Yvonne et Nadia
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Yvonne et Nadia
YVONNE ET NADIA, FORMATRICES
Le premier poste de travail que j’avais occupé, après l’université et les deux années de service national, était celui de chef de service formation au sein du seul institut national de formation au management qui existait à ce moment. A l’époque, les responsables ne craignaient pas de lancer, immédiatement dans le bain de la responsabilité, les jeunes diplômés de l’université.
Le directeur de l’institut m’avait chargé de mettre sur pied une structure de formation destinée aux gestionnaires des petites et moyennes entreprises, ainsi que de recruter les formateurs chargés d’en assurer la formation et de monter les programmes adéquats. Aidé d’un bureau d’études français, je me suis mis à l’œuvre et rapidement j’en étais arrivé au recrutement des seize formateurs nécessaires pour le démarrage. Le bureau d’études et moi (avec bien sûr l’approbation du Directeur Général de l’Institut) avions opté pour le système de formation par binômes qui devaient prendre en charge et assurer la formation de gestionnaires de PME.
Sans réellement le faire exprès, j’avais recruté seize jeunes diplômés de l’enseignement supérieur, huit garçons et huit filles. Les binômes s’organisèrent d’eux-mêmes, un garçon, une fille. Il y avait les couples déjà constitués à leur recrutement: trois. Des couples qui s’étaient formés par affinité : quatre. Et un couple qui s’était formé par défaut, parce que c’était tout ce qui restait. Au début, quelques problèmes liés à la promiscuité hommes/femmes s’étaient produits. Deux filles avaient crée quelques zizanies à l’intérieur du groupe. La première avait fait divorcer son binôme, qui était marié en dehors du groupe et l’avait épousé. La deuxième avait fait divorcer son amant du moment (qui n’appartenait pas au groupe) et l’avait jeté par la suite sans autre forme de procès (l’amant en question est par la suite devenu un romancier en renom, très connu sur les places littéraires mondiales !). Mais rapidement, tout le groupe avait fonctionné normalement, plutôt de manière satisfaisante pour moi et la direction de l’Institut.
Parmi les couples constitués, il y en avait un qui était remarquable, pour ne pas dire étrange: la femme était totalement soumise aux exigences de son mari. Pour moi cette ostensible démonstration de soumission était incompréhensible de la part d’une femme qui avait fait des études supérieures et qui avait, de loin, plus de compétences que son mari. Mais enfin, tant que le binôme fonctionnait et que la formation se déroulait sans à coups, je n’avais pas à me mêler de la vie intime du couple. La femme s’habillait de manière sévère et portait des tenues strictes qui ne laissaient rien transparaître des éventuelles formes qu’elle pouvait avoir. Ses cheveux étaient toujours relevés en un horrible chignon retenu par une barrette noire. Elle portait d’affreuses lunettes à écailles, avec de gros verres pour myopes.
Par ailleurs, elle s’interdisait de parler avec les hommes du groupe, autrement que pour des problèmes strictement professionnels. Son mari était en permanence sur son dos. Je ne crois pas l’avoir vue un instant, seule et reposée. Elle paraissait tout le temps sur le qui vive ; elle se surveillait constamment. Il me semblait comprendre que son mari était très jaloux et qu’il pouvait devenir méchant et violent, s’il lui arrivait de soupçonner que sa femme pouvait avoir un intérêt quelconque pour un autre homme. Il lui interdisait tout. Et elle acceptait tout ! J’ai oublié de dire qu’elle se prénommait Nadia.
Yvonne, elle ne faisait pas directement partie du groupe. Je l’avais recrutée par l’intermédiaire d’une demande de recrutement qu’elle m’avait envoyée directement de France et à laquelle elle avait joint un curriculum vitae qui mettait en évidence un profil idéal de la formatrice. Je n’hésitais pas un instant pour la recruter, bien qu’administrativement, la chose était plutôt difficile. Elle rejoignit donc le groupe et s’y intégra immédiatement. Elle avait la trentaine ; elle était brune, mince, de taille moyenne. Elle avait de petits yeux rieurs, tout le contraire des grands yeux tristes de la plupart de filles du groupe. Elle était toute en gaîté ; s’enflammait pour un rien ; s’intéressait à tout ; assoiffée de découvertes et authentiquement curieuse, de cette curiosité intellectuelle qui faisait qu’elle était toujours à l’affût de nouvelles choses à connaître et à apprendre. Ses tenues décontractées (jean/polo ou jean/ tee-shirt en été, et en hiver, jean/gros pull en laine et parfois long manteau, quand il faisait vraiment froid) permettaient juste de constater qu’elle avait des hanches larges, une taille très fine et une petite poitrine. Sa bouche était grande avec des lèvres minces qui laissaient voir une dentition parfaite, brillante de blancheur. Je ne crois pas l’avoir vue un seul jour maquillée. Elle était toujours naturelle. Et elle sentait si bon !
Je n’avais flashé sur aucune des filles du groupe, si ce n’est très furtivement sur une femme mariée appartenant à une société cliente de l’Institut qu’on avait intégrée au groupe avec un de ses collègues pour une formation des formateurs qui devaient par la suite prendre en charge la formation des gestionnaires de leur entreprise. Mais avec elle, cela avait été furtif, bien qu’intense. Son mari, l’avait vite obligée à sortir du groupe et à retourner dans son entreprise. Il avait certainement soupçonné quelque chose.
L’arrivée d’Yvonne changea quelque peu la donne. Sa joie de vivre était rayonnante. Très vite elle était devenue le centre naturel du groupe : n’ayant pas de binôme, elle était libre. Elle donnait l’impression de papillonner d’un binôme à l’autre et de s’amuser à créer des jalousies auprès des femmes. Mais même comme cela, aucune des femmes du groupe ne la détestait. Je crois que toutes lui enviaient quelque chose : qui son impertinence ; qui la sympathie qu’elle suscitait ; qui sa gaîté communicative ; qui son intelligence et sa compétence professionnelle ; qui enfin l’intérêt qu’elle suscitait auprès des hommes.
Dès le début, elle m’avait intéressée. Je l’avais souvent invitée à partager mes repas le soir dans le petit restaurant dans lequel j’avais l’habitude de souper après le travail, quand j’étais seul. Nous étions tous les deux libres et pouvions nous permettre d’aller où bon nous semblait. Elle acceptait gentiment et se laissait même prendre en charge par moi. Nous discutions de tout et de rien ; surtout de politique. Elle avait de la sympathie pour la gauche communiste française et pour les idées tiers-mondistes. Nous refaisions le monde, en buvant quelques verres de bon vin et en riant aux éclats au détour d’une bonne blague (souvent salace !) que je racontais ou qu’elle racontait.
Et puis un soir, tout naturellement, elle m’accompagna chez moi, dans l’appartement de fonction que j’occupais alors. Tout aussi naturellement je l’ai prise par la main pour l’emmener directement dans la chambre. Je l’ai prise dans mes bras pour l’embrasser à pleine bouche et la basculer sur le lit. Elle se laissa faire, certainement grisée par tout le vin qu’elle avait ingurgité. Je m’allongeais auprès d’elle et lui prit son visage entre mes mains. Je l’observais longuement. Ses yeux avaient perdu leur côté rieur et étaient devenus soudainement très brillants. Je l’embrassais partout sur son visage, ses joues, son nez, ses yeux, son front et sur la bouche qui était ouverte et attendait son tour.
Le baiser que nous échangeâmes était tellement torride et sensuel que mon pantalon avait du mal à contenir mon sexe qui voulait quitter sa cachette. Elle savait embrasser, la coquine! Elle savait surtout se servir de sa langue pour faire monter la pression. Elle était comme une anguille, insaisissable. Elle pénétrait dans ma bouche, cherchait ma langue, la taquinait un moment, puis s’enfuyait en ramassant au passage une bonne rasade de salive. Elle y revenait quelques secondes plus tard pour recommencer le même manège. Je me laissai prendre au jeu et me mit à faire faire à ma langue le même parcours entre ma bouche et la sienne. Quand nos langues se touchaient, il me semblait que je recevais une légère décharge électrique, qui se transformait en frisson, lequel descendait le long de mon échine dorsale et allait se caler dans mon bas ventre. Mon sexe n’arrêtait pas de grossir. Je glissai ma main sous son large pull, puis sous le tee-shirt qu’elle portait en dessous et allai à la rencontre de sa poitrine. Elle ne portait pas de soutien gorge. D’ailleurs elle n’en avait pas besoin. Elle avait de petits seins bien plantés et que le désir avait rendus durs et gonflés. Ils étaient très doux au toucher.
Elle frissonna légèrement quand je me mis à les lui caresser, tout doucement, à tour de rôle. Elle aimait ce genre de caresses, en douceur. Elle prit ma main pour la maintenir sur un sein et le caresser plus longuement, en commençant par le téton pointu. Gêné par ses vêtements, je lui demandai de les ôter. Ce qu’elle fit en un tour de main en envoyant son pull et son tee-shirt en bas du lit. Elle resta ainsi la poitrine nue, et les petits seins pointés vers le ciel. Je repris mes caresses sur un sein, tout en embrasant et tétant le deuxième. La belle était aux anges ! Elle souriait de plaisir et poussait de petits gémissements qui avaient le don de m’exciter encore plus. Je n’en pouvais plus, tellement la sensation que mon sexe allait éclater était forte. Je retirai ma main de son sein et allai caresser rapidement son ventre plat tout en me dirigeant vers son bas ventre. J’essayai fiévreusement de déboutonner son jean pour ouvrir la voie de son jardin parfumé. Je m’y pris tellement mal, qu’elle se chargea elle-même de l’opération.
Elle alla même plus loin que mes désirs ; elle enleva totalement son pantalon et resta en culotte de soie rose. Je regardai un moment le beau spectacle de cette délicieuse femme en culotte. Je me mis à embrasser son ventre, en m’arrêtant un instant sur son nombril que je chatouillai légèrement avec ma langue. Elle eut un petit rire et poussa ma tête pour qu’elle aille s’occuper de choses plus sérieuses. Je descendis pour mettre ma tête au niveau de son bas ventre et de son pubis à travers la soie de sa culotte. Elle cambra son bassin pour faire avancer son bas ventre contre ma bouche. Je descendis plus bas pour embrasser sa chatte, toujours à travers sa culotte. Elle ouvrit plus grand ses cuisses pour donner plus d’espace à ma tête et lui permettre de fourrager plus facilement. D’un doigt, j’écartai sa culotte pour découvrir le jardin parfumé de ma belle. Ce que je vis, m’a fait bander encore plus fort : une chatte légèrement poilue, toute en longueur, avec des grandes lèvres très charnues, une fente brillante de mouille qui laissait voir les deux petites lèvres d’un rouge très vif et l’entrée du tunnel sombre et mystérieux. Je déposai un gros baiser tout mouillé sur ses grandes lèvres et pris possession de sa vulve que j’embrassai et suçai avec fureur.
Elle tortillait ses hanches et les poussait en avant dans l’espoir d’y faire pénétrer toute ma bouche. Elle gémissait sans cesse. Elle se mit à se caresser les tétons avec une main tout en maintenant, de son autre main, ma tête entre ses cuisses. De temps en temps, elle poussait un petit cri de plaisir quand ma langue rencontrait son clito et qu’elle le titillait. Sa culotte commençait à me gêner et à m’agacer. Je la lui enlevai presque violemment. Je levai la tête pour admirer le spectacle de sa chatte ouverte et offerte et y replongeai très vite ma bouche, pour fourrager, sucer, téter et boire son jus qu’elle déversait à satiété. Ma langue allait et venait dans son vagin prenant au passage du jus au merveilleux goût acidulé et salé. Sa chatte avait un parfum que je ne n’avais encore jamais rencontré chez une autre femme : vanillé. Je me demandai un moment si elle parfumait son sexe ou si c’était cela son odeur naturelle. Je ne poussai pas plus loin le questionnement tant j’étais occupé à agacer son clitoris et qu’elle gigotait très fortement, tellement elle ressentait du plaisir à se faire sucer.
Je sortis un moment ma bouche de son vagin et allai à la recherche de son anus, Je le lui léchai un long moment en tentant d’y introduire ma langue. N’y arrivant pas je retournai dans sa chatte et utilisa un doigt pour lui titiller en même temps l’anus. Elle aima immédiatement ce que je lui faisais. Elle gémissait plus fort et montait et descendait son bassin au rythme de mes coups de langue dans son vagin et de mon doigt dans son cul. Mon doigt n’avait aucune peine à pénétrer et à se mouvoir dans son cul. D’évidence, il n’était pas le premier à l’avoir pénétré. Elle avait dû se faire enculer souvent. Et j’étais sûr qu’elle adorait cela. Quelles belles perspectives pour le reste de la nuit ! Elle ne tarda pas à avoir un très fort orgasme. Elle monta très haut son bassin, appuya encore plus fort sur ma tête, poussa un long râle bien sonore et déchargea dans ma bouche plusieurs giclées de son délicieux jus. Et soudain, elle relâcha tous les muscles de son corps et s’affala sur le lit. Je restais un moment dans la même position, ma tête entre ses cuisses à lui lécher la vulve et à avaler goulûment sa sève. Puis je relevai la tête pour la regarder. Elle avait fermé les yeux, reprenait doucement sa respiration, un sourire béat sur la bouche. Je me levai pour m’allonger près d’elle, lui donnant un tendre baiser sur la bouche et la serrai très fort dans mes bras. Elle ouvrit les yeux, encore brillants de plaisir et me sourit tendrement.
- C’était très bon !» me dit-elle dans un souffle.
Je recommençai à l’embrasser sur tout le visage et sur le cou. Je lui pris la main et alla la poser sur mon sexe qui voulait sortir et aller à la conquête de la belle. Elle eut un léger mouvement de recul devant les dimensions de l’engin ; je la forçai à le palper; ce qu’elle fit tout doucement d’abord, puis de plus en plus fort, tirant de moi des gémissements de plaisir. Elle savait s’y prendre pour masturber un homme, la cochonne ! Me dis-je en moi-même. Au bout d’un moment, n’y tenant plus, je lui demandais de le sortir du pantalon et de le sucer. Elle déboutonna mon pantalon avec adresse et me l’enleva pour l’envoyer rejoindre ses habits à elle, à côté du lit. Elle admira un moment l’engin, fit la remarque qu’il allait lui éclater le vagin et le mit dans sa bouche. Sa grande bouche ne semblait éprouver aucune difficulté à avaler totalement le monstre. Elle connaissait parfaitement la technique pour l’enfoncer dans sa gorge, sans éprouver l’envie de vomir, le faire ressortir jusqu’à l’entrée de la bouche en le caressant au passage avec sa langue et à le replonger dans sa gorge.
Elle ne mit pas longtemps pour me faire jouir longuement dans sa bouche. Je déversai une quantité inouïe de sperme au fond de sa gorge, qu’elle avala totalement. Je ne crois pas qu’elle aimait réellement la fellation et ses conséquences, mais elle savait s’y prendre et donner le maximum de plaisir avec sa bouche. Elle reprit mon sexe dans sa main et se mit à le titiller pour lui faire reprendre de la vigueur. Au bout de quelques secondes il était dressé à la verticale comme la hampe d’un drapeau.
- Baise-moi ! me dit-elle en s’allongeant sur le dos, les genoux relevés posés sur sa poitrine et la chatte et l’anus totalement découvert.
J’étais tenté de l’enculer avant de la prendre par devant. Mais je lus dans ses yeux qu’elle voulait que je la prenne par la chatte. Je me mis à genoux entre ses cuisses, positionna mon gourdin et d’un coup de reins brusque je l’enfonçais jusqu’au fond.
- Aie ! Tu m’as fait mal ! Dit-elle en riant.
Son vagin était bien lubrifié, chaud et accueillant. Il était largement ouvert. C’était sûr qu’il avait beaucoup servi. Mais il était si accueillant et si doux ! Mon engin s’y trouvait bien. Il allait et venait en frottant très fortement sur les parois, tirant chaque fois de la belle un petit cri de plaisir. J’accélérais le mouvement qu’elle accompagnait par un mouvement analogue de son bassin.
Elle voulait jouir rapidement, tandis que moi, je voulais faire durer le plaisir. Au moment où je sentais qu’elle allait décharger, je ralentissais le rythme des allers-retours de mon sexe et elle était obligée de refouler sa jouissance. Je lui dis que je voulais qu’elle ait une jouissance très forte, plus forte que la première. Je repris le pilonnage de son vagin et cette fois-ci, j’y ajoutai un mouvement de basin circulaire qui fit qu’aucune partie de son vagin n’échappa plus au frottement. Elle sentit la différence et se mit à gémir plus fort. Elle s’adapta instantanément au nouveau rythme et fit faire à ses hanches le même mouvement circulaire, en sens inverse. Notre plaisir était ainsi multiplié par deux. J’ahanais en même temps que je la tirai ; ses gémissements se transformaient petit à petit en râles. Nous étions chacun dans notre monde, à l’écoute de notre jouissance que l’on sentait arriver comme un torrent. Ni elle, ni moi, ne voulions plus la retenir. Elle arriva chez elle accompagnée d’un long râle, d’une respiration saccadée et d’un flot de jus qui se déversa dans son vagin et sur mon sexe.
Chez moi, ce fut une explosion de foutre dans son vagin qui arriva en plusieurs vagues successives. Je criai qu’elle était bonne ! Qu’elle baisait divinement ! Qu’elle savait faire jouir un homme ! Que mon zob adorait sa chatte ! Qu’il fallait qu’on recommence tout de suite après ! Je jouissais en parlant. Elle, elle jouissait en silence. Tout le temps qu’avait duré notre relation, je ne l’avais jamais entendue parler pendant qu’on faisait l’amour. Ni pour m’inviter à lui faire quelque chose de précis ; ni pour crier qu’elle aimait ou qu’elle adorait ce que l’on était entrain de faire. A la fin d’un coït, elle pouvait avoir un commentaire du genre « c’était bon ! » sans plus. Cela ne me gênait pas, d’autant que j’étais sûr qu’elle aimait faire l’amour avec moi et qu’elle en tirait de profondes jouissances et des orgasmes très forts. C’était une simple remarque que je me faisais quand je la voyais jouir. Même quand je l’ai enculée la première fois, elle avait crié son plaisir et elle avait joui très fort, mais n’avait pas prononcé un mot pour me dire qu’elle adorait cela. Elle jouissait et cela lui suffisait.
Elle est restée avec moi tout le temps qu’a duré le projet : trois ans. Son contrat étant venu à expiration, elle avait dû quitter le pays pour aller travailler à Paris pour le bureau d’études qui nous accompagnait. J’ai de temps en temps de ses nouvelles. La dernière fois, quand elle m’avait invité à la présentation d’un livre qu’elle avait écrit pour raconter son expérience professionnelle en Algérie. Elle m’avait même dédicacée le livre avec une phrase gentille « au mentor qui m’a accompagnée et soutenue tout au long de cette expérience ! ».
Tout le temps qu’Yvonne était avec moi, je n’avais pas eu beaucoup d’aventures amoureuses. Par contre celle que j’avais eue avec Nadia m’avait réellement secoué, tant elle était inattendue et forte. Son mari, malgré l’assurance qu’il m’avait donnée au moment de son recrutement qu’il allait être dispensé des obligations du service national, avait été appelé sous les drapeaux et laissa son binôme seul deux années entières. J’avais dû le faire remplacer par Yvonne et j’avais crée ainsi le seul binôme non mixte du groupe. Cela arrangeait son mari qui était rassuré quant à la fidélité de sa femme. Le binôme devait prendre en charge une opération de sélection de candidats à la formation qui devait se dérouler dans la ville d’Oran. Tout était organisé pour que la sélection se déroule sur deux jours. Les billets d’avion étaient pris, les candidats convoqués. Ce fut alors que le grain de sable apparut. Yvonne devait partir en urgence en France pour aller au chevet de sa maman malade. Personne pour la remplacer à Oran. Tous les autres formateurs étaient pris. Il ne restait plus que moi. Contraint et forcé je me résolus à l’accompagner et à remplacer Yvonne au pied levé. Professionnellement, cela ne me posait aucun problème; c’était le fait de passer deux journées complètes avec Nadia qui me gênait un peu.
Nous fîmes donc le voyage ensemble ; elle dans sa tenue stricte, avec ses lunettes et son chignon. Moi, faisant semblant d’être à l’aise avec elle, alors que c’était tout le contraire qui se passait. Nous fûmes accueillis à Oran par le responsable de l’antenne de l’Institut qui nous amena directement au grand hôtel de la ville et nous y laissa, en nous donnant rendez-vous pour le lendemain matin pour les travaux de sélection. Nous prîmes chacun notre chambre et nous nous donnâmes rendez-vous une demi heure plus tard au salon de l’hôtel pour étudier les dossiers des candidats que, moi, je n’avais pas eu le temps de regarder.
Une demi heure après j’étais dans le salon attendant Nadia, pressé d’en finir avec les dossiers pour aller manger et peut être sortir en ville pour prendre un pot. J’attendis un peu, puis vis arriver de loin une splendide plante qui venait vers moi. Elle portait une tenue légère faite d’un chemisier en soie presque transparent qui laissait voir un soutien gorge à balconnet de couleur sombre et une jupe qui s’arrêtait au dessus des genoux, qu’elle avait ronds, blancs et brillants. Les jambes, elles aussi très blanches, étaient superbes, longues, avec des mollets bien galbés qui donnaient envie de les caresser. La démarche était ondoyante et provocante. J’eus tout de suite envie de tirer cette femme.
Elle vint s’asseoir en face de moi avec un sourire moqueur sur les lèvres. Je mis un temps fou pour reconnaître Nadia, totalement métamorphosée. J’en étais resté la bouche ouverte d’étonnement. Ma surprise devait se lire sur mon visage et lui tira un petit rire de satisfaction.
- Je te plais ! me dit-elle tout de go.
Je n’étais absolument pas préparé à ce qui se passait là et à ce qui allait obligatoirement se passer, compte tenu du tutoiement qu’elle n’avait jamais utilisé auparavant et de sa tenue aguichante.
- Oui ! » lui répondis-je d’une voix mal assurée.
Elle était profondément enfoncée dans le fauteuil qui me faisait face, sa jupe relevée à mi cuisses, les genoux légèrement écartés pour offrir à mes yeux ébahis un panorama de rêve. La blancheur de sa peau sous sa jupe de couleur sombre était d’un érotisme absolu. Je ne pouvais quitter du regard ces cuisses blanches et luisantes, légèrement ouvertes qui laissaient entrevoir sa culotte de soie noire. Je me mis à bander comme un âne !
Elle n’était nullement gênée par la situation ; elle semblait même apprécier mon émoi.
- Tu me trouves belle et désirable, n’est-ce pas ? Dis moi que je te plais et que tu veux me sauter, là tout de suite !
Si je m’attendais à celle-là ! J’étais là comme un idiot, devant une femme superbe, les jambes écartées, me montrant sa culotte et me demandant si je ne voulais pas la sauter, sans que je ne sache quoi lui répondre !
- Oui, tu me plais et je veux te sauter là tout de suite ! Dis-je en évitant son regard moqueur.
- Viens t’asseoir à côté de moi ! Je ne peux pas rester longtemps dans cette position, sinon tous les hommes de l’hôtel vont accourir pour mâter le spectacle !
Je me levai péniblement en essayant de cacher avec une main la monstrueuse excroissance que faisait mon sexe sur mon pantalon, et allai m’asseoir à côté d’elle, sur le grand fauteuil. Elle me prit la main pour la porter à sa bouche et y déposa un léger baiser. Je ne savais plus quoi penser. Et puis elle se mit à parler de sa voix douce, qui plaisait tant à ses stagiaires.
- Je sais que tu es étonné de me voir ainsi, habillée comme une pute et parlant comme une pute ! Tu ne reconnais que la madame X, donnant une image d’elle totalement soumise à son mari, complètement effacée et tremblante devant lui. Je sais que c’est cette image que tout le monde a de moi. Je sais aussi que tu sais que professionnellement c’est moi la plus compétente des deux. Mon mari ne m’arrive pas à la cheville ! Tous mes stagiaires me l’ont dit et répété. Pourtant je continue de vivre dans son ombre. Je l’ai beaucoup aimé et je l’ai épousé malgré le refus de mes parents. Ils m’ont pratiquement renié depuis mon mariage. Il ne me reste plus que lui comme famille. Malheureusement, mes parents avaient raison quant au comportement de mon mari. Il est devenu maladivement jaloux. Il ne peut pas supporter qu’un homme me regarde et ait envie de moi. J’ai beau le rassurer que je n’aime que lui, qu’aucun autre homme ne présente d’intérêt pour moi, il n’a jamais pu accepter les regards concupiscents des hommes. C’est vrai que j’ai un corps qui attire les regards malsains et les remarques insanes. J’ai toujours fait bander les hommes qui croisaient mon chemin!
- …. (ne sachant encore à quoi m’en tenir, je ne disais rien, sinon la regarder avec des yeux interrogateurs.)
- J’ai donc décidé de cacher mes appâts dans des tenues strictes et de m’enlaidir pour le rassurer. Tu as vu le résultat ! Mais même comme cela, il n’est pas rassuré et me soupçonne toujours d’avoir des désirs cachés pour d’autres hommes. Même aujourd’hui, à des centaines de kilomètres d’ici, dans sa caserne, il doit penser que je suis entrain de le tromper. Et bien, c’est ce que je vais faire avec toi. Tu me plais vraiment ; tu sembles fort et viril et surtout tu es un homme discret. Je ne sais pas si tu as compris que j’ai monté cette histoire de toutes pièces avec Yvonne. Sa mère n’a absolument rien ! Elle voulait simplement aller la voir et me laisser seule avec toi ! Ça t’en bouche un coin ! N’est-ce pas ! Et ce n’est pas fini, quand tu sauras qu’Yvonne et moi nous sommes ensemble depuis longtemps, depuis qu’elle est arrivée dans le groupe ! Elle avait tout de suite remarquée que je n’avais rien à voir avec l’image que je donnais de moi. Je l’ai invitée à la maison en l’absence de mon mari ; elle m’a déshabillée et m’a découverte comme je suis réellement. Elle a bandé pour moi ; j’ai bandé pour elle et nous sommes devenues amantes. Tu ne savais pas qu’Yvonne était bisexuelle ? Et moi aussi ?
J’allais de surprise en surprise. Je n’étais pas choqué qu’Yvonne soit bisexuelle, ni que Nadia le soit aussi. Il y a longtemps que ce genre de pratique ne me choque plus. Mais l’apprendre de cette manière avait de quoi m’enlever bien des certitudes. Yvonne m’avait mis purement et simplement Nadia dans les bras, pour que je fasse l’amour avec elle, qu’elle m’apprenne sa bisexualité et qu’elle me partage avec elle ! C’est tout ce programme que j’avais du mal, pour le moment à digérer.
- Il est temps d’aller manger ! » dis-je à Nadia, décidant ainsi d’arrêter la discussion et de prendre le temps de réfléchir un peu.
Elle me prit la main et la garda dans la sienne tout le temps que nous marchâmes vers le restaurant de l’hôtel, comme des amoureux. Elle ne la lâcha qu’une fois installés à une table. Nous commandâmes très vite; mangeâmes tout aussi vite, tout en nous observant en silence. Le sourire moqueur qu’elle avait sur les lèvres depuis qu’elle m’avait rejoint au salon, ne la quitta pas une seconde. Nous repartîmes du restaurant comme nous y étions venus, main dans la main.
Chemin faisant, elle me dit à l’oreille :
- Dans ta chambre ou dans la mienne ?
- Dans ma chambre, répondis-je sans hésiter, croyant naïvement que dans ma chambre, je retrouverais la direction des évènements.
- Que nenni ! Elle continua à mener la barque à sa guise.
Dès que j’eus refermé la porte de la chambre sur nous, elle sauta sur moi et se mit à m’embrasser comme une folle. Partout sur le visage, les joues, les yeux, le front et sur la bouche. Ses baisers étaient brûlants et fiévreux. J’avais l’impression de fondre sous sa bouche, tellement elle était chaude. Tout le temps qu’elle m’embrassait, sans me laisser l’opportunité de faire quoi que ce soit, elle parlait d’une voix saccadée et rauque, où le désir le disputait à l’envie de s’expliquer sur son comportement.
- Tu me plais ! Tu es un vrai homme ! Yvonne m’a beaucoup parlé de toi et de tes performances au lit ! De ce que tu fais aux femmes ! De ce que tu aimes qu’elles te fassent ! Chaque fois qu’elle me parlait de toi, j’étais obligée d’enlever ma culotte tellement elle était mouillée ! Je veux que tu me baises, comme tu baises Yvonne, mieux que tu baises Yvonne, parce que je suis plus belle qu’elle ! Je veux monter au ciel avec toi ! Et je voudrais tant que mon mari me voie comme cela dans tes bras ! Je voudrais qu’il me voie entrain de jouir comme une folle avec toi ! Qu’il en crève de jalousie !
Je n’y tenais plus ! Je décidais de reprendre la situation en main et en un tour de main Nadia était nue comme un ver, debout devant le lit ! Mon Dieu qu’elle était belle ! C’était véritablement une bombe sexuelle : toute en rondeurs, avec les dimensions de la perfection : des seins magnifiques hauts perchés sur sa poitrine et tendus vers l’avant avec les tétons marrons pointant vers le ciel ; un ventre plat avec, au milieu, un mignon petit nombril, superbement dessiné ; des cuises musclées et fermes toutes en rondeur, des genoux ronds et lisses appelant les caresses ; des fesses rondes et bombées, relevées comme celles des africaines ; des hanches étroites ; des épaules larges et musclées, rondes, lisses et brillantes. Le tout donnant une forte impression de douceur de la peau et de fermeté de la chair. Rien qu’à la regarder, je bandais à en faire craquer mon pantalon. N’y tenant plus, je me déshabillais très vite et me retrouvait nu comme un ver devant elle. Nous étions là à nous regarder et à nous admirer l’un l’autre, attendant celui ou celle qui ferait le premier pas. Ce fut elle que se rapprocha de moi pour prendre possession de mon sexe, le caresser et le branler à me faire mal.
- Il est magnifique ! Je vais me régaler avec !
Elle se mit à genoux pour l’embrasser et le sucer. Je la fis se relever. Je ne voulais pas qu’elle me suce ; je voulais la sauter là tout de suite; pour mon plaisir d’abord. Je le lui dis. A mon grand étonnement elle accepta et se mit en position pour que la prenne à la levrette. Elle se mit à quatre pattes en travers du lit, les fesses très haut placées pour être à la hauteur de mon sexe. Je lui écartais les grandes lèvres et fit entrer un doigt dans son vagin pour en tester l’humidité. Elle était déjà totalement mouillée. Je ne cherchai donc pas à la mouiller davantage. Je plaçais mon membre tendu comme une perche sur la fente de sa chatte et sans plus attendre je me mis à la tirer comme une brute, sans précaution aucune, en ahanant comme un bûcheron. Elle ne dit rien un moment et puis d’un coup elle se mit à gémir fort. Je lui dis de ne pas trop crier sinon on allait ameuter tout l’hôtel. Elle s’en foutait totalement ! Elle continuait à gémir pendant que je lui bourrais sa chatte.
- Baise-moi plus fort ! Encore plus fort ! Démolis-moi le vagin ! J’aime ta queue ! Elle est forte ! Elle est énorme ! Elle est faite pour me baiser moi, rien que moi ! Ejacule en moi tout ton foutre ! Fais-moi un enfant !
Et tout d’un coup, elle déchargea très fort en râlant. Elle remplit son vagin de jus qui dégoulina à l’extérieur. Je continuai à la tirer de plus en plus fort. Je lui criai que j’allais la faire jouir encore une fois et que plus jamais elle n’offrira sa chatte à quelqu’un d’autre. Je lui attrapais un des seins que je me mis à pétrir en même temps que je continuai à lui fourrer la chatte. Le geste fit renaître du désir en elle et elle se remit à gémir et à bouger son bassin pour accompagner mes coups de reins. Elle tournait ses hanches pendant que je faisais entrer et sortir mon membre dans sa chatte. Au bout d’un tout petit moment, je sentis que j’allais exploser en elle et accélérai le mouvement pour la faire jouir en même temps. Le torrent de sperme, trop longtemps contenu, se déversa en de fabuleux jets dans son vagin, pendant qu’elle aussi déchargeait en force. Je bavais de plaisir sur son dos ; elle bavait elle aussi, mais sur le lit. Je la renversai pour l’avoir face à moi et l’embrassai fortement sur la bouche tout en lui prenant les seins dans mes mains et les pétrissant.
- Maintenant tu peux me sucer lui dis-je ! Je vais te remplir de sperme cette nuit ! Je t’en mettrai dans la bouche, dans le cul, dans le vagin, sur tout le corps ! Tu aimeras ça ! Que dis-je ? Tu adoreras ça !
- Oui ! Tout ce que tu voudras ! Mais avant je veux faire quelque chose que j’ai toujours voulu faire devant un homme : me masturber alors qu’il me regarde ! Tu veux ?
Avant même que je ne réponde, elle posa sa main sur sa chatte et se mit à se masturber vigoureusement en regardant mon sexe, à qui le spectacle avait redonné de la vigueur. Elle faisait entrer deux doigts à l’intérieur de son vagin et leur fit faire des mouvements de va et vient à une allure de plus en plus rapide. Elle me regardait maintenant dans les yeux, cherchant à y lire le désir que j’avais d’elle. Elle me souriait pendant qu’elle continuait de se caresser. Tout à coup je vis ses lèvres s’étirer et se pincer et devenir toutes blanches, ses yeux se voiler, tous les muscles de son visage se tendre et le tout se relâcher subitement dans un râle de jouissance. Un flot de salive sortit de sa bouche en même temps que ses gémissements se faisaient de plus en plus inaudibles. Elle arrêta de se caresser, me lança un sourire éclatant et me tendit sa main pour que je la lèche. Je la lui léchai goulûment. J’adorais le goût salé de ses sécrétions.
- Tu dois me prendre pour une folle ou une malade ! me dit-elle. C’est vrai que j’ai des fantasmes bizarres; celui là en est un que ne je pouvais réaliser qu’avec un homme comme toi, très large d’esprit! Mes autres fantasmes sont plus classiques, si on veut dire ! J’aimerais baiser avec deux hommes membrés comme toi ! Celui-là je sais qu’un jour je le vivrais ! Probablement pas avec toi, parce que je sais que tu n’aimes pas partager ! J’aimerais te partager avec une autre femme ! Et cela je sais que ça arrivera au moins avec Yvonne ! Mais mon fantasme le plus cher, c’est de me faire baiser par toi, devant mon mari, pour me venger de toutes les misères qu’il m’a faites et qu’il me fait encore !
Plus je l’écoutais et plus le temps passait et plus je découvrais en elle des facettes inconnues qui m’ouvraient des perspectives érotiques extraordinaires. Je me disais en moi-même « pauvre mari qui passe à côté d’une telle femme ! ». Cette nuit là, la nuit qui suivit et les trois autres de rab que nous nous accordâmes, avaient été torrides et merveilleuses. Nous rentrâmes à Alger, en ayant bâclé le travail pour lequel nous étions partis, mais follement heureux et en nous promettant de trouver un stratagème pour nous revoir et reprendre nos amours là où nous les avions laissées. A Alger elle reprit sa tenue de fille sage et se comporta en public avec moi comme elle le faisait auparavant, avant notre aventure oranaise.
Avec Yvonne, à qui j’avais tout raconté et qui était contente du coup qu’elles avaient monté ensemble, nous nous arrangeâmes pour nous retrouver de temps en temps, la journée, chez elle, dans son studio. Nous fîmes ménage à trois, pendant plus d’une année et demi, jusqu’au retour définitif de son mari de l’armée et jusqu’à la naissance d’une petite fille, qu’elle disait être de moi. Elle resta encore un temps avec son mari, eurent deux autres enfants ensemble, et puis un jour elle décida de tout plaquer et de divorcer. Elle prit ses enfants, quitta son mari et alla s’installer dans sa ville natale. Elle y enseigne, aujourd’hui encore, à l’université. Elle a quitté sa tenue de fille sage pour une tenue plus séante, qui mettait en valeur sa beauté et la rendait attirante. Elle vit actuellement avec un homme, plus jeune qu’elle, mais dont on dit qu’il est fou amoureux d’elle.
Le premier poste de travail que j’avais occupé, après l’université et les deux années de service national, était celui de chef de service formation au sein du seul institut national de formation au management qui existait à ce moment. A l’époque, les responsables ne craignaient pas de lancer, immédiatement dans le bain de la responsabilité, les jeunes diplômés de l’université.
Le directeur de l’institut m’avait chargé de mettre sur pied une structure de formation destinée aux gestionnaires des petites et moyennes entreprises, ainsi que de recruter les formateurs chargés d’en assurer la formation et de monter les programmes adéquats. Aidé d’un bureau d’études français, je me suis mis à l’œuvre et rapidement j’en étais arrivé au recrutement des seize formateurs nécessaires pour le démarrage. Le bureau d’études et moi (avec bien sûr l’approbation du Directeur Général de l’Institut) avions opté pour le système de formation par binômes qui devaient prendre en charge et assurer la formation de gestionnaires de PME.
Sans réellement le faire exprès, j’avais recruté seize jeunes diplômés de l’enseignement supérieur, huit garçons et huit filles. Les binômes s’organisèrent d’eux-mêmes, un garçon, une fille. Il y avait les couples déjà constitués à leur recrutement: trois. Des couples qui s’étaient formés par affinité : quatre. Et un couple qui s’était formé par défaut, parce que c’était tout ce qui restait. Au début, quelques problèmes liés à la promiscuité hommes/femmes s’étaient produits. Deux filles avaient crée quelques zizanies à l’intérieur du groupe. La première avait fait divorcer son binôme, qui était marié en dehors du groupe et l’avait épousé. La deuxième avait fait divorcer son amant du moment (qui n’appartenait pas au groupe) et l’avait jeté par la suite sans autre forme de procès (l’amant en question est par la suite devenu un romancier en renom, très connu sur les places littéraires mondiales !). Mais rapidement, tout le groupe avait fonctionné normalement, plutôt de manière satisfaisante pour moi et la direction de l’Institut.
Parmi les couples constitués, il y en avait un qui était remarquable, pour ne pas dire étrange: la femme était totalement soumise aux exigences de son mari. Pour moi cette ostensible démonstration de soumission était incompréhensible de la part d’une femme qui avait fait des études supérieures et qui avait, de loin, plus de compétences que son mari. Mais enfin, tant que le binôme fonctionnait et que la formation se déroulait sans à coups, je n’avais pas à me mêler de la vie intime du couple. La femme s’habillait de manière sévère et portait des tenues strictes qui ne laissaient rien transparaître des éventuelles formes qu’elle pouvait avoir. Ses cheveux étaient toujours relevés en un horrible chignon retenu par une barrette noire. Elle portait d’affreuses lunettes à écailles, avec de gros verres pour myopes.
Par ailleurs, elle s’interdisait de parler avec les hommes du groupe, autrement que pour des problèmes strictement professionnels. Son mari était en permanence sur son dos. Je ne crois pas l’avoir vue un instant, seule et reposée. Elle paraissait tout le temps sur le qui vive ; elle se surveillait constamment. Il me semblait comprendre que son mari était très jaloux et qu’il pouvait devenir méchant et violent, s’il lui arrivait de soupçonner que sa femme pouvait avoir un intérêt quelconque pour un autre homme. Il lui interdisait tout. Et elle acceptait tout ! J’ai oublié de dire qu’elle se prénommait Nadia.
Yvonne, elle ne faisait pas directement partie du groupe. Je l’avais recrutée par l’intermédiaire d’une demande de recrutement qu’elle m’avait envoyée directement de France et à laquelle elle avait joint un curriculum vitae qui mettait en évidence un profil idéal de la formatrice. Je n’hésitais pas un instant pour la recruter, bien qu’administrativement, la chose était plutôt difficile. Elle rejoignit donc le groupe et s’y intégra immédiatement. Elle avait la trentaine ; elle était brune, mince, de taille moyenne. Elle avait de petits yeux rieurs, tout le contraire des grands yeux tristes de la plupart de filles du groupe. Elle était toute en gaîté ; s’enflammait pour un rien ; s’intéressait à tout ; assoiffée de découvertes et authentiquement curieuse, de cette curiosité intellectuelle qui faisait qu’elle était toujours à l’affût de nouvelles choses à connaître et à apprendre. Ses tenues décontractées (jean/polo ou jean/ tee-shirt en été, et en hiver, jean/gros pull en laine et parfois long manteau, quand il faisait vraiment froid) permettaient juste de constater qu’elle avait des hanches larges, une taille très fine et une petite poitrine. Sa bouche était grande avec des lèvres minces qui laissaient voir une dentition parfaite, brillante de blancheur. Je ne crois pas l’avoir vue un seul jour maquillée. Elle était toujours naturelle. Et elle sentait si bon !
Je n’avais flashé sur aucune des filles du groupe, si ce n’est très furtivement sur une femme mariée appartenant à une société cliente de l’Institut qu’on avait intégrée au groupe avec un de ses collègues pour une formation des formateurs qui devaient par la suite prendre en charge la formation des gestionnaires de leur entreprise. Mais avec elle, cela avait été furtif, bien qu’intense. Son mari, l’avait vite obligée à sortir du groupe et à retourner dans son entreprise. Il avait certainement soupçonné quelque chose.
L’arrivée d’Yvonne changea quelque peu la donne. Sa joie de vivre était rayonnante. Très vite elle était devenue le centre naturel du groupe : n’ayant pas de binôme, elle était libre. Elle donnait l’impression de papillonner d’un binôme à l’autre et de s’amuser à créer des jalousies auprès des femmes. Mais même comme cela, aucune des femmes du groupe ne la détestait. Je crois que toutes lui enviaient quelque chose : qui son impertinence ; qui la sympathie qu’elle suscitait ; qui sa gaîté communicative ; qui son intelligence et sa compétence professionnelle ; qui enfin l’intérêt qu’elle suscitait auprès des hommes.
Dès le début, elle m’avait intéressée. Je l’avais souvent invitée à partager mes repas le soir dans le petit restaurant dans lequel j’avais l’habitude de souper après le travail, quand j’étais seul. Nous étions tous les deux libres et pouvions nous permettre d’aller où bon nous semblait. Elle acceptait gentiment et se laissait même prendre en charge par moi. Nous discutions de tout et de rien ; surtout de politique. Elle avait de la sympathie pour la gauche communiste française et pour les idées tiers-mondistes. Nous refaisions le monde, en buvant quelques verres de bon vin et en riant aux éclats au détour d’une bonne blague (souvent salace !) que je racontais ou qu’elle racontait.
Et puis un soir, tout naturellement, elle m’accompagna chez moi, dans l’appartement de fonction que j’occupais alors. Tout aussi naturellement je l’ai prise par la main pour l’emmener directement dans la chambre. Je l’ai prise dans mes bras pour l’embrasser à pleine bouche et la basculer sur le lit. Elle se laissa faire, certainement grisée par tout le vin qu’elle avait ingurgité. Je m’allongeais auprès d’elle et lui prit son visage entre mes mains. Je l’observais longuement. Ses yeux avaient perdu leur côté rieur et étaient devenus soudainement très brillants. Je l’embrassais partout sur son visage, ses joues, son nez, ses yeux, son front et sur la bouche qui était ouverte et attendait son tour.
Le baiser que nous échangeâmes était tellement torride et sensuel que mon pantalon avait du mal à contenir mon sexe qui voulait quitter sa cachette. Elle savait embrasser, la coquine! Elle savait surtout se servir de sa langue pour faire monter la pression. Elle était comme une anguille, insaisissable. Elle pénétrait dans ma bouche, cherchait ma langue, la taquinait un moment, puis s’enfuyait en ramassant au passage une bonne rasade de salive. Elle y revenait quelques secondes plus tard pour recommencer le même manège. Je me laissai prendre au jeu et me mit à faire faire à ma langue le même parcours entre ma bouche et la sienne. Quand nos langues se touchaient, il me semblait que je recevais une légère décharge électrique, qui se transformait en frisson, lequel descendait le long de mon échine dorsale et allait se caler dans mon bas ventre. Mon sexe n’arrêtait pas de grossir. Je glissai ma main sous son large pull, puis sous le tee-shirt qu’elle portait en dessous et allai à la rencontre de sa poitrine. Elle ne portait pas de soutien gorge. D’ailleurs elle n’en avait pas besoin. Elle avait de petits seins bien plantés et que le désir avait rendus durs et gonflés. Ils étaient très doux au toucher.
Elle frissonna légèrement quand je me mis à les lui caresser, tout doucement, à tour de rôle. Elle aimait ce genre de caresses, en douceur. Elle prit ma main pour la maintenir sur un sein et le caresser plus longuement, en commençant par le téton pointu. Gêné par ses vêtements, je lui demandai de les ôter. Ce qu’elle fit en un tour de main en envoyant son pull et son tee-shirt en bas du lit. Elle resta ainsi la poitrine nue, et les petits seins pointés vers le ciel. Je repris mes caresses sur un sein, tout en embrasant et tétant le deuxième. La belle était aux anges ! Elle souriait de plaisir et poussait de petits gémissements qui avaient le don de m’exciter encore plus. Je n’en pouvais plus, tellement la sensation que mon sexe allait éclater était forte. Je retirai ma main de son sein et allai caresser rapidement son ventre plat tout en me dirigeant vers son bas ventre. J’essayai fiévreusement de déboutonner son jean pour ouvrir la voie de son jardin parfumé. Je m’y pris tellement mal, qu’elle se chargea elle-même de l’opération.
Elle alla même plus loin que mes désirs ; elle enleva totalement son pantalon et resta en culotte de soie rose. Je regardai un moment le beau spectacle de cette délicieuse femme en culotte. Je me mis à embrasser son ventre, en m’arrêtant un instant sur son nombril que je chatouillai légèrement avec ma langue. Elle eut un petit rire et poussa ma tête pour qu’elle aille s’occuper de choses plus sérieuses. Je descendis pour mettre ma tête au niveau de son bas ventre et de son pubis à travers la soie de sa culotte. Elle cambra son bassin pour faire avancer son bas ventre contre ma bouche. Je descendis plus bas pour embrasser sa chatte, toujours à travers sa culotte. Elle ouvrit plus grand ses cuisses pour donner plus d’espace à ma tête et lui permettre de fourrager plus facilement. D’un doigt, j’écartai sa culotte pour découvrir le jardin parfumé de ma belle. Ce que je vis, m’a fait bander encore plus fort : une chatte légèrement poilue, toute en longueur, avec des grandes lèvres très charnues, une fente brillante de mouille qui laissait voir les deux petites lèvres d’un rouge très vif et l’entrée du tunnel sombre et mystérieux. Je déposai un gros baiser tout mouillé sur ses grandes lèvres et pris possession de sa vulve que j’embrassai et suçai avec fureur.
Elle tortillait ses hanches et les poussait en avant dans l’espoir d’y faire pénétrer toute ma bouche. Elle gémissait sans cesse. Elle se mit à se caresser les tétons avec une main tout en maintenant, de son autre main, ma tête entre ses cuisses. De temps en temps, elle poussait un petit cri de plaisir quand ma langue rencontrait son clito et qu’elle le titillait. Sa culotte commençait à me gêner et à m’agacer. Je la lui enlevai presque violemment. Je levai la tête pour admirer le spectacle de sa chatte ouverte et offerte et y replongeai très vite ma bouche, pour fourrager, sucer, téter et boire son jus qu’elle déversait à satiété. Ma langue allait et venait dans son vagin prenant au passage du jus au merveilleux goût acidulé et salé. Sa chatte avait un parfum que je ne n’avais encore jamais rencontré chez une autre femme : vanillé. Je me demandai un moment si elle parfumait son sexe ou si c’était cela son odeur naturelle. Je ne poussai pas plus loin le questionnement tant j’étais occupé à agacer son clitoris et qu’elle gigotait très fortement, tellement elle ressentait du plaisir à se faire sucer.
Je sortis un moment ma bouche de son vagin et allai à la recherche de son anus, Je le lui léchai un long moment en tentant d’y introduire ma langue. N’y arrivant pas je retournai dans sa chatte et utilisa un doigt pour lui titiller en même temps l’anus. Elle aima immédiatement ce que je lui faisais. Elle gémissait plus fort et montait et descendait son bassin au rythme de mes coups de langue dans son vagin et de mon doigt dans son cul. Mon doigt n’avait aucune peine à pénétrer et à se mouvoir dans son cul. D’évidence, il n’était pas le premier à l’avoir pénétré. Elle avait dû se faire enculer souvent. Et j’étais sûr qu’elle adorait cela. Quelles belles perspectives pour le reste de la nuit ! Elle ne tarda pas à avoir un très fort orgasme. Elle monta très haut son bassin, appuya encore plus fort sur ma tête, poussa un long râle bien sonore et déchargea dans ma bouche plusieurs giclées de son délicieux jus. Et soudain, elle relâcha tous les muscles de son corps et s’affala sur le lit. Je restais un moment dans la même position, ma tête entre ses cuisses à lui lécher la vulve et à avaler goulûment sa sève. Puis je relevai la tête pour la regarder. Elle avait fermé les yeux, reprenait doucement sa respiration, un sourire béat sur la bouche. Je me levai pour m’allonger près d’elle, lui donnant un tendre baiser sur la bouche et la serrai très fort dans mes bras. Elle ouvrit les yeux, encore brillants de plaisir et me sourit tendrement.
- C’était très bon !» me dit-elle dans un souffle.
Je recommençai à l’embrasser sur tout le visage et sur le cou. Je lui pris la main et alla la poser sur mon sexe qui voulait sortir et aller à la conquête de la belle. Elle eut un léger mouvement de recul devant les dimensions de l’engin ; je la forçai à le palper; ce qu’elle fit tout doucement d’abord, puis de plus en plus fort, tirant de moi des gémissements de plaisir. Elle savait s’y prendre pour masturber un homme, la cochonne ! Me dis-je en moi-même. Au bout d’un moment, n’y tenant plus, je lui demandais de le sortir du pantalon et de le sucer. Elle déboutonna mon pantalon avec adresse et me l’enleva pour l’envoyer rejoindre ses habits à elle, à côté du lit. Elle admira un moment l’engin, fit la remarque qu’il allait lui éclater le vagin et le mit dans sa bouche. Sa grande bouche ne semblait éprouver aucune difficulté à avaler totalement le monstre. Elle connaissait parfaitement la technique pour l’enfoncer dans sa gorge, sans éprouver l’envie de vomir, le faire ressortir jusqu’à l’entrée de la bouche en le caressant au passage avec sa langue et à le replonger dans sa gorge.
Elle ne mit pas longtemps pour me faire jouir longuement dans sa bouche. Je déversai une quantité inouïe de sperme au fond de sa gorge, qu’elle avala totalement. Je ne crois pas qu’elle aimait réellement la fellation et ses conséquences, mais elle savait s’y prendre et donner le maximum de plaisir avec sa bouche. Elle reprit mon sexe dans sa main et se mit à le titiller pour lui faire reprendre de la vigueur. Au bout de quelques secondes il était dressé à la verticale comme la hampe d’un drapeau.
- Baise-moi ! me dit-elle en s’allongeant sur le dos, les genoux relevés posés sur sa poitrine et la chatte et l’anus totalement découvert.
J’étais tenté de l’enculer avant de la prendre par devant. Mais je lus dans ses yeux qu’elle voulait que je la prenne par la chatte. Je me mis à genoux entre ses cuisses, positionna mon gourdin et d’un coup de reins brusque je l’enfonçais jusqu’au fond.
- Aie ! Tu m’as fait mal ! Dit-elle en riant.
Son vagin était bien lubrifié, chaud et accueillant. Il était largement ouvert. C’était sûr qu’il avait beaucoup servi. Mais il était si accueillant et si doux ! Mon engin s’y trouvait bien. Il allait et venait en frottant très fortement sur les parois, tirant chaque fois de la belle un petit cri de plaisir. J’accélérais le mouvement qu’elle accompagnait par un mouvement analogue de son bassin.
Elle voulait jouir rapidement, tandis que moi, je voulais faire durer le plaisir. Au moment où je sentais qu’elle allait décharger, je ralentissais le rythme des allers-retours de mon sexe et elle était obligée de refouler sa jouissance. Je lui dis que je voulais qu’elle ait une jouissance très forte, plus forte que la première. Je repris le pilonnage de son vagin et cette fois-ci, j’y ajoutai un mouvement de basin circulaire qui fit qu’aucune partie de son vagin n’échappa plus au frottement. Elle sentit la différence et se mit à gémir plus fort. Elle s’adapta instantanément au nouveau rythme et fit faire à ses hanches le même mouvement circulaire, en sens inverse. Notre plaisir était ainsi multiplié par deux. J’ahanais en même temps que je la tirai ; ses gémissements se transformaient petit à petit en râles. Nous étions chacun dans notre monde, à l’écoute de notre jouissance que l’on sentait arriver comme un torrent. Ni elle, ni moi, ne voulions plus la retenir. Elle arriva chez elle accompagnée d’un long râle, d’une respiration saccadée et d’un flot de jus qui se déversa dans son vagin et sur mon sexe.
Chez moi, ce fut une explosion de foutre dans son vagin qui arriva en plusieurs vagues successives. Je criai qu’elle était bonne ! Qu’elle baisait divinement ! Qu’elle savait faire jouir un homme ! Que mon zob adorait sa chatte ! Qu’il fallait qu’on recommence tout de suite après ! Je jouissais en parlant. Elle, elle jouissait en silence. Tout le temps qu’avait duré notre relation, je ne l’avais jamais entendue parler pendant qu’on faisait l’amour. Ni pour m’inviter à lui faire quelque chose de précis ; ni pour crier qu’elle aimait ou qu’elle adorait ce que l’on était entrain de faire. A la fin d’un coït, elle pouvait avoir un commentaire du genre « c’était bon ! » sans plus. Cela ne me gênait pas, d’autant que j’étais sûr qu’elle aimait faire l’amour avec moi et qu’elle en tirait de profondes jouissances et des orgasmes très forts. C’était une simple remarque que je me faisais quand je la voyais jouir. Même quand je l’ai enculée la première fois, elle avait crié son plaisir et elle avait joui très fort, mais n’avait pas prononcé un mot pour me dire qu’elle adorait cela. Elle jouissait et cela lui suffisait.
Elle est restée avec moi tout le temps qu’a duré le projet : trois ans. Son contrat étant venu à expiration, elle avait dû quitter le pays pour aller travailler à Paris pour le bureau d’études qui nous accompagnait. J’ai de temps en temps de ses nouvelles. La dernière fois, quand elle m’avait invité à la présentation d’un livre qu’elle avait écrit pour raconter son expérience professionnelle en Algérie. Elle m’avait même dédicacée le livre avec une phrase gentille « au mentor qui m’a accompagnée et soutenue tout au long de cette expérience ! ».
Tout le temps qu’Yvonne était avec moi, je n’avais pas eu beaucoup d’aventures amoureuses. Par contre celle que j’avais eue avec Nadia m’avait réellement secoué, tant elle était inattendue et forte. Son mari, malgré l’assurance qu’il m’avait donnée au moment de son recrutement qu’il allait être dispensé des obligations du service national, avait été appelé sous les drapeaux et laissa son binôme seul deux années entières. J’avais dû le faire remplacer par Yvonne et j’avais crée ainsi le seul binôme non mixte du groupe. Cela arrangeait son mari qui était rassuré quant à la fidélité de sa femme. Le binôme devait prendre en charge une opération de sélection de candidats à la formation qui devait se dérouler dans la ville d’Oran. Tout était organisé pour que la sélection se déroule sur deux jours. Les billets d’avion étaient pris, les candidats convoqués. Ce fut alors que le grain de sable apparut. Yvonne devait partir en urgence en France pour aller au chevet de sa maman malade. Personne pour la remplacer à Oran. Tous les autres formateurs étaient pris. Il ne restait plus que moi. Contraint et forcé je me résolus à l’accompagner et à remplacer Yvonne au pied levé. Professionnellement, cela ne me posait aucun problème; c’était le fait de passer deux journées complètes avec Nadia qui me gênait un peu.
Nous fîmes donc le voyage ensemble ; elle dans sa tenue stricte, avec ses lunettes et son chignon. Moi, faisant semblant d’être à l’aise avec elle, alors que c’était tout le contraire qui se passait. Nous fûmes accueillis à Oran par le responsable de l’antenne de l’Institut qui nous amena directement au grand hôtel de la ville et nous y laissa, en nous donnant rendez-vous pour le lendemain matin pour les travaux de sélection. Nous prîmes chacun notre chambre et nous nous donnâmes rendez-vous une demi heure plus tard au salon de l’hôtel pour étudier les dossiers des candidats que, moi, je n’avais pas eu le temps de regarder.
Une demi heure après j’étais dans le salon attendant Nadia, pressé d’en finir avec les dossiers pour aller manger et peut être sortir en ville pour prendre un pot. J’attendis un peu, puis vis arriver de loin une splendide plante qui venait vers moi. Elle portait une tenue légère faite d’un chemisier en soie presque transparent qui laissait voir un soutien gorge à balconnet de couleur sombre et une jupe qui s’arrêtait au dessus des genoux, qu’elle avait ronds, blancs et brillants. Les jambes, elles aussi très blanches, étaient superbes, longues, avec des mollets bien galbés qui donnaient envie de les caresser. La démarche était ondoyante et provocante. J’eus tout de suite envie de tirer cette femme.
Elle vint s’asseoir en face de moi avec un sourire moqueur sur les lèvres. Je mis un temps fou pour reconnaître Nadia, totalement métamorphosée. J’en étais resté la bouche ouverte d’étonnement. Ma surprise devait se lire sur mon visage et lui tira un petit rire de satisfaction.
- Je te plais ! me dit-elle tout de go.
Je n’étais absolument pas préparé à ce qui se passait là et à ce qui allait obligatoirement se passer, compte tenu du tutoiement qu’elle n’avait jamais utilisé auparavant et de sa tenue aguichante.
- Oui ! » lui répondis-je d’une voix mal assurée.
Elle était profondément enfoncée dans le fauteuil qui me faisait face, sa jupe relevée à mi cuisses, les genoux légèrement écartés pour offrir à mes yeux ébahis un panorama de rêve. La blancheur de sa peau sous sa jupe de couleur sombre était d’un érotisme absolu. Je ne pouvais quitter du regard ces cuisses blanches et luisantes, légèrement ouvertes qui laissaient entrevoir sa culotte de soie noire. Je me mis à bander comme un âne !
Elle n’était nullement gênée par la situation ; elle semblait même apprécier mon émoi.
- Tu me trouves belle et désirable, n’est-ce pas ? Dis moi que je te plais et que tu veux me sauter, là tout de suite !
Si je m’attendais à celle-là ! J’étais là comme un idiot, devant une femme superbe, les jambes écartées, me montrant sa culotte et me demandant si je ne voulais pas la sauter, sans que je ne sache quoi lui répondre !
- Oui, tu me plais et je veux te sauter là tout de suite ! Dis-je en évitant son regard moqueur.
- Viens t’asseoir à côté de moi ! Je ne peux pas rester longtemps dans cette position, sinon tous les hommes de l’hôtel vont accourir pour mâter le spectacle !
Je me levai péniblement en essayant de cacher avec une main la monstrueuse excroissance que faisait mon sexe sur mon pantalon, et allai m’asseoir à côté d’elle, sur le grand fauteuil. Elle me prit la main pour la porter à sa bouche et y déposa un léger baiser. Je ne savais plus quoi penser. Et puis elle se mit à parler de sa voix douce, qui plaisait tant à ses stagiaires.
- Je sais que tu es étonné de me voir ainsi, habillée comme une pute et parlant comme une pute ! Tu ne reconnais que la madame X, donnant une image d’elle totalement soumise à son mari, complètement effacée et tremblante devant lui. Je sais que c’est cette image que tout le monde a de moi. Je sais aussi que tu sais que professionnellement c’est moi la plus compétente des deux. Mon mari ne m’arrive pas à la cheville ! Tous mes stagiaires me l’ont dit et répété. Pourtant je continue de vivre dans son ombre. Je l’ai beaucoup aimé et je l’ai épousé malgré le refus de mes parents. Ils m’ont pratiquement renié depuis mon mariage. Il ne me reste plus que lui comme famille. Malheureusement, mes parents avaient raison quant au comportement de mon mari. Il est devenu maladivement jaloux. Il ne peut pas supporter qu’un homme me regarde et ait envie de moi. J’ai beau le rassurer que je n’aime que lui, qu’aucun autre homme ne présente d’intérêt pour moi, il n’a jamais pu accepter les regards concupiscents des hommes. C’est vrai que j’ai un corps qui attire les regards malsains et les remarques insanes. J’ai toujours fait bander les hommes qui croisaient mon chemin!
- …. (ne sachant encore à quoi m’en tenir, je ne disais rien, sinon la regarder avec des yeux interrogateurs.)
- J’ai donc décidé de cacher mes appâts dans des tenues strictes et de m’enlaidir pour le rassurer. Tu as vu le résultat ! Mais même comme cela, il n’est pas rassuré et me soupçonne toujours d’avoir des désirs cachés pour d’autres hommes. Même aujourd’hui, à des centaines de kilomètres d’ici, dans sa caserne, il doit penser que je suis entrain de le tromper. Et bien, c’est ce que je vais faire avec toi. Tu me plais vraiment ; tu sembles fort et viril et surtout tu es un homme discret. Je ne sais pas si tu as compris que j’ai monté cette histoire de toutes pièces avec Yvonne. Sa mère n’a absolument rien ! Elle voulait simplement aller la voir et me laisser seule avec toi ! Ça t’en bouche un coin ! N’est-ce pas ! Et ce n’est pas fini, quand tu sauras qu’Yvonne et moi nous sommes ensemble depuis longtemps, depuis qu’elle est arrivée dans le groupe ! Elle avait tout de suite remarquée que je n’avais rien à voir avec l’image que je donnais de moi. Je l’ai invitée à la maison en l’absence de mon mari ; elle m’a déshabillée et m’a découverte comme je suis réellement. Elle a bandé pour moi ; j’ai bandé pour elle et nous sommes devenues amantes. Tu ne savais pas qu’Yvonne était bisexuelle ? Et moi aussi ?
J’allais de surprise en surprise. Je n’étais pas choqué qu’Yvonne soit bisexuelle, ni que Nadia le soit aussi. Il y a longtemps que ce genre de pratique ne me choque plus. Mais l’apprendre de cette manière avait de quoi m’enlever bien des certitudes. Yvonne m’avait mis purement et simplement Nadia dans les bras, pour que je fasse l’amour avec elle, qu’elle m’apprenne sa bisexualité et qu’elle me partage avec elle ! C’est tout ce programme que j’avais du mal, pour le moment à digérer.
- Il est temps d’aller manger ! » dis-je à Nadia, décidant ainsi d’arrêter la discussion et de prendre le temps de réfléchir un peu.
Elle me prit la main et la garda dans la sienne tout le temps que nous marchâmes vers le restaurant de l’hôtel, comme des amoureux. Elle ne la lâcha qu’une fois installés à une table. Nous commandâmes très vite; mangeâmes tout aussi vite, tout en nous observant en silence. Le sourire moqueur qu’elle avait sur les lèvres depuis qu’elle m’avait rejoint au salon, ne la quitta pas une seconde. Nous repartîmes du restaurant comme nous y étions venus, main dans la main.
Chemin faisant, elle me dit à l’oreille :
- Dans ta chambre ou dans la mienne ?
- Dans ma chambre, répondis-je sans hésiter, croyant naïvement que dans ma chambre, je retrouverais la direction des évènements.
- Que nenni ! Elle continua à mener la barque à sa guise.
Dès que j’eus refermé la porte de la chambre sur nous, elle sauta sur moi et se mit à m’embrasser comme une folle. Partout sur le visage, les joues, les yeux, le front et sur la bouche. Ses baisers étaient brûlants et fiévreux. J’avais l’impression de fondre sous sa bouche, tellement elle était chaude. Tout le temps qu’elle m’embrassait, sans me laisser l’opportunité de faire quoi que ce soit, elle parlait d’une voix saccadée et rauque, où le désir le disputait à l’envie de s’expliquer sur son comportement.
- Tu me plais ! Tu es un vrai homme ! Yvonne m’a beaucoup parlé de toi et de tes performances au lit ! De ce que tu fais aux femmes ! De ce que tu aimes qu’elles te fassent ! Chaque fois qu’elle me parlait de toi, j’étais obligée d’enlever ma culotte tellement elle était mouillée ! Je veux que tu me baises, comme tu baises Yvonne, mieux que tu baises Yvonne, parce que je suis plus belle qu’elle ! Je veux monter au ciel avec toi ! Et je voudrais tant que mon mari me voie comme cela dans tes bras ! Je voudrais qu’il me voie entrain de jouir comme une folle avec toi ! Qu’il en crève de jalousie !
Je n’y tenais plus ! Je décidais de reprendre la situation en main et en un tour de main Nadia était nue comme un ver, debout devant le lit ! Mon Dieu qu’elle était belle ! C’était véritablement une bombe sexuelle : toute en rondeurs, avec les dimensions de la perfection : des seins magnifiques hauts perchés sur sa poitrine et tendus vers l’avant avec les tétons marrons pointant vers le ciel ; un ventre plat avec, au milieu, un mignon petit nombril, superbement dessiné ; des cuises musclées et fermes toutes en rondeur, des genoux ronds et lisses appelant les caresses ; des fesses rondes et bombées, relevées comme celles des africaines ; des hanches étroites ; des épaules larges et musclées, rondes, lisses et brillantes. Le tout donnant une forte impression de douceur de la peau et de fermeté de la chair. Rien qu’à la regarder, je bandais à en faire craquer mon pantalon. N’y tenant plus, je me déshabillais très vite et me retrouvait nu comme un ver devant elle. Nous étions là à nous regarder et à nous admirer l’un l’autre, attendant celui ou celle qui ferait le premier pas. Ce fut elle que se rapprocha de moi pour prendre possession de mon sexe, le caresser et le branler à me faire mal.
- Il est magnifique ! Je vais me régaler avec !
Elle se mit à genoux pour l’embrasser et le sucer. Je la fis se relever. Je ne voulais pas qu’elle me suce ; je voulais la sauter là tout de suite; pour mon plaisir d’abord. Je le lui dis. A mon grand étonnement elle accepta et se mit en position pour que la prenne à la levrette. Elle se mit à quatre pattes en travers du lit, les fesses très haut placées pour être à la hauteur de mon sexe. Je lui écartais les grandes lèvres et fit entrer un doigt dans son vagin pour en tester l’humidité. Elle était déjà totalement mouillée. Je ne cherchai donc pas à la mouiller davantage. Je plaçais mon membre tendu comme une perche sur la fente de sa chatte et sans plus attendre je me mis à la tirer comme une brute, sans précaution aucune, en ahanant comme un bûcheron. Elle ne dit rien un moment et puis d’un coup elle se mit à gémir fort. Je lui dis de ne pas trop crier sinon on allait ameuter tout l’hôtel. Elle s’en foutait totalement ! Elle continuait à gémir pendant que je lui bourrais sa chatte.
- Baise-moi plus fort ! Encore plus fort ! Démolis-moi le vagin ! J’aime ta queue ! Elle est forte ! Elle est énorme ! Elle est faite pour me baiser moi, rien que moi ! Ejacule en moi tout ton foutre ! Fais-moi un enfant !
Et tout d’un coup, elle déchargea très fort en râlant. Elle remplit son vagin de jus qui dégoulina à l’extérieur. Je continuai à la tirer de plus en plus fort. Je lui criai que j’allais la faire jouir encore une fois et que plus jamais elle n’offrira sa chatte à quelqu’un d’autre. Je lui attrapais un des seins que je me mis à pétrir en même temps que je continuai à lui fourrer la chatte. Le geste fit renaître du désir en elle et elle se remit à gémir et à bouger son bassin pour accompagner mes coups de reins. Elle tournait ses hanches pendant que je faisais entrer et sortir mon membre dans sa chatte. Au bout d’un tout petit moment, je sentis que j’allais exploser en elle et accélérai le mouvement pour la faire jouir en même temps. Le torrent de sperme, trop longtemps contenu, se déversa en de fabuleux jets dans son vagin, pendant qu’elle aussi déchargeait en force. Je bavais de plaisir sur son dos ; elle bavait elle aussi, mais sur le lit. Je la renversai pour l’avoir face à moi et l’embrassai fortement sur la bouche tout en lui prenant les seins dans mes mains et les pétrissant.
- Maintenant tu peux me sucer lui dis-je ! Je vais te remplir de sperme cette nuit ! Je t’en mettrai dans la bouche, dans le cul, dans le vagin, sur tout le corps ! Tu aimeras ça ! Que dis-je ? Tu adoreras ça !
- Oui ! Tout ce que tu voudras ! Mais avant je veux faire quelque chose que j’ai toujours voulu faire devant un homme : me masturber alors qu’il me regarde ! Tu veux ?
Avant même que je ne réponde, elle posa sa main sur sa chatte et se mit à se masturber vigoureusement en regardant mon sexe, à qui le spectacle avait redonné de la vigueur. Elle faisait entrer deux doigts à l’intérieur de son vagin et leur fit faire des mouvements de va et vient à une allure de plus en plus rapide. Elle me regardait maintenant dans les yeux, cherchant à y lire le désir que j’avais d’elle. Elle me souriait pendant qu’elle continuait de se caresser. Tout à coup je vis ses lèvres s’étirer et se pincer et devenir toutes blanches, ses yeux se voiler, tous les muscles de son visage se tendre et le tout se relâcher subitement dans un râle de jouissance. Un flot de salive sortit de sa bouche en même temps que ses gémissements se faisaient de plus en plus inaudibles. Elle arrêta de se caresser, me lança un sourire éclatant et me tendit sa main pour que je la lèche. Je la lui léchai goulûment. J’adorais le goût salé de ses sécrétions.
- Tu dois me prendre pour une folle ou une malade ! me dit-elle. C’est vrai que j’ai des fantasmes bizarres; celui là en est un que ne je pouvais réaliser qu’avec un homme comme toi, très large d’esprit! Mes autres fantasmes sont plus classiques, si on veut dire ! J’aimerais baiser avec deux hommes membrés comme toi ! Celui-là je sais qu’un jour je le vivrais ! Probablement pas avec toi, parce que je sais que tu n’aimes pas partager ! J’aimerais te partager avec une autre femme ! Et cela je sais que ça arrivera au moins avec Yvonne ! Mais mon fantasme le plus cher, c’est de me faire baiser par toi, devant mon mari, pour me venger de toutes les misères qu’il m’a faites et qu’il me fait encore !
Plus je l’écoutais et plus le temps passait et plus je découvrais en elle des facettes inconnues qui m’ouvraient des perspectives érotiques extraordinaires. Je me disais en moi-même « pauvre mari qui passe à côté d’une telle femme ! ». Cette nuit là, la nuit qui suivit et les trois autres de rab que nous nous accordâmes, avaient été torrides et merveilleuses. Nous rentrâmes à Alger, en ayant bâclé le travail pour lequel nous étions partis, mais follement heureux et en nous promettant de trouver un stratagème pour nous revoir et reprendre nos amours là où nous les avions laissées. A Alger elle reprit sa tenue de fille sage et se comporta en public avec moi comme elle le faisait auparavant, avant notre aventure oranaise.
Avec Yvonne, à qui j’avais tout raconté et qui était contente du coup qu’elles avaient monté ensemble, nous nous arrangeâmes pour nous retrouver de temps en temps, la journée, chez elle, dans son studio. Nous fîmes ménage à trois, pendant plus d’une année et demi, jusqu’au retour définitif de son mari de l’armée et jusqu’à la naissance d’une petite fille, qu’elle disait être de moi. Elle resta encore un temps avec son mari, eurent deux autres enfants ensemble, et puis un jour elle décida de tout plaquer et de divorcer. Elle prit ses enfants, quitta son mari et alla s’installer dans sa ville natale. Elle y enseigne, aujourd’hui encore, à l’université. Elle a quitté sa tenue de fille sage pour une tenue plus séante, qui mettait en valeur sa beauté et la rendait attirante. Elle vit actuellement avec un homme, plus jeune qu’elle, mais dont on dit qu’il est fou amoureux d’elle.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
violent comme histoire jadore !
Bien belle histoire!