Zoé
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 290 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Huguette34 ont reçu un total de 3 086 824 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 6 420 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Zoé
Nous nous sommes rencontrés par internet. Coup de chance, nous avions les mêmes goûts. Le seule difficulté, mise à part les visions de nos corps sur le net, nous ne nous connaissions pas tellement. Habitant assez loin d’elle, je me décide un jour à la rencontrer de visu. Je ne possède d’elle qu’une photo qu’elle m’a transmise. Nous avons rendez vous dans un café juste à coté de la gare de Lyon. Je la vois assise dans un angle: elle est plus sexy que sur internet. Tant mieux. J’ai loué une chambre au centre de la capitale dans un hôtel de classe: je préfère mes aises, et en plus on peut y faire des rencontres intéressantes.
Je vais vers elle: elle me reconnait, me fait un grand sourire, nous nous embrassons sur les joues, pas sur la bouche, se sera pour plus tard. Je lui prend le bras. Elle se serre contre moi comme si j’allais la perdre. Le chauffeur de taxi qui nous mène à l’hôtel doit croire qu’il a des visions. Cette fois nous ne pouvons nous retenir: nos lèvres sont attirées vers la bouche de l’autre. Nous avons les langues dans la bouche de l’autre.
Zoé, son pseudo, embrasse terriblement bien. J’espère qu’elle sait aussi faire ce que j’attends d’elle aussi bien.
Je remarque qu’elle est habillée légèrement, moi qui vient du midi je n’ai pas très chaud. Je me demande même si à part sa robe elle porte autre chose sur elle. Je le verrai bien tout à l’heure.
Enfin l’hôtel, le concierge, la carte, l’ascenseur, la porte qui s’ouvre et enfin la chambre. Nous sommes enfin seules. Le soir tombe et la nuit est à nous, ainsi que le lendemain samedi: je dois rejoindre mon mari le dimanche. Il faudra que je lui raconte tout ce que j’ai fait: il aime quand je lui raconte mes frasques. Nous nous embrassons cette fois totalement et à fond, pas comme dans le taxi où finalement nos baisers étaient plutôt simulés. Nous sommes serrées, nous ne formons déjà qu’un même corps. Enfin, petit à petit nous nous déshabillons. Je peux la voir bien mieux que dans sur un écran d‘ordinateur. Je la trouve plus belle et toujours sexy, avec ses seins qui pointent: ils sont moins gros que les miens et pourtant à quarante balais, je les porte bien. J’ai gardé mon string comme elle. Pour le moment nous sommes occupées à nous caresser les seins. Je trouve que les siens sont plus durs que les miens.
Je sens ses lèvres sur mes tétons: elle les lèche comme si elle avait fait ça toute sa vie, et pourtant elle n’a que 25 ans. Elle est esthéticienne dans un institut de beauté. Elle connais assez les femmes pour les traiter en femmes. Elle me traite comme elle le fait avec certaines clientes. Ce qu’elle fait est tellement bon que je ne pense même pas à lui rendre ses caresses. Quand elle s’accroupit devant moi pour retirer mon string, je me réveille. Je ne peux que lui caresser les cheveux pendant que sa langue est déjà à l’ouvrage sur mon clitoris. Il y a longtemps qu’une fille ne m’avait pas sucée ainsi bien. Je ne sais exactement comment elle fait: je jouis très vite: ce doit être le fait que c’est notre première fois.
Elle se relève pour m’embrasser: je sens le goût de ma chatte sur sa langue.
Je veux lui rendre le plaisir qu’elle m’a donné. Je la pousse sur le lit où elle se laisse aller, en écartant les jambes. Je suis encore plus excitée quand je vois tout son sexe: il me plait terriblement, avec ses lèvres égales, son clitoris qui ressort à peine et son anus qui me tente. Je me mets à genoux devant elle, j’adore son con, comme une divinité. Ma tête se penche sur la chatte: j’écarte un peu le haut des lèvres pour faire ressortir son bouton. J’ai envie de lui comme d’un mets rare. Ma langue va le goûter. Je ne me trompe pas, sa mouille m’excite encore plus. Je sens que je suis encore plus humide. Je commence avec le bout de la langue pour juste lui toucher l’extrémité du clito. Je passe toute ma langue dessus. Je la sens se raidir: j’espère qu’elle ne va pas jouir maintenant. J’arrête de la lécher un instant. Elle pose une main sur ma tête pour que je revienne sur elle. Son ordre ainsi donné m’oblige à remettre ma langue sur elle. Je la lèche comme pourrait le faire un chien sur la main de son maître. Je me régale de savourer sa cyprine, si douce et salée à la fois.
Maintenant je ne peu plus rien faire que la faire jouir. Elle se crispe, gémit et dit des mots sans signification sinon des « encore » et « je jouis ».
Nous commençons bien notre après midi. Je la couche pour me mettre à ses cotés. Nous restons ainsi comme deux amantes que nous sommes pour simplement nous dire des mots doux. Je me mets sur, le ventre pour l’embrasser et la peloter. Une main descend vers son nombril. Je caresse cette partie entre l’ombilic et le pubis: elle en ressent des chatouilles. Alors carrément je pose toute ma main sur sa chatte. Je sors un doigt pour aller fouiller son vagin: elle aime me dit-elle. Tant mieux, je suis venue pour son plaisir et le mien. Je la doigte longtemps pour finalement aller lui caresser l’anus. J’y mets un doigts, le même que dans son centre de plaisir: j’y entre facilement: elle ouvre légèrement son cul. Je sens que je vais me régaler d’y lui mettre ma langue. J’en ai besoin de suite: je l’enjambe pour être ma tête sur son sexe. Elle écarte les jambes et quand j’ouvre mes jambes sur elle, elle aussi pose sa langue que moi. Nous entamons un 69 d’enfer. J’ai repris son clitoris je le lèche comme tout à l’heure: elle en jouit, ensuite je vais sur son anus. Ma langue commence par le lécher calmement. Elle l’ouvre un peu. Ma langue cherche le petit trou et j’enfile la moitié de ma langue dans son cul. Je sens qu’elle me rend la pareille: nous jouissons avec une langue dans le cul toutes les deux. C’est sans doute sale, mais qu’est-ce que c’est bon.
Zoé a un avantage sur moi: elle est plus agile. En se contorsionnant un peu elle arrive en se retournant à me lécher un sein et me branler l’anus. Je ne sais si elle se rend bien compte de la force de l’orgasme que j’ai à cet instant.
Elle me donne l’envie d’avoir une bite dans le cul. Malgré nos accords, si mon mari était là, je le lui demanderai.
J’en parle à mon amante qui sans se démonter sort de son sac, l’objet indispensable: un petit gode. Je me met sur le ventre, elle mouille bien cet engin, le remouille encore et m’encule lentement. Je sais que je suis ses mouvements de vas et viens et qu’à la fin je cris que je jouis. Je lui prend le gode pour la baiser: j’ai envie de le faire depuis qu’elle m’a montrer le gode. Je la mets sur le dos, lui fait écarter à peine les jambe, cherche et trouve son con. Je pose le gode sur l’entrée et lentement je le lui met. Elle recommence à dire n’importe quoi, surtout des encore. Je la fait jouir.
J’enlève l’engin de jouissance et serrées nous nous endormons. La froideur de la nuit me réveille: je la sens à mes cotés, ses fesses contre les miennes. Je ne peux me retenir: je me tourne et les mords. Elle se réveille en sursaut prête à baiser à nouveau. Je la masturbe rapidement: ce n’est pas l’heure des câlins. Vers 8 heures 30, je me réveille et passe un coup de fil à mon mari pour le rassurer. Il me demande si j’ai bien baisé. Ma réponse positive lui convient. Il me dit qu’il s’est masturbé la veille en regardant un DVD porno, et que ce matin il avait une trique monumentale! Il s’est encore branlé. C’est dommage que je n’ai pas été à ses cotés, j’aime bien le vois se donner du plaisir, ça m’excite de le voir se taper une queue.
Il m’a excité à tel point que cette fois je réveille complètement Zoé. J’aurai pu me masturber même devant elle, mais je préfère partager mes orgasmes avec cette fille. Je suis prête à la masturber encore: elle préfère que je la branle sous l’eau de la douche. L’eau chaude coule sur nos deux corps, pile au centre. Je sens mes seins durcir sous cette caresse. Nos pubis sont liés. Je pose ma main sur son sexe en entier: elle écarte les jambes, se donnant à moi en entier. Ma main ne s’arrête nulle part, je la fais aller et venir sur sa féminité en sortant de temps en temps deux doigts pour les lui mettre dans la chatte. Je me sert ensuite du jet d’eau pour lui arroser l’anus: elle écarte ses fesses à deux mains pour que l’eau arrive avec force sur son cul. En jouissant elle me tend ses lèvres, se cambre et pousse un léger cri de jouissance. Enfin je le lui met par devant: je commence par la faire jouir du bouton et ensuite je le pose carrément sur l’entrée du vagin. Elle est prête à s’écrouler de bonheur. Sa jouissance est sans fin. Elle cri deux ou trois fois qu’elle jouit. Quand elle s’écroule dans mes bras, j’ai de la peine à la soutenir. Je peux la pousser contre la cloison en l’empêchant de tomber. Son évanouissement ne dure pas heureusement pour longtemps. Je l’essuie avant de la coucher en la recouvrant d’un drap.
J’appelle le room service pour commander les petits déjeuners. Je l’attends revêtue du peignoir de bain. Que je laisse ouvert. J’a le dos tourné quand la serveuse apporte la commande. Je me retourne pour la remercier: elle est surprise de me voir. Je n’ai même pas fait attention que le peignoir ouvert laisse voir mes seins, mon sexe et tout l’avant de mon corps. Sa surprise la transforme en voyeuse: sans complexe elle me détaille en souriant. J’ai l’air de lui plaire. Je ne la connais ni d’Eve ni d’Adam, et je le demande si je ne pourrai pas faire un petit tour avec elle sur un lit. Je lui souris: elle me réponds. Je lui dis que j’ai envie d’elle. Elle s’approche de moi pour répondre à sa façon: elle m’embrasse sur la bouche et dans un murmure me dit qu’elle fini son service dans une heure: je dois seulement l’attendre.
Zoé a assisté à la scène. Elle a peur que je l’oublie en route. La sotte, elle n’a jamais baisé avec deux femmes en plus.
Je me précipite sur elle, je me décide pour un 69, elle aime bien ça. Je lèche toute sa fente comme elle me fait. Décidément j’ai eu raison de venir à Paris pour la rencontrer: c’est une sacrée baiseuse, jamais rassasiée.
Quand la serveuse, ayant fini son service entre dans la chambre, le spectacle doit la réjouir: je suis assise sur la bouche de Zoé, je me caresse les seins. Sans attendre, elle est nue rapidement pour venir partager nos plaisirs lesbiens. Elle viens près de moi pour m’embrasser. Sa langue est agile dans ma bouche. Elle m’excite encore plus. Elle pose une main sur le con de Zoé et se met à caresser la première chose qui tombe sous sa main: le clitoris. Zoé qui ne l’a pas entendu est surprise. Surprise et acceptant cette nouvelle masturbation, surtout quand elle se transforme en cunnilingus.
Avec Zoé nous nous attaquons à la nouvelle. Elle a droit à toutes nos caresses depuis le bouton, en passant par la poitrine pour arriver à l’anus: elle aussi aime se faire lécher à cet endroit. Elle devient notre jouet. Un jouet agissant quand même.
Elle aime jouir en ayant son bouton contre un autre. J’aime cette position très jouissive et malheureusement difficile à mettre en œuvre. Nous nous installons, et après les réglages, nous sommes enfin prête: nos boutons se touchent. Nous remuons très peu pour qu’ils ne s’écartent trop. Nous entamons notre baise avec à nos coté Zoé qui ne trouve qu’une chose à faire: se masturber en nous regardant. Elle nous demande de lui apprendre à baiser comme nous. Je suis appuyée sur mes mains, légèrement penchée en arrière et je lui offre mes lèvres. Ce n’est qu’une consolation.
Pour la femme qui n’a jamais jouit ainsi, je la plains sincèrement: c’est une façon d’être à la fois garçon et fille: les jouissances sont plus fortes.
Après avoir joui ainsi, nous arrêtons un instant pour nous remettre un peu de l’effort. C’est la serveuse qui se propose pour la baiser ainsi. Zoé se met en positions que je corrige et quand elle sent son bouton contre celui de notre amante, elle se laisse faire pour jouir encore une dernière fois. Elle doivent se revoir pour recommencer toutes les deux, une partie de baise entre filles;
Pendant qu’elles s’aimaient je me rends compte que l’heure passe et que je dois partir. Je m’habille, les embrasse toutes les deux sur la bouche pour leur dire au revoir.
Je prend le TGV pour rentrer. Quand je sens une envie de faire pipi, je vais aux toilettes. J’y passe un bon moment: me trouver sans culotte pour faire mon petit besoin, l’excite encore, comme si je n’avais pas baisé depuis longtemps. Je me lève, pose un jambe sur la cuvette et je me caresse un peu avant de me mettre trois doigts dans la chatte. Mon orgasme est puissant.
J’en parlerai à mon époux qui sera aussi excité.
Je sais aussi que ce soir je me refuserai à lui: j’ai trop baisé avec Zoé. Ce sera dommage pour lui qi sera obligé de se branler encore devant moi.
Je vais vers elle: elle me reconnait, me fait un grand sourire, nous nous embrassons sur les joues, pas sur la bouche, se sera pour plus tard. Je lui prend le bras. Elle se serre contre moi comme si j’allais la perdre. Le chauffeur de taxi qui nous mène à l’hôtel doit croire qu’il a des visions. Cette fois nous ne pouvons nous retenir: nos lèvres sont attirées vers la bouche de l’autre. Nous avons les langues dans la bouche de l’autre.
Zoé, son pseudo, embrasse terriblement bien. J’espère qu’elle sait aussi faire ce que j’attends d’elle aussi bien.
Je remarque qu’elle est habillée légèrement, moi qui vient du midi je n’ai pas très chaud. Je me demande même si à part sa robe elle porte autre chose sur elle. Je le verrai bien tout à l’heure.
Enfin l’hôtel, le concierge, la carte, l’ascenseur, la porte qui s’ouvre et enfin la chambre. Nous sommes enfin seules. Le soir tombe et la nuit est à nous, ainsi que le lendemain samedi: je dois rejoindre mon mari le dimanche. Il faudra que je lui raconte tout ce que j’ai fait: il aime quand je lui raconte mes frasques. Nous nous embrassons cette fois totalement et à fond, pas comme dans le taxi où finalement nos baisers étaient plutôt simulés. Nous sommes serrées, nous ne formons déjà qu’un même corps. Enfin, petit à petit nous nous déshabillons. Je peux la voir bien mieux que dans sur un écran d‘ordinateur. Je la trouve plus belle et toujours sexy, avec ses seins qui pointent: ils sont moins gros que les miens et pourtant à quarante balais, je les porte bien. J’ai gardé mon string comme elle. Pour le moment nous sommes occupées à nous caresser les seins. Je trouve que les siens sont plus durs que les miens.
Je sens ses lèvres sur mes tétons: elle les lèche comme si elle avait fait ça toute sa vie, et pourtant elle n’a que 25 ans. Elle est esthéticienne dans un institut de beauté. Elle connais assez les femmes pour les traiter en femmes. Elle me traite comme elle le fait avec certaines clientes. Ce qu’elle fait est tellement bon que je ne pense même pas à lui rendre ses caresses. Quand elle s’accroupit devant moi pour retirer mon string, je me réveille. Je ne peux que lui caresser les cheveux pendant que sa langue est déjà à l’ouvrage sur mon clitoris. Il y a longtemps qu’une fille ne m’avait pas sucée ainsi bien. Je ne sais exactement comment elle fait: je jouis très vite: ce doit être le fait que c’est notre première fois.
Elle se relève pour m’embrasser: je sens le goût de ma chatte sur sa langue.
Je veux lui rendre le plaisir qu’elle m’a donné. Je la pousse sur le lit où elle se laisse aller, en écartant les jambes. Je suis encore plus excitée quand je vois tout son sexe: il me plait terriblement, avec ses lèvres égales, son clitoris qui ressort à peine et son anus qui me tente. Je me mets à genoux devant elle, j’adore son con, comme une divinité. Ma tête se penche sur la chatte: j’écarte un peu le haut des lèvres pour faire ressortir son bouton. J’ai envie de lui comme d’un mets rare. Ma langue va le goûter. Je ne me trompe pas, sa mouille m’excite encore plus. Je sens que je suis encore plus humide. Je commence avec le bout de la langue pour juste lui toucher l’extrémité du clito. Je passe toute ma langue dessus. Je la sens se raidir: j’espère qu’elle ne va pas jouir maintenant. J’arrête de la lécher un instant. Elle pose une main sur ma tête pour que je revienne sur elle. Son ordre ainsi donné m’oblige à remettre ma langue sur elle. Je la lèche comme pourrait le faire un chien sur la main de son maître. Je me régale de savourer sa cyprine, si douce et salée à la fois.
Maintenant je ne peu plus rien faire que la faire jouir. Elle se crispe, gémit et dit des mots sans signification sinon des « encore » et « je jouis ».
Nous commençons bien notre après midi. Je la couche pour me mettre à ses cotés. Nous restons ainsi comme deux amantes que nous sommes pour simplement nous dire des mots doux. Je me mets sur, le ventre pour l’embrasser et la peloter. Une main descend vers son nombril. Je caresse cette partie entre l’ombilic et le pubis: elle en ressent des chatouilles. Alors carrément je pose toute ma main sur sa chatte. Je sors un doigt pour aller fouiller son vagin: elle aime me dit-elle. Tant mieux, je suis venue pour son plaisir et le mien. Je la doigte longtemps pour finalement aller lui caresser l’anus. J’y mets un doigts, le même que dans son centre de plaisir: j’y entre facilement: elle ouvre légèrement son cul. Je sens que je vais me régaler d’y lui mettre ma langue. J’en ai besoin de suite: je l’enjambe pour être ma tête sur son sexe. Elle écarte les jambes et quand j’ouvre mes jambes sur elle, elle aussi pose sa langue que moi. Nous entamons un 69 d’enfer. J’ai repris son clitoris je le lèche comme tout à l’heure: elle en jouit, ensuite je vais sur son anus. Ma langue commence par le lécher calmement. Elle l’ouvre un peu. Ma langue cherche le petit trou et j’enfile la moitié de ma langue dans son cul. Je sens qu’elle me rend la pareille: nous jouissons avec une langue dans le cul toutes les deux. C’est sans doute sale, mais qu’est-ce que c’est bon.
Zoé a un avantage sur moi: elle est plus agile. En se contorsionnant un peu elle arrive en se retournant à me lécher un sein et me branler l’anus. Je ne sais si elle se rend bien compte de la force de l’orgasme que j’ai à cet instant.
Elle me donne l’envie d’avoir une bite dans le cul. Malgré nos accords, si mon mari était là, je le lui demanderai.
J’en parle à mon amante qui sans se démonter sort de son sac, l’objet indispensable: un petit gode. Je me met sur le ventre, elle mouille bien cet engin, le remouille encore et m’encule lentement. Je sais que je suis ses mouvements de vas et viens et qu’à la fin je cris que je jouis. Je lui prend le gode pour la baiser: j’ai envie de le faire depuis qu’elle m’a montrer le gode. Je la mets sur le dos, lui fait écarter à peine les jambe, cherche et trouve son con. Je pose le gode sur l’entrée et lentement je le lui met. Elle recommence à dire n’importe quoi, surtout des encore. Je la fait jouir.
J’enlève l’engin de jouissance et serrées nous nous endormons. La froideur de la nuit me réveille: je la sens à mes cotés, ses fesses contre les miennes. Je ne peux me retenir: je me tourne et les mords. Elle se réveille en sursaut prête à baiser à nouveau. Je la masturbe rapidement: ce n’est pas l’heure des câlins. Vers 8 heures 30, je me réveille et passe un coup de fil à mon mari pour le rassurer. Il me demande si j’ai bien baisé. Ma réponse positive lui convient. Il me dit qu’il s’est masturbé la veille en regardant un DVD porno, et que ce matin il avait une trique monumentale! Il s’est encore branlé. C’est dommage que je n’ai pas été à ses cotés, j’aime bien le vois se donner du plaisir, ça m’excite de le voir se taper une queue.
Il m’a excité à tel point que cette fois je réveille complètement Zoé. J’aurai pu me masturber même devant elle, mais je préfère partager mes orgasmes avec cette fille. Je suis prête à la masturber encore: elle préfère que je la branle sous l’eau de la douche. L’eau chaude coule sur nos deux corps, pile au centre. Je sens mes seins durcir sous cette caresse. Nos pubis sont liés. Je pose ma main sur son sexe en entier: elle écarte les jambes, se donnant à moi en entier. Ma main ne s’arrête nulle part, je la fais aller et venir sur sa féminité en sortant de temps en temps deux doigts pour les lui mettre dans la chatte. Je me sert ensuite du jet d’eau pour lui arroser l’anus: elle écarte ses fesses à deux mains pour que l’eau arrive avec force sur son cul. En jouissant elle me tend ses lèvres, se cambre et pousse un léger cri de jouissance. Enfin je le lui met par devant: je commence par la faire jouir du bouton et ensuite je le pose carrément sur l’entrée du vagin. Elle est prête à s’écrouler de bonheur. Sa jouissance est sans fin. Elle cri deux ou trois fois qu’elle jouit. Quand elle s’écroule dans mes bras, j’ai de la peine à la soutenir. Je peux la pousser contre la cloison en l’empêchant de tomber. Son évanouissement ne dure pas heureusement pour longtemps. Je l’essuie avant de la coucher en la recouvrant d’un drap.
J’appelle le room service pour commander les petits déjeuners. Je l’attends revêtue du peignoir de bain. Que je laisse ouvert. J’a le dos tourné quand la serveuse apporte la commande. Je me retourne pour la remercier: elle est surprise de me voir. Je n’ai même pas fait attention que le peignoir ouvert laisse voir mes seins, mon sexe et tout l’avant de mon corps. Sa surprise la transforme en voyeuse: sans complexe elle me détaille en souriant. J’ai l’air de lui plaire. Je ne la connais ni d’Eve ni d’Adam, et je le demande si je ne pourrai pas faire un petit tour avec elle sur un lit. Je lui souris: elle me réponds. Je lui dis que j’ai envie d’elle. Elle s’approche de moi pour répondre à sa façon: elle m’embrasse sur la bouche et dans un murmure me dit qu’elle fini son service dans une heure: je dois seulement l’attendre.
Zoé a assisté à la scène. Elle a peur que je l’oublie en route. La sotte, elle n’a jamais baisé avec deux femmes en plus.
Je me précipite sur elle, je me décide pour un 69, elle aime bien ça. Je lèche toute sa fente comme elle me fait. Décidément j’ai eu raison de venir à Paris pour la rencontrer: c’est une sacrée baiseuse, jamais rassasiée.
Quand la serveuse, ayant fini son service entre dans la chambre, le spectacle doit la réjouir: je suis assise sur la bouche de Zoé, je me caresse les seins. Sans attendre, elle est nue rapidement pour venir partager nos plaisirs lesbiens. Elle viens près de moi pour m’embrasser. Sa langue est agile dans ma bouche. Elle m’excite encore plus. Elle pose une main sur le con de Zoé et se met à caresser la première chose qui tombe sous sa main: le clitoris. Zoé qui ne l’a pas entendu est surprise. Surprise et acceptant cette nouvelle masturbation, surtout quand elle se transforme en cunnilingus.
Avec Zoé nous nous attaquons à la nouvelle. Elle a droit à toutes nos caresses depuis le bouton, en passant par la poitrine pour arriver à l’anus: elle aussi aime se faire lécher à cet endroit. Elle devient notre jouet. Un jouet agissant quand même.
Elle aime jouir en ayant son bouton contre un autre. J’aime cette position très jouissive et malheureusement difficile à mettre en œuvre. Nous nous installons, et après les réglages, nous sommes enfin prête: nos boutons se touchent. Nous remuons très peu pour qu’ils ne s’écartent trop. Nous entamons notre baise avec à nos coté Zoé qui ne trouve qu’une chose à faire: se masturber en nous regardant. Elle nous demande de lui apprendre à baiser comme nous. Je suis appuyée sur mes mains, légèrement penchée en arrière et je lui offre mes lèvres. Ce n’est qu’une consolation.
Pour la femme qui n’a jamais jouit ainsi, je la plains sincèrement: c’est une façon d’être à la fois garçon et fille: les jouissances sont plus fortes.
Après avoir joui ainsi, nous arrêtons un instant pour nous remettre un peu de l’effort. C’est la serveuse qui se propose pour la baiser ainsi. Zoé se met en positions que je corrige et quand elle sent son bouton contre celui de notre amante, elle se laisse faire pour jouir encore une dernière fois. Elle doivent se revoir pour recommencer toutes les deux, une partie de baise entre filles;
Pendant qu’elles s’aimaient je me rends compte que l’heure passe et que je dois partir. Je m’habille, les embrasse toutes les deux sur la bouche pour leur dire au revoir.
Je prend le TGV pour rentrer. Quand je sens une envie de faire pipi, je vais aux toilettes. J’y passe un bon moment: me trouver sans culotte pour faire mon petit besoin, l’excite encore, comme si je n’avais pas baisé depuis longtemps. Je me lève, pose un jambe sur la cuvette et je me caresse un peu avant de me mettre trois doigts dans la chatte. Mon orgasme est puissant.
J’en parlerai à mon époux qui sera aussi excité.
Je sais aussi que ce soir je me refuserai à lui: j’ai trop baisé avec Zoé. Ce sera dommage pour lui qi sera obligé de se branler encore devant moi.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Huguette34
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore une superbe histoire pour faire fonctionner la source à cyprine! En plus j'adore la position clito contre clito c'est extrèmement jouissif!!!
waouw. Belle histoire exitante. J'ai mouillé ma culotte.Je rêve d'une telle histoire...