Zoey. Ep.4 -- Retour mouvementé. Partie Deux. - histoire érotique

Je passe devant lui, tremblante et de plus en plus crasseuse, je frissonne. Il arrive quand les deux tasses sont remplies, s’assoit sur une chaise, je lui tends la sienne et bois rapidement la mienne. Vide, il la repose et s’éclaircit la gorge. Un rictus sur les lèvres il me jauge du regard, nue et enduite de sa semence, et de ma mouille. Ma laisse pendouille entre mes seins, sur mon ventre. Elle est ronde et flexible, noire, un peu rappée à quelques endroits, faite de fines bandelettes de cuir tressées. A l’extrémité il y a une poignée en cuir plat, dont il ne se sert presque jamais.
Il m’entraîne vers le canapé, me somme de m’y installer tandis qu’il part mettre en marche l’ordinateur, branché au téléviseur. Depuis hier le rythme s’est fait plus mouvementé. Peut-être s’ennuie-t-il. Peut-être désire-t-il tout simplement me bousculer un peu. Le bureau s’affiche, je tente de rester neutre pendant que, accroupit derrière son portable, Marc prépare la « suite ». Inconsciemment, mes doigts se promènent sur ma fente lisse, je suis excitée. Je ne regarde plus trop l’écran.

Une voix grésillante me fait sursauter.

« _ Zoey ? C’est ça ton petit nom, hein ? »

La télévision affiche l’icône d’une conversation par webcam. La blondasse est en face. Elle me fixe, nue et luisante de luxure. Mon Maître est fier, la haine monte en moi, je grogne. Et lui, en se pourléchant les babines, il m’annonce :

_ Comme j’ai cru voir que vous vous entendiez bien ce matin, vous allez pouvoir approfondir votre relation. Durant 14 minutes et 38 secondes.
Il regarde la caméra.
_ C’est une bonne idée, n’est-ce-pas, Lucile ?

Elle approuve de la tête. Il part s’installer à la table derrière le canapé. « Pour ne pas nous déranger », explique-t-il. Ce qui fait rire la femme.

_ Bien. Zoey, voici ta maîtresse pour un quart d’heure, elle est vicieuse, je te préviens. Prête, Lucile ?

Il montre le chronomètre de son smartphone, le « ping » significatif sonne, il lui adresse un clin d’œil. Lucile passe sa main sur son menton.

« _ Ecarte tes cuisses, pose les pieds sur le canapé. »
Elle me regarde faire d’un œil en pianotant sur son mobile, puis le repose à côté de sa souris.
« _ Mhm, tu es une sacrée belle chienne. Dommage que je n’ai qu’une poignée de minutes pour profiter de toi. Installe-toi à quatre pattes, le cul en l’air vers moi, la tête rentrée, je veux voir ton visage sous tes seins… »
Prestement je m’exécute.
« _ Et sous ton beau minou… Bien. Met tes deux mains sur tes fesses, écarte-les. »
Ma rondelle s’étire entre mes doigts, pour son regard. Je ne dis rien.
« _ Tu t’es faite prendre le cul récemment, pas vrai, jolie catin ? Ton majeur et ton index dans ta chatte. Annulaire et auriculaire dans ton fion. »
Le dos cambré, les genoux au bord du long sofa, j’enfonce mes deux plus longs doigts dans mon sexe juteux et les deux plus courts dans le second trou.
« _ Bien… Marc met lui dans sa gueule, relève la tête mon chaton. »
Je ne l’avais pas vu venir, juste devant mon visage relevé, mes doigts encore à leurs places, mon maître a fait irruption et m’enfonce entre les lèvres un gode vibrant faiblement.
« _ Suce-le. Il passera mieux quand tu te l’enfileras. »
Avant de s’éloigner à nouveau, mon compagnon glisse ses lèvres à mon oreille et me chuchote : « 11 minutes. »
« _ Fait vite pétasse, doigte-toi. »
Les vibrations contre mes dents sont désagréables, le jouet m’échappe des lèvres. 
« _ Relève toi. Installe-toi sur la table basse, sur le ventre, le cul vers moi. »
Dans la même position que si j’allais recevoir une fessée sur les genoux de mon maître, le verre qui recouvre le meuble de bois me glace la poitrine. Elle fait en sorte que je ne la vois pas, j’ai aperçu sa main droite remonter dans mon champ de vision à peine je me retournais, et redescendre dès que je m’allongeais.
« _ Monte les vibrations, ma salope, le plus possible. Ecarte les jambes, d’une main calle ton joujou sur le bord, empale ta vulgaire chatte et gémis fort. »
D’un mouvement de hanches énergique je me presse contre la verge factice, qui me pénètre aussi facilement qu’un couteau dans du beurre. Ma grotte à plaisirs déjà échauffée se contracte, elle vibre, je crie, et gémis, la sensation est si bonne qu’une larme roule sur ma joue, ma laisse pendouille sur le sol, je sens la pression du collier sur ma gorge.
« _ Sacré garage à bites… »
Un vrombissement flou.
« _ Tu l’entends ? Je fais comme toi. Sauf que moi je suis assise, bien confortablement en matant la chienne de mon ami Marc. Et moi je vais jouir. Et toi non. »
Le vrombissement s’amplifie, ou bien c’est celui de mon sextoy qui s’accapare mon esprit.
« _ Ondule tes hanches, prend du plaisir, comme moi, mais n’espère pas le 7ème ciel. »
Mes hanches claquent sauvagement contre le bois, mes seins sont aplatis à en être douloureux. Je ne supporte pas l’idée de me faire du bien pour elle… C’est comme si c’était elle qui me baisait… L’idée m’est immonde, mais c’est Marc qui l’a voulu… Marc… Des frissons d’envie me traversent. Je tente de me contrôler. L’autre halète, elle gémit, n’arrive même pas à se faire élégante. Alors que mon entre-cuisses vibre à m’en rendre dingue, elle, elle jouit.
« _ Hmm.. Tu es délicieuse Zoey, tu m’as entendu. Oh oui, toi tu as envie ? Eh bien attend encore…. Marc ? »
_ 3-4 minutes.

La tête sur le côté je vois un bout de l’écran, elle a les coudes sur son bureau, son visage sur ses paumes, elle respire tranquillement pour se remettre de son orgasme, me fixant avec le sourire.
Mon visage, la peau de mon visage est en feu. Feu de haine et de plaisir mordant, agressif, presque douloureux. Je sens vaguement une présence bouger, un contact sur mes fesses… C’est une torture… Je ne veux pas qu’il me touche…

« _ Ne jouis pas, ne jouis pas ! », chantonne la voix de la pétasse derrière sa caméra.
Il presse ses paumes sur mes fesses, et l’atroce jouet vibre toujours en moi, mon cœur se soulève la sensation est irrésistible, il est si près. Il s’éloigne.

Le minuteur sonne. La respiration de Lucile disparait.

Mon corps se tend et se détend. A ce moment même où j’implose il se plaque par-dessus mon corps, il est toujours nu.

Ce 7ème ciel terrassant m’étourdit. Je sens ses douces caresses sur mon corps, il embrasse mes oreilles, me chuchote :
_ Tu étais parfaite. Tu vois, elle est sympa Lucile, non ?
Je grogne en guise de réponse. Il passe sa main dans mes cheveux, il est affectueux, mais dans sa voix le son de l’excitation impatiente est vite revenu.
_ Tu veux te laver, ma belle ?
J’opine du chef. Il m’aide à me relever, il lutte pour ne pas m’empoigner par la laisse, je le devine. Il ouvre le battant de la cabine de douche, m’assoit sur le rebord, s’accroupit et défait mon collier, masse délicatement mon cou et pose l’objet sur l’évier, il quitte la pièce. Et revient ensuite avec un ensemble de lingerie sexy, mais confortable, je l’aime bien celui-là. Sur son bras, se trouve aussi un boxer propre. Ce sera sa seconde douche de la journée, mais ce n’est pas bien dramatique. C’est la deuxième pour moi aussi d’ailleurs, mais j’en meurs d’envie. Aujourd’hui m’a paru si long.

Il rentre dans la douche, je me recule sur les fesses, dans un angle de la cabine étroite, le dos sur le carrelage mural.
Il allume le jet et le braque sur ma tête. Il retient un petit rire, mes cheveux se plaquent sur mon visage. Il verse du shampoing , et d'une main tire mon visage vers lui pour que je me mette à genoux, il écarte mes lèvres, le savon coule sur mes paupières que je ferme, sa verge est plantée dans ma bouche pendant qu'il fait mousser mon cuir chevelu. Je le suce sans trop de conviction, l'eau tiède glisse sur mon corps, emportant ma crasse sur son sillon. Il fait aller son bassin contre mon visage, sans s'en rendre compte je crois, il est trop occupé à démêler mes cheveux entre ses doigts. Au bout d'un petit moment, il me relève et me plaque contre la paroi transparente de la cabine, je suis dos à lui. Ses mains glissantes se promènent sur mon cul, mes reins, mes hanches. Il murmure des termes grossiers, presque silencieusement. Pour moi se sont des compliments. Il masse ma vulve de son attribut, logé entre mes cuisses.
Marc monte la température de l'eau, me rince abondamment, il éloigne le jet, je reste en suspens contre la vitre de plastique. J'entends sa respiration devenir rauque. Et à l'instant où je comprends, des traits de semence gluante giclent sur mon derrière.

« _ Hm! Belle pute ! »

Il me rince une dernière fois, frotte avec sa paume sur ma chaire chaude. Prestement, il se fait un brin de toilette puis coupe l'eau. La douche est terminée. Il m'ouvre le battant, je sors devant lui et lui tend un peignoir, puis prend ma serviette. Nous nous séchons rapidement puis il quitte la pièce, après avoir enfilé son boxer. Il n'est à peine que 19h.

« _ J'vais faire la bouffe. Sèche-toi les tifs. »