Zeus vs Jupiter
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2014 dans la catégorie A dormir debout
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Zeus vs Jupiter
Zeus vs Jupiter.
Voilà un combat qui risque d’être rude, avec des rebondissements. Par mesure de sécurité, la rencontre a lieu au fin fond du monde connu. Le ring est installé entre les colonnes d’Hercule. Les spectateurs qui ont payé des sommes folles, pire que pour Madona (le concert aura lieu plus tard, ailleurs). Presque tous les coups seront permis : toutefois défense de marcher sur les pieds, les mains sauf si elles portent des gants. L’arbitre est un nommé Vishnou, peu connu dans nos contrées, semble-t-il un as dans sa catégorie, même s’il est un non violent.
Depuis que le combat est annoncé, les places s’arrachent cher : plusieurs centaines de pièces (n’ayant toujours pas obtenu, malgré mes multiples demandes les taux de change, je suis incapable de traduire en euros), en plus un marché noir c’est mis en place sur les conseils de Mercure (rappelons que Mercure est le dieu des marchands et des voleurs), donc beaucoup de pièces d’or circulent.
L’intérêt de la rencontre est d’abord les combattants et surtout les soigneurs, qui en l’occurrence sont des soigneuses triés sur le volet (à la suite d’une émission de téléréalité du futur spécialement trafiquée).
Il y a Vesta, la belle Vesta, qui a des seins tels que celui qui les voit deux secondes en tombent épris. Ses fesses sortent d’une fabrique qui fourni le meilleur fabriquant de meuble de l’époque, déjà un suédois. Son ventre est durci par la gymnastique suédoise, justement. Elle laisse toujours apparaitre une petite touffe de poils mignons sur le pubis, ça ajoute dit-on à son charme. C’est une ancienne lutteuse de foire. Personne ne l’a jamais battue, sinon quand elle était enfant quand elle faisait des bêtises comme tous les garnements de l’époque.
L’autre était Lesbos, une parente de l’autre, pas avec les même mœurs, elle était plutôt portée vers les grands types poilus, musclés plus que Schwarzy (un acteur qui jouait dans les arènes des rôles de méchant, un ancêtre de Schwarzenegger -,
Elle avouait ne se donner qu’à ce genre de types rares encore à l’époque, sauf dans les arènes justement. Elle avait arbitré un match à Troie, juste avant la guerre qui aux dernières nouvelles n’aurait pas eu lieu (fiez vous aux nouvelles véhiculées par www-la-gazette.gr.Son grand plaisir était, après avoir vu son type larder deux ou trois esclaves, de se faire sodomiser par une bite énorme, celle de son chéri. Des fois, elle avait des absences en se faisant baiser : une erreur d’entrée est possible, n’est-ce pas mesdames (ni niez pas ça vous est arrivé plus d’une fois, pensant devant alors que vous l’aviez derrière).
Donc le public est là, avec les fanas de l’un ou l’autre. Au coup de cong (sorte de gong mal formé) le combat commence. D’abord deux tours de l’ovale ( ring de ces lieux) d’observation sous les hués des supporters des deux camps. Lesbos fait des signes à son challenger : mors-y le aux fesses. La belle Vesta proteste : quoi, mordre les fesses de mon champion en public c’est une honte, c’est pas du jeu. Elle est soutenue par Vishnou. Un carton jaune, déjà à cette époque reculée (les arbitres actuels n’ont rien inventé quoi qu’ils en disent). Voilà 10 minutes de suspension. Le temps pour la belle Vesta de cherche son partenaire : il est là, un esclave de Lybie, un ancien colonel. Il l’attend quand elle vient lui donner son quart de lune, pardon, son cul. Son plaisir est d’être léchée à cet endroit, c’est elle qui a inventé la premier sodomie, suivie par pratiquement toutes les femmes de l’époque, quoi que certaines refusaient souvent. L’esclave attend donc sa maîtresse, la quéquète raide, prête à l’emploi. Il ne reste à Vesta qu’à lui présenter ses fesses écartées. Le temps, pas plus que le temps de jouir, Vesta revient sur le ring : elle est applaudie pour son exploit. Elle lève les mains vers le ciel, les réunies avant de faire de grand gestes victorieux.
Et le combat repart. Une pris de tête, suivie d’une clé anglaise (non pas anglaise), d’une clé tout court, Jupiter râle comme s’il allait mourir dans l’heure qui vient (comme un footeux professionnel sur le terrain qui se tient le genou gauche puis le droit tant il a mal. Il se relève pour flanquer une tourniole à Zeus qui la lui rend, mais en se roulant lui aussi par terre (y pas de raison que je ne le fasse pas aussi). Flambard Jupiter lance un Edge chop puis Zeus réplique par un Kesagiri chop (chercher brave lecteur vous saurez je que je ne savais pas il y a quelques secondes)
Vishnou voyant les deux dieux se faire le genre de caresse qu’il aime commence à bander. Un arbitre qui bande ne fait pas sérieux. Il ne lui reste qu’une solution : il sort sa queue, la montre au public : longue salve d’applaudissement devant un sexe si beau, si magnifique, si tendu, qui doit faire du bien là où il passe. Les adversaires s’arrêtent d’eux même étonnés de la bite. Il force Vishnou à aller au-delà : qu’il montre comment il éjacule.
Un peu confus, L’arbitre prend sa queue dans sa main, met l’autre sur son anus. Il entre deux doigts, il bande encore plus fort. C’est alors que devant le public conquis il fait aller et venir sa main sur la queue. Il l’astique un bon moment avant qu’il gicle un jet qui traverse les colonnes d’Hercule. Le sperme retombe en gerbe comme un feu d’artifice.
Des hourras s’élève dans le public. Même les lutteurs arrêtent le combat devenu inutile.
C’est pourquoi Jupiter part pour Rome et Zeus rejoint son logis dans l’Olympe, en haut au dessus de la maison où habite une femme aux mœurs légère.
Voilà un combat qui risque d’être rude, avec des rebondissements. Par mesure de sécurité, la rencontre a lieu au fin fond du monde connu. Le ring est installé entre les colonnes d’Hercule. Les spectateurs qui ont payé des sommes folles, pire que pour Madona (le concert aura lieu plus tard, ailleurs). Presque tous les coups seront permis : toutefois défense de marcher sur les pieds, les mains sauf si elles portent des gants. L’arbitre est un nommé Vishnou, peu connu dans nos contrées, semble-t-il un as dans sa catégorie, même s’il est un non violent.
Depuis que le combat est annoncé, les places s’arrachent cher : plusieurs centaines de pièces (n’ayant toujours pas obtenu, malgré mes multiples demandes les taux de change, je suis incapable de traduire en euros), en plus un marché noir c’est mis en place sur les conseils de Mercure (rappelons que Mercure est le dieu des marchands et des voleurs), donc beaucoup de pièces d’or circulent.
L’intérêt de la rencontre est d’abord les combattants et surtout les soigneurs, qui en l’occurrence sont des soigneuses triés sur le volet (à la suite d’une émission de téléréalité du futur spécialement trafiquée).
Il y a Vesta, la belle Vesta, qui a des seins tels que celui qui les voit deux secondes en tombent épris. Ses fesses sortent d’une fabrique qui fourni le meilleur fabriquant de meuble de l’époque, déjà un suédois. Son ventre est durci par la gymnastique suédoise, justement. Elle laisse toujours apparaitre une petite touffe de poils mignons sur le pubis, ça ajoute dit-on à son charme. C’est une ancienne lutteuse de foire. Personne ne l’a jamais battue, sinon quand elle était enfant quand elle faisait des bêtises comme tous les garnements de l’époque.
L’autre était Lesbos, une parente de l’autre, pas avec les même mœurs, elle était plutôt portée vers les grands types poilus, musclés plus que Schwarzy (un acteur qui jouait dans les arènes des rôles de méchant, un ancêtre de Schwarzenegger -,
Elle avouait ne se donner qu’à ce genre de types rares encore à l’époque, sauf dans les arènes justement. Elle avait arbitré un match à Troie, juste avant la guerre qui aux dernières nouvelles n’aurait pas eu lieu (fiez vous aux nouvelles véhiculées par www-la-gazette.gr.Son grand plaisir était, après avoir vu son type larder deux ou trois esclaves, de se faire sodomiser par une bite énorme, celle de son chéri. Des fois, elle avait des absences en se faisant baiser : une erreur d’entrée est possible, n’est-ce pas mesdames (ni niez pas ça vous est arrivé plus d’une fois, pensant devant alors que vous l’aviez derrière).
Donc le public est là, avec les fanas de l’un ou l’autre. Au coup de cong (sorte de gong mal formé) le combat commence. D’abord deux tours de l’ovale ( ring de ces lieux) d’observation sous les hués des supporters des deux camps. Lesbos fait des signes à son challenger : mors-y le aux fesses. La belle Vesta proteste : quoi, mordre les fesses de mon champion en public c’est une honte, c’est pas du jeu. Elle est soutenue par Vishnou. Un carton jaune, déjà à cette époque reculée (les arbitres actuels n’ont rien inventé quoi qu’ils en disent). Voilà 10 minutes de suspension. Le temps pour la belle Vesta de cherche son partenaire : il est là, un esclave de Lybie, un ancien colonel. Il l’attend quand elle vient lui donner son quart de lune, pardon, son cul. Son plaisir est d’être léchée à cet endroit, c’est elle qui a inventé la premier sodomie, suivie par pratiquement toutes les femmes de l’époque, quoi que certaines refusaient souvent. L’esclave attend donc sa maîtresse, la quéquète raide, prête à l’emploi. Il ne reste à Vesta qu’à lui présenter ses fesses écartées. Le temps, pas plus que le temps de jouir, Vesta revient sur le ring : elle est applaudie pour son exploit. Elle lève les mains vers le ciel, les réunies avant de faire de grand gestes victorieux.
Et le combat repart. Une pris de tête, suivie d’une clé anglaise (non pas anglaise), d’une clé tout court, Jupiter râle comme s’il allait mourir dans l’heure qui vient (comme un footeux professionnel sur le terrain qui se tient le genou gauche puis le droit tant il a mal. Il se relève pour flanquer une tourniole à Zeus qui la lui rend, mais en se roulant lui aussi par terre (y pas de raison que je ne le fasse pas aussi). Flambard Jupiter lance un Edge chop puis Zeus réplique par un Kesagiri chop (chercher brave lecteur vous saurez je que je ne savais pas il y a quelques secondes)
Vishnou voyant les deux dieux se faire le genre de caresse qu’il aime commence à bander. Un arbitre qui bande ne fait pas sérieux. Il ne lui reste qu’une solution : il sort sa queue, la montre au public : longue salve d’applaudissement devant un sexe si beau, si magnifique, si tendu, qui doit faire du bien là où il passe. Les adversaires s’arrêtent d’eux même étonnés de la bite. Il force Vishnou à aller au-delà : qu’il montre comment il éjacule.
Un peu confus, L’arbitre prend sa queue dans sa main, met l’autre sur son anus. Il entre deux doigts, il bande encore plus fort. C’est alors que devant le public conquis il fait aller et venir sa main sur la queue. Il l’astique un bon moment avant qu’il gicle un jet qui traverse les colonnes d’Hercule. Le sperme retombe en gerbe comme un feu d’artifice.
Des hourras s’élève dans le public. Même les lutteurs arrêtent le combat devenu inutile.
C’est pourquoi Jupiter part pour Rome et Zeus rejoint son logis dans l’Olympe, en haut au dessus de la maison où habite une femme aux mœurs légère.
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