Zone de recherches 03 Débug, et de deux

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Zone de recherches 03 Débug, et de deux Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Zone de recherches 03 Débug, et de deux
Zone de recherches 03
Débug, et de deux


Je commençais à bien apprécier cette tenue, je m'endormais paisiblement dans un hamac ... Mes camarades devaient sans doute rester un moment à m'admirer. Je les oubliais rapidement et m'endormais, je me sentais bien, je m'était bien vidé les couilles.

Ma bite pendait lourdement entre mes cuisses, j'avais bandé ferme quelques instants plus tôt et elle ne parvenait pas à reprendre une taille normale. Enfin, une taille normale au repos je veux dire.

Quand j'ouvrais les yeux plus tard, bien plus tard, il n'y avait plus que Débug, il me regardait avec insistance, les autres étaient partis.

– Mais tu es une vraie bête ! Me disait-il.
– Et pourquoi tu me dis ça ?
– Tout à l'heure, avec Djef, je vous ai vu. Tu es une vraie bête.
– Ah je pensais qu'on était seul.
– Il encaisse bien, je ne savais pas qu'il encaissait aussi bien.
– C'est vrai qu'il encaissait bien, j'ai pu me lâcher. On ne t'a pas trop choqué au moins ?
– J'en veux aussi !

Je le regardait un peu surpris. Il était à poil, il ne portait que sa cage de chasteté et je la voyais qui se relevait. Il était troublé le pauvre, on pouvait deviner dans son regard, soit un véritable trouble soit une certaine avidité. Il s'approchait de moi. Je lui faisait un sourire.

Sa main s'approchait de ma cuisse et je sentais son contact doux. Le bout de ses doigts glissait juste à côté de ma queue qui était allongée sur ma cuisse. Elle se redressait, pas ma cuisse bien sûr mais je suppose que vous aviez rectifié.

Rapidement ma queue gonflait, devenait plus dure, plus longue. Mon gland grossissait en un instant. Je vous ai dit que j'ai une assez grosse queue ? Il me semble. J'aime bien sentir l'érection monter. J'aime bien sentir quand je bande, ce n'est pas un hasard si j'ai décidé de ne pas porter le dispositif de chasteté qui m'aurait donné une promotion plus rapide au sein de la PK Compagnie. Mais je n'avais pas à le regretter, j'étais le chef de l'équipe de chercheurs, et tous les autres membres de l'équipe portaient un dispositif.

J'avais eu de la chance, il ne m'avait pas fallu beaucoup plus de temps pour parvenir à un niveau de carrière très satisfaisant. En plus là j'avais comme l'impression que j'allais bien m'amuser. S'ils sont tous comme le petit Djef qui m'a sucé cette nuit, et très bien sucé en plus et que j'ai peu enculer sans me retenir un peu plus tôt … Je me disais que j'avais bien de la chance finalement.

Là c'était Débug qui me faisait bander, il y allait fort, ses doigts caressait ma cuisse et glissait contre ma queue avec douceur. Brusquement elle se relevait et prenait toute sa majesté. Vous allez dire que j'abuse et que je m'y crois, mais je vous jure, c'est vrai, j'en ai une belle.

Et elle a l'air de plaire …

– T'es une bête je te le dis. Ça doit être bon de se la prendre dans l'cul. Rajoutait Débug.
– ALORS IL SE REVEILLE ! S'exclamait Ric, le petit gars trapu, qui chassait les papillons.

Il arrivait sans prévenir. Il s'arrêtait net en me voyant.

– Mais tu es une bête toi ! Tu t'arrêtes jamais ?

Là je ne savais plus quoi faire, j'avais bien mis une main devant mon sexe mais vous imaginez bien que ce n'était pas suffisant, ça dépassait et les yeux lui ressortaient des orbites.

Rapidement je comprenait qu'il était au courant de tout. Il communiquaient entre eux, et mes petites sauteries avaient déjà fait le tour du camp.

Bon sur le coup je ne savais plus trop quoi faire, d'abord je me calmais puis j'enfilais un short. Je n'avais pas de sous vêtement et ça se voyait.

Le soir tout le monde était revenu. On préparait le repas ensemble, on soupait et tout le monde se retrouvait à poil pour un bain dans le lac. Tout le monde sauf moi. Là je ne savais plus quoi faire. J'avais réussi à ne pas bander de l'après midi, mais il m'avait chauffé la cervelle Débug, Ric aussi et là ils étaient tous à poil devant moi à s'arroser. Je voyais leurs dispositifs de chasteté qui se balançaient entre leurs cuisses quand il couraient, plongeaient et …

Mon dieu, chaleur, chaleur.

Je prenais une grande respiration et je retirais mon short. On m'applaudissait, ils sont joueurs tout de même. Plus le temps passait plus j'avais du mal à me retenir. On s'amusait, on plongeait, on s'arrosait et moi je bandais. Ça les faisait rire, par moment j'arrivais à me retenir mais j'avais du mal et ça se voyait. Par moment on se frôlait et le petit Débug ne me laissait pas indifférent. Quand je dis petit, c'était affectueux, il n'était pas si petit que ça, il faisait ma taille.

Quand on sortait de l'eau c'était pour préparer la chasse nocturne. La chasse aux insectes, on tend un tissus léger qu'on éclaire avec une lampe de poche assez puissante, après on attrape tout ce qui passe. C'est pas compliqué. Mais c'est parce qu'on fait ça toutes les nuits qu'on se fait une sieste dans la journée.

On installait le piège à quelques centaines de mètres du campement.

On avait pris soin de s'habiller, enfin un minimum, un short et des sandales … Je n'avais toujours pas de sous vêtements, les autres non plus remarquez et dès la nuit tombée on attendait.

Débug me touchait l'épaule, je me retournais vers lui, il me faisait signe de le suivre, il voulait me dire quelques chose. J'avais enfin réussi à me calmer totalement, et là, à cet instant je ne pensait à rien.

Je le suivais, il m'entraînait vers le campement, je le suivais en me demandant ce qu'il me voulait et sans prévenir, nous étions arrivés à une certaine distance des autres, il se retournait vers moi, me baissait mon short en tombant à genoux devant moi et prenait ma queue dans sa bouche. Il ne m'avait même pas laissé le temps de réagir mais en avais-je vraiment envie ?

Il aspirait ma queue qui entrait alors complètement dans sa bouche. Elle avait repris sa taille minimum mais ça ne durait pas bien longtemps. Rapidement je la sentais qui grossissait et rapidement se trouvait à l'étroit. Il maintenait son visage écrasé contre mon ventre et ma queue entrait là ou elle pouvait, je la sentait qui glissait dans sa gorge.

Je le sentais qui tentait d'avaler, c'était étroit et je ne comprenais pas vraiment il faisait, je ne comprenait pas ou passait ma bite mais le contacte était tellement agréable, tellement doux et chaud. Je poussais un peu et là je le sentait réagir, il retirait son visage en faisant un bruit amusant.

– Tu aimes ? Me demandait-il.
– Oui et toi ? Vas y continue, tu fais ça très bien.

De nouveau il appuyait son visage contre mon ventre, de nouveau il avalait ma queue sur toute sa longueur, de nouveau je la sentais qui glissait dans sa gorge. Je lui caressais les joues, je glissais quelques doigts sur sa gorge et je sentais bien ma queue qui s'y enfonçait.

Je n'arrivais pas à y croire, si moi j'étais une bête à le croire, lui c'était un phénomène. On ne m'avait jamais fait une gorge profonde comme ça, jamais aussi profond. Je me retirais et je revenais dans un mouvement lent et décidé, ça glissait tout seul, c'était divin et je ne me lassais de ce plaisir et j'accélérais insensiblement le mouvement. Je me retirait et je revenais, je revenais bien à fond, j'écrasais son visage sur mon ventre en appuyant sur sa tête et je poussais mon bassin, ma bite bien à fond.

Je ne pouvais pas voir son visage, mais je devinais qu'il devait être tout rouge, s'il manquait d'air il me repoussait je me retirais alors en douceur et le laissais reprendre son souffle. Je suis peut être une bête mais je ne suis pas une brute.

Quand je ne bougeais pas, je le laissais faire. C'était lui qui alors me suçait la queue. Il l'avalait sur toute sa longueur puis ressortait. Par moment il s'attardait sur mon gland, avec sa langue il me donnait alors un plaisir qui me faisait gémir.

Il se relevait, il avait fait glisser son short et me tournait le dos. Il me glissait dans la main un tube de gel et se penchait en avant. Il m'offrait son cul. Il m'avait déjà donné beaucoup de plaisir et j'étais en bonne disposition. Je le lubrifiait généreusement le cul puis très concentré sur ce que je faisais, je me positionnait et je poussais.

Ma queue appuyait sur son cul, je poussais. Je sentait son anus résister, je poussais toujours. Son anus résistait toujours, je poussais plus fort. Brusquement je sentais son anus lâcher, je poussais toujours mais avec un peu plus de douceur. Je l'ais entendu gémir, c'était comme une plainte.

Puis son anus s'ouvrait et je sentais ma queue s'enfoncer, je sentais son anus recouvrir mon gland qui glissait, il se refermait sus moi, je poussais toujours et je sentais ma queue glisser dans son cul. Il gémissait plus fort encore.

Au bout de quelques minutes, de quelques gémissements, de quelques gestes de sa part pour tenter de se dégager, mon ventre s'écrasait sur ses fesses. Il poussait un long soupir.

Je sentais son cul, l'intérieur de son cul qui bougeait, ça devait le travailler et ça me faisait un massage de la queue. C'était très agréable, et j'ai décidé de commencer à le limer. Je ressortait doucement, il retenait un cris. Je ressortait complètement, il respirait fort. Je le laissais souffler.

Il tournait la tête vers moi, je me penchais sur lui et l'embrassais. Notre baiser était intense et le devenait encore plus quand de nouveau, je revenais vers lui et enfonçait une deuxième fois ma queue dans son cul. Je l'ai senti se contracter, je l'ai entendu gémir, il a couiné aussi. J'ai donné un violent coup de bassin au dernier moment, juste avant que mon ventre ne s'écrase contre ses fesses. Là ça s'est fait sans douceur. Il a couiné de nouveau.

Je l'ai saisi par le bassin et le cramponnais fermement. Je donnais un autre coup de bassin, ma queue s'enfonçait avec violence, il a poussé un cri. Puis un autre coup de bassin, je ne me retirais pas vraiment je frappais, je frappais encore, il couinait, par moment il criait mais pour ne pas alerter les autres qui n'étaient pas très loin, il se retenait.

Je me penchais sur lui et le caressait avec mes bras, je glissais ma main sur son sexe et lui tripotais les couilles. Il gémissait, par moment ça ressemblait à un sanglot.

Mes mouvements devenaient plus amples je retirait ma queue à moitié et revenait avec force. Il ne tentait pas de me calmer, souvent quand je fais ça, le mec se protège avec sa main qu'il glisse dans son dos, et me retient, enfin tente désespérément de retenir mes coups. Lui il écartait les jambes un peu plus, se penchait en avant et encaissait.

Un gémissement à chaque coup de bite, bien profond, bien violent. Je suis une bête il avait dit. C'est que ça devait lui plaire. Et ça lui plaisait, ça ne faisait aucun doute.

Avec les mains je caressais tout son corps en m'attardant sur ses couilles. Elles formaient deux boules bien fermes. Ça devait faire un moment qu'il portait sa cage, depuis le début de ses études, dix ans, quinze ans, c'est une éternité. Il était en manque, forcément et ils étaient cinq dans cette situation. En le limant avec régularité je me disais que finalement j'avais fait le bon choix et que je ne regretterais pas d'être venu.

Je lui tripotais les couilles avec force, il me laissait faire et au bout d'un moment j'ai senti tout son corps se contracter, son cul aussi, il s'est mis à gémir plus fort et je l'ai senti il jutait, il jouissait. Je le limais toujours avec force et là sans m'en rendre compte, je ne retenais plus mes coups. Ils étaient violents et rapides.

Je me suis senti envahi par un plaisir qui montait brusquement et quelques secondes plus tard, j'éjaculais avec force dans son cul. J'éjaculais en lui balançant encore quelque coup de bassin qui claquaient. Il a poussé encore un cri et je l'ai senti devenir tout mou, il tremblait.

Je me retirais, lui caressais le dos et lui donnait encore quelques baisers.

Je le laissais récupérer, on allait se rafraîchir dans le lac puis tranquillement, l'air de rien on allait rejoindre le reste du groupe.

Décidément il était prévoyant, il avait du gel … Il avait l'air aussi chaud que le premier … C'était un bon présage pour le reste de l'expédition.


A suivre


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