Zita
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Zita
Je dois voir l’apprentie, pour régler le problème de carburation. Comment diable une
jeune femme pourrait réparer mon problème, en plus une jeune femme inexpérimentée.
Enfin je montre le moteur de la voiture à cette jeune femme qui est moins jeune que je
le pense. Elle ouvre le capot, se penche sur l’intérieur, les entrailles de mon
véhicule. Ce faisant, elle tend au maximum sa salopette. Un joli postérieur. Je
comprends mon mari quand il me dit des fois désirer une fille. Je vois des fesses
divinement dessinées. D’un seul coup j’ai envie de la toucher, de passer mes mains en
caressant.
Je me retiens, par un reste de morale plus que par pudeur. En résistant j’arrive à ne
pas la toucher. Elle doit le faire exprès quand elle remue son fessier juste sous mes
yeux. En plus, elle remue ses longs cheveux sur son cou. Là, je n’en peux plus, je
pose mes mains sur ses hanches. Elle me regarde de ses grands yeux bleus. En la
serrant je la rapproche de moi. Ces fesses touchent mon bas ventre. J’espère que
personne ne me voit. Elle ne va pas se révolter, j’espère !
Elle se penche encore sur la voiture, en accentuant son geste vers moi.
- Attendez-moi, s’il vous plait.
C’est une invitation à une suite espérée. Je reste quand même comme une idiote près le
mon véhicule. Elle revient vers moi, les mains en l’air : elle les a lavées. Sans se
soucier de la suite, elle me met presque assise sur le capot. Elle s’installe contre
moi qui ouvre un peu les jambes. Si elle me veut je la veux aussi. Mais commente
expliquer que j’ai envie d’une fille comme ça, d’un seul coup. Et puis je m’en fiche
totalement du quand dira-t-on. Je sens ses mains sur mes hanches, elles descendent un
peu. Cette fille ne va pas me caresser comme mon mari ? Non, elle me tient simplement
pour poser mes lèvres sur les miennes. Elle est douce plus douce que mon époux. Ma
langue accepte la sienne comme compagne de jeu interdit.
Je la serre contre moi, j’accepte tout ce qu’elle voudra. Elle veut de machins, des
choses qui font plaisir.
- Je m’appelle Zita : elle me donne son nom alors que je ne demande rien. Je
m’entends répondre
- Moi, c’est Nicole.
- Tu veux, Nicole ?
- Oui.
Je ne sais trop ce qu’elle veut, enfin je, m’en doute un peu. Je réponds
affirmativement comme une imbécile. Je suis décidée à la suivre vers son désir qui
n’est pas encore tout à fait le mien. Elle sait comment me faire céder, elle caresse.
Je la laisse faire, manière d’avoir une excuse au cas où, Où quoi, d’ailleurs puisque
personne ne fait attention, que je ne vais pas avouer cette faiblesse pour une fille,
même pas à mon mari.
Là j’ai envie qu’elle me caresse, qu’elle me fasse du bien. Quand sa main vient sur la
cuisse, je la laisse faire, impatient même qu’elle aboutisse à son but. Elle glisse
sur le bas, elle monte bien haut à limite de ma féminité. Je tends le pubis, il me
tarde qu’elle soit sur ma chatte. Je sens ses doigts me fouiller. C’est bien meilleur
que ce que me fait mon mari, c’est plus excitant avec cette main de femme qu’avec les
siennes.
Elle bouge sa langue dans ma bouche, me caresse en cadence. Je sens deux doigts sur la
moule : je mouille, j’ai envie. Zita comprend mes besoins, elle me masturbe alors que
nous ne connaissions pas il y a une demi-heure. Je m’ouvre sans complexe. Je me donne
totalement quand je suis son rythme avec mon ventre.
Elle prend ma main droite la met sur son sexe, par dessus la salopette. Je cherche
vainement à passer sous le vêtement. Elle me guide vers l’ouverture sur le coté. Je
sens sa peau nue. Elle est chaude, j’ai envie de passer ma main. Je ne trouve le
passage que vers l’arrière. Ses fesses sont dures. Ma main en fait le tour. La raie
est proche, j’y mets un doigt. Drôle de situation, je me laisse caresser par une fille
qui le masturbe, je caresse ses fesses. Elle l’accepte en callant son cul sur ma main.
Son anus est fort doux. Je prends, moi, du plaisir à caresser un cul d’une femme que
je ne connais pratiquement pas. Je pousse en elle un seul doigt qui entre facilement.
Le va et vient commence avec son aide.
Zita commence à entrer un doigt dans l’abricot. Elle me baise ainsi. Je déguste la
chose comme normale. Je sens un autre doigt qui passe ma fente vers l’anus. Je jouis
grâce à sa main, grâce à ses doigts. Son anus se referme sur les doigts ; elle aussi
jouit.
- Retrouvons nous dehors.
- Où ?
Là je m’entends répondre chez moi. Je m’offre à cette Zita qui doit être un drôle de
numéro, qui aime les filles, que je n’oserais jamais montrer à mon mari. Elle m’a
collé le virus des filles qui aimes les filles. J’ai encore envie de faire l’amour
avec elle. Tant pis si mon mari me voit avec elle. Ou tant mieux, je ne sais plus.
Chez moi je nous installe dans la chambre. C’est plus agréable que debout contre une
voiture. Sa salopette est sur le sol avec ma jupe. Elle, était nue, nous sommes nues
ensemble. J’ai besoin de ses seins contre les miens. Nos bouches ne se décollent plus.
C’est pourtant sa main qui est sur ma moule. Je la sens glisser sur moi. J’ai mes
jambes presque grandes ouverte, je la veux en moi. Ce n’est pas exactement ce qu’elle
désire. Elle pose sa bouche en haut de mes cuisses. J’aime me faire lécher et sucer.
Sa langue est la bienvenue. Elle ne me fouille pas, elle trouve ce qu’il me faut
depuis le bouton jusqu’au cul. J’ai la tête en arrière dans l’attente du moment
suprême.
Quand j’ouvre les yeux, mon mari est là, il nous regarde. Sans un mot il est nu. Je
vois sa queue bandée. Je ne sais qui il va baiser, qui il va enculer peut être.
Elle me plait bien sa queue, elle n’est pas démesurée, elle entre bien dans mon cul ;
j’aime la branler, j’aime voir sortir son jus.
Zita me suce, elle est placée sur moi, ses fesses relevées. J’en suis sure, elle va
recevoir la pine de mon mari. Je me demande s’il va l’enculer devant moi. J’aimerai
voir la bite entrer dans un cul, je ne l’ai jamais vu. Zita a vu mon mec nu, elle sait
qu’elle va se faire mettre. Elle ne sait pas encore où. Il nous enjambe. Je vois ses
jambes écartées, ses couilles pas tout à fait pendantes. La queue est raide. Il
s’approche de Zita. Une main est sur les fesses à la place de la mienne. Il pose la
pine juste sur l’anus. Je regarde curieuse. Il ne semble pas forcer quand il entre. Je
vois le prépuce reculer, le gland se découvrir. D’un seul coup il la sodomise. Il la
lui met en entier. Il doit prendre un drôle de plaisir. Il ne s’en doute pas, je jouis
rien qu’en voyant, même si la langue continu son travail de sape. Zita entre deux
doigts dans l’anus. Elle me fait à la fois mal et du bien.
Je regarde la queue de mon mari dans le cul de Zita, dans le cul d’une autre. C’est
bon de regarder cette sodomie. Le couple se régale comme moi. Il va jouir, il sort du
cul, me donne sa queue que je prends dans la bouche. Le gout est celui du cul de Zita.
Ma langue lèche le manche. Je jouis encore une fois pendant que le jus de mon homme
noie ma bouche.
jeune femme pourrait réparer mon problème, en plus une jeune femme inexpérimentée.
Enfin je montre le moteur de la voiture à cette jeune femme qui est moins jeune que je
le pense. Elle ouvre le capot, se penche sur l’intérieur, les entrailles de mon
véhicule. Ce faisant, elle tend au maximum sa salopette. Un joli postérieur. Je
comprends mon mari quand il me dit des fois désirer une fille. Je vois des fesses
divinement dessinées. D’un seul coup j’ai envie de la toucher, de passer mes mains en
caressant.
Je me retiens, par un reste de morale plus que par pudeur. En résistant j’arrive à ne
pas la toucher. Elle doit le faire exprès quand elle remue son fessier juste sous mes
yeux. En plus, elle remue ses longs cheveux sur son cou. Là, je n’en peux plus, je
pose mes mains sur ses hanches. Elle me regarde de ses grands yeux bleus. En la
serrant je la rapproche de moi. Ces fesses touchent mon bas ventre. J’espère que
personne ne me voit. Elle ne va pas se révolter, j’espère !
Elle se penche encore sur la voiture, en accentuant son geste vers moi.
- Attendez-moi, s’il vous plait.
C’est une invitation à une suite espérée. Je reste quand même comme une idiote près le
mon véhicule. Elle revient vers moi, les mains en l’air : elle les a lavées. Sans se
soucier de la suite, elle me met presque assise sur le capot. Elle s’installe contre
moi qui ouvre un peu les jambes. Si elle me veut je la veux aussi. Mais commente
expliquer que j’ai envie d’une fille comme ça, d’un seul coup. Et puis je m’en fiche
totalement du quand dira-t-on. Je sens ses mains sur mes hanches, elles descendent un
peu. Cette fille ne va pas me caresser comme mon mari ? Non, elle me tient simplement
pour poser mes lèvres sur les miennes. Elle est douce plus douce que mon époux. Ma
langue accepte la sienne comme compagne de jeu interdit.
Je la serre contre moi, j’accepte tout ce qu’elle voudra. Elle veut de machins, des
choses qui font plaisir.
- Je m’appelle Zita : elle me donne son nom alors que je ne demande rien. Je
m’entends répondre
- Moi, c’est Nicole.
- Tu veux, Nicole ?
- Oui.
Je ne sais trop ce qu’elle veut, enfin je, m’en doute un peu. Je réponds
affirmativement comme une imbécile. Je suis décidée à la suivre vers son désir qui
n’est pas encore tout à fait le mien. Elle sait comment me faire céder, elle caresse.
Je la laisse faire, manière d’avoir une excuse au cas où, Où quoi, d’ailleurs puisque
personne ne fait attention, que je ne vais pas avouer cette faiblesse pour une fille,
même pas à mon mari.
Là j’ai envie qu’elle me caresse, qu’elle me fasse du bien. Quand sa main vient sur la
cuisse, je la laisse faire, impatient même qu’elle aboutisse à son but. Elle glisse
sur le bas, elle monte bien haut à limite de ma féminité. Je tends le pubis, il me
tarde qu’elle soit sur ma chatte. Je sens ses doigts me fouiller. C’est bien meilleur
que ce que me fait mon mari, c’est plus excitant avec cette main de femme qu’avec les
siennes.
Elle bouge sa langue dans ma bouche, me caresse en cadence. Je sens deux doigts sur la
moule : je mouille, j’ai envie. Zita comprend mes besoins, elle me masturbe alors que
nous ne connaissions pas il y a une demi-heure. Je m’ouvre sans complexe. Je me donne
totalement quand je suis son rythme avec mon ventre.
Elle prend ma main droite la met sur son sexe, par dessus la salopette. Je cherche
vainement à passer sous le vêtement. Elle me guide vers l’ouverture sur le coté. Je
sens sa peau nue. Elle est chaude, j’ai envie de passer ma main. Je ne trouve le
passage que vers l’arrière. Ses fesses sont dures. Ma main en fait le tour. La raie
est proche, j’y mets un doigt. Drôle de situation, je me laisse caresser par une fille
qui le masturbe, je caresse ses fesses. Elle l’accepte en callant son cul sur ma main.
Son anus est fort doux. Je prends, moi, du plaisir à caresser un cul d’une femme que
je ne connais pratiquement pas. Je pousse en elle un seul doigt qui entre facilement.
Le va et vient commence avec son aide.
Zita commence à entrer un doigt dans l’abricot. Elle me baise ainsi. Je déguste la
chose comme normale. Je sens un autre doigt qui passe ma fente vers l’anus. Je jouis
grâce à sa main, grâce à ses doigts. Son anus se referme sur les doigts ; elle aussi
jouit.
- Retrouvons nous dehors.
- Où ?
Là je m’entends répondre chez moi. Je m’offre à cette Zita qui doit être un drôle de
numéro, qui aime les filles, que je n’oserais jamais montrer à mon mari. Elle m’a
collé le virus des filles qui aimes les filles. J’ai encore envie de faire l’amour
avec elle. Tant pis si mon mari me voit avec elle. Ou tant mieux, je ne sais plus.
Chez moi je nous installe dans la chambre. C’est plus agréable que debout contre une
voiture. Sa salopette est sur le sol avec ma jupe. Elle, était nue, nous sommes nues
ensemble. J’ai besoin de ses seins contre les miens. Nos bouches ne se décollent plus.
C’est pourtant sa main qui est sur ma moule. Je la sens glisser sur moi. J’ai mes
jambes presque grandes ouverte, je la veux en moi. Ce n’est pas exactement ce qu’elle
désire. Elle pose sa bouche en haut de mes cuisses. J’aime me faire lécher et sucer.
Sa langue est la bienvenue. Elle ne me fouille pas, elle trouve ce qu’il me faut
depuis le bouton jusqu’au cul. J’ai la tête en arrière dans l’attente du moment
suprême.
Quand j’ouvre les yeux, mon mari est là, il nous regarde. Sans un mot il est nu. Je
vois sa queue bandée. Je ne sais qui il va baiser, qui il va enculer peut être.
Elle me plait bien sa queue, elle n’est pas démesurée, elle entre bien dans mon cul ;
j’aime la branler, j’aime voir sortir son jus.
Zita me suce, elle est placée sur moi, ses fesses relevées. J’en suis sure, elle va
recevoir la pine de mon mari. Je me demande s’il va l’enculer devant moi. J’aimerai
voir la bite entrer dans un cul, je ne l’ai jamais vu. Zita a vu mon mec nu, elle sait
qu’elle va se faire mettre. Elle ne sait pas encore où. Il nous enjambe. Je vois ses
jambes écartées, ses couilles pas tout à fait pendantes. La queue est raide. Il
s’approche de Zita. Une main est sur les fesses à la place de la mienne. Il pose la
pine juste sur l’anus. Je regarde curieuse. Il ne semble pas forcer quand il entre. Je
vois le prépuce reculer, le gland se découvrir. D’un seul coup il la sodomise. Il la
lui met en entier. Il doit prendre un drôle de plaisir. Il ne s’en doute pas, je jouis
rien qu’en voyant, même si la langue continu son travail de sape. Zita entre deux
doigts dans l’anus. Elle me fait à la fois mal et du bien.
Je regarde la queue de mon mari dans le cul de Zita, dans le cul d’une autre. C’est
bon de regarder cette sodomie. Le couple se régale comme moi. Il va jouir, il sort du
cul, me donne sa queue que je prends dans la bouche. Le gout est celui du cul de Zita.
Ma langue lèche le manche. Je jouis encore une fois pendant que le jus de mon homme
noie ma bouche.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Des incohérences dans la chronologie. Des fautes de conjugaison, d'accord ( des filles
qui aimes), des mots oubliés( nous ne connaissions). Trois premières lignes : triple
emploi de "jeune femme".Confusion entre futur de l'indicatif et conditionnel présent.
Tous les signes d'un travail bâclé.... n'est-ce pas fabrissa.
qui aimes), des mots oubliés( nous ne connaissions). Trois premières lignes : triple
emploi de "jeune femme".Confusion entre futur de l'indicatif et conditionnel présent.
Tous les signes d'un travail bâclé.... n'est-ce pas fabrissa.