Zurich

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Zurich Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(7.0 / 10)

Couleur du fond :
Zurich
Avant de rejoindre mon hôtel, je me risque dans une taverne à Zurich. Bonne ambiance festive comment savent en créer les helvètes. Des couples plus ou moins formés se tiennent par les épaules pour se trémousser ensemble, même deux femmes âgées, n'ayons pas peur des mots, se tiennent par les épaules accompagnés par un autre vieux.
Je trouve une place presque contre une fille jolie charmante, agréable, avenante, accompagnée d'un beau garçon de son âge (dans la trentaine). Le musique d'un orchestre local donne une belle ambiance. Ma voisine me prend par les épaules pour m’entraîner dans la joie collective. Elle me regarde en souriant. Je rends poliment le sourire. Elle m'embrasse sur la bouche, sans prévenir, pour mon plus grand plaisir.
Son amoureux, celui de l'autre coté l'encourage. Je n’ai pas l’impression qu'il faille la pousser beaucoup. Les bières circulent en convoi. Après la deuxième je cale même si le breuvage est parfait.
Mon affaire s'arrange au mieux, elle vient de poser sa jambe sur la mienne, son pied sous ma cuisse droite. Elle me serre pas mal.
Sa bouche revient sur la mienne. Cette fois nous nous servons des langues. Elle s'y connaît bien en langues étrangères. Je fais comme si elle était seule. Je la prends dans les bras, elle y semble prendre un trouble plaisir quand sons amoureux l'embrasse sous les cheveux, sur le cou. Malgré, ou à cause de son copain, elle prend ma main, la pose sur son genou.
Je prévois une suite chaude. Elle laisse ma bouche, se met en arrière pour prendre celle de l'autre. Je continue mon inspection avec ma main sur sa jambe. Elle me laisse faire, elle s'arrange pour poser sa main juste sur les queues, celle de son amoureux bien avant moi et enfin la mienne.
Je ne mettrais pas ma tête à couper : elle me semble une amatrice de deux bites à la fois. Elle a bien raison d'en profiter tant qu'elle est jeune.
C'est très enchanteur de se faire tripoter par une jeune femme sexy, pleine de bonnes intentions. J'aime bien que son amoureux participe, lui fasse plaisir. Pour le moment c'est moi qui la pelote. Je suis presque en haut de ses jointures du haut, quand enfin je sens l'autre main venir à ma rencontre.
Sous la jupe, les cuisses sont écartées au maximum. Elle ne permet pas, elle oblige. Sans que nous nous disputions, nous trouvons chacun un place, elle n'en manque pas. Je me trouve relégué à la seconde place. Je le sens lui qui tripote, qui commence la masturbation. J'ai la place sur le périnée pour attérir à coté d'un charment endroit. Le demoiselle écarte encore un peu les fesses : j'ai enfin ma place.
Je caresse doucement et masturbe le petit trou. J'ai du faire un exploit : elle ne fait que m’embrasser ; Sa langue fourmille d'inventions se faufile partout dans la bouche. Elle me tient même le menton par crainte que je l'oublie. Comment oublier un jeune cul plein d'ardeur ? La simple masturbation culière ne suffit pas, il faut que je lui mette un doigt. Je le rentre doucement : je ne la connais pas assez pour savoir ce qu’elle désire.
En tout cas, elle soit comment traiter le deux bites. Elle le a laissé à l'intérieur des pantalons pour ne pas créer d'émeutes. Pour son type, je ne sais pas, pour moi elle me caresse par dessus, puis masse énergiquement le gland. Je me retire, ne voulant pas jouir ainsi en public. Lui je pense a giclé.
Nous quittons cette taverne diabolique.
Nous sommes dans ma chambre munie d'un seul grand lit. Il faut croire que ça presse : elle est nue en un éclair. Si son amant la connaît, moi, je découvre le corps d'une obsédée, d'une nymphomane suisse. Sa poitrine domine le paysage, son pubis est plein de poils blonds, elle est naturelle au moins. Comme par obsession de la provocation elle écarte les jambes, avance son bas ventre pour montrer sa chatte .Il faut être un sacré saint pour résister à cette envoyé du démon, d’Éros sans doute.
Je mets à bas les barrières, je suis nu, la bite bien haute. Lui est au moins aussi bien monté que moi. Il bande sans doute plus. Elle se laisse tomber, assise au bord du lit, elle nous tire à deux mains, prend vite nos pines comme si elle avait peur qu'elles se sauvent devant son corps soyeux.
Après un rapide bisous sur les glands qu'elle décalotte, elle prend les deux queues dans sa bouche. Je ne sais comment elle peut faire, elle nous lèche, nous sucent à la fois. Elle nous prend par les fesses, les caresses. Je commence une belle nuit d'amour. Son amant par contre montre des signes de faiblesse : elle a du trop tirer sur sa corde à piano.
C'est visible, il est long à jouir. Elle ne demande pas mieux sans doute. Je ne reste pas longtemps dans sa bouche noyée par mon foutre. Je regarde la langue qui lèche, avale, lèche sans relâche. Elle aime visiblement sucer les queues.
Ses mains ne sont pas immobiles, une tient les queues dans sa bouche l’autre est posée sur la chatte. Elle connais bien les endroits qu'elle préfère. Ses doigts joints ou pas la caressent utilement. Je crois la voir jouir ainsi deux fois.
Elle attend le dernier jet de sperme pour se coucher, elle me tend les bras elle me veut depuis longtemps.
Sur elle rapidement je sens ses seins s'écraser, son ventre se creuser. Elle ouvre ainsi sa boite à orgasmes. Je vais et vient lentement alors qu’elle me force à aller vite. Son con est trop doux pour passer comme ça en dragon. Je suis au fond de son sexe, j'y séjourne le plus possible. Mais pour elle il faut bouger, il faut aller et venir. Je crois jouir en elle quand elle me fait sortir. Elle se retourne, montre ses fesses, les ouvre à deux mains pour faire apparaître un petit trou sombre : c'est là qu'elle me veut en final.
Je pose le gland dans sa dernière partie. Elle y est généreuse en se donnant en entier. J'arrive à pénétrer sans dommage pour moi. Je sens ses chair s'ouvrir lentement au gré de ma progression. Le meilleur moment est quand le bord de gland passe cette frontière ténue : je suis en elle. Je crois qu'elle possède le meilleur cul que je connaisse. Elle l'ouvre, le resserre à souhait, selon son gré.
Elle sens que mes derniers moments sont là : elle serre ses fesses au maximum. Je gicle dans son ventre, dans sa merde, ma semence. Je reste longtemps dans ce cul accueillant.
Le soleil se lève quand je la laisse seule avec ses désdirs encore vivants.

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Histoire Erotique
Bonjour,
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Texte coquin : Zurich
Histoire sexe : Une rose rouge
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