Zayra, Les chariots ardents
Récit érotique écrit par Stan23JR [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Zayra, Les chariots ardents
Zayra, les chariots ardents
10 mai 2020 (site d’essai de l’Armée de l’Air à quelques kilomètres de Cheylade, Cantal)
C’est probablement l’un des contrats les plus compliqués que Cal a été amené à négocier, pas forcément liés aux montants engagés (il a déjà négocié des contrats à plusieurs millions voir centaines de millions d’euros.) mais plutôt sur l’aspect cahier des charges, contraintes sécuritaires et clause de confidentialité. Sans parler de la difficulté de mener un projet en commun avec d’autres entreprises.
En effet courant deux mille seize, Francis qui est alors à quelques mois de la retraite, lui a dit qu’il l’a choisi pour le seconder dans une négociation tripartite avec Airbus Helicopters et Safran Engines.
C'est sa dernière mission, mais comme elle va se prolonger bien après sa retraite, il veut que ce soit Cal qui continue après plutôt que ce « parvenu » d’Antonin Dumarais pour tenter de faire bonne impression à son père.
La négociation porte sur un contrat très important de l’Etat Major des Armées visant à renouveler l’ensemble du parc d’hélicoptères des trois forces. Le nouvel Hélicoptère Interarmées léger (HIL) doit remplacer les modèles Fennecs, Dauphin ou Alouette III, l’armée prévoie déjà de l’appeler Guépard.
C’est la Direction Générale de l’Armement (DGA) qui est à la manœuvre sur une délégation directe du ministre de la Défense et supervisé par l’Inspecteur Général des Armées, autant dire qu’il ne faut pas se planter.
Les discussions se sont engagés au sein des locaux de Safran Engines d’abord puis à Toulouse chez Airbus Helicopters, après des semaines de négociation, les trois entités se sont mis d’accord sur un hélicoptère qui ressemble un peu au Black Hawk Américain, mais avec une structuration interne bien française.
Thales s’est notamment greffé à la table ronde pour les systèmes embarqués, il leur faudra se méfier de leur principal concurrent mené par Dassault Technology.
Trois autres structures étrangères sont en course, mais le ministère de la Défense privilégie toujours la fabrication française lors des appels d’offres donc Dassault sera vraiment leur principale adversaire.
Fin deux mille seize, Francis part en retraite, propulsant Cal au rôle de négociateur principal pour Spittrain. En fin de compte, son mariage avec Manon qui bat déjà de l’aile a peut-être explosé avec ce contrat et tous les déplacements que cela a impliqué.Trois autres structures étrangères sont en course, mais le ministère de la Défense privilégie toujours la fabrication française lors des appels d’offres donc Dassault sera vraiment leur principale adversaire.
Quoi qu’il en soit, c’est donc en pleine procédure de divorce qu’il mène ce projet avant de laisser progressivement la main à la partie ingénierie études puis à la cellule conception.
Cal a rejoint ensuite d’autres projets, mais il continue à être convié notamment sur le site de l’état-major des Armées à Balard aux diverses présentations.
Puisque début deux mille dix-neuf, soit près de trois ans après le début du projet, la DGA a notifié à leurs entités que ce sont eux qui conduiront le projet.
Et donc il est sur scène, le vingt-quatre février deux mille dix-neuf avec les équipes d’Airbus et de Safran pour la présentation du prototype 3D de l’Hélicoptère H160 Guépard.
Ce soir-là, il est présenté à beaucoup de personnes dont beaucoup d’officiers et notamment la commandante Zayra El Nesri qui rejoint le projet en tant qu’ingénieur principale notamment en charge des pièces détachées, justement la partie dont s’occupe Spittrain.
Elle est vraiment mignonne dans son uniforme d’apparat bleu marine de l’armée de l’air, les quatre chevrons présents sur ces épaulettes au-dessus du symbole de la DGA témoigne de son rôle important. Elle a le teint mat, un petit grain de beauté sur la partie supérieure de la lèvre, les cheveux ondulés dans le style Afrique du Nord d’une couleur noir de jais et les sourcils relevés avec une touche de khôl.
Ils ont bien sympathisé, mais la bague qu’elle porte à son annulaire l’empêche de tenter quoi que ce soit (si une femme mariée ne lui envoie pas de signaux, il ne va certainement pas se lancer à l’abordage pour rien.), lui est divorcé depuis neuf mois et donc remonte doucement la pente et veut surtout s’amuser.
La soirée ne se finit pas trop mal pour lui puisqu’il termine la nuit avec une jeune adjudante rattachée au ministère de la Défense, cette petite blonde n'est pas farouche et apparemment habituée aux baises à la hussarde avec des militaires, elle veut donc qu’il se montre rude dans ses coups de bite et dans ses mots, il ne se fait donc pas prier.
Les mois passants, Calvin a encore trois autres occasions de revoir Zayra notamment sur les bases aériennes de Solenzara en Corse, de Rochefort en Vendée et enfin à Avord près de Bourges. Les deux premières fois, c’est pour discuter d’améliorations à apporter sur l’appareil tel que le radar tactique Airmaster ou le bras d’emport externe qui permet notamment la fixation des missiles ou des roquettes. Enfin, la dernière fois est un peu particulière près de Bourges, il est convié seul avec comme seule interlocutrice Zayra, apparemment pour une histoire de pièces de fixation des hélices, Cal est un peu étonné qu’elle n'ait pas non plus convié l’ingénieur de Spittrain en charge de ce projet : Sylvain Kusevski.
Elle est un peu plus tactile que d’habitude (plus que la traditionnelle poignée de main des militaires en tout cas), elle le regarde beaucoup plus et lui sourit, ce qu’elle ne fait que rarement habituellement.
Cal s’est habitué à ce qu’elle soit froide, distante voir par moment cassante dans les discussions pour être totalement étonné par ce genre d’attitude nouvelle. C’est à la fin de leurs entrevues qu’il a confirmation que quelque chose a changé, en effet elle ne porte plus son alliance. Elle l’a fait venir en ce début du mois de décembre deux mille dix-neuf pour voir sa réactivité à ses timides avances. Il ne sait pas s’il a répondu correctement au test, mais il verra bien.
La fin d’année lui a permis de commencer une relation avec Béa, mais les règles sont claires entre eux : aucune limite, chacun fait ce qu’il veut et au contraire cela donne un certain piquant à leurs relations. L’hystérie collective liée au Covid et notamment sur les sites militaires fait que la sécurité y est désormais très renforcée, les discussions commerciales se passent essentiellement en visio. Le confinement décidé par le Président fait qu'il tourne un peu en rond dans son appartement parisien, ses rares sorties sont en fin de journée pour faire son jogging avec son attestation de déplacement. Calvin est un peu étonné par le nombre de personnes qui désormais font leurs joggings, souvent, il rentre à l’heure où on applaudit les soignants aux balcons et lui fait donc la même chose dans la rue.
Calvin est un peu étonné par le nombre de personnes qui désormais font leurs joggings, souvent, il rentre à l’heure où on applaudit les soignants aux balcons et lui fait donc la même chose dans la rue. Il sort aussi pour aller récupérer Max, mais se rend compte qu’un petit appartement pour s’occuper de son petit bonhomme est peut-être trop petit, il lui faut un extérieur. Il va se mettre en quête d'une maison dès la fin du confinement.
Le dix avril, il est en pleine réunion avec ses équipes quand le facteur sonne pour lui remettre un recommandé contre une signature. Après avoir récupéré le courrier, il l’ouvre et y trouve une invitation à son nom pour l’exposition d’un modèle d’hélicoptère miniature par une entreprise familiale spécialisée dans ce domaine. Il s'apprête à jeter le courrier quand un petit feuillet tombe de la liasse. Dessus, sont inscrits des explications techniques de la part de l’ingénieur en chef, le style d’écriture lui dit quelque chose, mais la signature le marque encore plus : Z.E.N., c’est exactement comme cela que Zayra signe ses mémos.
Cela l’intrigue d’autant que les informations demandées sur la liasse fournies sont vraiment très précises et beaucoup trop confidentiel pour une simple visite : fichier de casier judiciaire, des questions comme avez-vous déjà été cité à comparaître ?
Son autorisation de déplacement professionnel est déjà remplie et signée comme si on avait la certitude qu’il va aller à cette démonstration. Il termine sa réunion et va repérer les lieux sur Google Maps, à part des fermes et de gros espaces verts sans la moindre photo, il y a vraiment rien à proximité de Cheylade dans le Cantal. Sur la photo la plus proche, le panorama est magnifique, c'est une sorte de Grand Canyon à la Française.
C'est l’occasion de sortir et si son intuition est vraie, il va pouvoir revoir Zayra et si elle s’est donné autant de mal pour le contacter, c’est que cela en vaut la peine.
Notre héros remplit la liasse de documents et le renvoi dans les délais, il fait ses deux tests Covid comme demandé selon les règles qui lui ont été fixées.
Son rendez-vous étant fixé à quinze heures, il part la veille et prend une chambre dans un hôtel à Ségur-les-Villas à proximité de la réserve naturelle des Tourbières de Jolan. Le lendemain après le déjeuner à Cheylade, il va admirer l’église Saint-Léger et surtout son plafond, l’un des plus importants vestiges de ce village de deux cents âmes. Il sort de la ville à l’aide de l’Aston Martin Vanquish, c’est la première fois qu’il peut vraiment l’utiliser depuis qu’il l’a acheté. C’est l’inconvénient d’acheter une voiture en plein confinement, la seule et unique fois qu’il l’a utilisé, c’est le jour où il l’a reçu pour se rendre au bureau avec sauf qu’il n'a pas prévu de se faire arrêter par la Police à la sortie de Paris. Il a dû se justifier de ne pas avoir d’autorisation professionnel de déplacement et en dernier recours donne le numéro de Béa qui par chance répond au policier, il est à peine sept heures du matin à New-York pourtant. Elle réussit à justifier du déplacement de Cal au bureau, car il doit récupérer un document confidentiel avant une entrevue téléphonique avec la ministre du travail, elle lui dit avec tout son aplomb qu’il peut contacter le secrétariat général du Ministère pour vérifier de la véracité de ses propos, le policier choisit finalement de la croire sur parole et laisse repartir Cal.
Ce dernier rappelle sa dulcinée en arrivant pour la remercier, elle lui dit que pour se faire pardonner, il va devoir lui offrir une bonne baise dans l’Aston Martin sur les hauteurs de Paris (à lui de trouver où). Il lui répond que ce sera avec plaisir et que maintenant, c’est malin, il bande dur. Elle lui envoie une vidéo où elle se doigte en lingerie fine pour l’aider à se branler, il jute dans un mouchoir assis dans son siège de bureau. C’est un très bon souvenir, il a hâte de pouvoir la retrouver rapidement après la fin de toutes ses mesures sanitaires.
En attendant, il prend la route du lieu-dit « Le Chauvier » à l’est du village, c’est une petite route départementale qui le mène jusque devant une grille avec un vigile qui vérifie son identité et ses autorisations, il lui confirme que l’entreprise qu’il cherche se trouve au bout de cette longue route qui longe de grande carrière sur sa droite. Cette grille et ce vigile confirment son intuition première : il doit se trouver sur un site de l’armée. Il remonta la route en bonne partie blanchie liée notamment au dépôt de calcaire de la carrière, sur sa gauche se trouve une colline qu’il longe pour monter de plus en plus. En contrebas, il voit clairement qu’une bonne partie du domaine est fermée par des murets en pierre comme sur tout site appartenant à l’armée. Au bout de la route, il voit au loin le bâtiment principal qui est bien trop imposant pour n’appartenir qu’à une petite entreprise familiale, d’autant que là, c’est un militaire qui l’accueille devant une autre barrière. Cal décline son identité et le document attestant de sa présence, on lui dit d’attendre le temps qu’on contacte la personne qu’il est venu voir. Finalement, il peut aller garer son véhicule devant le bâtiment Général Aimé Doumenc, la commandante l’attendra devant pour le conduire là où il a le droit de se rendre. Effectivement, la commandante El Nesri l'attend et échange avec lui une poignée de main très ferme.
Elle lui ouvre la route et le regard de Calvin s'attarde sur son pantalon bleu marine très cintrée, elle roule un peu du cul en marchant la militaire. Ils pénètrent dans le bâtiment en verre et passent au scanner comme dans les aéroports où les militaires peuvent constater qu’il n’a rien de dangereux. Ils prennent un ascenseur vers le deuxième étage, il y a beaucoup de place, mais Zayra se tient assez près de lui et il peut sentir qu’elle porte le parfum « j’adore » de Dior.
Ils s’installent au bureau de la commandante qui a une magnifique vue sur les massifs du Cantal, elle se dit qu’il est nécessaire de lui fournir une petite explication :
- Je pense mon cher monsieur Lienard que vous vous demandez ce qu’est tout ceci et toutes les sécurités auxquels nous vous avons soumis, je me trompe ?
- Non effectivement mon commandant, c’est une question que je pose depuis un mois lui répondit-il
- Eh bien, déjà, sachez que vous êtes au sein du Centre Technique de l’Armée de l’Air à Cheylade dans le Cantal, c’est une base non répertoriée officiellement car classé en zone de sécurité IV, ce qui veut dire que les engins et les armes qui transitent par ici relèvent du plus haut niveau de secret-défense.
Et que donc, vous n’avez pas le droit de divulguer l’emplacement de ce lieu, de parler de ce que vous aurez vu, entendu ou aperçu, à qui que ce soit, nous serions obliger dans le cas contraire d'engager des poursuites contre vous.
Est-ce que c’est bien clair pour vous monsieur Lienard ?
- Oui très clair mon commandant, vous pouvez compter sur ma discrétion.
- C’est ce que je voulais entendre mon cher Cal, bon, vous vous en doutez, j’imagine que si je vous ai fait venir, c’est que cela a un rapport avec le HIL, sachez que l’ensemble des pièces ont été fournies par nos différents prestataires dont votre entreprise et que le premier prototype a terminé d’être assemblé.
Il va être testé pour la première fois tout à l’heure et disons que je vous ai fait une fleur en vous invitant à venir le voir.
- C’est un très grand honneur que vous me faites commandant, mais permettez-moi de vous demander pourquoi juste moi et pas mes collègues de Safran et d’Airbus ?
- Cela, je vous l’expliquerai quand nous serons en bas tout à l’heure. Un peu de patience, venez, nous allons nous rendre sur le site d’essai, le chemin va être long.
Ils ressortent de son bureau et prennent un autre ascenseur qui bizarrement n’a qu’un bouton pour descendre et non pour monter. Une fois à l’intérieur, Cal est encore plus perplexe : l'ascenseur descend jusqu'au sous-sol numéro 8. Plus ils descendent, plus Zayra se recule, si bien qu’arrivé au huitième sous-sol, elle est quasiment collée contre lui.
Quand les portes s’ouvrent, il a l’impression de se retrouver en face d’un quai de gare avec des spots très lumineux au plafond et de nombreux quais avec des petites rames.
Il y a carrément une gare sous les massifs du Cantal, il est vraiment sidéré.
- Il n’y a que peu de personnes depuis près de trois mois à cause du Covid, habituellement cet endroit grouille de personnes entre nos différents sites des environs, mais depuis le début de l’épidémie, nous fonctionnons en service réduit.
Elle passe son badge sur le lecteur, puis une caméra analyse sa rétine avant que la porte d’accès au quai ne s’ouvre (Là, on se croirait carrément dans Mission Impossible.). Ils montent dans une petite rame (sorte de voiturette à deux places fermée sur rail), Zayra met en route et automatiquement la rame part dans le tunnel.
- Le site d’exercice au vol est situé à environ vingt kilomètres au sud, pré du col de Cabré dans le massif central, par ailleurs même si je ne peux pas vous les montrer, car vous n’avez pas les autorisations, je peux vous dire que nous avons un certain nombre de sites d’exercices dans les environs. Cheylade étant le point de départ vers les différents sites.
Ils cheminent pendant une dizaine de minutes en discutant de tout et de rien puis elles les fait tourner dans un virage qui les mène vers un autre tunnel qui débouche sur un cul-de-sac, la commandante arrête la rame a environ cinquante mètres du bout de la ligne. Elle se tourne vers lui, quelque chose a changé dans son regard, il en comprend la teneur quand elle s’adresse à lui :
- Vous m’avez demandé un peu plus tôt pourquoi vous et pas vos partenaires commerciaux, je ne vais pas tourner autour du pot, j’ai toujours eu la réputation de dire ce que je pense et d’être très clair dans mes demandes : depuis le premier jour, je me suis imaginé vous sucer la queue, me faire bouffer la chatte par votre bouche et me faire baiser comme une chienne par tous les trous lui déclame-t-elle tout en lui saisissant la queue à travers son pantalon.
- Je vous répondrai… Commence Cal, servez-vous donc cher commandante, tout en se mettant contre son siège.
- Je n’en attends pas moins de votre part monsieur Lienard, sortant une bite déjà gorgée de sang.
Elle ne perd pas de temps et se l’enfonce à fond dans la gorge, Cal a presque l’impression de toucher sa glotte avant qu’elle ne monte et descende dessus à une vitesse vertigineuse tout en salivant à mort. Zayra lui fait de sacrées gorges profondes au risque d’avoir de gros haut le cœur, mais à chaque fois elle repart à fond, son mascara coule et son rouge à lèvre a carrément barbouillé son vit sur toute sa longueur. Cal ne prend pas d’initiative et la laisse faire, se contentant de savourer sa fellation et sa branlette déterminée, car elle le suce tout en faisant coulisser sa main à fond le long de sa tige de chair avant d’y remettre de gros coup de langue. La militaire descend avec sa langue le long de son pénis et va lui lécher ses boules l’une après l’autre pour son plus grand plaisir, mais elle a une autre idée en tête. Elle déboutonne sa cravate puis sa chemise blanche, lui faisant découvrir sa lingerie : un modèle "Mickalene" de chez Coco de Mer.
Un modèle noué autour du cou sans armature et dont le côté très intéressant réside dans le fait que les bonnets sont ouverts mettant bien en avant ses tétons, car elle n’a pas mis les caches tétons bruns, la dentelle chantilly autour de son cou est aussi très intéressant. De plus, si elle a mis bien l’ensemble de cette marque, son slip est un slip ouvert, il n’aura pas besoin de retirer sa lingerie pour la pénétrer.
Ses seins lui font presque sortir les yeux de la tête, c’est du 100 C au moins, sa bite frétille d’anticipation alors qu’elle crache entre ses mamelons avant de les badigeonner pour préparer sa branlette espagnole. C’est encore mieux que ce qu’il a imaginé quand il sent sa queue coulisser entre ses deux gros obus. Il a l’impression de baiser sa poitrine et vu qu’elle prend énormément d’amplitude, elle peut sucer le bout de sa bite à chaque fois qu’elle dépasse de son entre seins.
Ce rythme infernal finit par avoir raison de lui, après un passage en branlette espagnole de plusieurs minutes, il craque et envoie plusieurs gros jets sur son visage, son menton et ses seins. Elle le nettoie entièrement et boit tout le foutre qu’elle a récupéré avec ses doigts.
Elle se met ensuite debout ensuite dans la cabine de la rame et retire son pantalon bleu marine pour se retrouver totalement en lingerie devant lui, incline totalement son siège, l’enjambe et place sa vulve au-dessus de son visage tout en se tenant au haut de la rame.
Cal ne se fait pas prier et commence donc comme elle l’a formulé à lui bouffer la chatte, avec de grands coups de langue.
- Vas-y mon mignon ! Tu aimes la bouffer ma minette, mon salaud. Comme ça ici, ouiiii ! Tu lèches bien, tu es bien obéissant, c’est comme ça que j’aimeeee les hommmesss, Ouiiii ! ouiiii ! Ça t’excite hein ? Ta queue recommence à être bien dure et chaude ! J’ai hâte de la sentir en moi. Tu vas être bien sage et tu vas me laisser m’empaler dessus.
Ces paroles motivent aussi très fortement Cal qui finit par la portée à l’extase. Elle ne perd pas le nord et comme elle l’a dit précédemment, redescend le long de son torse et fait rentrer derechef son membre turgescent dans un antre bouillant. Zayra fait bouger sa magnifique croupe contre lui et lui masse la bite de l’intérieur sous les soupirs d’un Cal totalement conquis. La commandante lui aspire la bite avec sa chatte à chaque fois qu’elle monte et descend, d’autant que ses sécrétions à elle lubrifient totalement son membre.
Mais elle veut aussi se faire lécher les seins pendant qu’elle se fait baiser, Cal se fait donc une joie de lui manger les seins, les deux mains bien caler sous ses deux grosses miches.
Elle se trémousse désormais avec sa bite dans son ventre et son majeur de plus en plus enfoncé dans son cul. Ils doivent être bien loin dans le tunnel, car vu les cris qu’elle pousse dans cette cabine, cela l’étonne de ne pas avoir déjà toute une unité d’intervention avec des FAMAS braqués sur lui. En attendant, son arme de poing à lui fait des ravages dans ses deux trous, il en est désormais à trois doigts coulissant dans son cul, ce qui la fait juter à mort. Ce doigtage anal lui donne des idées, car elle pivote et lui présente son côté pile avant de changer de trou et de se sodomiser avec la queue bien dure de Cal. Pour ce dernier, c’est un pur moment de bonheur, il est transformé par la militaire en objet sexuel et il a juste à profiter du spectacle de ses deux globes bien ferme distendus par sa poutre.
Elle monte et descend sur son vit en s’appuyant sur le tableau de bord de la rame, il voit son reflet dans la vitre et cela lui donne un souffle de machisme, il a bien envie de reprendre la main. Du coup, sans sortir de son trou du cul, il se lève et la pousse sur la console de la rame, elle doit mettre ses mains en opposition sur la vitre pendant qu’il monte entièrement son buste sur le tableau, il ne reste que son cul en buse offert à ses envies bestiales.
Cal lui écarte au maximum ses chevilles et l’encule au rythme d’un métronome malgré ses cris de douleur ou de plaisir, il ne sait pas trop, mais vu les orgasmes à répétition qu’elle a eu, c’est sûrement du plaisir. Calvin se retient un maximum, serre la base de sa queue pour ne pas finir dans son conduit anal et ressort pour juter à grosse giclée sur son cul rebondit qu’il claque à plusieurs reprises histoire de le faire rougir. Cal lui écarte au maximum ses chevilles et l’encule au rythme d’un métronome malgré ses cris de douleur ou de plaisir, il ne sait pas trop, mais vu les orgasmes à répétition qu’elle a eu, c’est sûrement du plaisir. Il appuie sur ses épaules pour qu’elle s’accroupisse et il lui fourre sa bite encore maculée de sperme chaud dans la bouche, elle se fait un plaisir de lui extirper ses dernières gouttes de foutre et de lui rendre une queue toute propre.
Une fois que l’excitation est retombée, ils remettent de l’ordre dans leurs tenues, font repartir la rame qui les mène en quelques instants à bon port. Ils arrivent au niveau d’un autre quai puis vers un ascenseur qui les fait monter au sommet soit à peine juste au-dessus de la surface dans une sorte de bunker d’où il a une vision par une meurtrière sur une piste de décollage où se trouve le fameux HIL.
Le H 160 attend là avec deux pilotes à son bord qui doivent attendre les ordres, cela ne tarde pas à venir puisque Zayra sort un talkie de son Holster et appelle les pilotes :
- Ici, Zanzibar 1, me recevez-vous Eagle 3, à vous ?
- Ici, Eagle 3 lui répond le pilote principal, nous attendons vos ordres Zanzibar 1, prêt au décollage.
- Permission accordée Eagle 3, je répète : permission accordée pour décollage d’essai.
Et sous les yeux de Cal, le prototype fait tourner ses hélices de plus en plus vite puis décolle sous ses yeux ébahis. C’est toujours un plaisir de voir une des réalisations auxquelles on a participé en action, l’hélicoptère est vraiment beau à voir et redoutable au combat probablement. Mais autre chose est beau à voir aussi là, la bonne paire de fesses de Zayra dans son pantalon moulant bleu marine. Il ne peut se retenir alors qu’elle est contre le muret, de sortir discrètement sa queue, d’avancer vers elle, de passer sa main vers l’avant pour baisser juste assez son pantalon. La militaire le laisse faire, ayant hâte de savoir la suite, il baisse juste assez pour voir apparaître son trou le plus secret, baisse un peu sa culotte, l’incline légèrement et commence à l’enculer, cette position par-derrière avec elle contre le muret la rend totalement vulnérable, elle ne peut détacher ses yeux de l’hélicoptère, mais en même temps elle savoure cette pénétration anale. Cal a calé son rythme sur le rythme des pals de l’hélicoptère, il rentre, ressort puis replonge.
Zayra se laisse aller à de petits cris pendant que l’hélico est en l’air puis elle parvient à se contenir quand celui-ci se pose, mesure sa voix pour remercier les pilotes, histoire qu’ils ne se rendent compte de rien alors qu’un vit lui perfore les entrailles. Une fois qu’ils sont répartis par un autre ascenseur et qu’elle les sait loin, elle s’appuie totalement contre le muret et se cambre encore plus permettant à Cal de rentrer plus profondément tout en martyrisant ses seins qu'il a sortis de sa chemise. Elle a un orgasme dévastateur qui déclenche le sien quand ses parois se resserrent sur lui, il se lâche en longue saccade dans son boyau anale, criant à l’unisson leurs plaisirs dans la plaine du Cantal.
Une nouvelle fois, ils remettent de l’ordre dans leurs vêtements puis regagnent le bureau de Zayra où elle lui demande ses projets pour la soirée, lui n’a pas prévu de rentrer avant demain sur Paris. Elle lui propose alors de passer la soirée avec elle sur Aurillac où elle a son pavillon en banlieue.
La soirée fut très plaisante, la nuit, fut longue et très chaude, le réveil ne le fut pas moins avec une gâterie matinale pour ne pas gâcher sa gaule au réveil puis une nouvelle baise dans le lit et sous la douche. Elle réclame une dernière rasade de sperme dans sa bouche pendant le petit-déjeuner avant qu’il ne reprenne la route de Paris.
Cal rit donc sous cape quand on lui présente pour la « première fois » le prototype en vidéo à peu près trois mois plus tard, tout en pensant à sa fabuleuse aventure avec la commandante El Nesri.
10 mai 2020 (site d’essai de l’Armée de l’Air à quelques kilomètres de Cheylade, Cantal)
C’est probablement l’un des contrats les plus compliqués que Cal a été amené à négocier, pas forcément liés aux montants engagés (il a déjà négocié des contrats à plusieurs millions voir centaines de millions d’euros.) mais plutôt sur l’aspect cahier des charges, contraintes sécuritaires et clause de confidentialité. Sans parler de la difficulté de mener un projet en commun avec d’autres entreprises.
En effet courant deux mille seize, Francis qui est alors à quelques mois de la retraite, lui a dit qu’il l’a choisi pour le seconder dans une négociation tripartite avec Airbus Helicopters et Safran Engines.
C'est sa dernière mission, mais comme elle va se prolonger bien après sa retraite, il veut que ce soit Cal qui continue après plutôt que ce « parvenu » d’Antonin Dumarais pour tenter de faire bonne impression à son père.
La négociation porte sur un contrat très important de l’Etat Major des Armées visant à renouveler l’ensemble du parc d’hélicoptères des trois forces. Le nouvel Hélicoptère Interarmées léger (HIL) doit remplacer les modèles Fennecs, Dauphin ou Alouette III, l’armée prévoie déjà de l’appeler Guépard.
C’est la Direction Générale de l’Armement (DGA) qui est à la manœuvre sur une délégation directe du ministre de la Défense et supervisé par l’Inspecteur Général des Armées, autant dire qu’il ne faut pas se planter.
Les discussions se sont engagés au sein des locaux de Safran Engines d’abord puis à Toulouse chez Airbus Helicopters, après des semaines de négociation, les trois entités se sont mis d’accord sur un hélicoptère qui ressemble un peu au Black Hawk Américain, mais avec une structuration interne bien française.
Thales s’est notamment greffé à la table ronde pour les systèmes embarqués, il leur faudra se méfier de leur principal concurrent mené par Dassault Technology.
Trois autres structures étrangères sont en course, mais le ministère de la Défense privilégie toujours la fabrication française lors des appels d’offres donc Dassault sera vraiment leur principale adversaire.
Fin deux mille seize, Francis part en retraite, propulsant Cal au rôle de négociateur principal pour Spittrain. En fin de compte, son mariage avec Manon qui bat déjà de l’aile a peut-être explosé avec ce contrat et tous les déplacements que cela a impliqué.Trois autres structures étrangères sont en course, mais le ministère de la Défense privilégie toujours la fabrication française lors des appels d’offres donc Dassault sera vraiment leur principale adversaire.
Quoi qu’il en soit, c’est donc en pleine procédure de divorce qu’il mène ce projet avant de laisser progressivement la main à la partie ingénierie études puis à la cellule conception.
Cal a rejoint ensuite d’autres projets, mais il continue à être convié notamment sur le site de l’état-major des Armées à Balard aux diverses présentations.
Puisque début deux mille dix-neuf, soit près de trois ans après le début du projet, la DGA a notifié à leurs entités que ce sont eux qui conduiront le projet.
Et donc il est sur scène, le vingt-quatre février deux mille dix-neuf avec les équipes d’Airbus et de Safran pour la présentation du prototype 3D de l’Hélicoptère H160 Guépard.
Ce soir-là, il est présenté à beaucoup de personnes dont beaucoup d’officiers et notamment la commandante Zayra El Nesri qui rejoint le projet en tant qu’ingénieur principale notamment en charge des pièces détachées, justement la partie dont s’occupe Spittrain.
Elle est vraiment mignonne dans son uniforme d’apparat bleu marine de l’armée de l’air, les quatre chevrons présents sur ces épaulettes au-dessus du symbole de la DGA témoigne de son rôle important. Elle a le teint mat, un petit grain de beauté sur la partie supérieure de la lèvre, les cheveux ondulés dans le style Afrique du Nord d’une couleur noir de jais et les sourcils relevés avec une touche de khôl.
Ils ont bien sympathisé, mais la bague qu’elle porte à son annulaire l’empêche de tenter quoi que ce soit (si une femme mariée ne lui envoie pas de signaux, il ne va certainement pas se lancer à l’abordage pour rien.), lui est divorcé depuis neuf mois et donc remonte doucement la pente et veut surtout s’amuser.
La soirée ne se finit pas trop mal pour lui puisqu’il termine la nuit avec une jeune adjudante rattachée au ministère de la Défense, cette petite blonde n'est pas farouche et apparemment habituée aux baises à la hussarde avec des militaires, elle veut donc qu’il se montre rude dans ses coups de bite et dans ses mots, il ne se fait donc pas prier.
Les mois passants, Calvin a encore trois autres occasions de revoir Zayra notamment sur les bases aériennes de Solenzara en Corse, de Rochefort en Vendée et enfin à Avord près de Bourges. Les deux premières fois, c’est pour discuter d’améliorations à apporter sur l’appareil tel que le radar tactique Airmaster ou le bras d’emport externe qui permet notamment la fixation des missiles ou des roquettes. Enfin, la dernière fois est un peu particulière près de Bourges, il est convié seul avec comme seule interlocutrice Zayra, apparemment pour une histoire de pièces de fixation des hélices, Cal est un peu étonné qu’elle n'ait pas non plus convié l’ingénieur de Spittrain en charge de ce projet : Sylvain Kusevski.
Elle est un peu plus tactile que d’habitude (plus que la traditionnelle poignée de main des militaires en tout cas), elle le regarde beaucoup plus et lui sourit, ce qu’elle ne fait que rarement habituellement.
Cal s’est habitué à ce qu’elle soit froide, distante voir par moment cassante dans les discussions pour être totalement étonné par ce genre d’attitude nouvelle. C’est à la fin de leurs entrevues qu’il a confirmation que quelque chose a changé, en effet elle ne porte plus son alliance. Elle l’a fait venir en ce début du mois de décembre deux mille dix-neuf pour voir sa réactivité à ses timides avances. Il ne sait pas s’il a répondu correctement au test, mais il verra bien.
La fin d’année lui a permis de commencer une relation avec Béa, mais les règles sont claires entre eux : aucune limite, chacun fait ce qu’il veut et au contraire cela donne un certain piquant à leurs relations. L’hystérie collective liée au Covid et notamment sur les sites militaires fait que la sécurité y est désormais très renforcée, les discussions commerciales se passent essentiellement en visio. Le confinement décidé par le Président fait qu'il tourne un peu en rond dans son appartement parisien, ses rares sorties sont en fin de journée pour faire son jogging avec son attestation de déplacement. Calvin est un peu étonné par le nombre de personnes qui désormais font leurs joggings, souvent, il rentre à l’heure où on applaudit les soignants aux balcons et lui fait donc la même chose dans la rue.
Calvin est un peu étonné par le nombre de personnes qui désormais font leurs joggings, souvent, il rentre à l’heure où on applaudit les soignants aux balcons et lui fait donc la même chose dans la rue. Il sort aussi pour aller récupérer Max, mais se rend compte qu’un petit appartement pour s’occuper de son petit bonhomme est peut-être trop petit, il lui faut un extérieur. Il va se mettre en quête d'une maison dès la fin du confinement.
Le dix avril, il est en pleine réunion avec ses équipes quand le facteur sonne pour lui remettre un recommandé contre une signature. Après avoir récupéré le courrier, il l’ouvre et y trouve une invitation à son nom pour l’exposition d’un modèle d’hélicoptère miniature par une entreprise familiale spécialisée dans ce domaine. Il s'apprête à jeter le courrier quand un petit feuillet tombe de la liasse. Dessus, sont inscrits des explications techniques de la part de l’ingénieur en chef, le style d’écriture lui dit quelque chose, mais la signature le marque encore plus : Z.E.N., c’est exactement comme cela que Zayra signe ses mémos.
Cela l’intrigue d’autant que les informations demandées sur la liasse fournies sont vraiment très précises et beaucoup trop confidentiel pour une simple visite : fichier de casier judiciaire, des questions comme avez-vous déjà été cité à comparaître ?
Son autorisation de déplacement professionnel est déjà remplie et signée comme si on avait la certitude qu’il va aller à cette démonstration. Il termine sa réunion et va repérer les lieux sur Google Maps, à part des fermes et de gros espaces verts sans la moindre photo, il y a vraiment rien à proximité de Cheylade dans le Cantal. Sur la photo la plus proche, le panorama est magnifique, c'est une sorte de Grand Canyon à la Française.
C'est l’occasion de sortir et si son intuition est vraie, il va pouvoir revoir Zayra et si elle s’est donné autant de mal pour le contacter, c’est que cela en vaut la peine.
Notre héros remplit la liasse de documents et le renvoi dans les délais, il fait ses deux tests Covid comme demandé selon les règles qui lui ont été fixées.
Son rendez-vous étant fixé à quinze heures, il part la veille et prend une chambre dans un hôtel à Ségur-les-Villas à proximité de la réserve naturelle des Tourbières de Jolan. Le lendemain après le déjeuner à Cheylade, il va admirer l’église Saint-Léger et surtout son plafond, l’un des plus importants vestiges de ce village de deux cents âmes. Il sort de la ville à l’aide de l’Aston Martin Vanquish, c’est la première fois qu’il peut vraiment l’utiliser depuis qu’il l’a acheté. C’est l’inconvénient d’acheter une voiture en plein confinement, la seule et unique fois qu’il l’a utilisé, c’est le jour où il l’a reçu pour se rendre au bureau avec sauf qu’il n'a pas prévu de se faire arrêter par la Police à la sortie de Paris. Il a dû se justifier de ne pas avoir d’autorisation professionnel de déplacement et en dernier recours donne le numéro de Béa qui par chance répond au policier, il est à peine sept heures du matin à New-York pourtant. Elle réussit à justifier du déplacement de Cal au bureau, car il doit récupérer un document confidentiel avant une entrevue téléphonique avec la ministre du travail, elle lui dit avec tout son aplomb qu’il peut contacter le secrétariat général du Ministère pour vérifier de la véracité de ses propos, le policier choisit finalement de la croire sur parole et laisse repartir Cal.
Ce dernier rappelle sa dulcinée en arrivant pour la remercier, elle lui dit que pour se faire pardonner, il va devoir lui offrir une bonne baise dans l’Aston Martin sur les hauteurs de Paris (à lui de trouver où). Il lui répond que ce sera avec plaisir et que maintenant, c’est malin, il bande dur. Elle lui envoie une vidéo où elle se doigte en lingerie fine pour l’aider à se branler, il jute dans un mouchoir assis dans son siège de bureau. C’est un très bon souvenir, il a hâte de pouvoir la retrouver rapidement après la fin de toutes ses mesures sanitaires.
En attendant, il prend la route du lieu-dit « Le Chauvier » à l’est du village, c’est une petite route départementale qui le mène jusque devant une grille avec un vigile qui vérifie son identité et ses autorisations, il lui confirme que l’entreprise qu’il cherche se trouve au bout de cette longue route qui longe de grande carrière sur sa droite. Cette grille et ce vigile confirment son intuition première : il doit se trouver sur un site de l’armée. Il remonta la route en bonne partie blanchie liée notamment au dépôt de calcaire de la carrière, sur sa gauche se trouve une colline qu’il longe pour monter de plus en plus. En contrebas, il voit clairement qu’une bonne partie du domaine est fermée par des murets en pierre comme sur tout site appartenant à l’armée. Au bout de la route, il voit au loin le bâtiment principal qui est bien trop imposant pour n’appartenir qu’à une petite entreprise familiale, d’autant que là, c’est un militaire qui l’accueille devant une autre barrière. Cal décline son identité et le document attestant de sa présence, on lui dit d’attendre le temps qu’on contacte la personne qu’il est venu voir. Finalement, il peut aller garer son véhicule devant le bâtiment Général Aimé Doumenc, la commandante l’attendra devant pour le conduire là où il a le droit de se rendre. Effectivement, la commandante El Nesri l'attend et échange avec lui une poignée de main très ferme.
Elle lui ouvre la route et le regard de Calvin s'attarde sur son pantalon bleu marine très cintrée, elle roule un peu du cul en marchant la militaire. Ils pénètrent dans le bâtiment en verre et passent au scanner comme dans les aéroports où les militaires peuvent constater qu’il n’a rien de dangereux. Ils prennent un ascenseur vers le deuxième étage, il y a beaucoup de place, mais Zayra se tient assez près de lui et il peut sentir qu’elle porte le parfum « j’adore » de Dior.
Ils s’installent au bureau de la commandante qui a une magnifique vue sur les massifs du Cantal, elle se dit qu’il est nécessaire de lui fournir une petite explication :
- Je pense mon cher monsieur Lienard que vous vous demandez ce qu’est tout ceci et toutes les sécurités auxquels nous vous avons soumis, je me trompe ?
- Non effectivement mon commandant, c’est une question que je pose depuis un mois lui répondit-il
- Eh bien, déjà, sachez que vous êtes au sein du Centre Technique de l’Armée de l’Air à Cheylade dans le Cantal, c’est une base non répertoriée officiellement car classé en zone de sécurité IV, ce qui veut dire que les engins et les armes qui transitent par ici relèvent du plus haut niveau de secret-défense.
Et que donc, vous n’avez pas le droit de divulguer l’emplacement de ce lieu, de parler de ce que vous aurez vu, entendu ou aperçu, à qui que ce soit, nous serions obliger dans le cas contraire d'engager des poursuites contre vous.
Est-ce que c’est bien clair pour vous monsieur Lienard ?
- Oui très clair mon commandant, vous pouvez compter sur ma discrétion.
- C’est ce que je voulais entendre mon cher Cal, bon, vous vous en doutez, j’imagine que si je vous ai fait venir, c’est que cela a un rapport avec le HIL, sachez que l’ensemble des pièces ont été fournies par nos différents prestataires dont votre entreprise et que le premier prototype a terminé d’être assemblé.
Il va être testé pour la première fois tout à l’heure et disons que je vous ai fait une fleur en vous invitant à venir le voir.
- C’est un très grand honneur que vous me faites commandant, mais permettez-moi de vous demander pourquoi juste moi et pas mes collègues de Safran et d’Airbus ?
- Cela, je vous l’expliquerai quand nous serons en bas tout à l’heure. Un peu de patience, venez, nous allons nous rendre sur le site d’essai, le chemin va être long.
Ils ressortent de son bureau et prennent un autre ascenseur qui bizarrement n’a qu’un bouton pour descendre et non pour monter. Une fois à l’intérieur, Cal est encore plus perplexe : l'ascenseur descend jusqu'au sous-sol numéro 8. Plus ils descendent, plus Zayra se recule, si bien qu’arrivé au huitième sous-sol, elle est quasiment collée contre lui.
Quand les portes s’ouvrent, il a l’impression de se retrouver en face d’un quai de gare avec des spots très lumineux au plafond et de nombreux quais avec des petites rames.
Il y a carrément une gare sous les massifs du Cantal, il est vraiment sidéré.
- Il n’y a que peu de personnes depuis près de trois mois à cause du Covid, habituellement cet endroit grouille de personnes entre nos différents sites des environs, mais depuis le début de l’épidémie, nous fonctionnons en service réduit.
Elle passe son badge sur le lecteur, puis une caméra analyse sa rétine avant que la porte d’accès au quai ne s’ouvre (Là, on se croirait carrément dans Mission Impossible.). Ils montent dans une petite rame (sorte de voiturette à deux places fermée sur rail), Zayra met en route et automatiquement la rame part dans le tunnel.
- Le site d’exercice au vol est situé à environ vingt kilomètres au sud, pré du col de Cabré dans le massif central, par ailleurs même si je ne peux pas vous les montrer, car vous n’avez pas les autorisations, je peux vous dire que nous avons un certain nombre de sites d’exercices dans les environs. Cheylade étant le point de départ vers les différents sites.
Ils cheminent pendant une dizaine de minutes en discutant de tout et de rien puis elles les fait tourner dans un virage qui les mène vers un autre tunnel qui débouche sur un cul-de-sac, la commandante arrête la rame a environ cinquante mètres du bout de la ligne. Elle se tourne vers lui, quelque chose a changé dans son regard, il en comprend la teneur quand elle s’adresse à lui :
- Vous m’avez demandé un peu plus tôt pourquoi vous et pas vos partenaires commerciaux, je ne vais pas tourner autour du pot, j’ai toujours eu la réputation de dire ce que je pense et d’être très clair dans mes demandes : depuis le premier jour, je me suis imaginé vous sucer la queue, me faire bouffer la chatte par votre bouche et me faire baiser comme une chienne par tous les trous lui déclame-t-elle tout en lui saisissant la queue à travers son pantalon.
- Je vous répondrai… Commence Cal, servez-vous donc cher commandante, tout en se mettant contre son siège.
- Je n’en attends pas moins de votre part monsieur Lienard, sortant une bite déjà gorgée de sang.
Elle ne perd pas de temps et se l’enfonce à fond dans la gorge, Cal a presque l’impression de toucher sa glotte avant qu’elle ne monte et descende dessus à une vitesse vertigineuse tout en salivant à mort. Zayra lui fait de sacrées gorges profondes au risque d’avoir de gros haut le cœur, mais à chaque fois elle repart à fond, son mascara coule et son rouge à lèvre a carrément barbouillé son vit sur toute sa longueur. Cal ne prend pas d’initiative et la laisse faire, se contentant de savourer sa fellation et sa branlette déterminée, car elle le suce tout en faisant coulisser sa main à fond le long de sa tige de chair avant d’y remettre de gros coup de langue. La militaire descend avec sa langue le long de son pénis et va lui lécher ses boules l’une après l’autre pour son plus grand plaisir, mais elle a une autre idée en tête. Elle déboutonne sa cravate puis sa chemise blanche, lui faisant découvrir sa lingerie : un modèle "Mickalene" de chez Coco de Mer.
Un modèle noué autour du cou sans armature et dont le côté très intéressant réside dans le fait que les bonnets sont ouverts mettant bien en avant ses tétons, car elle n’a pas mis les caches tétons bruns, la dentelle chantilly autour de son cou est aussi très intéressant. De plus, si elle a mis bien l’ensemble de cette marque, son slip est un slip ouvert, il n’aura pas besoin de retirer sa lingerie pour la pénétrer.
Ses seins lui font presque sortir les yeux de la tête, c’est du 100 C au moins, sa bite frétille d’anticipation alors qu’elle crache entre ses mamelons avant de les badigeonner pour préparer sa branlette espagnole. C’est encore mieux que ce qu’il a imaginé quand il sent sa queue coulisser entre ses deux gros obus. Il a l’impression de baiser sa poitrine et vu qu’elle prend énormément d’amplitude, elle peut sucer le bout de sa bite à chaque fois qu’elle dépasse de son entre seins.
Ce rythme infernal finit par avoir raison de lui, après un passage en branlette espagnole de plusieurs minutes, il craque et envoie plusieurs gros jets sur son visage, son menton et ses seins. Elle le nettoie entièrement et boit tout le foutre qu’elle a récupéré avec ses doigts.
Elle se met ensuite debout ensuite dans la cabine de la rame et retire son pantalon bleu marine pour se retrouver totalement en lingerie devant lui, incline totalement son siège, l’enjambe et place sa vulve au-dessus de son visage tout en se tenant au haut de la rame.
Cal ne se fait pas prier et commence donc comme elle l’a formulé à lui bouffer la chatte, avec de grands coups de langue.
- Vas-y mon mignon ! Tu aimes la bouffer ma minette, mon salaud. Comme ça ici, ouiiii ! Tu lèches bien, tu es bien obéissant, c’est comme ça que j’aimeeee les hommmesss, Ouiiii ! ouiiii ! Ça t’excite hein ? Ta queue recommence à être bien dure et chaude ! J’ai hâte de la sentir en moi. Tu vas être bien sage et tu vas me laisser m’empaler dessus.
Ces paroles motivent aussi très fortement Cal qui finit par la portée à l’extase. Elle ne perd pas le nord et comme elle l’a dit précédemment, redescend le long de son torse et fait rentrer derechef son membre turgescent dans un antre bouillant. Zayra fait bouger sa magnifique croupe contre lui et lui masse la bite de l’intérieur sous les soupirs d’un Cal totalement conquis. La commandante lui aspire la bite avec sa chatte à chaque fois qu’elle monte et descend, d’autant que ses sécrétions à elle lubrifient totalement son membre.
Mais elle veut aussi se faire lécher les seins pendant qu’elle se fait baiser, Cal se fait donc une joie de lui manger les seins, les deux mains bien caler sous ses deux grosses miches.
Elle se trémousse désormais avec sa bite dans son ventre et son majeur de plus en plus enfoncé dans son cul. Ils doivent être bien loin dans le tunnel, car vu les cris qu’elle pousse dans cette cabine, cela l’étonne de ne pas avoir déjà toute une unité d’intervention avec des FAMAS braqués sur lui. En attendant, son arme de poing à lui fait des ravages dans ses deux trous, il en est désormais à trois doigts coulissant dans son cul, ce qui la fait juter à mort. Ce doigtage anal lui donne des idées, car elle pivote et lui présente son côté pile avant de changer de trou et de se sodomiser avec la queue bien dure de Cal. Pour ce dernier, c’est un pur moment de bonheur, il est transformé par la militaire en objet sexuel et il a juste à profiter du spectacle de ses deux globes bien ferme distendus par sa poutre.
Elle monte et descend sur son vit en s’appuyant sur le tableau de bord de la rame, il voit son reflet dans la vitre et cela lui donne un souffle de machisme, il a bien envie de reprendre la main. Du coup, sans sortir de son trou du cul, il se lève et la pousse sur la console de la rame, elle doit mettre ses mains en opposition sur la vitre pendant qu’il monte entièrement son buste sur le tableau, il ne reste que son cul en buse offert à ses envies bestiales.
Cal lui écarte au maximum ses chevilles et l’encule au rythme d’un métronome malgré ses cris de douleur ou de plaisir, il ne sait pas trop, mais vu les orgasmes à répétition qu’elle a eu, c’est sûrement du plaisir. Calvin se retient un maximum, serre la base de sa queue pour ne pas finir dans son conduit anal et ressort pour juter à grosse giclée sur son cul rebondit qu’il claque à plusieurs reprises histoire de le faire rougir. Cal lui écarte au maximum ses chevilles et l’encule au rythme d’un métronome malgré ses cris de douleur ou de plaisir, il ne sait pas trop, mais vu les orgasmes à répétition qu’elle a eu, c’est sûrement du plaisir. Il appuie sur ses épaules pour qu’elle s’accroupisse et il lui fourre sa bite encore maculée de sperme chaud dans la bouche, elle se fait un plaisir de lui extirper ses dernières gouttes de foutre et de lui rendre une queue toute propre.
Une fois que l’excitation est retombée, ils remettent de l’ordre dans leurs tenues, font repartir la rame qui les mène en quelques instants à bon port. Ils arrivent au niveau d’un autre quai puis vers un ascenseur qui les fait monter au sommet soit à peine juste au-dessus de la surface dans une sorte de bunker d’où il a une vision par une meurtrière sur une piste de décollage où se trouve le fameux HIL.
Le H 160 attend là avec deux pilotes à son bord qui doivent attendre les ordres, cela ne tarde pas à venir puisque Zayra sort un talkie de son Holster et appelle les pilotes :
- Ici, Zanzibar 1, me recevez-vous Eagle 3, à vous ?
- Ici, Eagle 3 lui répond le pilote principal, nous attendons vos ordres Zanzibar 1, prêt au décollage.
- Permission accordée Eagle 3, je répète : permission accordée pour décollage d’essai.
Et sous les yeux de Cal, le prototype fait tourner ses hélices de plus en plus vite puis décolle sous ses yeux ébahis. C’est toujours un plaisir de voir une des réalisations auxquelles on a participé en action, l’hélicoptère est vraiment beau à voir et redoutable au combat probablement. Mais autre chose est beau à voir aussi là, la bonne paire de fesses de Zayra dans son pantalon moulant bleu marine. Il ne peut se retenir alors qu’elle est contre le muret, de sortir discrètement sa queue, d’avancer vers elle, de passer sa main vers l’avant pour baisser juste assez son pantalon. La militaire le laisse faire, ayant hâte de savoir la suite, il baisse juste assez pour voir apparaître son trou le plus secret, baisse un peu sa culotte, l’incline légèrement et commence à l’enculer, cette position par-derrière avec elle contre le muret la rend totalement vulnérable, elle ne peut détacher ses yeux de l’hélicoptère, mais en même temps elle savoure cette pénétration anale. Cal a calé son rythme sur le rythme des pals de l’hélicoptère, il rentre, ressort puis replonge.
Zayra se laisse aller à de petits cris pendant que l’hélico est en l’air puis elle parvient à se contenir quand celui-ci se pose, mesure sa voix pour remercier les pilotes, histoire qu’ils ne se rendent compte de rien alors qu’un vit lui perfore les entrailles. Une fois qu’ils sont répartis par un autre ascenseur et qu’elle les sait loin, elle s’appuie totalement contre le muret et se cambre encore plus permettant à Cal de rentrer plus profondément tout en martyrisant ses seins qu'il a sortis de sa chemise. Elle a un orgasme dévastateur qui déclenche le sien quand ses parois se resserrent sur lui, il se lâche en longue saccade dans son boyau anale, criant à l’unisson leurs plaisirs dans la plaine du Cantal.
Une nouvelle fois, ils remettent de l’ordre dans leurs vêtements puis regagnent le bureau de Zayra où elle lui demande ses projets pour la soirée, lui n’a pas prévu de rentrer avant demain sur Paris. Elle lui propose alors de passer la soirée avec elle sur Aurillac où elle a son pavillon en banlieue.
La soirée fut très plaisante, la nuit, fut longue et très chaude, le réveil ne le fut pas moins avec une gâterie matinale pour ne pas gâcher sa gaule au réveil puis une nouvelle baise dans le lit et sous la douche. Elle réclame une dernière rasade de sperme dans sa bouche pendant le petit-déjeuner avant qu’il ne reprenne la route de Paris.
Cal rit donc sous cape quand on lui présente pour la « première fois » le prototype en vidéo à peu près trois mois plus tard, tout en pensant à sa fabuleuse aventure avec la commandante El Nesri.
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Les avis des lecteurs
Effectivement, Zayra sait ce qu’elle veut et comment l’obtenir.
Et bien voilà une jolie militaire qui n'a pas froid aux yeux et va droit au but!