffer. Il n’est pas en reste puisqu’à l'arrivée, si le matin j’étais clairement décidée à ne pas le voir, le midi en rentrant à la maison j’étais, avouons-le, excitée à l’idée de lui céder une nouvelle fois. Étrange, cette façon de réagir de ma part ! Je pensais être heureuse de passer une journée paisible et un appel de sa part bouleverse mes plans. Je suis Salope au point de me faire baiser vite fait. Par deux fois déjà ce sentiment m’a submergée et je m'excite comme une folle à l’idée de remettre cela.
Pour aller au bout des faits, j'ai été jusqu’à inventer une réunion le soir, repoussant mon retour à la maison d'une bonne heure, assurant ainsi une hypothétique visite de Yves. Me préparant au pire, j’ai saisi l'occasion lorsque mon mari est sorti fumer sa cigarette sur la terrasse pour, vite fait, prendre discrètement une jupe courte et un string de rechange que je me suis empressée de mettre dans la voiture. Un petit coup de frais dans la salle de bains et j’embrassai mon mari avant de reprendre la route du bureau.
Dès le début d’après-midi, je repris mes échanges avec Yves lui laissant entendre que je ferai la fermeture de l'agence et que donc je serai seule dans les locaux. En parallèle, je m'arrangeai avec ma collègue devant normalement faire la fermeture, lui disant que j'avais une course à faire dans le centre ville après dix-neuf heures et que, plutôt que de repartir chez moi, j’aurais préféré rester sur place prenant ainsi son tour de fermeture (un peu compliqué, je l’admets).
Mon stratagème mis en place, je piaffais d'impatience ! J'ai relancé X, lui précisant que j’avais enfilé des bas et une mini jupe pour le recevoir, des arguments qui le motivent, à n’en pas douter ! J’ai passé le reste de ma journée à me morfondre, mordillant mon stylo, cherchant où j’aimerais que Yves me prenne. Mon bureau ? Du déjà vu. Je cherchai l'endroit idéal avec l'envie et la ferme intention de me montrer on ne peut plus Salope.
Ma collègue a quitté l’agence vers dix-huit heures trente. Je me suis précipitée dans le sous-sol récupérer ma petite jupe courte. J'ai coupé les lumières de mon bureau car celui-ci donne sur la route et, à cette heure, avec l'obscurité extérieure et la lumière intérieure, nous sommes vus comme en plein jour. Quel délice de se changer sur son lieu de travail. Troublant, en petite culotte, assise sur le bord de mon siège de bureau, enfilant mes bas avec soin, mes souliers et enfin ma petite jupe, soigner les détails en me regardant dans la grande vitre séparant mon bureau de l'agence. Prête, je taquine à nouveau mon amant qui me répond être sur la route.
Lorsque j’ai vu sa silhouette à la vitrine, il collait les deux mains sur la vitre, cherchant à voir l’intérieur. Un petit signe de la main et il entra. Je m’empressai alors de verrouiller la porte d’entrée avant de l’emmener par la main dans mon bureau. Je posai les fesses sur le plan de travail et me pendis à son cou pour un long baiser langoureux. Il était en forme comme toujours. Il me pétrit les seins grognant qu’il avait envie de moi, ses mains parcoururent mon corps, j’ouvris déjà les cuisses lui permettant de me masser l'entrecuisse. Il eut vite fait de comprendre que j’étais en forme. Je me laissais déjà aller, cambrée, seins tendus, je me frottais à sa bouche gourmande, chemisier quasiment ouvert. Il extirpa mes seins de leurs nids que forment les balconnets de mon soutien-gorge et les tritura, les mordilla. J’étais aux anges, les fesses sur mon bureau, entreprise par mon amant qui, sous peu, allait me baiser avec passion, cette passion que j’aime tant chez lui, le « ho putain, que tu es belle ! », à la vue de mes bas. Sentir ses baisers descendre sur mes jambes, je fondis ! Je me cambrai, le corps en feu, me laissant tomber en arrière et envoyant, dans ce geste, un dossier au sol ! Je m’en fichai et ne me souciai plus de rien si ce n’est de mon plaisir. Toujours cambrée, les fesses sur le bord du bureau, je levai les jambes en V, le laissant se nourrir à ma source. Ses doigts nerveux écartèrent ma petite culotte, puis cette langue brûlante me lapa la chatte… je ne pus me retenir de gémir en lui attrapant les cheveux, l’attirant en moi. Quel bonheur ! Dans un silence de mort, seuls nos gémissements résonnaient dans la pièce, dans l’agence entière, j'imagine. Un, puis deux doigts me fouillèrent, accompagnant sa langue ravageuse. Cambrée, les yeux clos, je me délectai de ses grondements, de son excitation tellement palpable. Je me sentis littéralement transportée au rythme de ses doigts qui s'agitaient en moi telle une belle bite allant et venant. Je lâchai prise, de longs spasmes me transpercèrent le corps, ce salaud me fit jouir sans même me prendre ; il le savait et insistait, me labourant le ventre de ses doigts tout en me mordant la chatte. Des cris m’échappèrent, les doigts agrippés à ses cheveux. Mon corps fit deux ou trois soubresauts incontrôlés, j’eus l’impression de me vider en lui.
Yves a bien compris qu’il m’avait donné un bel orgasme, il relâchait la pression, me laissant respirer un peu sans cesser de me caresser le bas-ventre. Il me taquinait, me disant bien en forme et certainement très en manque ! Je me redressai, ces quelques mots me firent redescendre de mon nuage et je lui dis oui, lui confirmant que j étais très excitée depuis le début de la journée. Il me répondit qu’il aimait me voir jouir ainsi, avant de m’embrasser tendrement. C’est vrai qu’il est très habile, il sait s'y prendre. L’envie soudaine de lui faire plaisir à mon tour me passa par la tête et, sans calculer, connaissant ses envies, je me levai et le poussai sur mon siège de bureau.
Il se laissa tomber sans retenue et me fixa des yeux. Le regard gourmand, j’écartai ses pieds du bout de mes escarpins et me penchai, lui donnant un doux baiser. En appui sur les accoudoirs de mon siège, j’eus, d’un coup, l'impression de dominer la situation ! Je me sentis forte et, avec Yves, c’était une première ! J'ai joui bien fort et, doucement, je sentis naître en moi comme un second souffle. Malgré la pénombre, je sentis, je vis son regard avide. Je me sentis pousser des ailes et je roulai des fesses, plantée face à lui.
Je me redressai alors, quittant sa bouche tout en enlevant ma pince à cheveux. Quelques mouvements vifs, de gauche à droite, pour permettre à ma longue chevelure blonde de retomber sur mes épaules, et tout cela sans cesser de me déhancher face à lui. Souriante, je m'accroupis, finissant de déboutonner son jeans. Yves était sous mon charme, il levait les fesses et m'aidait à baisser son pantalon de moitié. Je perdis la tête, mais cette envie folle était insurmontable ! J'en rêvais depuis si longtemps, je pensais déjà au moment où il se lâcherait dans ma bouche… à la quantité de foutre impressionnante qu’il déverserait entre mes cuisses !
Je le fixai du regard, un petit sourire envieux aux lèvres et redressai alors sa queue du bout des doigts, le masturbant doucement et faisant jaillir son gland ; je le sentais aux anges ! Le regard flou, il ronronnait déjà de plaisir. Je maintins alors la hampe de chair à sa base, bien tendue, et approchai lentement le visage, un petit coup de langue bien appuyé, le fixant dans les yeux avant de reprendre doucement la masturbation. Devant son regard de chien battu, ses soupirs et sa voix tremblante, qui me murmurait que je suis une déesse, je me sentais Salope, et l’envie de cette queue me rendait folle.
Je plongeai alors sur sa tige, la tirant vers moi pour me permettre de ne pas le lâcher du regard ; une, puis deux… un léger goût salé m’emplit les papilles. Qu’il est bon d’être adulé de la sorte. Yves gémit, poussa sur ses fesses comme pour me pénétrer la bouche, mais c’est bien moi qui gérais ! Je me mis à pomper avec passion ce vérin, qui durcit de plus belle ! Je me déchaînai avec passion, tournant le poignet autour de sa superbe queue. J’alternais profondeur et vitesse avant de freiner le mouvement quelques instants. Je repris de plus belle, le sentant se tendre sous l’effet de ma langue, de mes lèvres. Durant près de dix minutes, je m’affairai sur cette bite que, sournoisement, j’espérais faire jouir ! Yves râla, grogna. Ses doigts me caressaient le crâne en affirmant que je suçais bien. J’étais au paradis du sexe. De ma main libre, je lui caressais les testicules en les roulant entre mes doigts, je m’empalais avec folie, m’étouffant même à deux reprises. Ce fut l’extase lorsque je l’entendis me crier :
– Non chérie, arrête, je vais craquer.
Je repoussai cette main qui, un instant, tentait faiblement de me repousser et me déchaînai de plus belle. Je n’étais plus moi-même, je lâchai ma prise juste le temps de lui répondre :
– Laisse-moi faire.
Et, sans attendre de réponse, je repris mes va-et-vient sur sa queue. Un long gémissement, deux secousses et oups ! son foutre m’envahit la bouche. Je ne cessai de pomper, cherchant à avaler en remontant mais, déjà, un second jet m’emplit la bouche. Le sperme m’échappa, encore un jet, j’avalai ce que je pus, mais la quantité fut telle qu’une bonne partie m’échappa et lui coula le long de la queue. Il soupira, grinça des dents, grognant que j’étais la meilleure. Enfin, j’arrivai à déglutir et me délectai du reste, le suçant plus lentement. Je ris, tout en lui essuyant la queue de la paume de ma main.
– Ta femme ne te fait pas cela, hein ?
– Salope, tu es terrible ! Jamais une femme ne m’avait sucé aussi bien !
Voilà une parole qui m’enchanta ! Je suis montée dans ma voiture dix minutes plus tard avec encore le goût acre de son foutre en bouche, les fesses trempées et heureuse de me sentir aussi Salope.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Apres avoir lu qqes unes de vos histoires, je dirais que pour moi vos storys sont bien ecrites mais redondantes après qques lectures…. Je n’y retrouve pas le plaisir, la spontanéité, les effets de surprises d’autres auteurs tels que Patrick, bichu … mais comme vous le soulignez il se peut que mon attrait soit plus dans les situations de vaudeville, plus cocasse et moins de suivre les tribulations d’une libertine assumée en goguette 🤪. Bonne suite. Alex
Mdr amusant cet esprit de vangeance mdr...
Il faut vous tapper les feux de l'amour dans votre fauteuil comme les bons petits vieux. Que vous êtes....
Ceci n'est visiblement pas un site pour vous....
Il faut vous tapper les feux de l'amour dans votre fauteuil comme les bons petits vieux. Que vous êtes....
Ceci n'est visiblement pas un site pour vous....
Idem je viens de finir la serie … c est du réchauffé, une suite ininterrompue de scene de cul … fatiguant a la longue … j atendais qq chose d’autre apres le premier episode mais non …. A oublier
Une histoire comme bcp d’autres, difficile d’accrocher car in fine c est une suite de petit coup …. Le mari est inexistant…