Zanzibar
Récit érotique écrit par NoirPuissant [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2015 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Zanzibar
Le Palais des Rois Anciens était un musée en terre rouge, situe a un kilomètre de la plage dans la profondeur des terres.
Depuis le septième siècle, et bien sur a partir du quinzième, les deux grands axes de l'esclavage en Afrique étaient Zanzibar sur l'océan Indien, et la cote des esclaves en Afrique de l'Ouest. Du Nigeria jusqu'à Dakar, les caravelles de l'homme blanc écumaient la cote pour conduire leur commerce, et puis partaient pour Cuba, la Caraïbe, Haïti, La Caroline du Sud, le Brésil. Certains rois anciens avaient combattu l'homme blanc, comme ils l'avaient pu dans cette jungle verte qui débute tout juste derrière la plage. D'autres, s'en étaient accommodes. Durant la colonie Française, et toutes les années qui suivirent, le palais avait eu le temps de se délabrer, de fondre, dans l'humidité et le sel de la mer, toute proche.
Gamins, dans nos parties de cache cache en foret, nous allions souvent nous dissimuler dans ses pièces sombres sans hantise aucune pour ces fers rouilles, abandonnes, comme pour les boulets de canon qui firent autrefois l'empire.
Les blancs, pour nous, c'étaient des noirs comme nous, sauf qu'ils étaient morts, allés au paradis, et revenus au village.
Des revenants, puisqu'ils étaient tout blancs. Ils nous faisaient un peu peur, surtout lorsque nous étions tout petits.
Ils nous prenaient en photo, et l'image sortait tout de suite. Effrayant. Heureusement, quand tu es boubou, tu sors boubou sur la photo. Quand tu es beau, tu sors beau sur la photo quoi.
Je te raconte l'histoire, parce que chez nous, c'est comme ca que ca se passe. La tradition orale.
Nous voila donc avançant vers ces quatre blanches et mures rencontrées sur la plage la veille, a quarante kilomètres d'ici. Devant la plage de leur village de vacances. En plein occident climatise.
Sur l'autel, juste a l'entrée du palais, les visiteurs demandaient autrefois audience au roi.
Cet après-midi la, dans la tiédeur moite et silencieuse, c'est Patricia la sexagénaire mure et nue, qui donnait libre a ses fantasmes et nous demandait de les exécuter.
Isidore le muscle humait déjà sa chatte fauve, la main tremblante sur le rasoir, malgré son apparente force et détermination. Il bandait a mort, et attendait, haletant, l'autorisation de sa reine blanche pour aller plus loin.
Quand a moi, mes doux sentiments naissants pour Marjolaine m'avaient empli d'une petite jalousie nouvelle, ne souhaitant pas la partager au regard de mes trois autres frères noirs, sachant très bien qu'avec ses copines de voyage, je ne pourrai rien y faire.
Nos deux autres comparses, au milieu, silencieux jusqu'ici, s'étaient déjà mis au travail.
Leurs offrandes étaient Viviane et Solange, dont nous avons jusqu'ici le moins parle.
Viviane la rousse, et Solange la brune, ouvertes elles aussi, offraient leur impatience de se débarrasser de leurs riches fourrures d'hiver, imposées par Patricia durant tous ces mois d'attente et de promesses.
Alors, elles s'offrirent volontiers a la crème fraiche sur ces doigts noirs et adolescents.
Il y eut en effet trois couleurs distinctes au départ de ce rasage collectif:
Le noir de nos doigts sombres, la crème blanche, et l'entrejambe bronzée de ces pêches mures.
Viviane la rousse était sans doute la plus égoïste dans son plaisir. Jean-Charles avait a peine effleure son pubis de feu, qu'elle râlait déjà comme une chienne. Il poursuivait tout doux, regardant vers le haut les tétons rouges et dresses vers le ciel. Isidore lui, n'avait droit qu'a une fouille du museau, Patricia exigeant de longs préliminaires dociles. Quand a Solange, celle qui m'avait aborde sur la plage la veille, elle était sans doute la plus impudique, avec ses seins lourds et sa chatte ruisselante. Vicieuse et magnifique, elle avait fléchi ses genoux, comme les danseuses de chez nous. Ses cuisses épaisses de quinquagénaire, monopolisant le regard de Grégoire. Légèrement moins épais qu'Isidore, mais résolument plus long, il pointait déjà vers Solange, la tête chercheuse insolente, durcie, insupportable de son gland violet, et commença a racler le Gilette dans l'ombre gluante de la brune.
Haletantes, respirant par a coups, le cœur battant la chamade, les quatre blanches avaient toutes ferme les yeux, lâchant un râle de plaisir, et de soulagement sans doute, au contact frais de leurs rasoirs respectifs.
Tendue au départ, Marjolaine avait guide mes doigts jusqu'a son nombril, vers lequel s'était étendue des mois durant sa pilosité abondante de blonde. Nous étions en retard sur les autres, mais cela me plaisait.
Elle allait et venait, me guidait, dans l'exploration bombée de son bas ventre, riche et insoumise foret nordique.
Elle m'avait déjà adopté. Comme un fils, un petit fils même. Un garçon qui avait facilement quarante ans de moins qu'elle, et qu'elle protégeait dans cet amour nouveau.
Mon désir pour elle était ne la veille sur la plage, a la vue de ses auréoles roses et puissantes.
La longueur hors normes de ses tétons était fascinante, et créait déjà chez mes trois autres comparses autant de jalousie que le désir protecteur et vaillant qu'elle suscitait en moi.
Il semblait que ma proximité les avait encore fait grandir. Marjolaine, épaisse et ouverte elle aussi, déhanchée, continua mon exploration tactile vers eux, sa main se referma sur la mienne, je sentis le téton dur résister, puis se tendre a nouveau, en demandant plus.
Confiante désormais, elle me rappela a ma tache initiale, me demandant doucement de m'agenouiller devant elle, et de couvrir de crème blanche son fourreau blond et torride.
Depuis le septième siècle, et bien sur a partir du quinzième, les deux grands axes de l'esclavage en Afrique étaient Zanzibar sur l'océan Indien, et la cote des esclaves en Afrique de l'Ouest. Du Nigeria jusqu'à Dakar, les caravelles de l'homme blanc écumaient la cote pour conduire leur commerce, et puis partaient pour Cuba, la Caraïbe, Haïti, La Caroline du Sud, le Brésil. Certains rois anciens avaient combattu l'homme blanc, comme ils l'avaient pu dans cette jungle verte qui débute tout juste derrière la plage. D'autres, s'en étaient accommodes. Durant la colonie Française, et toutes les années qui suivirent, le palais avait eu le temps de se délabrer, de fondre, dans l'humidité et le sel de la mer, toute proche.
Gamins, dans nos parties de cache cache en foret, nous allions souvent nous dissimuler dans ses pièces sombres sans hantise aucune pour ces fers rouilles, abandonnes, comme pour les boulets de canon qui firent autrefois l'empire.
Les blancs, pour nous, c'étaient des noirs comme nous, sauf qu'ils étaient morts, allés au paradis, et revenus au village.
Des revenants, puisqu'ils étaient tout blancs. Ils nous faisaient un peu peur, surtout lorsque nous étions tout petits.
Ils nous prenaient en photo, et l'image sortait tout de suite. Effrayant. Heureusement, quand tu es boubou, tu sors boubou sur la photo. Quand tu es beau, tu sors beau sur la photo quoi.
Je te raconte l'histoire, parce que chez nous, c'est comme ca que ca se passe. La tradition orale.
Nous voila donc avançant vers ces quatre blanches et mures rencontrées sur la plage la veille, a quarante kilomètres d'ici. Devant la plage de leur village de vacances. En plein occident climatise.
Sur l'autel, juste a l'entrée du palais, les visiteurs demandaient autrefois audience au roi.
Cet après-midi la, dans la tiédeur moite et silencieuse, c'est Patricia la sexagénaire mure et nue, qui donnait libre a ses fantasmes et nous demandait de les exécuter.
Isidore le muscle humait déjà sa chatte fauve, la main tremblante sur le rasoir, malgré son apparente force et détermination. Il bandait a mort, et attendait, haletant, l'autorisation de sa reine blanche pour aller plus loin.
Quand a moi, mes doux sentiments naissants pour Marjolaine m'avaient empli d'une petite jalousie nouvelle, ne souhaitant pas la partager au regard de mes trois autres frères noirs, sachant très bien qu'avec ses copines de voyage, je ne pourrai rien y faire.
Nos deux autres comparses, au milieu, silencieux jusqu'ici, s'étaient déjà mis au travail.
Leurs offrandes étaient Viviane et Solange, dont nous avons jusqu'ici le moins parle.
Viviane la rousse, et Solange la brune, ouvertes elles aussi, offraient leur impatience de se débarrasser de leurs riches fourrures d'hiver, imposées par Patricia durant tous ces mois d'attente et de promesses.
Alors, elles s'offrirent volontiers a la crème fraiche sur ces doigts noirs et adolescents.
Il y eut en effet trois couleurs distinctes au départ de ce rasage collectif:
Le noir de nos doigts sombres, la crème blanche, et l'entrejambe bronzée de ces pêches mures.
Viviane la rousse était sans doute la plus égoïste dans son plaisir. Jean-Charles avait a peine effleure son pubis de feu, qu'elle râlait déjà comme une chienne. Il poursuivait tout doux, regardant vers le haut les tétons rouges et dresses vers le ciel. Isidore lui, n'avait droit qu'a une fouille du museau, Patricia exigeant de longs préliminaires dociles. Quand a Solange, celle qui m'avait aborde sur la plage la veille, elle était sans doute la plus impudique, avec ses seins lourds et sa chatte ruisselante. Vicieuse et magnifique, elle avait fléchi ses genoux, comme les danseuses de chez nous. Ses cuisses épaisses de quinquagénaire, monopolisant le regard de Grégoire. Légèrement moins épais qu'Isidore, mais résolument plus long, il pointait déjà vers Solange, la tête chercheuse insolente, durcie, insupportable de son gland violet, et commença a racler le Gilette dans l'ombre gluante de la brune.
Haletantes, respirant par a coups, le cœur battant la chamade, les quatre blanches avaient toutes ferme les yeux, lâchant un râle de plaisir, et de soulagement sans doute, au contact frais de leurs rasoirs respectifs.
Tendue au départ, Marjolaine avait guide mes doigts jusqu'a son nombril, vers lequel s'était étendue des mois durant sa pilosité abondante de blonde. Nous étions en retard sur les autres, mais cela me plaisait.
Elle allait et venait, me guidait, dans l'exploration bombée de son bas ventre, riche et insoumise foret nordique.
Elle m'avait déjà adopté. Comme un fils, un petit fils même. Un garçon qui avait facilement quarante ans de moins qu'elle, et qu'elle protégeait dans cet amour nouveau.
Mon désir pour elle était ne la veille sur la plage, a la vue de ses auréoles roses et puissantes.
La longueur hors normes de ses tétons était fascinante, et créait déjà chez mes trois autres comparses autant de jalousie que le désir protecteur et vaillant qu'elle suscitait en moi.
Il semblait que ma proximité les avait encore fait grandir. Marjolaine, épaisse et ouverte elle aussi, déhanchée, continua mon exploration tactile vers eux, sa main se referma sur la mienne, je sentis le téton dur résister, puis se tendre a nouveau, en demandant plus.
Confiante désormais, elle me rappela a ma tache initiale, me demandant doucement de m'agenouiller devant elle, et de couvrir de crème blanche son fourreau blond et torride.
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